la myothérapie - reussirsasante.fr

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LA MYOTHÉRAPIE
La myothérapie est une technique ostéopàthique douce, non manipulante et indolore qui vise
à traiter le ou les muscles trop tendus ou spasmés par contractures réflexes, celles-ci étant
à l'origine de troubles articulaires avec conséquences diverses et multiples.
La myothérapie ne faisant pas usage de la force et ne dépassant jamais l'amplitude
articulaire des mouvements spontanés du patient - contrairement à d'autres techniques qui
effectuent des étirements musculaires - sollicite un raccourcissement du ou des muscles
spasmés selon un protocole précis.
Cette méthode est utilisable en aigu comme en chronique, sans risque, sans limite d'âge, à
condition d'être appliquée par des praticiens spécialement formés. En provoquant un
raccourcissement musculaire sensible, au lieu d'un étirement, on sollicite d'autres
neurotransmetteurs pour lever le spasme, ce qui évite le risque de provoquer des réflexes
intempestifs de contraction douloureuse et augmente les chances d'efficacité.
L'efficacité de la myothérapie a été vérifiée par électromyographie et a été évaluée
cliniquement selon un protocole rigoureux contrôlé par 150 médecins.
COMMENT SE DÉROULE UNE SÉANCE
Après vous avoir soigneusement écouté, ceci afin de retrouver la cause de votre problème,
le myothérapeute vous posera plusieurs questions sur d'autres douleurs, même très
anciennes, que vous avez ou avez eues, et leur chronologie, afin de déterminer le début de la
chaîne. Une fois l'origine de la chaîne clairement définie, le myothérapeute repère les
muscles concernés par un spasme. Pour ce faire, il note les postures et les mouvements
anormaux, il palpe les muscles et surtout, il procède à une recherche des points douloureux (à
chaque muscle tendu, correspondent un ou plusieurs points douloureux).
Une fois les muscles tendus repérés, le myothérapeute place vos articulations dans
différentes postures (ceci est indolore) afin de raccourcir le ou les muscles concernés et
permettre leur relâchement. La seule participation du patient est de respirer d'une certaine
façon. Immédiatement après la séance, le patient doit s'allonger à plat dos pendant une demiheure minimum sans rien faire, afin que le relâchement induit se stabilise.
Dans les trois jours qui suivent la séance, il est recommandé d'éviter toute activité
physique dure (sport, marche forcée, jardinage, bricolage et tous travaux de force).
LE MYOSPASME POSTTRAUMATIQUE PERSISTANT (MPP)
Le fonctionnement d'un muscle est soumis à plusieurs neurorécepteurs qui génèrent divers
réflexes. L'un d'entre eux, utile par exemple pour maintenir une position, fait que tout
muscle étiré se contracte: c'est le réflexe myotique. Quand l'étirement cesse, le muscle se
relâche. Ce réflexe est aussi une défense contre la dislocation articulaire en cas de choc.
En cas de traumatisme important, un muscle entourant une articulation peut ainsi être étiré
de façon brusque et excessive et l'on constate ensuite souvent qu'il reste contracté, comme
si le trauma initial persistait. Et cette contraction, qui initialement devait éviter la dislocation
de l'articulation et aurait dû être réversible, risque de durer toute la vie : ni repos, ni
massages, ni médicaments ne la feront cesser. C'est le Myospasme Post traumatique
Persistant (MPP). Ceci n'est pas sans conséquence sur la santé: un muscle normal est souple
en dehors de ses périodes de contraction, et il s'adapte à la position de l'articulation. Il se
comporte comme un élastique. Mais en cas de MPP, le muscle est contracté en permanence et
se comporte comme une corde, résistant à son étirement, bloquant ainsi l'articulation de
façon plus ou moins importante dans son sens, et comprimant cette articulation de son côté.
Ce spasme provoque rapidement une douleur soit sourde et continue, soit aiguë quand le
muscle est étiré et qu'il est sollicité.
LE MÉCANISME DE L'ARTHROSE
L'arthrose n'est apparemment qu'une complication du Myospasme Post traumatique
Persistant (MPP).
