1 Il y a une chanson, "Africain"

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1 Il y a une chanson, "Africain"
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Il y a une chanson, "Africain" de Peter Tosh, qui est très controversé à l’égard de
problème d’identité. La chanson dit, « si long que vous êtes un noir, vous êtes africain. Malgré
votre nationalité, vous avez l'identité d'un Africain. » La citation exprime une conviction
populaire que tous les noirs sont africains. Mais, ce n’est pas vrai. L'identité culturelle n'est pas
seulement basée sur l'apparence physique ou la race ; en fait, l'apparence joue un rôle limité. La
plupart des identités sont déterminées par l’instruction. Si tous les noirs étaient africains, les
personnes comme Amkoullel, José, et Maryse auraient la même identité selon Peter Tosh. Il y a
les noirs qui ne sont pas africains et il y a les Africains qui ne sont pas noirs.
Omar – de l’extrait "la patrie" du texte La grande maison de Mohammed Dib – est un
exemple du dernier. La grande maison a été publié en 1952 : le même temps que l’histoire passe.
Omar est un arabe qui grandit pendant les 1940s et 1950s, un temps de la colonisation française
en Algérie. Les colonisateurs français espèrent d’assimiler les arabes à la culture française. Par
exemple, à l’école coloniale française qu’Omar assiste, son maître (un autre Arabe qui est
employé par le gouvernement colonial français) essaie d’apprendre aux élèves arabes que la
France est leur patrie. C’est ironique parce que les Français ne perçoivent pas les Arabes en
Algérie comme les citoyens, mais ils attendent que les Arabes respectent la France et la traitent
comme leur patrie. « Patrie ou pas patrie, la France n’était pas sa mère » explique que l’ethnicité
arabe est plus importante que le pays qui colonise Omar pour décider son identité (La patrie 18).
Les autres facteurs important de son identité sont la langue arabe et l’instruction. L’arabe
crée une connexion spéciale entre le maître et ses élèves car les Français qui essaient de contrôler
leurs croyances et leurs fidélités ne parlent pas l’arabe. Donc, quand le maître dit d’une voix
basse en arabe, « ça n’est pas vrai, fit-il, si on vous dit que la France est votre patrie, » les
Français ne peuvent pas le punir (La patrie 21). Le maître inculque des idées de l’insurrection
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parmi les élèves, y compris Omar, parce qu’ils connaissent qu’ils peuvent se fier aux personnes
qui parlent l’arabe. L’identité d’Omar évolue et il devient un nationaliste. L’instruction apprend
à Omar que son identité n’est pas française. Alors, l’instruction détermine son identité
nationaliste qui décrit son identité culturelle : il est un jeune arabe Algérien. Omar est africain
mais il est arabe. Ce n’est pas possible selon la citation inexacte de la chanson "Africain." Bien
sûr, il y a beaucoup d’africains, comme Amkoullel, qui est noir.
Amkoullel, le personnage principal des extraits du texte Amkoullel, l’enfant peul :
Mémoires de Hampâté Ba, grandit dans une communauté peule au Mali au début du 20ème siècle.
Le texte a été publié en 1991 comme un commentaire rétrospectif à l’égard une société stable
dans un continent qui était envahi et était changé par la colonisation. Les influences plus
importants de l’identité d’Amkoullel sont son ethnicité peule et son instruction religieuse car ils
déterminent tous les facteurs de sa via. Les valeurs peules expliquent, « un enfant peul grandira
dans une double fidélité : à un véritable code de l’honneur et à un total respect de la volonté
maternelle » (Préface 7). Sa prise de conscience de son identité est causée par la mort de sa petite
enfance qui résulte d’une cérémonie islamique. Alors, son identité individuelle devient jeune,
musulman, et peul parce qu’il est content et stable dans la société peule et la communauté
d’Islam.
Tout comme l’identité d’Omar est influencée par l’instruction, l’identité d’Amkoullel est
établie par son instruction religieuse. Après la cérémonie islamique de l’extrait "Mort de ma
petite enfance," Amkoullel dit, « Sept fois Tierno Kounta me répéta la leçon, et sept fois je la
rabâchai après lui, après quoi il congédia mes parents » (Mort de ma petite enfance 165). C’est
quand il grandit et il choisit son identité religieuse pour lui-même, sans l’influence de ses
parents. Ensuit, Amkoullel commence de fréquenter une école coranique où il apprend de parler
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bien l’arabe et apprend par cœur le coran. Sans cette instruction, le mot "musulman" ne pourrait
pas décrire son identité. Il est noir et il habite en Afrique mais il n’est pas seulement un Africain ;
africain ne décrit pas son identité culturelle. Il y a aussi autres qui sont noirs mais n'ont jamais
visité l'Afrique. José est un exemple.
