Journée du Rire " le 14 juin, à Luna-ParK
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Journée du Rire " le 14 juin, à Luna-ParK
Année 5e Numéro 239 — 0. centimes RÉDACTION JABOUNE, M. Rédacteur 14, chef en Téléphone Entre la et le ciel avec quatre moteurs : Après le "Bouquet" de France du tir à l'arc Marseille-Alger... deux cents à l'heure envoyé spécial, Jean Routhier, a été le premier passager du service régulier d'hy dravions transméditerranéens. tirent Notre f) Auparavant, elle ne servait qu'au transport du courrier et du fret. Aujourd'hui, chacun de nous peut l'utiliser. passagers. Peut-être ne souvenez-vous vous de cette ligne ? Ils fu¬ Ne s'agissait-iil pas, en effet, de faire un bond de 800 kilomè¬ tres au-dessus des flots, et les éléments déchaînés rendaient souvent l'exploit pas des débuts rent pénibles. bien difficile. Demandez donc aux ma¬ rins si la Méditerranée est toujours calme et débonnaire ? Mais, ment grâce l'admirable à dévoue¬ plutôt à l'héroïsme ou — du — personnel navigant, la Grande Bleue est définitivement vaincue, comme la Manche. Benjamin n'a voulu attendre effec¬ tuer le voyage. Grâce à une autorisa¬ tion spéciale accordée par le ministre de l'Air, nous avons pu participer à pas l'inauguration de la ligne pour répétition générale », sur le nou¬ hydravion quadrimoteur LioréOlivier, à bord duquel onze passagers pourront désormais se rendre réguliè¬ une « vel de la plus grande ville de la Provence à la plus grande ville de rement l'Algérie. le benjamins, .chers jeu un Le « Bouquet décoré faible, la ,e t guirlandes d'inscriptions de fl a plus mer qu'un lac et si, par hasard, notre hydravion devait se poser, nous n'aurions qu'à attendre tranquille¬ ment les secours qui ne tarderaient certainement pas, grâce aux appels que lancerait immédiatement rçotre radiotélégraphiste. croisons nous c'est des voilier avec quelques hommes d'équipage seule¬ ment ; tous se réunissent pour échan¬ ger des signes d'amitié. avec nous Flus loin, c'est un grand paquebot qui rapatrie en Afrique plusieurs cen¬ taines de Sénégalais. Givon descend à cinquante mètres au-dessus de l'eau ici, un et décrit deux cercles autour du na¬ vire, dont le commandant fait action¬ la sirène pour nous ner Sur sage. le saluer au pas¬ passagers en les pont, chéchia lèvent les bras pour nous souhaiter bon voyage. Deux heures après le départ de Marseille, de rochers où bienvenue, n q u é d'un très versé à dans le tir l'arc. Nous arriami — bien, me dit-il ; c'est compagnies d'arc vons \psp LSt> ' i-21, l'heure faisant, de où les défiler. vont Nous s'avancer sur la route nationale, protégé par des gendarmes pacifiques, un grou¬ pe de jeunes filles en blanc portant sur voyons de sorte une brancard semblable à celle coupe que mon — c'est l'objet d'art compagnon, le sous gnies d'arc se disputent chaque an¬ nous sommes attendus déjeu¬ pour et ner, attarder nous un pour peu le — laisse ici, nous vous c'est Et de le nouveau dente, amarre d'Alger. Notre aviation commerciale dé¬ ainsi ses progrès constants. le légendaire Roland Garros, montre Ah ! si Premier vainqueur de la Méditerranée, était encore de ce monde, avec quelle légitime fijrté ne considérerait-il '« chemin parcouru depuis raire tentative ! pas témé¬ sa après pour « Voici Grâce sormais et à l'hydravion, Alger est dé¬ portes de la métropole, aux Méditerranée. voyage Par dure le bateau, encore vingt- quatre heures. cinq autres Jean ROUTHIER. un de as la nous emme- passagers : le Pilote Antoine de Saint-Exupéry, notre confrère André Reichel, MM. Jean Chitry et de Arozarena de la Compa¬ gnie Air-France, et. le cinéaste bien LES PETITS SALES ! a'l°os faire une Joyeusement, magnifique nous Le manier est un jeu d'enfant, tirer est déjà plus difficile, quant à viser bien,.. Comme la Coupe de France de — football ! Oui, la société qui le remporte — une année doit le remettre l'année suivante. Et ces jeunes filles appartiennent au vil¬ lage qui détient la coupe pour 1933. Elles vont tla faire bénir par l'archevêque et cet après-midi la coupe sera de nouveau attribuée à la compagnie dont les archers sommeil. Giposte de pilo¬ von prend place à son te, le mécanicien Chartoire jette un Wnier coup d'œil sur ses moteurs et Le beau paquebot alançait mollement , ence sa r°fond course. dans Il les de l'air sur l'eau creuse flots ; qui un C0lue, se tom- . eve son moment et majestueusement véritable élément : où que sur entre gracieux ce jeu sur avant la plaque de tôle qui relie la machine tender. au Coup de sifflet me penche. voulez acheter ne sera sur plus ses flèches... tu vois sur et ou soyons Touchet.) justes... les collent bien aux roues. bien. Je vais desserrer. va un le brasier formidable. La pression dépasse 16 kilos et, du coup, la soupape de sûreté fonc¬ tionne et laisse s'échapper un grand jet qui monte en hurlant. par minute à moment en ce successi-. quatre, cinq, six pelletées de charbon dans le foyer. Pendant 30 secondes, j'ai été aveuglé et rôti bateau-mou¬ une chauffeur enfourne le marché, mais, 11 heures 50 Dé¬ exactement... Lentement, le mécanicien tire à lui le régulateur, longue barre de fer qui commande l'admission de la vapeur dans les pistons. part... temps. ces véné¬ André ROLLAND. Parfaitement. — que regardez, il me fait signe que Le (Lire la suite en mars les laisser vivre (( une page pour sur les vitres, les petites bouti¬ du Palais-Royal auraient eu l'air letés ques inhabitées. Cet état de choses ne pou¬ durer... Les petits oiseaux se sont-ils plaints de leur solitude ? je l'ignore ; en tout cas, la galerie du Palais va connaître, à partir du 8 juin, vait pas qu'elle animation une renfermait ne plus depuis longtemps, car c'est là que se tiendront, jusqu'au 17 juin, des fêtes qui précéderont les fameuses grandes fêtes de la Semaine de Paris et qui, en quelque sorte, leur serviront de prélude. J'ai appris aussi que ces fêtes se¬ raient organisées par l'Union des Ar¬ tistes. Sachant que l'Union des Artistes avait à cette occasion constitué une commission et cette commission M. Pizani, l'artiste bien connu, je n'avais plus qu'à aller voir M. Pizani pour être avait que président pour complètement renseignée sur ces pro¬ jets si joyeux et si engageants. Voyons, monsieur, ai-je dit, tout — d'abord à M. Pizani, pourquoi a-t-on choisi cet endroit si peu fréquenté de fêtes ? du Palais endroit pittoresque Paris pour y organiser des Parce que cette galerie — est, avant tout, un charmant et et part, si d'autre que, fréquentée, c'est elle est peu infidélité du Vous sort. doute que le Palais-Royal truit en 1634 de Richelieu. sur par une savez sans été cons¬ a l'ordre du cardinal VIOLETTE-JEAN. 7.) (Lire la suite page 6.) BENJAMIN " ET LES GRANDES FÎTES DE PARIS « fini. Dans une de dernières séances, les conseillers ont Notre Journée du Rire " le 14 juin, à Luna-ParK décidé de supprimer dé¬ siens. Bien qu'ils eussent gardé une clientèle fidèle d'environ trois millions de voya¬ geurs, l'exploitation dés transports flu¬ viaux à Paris était Les bateaux nettement déficitaire. parisiens'ont eu Il faut que vous pourtant, autrefois, leur heure de gloire. J'ai eu l'occasion de vous parler, l'an dernier, des ancêtres des bateaux-mou¬ ches : les canots ou les petits voiliers qui sillonnaient la Seine au temps de La toutes un tireur qui avait une champ voisin... (Suite page 3). Ch. un peu trop vache dans le Vous savez, mins, avec vos ment que en ce vous parents, profiter de offrir... N'oublions chers benja¬ mes effet, l'on prépare fébrile¬ moment une Grande mergue CAHABAS. lui-même : « viennent donc en foule assister grandes fêtes, aux grandes manifestations et aux réjouissan¬ ces qu'on va organiser pour eux, au mois de juin et au mois de aux Projet de transformation yacht-mouche, Fontaine par juillet ! en Souriez et amusezvous !... Voilà donc, Gervy. qui transportaient les voya¬ villages de Passy, d'Auteuil ou ; puis, plus tard, à partir de 1829, les premiers « paquebots » à va¬ peur qui faisaient régulièrement le tra¬ jet de Paris à Saint-Cloud « par nier ». C'est en 1886 qu'avait été fondée la Compagnie générale des Bateaux Pari¬ siens, groupant les différentes compa¬ gnies rivales qui assuraient auparavant et chers benjamins, le mot d'ordre du mo- il ment !... 1 mes geurs aux de Javel (Suite sur la Seine. page 2.) Henry DORAC. , Benjamin, votre journal, sait être grave quand il le faut. Mais puisqu'on nous demande d'apporter notre collabo¬ ration aux réjouissances qui se préparent, nous n'hésitons pas. en que doivent être aussi... de bonne humeur. Après les tragiques événements de février, a-t-il déclaré, il convient de mon¬ trer que Paris, notre chère grande ville, a retrouvé sa physionomie normale. Que les étrangers et que les habitants de nos provinces pas, les benja¬ mins « loyaux, stu{&> dieux et serviables » Quinzaine de Paris. le trafic ne veniez les attractions GRATUITES que nous sommes heureux de anecdotes. le côté sont destinés bu est allé tuer (Dessin de Jacques en employé vérifie vement l'instant, c'est le certain nombre moment, tout à fait Un employé crie d'en bas 511 »... C'est le poids du train : 511.000 kilos. Ce renseignement est utile au mécanicien pour calculer sa vitesse. 511 tonnes, ce n'est pas un train « lourd ». moment... Paris vend les siens I vous se de tête ceux « Si vous voulez acheter un bateau-mouche C'est sabots tout On démarre ? — un freinait de queue. ce queue, Et le quai. Je sur on ceux En « de Deux mots nier, l'air. Marseille que nous coin, duirait si qui à empêcher les flèches égarées d'al¬ ler causer des accidents... L'an der¬ f. aussi dans barbus, retourne et tire sur la cible dont il est parti... Ces panneaux de bois il e temps de jeter un regard sur les uq08re8ard vertl°iantes de l'étang de Berre, autorisation. Car il faut une autorisation tout à fait exceptionnelle et spéciale, que très aimablement la direction du P.L.M. m'a accordée. .Je m'installe de mon mieux dans un es¬ nette et tous les freins du train se bloquent à la fois. De cette façon il ne peut pas y avoir de télescopa¬ ge entre les- wagons, ce qui se pro¬ activité inat¬ se sillon d'énormes jusqu'au mon demande ce locomotive. di¬ d'explication ! dit mon guide. Tu vois ce coquet stand de tir, avec une cible à chaque bout ? Chaque joueur se met au pas de tir, décoche sa flèche, l'envoie dans la cible opposée, la reprend, es jaillissent de chaque côté de I ou une — les avec bedonnants allaient montrer L'arc, ,e radjo Gellade ajuste déjà son casque, l'aide duquel il se tiendra constam¬ communication Postes terrestres. lui montre sur sa l'arc. a en Je Nous encore. L'idée est de M. Gaston Dou- mais très monumentale tendue ment je viens faire le carquois à l'épaule, les représentants des quelque cent compagnies d'arc convoquées pour ce jour. La plupart avaient l'air de braves paysans, pas très jeunes, un Paresseux au en com¬ pétition peu nous Paris-Marseille qui me municipaux SMïs la luxueuse cabine dont les fau¬ teuils profonds inviteraient de plus que C'est l'homme qui a la responsa¬ bilité de conduire un des rapides que Pas les freins. C'est une précau¬ tion obligatoire avant chaque dé¬ part. Voyez, je fais jouer cette ma¬ finitivement le service des Bateaux-Pari¬ moins prome¬ en¬ s'il n'y avait pas eu les venir faire des sa¬ De sorte que, sayons gne, installons nous désirez- cortège, s'a¬ vançaient, portant leurs drapeaux, leurs oriflammes et leurs enseignes, coiffés d'une casquette plus ou est splendide et nous nade. que donc ? l'auront méritée. En effet, derrière ce connu Jean Hudelo. A notre arrivée à Marignane, Givon n°us accueille avec un large sourire : Vous en avez de la chance, nous dit-il; le temps monsieur, là, vous leurs quatre heures suffisent pour traver¬ la É H Non. — année encore. Maintenant c'est la revenir à Marseille. notons-le, le C'est le pilote Givon, l'Kne, qui était chargé de avec : ; Quelques après, nous minutes amerrissons. Notre beau voyage est terminé. Mais nous le recommence¬ rons dans l'autre sens deux jours ser Un beau voyage °er, annonce nous » changé de demeure, a petits oiseaux avaient décidé de et, à nos yeux éblouis, appa¬ raît la magnifique baie d'Alger... terre l'appareil dans le port li¬ cana¬ , seconde partie du parcours. Après 400 nouveaux kilomètres entre ciel et mer, Givon, d'une voix stri¬ Un bruit d'enfer. L'imposante machine bondit dans un 1933, il avait été ques¬ tion de les supprimer, mais les conseil¬ lers municipaux attendris par des rap¬ ports poétiques vantant Je charme des paisibles promenades sur la Seine, décollage, un se traînant dans son émigration une foule de petits commerces, ses voisins coloniaux. Déjà, la pour aux poussière, on pouvait joies de la littérature Or, depuis quelque temps, la petite à Suresnes ? dit-il. pays et étrangers, je fré¬ parvenait après avoir traversé bibliothèque qui, l'an dernier encore, faisaient régulièrement la traversée de Paris, de Maisons-Alfort mais notre pilote est intraitable ; Si vous ne vous dépêchez pas, je rer ; compétence de que. Un bateau-mouche ? Un de rables « omnibus aquatiques » savou¬ en numéro colonies et jardin calme et odorant, et, dans vrer bientôt, il préparé un succulent déjeu¬ nous serions tout disposés à a vous simoun de un Givon amerrit dans le petit port d'El Ciudad à l'aspect mauresque. On nous On y un che, vous n'avez pas perdre. Il y en a encore ner. vous superbe une petite bibliothèque qui dépendait du ministère des colonies et qui était située dans les bâtiments du Palais-Royal. ^ nous apercevons une masse : ce sont les îles Baléares, que un quentais que, née... aussi, Pour parler avec de Bouquet, les compa¬ nom pour j'espère lointains, étranges une oncle Xavier a remportée à la Foire au bétail de Camembert-surGaronne en 1892. Cette coupe-ci, me dit mon rédigé et l'Exposition Colo¬ benjamins, nous vous, je m'en sou¬ chers consacré à la gloire de nos aussi à votre documentation coloniale. dé¬ voici mes souvenez ». barquant à Aubervilliers, tout comme calme Chemin bateaux : l'arc ? de moment avions parfois les Me Bien entendu, nous avons l'impres¬ sion de nous trouver en pleine sécu¬ est Au aussi vieux presque spectacle est beau lorsqu'on ne voit que l'azur, le soleil et la mer ! I-e vent - viens plus rité. pendant ce voyage long et difficile, là vie pénible du chauffeur et du mécanicien sur leur infernal bolide. des fêtes royales dans le jardin et les galeries du Palais Royal parlé ! voici apercevons au loin déjà; et nous entre deux immensités bleues. mes André Rolland partage faire de la publicité, se livrent gracieusement sur les plages de Californie. Mais ce sport, dont les plus célèbres champions furent Diane, les Ama¬ Hercule ; Saint Sébastien, zones, patron des archers, n'est nullement mort dans notre pays. Loin de là ! Il est fort en faveur dans un joli coin d'Ile-de-France, le Valois, qui s'étend entre Compiègne, Senlis et Villers-Cotterets, et dans le dépar¬ tement du Nord où les sociétés d'archers (mot bien plus joli que tireur à l'arc) sont en nombre. L'hydravion glisse sur les flots, avant l'envol. Ah ! On prépare niale, C'est aux Paris-Marseille... à cent à l'heure avait lieu à Auber- que l'humanité, auquel stars de Cinéma, pour se ranime se villiers le ehatapionnat de France du Tir à l'Arc. Quel dom¬ mage que l'on n'en ait plus Avez-vous vu déjà tirer à verte Quand l'ancien Paris "Pacifique " et d'une "Mountain les mieux que Sioux... imanche 12 semaines ! Tous ceux qui enverront en même temps 12 réponses exactes de suite, à ce concours des dessins-devinettes, auront droit à une montre offerte par Benjamin. chèques post. Paris 17 58 - 56 A bord d'une montre une Quelle expression représente ce dessin? : 25 francs; 6 mois, 13 francs an, Com pte cru ?... Les archers de notre pays Qui l eut Depuis le lor juin, la ligne aérienne Marseille-Alger, d'Air-France, est ou¬ ABONNEMENTS 1 Brunei, Étoile 05-50, 9 ligne* Administrateur Gagnez en ADMINISTRATION Paris (17*) Reg. du Com. 259-680 B ET Rue Robert LAJEUNESSE, mer 7 Juin 1934 Nous vous deman¬ dons instamment de répondre en masse, d'habitude, à notre appel, et de par¬ ticiper joyeusement aux « gran¬ des journées de la jeunesse » que comme nous sommes' en train de prépa¬ rer pour vous.. La « Journée du rire » Vous savez que Paris possède, depuis quelques semaines, le plus beau parc d'attractions d'Europe, le plus beau, le plus moderne et le plus amusant : Luna-Park. Grâce à l'amicale obligeance de son brillant directeur et anima¬ teur, c'est donc dans ce cadre merveilleux de Luna-Park que va se dérouler la première de nos manifestations : La journée du rire, le 14 juin, de 13 h. 30 à 19 heures. (r. s. V. P.) . Benjamin Ce jour-là, l'entrée de Luna- Park EXCLUSIVEMENT sera RESERVEE aux benjamins et à leurs familles. Nul ne pourra en¬ présenter sa carte de trer sans benjamin. Il faut donc que, dès cette se¬ vous nous demandiez votre fêtes de aux Benjamin. Pour maine, Jardin d'Acclimatation, carte de chantera. benjamin' si vous ne l'a¬ mai Les attractions ris principe de la fête le suivant Au lieu de payer, com¬ d'habitude, l'entrée