SouvenirMexique
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Souvenir du voyage au Mexique à la découverte des civilisations précolombiennes Par Elisabeth De Groote1 Le 5 mars, de tous les coins de la Belgique ( e.a. de Froidchapelle, Waha, Wevelgem, Wetteren…) les 37 participants au voyage au Mexique ont bravé le froid pour rejoindre l’aéroport de Zaventem où ils étaient attendus pour 8h par Jos et Linda pour le grand voyage vers Mexico via Londres. Leur ponctualité ne fut pas récompensée…, quelques flocons tombant sur l’aéroport bruxellois, le décollage fut postposé de 10 à 11h suite aux opérations de dégivrage de l’avion… Heureusement, ce retard n’eut guère de conséquence, le temps d’attente prévu à Londres fut judicieusement mis à profit pour rejoindre sans tarder le vol pour Mexico où nous avons atterri peu après 18 h, heure locale, soit 1 h du matin heure belge…Notre guide local Miguel nous attendait frais et dispos ce qui n’était pas notre cas, la plupart d’entre nous étant en route depuis près de 24 h. N’empêche, nous avons vaillamment récupéré nos bagages sauf 2 qui s’étaient égarés (nos amis les verront réapparaître avec soulagement 2 jours plus tard) et affronté le trafic de la mégalopole mexicaine pour rejoindre l’hôtel où nous allions loger 4 nuits ; ce premier soir, point question de goûter les cocktails locaux, notre seul souhait était de rejoindre notre chambre pour profiter d’un repos bienvenu …. Le mardi matin, nous nous sommes mis sans tarder à la découverte du Mexique. Que vous dire de ce pays plein de contrastes mais si fascinant ? Notre guide s’est chargé de nous instruire avec brio et passion de tous les aspects de son pays, son histoire passée et récente où la révolution n’est jamais très loin, de la richesse de ses civilisations disparues, de son organisation politique et sociale avec ses forces et faiblesses… Malgré l’intérêt de ses nombreuses explications, il n’est pas possible de tout vous dévoiler en quelques pages non pas que le contenu soit sujet à censure mais plutôt trop dense. Dans cet article, je me limiterai donc volontairement à vous relater mes souvenirs de voyage. Je vous invite à partager vos souvenirs en postant vos commentaires sur le site ; je ne manquerai pas de les intégrer dans le rapport final qui sera publié dans l’Info de juin. Situons d’abord brièvement notre groupe et le circuit. Comme dit ci-avant, le groupe était composé de 37 personnes dont Jos et Linda, les accompagnateurs de l’ARRBNB qui mirent tout en œuvre pour que ce voyage soit un succès; Jos déliant régulièrement les cordons de la bourse pour nous abreuver non pas d’alcools comme dans certains pays que je ne citerai pas mais de softs (souvenons-nous des terribles limonades…), de bières locales blondes, ambrées ou brunes (le Mexique étant un grand producteur de bières) voire même lors de certaines occasions de vin rouge. Ils étaient assistés par Miguel, le guide local à l’élocution parfaite en français et à la connaissance encyclopédique du pays et par Jaime, son collègue et acolyte chargé de nous convoyer en toute sécurité par monts et par vaux sur des routes étroites et sinueuses. 1 Grand merci à Linda qui a eu la gentillesse de relire, de compléter et de traduire mon texte et à Denise de l’agrémenter de belles photos. Comme le pays visité, le groupe était très diversifié : des jeunes, des moins jeunes, des actifs, des retraités issus de la BNB, de l’ancienne CBFA, des wallons, des bruxellois et des flamands, la plupart habitué des grands voyages (l’Australie, la Chine, le Vietnam, l’Ouest américain et j’en passe et des meilleurs) mais tous unis dans un même respect des personnes et de la ponctualité, ce qui a grandement contribué au succès du voyage. En ce qui concerne le circuit, il nous a permis de découvrir une partie du centre et l’est du Mexique. Notons que le Mexique est un énorme pays, sa superficie est supérieure à 60 