Mohammed VI roi du Maroc attendu à Libreville jeudi,Bientôt une loi
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Mohammed VI roi du Maroc attendu à Libreville jeudi,Bientôt une loi
Les partisans d'AMO célèbres son 58ème anniversaire à titre posthume Photo @ DR Libreville, Gabon (Gabonactu.com) – Les partisans de l’ancien opposant André Mba Obame (AMO), décédé le 12 avril dernier au Cameroun des suites d’une longue maladie ont commémoré lundi à titre posthume le 58ème anniversaire de celui qu’ils considèrent toujours comme le président élu en 2009. La commémoration a eu lieu à l’église Saint Louis Marie Grignon de Montfort au Bas de Gué-Gué au cours d’une messe du souvenir. La messe a été demandée par a famille Obame Ndong, les clans Effack et Oyek. Plusieurs cadres de l’Union nationale et du Front uni de l’opposition pour l’alternance ont pris part à cette triste commémoration. Gaston Ella Mohamed VI arrive finalement ce vendredi à Libreville Photo : DR Libreville, Gabon (Gabonactu.com) – Le Roi du Maroc, Sa Majesté Mohamed VI arrive finalement vendredi à Libreville, a annoncé jeudi soir la télévision nationale gabonaise citant un communiqué du protocole d’Etat gabonais. Le souverain chérifien foulera le sol gabonais en milieu d’après midi. Pas grand-chose n’est prévue au programme de cette première journée de la visite d’amitié et de travail. Durant son séjour gabonais dont la durée n’est pas encore connue, Mohamed VI aura un tête à tête avec son homologue gabonais et supervisera la signature des nouveaux accords entre son Royaume et la République gabonaise. Martin Safou Silence radio sur la prochaine visite de Mohamed VI au Gabon Libreville, Gabon (Gabonactu.com) – Le décor est pourtant bien planté de l’aéroport jusqu’au palais présidentiel de Libreville ainsi que sur certains axes principaux de la capitale mais le protocole est muet sur la date exacte de l’arrivée à Libreville du roi du Maroc, Sa Majesté Mohammed VI. Toutes les entreprises marocaines basées au Gabon multiplient, dans la presse et les banderoles, les messages de bienvenu au souverain chérifien. Le pouvoir a fait balayer les rues et fait remettre une couche de peinture sur les trottoirs des avenues. Les drapeaux marocains et gabonais flottent côte à côte dans les rues. Sur quelques panneaux publicitaires trônent les photos du Roi Mohamed VI et Ali Bongo Ondimba. Et pourtant, aucune source, marocaine ou gabonaise n’annonce la date exacte de l’arrivée à Libreville de ce grand ami du Gabon. Officiellement, la visite rentre dans le cadre d’une tournée africaine du Roi en Afrique subsaharienne. C’est la 3ème tournée du genre pour le souverain chérifien. Le Roi Mohamed VI aura des entretiens officiels et présidera les cérémonies de signatures d’accords bilatéraux, ainsi que le lancement de projets de coopération, l’échange d’expériences et le renforcement du partenariat économique avec le Gabon. Christian Balade Mohammed VI roi du Maroc attendu à Libreville jeudi Photo @ DR Libreville, Gabon (Gabonactu.com) – Le roi du Maroc, Sa Majesté Mohammed VI, est attendu à Libreville jeudi prochain en terre gabonaise pour une visite de travail et d’amitié, a-t-on appris lundi d’une source proche de la présidence de la République. La visite rentre dans le cadre d’une tournée africaine du Roi en Afrique sub-saharienne. C’est la 3ème tournée du genre pour le souverain chérifien. Le Roi Mohamed VI aura des entretiens officiels et présidera les cérémonies de signatures d’accords bilatéraux, ainsi que le lancement de projets de coopération, l’échange d’expériences et le renforcement du partenariat économique avec le Gabon. Christian Balade Bientôt une loi pour endiguer la Cybercriminalité au Gabon Libreville, Gabon (Gabonactu.com) – Les participants à l’atelier sur la protection de l’enfant contre les effets négatifs des réseaux sociaux ou de l’internet qui s’est tenu à Libreville du 6 au 8 mai 2015 ont décidé d’élaborer urgemment une loi réprimant la cybercriminalité, phénomène qui prend de l’ampleur au Gabon en particulier et dans le monde en général. « Sans loi surtout harmonisée avec tout ce qui peut exister comme instrument au niveau international, il est très difficile de lutter contre les crimes commis dans le monde virtuel », a affirmé au terme de l’atelier Emmanuel Kandem, expert l’UIT. Les participants ont proposé la mise en place d’un plan national de lutte contre la cyber criminalité. Le privilégiera la formation