d'abord, puis chacune des attractions, vous n'aurez à acquitter en tout et pour tout que 5 francs d'entrée par personne pour me tous frais. fois entré dans le parc, vous aurez le droit de profiter li¬ brement de toutes les attractions SANS PAYER UN CENTIME : scenic railway, water-chutes, autodrome de petites autos à essen¬ ce, bateaux, rivière enchantée, skooter, le cyclone, le palais du Rire, etc. Vous serez chez vous et entre dans ce leur lirez le programme dé¬ taillé, jeudi prochain, dans Benja¬ min, ainsi que des renseignements sur notre fête du 5 juillet. en Et il dire, ne bien reste nous qu'à vous chers benjamins, com¬ mes nous heureux sommes de penser que ces grandes manifes¬ tations vont bientôt nous permet¬ tre de vous revoir, de vous serrer la main, et de vous dire de vive voix tout notre dé¬ affectueux vouement. étonnant et parc joyeux qui fait et Vous Une vous notre JABOUNE. l'admiration de BENJAMIN LE MESSAGE UN EXEMPLE A ¥ citerai pas connais. e Il était_ donc DONNER tous. fois présidente président de club qui voulait que celui-ci marchât très bien, que tous les membres s'entendissent, eus¬ ou une une conduite; tout ça, bien. une bonne je le comprends très Ce président avait organisé son club façon splendide, chacun avait sa fonction. Les statuts avaient été votés à l'unanimité et une discipline rigou¬ reuse régnait dans ce club, ce qui per¬ mettait de faire des choses très intéres¬ santes. Tout cela était très bien, mais (car il y a un mais, et c'est bien ennui/eux, allez le voir), ce président (ou cette présidente), qui voulait que chacun dans son club se tînt parfaite¬ ment bien ne donnait pas un très bon comme vous exemple à l'école, et même il lui arriva d'être si fortement puni qu'il fut .ren¬ voyé... Cela, vous l'avouerez, ne devrait arriver à des membres de club de pas benjamines ou benjamins, et encore moins à un président de club. Je crois qu'il est tout à fait utile et indispensable que dans tous les lycées et toutes les écoles les professeurs se rendent compte que les membres des clubs de benjamins sont un peu meil¬ leurs élèves que les autres, justement qu'ils sont membres de club, et parce AU masqué a plus, un grand bal avec or¬ et distribution gratuite d'accessoires, sera organisé pour Les dotés de UNE DAME OUI REDEVIENT SUBITEMENT JEUNE A 75 ANS francs de prix et aux¬ quels vous pourrez participer gra¬ tuitement seront organisés pour terrains, les dépôts de vivres, les tombes des princes romains. A la suite de cette visite, une réunion ré¬ créative a rassemblé tous les membres du club. Ce club envoie son salut le plus corsikl à tous les benjamins de France. C'est 1° Présenter votre carte de ben¬ jamin. Chaque carte de benjamin donne droit à l'entrée de trois per¬ sonnes au maximum (vous et deux parents ou amis). 2° Acquitter pour tous frais une de 5 francs par person¬ donnant droit : à Ventrée ; au somme ne bal ; aux concours et à toutes les attractions. LA CARTE DE BENJAMIN est délivrée à nos bureaux seule¬ Brunei). Pour l'ob¬ faut-être- abonné ou s'a¬ Chaque abonné a droit, (14, ment tenir, il rue bonner. s'il .le désire, à autant de cartes benjamin, qu'il a de frères ou (La carte sœurs. recevoir ment, utiliser les Pour la DENTISTE———— Tout dernièremeni. de gardien du jar¬ zoologique de Prague s'aperçut qu'un de ses hippo¬ potames ne mangeait plus. Les dents de un de coûte 1 franc.) din sans dérange¬ bulletins ci-des¬ aussi pour nous jeudi 28 juin et votre jeudi 5 juillet votre juin. Ce jour-là, en effet, l'Union des Artistes va au Jardin d'Acclimatation, un gala sensationnel auquel voudrez toutes et tous as¬ organiser, gueule. scie les dents du patient Le directeur du « Zoo » ramassa les débris de l'opération et les emporta dans son de bureau vous donner une idée de la taille que peuvent atteindre hippopotame quand elles à pousser sérieusement. mettent LE NOUVEAU FUNICULAIRE ELECTRIQUE DE MONTMARTRE Le funiculaire En 1921, cette compagnie était rache¬ tée par la Ville de Paris et l'exploitation dès bateaux-mouches confiée à la S. T. C. R. P. Tant qu'il n'y eut pas d'abondants moyens de locomotion reliant Paris à sa banlieue, les Bateaux Parisiens firent re¬ cette. Tous les petits employés de la banlieue habitant des bourgs situés au bord du fleuve prenaient chaque matin le bateau pour aller à leur travail, à Pa¬ par le même — d'ailleurs chemin. Maintenant les tramways qui étend ses ramifications jusque dans la banlieue, font currence aux « victorieuse une paquebots » con¬ de la Seine. Pa¬ 1931, est tuellement recons¬ truit, il entrera la joie de service été d'une généreuse amabilité quand il s'agissait de collaborer avant ac¬ en la fin l'année, mais il sera électrique. On avait tout d'à- de charmante etj Odéon : Relais par tégoriel équipes, Les lettres de Bob et de Bobby Un film le Si vous n'êtes pas abonné (édition 1934). rien N'achetez (alimentation, vêtements, papeterie, cycles, T.S. F., phonos, etc.) sans utiliser notre' carte de benjamin qui économisera à vos parents des centaines de francs par an. carnet vous êtes déjà abonné BENJAMIN pendant un an (ou 6 mois). Envoyez-moi la carte de BENJA¬ Je suis déjà abonné a BENJA¬ MIN et je joins à ce bulletin une bande récente. MIN et le carnet des commerçants amis de Benjamin. JAMIN Je désire Ci-joint la recevoir somme de Adresse et le ma carte des carnet de BEN¬ commer¬ çants amis de Benjamin. somme de — Mon cher Bobi Te souviens-tu d'un Nom que nous vu ensemble, un jeudi, avant départ pour Bordeaux ? Je ne me souvenais plus du titre mais seulement du sujet. Cet homme qui peut, à l'aide d'une certaine boisson, se transformer singe, en singe méchant et terrible, qui accomplit comme homme des ac¬ tions merveilleuses et comme singe des méchancetés inouïes. On voyait sur le film sa figure se transformer peu à peu. en Adresse -••••■ — : L'abonnement d'un an : 25francs; 6 mois : 13 francs. Pour recevoir la carte et le carnet, joignez seulement 1 franc en timbres. Si vous voulez recevoir la carte et le carnet dans le ravissant petit porte-feuille porte-carte spécial de Benjamin (en maro- cruin chagriné bleu foncé, avec qui fait son charme), une Betty, et sympathique petite poupée; Silly Symphony en couleurs, non moins bien venue que les précédentes. Ceci est déjà un programme assez complet, mais le Ciné « L'Auto », dont la modicité du prix des places est légendaire, tient à nous en donner plus que pour notre argent : voici un film musical Madone, donné avec le célèbre orchestre viennois Dajos Bela, ce cette amusante et une plus dans cette relation extraordinaire de l'odyssée de Georges-Marie Haardt et Louis Audouin-Dubreuil et de leurs héroïques com¬ pagnons à travers cette Asie restée mysté¬ rieuse en dépit de toutes les inventions mo¬ dernes, grâce auxquelles le temps et la dis¬ tance semblent abolis ! Après la brillante réussite des deux premières croisières, celle qui traversa le Sahara et la deuxième, la Croisière centre noire, au de l'Afrique, voici à présent « La Croisière jaune » qui, partant de la Syrie où règne la paix fran¬ çaise, atteignit Shanghaï au moment où oublier les actualités de la semaine dernières nouvelles du monde entier. et sans les EDOUARD VI1É KatKaxine x tfgpbumj LITTLE WOMEN grondaient les canons japonais auxquels fai¬ écho les canons chinois. Les obstacles qu'il s'agissait de franchir étaient de taille, et non seulement au ^iguiié : saient us quim mifs du docnue mabch JARDIN D'ACCLIMATATION toutes pour ca¬ Le Grand Zoo du Bois de Tous les jours 300 mètres : avec 5 obs¬ de la saison d'été Dimanche 16 septembre, jeudi 20, dimanche 23, jeudi 27, dimanche 30 septembre Réunions d'automne : culture physi¬ Fin Permanent que, jeux Dimanche 7 : ne plus fréquentés de grand air et de l'eau. Léon TRANSFORMÉ dit, à CYCLONE service, ce l'Exposition de Chicago L'AUTODROME DE STRESA et pendant tout l'hiver ainsi d'ail¬ que les pontons et les remor¬ qui croyez-vous vous les et ses sur Nous — Le THÉÂTRE des LILLIPUTIENS La la Seine... sommes se actuellement en avec et une LE SCENIC-RAILWAY LE WATER-CHUTE vous indiquer un Ils seront vendus à celui qui en offrira le plus et qui payera amateurs JEUX INÉDITS DEAUVILLE Le Nouveau Dancing Luna-Park de TRANSFORMÉ EN JARDIN Le par an et par ! VÉLODROME DU RIRE CHTDÉt CN I IftC O CINÉ L'AUTO - Toua las Jours Matin** à 2 h. 30 Henhy KUBNICK. FLEURI plus beau Dancing de Paris avec ses incomparables Orchestres LE ponton. aux SES et Tout ce que je puis vous dire c'est que les acheteurs auront l'autorisa¬ tion d'amarrer les pontons-stations le long des rives de la Seine, et qu'ils au¬ ront pour cela à payer un droit de loca¬ Avis Luna-Park LES HYDRAVIONS LE WALTZER MARCK et ses FAUVES LA RIVIERE ENCHANTEE comptant. deux francs KERMESSE AVEC TOUS Impossible de un ou L'ENVERS sensationnelles voitures «te — tion de ses LA faire le transport — A LE SKOOTER MODERNE pour¬ société qui voudrait des touristes et ama¬ teurs de bains de rivière, entre Paris et la plage de l'Isle-Adam. Combien les bâtiments sont-ils ven¬ parlers MAISON Le NOUVEAU PALAIS du RIRE déjà pré¬ sont rapides bateaux à moteur LE LABYRINTHE particuliers, soit des So¬ qui voudront reprendre à leur compte l'exploitation des « transports en Soit des Et des acheteurs sentés ? ENRAGÉ LE YACHT-CLUB DE LUNA achètera ? — véritables voitures à essence ses LE VER queurs. » VOL.TERHA) vente. monsieur fort aimable, sont en par¬ fait état, tout prêts à fonctionner demain s'il le faut. Ils ont été repeints et en¬ commun GRANDS LES SES 10 GRANDES ATTRACTIONS NOUVELLES : Et, qui jeunes animaux sauvages et domestiques ET ENTIÈREMENT que un — Singes, des Otaries. LUNA-PAR K ces Nos bateaux, m'a — 500 PETITS LES N'importe qui peut s'en rendre ac¬ quéreur. H suffit de se présenter à la Préfecture de la Seine, au service des Transports, et de proposer un prix rai¬ sonnable des Nourriture les pour sentiments sont très ils ne justifiaient pas 1.200.000 francs qu'ils coûtaient ; voilà pourquoi une quarantaine de bateauxmouches, deux remorqueurs de secours et soixante-huit pontons-station viennent Evidemment, louables, mais 30 Plus de défense de leur donner à manger. (Direction sont les amateurs lentes promenades sur en h. 17 Plus de défense de les toucher. POUR par d'être mis 16 à CIRQUE EN PLEIN AIR d'hiver. Ceux-ci à Boulogne Nourriture des Ours, ZOO DES PETITS LE octobre à 14 h. 30 à Colombes, Rassemblement général : Formation des groupes ; Formation des équipes heures, heures, Nourriture Les Eléphants dressés. 30, à Colombes. 14 h. ; 16 à : ; dus ? de belle devenir hideuse. Nous avions été tous les deux puissamment impres¬ sionnés, je crois même que nous en avions rêvé la nuit. Eh bien, je viens de mettre la main sur le roman d'où le film a été tiré et tu penses si pour le lire. je me suis jeté dessus Il est intitulé : l'Etrange cas du D'Jekyll, par L. R. Stevenson. Il fait partie de la Bibliothèque Verte. Le livre est bien plus complet que le film. Il y a un tas de détails étranges et curieux. Il y a surtout un mystère qui dure tout le long du volume, et qui intrigue beaucoup plus que dans le film, on où voit la transformation de l'homme au fur et à mesure qu'elle se produit, tandis que dans le roman on ce changement. Papa me dit Stevenson est un très grand au¬ anglais qui a écrit beaucoup de romans, dont plusieurs ont été trikduits en français. J'ai vitaWil V en avait un ignore que teur l'insigne estampé), ajoutez 5 francs. Verte, l'Ile au Trésor que je ne connais pas. Je vais le demander à papa, la prochaine fois que je serai premier. Hélas ! ce n'est pas pour cette semaine ! Apprends, Prénoms ■ Laurel et Hardy, nous voyons sur l'écran trois dessins animés : un Mickey, souris comme on n'en voit guère qu'au cinéma La Croisière ciétés film autre dans la Collection (Voir ci-dessous) Nom Prénoms Envoyez-moi Ci-joint la (Voir ci-dessous) Toujours dû C comiques de Gervalse CDKHPC Tous las Soirs " Il AU II O Soirée » 20 h. 30 spécial Pour recevoir carte ou carnet, utiliser les bulletins ci-dessous. Si L. Cette semaine nous sommes gâtés pour les films comiques, car outre un sketch hi¬ larant de ces Empereurs du Rire quë sont épithètes laudatives pour qualifier les films, mais pour celui-là, c'est bien le terme qu'il faut employer, on ne sait ce. qu'il faut admi¬ rer semble nouveau. souvent abusé des a où exalte encore la fierté que éprouve d'être Français. nous CINÉ L'AUTO, AU (c'est splendide! On pays R. C. amoureux — tacles. — le carnet des commerçants amis de Benjamin rappelons, mes chers benjamins, que la carte de benja¬ min vous donne droit à l'entrée gratuite permanente au Jardin d'Ac¬ climatation, à des faveurs dans les théâtres et des réductions de 5 à 20% à vue chez plus de 600 com¬ merçants amis de Benjamin dont les noms sont inscrits dans notre Dépit de Barberine, : jaune. ; Consolation leurs Pou r recevoi r la carte de Ben jam i n vous le Chamjsioniaat du lancer du médecine- bail; de 2 kilos nous Nous l'Avare, CINÉ DES VOYAGES. chiffre. et Jeudi — de chacun tretenus avons de française, et qui L'Ecole des Maris, Samedi : Matinée poéti¬ que. Dimanche : Le Dîner de Pierrot, L'In¬ discret, Asile de Nuit. gories; — ton ^Montmartre, suppri¬ en vous Si vous voulez acheter un bateau-mouche les dents d'un se nous suite de ce programme : .Dimanche 24, jeudi -8 juin, à Colombes ' 14 heures Sft Entraînement en Vite de la réunion finale àtt 1"* juillet. Dimanche 1» faille* à ta Crolx-Catelan à 15 heures GRANDS PRIX DES JEl'SKS 66 taèttea haies pour toutes lés caté¬ sports ils lui servent maintenant : presse-papier... Simplement pour parents, ont toujours vos du Sacré-Cœur. de plus en plus remplacés par des auto¬ bus le chemin de fer, et le Métro mé plus grands acteurs de terminés en juin ; électrique ne tardera pas, alors, à être mis en service, et cet été, Parisiens et Provinciaux pourront l'uti¬ liser pour faire l'ascension de la colline seront gueule maintenue ouverte au moyen d'un tronc d'arbre. Le dentiste put alors s'approcher et raccourcir à la sa sister. ris, les vedettes qui font espère qu'ils le funiculaire ris, et revenaient le soir et D'ores et déjà, nous vous de¬ mandons, mes chers benjamins, de nous réserver aussi votre jeudi 28 devaient s'installer sur des sortes de gra¬ dins assez peu confortables. Les travaux sont activement menés et ne pouvait plus remuer la On appela un dentiste. L'hippopotame fut ligoté à l'aide d'énormes courroies, qu'il mdii. , petisé à installer un escalier-méca¬ nique, mais «près l'étude dé divers pro¬ jets, on en est revenu à la solution d'un funiculaire électrique, qui remplacera avantageusement le précédent dont le mécanisme hydraulique sembl ait un p>Bii archaïque. Le nouveau système permettra d'avoir des wagons munis d'un plancher hori¬ zontal, alors qu'autrefois, les voyageurs on 24 (Suite de la première page.) l'animal s'étaient tellement allongées Retenez Les et ans du au AÎNÉS LES Comédie-Française. à côté verrez, . L'HIPPOPOTAME CHEZ SON sous... vous BÊwy- aveugle depuis 3 ans, elle re¬ couvre progressive¬ ment la vue depuis une vingtaine de jours. En outre, ses cheveux gris deviennent noirs et onze nouvelles dents lui sont poussées. Cette respectable personne, qui peut mainte¬ nant parfaitement lire son journal et manger sans son dentier, continue à ra¬ jeunir presque à vue d'œil. Aucune explication scientifique de Ce phénomène n'a pu, jusqu'ici, être four¬ nie. Mais on dit que les docteurs qui s'intéressent à ce cas extraordinaire, sont en train de préparer un petit ber¬ ceau et des biberons pour Mrs Elliott. (iSans garantie.) 