Dossier De Presse LÉCOLE DES VENTRILOQUES

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Dossier De Presse LÉCOLE DES VENTRILOQUES
Dossier De Presse
L!ÉCOLE DES VENTRILOQUES
Alejandro Jodorowsky
CRÉATION MONDIALE
présente
L!ÉCOLE DES VENTRILOQUES
d!Alejandro Jodorowsky
Mise en Scène : Jean-Michel d!Hoop
Marionnettes de Natacha Belova
Interventions du vidéaste-plasticien québécois Michel Hébert
et
Musique live par Pierre Jacqmin (bassiste du groupe rock VENUS)
Théâtre de la Balsamine (BXL)
12 > 16 février 2008
+
4 > 15 mars 2008 21:00
relâche dimanches et lundis
Atelier Théâtre Jean Vilar (LLN)
19 > 29 février 2008 20:30
(19:30 les jeudis 21 et 28 ; 24 février à 15:00)
(relâche le lundi 25)
« Céleste, héros de cette folle aventure, tombe de nulle part dans une ruelle déserte.
Pris de panique, il se sauve et atterrit dans le jardin d!une école peu banale, l!école des
ventriloques, dirigée par le Sacro-Saint Directeur. Parachuté dans ce monde parallèle où les
marionnettes font la loi, il se démène comme un beau diable pour trouver sa voie. Y
parviendra-t-il ?
Au confluent du rêve et de la réalité, nous voici plongés dans l!œuvre d!un visionnaire
provocateur !
Un texte rythmé et féroce, la verdeur d!un langage qui transgresse toutes les règles
par le truchement de la marionnette : tout est permis dans cet univers déjanté
et ludique…
Ce conte philosophique nous émerveille, nous fait peur, nous fait rire, agissant tel un
miroir déformant des nombreuses facettes de notre personnalité.
Un spectacle aux frontières du rire, là où la tragédie humaine devient grotesque…
Dans cet univers proche de ceux de Kafka et George Orwell, les acteurs manipulent
des pantins de taille humaine, à moins que ce ne soit l!inverse… »
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La genèse
Nous avions un sujet et des envies. Nous cherchions un auteur. Alejandro
Jodorowsky est apparu comme une évidence. En 2004, au Théâtre de la Place des Martyrs,
nous montions son Opéra Panique et il nous avait fait l!honneur et le plaisir d!assister à notre
avant-première.
Nous connaissions donc l!œuvre et l!homme. Il connaissait et appréciait notre travail
et très vite nous avons trouvé des points communs entre nos recherches respectives.
Dans un premier temps, ces convergences se situaient au niveau des thématiques
abordées : l!Homme en quête d!identité et, plus largement, la construction insidieuse d!une
identité nouvelle dans une société de plus en plus sécuritaire ; la dénonciation du rapport
récent de l!INSERM (Institut National de Santé et de Recherche Médicale), en France, qui
préconise le dépistage des futurs délinquants dès l!âge de trois ans ; l!Homme en lutte avec
ses démons intérieurs ; l!Homme et sa relation au Divin, au Destin ; l!artiste, sa place, son
rôle aujourd!hui, etc.
Dans un second temps, nos envies se sont rencontrées sur le plan de l!esthétique et
des codes de jeux : utilisation de mannequins et/ou marionnettes ; une écriture à la frontière
de l!absurde, de la dérision et flirtant même avec le théâtre épique ; une langue suggérant
plusieurs niveaux de lecture ; un théâtre loin de toute psychologie ; la poésie et l!humour
comme refuge, comme exutoire de nos angoisses existentielles, etc.
Alejandro Jodorowsky a tout de suite accepté de jouer le jeu avec nous. Il est parti
d!un texte qui sommeillait dans un de ses tiroirs et qu!il avait envie de réveiller : L!Ecole des
Ventriloques, un texte pour acteurs et marionnettes. Le hasard a voulu que Natacha Belova
et moi avions envie de prolonger l!expérience menée sur une de nos créations précédentes,
Le Village en Flammes de R.W. Fassbinder, pour laquelle nous avions travaillé sur des
costumes-objets proches de la marionnette.
Ce nouveau texte donnera lieu à une publication en français (éditions
Maëlstrom) et espagnol. Nous sommes fiers de pouvoir en assurer la première mondiale.
