Dossier de presse - Théâtre du Passage

Transcription

Dossier de presse - Théâtre du Passage
© artaban.tv
Hyfi?
danse
chorégraphie de David «Dayva» Haeberli
mise en scène Matthieu Béguelin
ve 11 mars 20h
sa 12 mars 18h
grande salle
Dossier de presse
Théâtre du Passage
Saison 2010-2011
Chargé de communication:
Benoît Frachebourg | 032 717 82 05 | [email protected]
Hyfi?
une création de «Dayva» David Haeberli
Après la création de Shewoam interprété dans la grande salle du Théâtre du Passage et son one
man show La vie c'est show!, Dayva propose un voyage à travers les sensations.
Hyfi? signifie ‘How (do) you feel it?’
Dans un décor neutre, Dayva vous guide dans une balade explorant différents ressentis, passant du
rapport avec soi-même au rapport avec les autres.
Comment la communication évolue-t-elle?
La technologie prend une importance fondamentale dans la relation avec autrui. Elle ne cesse de
progresser du point de vue technique. Mais la communication direct devient rare dans certaines
relations voir même inexistantes.
Hyfi? rappelle aussi l'abréviation de ‘high fidelity’ (haute fidélité)
A quel point restons-nous fidèle à soi-même, à nos propres envies?
Savons-nous rester fidèles à l'amour ainsi qu'aux valeurs humaines?
Des questions existentielles sont abordées de manière originale utilisant le langage corporel et
musical. Danse urbaine et contemporaine, mime burlesque, musique électronique et acoustique,
multiples moyens d'expressions interprété avec humour et justesse.
Cinq sens nous donnant mille raisons d'exister!
Hyfi?
“How do you feel it?” Comment le ressens-tu?
Pro-création et David Haeberli ont le plaisir de vous présenter leur nouvelle production.
Une création contemporaine basée sur la relation avec l‟autre
L'être humain est seul mais il n'existe que dans la relation à l'autre.
Depuis quelques décennies les relations sociales sont influencées par le développement des nouvelles
techniques de communication, téléphone portable, internet ont modifié les échanges entre les êtres
humains.
Nous vivons dans un environnement où la communication s‟érige en modèle et pourtant la solitude
devient toujours plus présente. Alors que nous devrions nous rapprocher les uns des autres, les relations
virtuelles nous éloignent toujours plus physiquement.
Les nouvelles technologies introduisent des effets pervers dans les relations humaines. Elles peuvent
constituer un refuge aux personnes qui fuient l‟affrontement ou la difficulté d‟une relation réelle en leur
permettant de trouver l‟illusion d‟un échange et de combler ainsi leur solitude de manière virtuelle. Un
individu a besoin, pour sa propre construction, d‟affronter la contradiction et donc l‟adversité.
Redoutons-nous le regard de l'autre, le contact physique, la relation directe?
Est-ce que la communication moderne offre un paravent aux relations charnelles?
Le spectacle Hyfi? offre la possibilité de nous interroger sur l‟importance de la communication nonverbale et de mettre en évidence les richesses de notre corps.
Une alliance entre le langage musical et le langage corporel
Dans un décor neutre, un musiciens multi-instrumentiste accompagne sur scène quatre danseurs de style
différent. Poussés à s'intéresser les uns aux autres, ils développent un réel intérêt à partager leurs
différents points de vue. Au travers de leur différence, le spectacle crée un échange unique qui allie la
danse et la musique, étant le seul moyen de communication.
Le nom du spectacle est aussi un jeu de mot avec „hifi‟, haute fidélité. Rester fidèle à soi-même, à ses
envies mais surtout à ce que l'on aime. Une création dont le mélange musical et les chorégraphies jouent
entre plusieurs styles totalement différents mais qui par la magie du spectacle se complètent à merveille.
Trois courts métrages sont intégrés dans la création ayant une relation différente avec ce qu'il se passe sur
scène au même moment.