fois celle de la Belgique ; quant à sa population, elle dépasse actuellement les 112 millions de personnes (dont dix millions d’Indiens divisés en 56 groupes) compte non tenu des Mexicains partis chercher des conditions de vie meilleures principalement aux Etats Unis, parfois au péril de leur vie… Contrairement aux clichés largement répandus chez nous, les Mexicains ne sont pas oisifs, se prélassant à l’ombre des cactus géants, aux sons de musiques endiablées en sirotant le Mezcal et la Tequila…Non, notre guide Miguel s’est bien chargé de nous détromper… Au Mexique, rien n’est donné et seul le travail permet d’assurer sa subsistance ; à peine plus de la moitié de la population profitant d’une couverture sociale laquelle n’étant toutefois pas aussi étendue que la nôtre. Dans ces conditions, il n’est pas rare de rencontrer des enfants et des personnes âgées se livrant à de petits boulots. Notre circuit nous a conduit de Mexico City à Chichen-Itza, à la pointe est du Yucatan, soit un périple en bus de plus de 1500 km ; dans ce pays, les distances ne se calculent toutefois pas en km mais en temps en fonction de la topographie de la région traversée, de l’état des routes et du nombre des casse-vitesse, ces derniers étant dans certaines régions placés en contrevenant aux dispositions légales par les populations indigènes soucieuses de préserver leur mode de vie …Heureusement, notre chauffeur était un véritable pro : face aux dangers, il poursuivait sa route imperturbablement, sans jamais se départir de son calme ; l’énervement et la fatigue ne semblaient pas l’affecter… Merci Jaime de nous avoir conduits à bon port. Notre circuit nous a permis de découvrir la plupart des sites culturels et naturels mexicains inscrits sur la liste du Patrimoine mondial de l’Unesco2. Les sites cités ci-après dans l’ordre chronologique de leur visite serviront de fil conducteur à mon récit. 2 Pour plus de détail, nous vous renvoyons au programme du voyage publié sur le site www.afternbb.be le 03.11.2011. De plus, vous pouvez vous référer aux guides de voyage du Routard, au Michelin, à Lonely Planet. Une documentation non négligeable est accessible aisément et gratuitement sur Internet. 2 Le centre historique de Mexico City Mexico City compte plus de 23 millions d’habitants, c’est une des villes les plus grandes au monde ce qui engendre inévitablement des difficultés, notamment en matière de mobilité (nous serons parfois pris dans de terribles embouteillages pour rejoindre notre hôtel ce qui nous permettra d’admirer amplement certains monuments) et de sécurité. Notre première matinée à Mexico City fut consacrée à la visite du musée national d’anthropologie dont la section d’art précolombien contient des collections extraordinaires. Ce fut pour nous une superbe introduction aux civilisations préhispaniques ; nous entrions dans le monde magique de Theotihuacan, des Toltèques, des Aztèques, des Mayas …. tout un programme qu’il nous serait donné d’approfondir tout au cours du voyage. L’itinéraire de l’hôtel au musée, nous avait fait passé par la Paseo de la Reforma, majestueuse artère tracée sur les ordres de Maximilien d’Autriche époux de Charlotte de Belgique, sœur de Léopold II – qui fut empereur du Mexique de 1864 à 1867, année de son exécution et du rétablissement de la république par Benito Juarès, grande figure de la politique mexicaine. L’après-midi, nous avons découvert le centre historique où nous avons été séduits par le Zocalo ou Plaza Mayor entourée de deux édifices baroques : la cathédrale et le Palais national où nous devions assister à une des premières leçons d’histoire de notre guide Miguel en découvrant les peintures murales de Diego Riviera, lesquelles retracent toute l’histoire mexicaine. Nous n’avons bien entendu pas manqué de nous arrêter au Templo Mayor qui fut le sanctuaire le plus important de la cité aztèque. Le jour suivant, en nous rendant à Tula, cité