75 Pour entrer Mrs numéro donné le début du programme de nos séances de sport au Racmg-ilitb, voici la avons bord Anne Ëlliott, q»i ha¬ bite Ottawa. Agée de de 15 à 17 heures. vous le dépôt du sable de la mer sur un fond rocheux et où l'on peut très bien distinguer chaque couche de sable déposée par l'eau, a été très in¬ téressante pour tous. Les membres du club ont également vi¬ sité les soutes à poudre, les refuges sou¬ Pans notre bavardes de Benjamin vous. POUR naturels la toiture vous verrez les terribles Kirghiz, mon¬ tés sur des yacks, animaux bizarres tenant à la fois du bœuf et du cheval ; vous verrez les ruines de Palmyre, où régna l'illustre Zénobie, vous verrez Bagdad, la ville des prestigieux califes, vous verrez bien d'au¬ tres choses encore dans ce film qui donne une si haute idée de ce que peut l'énergie La Croisière jaune. (Une ré¬ prix des places est accompagnant les que raison semés; ♦ château-fort de Hombourg. La visite de ces par Vous de 25 % sur le consentie aux familles moins deux enfants.) avec régner un printemps éternel, des régions âpres, désolées, d'aspect aussi farouche que leurs rares habitants, dans des villages clair¬ matinée jeudi 7 iuin. Le Bossu ou Le Petit Parisien ; matinée dimanche 10 iuin. Le club d'Erbach (territoire de la Sarre) visité le 12 avril les grottes de l'ancien grottes, formées — duction LE CLUB D'EHBACH VISITE DES SOUTERRAINS De Enfin, des concours Croix-Rouge. la par VENEZ FAIRE DU SPORT AVEC NOUS ! chestre milliers de organisé Batignolles). l'Himalaya et coquette. assez Albert Locatelli. CINÉ DES CHAMPS-ÉLYSÉES. La Croi¬ sière jaune. ClNÉ Edouard-VII. — Little Women (les quatre filles du docteur Marsch), Ciné des Voyages (43 bis, boulevard des décidé de a faire un don en argent à l'œuvre de la Goutte de Lait. A la fin de la réunion, tous les membres du club sont allés officiellement à un bai les visiteurs étrangers. tous Jeudi 7 juin, 20 h. 30. Théâtre des ChampsElysées, grand gala de danses de l'Ecole Odette Courtiade, avec le concours de l'or¬ — Le 12 avril s'est constitué à Commercy un club de benjamins. Une carte de membre fondateur vient d'y être créée et le prix en a été fixé à 5 francs. Cette carte donne droit : 1" A un billet de tombola gratuit sur quatre achetés à la tombola ; 2° Au demi-tarif à Une représentation que le club donnera au profit des pauvres. Enfin, à l'unanimité, le club monde CINÉMAS BONNE IDÉE CLUB DE COMMERCT de appellent pays du dont les pics dépassent couram-' ment 8.0Û0 mètres, alors que le Mont Blanc n'atteint, comme vous le savez, que '4.810 mètres, ce qui est déjà une altitude A QUELLE HEURE ? chestre chaîne la du QUEL JOUR ? UNE un sent de nobles sentiments et de Le commissaire général, André ROLLAND. le club, mais je le ne ** dans ce cas les clubs seront très utiles et tout le monde leur sera favorable, ce qui sera un très grand bienfait pour COMMISSAIRE DU grande échelle, les petits rats de l'Opéra, ainsi que Mlle Mistinguett, M. Jean Weber, de la Comédie-Française dans des tours de prestidigitation, etc., etc. Un grand tournoi pour les ama¬ teurs de ping-pbng est à l'étude. sera les vous en¬ applaudir, com¬ grande fête du 10 dernier, les Pompiers de Pa¬ à me Le » Vous pourrez y pas encore... vez une fois, la jeunesse de P-ns et de province va avoir l'occasion de manifester sa gratitude et son ad¬ miration aux grands artistes de la capitale. La fête de l'Union des Artistes, le 28 juin prochain, au pauvre boy, que j'ai été très mal en math., médiocre en composition française, nul en an¬ glais, etc. Tu vois d'ici les reproches que j'ai essuyés. Papa m'a dit que je n'arriverais à rien si dès maintenant je ne commençais pas à bûcher un peu plus ! placé... Allons, Au courage, au revoir, travail ! vieux camarade ! BOBBY. Ne croyez pas les "on-dit » sport correspond une grande le Tour de France pour le cy¬ clisme. la Coupe Davis pour le tennis, le Grand Prix de l'Automobile Club de A chaque épreuve France : l'automobilisme. A propos de cette dernière épreuve, ga¬ gnée l'an dernier à Montlhéry par Campour pari, ce peu beau 2 Cfl , JU Palais Berlitz lllllllllllliltllt 31, Boul. des Italiens - 25, rue de la Mlchodière moderne et le moins cher des Boulevards Studio d'actualité le plus « Films sportifs, ALLEZ-Y PRIX EN SEMAINE 3» . » sketches gais, documentaires, dessins animés et les dernières nouvelles du monde entier. ALLEZ-Y HIIU 3 .50 ïHiiiiimiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiHHiiiiiiiimiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiimiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiHiiiiiiiiiiimiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiHif' champion qui devait être après dans un accident, nous te¬ à rectifier les paroles que nous avons entendu prononcer par un spectateur qui n'avait certainement jamais conduit une voiture de course. Nous étions à un stand de ravitaille¬ tué SJIlllMIIItlItlIIIMIII nons ment, un coureur couvert de poussière s'arrête pour prendre de l'essence, changer son train de pneuà, opérations réalisées en quelques secondes, et absorber avidement bol de liquide que lui tendait un de amis. Or, comme un petit garçon de¬ mandait ce que buvait le coureur, nous avons entendu quelqu'un dans la foule assurer que « pour avoir du cran et de l'audace jusqu'à la témérité, le champion automobiliste se dopait avec de l'alcool » 1 Voilà, benjamins, comment on écrit l'his¬ toire ; des gens ignorants ou malinten¬ tionnés détruisent aux yeux des jeûnes et en quelques mots ce que le sport a de beau et de pur. Il était de notre devoir de détromper le petit garçon curieux, nous un ses l'avons fait immédiatement en lui affir¬ mant que le coureur buvait tout simple¬ ment pour se désaltérer du lait additionné d'eau et très sucré. Un champion sportif ne ce peut d'ailleurs dernier pas troublerait boire la d'alcool lucidité de réflexes. cerveau et amoindrirait ses sucre, au contraire, nourrit St-Cast ■ Côtes-dU'Nord VILLA MAJESTIC Mme Dunoyer de Lalande sera très heureuse de recevoir, comme les an¬ nées précédentes, les nombreux et ainsi que leur famille, qui lui feront le plaisir de charmants Benjamins, descendre chez elle cet été. La Villa Majestic possède toujours les mêmes agréments : proximité de la plage, confort moderne, jardin avec jeux, salle pour la jeunesse. De plus, il sera fait des prix exces¬ sivement avantageux aux familles qui pourront venir avant le 14 juillet ou après le 26 août. POUR VOTRE PAPA ... vive la Et gentiane SUZE, apéritif rend qui il assure, après un bonne digestion. C'est un amer, mais sa saveur n'est qu'affaire d'habitude et la SUZE de¬ vient rapidement l'apéritif préféré. ger à sa copieux faim car repas, une Le Le Imp. aérant : J.-F. Cahen. GEORGES LANG, 11 bis. Rue Curial La rédaction ne rend aucun manuscrit 1® Il est pour l'organisme un vérita¬ ble stimulant qui chatouille agréa¬ blement l'appétit et permet de man¬ car muscles, combat la fatigue aussi bien morale que au de physique et permet coureur conserver intactes jusqu'au dernier tour de piste ses qualités de conducteur audacieux, mais non téméraire. à forts mieux portants. son les plus £'cunie, de (Calvados), la plage de Pasteur, ferez d'amples provisions ■d'air iodé qui vous permettront de passer ensuite un bon hiver. vous A EN SYRIE BENJAMIN Une belle fête arabe prodigieuses ruines Les de Baalbeck par Victor plein Paris en L'institut musulman De l'on un l'organise Connaissez-vous Paris ? De nom ! FORBIN peu mosquée de A PROPOS DU « prétention, ni la pla¬ ce, d'accorder une description à ce magnifique ensemble de ruines, unique en son genre dans le monde entier. Je gner Les ici quelques détails. New-York. des vandales par une en¬ le touriste pénètre en acquittant une taxe de cent pias¬ tres. soit une vingtaine de francs. A la même porte d'entrée, il peut engager un guide, dépense qui lui fera gagner du temps. Le monument le plus impres¬ sionnant (ou ce qui en reste !) est le temple de Jupiter Héliopolitain. Il comptait 54 colonnes, hautes de 20 mètres, larges de 2 m. 20. La plupart gisent sur le sol, et il n'en est que six qui aient résisté à la prises où ceinte desquels les ouvriers creusaient un trou où ils cimentaient un « goujon » de bronze. Cette pièce scellait les blocs énormes Mais on centre au l'un à l'autre. Et c'est pour s'emparer de ce mi¬ sérable morceau de métal que les voleurs ont saigné ces admirables des ruines laborieusement des trous jusqu'au cœur de la pierre ! Les blocs étant désormais descellés, le premier tremblement de terre en détruisait l'équilibre. Sans ces stupides larcins, qui da- colonnes, saurait quitter Damas ne blocs accomplir cette excursion classique : la visite des célèbres ruines de Baalbeck, qui s'inscrit obligatoirement sur l'itinéraire des sans creusant BH 'Vî'-V touristes. Le trajet est de quelque 125 ki¬ lomètres. Nous louons une automo¬ bile et nous arrêtons les conditions avec le chauffeur, précaution tou¬ ï 1 • jours utile, surtout en Orient ! Mais, quand je dis « nous », j'exa¬ gère !, C'est mon ami qui s'en charge, lui qui parle couramment l'arabe et les principaux dialectes dérivés de cette langue ! Au dernier moment, le conduc¬ teur de nous- demande prendre plément un en : c'est un récemment sup¬ l'occasion si jusqu'à au pillage. Chtaura, pour des Pères ' seraient A un ville, Jésuites, de¬ encore I millier de du monde. n'oubliez dans quelques jours, exactement juin, dans son cadre enchanteur, obtiendra de la musique indigène et boira du thé à la menthe au profit le 15 on on des petits musulmans malheureux. La saison, déjà, est propice avec ce beau ciel de belle saison renaissante, et ce clair soleil qui fait jaillir les pal¬ mes des palmiers. Ciel et soleil font valoir singulièrement les frondaisons fleurs en corolles et exploser les des massifs rectangulaires, creusés contre-bas, andalouse. à la manière en Les fleurs se mirent dans les longs bassins étroits pavés de faïence. Le ciel regarde dans le miroir d'eau des de marbre rose, où l'eau, jour et nuit, psalmodie son murmure frais. Ce jour-là, chacun pourra librement se vasques visiter la mosquée. Et seulement un qui, ayant franchi le seuil du grand sanc¬ tuaire blanc, ne voudra pas s'extasier y a-t-il en à loisir devant les riches décorations auvents, les dentelles de fenestratissées au couteau dans le plâtre encore mou, les mosaïques de faïence reproduites exactement d'après les plus belles combinaisons du Maroc et de l'Arabie, par des artistes venus spé¬ des mètres de sur le sol évalué à deux mille tonnes !... Nous sommes assaillis par camelots » méfions de l'authenticité objets, sachant bien que, dans maintes régions orientales, on fabrique « en série » de ces « anti¬ quités », à l'intention des touristes ! Puis, s'il fallait acheter tout ce (tue l'on vous propose, on devrait se munir de malles monumentales, et je suis de ces voyageurs qui temple de Jupiter juché sur une colline dont de belles vignes drapent les pentes. De pittoresques villages s'ac¬ crochent à la montagne. Et l'un d'eux mérite une mention :. c'est Kérak-Nouh, qui prétend posséder le tombeau de Noé (Nouh en lan¬ gue arabe). Il va de soi qu'il ne s'agit là que d'une de ces fantai¬ sistes légendes que l'on rencontre a chaque pas, en Orient, où l'ima¬ gination populaire se moque bien ces feraient leur tour du monde... avec une valise ! Victor FORBIN. LE PLUS GRAND INCENDIE DU MONDE jour l'appel 27, rue la pensée, vers l'Orient mystérieux et magnifiquement enchan¬ porteront, vous par soulagerez quelques petits a arborent leur consentent et sur Fabrication gue est ? Eh ! pardi ! Cette flèche, lon¬ d'une trentaine de centimètres, terminée par une pointe de corne. A environ 35 mètres du ti¬ la flèche peut encore percer une planche de bois... Après avoir soupesé la flèche, je prends en main un arc qu'on veut bien me prêter. reur, Connaissez-vous l'histoire de l'arc d'Ulysse ? En partant pour la de Troie, il avait laissé à sa Pénélope un arc immense que personne ne pouvait porter. Comme il ne revenait pas de la guerre et qu'on n'avait de lui aucu¬ ne nouvelle, de nombreux préten¬ dants pressèrent Pénélope de choi¬ sir l'un d'eux pour époux. Elle dit : « J'épouserai celui de vous qui pourra tendre l'arc d'Ulysse ». Au¬ cun d'eux ne le put, sauf un vieux mendiant inconnu qui se présenta en dernier et qui n'était autre qu'U¬ lysse lui-même. C'est à quoi je pensais en pre¬ nant l'arc que l'on m'offrait. Allaisje pouvoir le tendre ? ou bien pèset-il quatre-vingt-dix kilos, ce qui guerre femme que je n'ai pas à supporter ce qui est phénicien, ré¬ antiquité ; mais, à vrai — dire, on ne connaît rien des pre¬ mières phases de son histoire, soit jusqu'à la conquête d'Alexandre le qui la reconstruisit et la J^rand, baptisa Héliopolis, ou « ville du dieu Soleil ». Après les Grecs, les Romains y ®tevent des temples splendides, que 'es conquérents arabes se chargeJ"°nt de détruire ou de détériorer, niiatre siècles plus tard, en trans¬ férant les plus beaux édifices en Xous vous avons parlé la semaine dernière, du gigantesque incendie Qui a ravagé les prodigieux abattoirs de Chicago et une partie de cette ville, qui est la plus moderne et la plus banditesque du monde. Voici une des t rope : photos parvenues en Eu¬ voit comme la plus grande au bétail » du monde brûle plus difficile, et à quoi je ne me suis pas même risqué, c'est d'en¬ voyer la flèche en plein milieu de la cible... Il y faut du coup d'ceàl, de l'habitude, de l'adresse; la corde doit être tendue à un millimètre près, c'est tout un art ! (L'art de l'arc) Le tireur, dans le choix de sa position, doit tenir compte du vent, du soleil, que sais-je encore '? de ces mille impondérables qui font Diabolo de sport avec axe métal Benjamins intéressante une Poids 40 16, 1 rue gr. joueur 13 fr. Rotation parfaite — 2 joueurs 15 fr. 50 — Province port en sus : 0.70 ou 0.90 G. VASSEUR, Fabricant qualité garanties. Montgallet, PARIS (12e) et 27, rue des Blagis, Bourg la Reine (Seine) (AMP DE VACANCES DES LYCÉENS DE FRANCE et MER Cannes PA R E N T S site merveilleux. Buts : Sports aven¬ organisent des vacances jeunes lycéens, dans un Reposer l'esprit, fortifier le corps. 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Le Krassine n'en continua moins son périple, et il vient d'at¬ pas teindre la baie de la Providence, dans la mer de Bering, où il a pu porter secours à un navire prisonnier des glaces. Il a parcouru une viron 12.000 milles (22.000 jours. C'est JgPlj! Petits et Petits et grands, grands, jeunes jeunes Tous distance d'en¬ km.), 50 en et vieux exigent la marque Amieux! Car à l'achat d'une conserve La sagesse veut qu'on observe Pour être sûr qu'elle est exquise - grand record, et pre&que un pourtant ce magnifique voyage autour de la Terre, montre que sans l'aviation, les malheureux naufragés auraient dû attendre quarante jours de plus. L'au¬ - Qu'elle porte bien la devise : ? Malgré les beaux efforts des marins, les rescapés du Tchéliouspu français meilleurs que les Sioux ! (Suite de la première page) Est-ce donc si dangereux — OLYMPIA des Notre Les archers tireurs DIABLOVERT LE BON PETIT DIAËLE" remise. .o^ANIEUX % FRÈRES S kine doivent bénir les merveilles de la science moderne ! PALUEL-MAKMONT. de la flèche à la taille de l'archer ne doit pas dépasser 1.700 ou 1.800 grammes. Les bras ne com¬ mencent à fatiguer vraiment qu'au d'une demi-heure ou bout une heure de tir. En revanche, ce qui m'a paru nom, l'insigne plein Océan Glacial Arctique, au nord de la Sibérie, que des aviateurs réussis¬ sent à les secourir. Il vous avait dit que le 23 mars, le gouvernement russe avait envoyé un navire brise-glace au secours des naufragés, qui devait essayer de les atteindre en passant par... le canal de Pa¬ nama ! Parti du port russe de Kronstadt le 23 mars, ce brise-glace, le Krassine, était dans l'océan Atlantique lorsque les aviateurs réussirent, enfin, à. ramener BENJAMIN " Les bicyclettes attendre deux mois sur 5 '/■ AUX ABONNES DE REMISE DE vient de lancer à votre intention début d'avril de kine, brisé raient-ils vous — Jacques glaces, PAR 1S PLACE SAINT AUGUSTIN BORDEAUX 61 COURS DE L'INTENDANCE LE Lac l'angoissante au eu grand fardeau; le poids d'un arc « en bois d'amou¬ rette », même long de 1 m. 50 — on adapte la longueur de l'arc et celle Bourse bien. Moscou. au TAILLES VASSEUR, Fabricant des Blagis, Bourg la Reine (Seine) CROISIÈRE ! ami, FRS 2 G. compatriotes des aviateurs américains... BELLE . PAR TUNMER 5 f, 8 f, Envoi franco contre mandat nouvelles exactes : cela faisait bien de faire dépendre un peu le succès de nos UNE LmC* EN PLUS le moindre aucun moment passagers plafond en bois de cèdre, comment ne pas admirer les curieuses niches pour les babouches, les tapisseries de nattes, le sol de marbre recouvert de tapis mérite « à aux Eh bien ! entre nous, je dois vous qui est de 1.150 mètres. dévastation. — Seulement, gênés par le brouil¬ lard, au moment d'atteindre la côte, ils subirent un léger retard. De là les infor¬ mations erronées de la presse américaine, qui s'attache plus à publier des nou¬ velles sensationnelles et rapides que des dix- croyants. Dans la grande salle de prières avouer voici enfin à Baalbeck, Jolie ville de 5.000 âmes, encerclée Par la verdure de son oasis et qui jouit, nous dit-on, d'un perpétuel Printemps, grâce à son altitude, nous on g eurent I FR 50 PENDU Pipe bois galalith besoin. ture aux est assez dur à bout de bras ? premières n'en somptueuses, le grand patio de l'histoire ! "eresses. Et les tremblements de ?.rre parachèveront l'œuvre de Etats-Unis, à trente kilomètres près, au point qu'ils s'étaient fixés. L'aviation américaine avait, en effet, eu la cordialité d'ordonner que des avions prissent l'air pour porter éventuellement secours à Codos et Rossi, mais ceux-ci BAIN LAINE 4 ANS ! nouveau Jeu d'adresse côte des huit paires de colonnes et le minaret d'où le muezzin clame cinq fois par — des qui voudraient nous vendre, à n'importe quel prix, leurs antiquités : pièces de mon¬ naie, statuettes de bronze, verre¬ ries prétendues phéniciennes. Mais L'ancien dû en¬ voyer des avions américains à leur se¬ cours pour les guider. Or, vous savez qu'il n'en est absolument rien, et que, au contraire, les deux célèbres aviateurs ont parfaitement réussi leur admirable performance puisque, malgré les remous et le brouillard épais, ils ont atteint la poulet longueur est de vingt-deux mètres et sa largeur est à peine inférieure à cinq mètres. On s'accorde à le considérer comme la plus grosse pierre du monde. Et son poids est de égarés au-dessus de jeu LE