Contrairement à ce que l'on pense, l'arthrose n'est pas une maladie qui tombe du ciel
(aucune étiologie ne lui est pourtant officiellement attribuée), ni une maladie due à l'âge.
Elle n'est ni inévitable, ni incurable.
L'arthrose, ne l'oublions pas, n'est ni un syndrome ni une maladie, mais un signe
radiologique souvent retrouvé en cas de douleurs articulaires. C'est un remaniement osseux
faisant suite à une destruction du cartilage. Or, on sait expérimentalement que, dès les
premières heures d'une immobilisation articulaire (par exemple sous plâtre), le cartilage se
gonfle d'eau et commence à se désagréger: c'est le début de l'arthrose.
Et nous avons vu que le MPP comprime et limite la mobilité d'une articulation pendant des
années !
C'est donc ce myospasme, réversible par myothérapie, qui semble être responsable à la fois
de la douleur articulaire, des blocages, y compris dorsaux ou lombaires (sauf bloc osseux,
assez rare) et du remaniement osseux de l'arthrose, dont les signes cliniques sont donc
parfaitement réversibles.
La plupart des douleurs articulaires, y compris en cas d'arthrose, sont dues à des spasmes
musculaires, récents ou anciens. La preuve en est que la plupart de ces douleurs disparaissent
lorsque l'on traite le muscle par myothérapie.
Mais pour obtenir de tels résultats, il faut tenir compte d'une autre notion fondamentale,
topographique cette fois: la vraie cause de la douleur ressentie par le malade se trouve en
général à distance de l'endroit où il a mal. Le fait de savoir ceci permet de traiter la plupart
des lumbagos en ne traitant que les chevilles, avec plus d'efficacité qu'un traitement local.
Nulle magie là-dedans, mais une explication scientifique.
LES DEUX ZONES STRATÉGIQUES DE FAIBLESSE MUSCULAIRE
Il n'y a que sur des muscles déjà affaiblis par surmenage que peut s'installer, à la suite
d'un étirement brusque et exagéré, un spasme musculaire durable et générateur de troubles.
Expliquons-nous : quand nous sommes allongés, aucun muscle ne travaille, sauf le diaphragme.
Et quand nous sommes debout ou assis, mais ne faisant pas ou peu de mouvements, ce qui est
le cas la plupart de notre temps de veille, il n'y a que deux zones du corps où des muscles
travaillent en permanence: le cou et les chevilles.
Au niveau du cou, les muscles postérieurs évitent en permanence que la tête ne tombe en
avant, car celle-ci est posée en déséquilibre sur la première vertèbre cervicale: 2/3 du poids
en avant, 1/3 seulement en arrière.. C'est pourquoi lorsque nous nous assoupissons assis, dès
que les muscles postérieurs se relâchent, la tête dodeline en avant. Les muscles du cou
travaillant déjà en permanence, seront donc moins adaptables en cas de choc, d'étirement
brutal et exagéré: ils auront ainsi facilement tendance à rester spasmés après l'arrêt du
trauma.
Il en va de même pour les muscles de la cheville. Certains maintiennent le creux du pied
contre la pesanteur, creux indispensable à l'amortissement de chaque pas. D'autres évitent
que l'on ne tombe en avant; en effet, la projection du centre de gravité du corps passe en
avant de la cheville et celle-ci a donc tendance à se fléchir si on ne l'en empêche pas: c'est le
système musculaire qui s'en charge, en l'occurrence le muscle soléaire. Or, comme nous ne
nous appuyons que sur une jambe à la fois, même sans marcher, en restant simplement
debout, ce muscle porte la moitié du temps (en alternance avec son homonyme du côté
opposé), tout le poids du corps! On comprend qu'il soit vite surmené et qu'il soit le muscle le
plus fréquemment touché par le MPP.
Ce qui facilite la tâche thérapeutique, c'est que l'on ne constate en pratique aucune autre
zone de faiblesse dans le corps. Autrement dit, il n'y a que les muscles du cou et des
chevilles qui puissent se spasmer de façon permanente suite à un choc! C'est incroyablement
simple, mais vrai.