Une approche exceptionnelle de la relation et du ressenti, où poésie et humour donne le rythme de ce
spectacle unique en son genre.
Biographie de David «Dayva» Haeberli
Dayva commence la danse à 13 ans, il se spécialise tout d'abord dans le breakdance ou il participe à
de nombreux concours. En 2002 il décroche le titre de champion suisse individuel, champion suisse
par groupe et la troisième place au championnat du monde.
Il obtient son diplôme de culture général section socio-éducatif au lycée Jean-Piaget. Bien décidé à
percer dans le milieu artistique, il s'inscrit dans l'école Laban Dance Center à Londres. Il étudie alors
le contemporain et le jazz la journée et le soir il s'entraine au hip-hop avec deux danseurs de la
chanteuse Madonna.
Peu après se séjour, il se fait engager dans la comédie musical Les dix commandements pour la
tournée italienne, puis dans la comédie musical Peter Maffay & Tabaluga en Allemagne. Après ces
différentes expériences, il écrit sa première création Shewoam qu'il interprète dans la grande salle du
Théâtre du Passage à Neuchâtel, au théâtre de L'Alhambra à Genève au Montreux Jazz Festival.
Aussi passionné de musique il crée un groupe musical «D-verse city». Il participe à un concours
télévisé Mobilact Unsigned diffusé sur Prosieben et TvM3 et gagne un contrat d'artiste chez
Universal Music Swiss!
Toujours très actif dans le domaine de la danse, il enseigne et donne des stages en Suisse et à
l'étranger. En 2008, il se fait engager dans la compagnie contemporaine ‘Tania De Paola’ et interprète
le rôle principal dans le spectacle La Salle de bain.
En Février 2010, il présentera son premier One Man Show intitulé La vie c'est show un spectacle
pluridisciplinaire inspiré du style de Jacques Tati.
David Haeberli, alias « Dayva »
Rue Guillaume-Ritter 17
2000 Neuchâtel
Suisse
+41 78 793 52 62
[email protected]
Date de naissance :
Nationalité :
Taille :
Langue :
16.02.81
Suisse
1,80m
Français
Anglais
Italien
Allemand (niveau scolaire)
Espagnol (niveau scolaire)
Etudes de danse
Stage avec Brian Green 2009
Stage avec Poppin Pete 2006
Stage avec Ken Swift Rock Steady Crew 2006
Broadway Dance Center New York, mai 2005
Steps New York, mai 2005
Laban Dance Centre, jazz contemporain, Londres,
sept.-déc.2002
Stage privé de hip-hop avec Tony Stone, Alicante, 2002
Etude du Breakdance (autodidacte) dès 1994
Etudes scolaires
Lycée Jean Piaget, diplôme de culture générale
(Sociaux éducatif)
Ecole secondaire, section moderne
Ecole primaire
Titres et performances de danses (Deep Trip compagnie)
2008
Tournée Ubs arena pour L’euro 2008
Compagnie Tania De Paola « La salle de bain » spectacle contemporain
danse, théâtre, percussion
2007
superviseur chorégraphique « James Brown show »
Première partie de la Star Academy
Première partie de Sniper
Fête de la Musique Neuchâtel
Vainqueur du concours Mobileact TV show
2006
c’est court mais c’est bon « théâtre festival »
Breakin convention festival « London »
Casio show Messe « promo show » Hannover,
Photokina Cologne « assistant chorégraphe de Chiara Cattaneo »
2005
Shewoam genève
3ème au championnat d’Europe individuel
création de la comédie musicale « SHEWOAM »
5 ème au championnat du monde
Montreux jazz festival « Shewoam »
1er au championnat Suisse de breakdance
1er au championnat suisse Freestyle session
Avant première de Electrik Boogalow
Avant première de Keri James
Avant première de Redman
2004
Musical Tabaluga & Peter Maffay, Udo Lindenberg, Rufus Beck, Sissi
Perlinger, Kader Kesel, Rolf Stahlhofen, … tournée allemande.