Notez aussi qu!Alejandro Jodorowsky nous fera le plaisir et l!honneur d!assister à l!une de
nos représentations (date à fixer encore).
L!École des Ventriloques, n'est-ce pas une école de théâtre, d'art dramatique, une
école où l!on apprend à jouer? Le propos sur le théâtre, ce regard sur soi, est déjà implicite.
L!École des Ventriloques, n!est-ce pas aussi une métaphore sur notre société qui
voudrait formater l!individu sous le rouleau compresseur de l!uniformité pour en faire des
citoyens modèles, des agents économiques rentables, calmes et dociles, facilement
manipulables (comme des pantins ?), des individus qui auraient perdu leur langage propre ?
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Le mot du metteur en scène
Avant toute chose, ce doit être une comédie ! Une comédie grinçante. Une comédie
dans un univers froid, inquiétant, oppressant. Une comédie métaphysique. Une comédie
onirique.
Je vois la pièce comme un conte. Ca doit émerveiller d!abord, faire peur et faire rire
et, l!air de rien, aborder des questions universelles et existentielles. Les intentions ne doivent
jamais être trop explicites, le sens doit toujours rester ouvert. On ne doit pas travailler dans
l!imitation de la réalité, mais inventer des situations oniriques permettant au spectateur de
rêver d!abord, et créer avec ce rêve un faisceau d!interrogations - excitations qui peuvent lui
donner envie d!ouvrir de nouvelles portes.
De la liberté d!être soi-même… Je vois la pièce comme un combat : le combat,
intellectuel d!abord et physique ensuite, que se livre l!homme (Céleste) pour se débarrasser
de l!homme ; je veux dire par là de sa condition d!homme, de la pesanteur comme
métaphore de la mort.
Il veut voler, l!homme. Avec cette pièce, tout de suite les grands mythes fondateurs
frappent à la porte.
Il veut échapper à sa fin, l!homme, défier la mort et effacer toute trace d!un
quelconque destin.
Il voudrait être Dieu, l!homme.
Il voudrait être libre, l!homme, alors que tout ici-bas l!enchaîne, l!emprisonne : des
besoins vitaux les plus élémentaires aux limites rationnelles dictées par son cerveau capable
de n!appréhender la réalité que selon un spectre de prismes relativement réduit ; alors il
invente la foi, l!homme. Alors il invente la poésie, l!homme. Alors, il invente les marionnettes,
l!homme.
Je vois cette pièce comme une métaphore du métier d!acteur : qui est-ce qui existe
sur les planches l!espace de la représentation ? Le personnage ou l!acteur ? Qui manipule
qui ? Quel est le point de fusion entre le personnage et l!acteur ? Quelle est la liberté d!action
du personnage et quelle est celle de l!acteur ? Le personnage porte en lui peut-être la
somme de tous les acteurs qui lui ont prêté voix… Prêté voix… Peut-être les acteurs ne fontils que prêter voix au personnage ? Acteurs et poupées ventriloques, serait-ce la même
chose ? L!espace d!une représentation, d!une vie ?
Je vois la pièce comme l!aventure humaine de la construction/destruction du Mur :
le Mur est le Tout. Le Céleste tout entier, l!Humanité tout entière. C!est tout ce qui nous
enferme malgré nous et à cause de nous aussi. Nous le nourrissons ce mur. Il est vivant, ses
contours sont flous, il se compose et décompose en autant de briques, pierres, cellules miroirs de nous-même que nous ne reconnaissons pas, peut-être parce que nous sommes
aveugles. Ou alors ne regardons-nous pas au bon endroit ? C!est le mur matrice qui nous a
accouché et qui nous enferme. La prison. C!est le mur de la carapace humaine, du corps
limité et contraignant, lourd, pesant. C!est le mur que nous construisons et qui empêche la
rencontre. C!est l!Obstacle Suprême que, dans notre orgueil d!humain, nous voulons abattre,
mettre à bas. C!est le mur qui nous forme et nous déforme, ce sont les arêtes du berceau et
celles du cercueil, la boîte crânienne et la boîte à surprises. Le Mur qui fait que nous
sommes, au fond, seuls face aux grandes questions existentielles, à la Naissance, à la Mort,
à Dieu… Le mur n!a pas d!âge, il a tout vu, tout entendu.. Peut-être va-t-il parler ce soir ?