toltèque où nous avons pu admirer les Atlantes - colonnes de 4m60 de hauteur représentant des guerriers -, nous avons fait un arrêt à la « Place des 3 cultures », endroit émouvant où cohabitent aujourd’hui les trois grandes périodes de l’histoire mexicaine dont témoignent les vestiges précolombiens, les anciens bâtiments religieux de l’époque des vice-rois et les édifices modernes d’un complexe résidentiel actuel. En 1968, cette place fut le théâtre d’une manifestation tragique contre l’organisation des jeux olympiques au Mexique, ceux-ci étant censés monopoliser des sommes colossales au détriment des besoins de base de la population. Cette manifestation fut durement réprimée par les forces de l’ordre ; le souvenir de cette répression reste très vivant sur la place où on trouve des représentations des victimes (photos, peintures sur les vitres des immeubles avoisinants). Nous nous sommes ensuite dirigés vers le sanctuaire de Notre Dame de Guadalupe, patronne des Amériques. La tradition veut que la vierge de Guadalupe soit apparue sur le sommet de la colline de Tepeyac, à 3 reprises, en 1531 au début de la colonisation espagnole. Chaque année, le 12 décembre, des milliers de fidèles se rassemblent sur le site pour honorer leur sainte patronne et se recueillir devant sa représentation conservée dans la nouvelle basilique. Pour faire face à l’affluence, le sens pragmatique des Mexicains a été mis à contribution et une solution ingénieuse a été trouvée : un tapis roulant permet la circulation constante des pèlerins devant la 3 représentation de la vierge en tilma . 3 Tilma : vêtement en fibre d’agave qui aurait été porté par Juan Diego à qui la Vierge serait apparue et sur lequel elle aurait reproduit son image pour attester de son apparition. 3 La zone de monuments historiques de Xochialco On y mit à jour un des centres cérémoniels les plus intéressants du Mexique. Nous n’avons pas manqué d’y admirer le temple des serpents à plumes. Au retour de cette visite, nous avons fait un détour par Taxco, petite ville située à une centaine de km de Mexico City qui a su conserver son âme d’antan avec ses ruelles escarpées, ses petites places et ses églises et demeures d’antan. Nous y avons visité l’église Santa Prisca, véritable joyau de l’architecture baroque Mexicaine et un atelier d’orfèvrerie. A noter que de nos jours dans cette ville, près de 1500 artisans travaillent encore l’argent. La cité précolombienne de Theotihuacan De cette cité, nous garderons le souvenir du temple du soleil et du temple de la lune, importantes constructions pyramidales que la plupart d’entre nous ont escaladées courageusement ; l’accès au sommet de la pyramide du soleil d’où la vue sur le site était unique comportait pas moins de 245 marches, celui à la pyramide de la lune n’en comptait guère moins et les plus intrépides furent photographiés au sommet par un touriste Anversois… La cité précolombienne d’El Tajin Depuis Papantla dont nous ne garderons pas un souvenir inoubliable (ville de passage à l’infrastructure hôtelière assez pauvre et où des travaux ont forcé notre chauffeur à chercher péniblement une route alternative), le beau temps nous a quittés si bien que c’est sous un léger crachin que nous découvrons ce site (avec sa pyramide à niches) ce qui renforce l’atmosphère particulière de l’endroit. Nous y faisons connaissance pour la première fois de la forêt tropicale ; comme dans la plupart des sites visités, le site n’a pas été complètement dégagé et la nature s’est empressée d’envahir à nouveau l’endroit…. Les autorités mexicaines sont confrontées à des choix cornéliens entre archéologie et environnement ; comment assurer un juste équilibre entre ces 2 préoccupations majeures ? A la sortie du site, Jos nous a offert un spectacle de danse des voltigeurs. C’est à regret que nous quittons ce site en direction de Jalapa, capitale de l’État de Veracruz où nous séjournerons à l’hôtel Fiesta Inn Xalapa, un des plus confortables de notre séjour. Nous y visiterons le musée d’anthropologie ; ce musée de toute beauté inauguré en 1986 est divisé en 3 sections correspondant aux grandes civilisations olmèque, totonaque et huaxtèque qui ont occupé l’État respectivement au Sud, au Centre et au Nord à différentes périodes couvrant les 30 siècles& qui ont précédé la conquête espagnole. 