2003
I Dieci comandamenti, tournée italienne (Rome),
Festival hip hop, Riccione Pesaro, It,
Festival de San Remo,
Champion Suisse romand de breakdance
2002
Champion Suisse de Breakdance individuel et groupe
3ème championnat du monde de breakdance (BOTY)
Vice-champion Suisse de breakdance
1998 – 2001
Nombreux shows en Suisse et à l’étranger
Participation au championnat du monde de breakdance
Télévision
Pro7 mobilact tv show
TSR / TSI / SF1 « Mister Suisse show promo »
TSR reportage « Shewoam » au Montreux Jazz
MTV Dance Crew
RAI Uno Promotion I Dieci Comandamenti San
Remo,
Canale 5 Promotion I Dieci Comandamenti
ZDF Promotion Tabaluga et Peter Maffay
Enseignements
(1998-2008)
Stage Culture et Danse hip-hop écoles secondaires
Melinda Dance Center – hip-hop
Unique Talent Management, Londres agence artistique
Ecole club Migros – breakdance
Ecole du sport Ville de Neuchâtel – breakdance, hip-hop
Giant Studio – breakdance, hip-hop
Style workers’ – breakdance, hip-hop, 2 steps
ACO breakdance ESRN
Divers stages internationaux
Aptitudes particulières
Rap / chant
Beat-box
Guitare
Percussions (djembe)
Percussion humaine
L'EXPRESS / VENDREDI 5 FÉVRIER 2010
LA QUESTION
D'HIER
Enges dispose d’une réserve d’eau
pour intervenir en cas d’incendie
Un dispositif de valve permet de garder toujours 60 m3 d’eau en réserve, eau
qui pourra être utilisée en cas d’incendie. Le déclenchement du dispositif
se fait depuis le local des pompiers. A titre de comparaison, le réservoir
distribue en moyenne 45 m3 d’eau par jour en hiver et 55 m3 en été. /nhe
’
DAVID MARCHON
RÉGION
ENGES
Un réservoir d’eau
bourré d’électronique
Les autorités
sont-elles
trop laxistes
avec les tagueurs?
8
OUI
8%
NON
92%
Participation: 345 votes
CRITIQUE
One man show
Une journée ordinaire
selon Dayva
Le réservoir du Rafour, à
Enges, a été récemment
rénové. L’électronique de
pointe y a remplacé des
systèmes mécaniques
devenus archaïques. Visite de
l’installation en compagnie de
Frédéric Reichen, cantonnier
fontainier de la commune.
DAVID HAEBERLI Un jour avec des hauts et des bas.
NICOLAS HEINIGER
e réservoir d’eau potable
du Rafour, situé peu en
dessus du vieux village
d’Enges, a été entièrement refait entre mars et
août 2009, pour un coût total
d’environ 650 000 francs. Il
possède aujourd’hui un équipement de pointe digne de figurer dans un James Bond.
L
■ Mort aux bactéries
L’eau des sources qui arrivent dans le réservoir passe
dans un grand cylindre, à l’intérieur duquel sont plongés
deux tubes néons ultraviolets.
Leurs rayons tuent les bactéries. «Avant, on utilisait du
chlore, on en réglait le débit
avec une molette», raconte
Frédéric Reichen, cantonnier
fontainier de la commune.
«Pour connaître le bon dosage,
il fallait faire des prélèvements
d’eau auxquels on ajoutait un
réactif, puis les examiner à la
loupe binoculaire et enfin réajuster le niveau de chlore
jusqu’à ce que ce soit bon.»