En 1983 Joseph Zobel a publié La Rue Cases-Nègres qui dépeint la vie inspiratrice d’un
jeune Martiniquais, José. José grandit en Martinique pendant les 1920s, approximativement
soixante-dix ans après l'abolition d'esclavage dans les colonies françaises. Il y a trois classes
sociales en Martinique : les riches (les blancs), les bourgeois (les mulâtres), et les pauvres (les
noirs). Même s’il y n’a pas encore l’esclavage, les noirs sont traités comme les "demi-esclaves"
car ils travaillent tous les jours dans les champs de cannes à sucre pour un peu d’argent. Ses
racines et son instruction sont les facteurs qui dictent l’identité de José. M. Médouze apprend à
José leurs racines africaines et la longe tradition d’esclavage qui a torturé leurs ancêtres. Cette
connaissance qu'il gagne aide le motiver à étudier bien à l'école ; elle cause sa prise de
conscience de l'importance de se prouver dans une société raciste.
« L’instruction est la clé qui ouvre la deuxième porte de notre liberté » selon M. Roc, le
maître de José. Donc, en étudiant bien José monte aux niveaux plus hauts d'instruction qui mène
à sa mobilité de classe. En effet, son identité individuelle est jeune, éduqué (c’est-à-dire
bourgeois), et conscient de ses racines. Parce qu’il connaît l’histoire de ses ancêtres, José est fier
de ses accomplissements et il n'est pas honteux de sa race. Il gronde Mlle Flora, une autre noire,
quand elle dit qu'elle déteste les noirs. José est noir et ses ancêtres sont devenus par l’Afrique,
mais José n’est pas africain. La race ne le définit pas ; si la race le définissait, son identité serait
pauvre et "demi-esclave."
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De la même façon, Maryse Condé apprend que la couleur de sa peau n’est pas l’élément
plus important de son identité. Maryse Condé a publié Le cœur à rire et à pleurer : Contes vrais
de mon enfance en 1999. Dans l’extrait, "Chemin d’école," le personnage principal est un jeune
Maryse, qui a treize ans en 1950 et qui assiste le lycée Fénelon pendant un de beaucoup de
séjours à Paris. Sa prise de conscience de son identité est le résultat de l’exposé du livre La Rue
Cases-Nègres. Après qu’elle le lit, elle identifie avec José et elle trouve les éléments plus
importants pour expliquer son identité : l’héritage et l’histoire de son pays natal, Guadeloupe.
L’instruction est l’influence qui la motive à créer la métaphore pour décrire l’identité :
Maryse dit, « l’identité est comme un vêtement qu’il faut enfiler bon gré, mal gré, qu’il vous siée
ou non » (Chemin d’école 103). L’image représente le processus par lequel on découvre ou crée
son identité. Sans l’instruction, Maryse n'aurait pas appris à faire face à la société française
raciste et son identité n’aurait pas évolué d’une petite négresse qui étais « peau noire, masque
blanc » à jeune, noire, guadeloupéen, et ancient des racines africaines et d’histoire d’esclavage
(Chemin d’école 103). Maryse est noire et ses ancêtres sont africains mais elle n’est pas
africaine.
Il y a beaucoup de contrastes parmi les quatre personnages : Omar et Amkoullel sont les
Africains mais José et Maryse sont les Caraïbes. En plus, José, Amkoullel, et Maryse sont noirs
mais Omar est arabe. Omar, José, et Maryse sont les victimes de discrimination sur la base d’une
identité, mais Amkoullel ne connaît pas la discrimination. Toutes leurs identités sont différents
car, selon la métaphore de Maryse, chaque personnage porte un vêtement différent qui est dicté
par sa race, sa famille, et sa société. Mais, une similarité parmi tous les quatre est que leurs
aspects invisibles d’identité (leurs sous-vêtements) sont plus importants que la couleur de leurs
peaux pour définir leurs identités culturelles.
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En outre, toutes leurs identités sont déterminées par l’instruction. Omar devient un
nationaliste car il apprend – ironiquement – à l’école coloniale française que la France n’est pas
sa patrie. De même, Amkoullel crée une identité religieuse car il assiste l’école coranique. José
transforme sa vie de la pauvreté abjecte à la classe bourgeois en étudiant bien et en apprenant
que le connaissance mène à la liberté des opprimés. Maryse est aussi influencée par l’instruction
parce que avant que son professeur a proposé l’idée d’un exposé à Maryse, elle n'a rien connu de
son héritage.
Tous les personnages ont les identités culturelles différentes mais ils découvrent leurs
identités par le même processus de prendre de conscience : l’instruction. Leurs races ne
déterminent pas leurs identités individuelles. La race est juste une chose dans un groupe de
caractéristiques que leur est donné par leurs parents et leurs sociétés. La race est comme la classe
et la famille et l’histoire des ancêtres et le pays d’origine qu’on ne peut pas contrôler. Cependant,
on peut choisit les caractéristiques qu’il utilisera pour se définir. Ces caractéristiques peuvent
être nationale, ethnique, religieuse, ou de classe (parmi beaucoup d’autres catégories).
L’instruction enseigne qu’on peut créer sa propre identité qui n’est pas dictée par quelque chose
aussi simple ou impuissant que l’apparence. Alors, si vous êtes un noir, vous n’êtes pas
nécessairement africain. Malgré votre race, vous avez l'identité que vous créez et changez jusqu'à
ce que vous mettez les vêtements qui habillent entièrement votre identité.

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