A Rehon, il y avait bien un grand félin - Infos

Transcription

A Rehon, il y avait bien un grand félin - Infos
A Rehon, il y avait bien un grand félin
Cette empreinte de l’animal, prise au lieudit Le Champ de tir, à Rehon, est formellement identifiée comme étant celle
d’un grand félin, de type jaguar.
La liste des communes visitées par la panthère noire du Pays-Haut de la Meurthe-et-Moselle s’est
considérablement allongée. Après Rehon, Chénières, Cutry, Fresnois-la-Montagne, le félin a été
aperçu en début de semaine à Hussigny-Godbrange et le 1er septembre à Petit-Failly et Grand-Failly.
Les témoignages ont été recueillis par la gendarmerie. Puis un chef de brigade de l’Office national
de la chasse et de la faune sauvage, basé à Lunéville, s’est rendu chez les particuliers ayant
témoigné. C’est lui qui centralise tous les éléments nouveaux. Pour ce fonctionnaire, la conclusion
est sans appel :
« Le 24 août dernier, date de sa première apparition, il y avait bien quelque chose de véridique à
Rehon. Nous sommes en présence d’un grand félin, de type jaguar noir. » Pour cerner les habitudes
de l’animal et le capturer, bien qu’il soit très discret et couvre un large périmètre, Jacky Hautier, le
sous-préfet de Briey, entend bien prendre toutes les assurances. Hier, en mairie de Rehon, tous les
maires des communes « visitées » étaient présents. A la même table, des représentants de la
gendarmerie, de la police, de l’ONF, de l’Office national de la chasse, et des chasseurs et piégeurs
de tous poils.
« Nous avons interrogé tous les cirques, tous les zoos de la Grande Région y compris à l’étranger,
résumait M. Hautier. Il n’y a pas eu de disparition de félin. Notre conclusion, c’est que cet animal,
formellement identifié par ses empreintes, appartient à un particulier. De toute évidence, ce félin
n’est pas agressif. Nous n’avons retrouvé aucun animal blessé, attaqué ou même dévoré. Nous
poursuivons le piégeage avec un appât dans une cage et nous ferons tout pour le prendre vivant. »
L’animal, qui peut parcourir plusieurs dizaines de kilomètres la nuit, survit avec deux kilogrammes
http://www.infos-paranormal.net/
de nourriture au quotidien. Mais le mystérieux animal peut tout aussi bien s’établir aux trois
frontières et en Meuse. Dans ce cas, l’attente de sa capture risque d’être plus longue que prévu.
Source : Le Républicain Lorrain
http://www.infos-paranormal.net/