et la sensibilisation des parties prenantes. Cette sensibilisation doit toucher aussi les enfants car, selon les participants, un enfant sensibilisé, donc averti est à même de résister lui-même à tous les abus distillés sur internet. Il utilisera internet d’une manière saine, productive et novatrice. Le pilier coopération est la dernière recommandation de l’atelier. Pour l’UIT, « la cybercriminalité requière une participation presque de tous les Etats membres. Par ce que c’est le monde virtuel, un monde sans frontière ». Le futur plan d’action sera conçu et orienté sur la culture des résultats. Il sera réalisé avec l’appui technique de l’UIT. Clôturant les travaux de l’Atelier national des parties prenantes de la protection de l’enfant en ligne, le secrétaire général adjoint du ministère de l’économie numérique, Armand Clotaire Lichambany a souligné que « L’Etat gabonais va s’engager dans ce vaste programme avec toutes les parties prenantes pour déployer le projet de la protection de l’enfant en ligne ». Les parties prenantes sont tous les ministères concernés par la question Sydney IVEMBI Le pape François invite les protestants à parler de sexualité Libreville, Gabon (Gabonactu.com) – Le pape François a reçu lundi au Vatican l’archevêque luthérienne d’Uppsala en Suède, Antje Jackelen, invitant les protestants et les catholiques à aborder franchement leurs divergences sur les questions de sexualité. « La question de la dignité de la vie humaine, toujours à respecter, est d’une urgente actualité, comme le sont aussi les thématiques de la famille, du mariage et de la sexualité. Celles-ci ne peuvent être tues et ignorées par peur de mettre en danger le consensus oecuménique déjà réalisé », a déclaré le souverain pontife, faisant le point devant Antje Jackelen du dialogue entre l’Eglise catholique et les Eglises protestantes. L’esprit Vatican II Sur de nombreux sujets très sensibles, à commencer par l’ordination de femmes prêtres et évêques, en passant par le mariage homosexuel et le divorce, les vues de l’Eglise catholique et des Eglises protestantes sont irréconciliables, ce qui ne facilite pas le dialogue quotidien entre chrétiens dans des pays où ces Eglises coexistent. Les protestants accusent les catholiques d’être rétrogrades et ces derniers accusent les protestants de brader les conceptions chrétiennes sur le mariage et la vie pour se mettre à la mode du temps. Devant Antje Jackelen, François a souligné que l’heure n’est plus au mépris réciproque: les fidèles catholiques et protestants « ne doivent plus être perçus comme adversaires ou comme concurrents, mais reconnus pour ce qu’ils sont: frères et sœurs », et doivent travailler ensemble, notamment en faveur de leurs « frères chrétiens persécutés » dans le monde. François a souligné les progrès accomplis depuis le Concile Vatican II (1962/65), notamment la publication récente d’un document commun « Du conflit à la communion: la commémoration commune luthéro-catholique de la Réforme en 2017 ». La décision, prise l’an dernier, de commémorer en commun la Réforme de Luther, cinq siècles après que le moine allemand eut décidé de publier ses 95 thèses critiquant les indulgences au Vatican, a été le résultat d’un long travail né de l’esprit réformateur du Concile Vatican II. La rupture entre Luther et le pape avait été suivie d’immenses massacres dans toute l’Europe, durant les guerres de religion. Jusqu’à Vatican II, devaient dominer ensuite les attitudes de mépris et de rejet entre les chrétiens des deux confessions. 20minutes.fr AMO à Medouneu pour reposer en paix Libreville, Gabon (Gabonactu.com) – La dépouille de l’opposant radical, André Mba Obame décédé à 57 ans le 12 avril dernier à Yaoundé au Cameroun est arrivée samedi soir à Medouneu sa ville natale où il reposera en paix après une vie bien remplie. L’arrivée dans la ville de Medouneu met fin à une odyssée étonnante. Le programme officiel annoncé un départ de Libreville pour Oyem le mercredi dernier. Ce jour-là, elle n’a pu être embarquée dans l’avion à cause d’une rumeur annonçant la présence à l’aéroport du chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, du ministre de l’Intérieur, Guy Bertrand Mapangou et de l’Archevêque de Libreville, Monseigneur Basil Mvé Engone qui auraient souhaité s’incliner devant la dépouille. La foule, très nombreuse, avait protesté et décidé de ramener le cercueil au siège de l’Union nationale, le parti que Mba Obame a co-fondé