s'étaient l'état du Maine, et qu'on avait cialement de Meknès et de Fez ? Cha¬ cun voudra visiter la grande salle réservée d'honneur aux réceptions la les ouvriers de l'époque ro¬ nous Un ... POUR ENFANTS ENFIN !... visitons la carrière d'où nous énorme bloc couché nous Au — ges maine avaient achevé de travailler. Je le mesure par enjambées : sa « on Rossi et pas musulmans très malheureux. les matériaux de la cité antique furent extraits. On nous y montre et que son vous teur. La plus grosse pierre un Son plus heureuse¬ que, Et en ' plusieurs siècles, la plupart colonnes des du Liban. Nous apercevons notre gauche la coupole de l'observatoire vélé le grandes solitudes du désert, et les violons monocordes, et bout. le pied Et aurez les instruments divers qui vous trans¬ tent de emprunter une nouvelle qui longe . en si évocatrices des Les colonnes soumises Nous avons repris la grande rou¬ te de Damas à Beyrouth et la sui¬ sur vous frappés en cadence par les mains indi¬ gènes, des derboukas frappées sur un rythme sans cesse accéléré, des reïtas qui sont de petites flûtes au son grêle, 2mfe Ci-gît Noé. vons Mais il revenir. vous ENTIÈREMENT GARANTIS PUR E York, certains journaux américains s'empressaient d'an¬ noncer Codos que fois. du Haouz et le merveilleux lustre de cuivre à sept étages de lampes ? Il faudra visiter encore le hammam, où les musulmans prennent des bains de vapeur, le café maure avec ses ta¬ bles basses, ses coussins de cuir, ses tasses minuscules pour le café et ^es verres "fU'ètés d'Or poù'f le thé à la menthe. Le simple droit d'entrée donnera droit à consommer le thé et à écouter la curieuse musique des tam-tams jeune Libanais de l'Amérique du Sud, où il a fait fortune dans le commerce et qui va voir ses pa¬ rents fixés à Baalbeck. Ancien élève d'un collège tenu par !des religieux français (les Frères de la Doctrine Chrétienne), il parle notre langue aussi bien que vous et moi ! revenu point rares UautocisatixMl voyageur une encore. MAILLOTS à » anxieusement l'issue du raid Paris-New- assez. C'est mieux Et Depuis que la France a pris en main l'administration de la Syrie, les ruines sont protégées des entre¬ France, ! J'y suis alli — pilleurs de ruines. Çà et là, on surprend, pour ainsi dire, les vandales la main dans le sac ! Généralement, les colonnes des temples de Baalbeck se compo¬ saient chacune de trois sections, vue tout à fait vacances où, en attendait m o m e n t insuffisant. C'est mieux ; mais ça n'est — ment son impressionnante De lieu — faut y violence des tremblements de terre. Une Voilà qui est —- but étant de visiter ces fameux gisements dits de Mossoul, situés bien au delà de l'Euphrate et du Tigre ! pection, contenterai de consi¬ me cieuses JOSEPH-LE BRIX -— — my aller jouer grand parc public, vous pourrez pratiquer le tennis et, de toutes façons, passerez de déli¬ Saint-Aubin-sur-Mer la — vous pourrez, avantages, dans le malheureux Je n'ai ni la Beyrouth... Je me suis attardé à Damas, ce « grain de beauté de la terre », ainsi que l'enthousiasme des poètes orientaux appelle cette antique cité, et bien m'en a pris 1 Au cours d'une promenade dans le labyrin¬ the des ruelles tortueuses du bazar, je me suis trouvé nez à nez avec un vieil ami, M. Maurice Mercier, secrétaire général de la Compagnie Française des Pétroles, qui va m'entraîner dans sa tournée d'ins¬ plage de sable fin, entre autres partout profit des petits musulmans au quoi parle Saint-Aubin-sur-Mer PUBL. ELVINGER TOUJOURS A MIEUX 5155 REBUS qu'après une gracieuse et rapide trajectoire la flèche fait mouche ou tirée par un archer de ma valeur, va s'écraser par terre à dix bien, S mètres de la cible... La palme Une vres, aux archers de France '■ question en brûlait les lè¬ des ar¬ succédaient devant les me voyant l'habileté chers qui se cibles. Pardon, monsieur ! Supposons qu'au lieu de tirer dans une cible, — vous un vouliez aller à la chasàe et des flèches... Mais non, jamais ! L'arc Ce A rébus tous lotion représente les benjamins "XOUR" la avec la devise qui la un XOUR. une solution juste, la Envoyez les réponses à cadeau. XOUR, 8 bis, lotion célèbre enverront adressera Société de Lecuirot, Paris. rue arc — n'est pas une arme de chasse. C'est gro¬ tesque, ce que vous me demandez... COMPTOIR COMMERCIAL DU 37, boulevard Haussmann, Paris (Métro : CAOUTCHOUC Havre-Caumartin.) Supposons-le tout de même. Croyez-vous que vous attraperiez du gibier ? Peut-être, si l'on avait l'habi¬ -— tude — de viser des cibles Et les sauvages SPÉCIALISTE LE DE L'IMPERMÉABLE D'ENFANTS mobiles. qui ne se ser¬ comme arme, de l'arc que doivent bien quelquefois abattre des oiseaux ou des antilopes. Ces vent sauvages sont-ils plus les archers amateurs ? adroits Non, monsieur, ils ne que sont pas plus adroits ! En voici la preuve. Il y a quarante ans étaient à Paris, comme attraction cirque, des Indiens du Rio Negro, qui portaient des arcs longs de trois mètres, les plus grands qui soient au monde. Dans leurs forêts d'Amérique, il paraît qu'ils prenaient tout le gibier qu'ils vou¬ venus pour un MAMANS Pour pluie, ' laient. Eh bien ! croyez-vous que, conduits au jeu de l'arc de Com- piègne ou de La Ferté-Milon, une fois sur nos Ch. de la imper¬ méables et bottes le spécialiste. chez trable, coupe impeccable, ils coloris de saison. ci¬ 40 mètres ?... Tenez ! je n'aurais pas donné gr£nde chance au plus fameux chef Peau-Rouge, s'il disputait le championnat de France... vraiment contre achetez Tissu absolument impéné¬ n'ont pas seulement été capables de faire mouche bles placées à protéger enfants vos Brabant. ger lé¬ Baby. caoutchouté, toutes Qualité supé¬ teau — Vêtement nuances. rieure. En 50 cm 55 fr. Par 5 cm. en plus, augmen¬ tation de 2 fr. 50. — Magnifique crêpe de man¬ Chine caoutchouté. Bleu, blanc, "beige. En 45 cm 80 fr. Par 5 cm. en plus, augmen¬ tation de 5 francs, CARABAS. votreGATEAU BENJAMIN est ^COÛTÉ Catalogue gratuit et franco sur demande Benjamin BENJAMINS SONT DE BONNE HUHEU NOS §alnt9 lions, me dit Mattoh, ne sont pas dangereux du tout... Il suffit de savoir les prendre... Fada- Entre Oua¬ et gadougou, toute la région que traverse la Volta-Blanche n'est qu'un im¬ mense steppe. Depuis quelques cen¬ taines de .kilomètres, ce n'est plus le Sahara, mais ce n'est pas encore la forêt vierge. Aussi loin que s'étend la vue, c'est la brousse, la brousse mono¬ tone et sèche, sans arbre, sans om¬ brage ; rien qu'une végétation ram¬ pante et de maigres buissons qui s'élèvent tout au plus à hauteur de la poitrine. La région regorge de buffles, de léopards et de lions. Çà et là, on ren¬ contre quelques huttes isolées, entou¬ rées d'un lopin de terre, que de grands nègres nus cultivent avec une sereine philosophie. Ils n'ont donc pas peur des lions ? demandai-je à Mattoh. Il haussa les épaules : Comme si on pouvait avoir peur D'AVENTURES Roi o es N'Gorma CONTES journée de marche moins d'une A la Jongle ! de quelques indigènes qui devaient nous servir de porteurs. Plusieurs chasseurs volontaires s'étaient joints à nous, tous des noirs demi-nus, armés d'arcs ou de lances et portant comme coiffure une grosse tête d'oiseau empaillée qui leur permettait, paraît-il, d'approcher le gibier sans éveiller sa méfiance. pas lire s ralement, le jour, tous les animaux de brousse dorment. Ce n'est que le soir qu'ils commencent à sentir la faim et qu'ils deviennent un peu belli¬ queux... Alors le lion se met à parcou¬ la rir la forêt à la recherche d'une riture quelconque... moment-là, il pour l'homme nour¬ Mais même à ce n'est pas dangereux tu comprends. Missi, : 0 se dirigea les inoffensif pro¬ meneur, droit vers le lion. Le fauve, surpris, s'arrêta et le re¬ garda curieusement. Mattoh marchait d'un pas souple et rapide. Son aspect dut rassurer le lion qui, d'autre part, avait sans doute déjà pris son repas, car il ne bougea pas. Nous étions haletants. Le doigt sur la gâchette, j'étais prêt à tirer au pre¬ buisson, redressa et se mains vides, comme un mier mouvement de l'animal. Mattoh, qui faisait bonne contenance, bien que dans le fond il ne dût pas être parfaitement à son aise, ne se trouvait plus qu'à quelques pas du fauve. Il s'inclina devant lui, murmura quelques mots (le fameux Salut, ô roi « de la brousse ! »), puis il le dépassa et s'éloigna calme avec, sous son appa¬ rent, une certaine hâte. Le lion était resté calme, immobile, aimable : il avait simplement légèrement tourné la tête pour suivre des yeux te promeneur qui s'enfonçait presque maintenant dans la brousse. — Brusquement Mattoh, qui se trou¬ à une quinzaine de mètres du fauve, et qui pouvait s'estimer à peu près hors d'atteinte, détala à toutes jambes et courut se dissimuler dans un fourré situé à quelque distance. Aussitôt le lion se dressa, le poil hérissé ; il poussa un rugissement ter¬ rible et en trois bonds eut rejoint le vait — des lions ! dit-il. Mattoh était un magnifique nègre Mossi. Simplement vêtu d'un pagne, le cou orné d'un lourd collier consti¬ tué par trois ou quatre grosses chaînes de montre en nickel supportant en I! me reprochait de m'étre armé d'un fusil guise de pendentif un roulement à billes, il tenait son arc dans une main et une poignée de flèches dans l'autre. A Ouagadougou, on me l'avait vive¬ d'Ouagadougou, nous nous trouvâmes en plein pays des lions. recommandé : connaît parfaitement avec ment puis c'est un Prenez-le... « Il la brousse, et chasseur de lions réputé... il vous rendra de grands Vous verrez, services. » Mattoh s'était chargé de recruter Mattoh se retournait de temps en temps vers moi et regardait mon fusil une amusée. ironie puisque je te dis, Missi, me répétait-il à tout propos, que le lion n'est pas méchant du tout... Vous autres, blancs, vous vous imaginez toujours des choses... D'abord, généMais — Les joies plage que offre jointes nous magnifique, charmes d'une campagne aurez toujours une chevelure pro¬ avec un coup de « Marie-Rose » tous les jeudis, La Marie-Rose, liquide végétal parfumé, coûte 3 fr, 80 le flacon. fPharmac„ herborist.) pre colère... Car Mattoh n'était pas de ces indi¬ autres C'était au habitants de la brousse. contraire un homme intelli¬ gent et civilisé ; il avait suivi les cours primaire d'Ouagadougou et il avait par conséquent une certaine de l'école instruction. Au cours de ses différentes chasses, il avait soigneusement observé dérouleront. Il n'en faut pas plus pour qaie vous décidiez vos parents à vous nègres Mossi, les passer vacances à Houlgate. Houlgate ! Houlgate ! Vous en lions et tiré de ses observations conclusions sur les d'intéressantes mœurs de ces fauves. Et il me raconta que souvent des emmener perdu, Mme Poux, tué par la Marie-Rose, qui nous tuera tous ! ! ! dis !... Et puis le lion, il a peur de l'homme. La plupart du temps, quand des chas¬ seurs l'approchent, il s'enfuit : il n'at¬ taque que lorsqu'on l'a blessé ou mis — les sports. La perspective de participer aux grandes fêtes benjamines qui s'y Il est ga¬ Tu crois, Mattoh ? Mais puisque je te — et une aux ver¬ doyante et pittoresque. La possibilité de pratiquer tous — petite gènes naïfs et superstitieux qui vivent dans la terreur des sorciers, des lions Houlgate ! Houlgate ! GONDAMNË d'abord il aime mieux une zelle tendre et appétissante. •AHstetûl S '2'Ru^nSFiues â Novembre n.i S.. J les en Y<STEREdunSO/R OU PIERRE DUBARDON DETECTIVE PRIVE, Résumé des chapitres précédents Emile-Jean, jeune garçon de 12 ans, fils du célèbre industriel Carnavon, a disparu dans des circonstances incompréhensibles, alors qu'il était seul avec son père. Ce dernier fait appel, pour le rechercher, à le jeune détective privé Pierre son voisin Dubardon, qui raconte lui-même son en¬ quête çonne dans son journal intime. Il soup¬ Antoine le frère aîné de la victime. Il le suit, après s'être grimé, dans un bar où le jeune homme rencontre son ami Gulvère à qui M. Carnavon a fermé les portes de sa maison. Pierre Dubardon écoute leur conversation et croit surpren¬ dre un nouveau complot. Un jeune voyou vient chercher Antoine qui le suit à con¬ d'après ce que Pierre Dubar¬ entend, il s'agit d'aller livrer « un tre-cœur don enfant ; ». CHAPITRE Y Le repaire des bandits. théorie une l eut à ce moment une sorte de flottement dans mon en¬ y quête. Elle s'était précipitée de telle façon que j'en étais surpris moimême. Je voyais Antoine s'en aller et Gulvère rester, sans plus savoir quel parti prendre : devais-je suivre Antoine ^ ou filer Gulvère ? une de mes princi¬ sortis. Il produisit à nouveau alors une chose que certains pourront ne pas juger à mon honneur, mais dont Dourtant je ne rougis point et que je considère comme assez instruc¬ se — lion ne se serait douté de rien... Heu¬ reusement que tu étais là, Missi.,. D'habitude, chaque cette erreur, le lion fois vous qu'on fait mange.., L'ESPRIT D'AUTREFOIS Aurélien Scholl, qui avait beaucoup d'esprit, n'était jamais à court de répli¬ Un de pourquoi il ques. ses ne amis lui ayant demandé causait jamais avec un certain personnage qu'il connaissait bien Scholl répondit : Voici la raison de mon absten¬ tion : « Quand Z..., n'est pas de mon avis, ça m'afflige pour lui ; quand il est de mon avis, ça m'inquiète pour s> arc, il sortit du Au moment où je franchis la porte du bar, Antoine était encore sur le trottoir ; il semblait attendre une voiture qu'il avait dû charger d'aller chercher. grimage, car en passant près d'une glace je m'é¬ tais assuré que j'avais de la peine à me reconnaître moi-même, je ju¬ geai inutile de prendre de grandes précautions et, afin dé rester près du jeune homme, je fis tout simple¬ ment semblant d'attendre également voyou Confiant dans mon taxi. Mon hésitation dura quelques ins¬ tants, je n'ai aucune honte à l'a¬ vouer ; j'ai pour théorie, en effet, un qu'aucun homme n'est parfait. Mê¬ me pas moi. Je sais bien que cela n'a rien d'original, mais chez moi au moins, ce n'est pas uniquement Mais Comme je le me pensais, Antoine ne pas tout d'abord. remarqua au moment où il allait monter voiture, je dus avoir un mou¬ malheureux qui attira son attention, car il me regarda, me en vement teur, Pas de blague ! s'écrie un specta¬ je viens de lui prêter 200 francs ! Le délicieux Chocolat enveloppage d'une de professeur se promène dans la campagne avec quelques-uns de ses élè¬ ves. Devant un petit ruisseau, il s'arrête et, se tournant vers un des jeunes gar¬ çons réputé pour sa paresse, lui dit : Vous voyez X..., ce ruisseau ? Il est loin d'être comme vous. Il suit son en murmure tout l'angle de l'avenue Gulvère contourna un important immeuble, et y entra par une porte donnant sur une obscure impasse ; l'aspect vulgaire et sale Ternes, passage dérobé faisait avec l'imposante façade un contraste ce aussi saisissant que lorsque l'on dé- en timbres pour frais d'envoi). Vous pouvez en outre obtenir GRATUITE AU CINÉMA & UNE ENTRÉE PARTICIPATION à la LOTERIE NATIONALE Le Qualité Ecrire CHOCOLAT Chocolat d'été expérience me prouve, au contraire, que malgré sa jeunesse, Antoine a déjà une grande habitude des détectives et que ce n'était pas la première fois cru'on le suivait. cette la ver dans fût ouverte crosse de mon revol¬ ma sous mes pas, sans garant. portes s'of¬ Sur le palier, deux fraient à moi. Je me dirigeai d'ins¬ tinct vers celle sous laquelle pas¬ sait un filet de lumière. Derrière i'entendais des cris et des rires. Il ne me fallut pas longtemps pour me rendre compte que ces cris pro¬ venaient d'une espèce d'ovation que les bandits, déjà réunis, faisaient à leur camarade Gulvère, Et, vrai¬ ment ces messieurs-là ne man¬ pas, son arrivâmes grouillante reconnus que courant d'air m'en était Je pris le parti de filer Gulvère. Aussi bien lui ne me connaissait sais seulement que nous bientôt avenue Wagram, le bandit s'arrêtait au deuxième. Alors, je montai à mon tour, avec les plus grandes précautions. Cette façade brillante, cette porte secrète, cet escalier et surtout le personnage qui venait d'en gravir les degrés, tout me faisait penser que j'approchais d'un repaire de dangereux bandits. Marche par marche, je montais, à pas de loup, langage, je qu'aucune étreinte m'eût saisi à lu gorge et sans même que l'on tût fermé la porte du bas ; un violent nous rentrez chez nous... couvre des vices honteux et bas dans l'âme d'un homme qui a toutes les apparences d'une personne res¬ pectable et rangée (1). Il gravit petit escalier en co¬ limaçon sentant le moisi, mal éclai¬ ré, lugubre. Là, je ne pouvais évi¬ demment le suivre qu'à distance ; (1) un Métaphore hardie. • au Lait Beurville • Désaltère Exigez-le BEURVILLE, Service C. 11, R. Malebranche, PARIS-V<-* poche. J'arrivai heu¬ reusement sur le palier du deuxiè¬ me étage, sans qu'aucune trappe se Si 18 cls (joindre 1 fr. 50 caressant pourrait le croire au premier abord et sans réflexion, que j'étais mal grimé ; je sais trop que malgré ma jeunesse, je suis maître en cet art; - or BIlHpiaiieilllHIRlIIBlIRBlHHlli le temps. de plaqué UNE — c'est qu'il ta¬ d'une valeur de 15 frs cours. Oui, réplique le collégien, mais croyez-bien que cela ne l'amuse guère. ses UN SPLENDIDE BIJOU la cadence de ses