Jodorowsky met en scène une société où tout doit être compartimenté, surveillé, bien
rangé, aligné (jusqu!à la mort où l!on aligne les cercueils, les tombes les unes à côté des
autres) ; une société qui voudrait fabriquer l!homme parfait en série ; une société dont on ne
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sait plus qui tire les ficelles… Et dans laquelle c!est de plus en plus difficile de savoir quel est
son rôle et lequel jouer. Il décrit un univers oppressant, insaisissable, tout le temps en
mutation et qui fait de nous des mutants.
Le mur nous crée. C!est cela. Nous créons le mur et il nous crée. C!est un jeu sans
fin, un système vicieux. On ne sait plus qui a commencé, on a oublié, on ne sait plus quelles
sont les règles alors on en invente de nouvelles, au cas par cas. On ne sait pas très bien qui
sont les autres joueurs et quels sont leurs desseins. On ne sait pas très bien déjà son propre
dessein, destin, alors on s!en invente…
Je vois la pièce comme l!histoire de la gravitation. Il y a un trajet du haut vers le bas ;
l!espace d!une vie en bas pour tenter de rejoindre le haut ; toucher le haut ; avant de
retomber en bas mais un peu plus loin, peut-être…
Et puis rire, sûrement !
Photo de répétition (N. Belova)
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Distribution
Mise en scène : Jean-Michel d!Hoop
Assistante à la mise en scène : Coralie Vanderlinden
Avec :
Cyril Briant
Sébastien Chollet
Pierre Jacqmin
Emmanuelle Mathieu
Fabrice Rodriguez
Anne Romain
Isabelle Wéry
Costumes et marionnettes : Natacha Belova
Coatch marionnettes : Neville Tranter (Stuffed Puppet Theater)
Assistante Costumes et marionnettes : Sandrine Calmant, Aurélie Borremans,
Emilie Plazolles, Françoise Van Thienen.
Musique (composition et interprétation) : Pierre Jacqmin
Interventions Vidéo : Michel Hébert
Scénographie:Aurélie Deloche, Michel Hébert, Natacha Belova, Jean-Michel d!Hoop
Eclairages : Xavier Lauwers
Traduction : Brontis Jodorowsky
Assistante de Production : Catherine Ansay
Un spectacle de la Compagnie Point Zéro en coproduction avec Le Théâtre de la
Balsamine et l!Atelier Théâtre Jean Vilar. Avec l!aide du Ministère de la Communauté
française Wallonie-Bruxelles – Service du Théâtre.
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Jodo en deux mots
Alexandro Jodorowsky est né le 7 février 1929 à Irique, petit bourg du nord du Chili,
où ses parents, un couple de Juifs russes fuyant les pogroms, sont venus s'installer. Avec
son théâtre de marionnettes, Jodorowsky a parcouru le Chili en tous sens, et en 1953 il quitte
le pays. Destination Paris, où il commence par forcer la porte du Mime Marceau. Il lui écrit
quelques-unes de ses plus célèbres pantomimes. Cinq ans plus tard, il abandonne pourtant
la troupe, devient peintre en bâtiment, fréquente les surréalistes et fait la connaissance de
Maurice Chevalier, qui l'engage pour dépoussiérer son spectacle.
En 1962 avec Roland Topor et Fernando Arrabal, il crée le Groupe Panique, pied de
nez insolent et rigolard à l'intransigeance du mouvement surréaliste. L'histoire en retiendra
quelques happenings inénarrables, où se côtoient humour, performances sportives et
pornographie.
En 1965, Jodorowsky s'embarque pour le Mexique, dans les bagages du Mime
Marceau, qui lui a demandé de rempiler pour une tournée sud-américaine. Il y reste huit ans.