CAUSES ET TRAITEMENT DES DOULEURS DU GENOU
Le genou est, malgré les apparences, une articulation très solide: les douleurs que l'on y
ressent sont toujours des compensations de MPP plus anciens de la cheville (ou parfois du
cou).
Une entorse du genou, même provoquée par le choc le plus spectaculaire, n'a pu, pour la même
raison, installer une douleur durable que parce que ce choc a décompensé une telle chaîne
jusque-là latente : la meilleure preuve de ce que nous avançons est que, même dans ces cas, le
genou se traite sans y toucher, en traitant la cheville par myothérapie.
Les douleurs de la rotule, quant à elles, sont dues au spasme du quadriceps qui tire la
rotule en dehors ; nul besoin de musculation ou de chirurgie : on traite le début de la chaîne
dont fait partie le quadriceps, et tout rentre dans l'ordre.
Enfin, les ménisques sont des structures trop fines et déformables pour bloquer un genou
ou le rendre douloureux: c'est le spasme musculaire qui bloque le genou et qui comprime ainsi
le ménisque jusqu'à le rompre.
TRAITEMENT RAPIDE DES LOMBO-SCIATIQUES
Les spasmes musculaires déjà cités provoquent souvent des spasmes de muscles voisins, qui
sont étirés par « réaction en chaîne» parce que les uns sont reliés aux autres par des
aponévroses et que le spasme d'un premier muscle provoquant l'étirement du second, celui-ci
se contracte à cause du réflexe myotatique que nous avons déjà cité. Ainsi, les spasmes de
tous les muscles de la « chaîne» dureront autant que celui du premier, lequel est permanent
puisque d'origine traumatique.
Soit quelques muscles de la chaîne sont douloureux, et c'est le cas par exemple des
lombalgies et lumbagos, soit toute la chaîne peut être douloureuse, c'est tout simplement le
cas des sciatalgies.
Il est à noter que ces sciatalgies sont infiniment plus fréquentes que les vraies sciatiques
avec signe de Lassègue, qui relèvent pourtant aussi de la myothérapie : les hernies discales,
présentes dit-on chez 50 % environ des personnes asymptomatiques ayant passé un scanner,
ne peuvent être accusées à tort et à travers. Mais dans les rares cas où elles sont vraiment
la cause des douleurs, il faut tout de même se demander d'où elles viennent ! Or, il pourrait
s'agir encore de spasmes musculaires persistants comprimant la colonne d'un côté, ce qui
entraînerait « l'éjection» du disque de l'autre côté et l'irritation éventuelle du nerf
sciatique. Le traitement est celui du MPP par la myothérapie.
80 % des patients en sont guéris, sans compter les améliorations, en moyenne en 3 ou 4
séances de myothérapie seule, et même souvent en une séance unique et, c'est à noter, 2 sur
3 en ne traitant que les pieds sans aucun traitement local ! Voici un exemple:
Monsieur c.p., 35 ans, fait 2 à 5 lumbagos par an depuis plusieurs années. Il consulte le Dr D.
(95) le 26 août 1992 pour un nouveau lumbago aigu. Guérison en 2 séances de myothérapie.
Aucune récidive depuis, tout en continuant d'exercer le métier d'imprimeur où il doit
soulever des rouleaux de papier.
Il faudrait moins opérer. Seuls 2 % de malades traités ne réagissent pas à la myothérapie.
et les opérations ne traitant pas la cause mais les symptômes, n'empêchent pas les
rechutes.
Il ne faut pas laisser traîner les malades avec des médicaments anti-inflammatoires et de
la rééducation classique : la myothérapie agit vite, avec un net mieux dès les premières
heures, et au total en quelques semaines maximum.
DES RÉSULTATS CLASSÉS
Les études statistiques qui suivent ont été réalisées par des élèves dans le cadre de
l'enseignement de la myothérapie du Dr Polak, selon un protocole précis.
Tête et cou
- Cervicalgie chronique: 93 % d'amélioration dont 2/3 de guérisons, en 4 séances de
moyenne.
- Torticolis aigu: Près de 90 % de guérisons en 2 séances moyennes.
- Migraine à répétition : 92 % d'amélioration dont près de 3/4 de guérisons en
7 séances en moyenne.