pas, et comme je suis assez habile à comprendre ce expérience, quelque grande qu'elle fût, ne pouvait donc pas lui servir à. me démasquer. Quelques instants p„lus tard, il quitta le bar et s'en fut à pied d'un pas dégingandé, en flânant; en s'arrêtant souvent, soit aux devantures, soit aux attroupements. J'avais de la peine à Je suivre, non qu'il allât trop vite, mais cette lenteur m'exas. pérait. Comme on sentait bien là l'homme qui n'est jamais pressé et qui n'a rien à faire ! Je ne connais pas suffisamment la capitale pour pouvoir dire par quelles rues il me fit passer ; je Beurville blettes de chocolat achetée chez un de ses 2000 dépositaires à Paris Un mais j'avais la ressource d'écouter fiter de la voiture ? » Je dois dire que sur le coup, je fus froissé. Je haussai les épaules et, sans répondre, l'entrai à nouveau au bar. Mais j'avais tort, car cette expé¬ rience est pleine d'enseignements. Elle ne prouve pas, comme on Lait au propagande remettra gracieusement à chaque per¬ sonne lui faisant parvenir un des ment ssait talent. ..GRATUITEMENT.. et mal famée. A j'y vais juste¬ moi-même, voulez-vous pro¬ aucun — — dévisagea et, de la façon la plus chez nous, possède ne C'est un idiot, sans idées person¬ nelles... il répète ce que tout le monde dit. Monsieur Carabosse. la mémoire. naturelle du monde, m'interpella en ces termes : « M. Détective... si le vous rentrez je que à titre de Et la preuve, vas tend d me Je suis navré, Z..., le critique, pré¬ — Maintenant, le sujet qui a bien voulu répéter mes expériences va perdre — — geste tous ces m C'EST UN IDIOT — L'ÉLÈVE X... AVAIT DE L'A-PROPOS son SÉANCE D'HYPNOTISME pourtant, apportait aucun effluve inquiétant, et il avançait d'un pas majestueux et lent. Mon fusil était chargé, j'étais prêt à tirer. Les indigènes qui nous accompagnaient se disposaient à glis¬ ser de buisson en buisson, afin d'en¬ cercler le fauve qu'ils attaqueraient à préparatifs. Attends, Missi, murmura-t-il, tu veux pas croire ce que je t'ai dit... Tu le Grand Prix Eft celle-dû la coMiaiisseE-wms ? rencontrâmes notre premier lion. Nous étions dissimulés derrière un buisson ; le vent qui soufflait vers nous ne lui voir... Abandonnant (Dessin de J. Touchet.) C'est la tête qui compte,.. Jeannot-Lapin gagne Henry DORAC , tive. l'espèce de i : pales forces est de reconnaître im¬ partialement mes faiblesses. (Cette formule est assez satisfaisante !) Enfin, je me décidai à suivre le frère du disparu. J'appelai le garçon, je payai ra¬ pidement ma consommation et je J'eus le bonheur de le tuer net. Quelques minutes plus tard, Mat¬ toh, complètement remis de son émo¬ tion, me confiait : Tu as vu, Missi si tout a mar¬ ché comme je t'avais dit... Tu as vu comme le lion est resté tranquille : pas plus bougé qu'une statue... Seule¬ ment, à la fin, j'ai mal calculé mon coup... J'aurais dû marcher encore pendant trois ou quatre mètres avant de courir. Trois mètres de plus et le moi. — allons tourner une grande chasse au Jardin d'Acclimatation, tu venir, c'est sans danger ! Les fauves... ce sont les animaux du Zoo îles petits. toh. arbre, Mattoh arrêta d'un peux nouveau. sayer la flèche et à la lance. Nous malheureux mauvaise cartouche et tirai à Le fauve était déjà sur Mat¬ cette — de se réfugier au sommet d'un ils continuent d'avancer sans faire semblant de rien, Lorsqu'ils ar¬ rivent près du lion, ils le saluent en lui disant: « Salut, ô roi de la jun¬ gle I » Et ils s'éloignent d'un pas tran¬ quille... Et le lion, que fait-il ? Rien... Il reste assis sur son séant et il les regarde paisiblement passer... Mais s'ils faisaient le moindre geste un peu brusque, il aurait peur et se jetterait sur eux. Quelques instants plus tard, nous le Je pressai sur la gâchette, le coup partit pas... Nerveusement, j'éjectai suivant la piste qui —- ..^Immramimilllllllilllllllllll["" ne terrait se traverse la brousse, se trouvaient tout à coup, sans arme, en face d'un lion : Au lieu de s'enfuir, dit-il, ou d'es¬ — gt?bou^lrd'd|^'«| du cowair|.^RIS-5 , fourré où Mattoh. quaient au pas de franchise. En effet, ce que j'entendais alors n'était qu'une confirmation à laquelle j'at¬ tachais aussi peu d'importance que le calculateur expert à une preuve par neuf. Ah ! le voici le roi du crime, —i arrive luer aplJi fier braillait l'un. Messieurs, hurlait un autre, je toast au héros de l'af¬ faire des Petits-Pâtés (1). Vive Gulvère, surnommé la « Honte du Quai des Orfèvres ! » glapissait un troisième. Comment dire plus nettement que l'ami d'Antoine est plus fort que mes confrères de la police régu¬ — propose un ( — lière ?... J'aurais payé cher pour voir la tête de ces camarades-là, et com¬ bien pour les le trou de la ohotograihier ! Mais serrure '«Ici fitur était obstrué la clef. Il y avait pourtant par une assez large laquelle j'aurais peut-être apercevoir un. coin de la pièce, fente par pu entre le bas de la porte mal assu¬ et son encadrement, mais cette maudite porte s'ouvrait vers l'extérieur, j'allais l'apprendre aux dépens de mon nez ; en effet, com¬ jettie je m'accroupissais pour risquer œil, elle me heurta brutalement le visage. Quelqu'un sortait. me un (A suivre.) milieu du charivari de bravos, de chansons, de cris, de proclama¬ tions, de pupitres tapés, de vitres résonnant, de verres choqués, etc., je pus saisir le sens de quelques exclamations qui auraient été de nature à convaincre un enquêteur moins fin que moi ; — moi, j'avais déjà une opinion bien nette sur la nature de la profession du per¬ sonnage que je venais de suivre ; rar | P. G. C. : Jacques CHR1STIAND. le lecteur qui pren¬ Mémoires dans la rue des PetitsPâtés est en ce moment à l'ordre du jour, et son nom en manchette de tous les .iour." naux parisiens depuis une semaine, MM(1) dra Précisons, îes pour connaissance plusieurs années, reporters de ces que ayant présenté au tout à fait extraordinaire un bien banal qui y a été commis. comme publi crinif 'te rtjatmiir» SONT DE BONNE HUHEU. MONSIEUR Antoinin et M. Spiral Histoire de silence et de chant, X dans 1) une rue même calme. Il avait cherché W avant de découvrir cet apVvy partement au premier étage ^ immeuble d'un qu'en Spiral redoutait le bruit par-dessus j chose. Chez lui, tout était aménagé le silence. Les portes, garnies de rCt ne claquaient pas. Le sol, revêtu lapis épais, amortissait le choc des ns. Sa vaisselle était de caoutchouc aiiisé, de sorte que le contact des chettes et des couteaux ne produiaticiin son lorsqu'il était à table, x-/1 matin, comme il , en train de boire A café au lait dans use de caoutchouc, s lissa légèrement le JJ F à l'audition d'un / j r itait Iques secondes vieille maman près de quatre-vingt-dix Et son enfant, cher innocent, Avait quelques mois seulement... Avait M. Spiral WgJ personne Très bien. Rien de ^ |p chant. intrarié, mais très lossession de luiie, il alla ouvrir ;ntion de enêtre et jj 11 il 11 " la eut faire! sueur La marier à se d'autres chanson ""âg mon déjeune de Oh ! si ! répondit l'autre. Même j'ai fièrement croûté ! Et c'est jus¬ tement pour vous remercier que je suis — que tantôt. ce revenu C'était inutile, mon bon ami. Il est surtout inutile <!e chanter, je vous as¬ ans ! sure. Mais c'est — froide du vieille con¬ son tour Il y a du feu dans ton... Ecoutez ! reprit M. — poir, Spiral au déses¬ m'intéressez décidément. Mon¬ vous donc ! tez Antoinin pénétra dans la silencieuse retraite. Le maître du logis le fit asseoir, lui offrit du porto et des biscuits, puis l'interrogea : Pourquoi — riies chantez-vous les dans ? Parce que je suis en chômage, dit Antoinin. Ce n'est donc pas là votre métier habituel ? Dame! non. De mon métier, je suis dans la cordonnerie. Seulement, comme — avoir et demander Et il commença : de maman pas oour vous des sous ! C'est pour vous remercier ; laissez donc ! Je vais chanter : Il y a du feu dans ton regard de velours... innocents, ce qui rendrait la pratiquement interminable. — — Alors le brave capitaine milieu de la ssée, il aperçut ird une énor- Agonisant près de la fontaine, au jeune homme tout tremblant: « Epouse mon unique enfant ! » u j'ai Dit Ça y est ! pensa Alors il cria : — L'homme M. Spiral. — se vous avec — continuait l'autre, où l'on pourrait vous faire faire un excellent repas à mes frais. C'est un peu loin, par exemple. Cela vous est égal ?... Oui ?... Alors, attendez une se— y ami... A propos, appTlu, ———:—— Antoinin, je m'appelle. Antonin quoi ? — — Non — ouverture, et très convenable... Ne me remerciez pas, ce n'est rien... Au moment où il raccrochait, M. Spi¬ ral crut rêver debout : la voix d'Antoi- est un Antoinin. : Monsieur vous nm.'plus fausse à c'était jamais, retentissait Histoires de Violette-Jean. Dessins de J.-P CHAPITRE XII. Le avait JJ E n'ai pas connu les sept frères Mohican, les six aînés étaient beaucoup plus âgés que moi ; mais j'étais pensionnaire à l'Institution Perruche avec le dernier. C'était, viens, autant que je m'en bon élève, docile un et Combien de fois entendez-vobs des personnes plus âgées que vous, vos de faire pas un simple croquis ! Combien de fois tes entendez-vous regretter de une méthode vraiment efficace ! Or, la chance toute leur vie, Ma méthode ' A. B. C. ne avoir pu apprendre à dessiner suivant Cela vous vous — est offerte aujourd'hui d'acquérir ce qui leur a fait défaut de savoir dessiner.. serait en effet bien facile là méthode de l'Ecole A. B. C., dont aînés et qui a créé un cours spécia¬ lement réservé aux tout jeunes de huit à treize ans. Sans nuire à vos études scolaires, en consacrant au dessin un peu de vos loisirs, vous arriverez en très on '«très rapidement à " cro- vous avez ,r 'es mouvements les plus PiJes, élnsi qu'en témoigne cr°quis d'un de nos élèves. certainement entendu avec parler cet ordrd : « garçon visiteurs. « Sur la pancarte, il y. avait écrit : Prenez un quinquina Duchapeau. » Le dernier des Mohican devint de fureur et déclara qu'il ne plus les pieds dans ce café. Je n'ai pas d'ordres à recevoir d'un marchand d'apéritifs, dit-il pour rouge mettrait — pliné, mais sa docilité présentait cette particularité d'être raisonnée : le der¬ clore l'incident. nier des Mohican était fier et ne se laissait commander que par qui-de- nier des Mohican avait eu fin... je pourrais même dire : valeur. sa sur Le dernier des Mohican était un « caractère », Il apprenait l'harmonica, instrument qui convenait remarquablement à son naturel martial et chevaleresque. Il ne manquait pas de talent et jouait avec beaucoup d'ardeur. Un jour qu'il dé¬ chiffrait un morceau qui semblait l'ins¬ pirer spécialement, il me dit : Vois-tu, il y a une chose que je regrette quand je joue de l'harmonica, c'est de ne pas avoir la bouche libre pour chanter les paroles en m'accompagnant. La harpe présente ce seul avantage sur le noble harmonica de permettre les joies vocales. Mais, lui dis-je, es-tu certain que le morceau que tu joues comporte des paroles ? Bien sûr ; elles sont même écri¬ — parents eux-mêmes, regretter de ne pas savoir manief le crayon, d'être incapables Laissez-passer >>, de bureau, su¬ balterne infime, qui les distribuait aux que lui venait d'un sou¬ qu'après avoir longuement médité plaisir avec lequel vous parcourez vos journaux et vos revues pour y cher¬ cher les illustrations, les caricatures, les dessins humoristiques. Je n'ignore pas que vous vous amusez à crayonner sur tous les papiers qui vous tombent sous la main. Mais si ces essais témoignent souvent de dispositions très prononcées, ils ne représentent malgré tout que des gribouillages où les erreurs, l'inexpérience se révèlent à chaque coup de crayon. Alors, puisque vous êtes douéi pourquoi ne pas apprendre à dessiner? Pinchon de tous les tours ! disci¬ droit ; des conflits se livraient dans sa conscience chaque fois que son honneur discutait la provenance d'un ordre et il ne se soumettait à une puissance ne fait aucun doute : vous aimez le dessin. Car j'ai bien souvent remarqué £~*ELA le Eh ! bien, alors, et elles qui sont dernier des Mohicans un de ces caractères ! car rue. donnier d'en face ! Christian SCHEWAEBEL. M. Spiral prie M. Pondore de faire le « que dans la Hagard, l'ami du silence se rua à la et put mesurer la catastrophe : Antoinin avait été engagé chez le cor¬ Ah ! parfait... Alors, voici ce mot : — nouveau fenêtre Antoi¬ nin. m son restaurant, . gérant, qui distingua qu'ensuite le possesseur, me insignifiant. La bouche modifiait un a sîjo&de à j M sW é«5ire,, upw, n^ot, pfluç Je —voua dès ce soir. Je suis en relations le directeur d'un grand office de placement. C'est bien le diable si, muni d'une bonne recommandation, il ne vous trouve pas quelque chose. Le lendemain, le directeur de l'office téléphonait : Allô !... C'est vous, cher ami ?... J'ai le plaisir de vous apprendre que votre protégé est casé... Oui, chez un petit patron qui lui alloue un salaire — ï m'en —- une confus. Il entre temps je Vous préférez tout de même votre profession véritable ? Pour ça, y a pas de doute ! En ce cas, dit M. Spiral, considéra¬ blement soulagé, je vais m'occuper de tut, et le silence retomba pluie bienfaisante. Vous ne chantez pas mal ! cria M. Spiral dont l'indulgence et la dou¬ ceur étaient grandes, mais peut-être préféreriez-vous aller déjeuner ? L'homme eut un rire approbateur et comme belle voix, — Hep ! hep ! — une sers... oui'he ouverte. Bamment on ben ?... comblée : « Allons, bravo ! Assez, maintenant ! » à rait bien jS* se Allez vite, se précipitant tout pâle à la fenêtre, qu'est-ce qu'il y a... Ce n'était pas quatre-vingt-dix ans ne paraissait pas près de mourir. Quant" au cher innocent, on assistait, bon gré, mal gré, à toute sa croissance. Déjà il faisait son service militaire. M. Spiral entrevit qu'il pour¬ de mais d'une restaurant — plus. Il fouilla dans son gousset et, cette fois, jeta une pièce d'ar¬ gent accompagnée d'un bon sourire de permirent Spiral de cornidre qu'il s'agissait cAme exclamation ou » compte. ce en lui-ci n'agit 1, leur, à Avant trois heures et demie, les cla¬ de M. Antoinin emplirent de nou¬ veau la rue. Eh bien? s'écria l'ami du silence, ducteur qui manœuvre avec confiance un frein et s'aperçoit tout à coup que ce¬ lention iculée : meurs Sa povre ement juvante propre ami — n soudain qui de la rue ; la pose classique du pousseur de romances, et demeurait ainsi figé comme un personnage de gélatine. M. Spiral nota en soupirant qu'il eût été difficile de chanter plus fort et plus faux, puis jeta quarante sous dans la rue avec l'espérance de mettre un terme à ces vociférations. L'homme s'anima, fit un signe de gratitude, et alla ramasser la pièce sans se taire pour si peu. Il beuglait : diotant. son bonne heure ! arrière, il avait adopté gauche¬ en ment pre- autos ne passaient Je rares tirée chaussée de macadam jour sur une t muet, meilleur accueil à M. Antoinin, et de mettre le montant de son addition sur à sonores L'homme paraissait croire qu'il chantait : un bras ballant, l'autre sur la poitrine, une jambe longtemps DES ANIMAUX Christian Schewaebel par elle qui émettait ces ondes fêler les glaces des magasins. e n est pas sans raison que M. Spiral avait élu domicile tr. / AMI MITAINE, J'ai appris dernièrement Ce jour-là, le dernier des Mohican devint rouge de fureur et quitta l'admi¬ nistration. Je le rencontrai un jour au coin d'une rue et l'emmenai dans un café. Il prit un bock et commença de converser amicalement. Soùdain, je vis regard se poser sur son visage se durcir. son et une pancarte FABLE LA le der¬ une une triste triste faim. Le dernier des Mohican, en effet, est mort d'inanition dans une pièce dont il n'est pas parvenu à sortir. Vous pensez peut-être qu'un mau¬ vais plaisant l'y avait enfermé ?... Il n'en est rien, mais il y avait écrit sur la porte ce mot : « Tirez. » Alors, par fierté et par esprit de contradiction, le dernier des Mohican a poussé, pous¬ sé... et ouverte. DE que puis la porte ne s'est pas jEAN JOPSY. CORDELIÈRE -— par vos — de temps à dessiner. Et ce mot de joies ? peu Nous venons ne résume-t-il pas une somme incalculable Je regardai justement d'éditer pour vous un aibum de renseignements entiè¬ fait la je serai très heureux de vous envoyer aussitôt que vous m'en demande. Il me sera très agréable de vous lire, mes chers amis. Ecrivez-moi. Louis Bailly, Directeur de iC'u"e bien d un "e de l'Enseignement. amusante cari- nos élèves M. A. '"?• -Pour recevoir l'album illustré, il suffit de nous adresser le coupon ci-dessous, après l'avoir '■ en l'accompagnant de 1 fr. 50 en timbres français. 