Le temps de créer le Théâtre d'avant-garde de Mexico, d'adapter au cinéma une pièce de
Fernando Arrabal, Fando et Lys, puis de tourner ses deux films les plus célèbres, El Topo et
La Montagne Sacrée. C'est également au Mexique que Jodorowsky touche pour la première
fois à la bande dessinée. Pour le dessinateur Manuel Moro, il imagine le personnage d'Anibal
5, et lui-même illustre pendant cinq ans ses Fabulas Panicas (fables paniques) pour un
hebdomadaire de Mexico. En 1973 c'est le retour en France et la mise en chantier de son
adaptation de Dune, film sur lequel il travaillera jusqu'en 1979 mais qui ne verra jamais le
jour.
En 1980 Jodorowsky et Moebius se lancent dans Les Aventures de John Difool. Avec
celles-ci, Jodorowsky fait une entrée fracassante dans le monde de la bande dessinée
européenne, dont il devient l'un des scénaristes les plus originaux - et les plus prolifiques : il
imagine des histoires pour Arno (Alef-Thau), Georges Bess (Le Lama Blanc, le remake d'
Anibal 5 et Juan Solo), Zoran Janjetov (John Difool avant l'Incal), Boucq (Face de lune),
Silvio Cadelo (La Saga d'Alandor), Juan Gimenez (La Caste des Méta-Barons), Jean-Claude
Gal (La Passion de Diosamante), Durandur, Jean-Jacques Chaubin, Kent Hutchinson, Victor
de la Fuente et, toujours, Moebius (Griffes d'ange et Le Coeur Couronné) En 1996,
Jodorowsky reçoit à Angoulême l'Alph'art du meilleur scénario pour le premier volume de sa
nouvelle série avec Georges Bess, Juan Solo. Il arrache ainsi la reconnaissance d'un milieu
qu'ont longtemps déconcerté sa débauche d'énergie tous azimuts et une tenace odeur de
soufre mystique.
Outre ses activités de cinéaste (il a sept films à son actif, le dernier, Santa Sangre,
tourné en 1992), Jodorowsky est un spécialiste incontesté du Tarot de Marseille, un maître
de conférence anachronique qui, chaque semaine, devant une assistance fidèle, extirpe de
l'Almanach Vermot quelques leçons philosophiques, l'inventeur du concept de psycho-magie
et un écrivain de plus en plus assidu.
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En 1998, il écrit le scénario de la série Les Technopères avec Zoran Janjetov aux
dessins et Fred Beltran aux couleurs. En 1999, Angoulême consacre à Jodorowsky un étage
de son théâtre, où l!œuvre d'une vie est résumée en une dizaine de scènes, couvrant aussi
bien son travail de cinéaste que de scénariste de bande dessinée, de romancier que de
poète mystique. En 1999 sort Mégalex avec Fred Beltran. En 2001, avec François Boucq, il
sort Bouncer.
En 2002, réédition de la série Diosamante avec Jean-Claude Gal et, en même temps,
sortie du tome deux, La parabole du fils perdu.
En 2004, parution chez Albin Michel de la série Borgia, dessinée par Manara.
En 2006, parution en janvier du tome 2 de Borgia, le pouvoir et l!inceste chez Albin
Michel et, en septembre, du tome huit Les Technopères, chez les Humanoïdes Associés.
Egalement, sortie du tome cinq de Bouncer, et une réédition de l!intégrale de L!Incal.
Toujours la même année, publication d!une série intitulée Astéroïde hurlant : plusieurs
histoires folles mises en scène par différents dessinateurs.
En 2007, parution de La Caste des Méta-Barons avec Das Pastoras.
Par ailleurs, il n!a cessé de publier romans, recueils de poèmes, pièces de théâtre,
ouvrages sur la pratique du Tarot divinatoire, scénarios de bandes dessinées, et a donné de
multiples conférences un peu partout dans le monde.
A près de quatre-vingt ans, Jodo n'à pas fini de faire parler de lui...