■ Haute sécurité
Divers dispositifs de haute
technologie assurent une sécurité optimale. A son arrivée au
réservoir, l’eau passe dans un
testeur qui détermine son taux
d’alluvions. Si elle est trop
FRÉDÉRIC REICHEN Le cantonnier fontainier d’Enges veille sur le réservoir d’eau tout neuf.
trouble, elle est immédiatement rejetée. Une armoire
bourrée d’électronique permet
de surveiller tous les données
de la station. Enfin, en cas de
panne, l’installation bloque automatiquement l’arrivée d’eau
et envoie un SMS au fontainier pour le prévenir.
■ Pompes économiques
Les anciennes pompes, qui se
trouvaient plus bas dans le village, ont été remplacées par
deux machines dernier cri, situées dans le réservoir. «Elles
permettent de garantir une
certaine pression», explique
Frédéric Reichen. Grande nouveauté, seule une partie de
l’eau passe par les pompes.
L’eau pompée est ensuite réin-
PUBLICITÉ
PHARMACIE PARFUMERIE AMAVITA TRIPET NEUCHÂTEL,
UNE CITROËN AU CŒUR DU 40e CONCOURS DE NOËL
Pendue à la façade de
l’immeuble
de
la
Pharmacie Parfumerie
Amavita Tripet à Neuchâtel durant tout le mois
de décembre, la clinquante
Citroën
C3
Picasso n’a pas passé
inaperçu aux yeux des
nombreux
passants.
Sympathique tradition, la
e
40 édition du concours
de Noël résultant d’un
partenariat entre Citroën
Suisse et Amavita a
récolté quelque 6000
bulletins de participation.
Le tirage au sort a été
favorable à Laurence Wildbolz de Neuchâtel. Les clés de la voiture
lui ont été remises mardi dernier devant la pharmacie. Sur notre
photo, elle est entourée de Sébastien Marti, pharmacien, de Pierre
et Béatrice Güdel, responsables de la Pharmacie Amavita Tripet, de
Nelson Aguiar, chef de vente chez Citroën (Suisse) SA, succursale
de Neuchâtel-Bevaix et de Gaëtan Largey, responsable des
Pharmacies Amavita région Neuchâtel (de gauche à droite). Tous lui
ont souhaité bonne route et remercié les nombreux participants au
concours.
Pharmacie Parfumerie Amavita Tripet - Rue du Seyon 8
2000 Neuchâtel - Tél. 0800 323 323 ou 058 851 36 14
jectée dans la conduite où elle
«pousse» le reste. «Ça permet
d’économiser de l’énergie»,
souligne le fontainier.
■ Bonnes vieilles cuves
Les deux bassins, d’une contenance de 100 m3 chacun,
font partie des rares éléments
qui ont été conservés. Mais
leur rôle dans la chaîne est différent. Avant, l’eau brute arrivait dans le premier, puis elle
était désinfectée au chlore
avant d’aboutir dans le second.
«Maintenant, les cuves contiennent les deux de l’eau traitée», explique le Frédéric
Reichen. Qui précise que les
deux bassins sont entièrement
nettoyés quatre fois par année.
/NHE
(DAVID MARCHON)
D’où vient l’eau?
● Les sources Plusieurs captages
sont situés dans les champs
au-dessus du réservoir. L’eau
descend ensuite par gravité.
Ces sources sont les plus
utilisées mais aussi les plus
exposées à la sécheresse.
● Le puits du Breuilles Situé à
quelques centaines de mètres
direction nord-est, il est
profond d’une vingtaine de
mètres. L’eau est pompée dans
la nappe phréatique.
● L’eau de secours Si les deux
premières sources
d’approvisionnement ne
suffisent plus, Enges dispose
également d’un accès au réseau
d’eau potable d’un syndicat
privé du plateau de Diesse.
Une journée ordinaire pour ce
jeune assistant de direction: un
réveil aussi hurlant que difficile,
une toilette comateuse et un
coup de fil maternel et inquiet
qui met en retard. Les premières
minutes de «La vie c’est show»
plantent immédiatement le décor au théâtre du Pommier, à
Neuchâtel: ce one man show ne
raconte ni histoires fantastiques
ni exploits surhumains, mais un
quotidien banal et quasiment
bureaucratique. Le scénario du
spectacle n’est, en fait, qu’un
alibi à une mise en scène et une
chorégraphie qui le subliment.