12, a.b.c de rue Lincoln - et s'écria : De quoi s'est mêlé siteur de musique que je — me 'a're Parvenir votre Album de renseignements iimkant vos cours de dessin et trouver ci-joint 1 fr. 50 ores français pour frais de port. exprimer ma reconnaissance. Votre méth'odesi bien adaptée à la compréhension en¬ fantine, sa clarté, sa brièveté, le dévouement de son professeur, ont transformé mon enfant. veux vous à toutes les autres branches. M. C., Autun. SONME.2 POfcT s.y-p. ce compo¬ de ne mes peu, FORT S V V. concierge. Son travail consistait princi¬ palement à demander aux gens qui sor¬ taient un menu papier portant ces Vous avez su l'intéresser lui donner le goût de l'effort et la passion du dessin. Ayant pris l'amour du travail pour art, elle l'a étendu DONNEZ FORT professeurs. il prit en dégoût la mu¬ sique à cause de l'influence que les auteurs exerçaient indûment sur son esprit. Le dernier des Mohican grandit et ne perdit rien de sa superbe. Il entra dans une administration en qualité de AU moment, où votre achève élève le Cours d'Enfants », je un montrait connais ? Je n'ai de directives à recevoir Peu à « :'cs"6Z me fureur que dessin, studio db (Champs-Elysées), PARIS qu'il J'expliquai alors au dernier des Mohican qu'il ne s'agissait pas d'un poème mystérieux, mais de directives au sujet du sentiment qu'il convenait de donner à la musique. Le jeune Mohican devint rouge de pas c°le ce les portées de sa musique ; c'étaient de brèves indications : « Cres¬ cendo, dolce, forte... » entre rement illustré que aurez italien. tes en mots : « Laissez-passer. Le dernier Croquis de chien remarquable¬ ment campé par un de jeunes élèves. nos des » Mohican fut un concierge de devoir, distingué, correct et déférent ; mais un j?'.!'', il s'aperçut Dessin ET DU CORDON DE SONNETTE de Gervv. Benjarn les Benjamines... Pour les Benjamines... Pour les Benjamines... Pour Juacufotte tMOfiquje "PETIT BATEAU" cit de "uitju&uji Çjzb fl&uto toub BenyimmJi Pour EXIGEZ LA CULOTTE MARQUE PETIT BATEAU MAMAN mies en : Habille-moi comme zephir grandir mes et c'est si Joli i G VOICI Il LE DOCTEUR,., Parlons inutile de s'efforcer à devenir un peu est Fabriquez vous-même malade Une de mes jeunes malades m'a confié le carnet sur lequel elle inscrit ses im¬ pressions. 5 novembre. — J'ai eu 14 ans le 25 oc¬ tobre. Je suis grande et forte ; j'ai le teint coloré. Je me porte très bien, mais Pourquoi n'essaieiions-nous pas de fabriquer nous-même une originale pe¬ tite table de chevet ? Prenez donc trois planches de simple bois blanc de la même largeur; deux doivent être de la même longueur. Les deux planches mesurant la mê¬ me longueur serviront de « pieds », la troisième se placera horizontalement sur les deux autres; vous la clouerez très solidement pour la fixer sur ces je suis trop grosse. Mes compagnes m'ap¬ pellent : « Grosse mère », « grosse nour¬ rice. C'est » mince vexant. pâle, et le monde comme Je voudrais Yolande être que tout si distinguée. trouve deux 11 faut que je maigrisse. Mais pour maigrir, il faut manger peu. Aurai-je le courage nécessaire ? 15 décembre. Je me suis enfin dé¬ cidée à manger le moins possible. J'ai commencé il y a une quinzaine de jours. Je n'ai pris qu'un petit morceau de viande, à peine de légumes, j'ai re¬ fusé l'entremets, bien que l'eau me vînt à la bouche, rien qu'à le voir et à le pieds. Cela fait, peignez la table de ripolin blanc (ou de la teinte assortie aux meubles de votre chambre). Et, pour finir, posez une glace bi¬ — seautée, taillée aux dimensions exactes de la table. Vous pourrez, par la suite, disposer cette table très « moderne » un joli vase de fleurs, ou d'amusants bi¬ belots de verre filé, un petit aquarium... été surpris. J'ai dé¬ j'avais mal à l'estomac, que je n'avais pas faim (quel affreux men¬ songe ! ) et que j'irai mieux en ne man¬ que une ou garnie de joyeux benga¬ cage lis... geant pas. 10 janvier. — Je persévère courageu¬ je mange de moins en moins. Les premiers temps, j'ai beaucoup souffert. Quelques heures après le re¬ pas, j'avais une faim de loup ; j'éprou¬ vais des malaises, des tiraillements dans l'estomac et dans la poitrine, j'avais des crampes d'estomac. A table, j'avais un grand désir de manger, je devais résis¬ Qu'il est agréable de se sement et ter à promener Depuis quelques jours, je n'ai plus faim. Je n'ai plus d'appétit. Je n'augmente plus de poids, mais maigris ne pas mine. Mes parents je j'ai mauvaise encore, me font la guerre pour leur février?-®* ' Enfin,- je maigris. J'ai perdu près de 3 kilogrammes. 12 février.— J'ai encore perdu 3 nou¬ 1er clasçe..:r jamais... plus appétissant forme que aussi... Nous 1 sommes encore revenus, bar¬ bouillés de chocolat jusqu'aux oreilles, les mains pleines de succulentes frian¬ dises!.. maladie. Puis, il m'a questionnée, m'a demandé pourquoi je ne mangeais plus. Il ne m'a rien dit, mais j'ai bien compris qu'il cause. Il m'a dit que je devais m'efforcer de manger, car, si je continuais à maigl-ir, il pouvait survenir des complications du côté des poumons ; qu'il allait me pres¬ crire des médicaments pour stimuler ion appétit et me fortifier. 1er mars. Après ma visite au mé¬ decin, j'ai recommencé à manger. D'a¬ bord j'ai dû me forcer, car je n'avais réellement ni faim ni appétit. Puis, sui¬ vant le proverbe, l'appétit est venu en la mine meilleure et m'a trouvé la peau moins flas¬ que. Je lui ai avoué pourquoi j'avais cessé de manger et demandé de de redevenir aussi grosse m'a donné un régime. 28 mars. — de poids sai\s J'ai encore être aussi m'empêcher qu'avant. Il repris grosse un peu qu'avant. appétit, mais j'observe régime. Je me trouve bien. Je reconnais que j'ai fait une bêtise, qui aurait pu me coûter cher. Je mange avec mon Professeur P. NOBÉCOURT. les dans les champs au retour. Nous avons fort agréablement fait connaissance ; nous avons galopé dans les champs émaillés de fleurs, nous avons aussi beaucoup chanté... nous avons même organisé d'amusants con¬ de « cris d'animaux », de cours « diction », de « chant »... Et nous nous sommes quittés, en regrettant que la promenade ne dure mais ne HORTEAC VISITEZ L'ILE et les cerises. doit aimer les épiles trouvez pas bons, vous ne ircam, heures 5 ♦ ans.. Rembourtetoén! lynda déjeuner fortifiant fD.ub» goûter délicieux D!?BEAUTÉ Profitez de la douceur des mois de mal Tout le monde nards. Si contre coucou ge Faites noyaux. QUI EST-CE QUI AIME LES ÉPINARDS ? juin pour visiter l'Ile de. Beauté. Pour votre voyage, utilisez au départ des principales gares P.-L.-M. les billets d'aller et retour ou les billets circulaires valables 45 jours. Ces billets comprennent le parcours maritime et vous permettent d'enregistrer directement vos bagages pt. le port ou la gare corse où vous vous ri .Tout Benjamin élégant s'habille dèz. Pour veuillez des vous indications plus détaillj renseigner auprès des sZ, ,| c'est tout simplement parce que vous ne les faire cuire... il est indispensable légumes fraîchement pas savez GRANDE MAISON Et d'abord, d'utiliser des cueillis. Enlevez les plus grosses queues. Puis lavez les épinards dans plusieurs eaux. Faites-les blanchir dans une marmite pleine d'eau bouillante, sur un feu vif, sans Paris 15-17 Rue Auber, assaisonnement. Egouttez- aucun les, et rafraîchissez-les avec de l'eau pressez-les dans un hachez-les très fine¬ ment, ou encore passez-les au tamis. Maintenant, faites jaunir un très gros morceau de beurre, ajoutez vos épinards, un peu de sel et du poivre, et laissez cuire à feu doux pendant vingt minutes. Servez-les garnis de croûtes de pain frites, ou d'œufs, soit durs, soit po¬ Ensuite, et froide. linge propre, demande recette... de et pour la qui benjamines aux spécialité enfants célèbre vêtements les épinards d'essayer ma me dire, la suite, i 31 par lëtii-'di^in'i'àn'ii tehîâîrigéiï.7'' o pi -1 -Cfxjr 11 ( f | _ç CROISSANTS de Chantemèle vous rien n'est plus délicieux à déguster que les croissants, pour le goûter, et surtout les croissants faits fidèle G. Ma rappelle C'est la laine de ce petit mouton que l'on tricotera un jour avec des aiguilles bien choisies. certainement remarqué, benjamines, qu'avec des aiguilles trop fines vous obteniez un tricot trop serré, manquant totalement de souplesse et d'élasticité — mais, qu'au contraire, avec des aiguilles trop grosses vous fabriquiez un tricot trop lâche, tout à fait mou et sans tenue. Nous vous donnons donc le conseil suivant ; essayez donc, avant de com¬ mencer un ouvrage des aiguilles de différentes grosseurs, avec la laine que vous devez employer, en tricotant quelques centimètres carrés. Ainsi vous choisirez, avant qu'il ne soit trop tard, celles des aiguilles qui convien¬ dront le mieux à votre laine. Vous avez chères mes dement. T. Les du d'Océanie... Tante SOPHIE. absolument, mais désagréable de passer pour une sotte, je m'absteins d'avouer mon ignorance et je me contentp d'acquiescer d'un air intelligent. A partir de ce moment, poursui¬ vit M. Pizani, la galerie du Palais de¬ vint le cadre de l'élégance et du bon ton. Il y avait déjà des petits magasins où il était très bien porté de venir acheter mille fariboles. Ce palais ap¬ partint successivement à Louis XIV, à Henriette de France et à Philippe d'Or¬ léans, qui donna de nombreuses fêtes dans ses jardins, alors qu'il était ré¬ gent. En 1789, la galerie du Palais ser¬ vit de repaire à Camille Desmoulins et à nombre de révolutionnaires. C'est là que fut complotée la prise de la Bas¬ tille. Longtemps les galeries furent le rendez-vous des mauvais garçons, et puis elles devinrent peu à peu un lieu il est toujours — calme et oublié. — comme — ner une : Alors, maintenant, la Palais galerie du redevenir élégante et animée autrefois ? va l'espérer ! Pour don¬ premier élan à ce mouvement journée d'inauguration officielle Il faut bien t&iA- dxmjc de sucre, 70 grammes d'amandes émondées et pilées, 170 grammes de mes farine, pâte, formez cette croissants. Glissez-les poudrés de sucre des petits four, sau¬ ce* vanillé. dorés... eh seront Lorsqu'ils au ,fuUUû., att'edyé-ce. yu&. demi-paquet de levure. un Avec c'etéqm &ùUoùteàde bien mangez-les... Plus que J'ai reçu, cette "Voilà, Monsieur Marius: amuser et régaler me! omis, les Benjamins, j'ai «# Pour trois jours... l'idée semaine, tant de jolis coloriages — accompagnés d'anomalies, plus ou moins de liste: anorma¬ habituelle, dans de jolie! boîtes concours. contient de vos amusantes illustrée en couleurs. une relié fouets pourra - ballons de foot-ba"' d'histoires marseillaises qu pourront faire avec les venir ils imageS sero" galéjades, les Benjamins donc sûrs d'avoir, sans concou'j' longue collection de maénV fiques cadeaux. Il ne leur coûtera pas autre chose que " sans acheter quelque chose, ferai déballer toute votre marchandise : je serai cliente et je me vous se vous un Pt"" collection articles de campement, etc. .etc. eil Sans compter le beau reçue marchande avec Mistinguett, avec Mona Païva, avec Marguerite Moreno, avec Victor Boucher, avec Claude Dauphin et puis avec moi, aussi. ferai la Je leur réserve d'ailleurs bie" d'autres cadeaux de valeur parisiennes. On J'irai CADEAUX d'une valeur de 6 Francs. jouer à la je de régaler de mes bonbons déliae" : malin plaisir de taquiner mes Mais, en dehors de ces deux jours de vente, à quoi jouera-t-on ? On jouera à regarder, de quatre à six heures, tous les après-midi, de grands artistes qui viendront sur une vendeurs. — GALÉJADES scène, disposée à cet effet, amuser le public. Toutes ces fêtes seront abso¬ lument gratuites : seules les chaises les concerts seront taxées MINTOSA à HII-CHO-KO 3 francs. Alors, je vais faire des écono¬ mies, monsieur, je vais porter ma voi¬ ture au Mont-de-Piété, je vais vendre — immeubles de l'avenue des Champs-Elysées... je vais faire n'im¬ porte quoi, mais sûrement je m'offri¬ mes rai une chaise à 3 francs. un VIOLETTE-JEAN. LA PIE QUI fée des gourmands _J yjf CHANT et re Sn su fte"' Ainsi, pour 20 de ces tickets* je leur enverrai un beau livre des fêtes se déroulera le vendredi 8 juin. Ce jour-là et aussi le vendredi 15 juin, toutes les boutiques de la ga¬ lerie et tous les stands installés dans les jardins seront tenus par des ve¬ i— Les 3°) de mettre également, dans choque boîte, un ticket qui p mettra aux Benjamins d'ovo'f presque tout de suite de BEAUX v, bt galé|WeS sement leur confiseur. S. £ tio réunir ces bonnes histoires sous une jolie couver' ture que leur donnera gracieu¬ première page.) et est et iamins peuvent riage cette bonne chance !... dettes bonbons vendue 2 Francs. colo¬ semaine... Bon courage et T. 20 2'1) de mettre dans chaque boV^ Bernard, m'adresser votre cher Chaque boîte parente. Que les retardataires se réjouissent donc, et qu'ils se dépêchent de rattra¬ per le temps perdu... Il faut qu'avant le 10 juin tous le;, concours aient été mis à la poste. Grâce à Benoîte, vous pouvez encore, ma chère Brigitte, et vous aussi mon fenêtre trani' avec si qi mes bonbons plus de la vente en vrac en Benoîte m'a conseillé de prolonger de trois jours l'échéance de ce : I") de vendre que — pour Je pense à la petite bibliothèque poussiéreuse où rêvaient deux Chinois pelés et un nègre tondu, et je de¬ mande fondre, belles fêtes Palais- Royal l'ignorais Je nous écrit-elle, 140 de beurre, ajoutez 70 gram¬ Faites grammes S. (Suite de la comme que à la maison. les... leur forme originale. Au¬ jourd'hui, nous vous signalons que, pour conserver cette forme originale des tricots, il est capital de les « bien tricoter », et pour cela de bien choi¬ sir vos aiguilles. Un tricot trop serré durcira terriblement au lavage ; un tricot trop lâche se déformera rapi¬ plus longtemps... Il faudra deman¬ der à Benjamin de nous faire visiter, une autre fois, une belle ferme la les qu'il épaississe. Parfumez-le au kirsch sur le matin et à 4 Echange admlc une et versez-le demandez à votre Cetieèu ehantanf : 4 © FrtI Qualité supérieurs : <6 Fr* Dépôts À Pari* s 75, Rua Lafayééta de temps. Placez les cerises sur un plat, et continuez à faire cuire le sirop afin ki pas Tu n'as donc pas apporté ton bateau? Non, je le garde pour la plage. Là, au moins, avec ma¬ rée, ce n'est pas le sens unique comme dans ton ruisseau. EnVoi casserole d'eau sucrée, les faites bouillir que très peu cuire dans sagesse, à moitié seule¬ queues ment. N'enlevez pas Je conserver course COMPOTE DE CERISES n'aiment pas Nous vous avions déjà indiqué la meilleure façon de bien laver et de bien faire sécher les tricots pour leur La Garanti Pour qu'une compote de cerises soit bonne, vôiûi la recette que je vous recommande : en vos 30 chés. Vous pouvez également ajouter de crème fraîche au moment de servir. *** — Aujourd'hui, le médecin fils. que nous force La Joie Enfants de échangeons Coupez Province Cou... cou!... Quelques bonnes sommés dé repartis pour Noisiel dans grands cars confortables, et nue nous avons respiré à nouveau ces nourrisants effluves... de chocolat... Les belles machines, les dociles ou¬ vriers, les tablettes, et la ferme, tout se trouvait à la même place, plus en Mes parents sont mangeant. « chiffres » qui vont bien surprendre : une laine de 4 fils composée de fils de 13.000 m. a pra¬ tiquement la même grosseur qu'une laine de 6 fils composée de fils de 20.000 m. : 13.000 et 20.000 m. repré¬ sentent la longueur de fil simple con¬ tenu dans 1 kilo de laine. Le titrage de la laine se compte d'après le nom¬ bre et la grosseur de chacun de ses Voici des vous de Je suis hideusement pâle ! Ma peau molle. Je suis fatiguée. J'ai peur de m'étre rendue très malade... avait deviné la A nouveau, est aucune ensemble.., Et c'est ainsi que nous kilogrammes. très inquiets. Ils ont pris rendez-vous avec le médecin. 18 février, — Le médecin m'a toisée, pesée, mesurée le thorax : il m'a palpée, auscultée, il a demandé un examen de mes urines et de mon sang, une radiographie du thorax. 