Parmi ses publications :
- Le théâtre de la guérison (Albin Michel, 2001) : un petit traité sur le pouvoir de
guérison de l'imagination ;
- Le paradis des perroquets (Albin Michel, 1984; Flammarion, 2001) ;
- Le doigt et la lune - Histoire zen (Albin Michel, 1997) : La rencontre de l'auteur avec
un moine japonais installé au Mexique et fondateur d'une école zen. Un recueil de
plusieurs histoires qui forment un tout ;
- La sagesse des contes (Vivez soleil, 1997) : recueil de contes ;
- L'arbre du dieu pendu (Metailié, 1996) : L'auteur raconte son histoire familiale en la
fantasmant. Dans son récit qui part d'Ukraine vers le Chili et l'Argentine, il mêle
baroque juif d'Europe Centrale et délire latino-américain… ;
- L'enfant du jeudi noir (Metailié, 2000) : la suite de sa chronique familiale tout aussi
débridées ;
- La tricherie sacrée (Dervy, 1990) : l'auteur livre ses souvenirs dans un entretien
avec Gilles Farcet
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Point Zéro en deux mots
Point Zéro est un collectif d!artistes formé en 1993 autour d!un spectacle fédérateur :
Yvonne, Princesse de Bourgogne de Witold Gombrowicz mis en scène par Jean-Michel
d!Hoop.
En même temps que nous recevions le prix du meilleur spectacle de la COCOF en
1993, nous ouvrions un nouveau lieu dédié à la jeune création : Les Vétés (ancienne école
vétérinaire d!Anderlecht). De 1993 à 1998, nous l!avons animé et géré, puis, nous avons
troqué les carrelages de notre clinique vétérinaire pour les velours et les dorures du Théâtre
de la Place des Martyrs, où nous sommes restés jusqu!en 2005. Aujourd!hui, Point Zéro est
une compagnie conventionnée en résidence au Théâtre de la Balsamine.
Point Zéro a toujours voulu privilégier la recherche d!auteurs trop peu présents sur
nos scènes et qui méritaient de l!être ! C!est ainsi que nous avons voyagé de Gombrowicz à
Carole Fréchette en passant par Fassbinder, Hugo Claus ou Witkiewicz pour finir chez
Alejandro Jodorowsky. Point Zéro entend toujours remettre en question la méthode de travail
elle-même : nous abordons chaque projet avec l!a priori que chaque texte nécessite une
démarche artistique singulière. Au-delà des questions qui nous semblent essentielles à
poser via notre art, nous pensons qu!il est indispensable d!interroger le langage lui-même.
S!il fallait tisser un fil dramaturgique entre nos spectacles, il serait tendu entre un
univers onirique et la réalité crue ; il nous emmènerait certainement aux frontières du rire, là
où la tragédie humaine devient grotesque.
Les créations :
Yvonne, Princesse de Bourgogne de Witold Gombrowicz, à l!ancienne école vétérinaire d!Anderlecht (les Vétés)
Premier Prix du Jeune Théâtre de la COCOF.
Peer Gynt de Henrik Ibsen, création aux Charbonnages du Membourg en coproduction avec le Théâtre de l!Ancre et le Festival
des Rencontres d!Octobre.
Le Fou et la Nonne de S.I. Witkiewicz, création au Théâtre de la Balsamine.
Prix du meilleur Espoir Comédien (Karim Barras) + Prix de la meilleure Scénographie (Marcos Vinals Bassols)
Bon Appétit, création collective aux Halles de Schaerbeek.
L!Eveil du Printemps de Frank Wedekind, création au Théâtre de la Place des Martyrs.
Des Jours et des Nuits de Harold Pinter, création au Théâtre de la Place des Martyrs.
Le Masque de la Mort Rouge d!après Edgar Allan Poe, création au Théâtre de la place des Martyrs.
Le Village en Flammes de R.W. Fassbinder, création au Théâtre de la Place des Martyrs.
Plat du Jour, création collective au Théâtre de la Place des Martyrs.
Thyeste de Hugo Claus, création au Théâtre de la Place des Martyrs.
Cirk!Ikar de René Bizac, création au Théâtre de la Place des Martyrs.
Opéra Panique de Alexandro Jodorowsky, création au Théâtre de la Place des Martyrs.
Jean et Béatrice de Carole Fréchette, création au Théâtre de la Place des Martyrs.
King Leopold II de Jean-Pierre Orban d!après Mark Twain, création au Théâtre de la Place des Martyrs.
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CONTACTS COMPAGNIE
Point Zéro
43, rue Hennebicq 1060 Bruxelles
www.pointzero.be
[email protected]
Direction Artistique: Jean-Michel d'Hoop: 0496 200 510•
[email protected]
Administration: Catherine Ansay: 0486 577 952•
[email protected]
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