avec d’autres leaders dont Zacharie Myboto. Le lendemain, la seconde tentative de rallier Oyem a une fois de plus échouée parce que les militants ont exigé d’accompagné leur leader décédé jusqu’aux pieds de l’avion. Les autorités aéroportuaires se sont opposées pour des raisons de sécurité. Craignant que la dépouille soit manipulée, pour un rite de franc-maçon, selon la rumeur, les fanatiques ont à nouveau refusé de laisser entrer le cercueil sans eux. Ils ont à nouveau décidé de rebourser chemin pour une nouvelle veillée au siège du parti. Finalement vendredi, jour de fête des travailleurs a été le meilleur. Les honteuses contradictions ont fait place à la concession et André Mba Obame a pu quitter Libreville pour Oyem où attendait depuis de longs jours une foule très nombreuse. Des témoins sur place ont parlé du « peuple du Woleu Ntem » qui s’est levé comme un seul homme pour rendre un dernier hommage à ce digne fils de la contrée qui à 27 ans s’est fait remarquer dans l’opposition au sein du Mouvement de redressement national (MORENA), ce parti créé dans la clandestinité pour défier le Parti démocratique gabonais (PDG) à l’époque parti unique dans le pays. Les obsèques à Oyem n’étaient qu’une suite du film de la séparation du Secrétaire exécutif de l’Union nationale avec les siens. Sur le chemin de Medouneu, le cortège funèbre a été contraint de marquer un long arrêt à Mitzic pour une messe avec les populations locales qui l’ont aussi aimé que celles d’Oyem. C’est dans la nuit qu’AMO est arrivé dans son village natal. Le programme prévoit une dernière veillée, une messe au réveil et une inhumation dans la stricte intimité familiale en début d’aprèsmidi. Martin Safou Egypte: 14 morts dans deux attaques de l'EI contre l'armée et la police Libreville, Gabon (Gabonactu.com) – Quatorze personnes ont été tuées dimanche dans la péninsule du Sinaï dans deux attaques contre l’armée et la police revendiquées par la branche locale du groupe Etat islamique, responsable de nombreux attentats contre les forces de sécurité dans cette région de l’est de l’Egypte. Selon des responsables de la sécurité, un officier et cinq autres militaires ont péri dans l’explosion dans la matinée d’une bombe placée en bord de route, au passage de leur véhicule blindé près de la localité de Cheikh Zouwaid, dans le Nord-Sinaï. Le Nord-Sinaï est un fief du groupe Ansar Beït al-Maqdess (les Partisans de Jérusalem en arabe), considéré comme la branche égyptienne de l’EI depuis qu’il a fait allégeance à l?organisation jihadiste et s’est rebaptisé « Province du Sinaï ». Sur un compte qui lui est attribué sur Twitter, « Province du Sinaï » a revendiqué l’attaque « contre un véhicule des soldats mécréants ». Sur sa page Facebook, l’armée a confirmé l’attentat et la mort de six soldats: « leur véhicule a été visé par un engin explosif posé par les terroristes extrémistes, qui a tué un officier, un sergent et quatre soldats et blessé deux autres soldats ». Quelques heures plus tard, toujours au Nord-Sinaï, huit personnes dont plusieurs policiers ont été tuées et 44 blessées dans un attentat suicide au camion piégé, selon un nouveau bilan du ministère de la Santé. Le ministère de l’Intérieur a indiqué que les forces de sécurité avaient ouvert le feu sur le véhicule qui fonçait sur le poste de police à El-Arich, chef-lieu du Nord-Sinaï. « Les forces de sécurité ont ouvert le feu sur le véhicule, qui a explosé ». Selon un officier de police, le camion était chargé d’explosifs, recouverts de paille. La façade du poste de police, ainsi que des immeubles alentours, ont été endommagés par la déflagration. « Un repaire de la police mécréante a été visé à El-Arich par une voiture piégée conduite par un martyr », a affirmé Ansar Beït al-Maqdess en revendiquant l’attaque. – Vaste campagne militaire – Dans un incident séparé, un capitaine de l’armée et deux soldats ont été blessés dans une attaque à un point de contrôle proche de la ville de Rafah, frontalière de la bande de Gaza. Ansar Beït al-Maqdess a affirmé qu’un sniper du groupe avait mené l’attaque. Ces attaques surviennent au lendemain de la confirmation par un tribunal égyptien des peines de morts prononcées à l’encontre du numéro un des Frères musulmans, Mohamed Badie, et de 13 autres personnes accusées de violences. Ansar Beït al-Maqdess a revendiqué de nombreuses attaques contre les forces de l’ordre dans le Nord-Sinaï, frontalier d’Israël et du territoire palestinien de la bande de Gaza. Le 2 avril, une attaque a coûté la vie à 15 soldats et deux civils. Outre sa volonté d’étendre au Sinaï le « califat » de l’EI, ces jihadistes assurent agir en représailles à la sanglante répression qui s’est abattue sur les partisans du président islamiste élu Mohamed Morsi depuis sa destitution par l’armée le 3 juillet 2013. Une vaste campagne militaire a été lancée contre les groupes extrémistes dans le Sinaï il y a près de deux ans, mais elle n’a pas réussi à mettre fin aux attentats. Selon les autorités, plus de 500 policiers et soldats ont été tués dans ces attaques, essentiellement dans le NordSinaï, depuis 2013. Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a publié dimanche un décret prévoyant une peine de prison à vie pour les personnes reconnues coupables d’avoir creusé ou utilisé des tunnels aux frontières du pays, en particulier vers la bande de Gaza. L?Égypte soupçonne des activistes palestiniens de prêter main forte aux groupes armés égyptiens. Outre le Sinaï, l’Egypte est menacée par l’EI à sa frontière ouest, avec la progression du groupe en Libye. Fin mars, lors d’un sommet en Egypte, la Ligue arabe a annoncé la création prochaine d’une force conjointe pour combattre « les groupes terroristes » dans la région, comme le réclamait le président Sissi. Source : AFP Photo : DR Il y a 9 ans disparaissait Georges Rawiri N°2 du régime d’Omar Bongo Georges Rawiri dans sa splendeur @ DR Libreville, Gabon (Gabonactu.com) – Le 9 avril rappelle au Gabon la brutale disparition, à 74 ans, de Georges Rawiri qui codirigeait le Gabon avec son compagnon de lutte Omar Bongo Ondimba lui-même décédé en Espagne le 8 juin 2009 après 41 ans au pouvoir. Ce soir du 9 avril 2006, c’est Omar Bongo Ondimba en personne qui était apparu sur les écrans de télévision pour annoncer le décès de « ce digne fils » en France alors qu’il était en route pour Bruxelles en Belgique où il partait représenter le Gabon à une réunion de l’Assemblée parlementaire des pays francophones. Sa disparition avait profondément attristé Omar Bongo Ondimba et tout le gotha politique gabonais qui ne s’attendait pas à la chute de ce grand baobab de la politique gabonaise et des relations intimes entre la France et le Gabon. Né le 10 mars 1932 à Lambaréné au centre du Gabon, Georges Rawiri était en réalité le véritable vice-président de la République du Gabon en dépit de l’existence à l’époque d’un vice-président constitutionnel. Le 10 mars 1997, Omar Bongo Ondimba lui avait confié la présidence du Sénat (suite à une élection cautionnée par lui) qu’il venait de créer. La constitution de la République faisait de lui le potentiel successeur du chef de l’Etat en cas de vacances de pouvoir. Il est décédé alors qu’il était à son 2ème mandat entamé en mars 2003. L’homme était très influent. Homme des réseaux, il était le représentant des intérêts français au Gabon et avait acquis le petit nom de « Djo le Rapide » par sa promptitude et son efficacité dans le traitement des dossiers même les plus délicats. Plusieurs fois ministres, il a assumé des très nombreuses fonctions durant sa très longue carrière administrative et politique. L’ancien doyen politique de la province du Moyen Ogooué repose à Lambaréné dans un caveau construit pas ses soins de son vivant, un fait rare pour ses contemporains. Une messe d’actions de grâce est prévue ce 9 avril en l’église de Baraka Mission de Libreville où lui-même aimait aller se recueillir. Yves Laurent GOMA Le Gabon veut un petit prêt de 30 milliards de FCFA dans la CEMAC Pont chinois construit sur la Mvoung sur le tronçon Ovan – Makokou @ gabonactu.com Libreville, Gabon (Gabonactu.com) – Le Gabon empruntera quelques 30 milliards de FCFA en 2015 sur le marché de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) pour construire des routes et surtout une usine d’eau à Ntoum. La première phase de cet emprunt par émission des titres du Trésor a été lancée ce mardi par le ministère du Budget, selon un communiqué officiel. Les souscripteurs sont des institutionnels, des entreprises privées et même des particuliers établis dans les six pays membres de la CEMAC (le Cameroun, la Centrafrique, le Congo, le Gabon, la Guinée Equatoriale et le Tchad). Le communiqué ne précise pas le taux d’intérêt ni la durée du remboursement. Trois à quatre autres phases se succéderont jusqu’en décembre 2015, selon le communiqué signé du ministre du Budget, Christian Magnagna. Martin Safou