4 Le centre historique d’Oaxaca Après la traversée fantastique d’une des plus belles régions du Mexique magnifiquement entourées de hautes montagnes, nous sommes arrivés en fin de journée dans cette charmante ville provinciale dont la vallée est presqu’exclusivement peuplée d’Indiens zapotèques. Ceux qui le souhaitaient ont pu terminer la journée avec un spectacle folklorique de danse et de musique qui leur a beaucoup plu. Le jour suivant, après la visite du site de Monte Alban dont question ci-après, ce fut la visite du centre d’Oaxaca ; nous avons parcouru le marché local, visité une chocolaterie où les plus gourmands ont pu acheter du chocolat& (le cacao étant un produit national d’’exportation) et dégusté une succulente boisson chocolatée bien rafraîchissante. Le reste de la journée était libre, soit retour à l’hôtel en bus où ceux qui le souhaitaient pouvaient profiter de la piscine ou flânerie dans les rues d’Oaxaca ; certains se souviendront avec humour d’un retour en taxi à l’hôtel… Pas moins de 5 personnes se sont engouffrées dans une petite voiture taxi pour parcourir le trajet du retour ; pas sûr que c’était conforme aux règlements locaux…. Le site archéologique de Monte Alban Ce site construit par les zapotèques nous interpelle et nous fascine. Comment ont-ils pu construire un site d’une telle importance situé au sommet d’une montagne sans l’aide d’animaux domestiques ni d’outils ? Face aux réalisations précolombiennes, nos esprits cartésiens restent en admiration…. Nous visiterons ensuite Mitla où les mixtèques installèrent leur site cérémoniel puis repartirons vers Oaxaca. Nous partirons ensuite vers Palenque que nous atteindrons 2 jours plus tard après avoir traversé le Chiapas, une des régions les plus rudes du Mexique avec ses montagnes, ses ravins et son impénétrable forêt vierge et effectué plusieurs arrêts, notamment pour nous livrer à une découverte en bateau du Canyon Del Sumidero, un des plus impressionnants canyons du Mexique et visiter la rieuse cité de San Cristobal de Las Casas. La visite de cette charmante cité au parfum colonial où les Indiens des villages avoisinants viennent vendre leur maigre production sur le marché restera certainement gravée dans la mémoire de tous. Miguel n’a pas manqué de nous éclairer sur le mouvement zappatiste et sur la problématique des populations indigènes e.a. sur le travail des enfants, sur les efforts déployés par les autorités mexicaines en vue d’intégrer ces populations souvent réticentes au mode de vie moderne ; nous avons bien pu nous en rendre compte en visitant le petit village Tzotil de San Juan Chamula situé à une dizaine de km de San Cristobal. Là vivent encore des descendants des Mayas avec leur mode de vie très particulier, leur culture et leurs propres croyances religieuses. Impossible de ne pas être touché par la foi des fidèles chargés d’offrandes (poulets, fleurs, cierge, boissons gazeuses…) prosternés à même le sol dans la petite église du village. S’ils sont restés fidèles à leurs traditions ancestrales, ils n’ont toutefois pas rejeté tous les attributs de la civilisation moderne ainsi coca et GSM ont été intégrés dans leur mode de vie…. 