Une journée, avec ses hauts
et ses bas, les désagréments
des transports publics aux heures de pointe ou la morosité
professionnelle sont autant
d’occasions pour David Haeberli
de faire montre des diverses facettes de son talent. Assailli par
les téléphones, il transforme son
répondeur en beat box ou pimente sa pause de midi par un
dialogue tout en sifflotements
avec un oiseau. Mais l’homme
de scène Dayva s’exprime surtout à travers la danse, un art
dont il décline les variantes tout
au long du spectacle.
Loin d’être un catalogue de la
maîtrise corporelle du jeune
homme, «La vie c’est show» ne
manque pas d’humour et se
moque joyeusement de quelques clichés. Ainsi les transitions sont égayées par des séquences vidéo mettant en scène
des fantasmes d’ascenseurs
plus que risibles. Une séance
d’essayage égraine avec espièglerie les styles de la jeunesse
actuelle.
Au-delà de la légèreté et de la
simplicité, c’est la parfaite synchronisation entre la gestuelle
d’une part et la musique et les
ambiances sonores distillées par
Erdzan Saidov d’autre part qu’il
faut relever. En effet, l’absence
matérielle des objets sur la
scène est parfaitement comblée
par la précision chirurgicale de
mimes et par leur résonnance
dans la salle. Durant près d’une
heure, la banalité du quotidien
est transcendée par une performance physique de premier ordre et quelques traits d’humour
bien sentis. Un enchantement
rafraîchissant.
Vincent de Techtermann
Neuchâtel, théâtre du Pommier,
«La vie c’est show!», de et par David
Haeberli, ce soir et samedi à 20h30,
dimanche à 17 heures
MUSÉE D’ETHNOGRAPHIE DE NEUCHÂTEL
Des masques pas si traditionnels
Pour faire écho au carnaval
qui débute dans de nombreuses
régions de Suisse, le Musée
d’ethnographie de Neuchâtel
(MEN) accueillera mardi à
20h15 une conférence autour
des masques du Lötschental,
une vallée valaisanne.
«Ces
masques,
appelés
Tschäggättä, ont été redécouverts par les érudits à la fin du
19e siècle», explique le conservateur adjoint du MEN,
Grégoire Mayor. Lui et sa consœur valaisanne Suzanne
Chappaz-Wirthner mènent depuis quatre ans une recherche
sur les sculpteurs de ces masques. Extraits vidéos à l’appui,
ils en présenteront mardi le résultat au public.
TSCHÄGGÄTTÄ Ils sont l’enjeu d’un vaste débat esthétique.
«Nous n’allons pas faire une
typologie
du
masque
Tschäggättä», précise d’emblée
le conférencier. «Nous nous
sommes intéressés à la manière
dont les sculpteurs contempo-
(SP)
rains s’approprient le type de
ce masque, comment ils construisent une discussion esthétique autour de la notion de tradition.»
En effet, certains sculpteurs
(DAVID MARCHON)
’
de la vallée ont incorporé dans
leur travail des influences extérieures, allant de l’esthétique
hard-rock aux tableaux de
Jérôme Bosch. D’autres visent
une pureté de traditions un
peu idéalisée, «car les gens de la
vallée ont toujours circulé, il
n’y a jamais existé d’autarcie
absolue».
Reste que les enjeux, tant politiques que touristiques, sont
bien présents: «Il y a quelques
années, les CFF ont utilisé ces
masques sur leurs affiches publicitaires», rappelle Grégoire
Mayor. /nhe
«Les sculpteurs du Lötschental, leurs
masques et leurs images», Neuchâtel,
Musée d’ethnographie, mardi à 20h15

Documents pareils