- Céphalée banale à répétition: 3/4 de guérisons en 4 séances en moyenne.
- Crise aiguë de céphalée banale: 100 % d'amélioration dont 80 % de guérisons.
- Crise aiguë de migraine: 100 % d'amélioration dont 50 % de guérisons.
- Acouphène (bourdonnements et sifflements d'oreille) : 85 % d'amélioration dont
près de 40 % de guérisons en 5 à 6 séances en moyenne.
- Vertiges: 96 % d'amélioration dont plus de 3/4 de guérisons en 3 séances en moyenne.
- Syndrome dit «subjectif» des traumatisés du crâne (syndrome postcommotionnel avec
vertiges, céphalée, cervicalgie, baisse de la concentration) - Ancienneté : 2 mois à 25 ans.
Près de 2/3 de guérisons en 3 à 4 séances en moyenne.
- S.A.D.A.M. (Syndrome Algo-Dysfonctionnel de l'Articulation Mandibulaire) :
Près de 90 % de guérisons en 4 séances en moyenne.
- Sinusite (crise) : Près de 100 % d'amélioration dont près de la moitié de guérisons en 2
séances en moyenne.
- Névralgie d'Arnold: 70 % de guérisons, 100 % d'amélioration en 4 séances en moyenne.
Membres supérieurs
Syndrome du canal carpien: Près de 2/3 de guérisons et 91 % d'amélioration en 4
en moyenne.
- Névralgie cervico-brachiale : 95 % d'amélioration dont 2/3 de guérisons en 4 ou 5
en moyenne.
- Épaule douloureuse (PSH, épaule gelée, coiffe rotateur, capsulite rétractile,
acromio-claviculaire, syndrome du défilé sous-acromial, épaule mixte, etc.) :
guérisons en 4 séances en moyenne.
séances
séances
entorse
2/3 de
- Tendinite du biceps: Près de 3/4 de guérison en 3 ou 5 séances en moyenne.
- Épicondylite et douleurs diverses du coude : 2/3 de guérisons en 4 séances en
moyenne.
- Rhizarthrose et autres douleurs du pouce : Près de 2/3 de guérisons dont 100 %
d'amélioration en 4 à 5 séances en moyenne.
Lombes et thorax
- Lombo-sciatique (lombalgie, lumbago, sciatique, sciatalgie avec ou sans hernie discale) : Près
de 80 % de guérisons en 3 séances en moyenne.
Dorsalgie inter-scapulaire : 96 % d'amélioration dont 2/3 de guérisons en 3 séances en
moyenne.
- Douleur du coccyx : 80 % de guérisons en 4 séances en moyenne.
- Lombalgie de la grossesse: 90 % de guérisons en 3 séances en moyenne.
Membres inférieurs
- Douleur de la hanche : 70 % de guérisons en 4 à 5 séances en moyenne.
- Douleur du genou (ménisque, entorse, arthrose, décentrage rotule, etc.) : 3/4 de
guérisons en 4 séances en moyenne.
- Entorse aiguë de la cheville : 90 % de guérisons en 2 séances en moyenne.
- Entorse de la cheville, chronique ou à répétition : 100 % d'amélioration en
4 séances en moyenne.
- Crampe des mollets (traitement de fond) : 97 % d'amélioration dont 2/3 de guérisons en 1 à
7 séances en moyenne.
- Métatarsalgie (type Morton) : Plus de 2/3 de guérisons en 3 séances en moyenne.
- Hallux valgus (douleur) : 2/3 de guérisons, 96 % d'amélioration en 4 séances en moyenne.
- Épine calcanéum: Plus de 3/4 de guérisons et 100 % d'amélioration en 3 à 4 séances en
moyenne.
Pédiatrie
- Scoliose dorsale et/ou lombaire vraie de l'adolescent: Plus de 90 % d'amélioration sans
corset (inversion de l'évolution, diminution de l'angle) en 6 à 7 séances en moyenne.
Gain moyen (scolioses dorsales: 6,21 degrés - maximum: 17 degrés.
Attitude scoliotique de l'adolescent (et scoliose dorsale vraie de moins de 10 %) : Près de
90 % d'amélioration en 5 séances en moyenne.