11 a déclaré que, réserve faite du ré¬ sultat de ces examens, il ne me trouvait Lorsque nous parlons de la grosseur de la laine, nous ne nous inquiétons pas seulement du nombre de fils dont la laine est composée, mais surtout de la grosseur de chacun de ces fils. Vous n'ignorez pas, n'est-ce pas, mes chères benjamines, que certaines laines à 4 fils sont plus grosses que d'autres à 6 fils. La grosseur de votre laine dépend donc de la grosseur du fil simple. meilleurs camarades »... En effet, nous avions écrit aux meilleures élèves des lycées et col¬ lèges de Paris de choisir et de nous indiqtrèr la « meilleure-camaradeJ » de je mange. Ils commencent à s'in¬ quiéter et parlent de me conduire con¬ sulter notre médecin. Je leur affirme que je vais très bien et que, en majipeant 'igiSpeu, je né souffre pas de l'estomac. veaux obtenir. « que ' Savez-vous, mes chères benjamines, qu'il est indispensable, pour bien réussir un ouvrage de tricot, de choi¬ sir judicieusement les aiguilles que vous allez employer ? La grosseur des aiguilles doit dé¬ pendre de la grosseur de la laine uti¬ lisée, elle varie également selon l'épaisseur de tricot que vous voulez P Ix imposé : 8 f.. 75 nds Magasin? de Paris et de CUISINIÈRES LES recettes aiguilles à tricoter ses l'ai eu le grand plaisir, jeudi der¬ nier, de refaire l'agréable visite des usines du Chocolat Menier en compa¬ gnie de charmantes benjamines et de gentils benjamins... Cette fois-ci, ce n'étaient pas les « meilleurs élèves » de Paris que nous avions conviés, c'étaient les appétit. mon Il faut savoir choisir sur sentir. Mes parents ont claré table de chevet une POUR couture... de en petite' " BOB" gourmande* qu Ce cil 20 *li. ^gdjannin BENJAMIN ET LES SPORTS Les propos de Monsieur Champion au match de Coupe Da¬ France-Autriche, la grande se¬ maine des championnats de France internationaux a réuni un lot impres¬ sionnant de concurrents étrangers de Faisant suite vis Paris-Marseille à cent à l'heure (Suite de la première paye,) Les roues patinent en des étincelles. Le train projetant n'a pas 'BU| jjougé. Sablière... Les roues sem¬ blent s'agripper au rail. Tout dou¬ cement le convoi se met en mouve¬ ment... »* Sur la machine, l'impression n'a de commun avec celle que l'on rien dans un wagon. Le bruit d'abord. Bruit infernal ! a n'y de 9 milli¬ exigeait, il si longtemps, deux ma¬ a pas Toute pendant succession de tunnels traversée des monts une la d'Or. A toute vapeur nous nous engouffrons. Noir absolu... FuméeAir irrespirable. Bruit d'enfer... Les trois minutes me semblent heures ! Enfin, tout là-bas, un trois point jaunâtre. Un signal ? Non ! La sor¬ tie qui peu à peu grandit et que je franchis en respirant enfin large¬ ment un air pur !... Moi je reçois un jet d'eau sur les pieds ! C'est que je suis en plein devant la lance qui sert au chauffeur à le charbon avant de le met¬ dans le foyer. De cette façon, réaction chimique se produit moment où il brûle et il dégage une au beaucoup plus de chaleur. A Lyon, nous avons à nouveau changé de machine. Celle-ci nous conduira jusqu'à Marseille. A Avignon, il fait nuit. (es r ÎMtt îtallfc Le spectacle est beaucoup plus impressionnant que pendant la journée. Le foyer à la gueule béante, d'un blanc éblouissant, s'ouvre de rçii- s S«s te rtute en minute et éclaire brutale¬ ment la fumée qui- forme une sorte Lentement, lu machine enlève E le lourd train. auprès des¬ quelles les secousses des wagons sont de doux bercements propres ensuite, Secousses i endormir bébés. les Il faut aux mains courantes... Is s'agripper Poussière de charbon qui entre partout, dans la bouche, le nez, les yeux... On dirait qu'il sort de pe¬ tites escarbilles de partout : de la cheminée, du tender, du sol... Enfin, spectacle attirant de la voie qui se précipite vers vous et que, en se penchant, on voit droit devant soi, dans un vent furieux. >4. A droite de la »6. cabine, une boîte plombée avec un couvercle de f5. verre : le compteur de vitesse avec ses deux aiguilles, l'une que l'on de dôme au-dessus de la machiné. Vers l'avant on ne voit rien. Oà s'enfonce daits l'inconllu. Au loin, une lumière vingt secondes après elle derrière 61, lipht une iieùx vitesses dessus, .comme s'inscrivent aussi les si¬ gnaux fermés et les ralentissements 1 poiir cause de travaux. Le train se libère des aiguilles, ponts, gares de banlieue qui ré¬ duisent la vitesse. Peu à peu, de grandes lignes droites se présen¬ tent. Le régulateur est tiré davan¬ tage. C'est curieux, j'ai l'impression qu'on n'avance pas. Et pourtant un coup d'œil sur le compteur me & montre mon erreur 95... : 100... 110... 120 !... La grande masse de la machine enlève la sensation de "I vitesse que exemple. J l'on a auto, en en sans blanche, a disparu autre, une ainsi de fin... André BOLLAND. .que Jeudi dernier, je visitais avec Je croyais ligne de chemin de fer si « peuplée ». Et je suis surpris du nombre d'employés eu ne We soni pas une rencontrons nous vérifica¬ : teurs de la voie qui la parcourent sans arrêt, constatent l'état des tra¬ vrac olies colat Ménièr, dont on "vous a déjà par¬ lé ici. La visite de la fabrique proprement dite étant achevée, on nous conduisit à l'une de ses nombreuses dépen¬ dances : la ferme modèle. Il ne s'agit pas d'une petite ferme et d'un enclos où brouterait une chèvre. Mille deux cents hectares de cul¬ — ture, dit un des fermiers qui nous accompagne, et deux mille en prés et bois. Vous faites de l'élevage aussi ? Bien sûr : chevaux, vaches, mou¬ — — tons, — verse s Combien de personnes pour s'occuper de tout cela ? Cent cinquante environ. Commen¬ çons la visite par les écuries. Dans de larges stalles, au-dessus desquelles sont inscrits leurs noms, une vingtaine de gros chevaux reniflent et piaffent. des rails et resserrent les qui refont ,de s ballast le ou Justement, voici au loin un disvert posé près de la voie, j ver wunme retenu par une cieo- cible, le train ralentit. En moins de fOO mètres, la vitesse est tombée dani pe'' avoir ux kets, 10 à l'heure a et : refait on il faut marcher force invin¬ un pont prudence. l'obstacle on franchi, un signal blanc et, à noujeau, nous reprenons notre course '°lle, car il faut rattraper mainte¬ avec Puis, trouve nant les deux ou trois minutes de retard causées par le ralentisse¬ livre ment... pion A bief ur ■ bail labourage. au signe Ollfi. mécanicien du ..^uffeur met en action la ïéni- omentation, vérifie pV le tirage... et paille bien — On propre. change la litière chaque jour ? Deux fois par jour. Nous voici loin des étables sordides où les vaches couchaient sur un lit de fumier. — ces — Quel est l'emploi du temps pour dames ? Le matin, on vient les traire à ;,eu* I ke?t un bel exemple d'équipe. "aïs quel dur labeur que celui-ci. ! ^ chauffeur, sans arrêt, jette du j. 'rbon dans le foyer. Il transporte bj Sl Plusieurs tonnes de combustiLaiJ cours d'une étape de deux tarres ! Et il ne doit aussitôt la pas s'arrêter, pression tomberait >s la chaudière. 'heure, * en . quatre heures. Puis on les conduit au pré de six à treize heures trente. Le a 1 vit tesse avant Dijon, rattraPer se maintient au maxi- et nous abordons à toute al¬ possé¬ Et ceci fléau des m'amène à vous parler de ce auditeurs de radio dont les nerfs sont si fréquemment agacés par ces bruits intempestifs qui viènent troubler les auditiotts. Ce que sont les parasites en T. S. F. Ainsi que je vous l'ai expliqué dans premières notes les ondes sont produites par des séries de chocs, ou d'étincelles. Donc tout appareil produi¬ sant des étincelles envoie des signaux, des bruits, de même nature que les ondes radiophoniques; tel est le cas des moteurs, donc des ventilateurs, asmes —• Six à sept ans. Après quoi, on la vend Garros en véritable — tenu pour battre de vous vous en doutez 48" 2/5. en , Allons, la saison si téger la ligne de descente de l'antenne vers l'appareil à l'aide d'un blindage métallique relié à la terre où il en¬ traine les ondes indésirables et venues après l'entenne elle—même. Enfin, on place sur les canalisations électriques des filtres spéciaux, judicieusement choisis, et qui détournent également vers la terre Cette tout mêmes perturbations. ces question étant actuellement à fait à l'ordre du jour, d'assez nombreuses maisons ont créé de nou¬ veaux appareils ou accessoires aidant à cette protection : antennes extérieu¬ res verticales de pose facile, câbles bfindés constitués par un fil tendu aù eéntre d'un tube recouvert d'une tresse 100 mèa affirmé ainsi de sensibles progrès. dans Les <iuatre champions du double sourient aux Pendant antenne. (Dans prochain article commencera la d'un nouveau montage, sélectif et entreprendre pour grandes vacances.) mon deux Naas, as sur motos Gnome-Rhône, ont conditions imposées 94 heures 10. par le règlement en A R C T I C demi-finales. Mais là se dressait de¬ lui l'invincible Australien, Crawford. Sans se laisser impressionner par le renom de son adversaire, il l'atta¬ qua franchement, de tout son cœur. vant CANADIENNE — PARIS (17-) MAISON LA 28, RUE DES ACACIAS Téléphone: Etoile 12-20 partie qui enthousiasma tous les spectateurs présents, Boussus dut s'avouer vaincu, mais non sans avoir obligé Crawford à donner la mesure de son grand talent. Avec un peu de chance même, il aurait pu le vaincre. Pensez, chers benjamins, quel exploit c'eût été. Battre ie champion du monde ! Après une Pendant m a n ce l'Alle- temps, TOUT Von d LE POUR Tente. 99 Sac à dos. 15 Gilet cuir. 59 Canoë Pjra.975 .... Cramm, faisant preuve de belles qualités, lifiait . . se qua¬ pour la PÏIfe finale aux dé¬ pens de l'Italien de S t é f a n i sa Poursuivant série de succès, . France, en chouc contre 3 fr. timbres, ou un canif extra cont. 5 fr. bat- bout ,fuji ,£0,$ réelle, empoignade. où, les tre joueurs luttèrent avec victoire de leur surer la boxe, merveilleux moyen d'éducation physique et moral Professeur CUNY 16, rue Nicolo, Parls-16* « —- POUR LES VACANCES des qua¬ ardeur à as¬ Camp. Combien de moutons ? — Quatre cents. — Ils sont parqués dans une très vaste construction. Ici pas de stalles numé¬ rotées : on s'installe où l'on veut, sur la belle paille fraîche; Au milieu, il y de petits râteliers bas, tout ébou¬ riffés, où les moutons viennent mordil¬ ler distraitement de temps à autre. a Ils restent ici le matin à brouter leur paille. Dès midi, on les mène au pâturage jusqu'au coucher du soleil. Et les jours de pluie ? Ils restent dedans, et on leur LOUVRE — — donne du foin Eux, — ou de la luzerne. donnent-ils que Leur laine. — en retour ? Six livres environ à chaque tonte. Venez voir la tondeuse électrique. Dans une petite pièce bien close, est installée une machine qui rappelle — en plus gros — le « tour » du den¬ lieu d'être terminé par au un fraise, c'est mouton avec cela ? Six minutes, très exactement. Nous passons chez MM. les gorets. — petits logements bien provoquent la sympathie et l'admiration de tout le monde. Je me demande alors pourquoi on fait au cochon une réputation Si mal¬ veillante. ]e crois que jadis, ce a n'étaient pas eux qui étaient les plus fermiers qui ne nettoyaient jamais leurs loges. Ils mangent délicatement une bonne pâtée chaude, faite de résidus de son sales : c'étaient les et de farine. Vous ne sauriez croire combien c'est appétissant. Les cent cinquante porcs passés en revue, il nous reste à visiter la volaille. Celle-ci s'égaille un peu partout. Ce sont des poules Houdan, pour la plu¬ y en a savez près de huit cents. combien le fumier est les terres labourables -de la ferme. même, grais I on achète encore de l'en¬ Aussi produit-on toute l'avoine, l'orge et les betteraves nécessaires à la nourriture du bétail. On produit aussi du blé, mais celui-ci est vendu aux minoteries. La ferme possède plus de vingt véhi¬ les conduisait à l'abreuvoir ; mais on cules — remarqué que souvent elles se bles¬ quoi on a ciment qui trouve servie à domicile. Combien une vache fournit-elle de litres de lait ? Dix-huit à vingt par traite, soit — — trente-cinq à quarante litres par jour. Et une vache peut vivre...? — : charrettes, tombereaux, bala¬ deuses. Elle utilise deux tracteurs de treize et trente-cinq chevaux. Elle a sa propre batteuse pour les céréales. En remontant dans les autocars allaient nous ramener à qui Paris, plus d'un benjamin, j'en suis sûr, s'est re¬ tourné pour voir une dernière fois la de la ferme où les ombres s'allon¬ geaient sous le soleil de cinq heures. 24.406 MAIUOT 54.293 CHEMISETTE do sport 24.405. faineàcôtesnat- (il et 5 à 8 ans coloris divers. soie 9 à 12 13 à 16 MAILLOT 55.506. laine à côtes, rayé SANDALES 53.898. ENSEMBLE blanc et tier. jade, rouge nationale rouge, box blanc, toile bleue, nattier. roy ou semelle cuir verte ou brique. oubeige.culotte 19.75 21.75 chromé. ton opposé. bordeaux. La marinière : Vesie assortie. 54.272-SLIf-OVER tricot pure laine, 20 au 27. motif brodé, blanc, rouge, marine. 2 à Chaque pièce : 3 et 4 ans 5à8 6à8ans 10à12 14et 15 16à18 9 à 12 13à 16 4 ans 23.75 Uns. 22. 25. 29. 33. 37. bis. SHORT pont, toile 5à 8.. 28* 53.839 blanche 13 9à12. 34. 13 à 16 40. 28. 30. 32. à simili tussôr. 11 à 7 à 10 ou 3 à 6 ans 5 è 8 ans 9 à 12 ans 13 à 16 ans 27.488. ENSEMBLE pour le sport toile apprêt fil bleu. 6 les betteraves, à soigner les petits moutons... Jacques NIL. Venez DIORAMA DES Demandez notre 8 ans 10 ans ans, ans ans ans au # ans • cour Ils ont regretté de ne pas demeurer avec les gens de la ferme, à cultiver ans 13.14.15. 21.50 14. 12 14 24.so 28 34. 35.37.43.45. 16. Le pantalon forme à pont ; 16. 17. 27.5o 35 39. 6 à 8 10à12 14 et 15 16118 16 18 30.50 18. 39.41.49.55. 08 C au visiter fr. "*»ll et une paire courroies caout¬ finale. C'était décidément la période des ré¬ sultats imprévus. Nos deux ex-mousquetaires, Borotra et Brugnon, après venaient à frfr- KIIN catalogues en Cramrrf tant, à l'inverse en pleine forme. de tous les pro¬ nostics, l'Australien Crawford et ins¬ crivant pour la première fois son nom au palmarès de l'épreuve. Du côté des dames, même surprise, alors que l'on escomptait la victoire de l'Américaine Miss Jacobs, ce fut l'Anglaise Miss Scriven, d'ailleurs ga¬ gnante l'an dernier, qui remportait la long débat, fr• les pour nnii champion de le Australiens Crawford et Mac Grath. Ce Remy VALIN. ». motocycliste motocyclistes Bernard terminé leur tour de France. Ils ont effectué leur course, dans les Vaillamment, notre champion Boussus, en belle forme, écarta un à un ses adversaires des premiers tours, tant et si bien qu'il parvint aux un la boucherie. Nous passons ensuite au quartier des moutons. La bergerie, en somme. Mais ici, pas de rubans roses au cou des agneaux. Il paraît même que les bergers n'ont plus de flûte. Les et se réalisation vos brasseur Le Tour de France ces ardentes puissant, que vous pourrez « de la fin/de benjamins. huit jours, que de lut¬ déroulaient sous un ciel uniformément bleu et un soleil ardent... tes maison vient de lancer à l'occasion de la Foire de Paris une réelle nouveauté appelée Dielaformer. Celle-ci consiste en un jeu de deux même le Mais on sait que Cartonnet est avant tout un une appareils placés à l'antenne même et au poste récepteur et qui sont reliés par une ligne blindée. L'appareil placé à portée de la main comporte des bou¬ tons de réglage et permet d'éliminer à volonté, et suivant les nécessités ou leur nature, les parasites devenus gê¬ nants, même ceux venant par la cana¬ lisation électrique. Cette installation offre, de plus, l'avantage de pouvoir distribuer en même temps à plusieurs appareils récepteurs des ondes radiophoniques différentes reçues sur la libre. Il très nage métallique, filtres de toutes formes et toutes puisances. Enfin pas Diener bat Cartonnet. Au cours d'une réunion au stade des Tourelles. Diener a réussi à battre Cartonnet de descente de l'antenne et les cana¬ lisations électriques qui les transpor¬ dire le plus haut possible et à l'exté¬ rieur des maisons. Il faut ensuite pro¬ s'annonce ne mal... natu¬ dehors de leur rayon d'action c'est-à- de deux anglais, que détenait Jules Ladoumègue, et à Skavinsky de courir — exploit — remarquable — un 400 mè¬ tres rellement, ces bruits circulent par con¬ séquent sous forme d'ondes à travers l'espace et atteignent l'antenne, le fil tent jusqu'au récepteur en venant l'ali¬ menter. Pour les éviter, il importe donc tout d'abord de placer l'antenne en — des France nager. Comme champion grand un record le milles 1 pirateurs de poussière, etc... qui en em¬ ploient. Tel est aussi le cas des son¬ neries électriques, des vibreurs, et en général de la plupart des appareils électriques d'usage industriel ou mé¬ pour soir, on les trait une seconde fois à cinq heures, et on leur donne un peu de fourrage. Quand boivent-elles ? Deux fois par jour. Autrefois on freins, '"ceèrl: courbes> côtes, travaux se -nt vilement que nous prer#4 a fan"1.'1 minutes de retard qu'il en se Enfin certains commencent à der un dispositif antiparasites. Et fait faire une gouttière de court le long des stalles. Lorsqu'on veut faire boire les bêtes, on ouvre un robinet, la gouttière se remplit d'eau, et chaque vache se 1otis particulier. ser saient entre elles dans leur hâte de se servir avant leurs voisines. C'est pour¬ Parcours le plus dur du petites ondes désagréable, qui une produit important pour la culture. Ici, on en recueille six mètres cubes par jour, soit près de deux mille deux cents mètres cubes, par an. Rien n'est vendu : tout est utilisé pour engrais¬ exactement, nous arri- route ! 