5 La cité précolombienne de Palenque Ce site, un des plus extraordinaires sites mayas, est situé en pleine forêt tropicale. A ce jour, seule une vingtaine de bâtiments ont été reconquis sur la jungle. Nous découvrons le temple des inscriptions, grandiose pyramide à huit corps superposés élevés à la fin du 7ème siècle. En 1952, l’archéologue mexicain Alberto Ruz Lhullier y découvrit une crypte avec au centre de la chambre funéraire un sarcophage monolithique de plus de 13 tonnes, sépulture du roi Pakal dont nous avions déjà pu admirer une reproduction au musée de l’Anthropologie de Mexico. En se promenant dans ce site de toute beauté, Miguel nous parle non seulement des connaissances astronomiques, mathématiques et médicinales des Mayas mais également des petits « cadeaux » qu’ils ont donnés au monde occidental parmi lesquels la pipe, le hamac et les chicklets ; quelle surprise, j’avais toujours cru qu’il s’agissait de la version wallonne du chewing gum et bien non, « chicket » dérive de « chicle » qui est le nom maya de l’arbre dont on extrait la substance de base du chewing gum ….En route vers Campêche… La ville fortifiée de Campêche C’est en fin de journée que nous y sommes arrivés. Nous avons été logés dans un superbe hôtel en bordure du Golfe du Mexique. A nous, les cocotiers, les plages quasi désertes de sable fin et la mer qui nous invitait à nous baigner…Malheureusement le temps était compté et le programme n’était pas terminé. Dommage car je suis certaine de ne pas avoir été la seule à vouloir poser ici mes bagages pour quelques jours même si nos amies Eliane et Arlette ont reçu dans leur chambre une visite inattendue…Devinez qui s’était invité…un serpent qu’elles s’empressèrent de déloger mais qui se vengea le lendemain en accablant Arlette de la maladie nationale… La ville précolombienne d’Uxmal Avant d’accéder à Uxmal, nous faisons encore un bref arrêt à Kabah pour y admirer le temple aux colonnes de style Puuc et le magnifique temple aux masques décoré de multiples représentations du dieu de la pluie (Chac). La température ne cesse d’augmenter et nous visitons Uxmal sous un soleil de plomb. Nous y admirons des monuments de grande beauté qui n’ont rien à envier aux monuments de l’antiquité grecque ou romaine. Pensons e.a. au palais du gouverneur, à la maison des tortues et au quadrilatère des nonnes. C’est dans ce site unique que nous assisterons à la tombée du jour à un spectacle son et lumière qui devait en principe être suivi d’une représentation du jeu de balle. Nous attendions cette représentation avec impatience tant on nous avait parlé de ce rite cérémoniel commun à toutes les civilisations précolombiennes, notre déception vu à la hauteur de nos attentes, nous n’avons eu droit qu’à une représentation folklorique sans rapport avec le divin jeu de balle donnée par une troupe débutante 6 Le site archéologique de Chichen Itza Nous voici arrivés au terme de notre périple et nous découvrons la ville où les cultures maya et toltèque se sont mélangées pour atteindre leur ultime apogée. Nonobstant la beauté du site, cette visite ne répondit pas à mes attentes, était-ce la chaleur, la foule des promeneurs (dimanche, jour de sortie de nombreux mexicains),&& la présence de nombreux camelots ou simplement l’influence de la fin d’un beau voyage et la perspective d’un long retour vers nos contrées brumeuses ??? Malgré mon souhait de rester brève, je constate que j’ai quand même rempli beaucoup de pages, beaucoup trop diront certains et pourtant il me reste tant de choses dont j’aurais aimé pouvoir vous entretenir comme de l’ingéniosité des mexicains et de leur gastronomie mais j’en resterai là pour cette fois-ci. N’hésitez pas à compléter ce récit en ajoutant sur le site vos commentaires et vos souvenirs personnels. Merci à tous les participants grâce à qui ce voyage fut couronné de succès et au plaisir de vous revoir lors de la projection du reportage. Celle-ci ne pourra toutefois pas avoir lieu avant l’automne vu l’emploi du temps chargé de nos reporters qui préparent déjà leur prochain long voyage et l’importance du travail préparatoire à effectuer pour réaliser le reportage, nos fidèles reporters n’ayant pas ménagé leur peine pour photographier amplement les lieux visités . 7