Ostéodystrophie de croissance (Osgood-Schlaer) : 100 % de guérisons en 6 séances en
moyenne.
- Difficultés scolaires: 95 % d'amélioration en 6 séances en moyenne, dont plus de moitié de
guérisons en 6 séances en moyenne.
- Énurésie: 2/3 de guérisons en 4 séances en moyenne.
Myopie de l'enfant: 3/4 d'amélioration dont 15 % de guérisons en 8 séances en moyenne.
Malocclusion de l'enfant ou de l'adolescent non appareillé mais devant l'être
(chevauchements dentaires, retard de chute de dents de lait, retard de la poussée des dents
définitives, prognathisme, rétrognathisme, etc.) : 100 % d'amélioration dont plus de 2/3 de
guérisons (n'ont plus besoin d'être appareillés) en 8 à 9 séances en moyenne.
Strabisme de l'enfant: Près de 80 % d'amélioration dont près de 50 % de guérisons en 10
séances en moyenne.
Agitation anormale de l'enfant: Plus de 90 % d'amélioration en 3 séances en moyenne.
Médecine du sport
Périostite tibiale: 75 % de guérisons et 100 % d'amélioration en 4 séances en moyenne.
Tendinite achilléenne : 80 % de guérisons, 100 % d'amélioration en 3 séances en moyenne.
Pubalgie: 100 % d'amélioration dont près de 3/4 de guérisons en 5 à 6 séances en moyenne.
Tension douloureuse du mollet chez les footballeurs: 100 % d'amélioration dont 85 % de
guérisons, la plupart en 2 séances.
Troubles circulatoires
Jambes lourdes (insuffisance veineuse): 2/3 de guérisons, 98 % d'amélioration en 3 ou 4
séances en moyenne.
Claudication intermittente (artérite des membres inférieurs) : 90 % d'amélioration en 3 à 4
séances en moyenne.
Insuffisance vertébro-basillaire du sujet âgé (trouble de j'équilibre, sensation de vide dans
la tête, anxiété) : 95 % d'amélioration en 2 à 3 séances en moyenne. Hypertension artérielle:
86 % d'amélioration dont 1/3 de guérisons en 7 séances en moyenne.
Troubles viscéraux ou dits psychiques
Insomnie: 2/3 de guérisons, 96 % d'amélioration en 4 séances en moyenne. Syndrome anxiodépressif : Non amélioré par les traitements antérieurs (chimiques ou alternatifs) : 80 %
d'amélioration
dont
113
de
guérisons
en
10
séances
en
moyenne.
- Dyspareunie, vaginisme: 100 % d'amélioration dont plus de 50 % de guérisons en 4 séances
en moyenne.
- Bouffées de chaleur: 90 % d'amélioration en 5 séances en moyenne.
- Reflux gastro-œsophagien avec œsophagite : 90 % de guérisons en 5 séances en
moyenne.
- Gastrite: 100 % d'amélioration dont plus de 70 % de guérisons en 6 séances en moyenne.
- Asthme: Près de 90 % d'amélioration dont plus de 40 % de guérisons en 5 à 6 séances en
moyenne.
- Colique néphrétique (crise) : 3/4 de guérisons en 1 séance en moyenne.
- Colite spasmodique: Près de 50 % de guérisons, 90 % d'amélioration en 7 séances en
moyenne.
- Règles douloureuses (traitement de fond) : 85 % d'amélioration, 2/3 de guérisons en 4
à 5 séances en moyenne.
Douleurs diverses
- Névralgie intercostale: Plus de 80 % de guérisons en 3 séances en moyenne.
- Polyarthrite rhumatoïde et spondylarthrite ankylosante : 80 % d'amélioration,
dont 13 % de rémission en 6 séances en moyenne
Divers
- Inégalité de longueur des membres inférieurs : Près de 3/4 de normalisation et 100 %
d'amélioration en 5 séances en moyenne.
- Pieds creux ou plats chez l'enfant: Près de 50 % de normalisation et 100 % d'amélioration
en 5 séances en moyenne.
Michel DOGNA

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