'aiet malheureusement Vous a rÇ(S.a Laroche — 6 minutes d'ar"••icli 'e temPs de changer de tajn lne>ded'accrocher une « mounfaire l'essai des affaiblissement produit, trop souvent, sur les tent, si part. Il —- v0n évitent intermit¬ en un pompe le graissage, cet Ils occupent de le f r teéi et Cependant d'assez nom¬ présenté des postes réduits pour auto, fonctionnant parfaitement, et vous permettant de tenir le volant tout en écoutant, à cent kilomètres à l'heure, le bulletin météo¬ rologique du lendemain. La plupart des bons appareils sont maintenant présentés au public avec le montage antifading, c'est-à-dire qu'ils propres, et Un geste du chauffeur et le mémain, soulève la sue'1 wte du foyer sans perdre de vue 'u'ili I1 instant les signaux qui se suc¬ ,ro"l bien moins ». L'étable est vaste, claire, aérée. Les bêtes y sont à l'aise, sur une litière de aiicien, d'une ageS rent. Un encore breux constructeurs ont Passons à l'étable. role ! etc■■■ constater la Rolland distingue. se — Plusieurs sont actuellement au travail. On les emploie au charroi et — — deux hommes qui conduisent train ne s'adressent pas la pa¬ faut classe. Le stade était transformé tour de Ballet. Rochard La réunion des grands trios des jeu¬ nes et des grands prix d'honneur a obtenu un vif succès. Elle a permis à Rochard que nous avons toujours une large tondeuse qui s'emmanche à l'extrémité. Lors¬ qu'on établit le contact, la tondeuse se met à cliqueter à une allure folle. Combien de temps pour tondre s... -es il souvent qualité « une les nnes Me et » tiste. Mais »nts... {.en- tion — re"f sans cesse..., surs d'abord des appareils miniature, si pe¬ tits qu'ils tiennent presque dans le creux de la main ; mais petitesse ne veut pas dire toujours « simplifica¬ et volailles. porcs Voulonset que les vibrations desseremployés des si¬ est gnaux, qui en vérifient le bon fonc¬ tionnement..., équipes de répara an!1 loîte Tout vogue une — me! de perfection étonnant, des appareils tels que les G. M. R., par exemple, sont de véritable chefs d'œuvre. j'ai visitée à Noisiel avec 150 benjamines et benjamins désignés par leurs camarades de classe. centaine de benjamins l'usine de cho¬ par s: parler des nouveautés vous elles n'y manquaient pas. La T. S. F. atteint maintenant un point AH ! QU'ELLES SONT BIEN, LES VACHES de la ferme modèle moderne.. bande' siP deMjtlfc^et cfet-' s'inscrivent : suite, toujours, place sur la vitesse maximum à ne pas dépasser ; l'autre qui indique la vitesse du train. Automatique- 16. voici encore... Et nous autre une Je vais car chines. tre BENJAMINS Les merveilleuses nouveautés et les parasites de la T. S. F. lure la célèbre rampe mètres par mètre qui arroser at LES : notre SPORTS (Salle Marengo) Catalogue de Bains tfe Mer • 1 Benjamin s Pour les j'étais Si poëtes, et pour les gourmands.. tan- un LES PROPOS DE M. BONJOUR Cassez-vous bien la tête ! Dialogues pour Astyanax, par idée Violette-Jean PETITE MYTHOLOGIE » V. » — Un caneton. La maîtresse. C'est très et la maman des canetons ? René. Un canari. — Je — pas com¬ un y bien..., ne le gaspille pas, je fais les Invalides, le Pan¬ théon, les Arcs de Triomphe de l'Etoile de Cadet-Roussel... {Envoi de Jean Coulon.) HORIZONTALEMENT premier trait rapide d'un dessin, l'ébauche d'une peinture ou d'un ouvrage Le littéraire. — 8. Un pronom indéfini. — Au panier, à la tasse. — 11. Au sub¬ jonctif du verbe rire. — 13. Désigne tout le monde et personne. — 14. Qui ne se fatigue jamais. — 17. Brillante victoire de Napoléon 1er, donnant son nom à un pont de Paris. — 18. Réunion de fête mon¬ daine. — 19. Petit poème du moyen âge. 21. Agent de liaison en temps de paix. 23. Arme ancienne de trait. — 24. Le maitre de la basse-cour. — 26. Adverbe de lieu. 27. Espèce d'euphorbe. — 31. Pour appeler. — 32. Nuance. — 33. Terminaison de verbe à l'infinitif. — — Aussi nombre de trouva-t-elle un Que phone et Proserpine. nous révèle Pernotin, Sournoisement, elle les changea tous grenouilles. en Et les autres prétendants, alors ? L'un d'entre eux, Neptune, ne se consolait pas très facilement. Il tour¬ nait continuellement autour de Cérès Dont toujours il Et que régala, se jamais rien n'égala ! Ce Paul est à la fois cuits flattez, cher Jean Mignon ! Une benjamine de Provence, Fran¬ çoise Quédec évoque une certaine Jeannette, pas toujours raisonnable, vous me t monde; connaissant ses exquises qua. lités, elles vous en donneront certaine, ment ! Enfin, voici un quatrain d'm benjamin d'Esbly, P. Fontaine : sait que j'aime les rimes riches, aussi ne s'en montre-t-il point avare : Loin par le train, Paul s'en alla Roi Mais point n'oublia le gala un homme de précaution, et un connaisseur ! Les trois poètes ci-dessus mention, nés ont chacun gagné une boîte de bis. : de la Gourmandise. « Démon de la Gourmandise », eh ! eh ! ce titre ne me déplaît pas du tout, grand prétendants. Elle choisit Jupiter et eut deux enfants : Persé- le pensez bien, Démon Quelle femme précieuse! — vous Adoré de tout benjamin, Gala Pernot, chose exquise, Elle était donc également profes¬ de biscottes. Eh bien! j'espère! seur fort semaine cinq quatrains particuliè¬ réussis, parmi tous ceux que Mignon le plns les yeux : sous est de demander à vos mamans des Galas Pernot le plus gentiment du sage que je sais, moi... Cérès aussi, probablement. — train lui tombe je car petite affaire, que de choisir cha¬ Jean anciens à faire des biscot¬ Les biscottes... heu ! est-ce que — part des une tes ? 9. — Mort au Charabia! aux la je reçois, dont beaucoup ne sont pas mal du tout, quelques-uns très bien, et tous très gentils et montrant de la part de leurs auteurs le plus vif désir d'être agréables à leur ami Pernotin ! Voici celui d'un benjamin vendéen, Et les biscottes, qui est-ce qui a — Galas surprend nulle¬ de ? Evidemment, la recette est bonni je prie les lecteurs de Benjamin de ne pas l'ébruiter : des enfants pea scrupuleux simuleraient plusieurs foi de violentes par heure fureurs pour faire consoler au moyen de Galas Per. not, c'est peut-être ce que fera Jean, nette elle-même, si d'aventure ce qua. rement culte pour le pain et pour le blé. Il avait une déesse des moissons qui appris des la faire taire mais après- ceux ^ Suprêmes » ! d'ailleurs, ne sais qu'ils ont bon goût ! Ce n'est pas, des les anciens, apprit aux hommes à faire du pain. 1. moi-même, benjamins, s'appelait Cérès. C'était la fille de Sa¬ turne et de Vesta et c'est elle qui, selon {Envoi de ]. Grosclaude.) SIMPLE ERREUR Un élève lit : « Les principaux mo¬ numents de Paris sont : le Louvre, le « ment ton piller, ça? Mais songe donc, petit malheureux, que les anciens avaient — et gaspille petits bonshommes avec la mie. Et alors, ça ne s'appelle pas gas¬ — Palais-Royal, ne — Qui me dira s'appelle le petit canard ? René. On lui montre un gala Pernot Et la paix revient aussitôt ! Cela, pain. CHEZ LES PETITS ment Les malheurs de Cérès. - me Astyanax, — Monsieur, est-ce que « bonbon traduit good-good ? (Envoi de Denyse Prud'homme], La maîtresse. de mérites des signification (bon) ; le petit — se Comment peut-on Pernot, Le professeur donne la l'adjectif « good Roger lève le doigt. t foi de Pernotin, tant les benjamins célè¬ brent l'envi les à AU COURS D'ANGLAIS de n e jeannette fait la colère, Quand orgueilleux, j'aurais la plus haute t i Gaby Le. celui-ci, outre son quatrain, a fait de moi un por. trait très original. Mes compliments. Pour jeudi prochain, vous pouvez, chers benjamins, exercer votre mes muse sur un sujet non moins déli. cieux, le « Suprême ». PERNOTIN. Pernot, de même que fèvre et Pierre Fiévet ; N a — VERTICALEMENT Sert pour monter à cheval. — 2. At¬ tention diligente. — 3. Signifie « sans per¬ sonnalité ». — 4. Clef musicale. — 5. C'est le diable en personne. — 6. Soit pronom, soit préposition. — 7. Retirer un avan¬ 1. tage, profit d'une un chose. — 10. Solution du dernier problème de Vocabulaire — lui en reprochant de ne pas l'avoir épousé. Ter¬ rain. — 12. Emploué. — 15. Réfléchi. — 16. Pour nettoyer ie logis. — 20. Voûte devait la barber, cette pauvre Il — femme. supportant les piles d'un pont. — 22. Pro¬ personnel familier. — 24. Démonstra¬ tif. 25. Vieux mot signifiant camp ou armée. — 28. Mesure itinéraire chinoise. — 29. Signifie souvent « dans ». — 30. Pré¬ position formant particule ou titre. nom Naturellement, — — puis, et dans l'Olympe, n'est-ce pas, on jasait... si bien qu'à la fin, Cérès est allée se ca¬ cher dans une grotte pour avoir la paix. Bonne idée. Eh ! non, ce n'était pas une bonne — Le Carnet de Monsieur Bonjour — idée, L*Atuagagdluitit est Un journal sep¬ tentrional imprimé au Groenland et tiré chaque mois à 3.000 exemplaires que lisent les Esquimaux. Il est composé à l'aide de linotypes à la lueur de lampes à huile de foie de morue, et il est transporté par des traîneaux attelés de chiens ià moins de 1.800 kilomètres du pôle. (Envoi de France Jauffret.) — Ne ment dites jamais : ombrageuse L'allée était avec ses arbres, telle¬ que le cheval prit peur et se cabra ; dites : L'allée était tellement ombragée d'ar¬ bres, le cheval prit bra, il était ombrageux. que peur et se ca¬ des pendant parce que, récoltes • la déesse que abandonnait monde, la terre ne le ainsi produisait plus rien prix de est 10 francs la ligne de 36 lettres ou signes. Ce prix est ramené à 5 francs la ligne pour les petites annonces non commerciales transmises par nos abonnés. POUR VILLÉGIATURE VOTRE Geltic Hôtel, Pen-Guen, Saint-Cast (C.-du: un bon hôtel dans un beau pays; les conforts: golf, tennis, plage, fo¬ rêt. Un club des benjamins sera spécialement créé à Pen-Guen. Séjour de « comme ça... » Pas exactement, il raconta à Ju¬ — piter qu'il avait vu. Jupiter envoya les Parques apaiser Cérès et elle con¬ sentit à revenir dans l'Olympe. Quel sale caractère ! Elle était, en effet, assez irri¬ table. Il y avait en Arcadie, chez un peuple appelé les Phigaliens, une sta¬ ce — — tue de Cérès qui se trouva brûlée par accident. Les Phigaliens négligèrent de remplacer la statue et Cérès fit sévir la famine dans leur jusqu'à ce qu'ils réparassent leur faute. C'était une femme insupportable. Il faut avouer qu'elle avait beau¬ coup d'ennuis et que sa nervosité était pays — — excusable. Qu'est-ce — qu'on lui a encore fait ? Pluton, le dieu des Enfers, lui en¬ leva sa fille Proserpine pour se marier — avec elle. Etait-elle — majeure, cette nommée Proserpine ? Je n'en sais rien, en tout cas, on aurait pu demander l'assentiment de fants délicats mère. Cérès se donc toute seule à la recherche de sa fille. Elle s'arrêta à Eleusis et s'assit pleurer sur une pierre que depuis lors les habitants de la contrée appe¬ lèrent Pierre Triste « ». Evidemment, il était difficile de l'appeler « Pierre Gaie ». — A Athènes elle fut reçue par un homme du nom de Céleus. Cérès lui fut reconnaissante de son hospitalité et elle fit présent à son fils Triptolème d'un char attelé de dragons. — Quel cadeau à faire à — Il devait Mesdemoiselles Maillard. Pensions de famille et d'enfants. Carnac-Plage (Mor¬ Mais, d'enf. (Hte-Savoie), 1.000 m. altit bord, des for., bs soins gar. Mlle Pariat, en gde-mal„ Vac. p. d'air et de repos. idéal. vacances pêtre Luxeuil-les-Bains, Hôtels Métropole, Parc, Thermes. Station de la femme et de l'enfant. Centre din, salle à de Tourisme manger Conditions spéciales de Benjamin. au-dessous de dix carte fam. plus ayant : réservés aux aux porteurs Demi-tarif ans. 15 jar¬ enfants. parc, % aux de de réd. de 2 enfants la enfants aux eux. avec Camps Jean Lasse. Voyez près : Sèvres. Berck-Plage. Villa Normande. t. conf. cuis. soig. jardin boisé. Pens. 30 à 40 fr., annexe p. ENFANTS seuls, tr. surveillés, b. nourri, jx. s. plage, pens. 20, 25 fr. net. 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Level, 54, av. du Roule, Neuilly-sur-Seine. chemin de Ker du NORD d£M4nL \&6 pi ifouuUULaJb^ d^Tiiâpo'dt à Mala Ijlô JL= : Cette déesse que j'ai hébergée quel¬ temps, que savez vous qu'elle ce a donné à mon gamin avant de partir ? un char avec des dragons ! il y a vrai¬ ment des gens qui n'ont pas de tact. » Cérès traversa la Lycie et comme des paysans troublaient l'eau d'une — fontaine où elle voulait boire, elle les changea tous — une en y- grenouilles. Que d'histoires pour retrouver fille qui était mariée et probable¬ ntédcsdenti ment très heureuse ! Elle l'était en effet. Elle régnait sur les enfers avec Pluton, mais sa mère ne le savait pas et elle se faisait — beaucoup de soucis. C'est Sicile que en la pauvre Cérès finit par rencontrer la nymphe Aréthuse qui lui donna de bonnes nouvelles de Proserpine. En fin de compte, il faut recon¬ naître que Jupiter ne l'avait pas ren¬ due très heureuse, cette pauvre Cérès. Il ne la soutenait jamais, il la laissait — débrouiller se ça, sans toute seule. doute, qu'elle C'est pour craignait que Pluton ne fût pas gentil non plus pour sa fille. VIOLETTE-JEAN. LE BRESIL 1. Rio de Janeiro, capitale, la plus belle baie du monde. Le « Pain de Sucre », rocher de 387 mètres, signale l'entrée de la passe. Commerce de café et de caoutchouc. — 2. L'Etat de Sao-Paulo est le premier produc¬ teur de café du monde. Santos-Dumont, aéronaute brésilien, né à Sao-Paulo, est un des premiers constructeurs de ballons diri¬ geables et d'aéroplanes en France. — 3. A Sao-Paulo, Institut pour l'étude des venîns de serpents et réserve de serpents veni¬ meux. — 4. Dans les Etats de Parana, Santa Catharina, Bio Grande do Sul, cul¬ tures de céréales : blé, seigle, orge. — 5. A Porto Alegre, grand commerce de vanille. 6. A Rio Grande, construction de ba¬ teaux. —- 7. Le tatou habite les « campos », découverts. — 8. espaces Les termites, construisent des termitières aussi grandes que des maisons. — 9. Les pécaris habitent en bandes nombreuses les endroits four¬ rés. — 10. Dtamantina, ville autrefois très riche en diamants. — 11. A Ouro Prelo, gisements d'or. — 12. Les lamantins fré¬ quentent les côtes et embouchures des fleu¬ ves du Brésil. — 13. L'empereur du Brésil, — dom Pedro, a proclamé l'indépendance du Brésil en 1822. — 14. Le tapir vit dans les lieux marécageux. — 15. Bahia, place forte, — 16. Pernambouc, com¬ bois, café, caoutchouc. — 17. Na¬ tal, tête de ligne des grands itinéraires aériens Europe-Amérique du Sud. — 18. Les singes d'Amérique sont généralement cigares. et sucre merce de très doux et inoffensifs. Ils ont la queue prenante. — 19. Les tribus indiennes ha¬ bitent la zone des forêts vierges. La sarba¬ cane est leur arme préférée. — 20. De grands paquebots relient directement Manaos, sur le Rio Negro, à l'Europe. — 21. Le port de Belein fait un grand commerce de caoutchouc. — 22. Le jaguar est le fauve le plus féroce de l'Amérimie. — 23. Dans les forêts vierges de l'Amazone pous¬ sent les principaux arbres caoutchouc. Le caoutchouc de Para, obtenu par inci¬ sion de l'écorce, est le plus pur. — 24. Le châtaignier du Brésil produit une graine connue sous 25. Les du Brésil. le nom de noix à du Brésil. — infestent les cours d'eau 26. La Victoria Regia est une caïmans — magnilique plante d'eau qui ressemble à un nénuphar géant. — 27. Manaos est l'entre¬ pôt de tous les produits de la région. — L'acajou et le palissandre servent à la construction navale et à l'ébénisterie. — 29. Le grand tamanoir se rencontre dans la forêt vierge... — 30. ...où se rencontrent des grande également Dapillons d'une beauté, les oiseaux-mouches et les plus belles orchidées. — 31. C'est également l'habitat des perroquets multicolores et des toucans. 32. L'Etat de Mato Grosso con¬ — tient de richesses forêts vastes minérales. et de grandes PARAGUAY merce de peaux, riz. Sébastien tabac, oranges, canne à sucre, — 34. C'est le navigateur italien Cabot qui a reconnu le Para¬ guay. URUGUAY 35. Montevideo, là capitale, fait un im¬ portant commerce dé bestiaux, laine et viande. Fray-Bentos, fabrication d'extraits de viande. L'Uruguay exporte des viandes conservées. Ses usines fabriquent le « Lie- big ». recommandé aux fu¬ meurs. Il laisse dans la bouche une sensa¬ tion de fraîcheur très plein de grosses astuces LES POUTRES Dt BOIS Une poutre cylindri- bois pèse Quel est le poids d'une autre poutre du même bois dont le diamètre est 2 fois plus grand, mais la longueur 2 fois plus courte Assomption, la capitale. Les oranges du Paraguay ont un goût exquis. Le thé est exporté en grandes quantités. Com¬ 33. Le DENTOL, eau, pâte, pou* dre, savon, est un dentifrice à la fois souverainement anti¬ septique et doué du parfum le plus agréable. Créé d'après les travaux de Pasteur, il est tout parti eu I i ère m en t persistante. IN PETIT PROBLÈME 28. que de 200 kilos. ? Les deux poutres étant de même bois, le rapport entre leurs masses est le mê¬ me qu'entre leurs volumes. Or, le poids de la 2" poutre se trouve DENTOL se trouve dans bonnes Maisons vendant de la et dans toutes les Pharmacies. Le toute» ' Parfum®' vo¬ lume d'un cylindre varie en raison de la 2' puissance de son rayon et en raison de sa hauteur. C'est Nr2 X H en conséquence, le aug¬ menté quatre fois par l'augmentation diamètre et diminué deux fois par diminution de sa longucui. du la re da Pathé Baby, caméra, films, accessoires, bon enfant ! voisins lei tr< 1rs écri. content, Céleus... Ah ! oui, j'imagine ce qu'il a pu dire et faire quand Cérès a été partie. Il a con¬ fisqué char et dragons, le petit a « au du di: DIVERS foot-ball b. ét. 15 Caumartin. Paris. être hurlé et Céleus racontait d' tio ch tei Ibry, Neuilly, 167, bd. Bineau. Cure d'air i&ëâlé ëiif. dep. 3 a. 1S.c. iiblï; Parc, 32, (S.-et-O.). tat qu r. ait., Cour- LEÇONS TENNIS A arr (15*), Roule, Neuilly-sur-Seine. 3 h. un mi rir Ec. de pl. air vac. be lio de Vaugirard ru n. (S.-et-O,) Montagne 500 et 1.300 m. ait., pens. j, filles, enfants, Mme Roche, Uriage (Isère), 2 h. 30 Paris. Les Pinsonnettes, mais, enf. j. f. conf. Sur. méd.. étude facul, 40 hect. bois, dom. Clairefontaine, p. Ligny-le-Châtel (Yonne). garde- près Morzine. Home pour jeunes gs, M., Mme de ds cam. Savoie). 47, 360 trav. Mont. Pens. Enf. sports, 3. Royan. Tél. ou Morzine. Vendée. p. Famille; vie bon air, sans cesser occu¬ pations Paris, 18 min. St.-Lazare, B. ch. parc, prix mod. Pension les Pins, 1, rue Jeanne-d'Arc. et Vac. mer Lycée. G. L., 164, Vac. et Tte l'année mer enf. j. gens (Etudes). Prêtre directeur, Ker Maria, St- Georges, fam. près écr. Curé de Méry-s.-Oise rens. aux HOTELS ET PENSIONS Vs irez en Essert-Romand, plaignit à Jupiter qui donna raison à Pluton. 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