MACHINE À COUDRE - Bibliothèque municipale de Lyon
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MACHINE À COUDRE - Bibliothèque municipale de Lyon
I «.«ni = IXfflritaiS «Trié? iOyïELLES M JOUI . 22 juillet. Nous reproduisons aujourd'hui, d'après le Journal officiel, la loi sur l'emprunt de trois milliards, le décret du président de la République fixant le taux d'émission et enfin 1 arrêté ministériel qui détermine les conditions de la souscription -publique. L'emprunt est émis au taux de 84 francs 50 centimes avec jouissance du 16 août 1872, et ainsi que nous l'avions déjà annoncé, la souscription sera ouverte les dimanche 28 et lundi 29 juillet courant. Le scrulin d'avant-hier, à la suite duquel l'assemblée a adopté le principe de 1 impôt sur les matières premières, est la preuve irrécusable du désarroi des esprits et du manque absolu de sincérité que d'avance on prévoyait. Pour quelques-uns seulement, dont la fermeté est des plus louables, la question des matières premières est restée une question économique, et quelles que fussentJours opinions à l'égard delà politique de M. lhiers, ils se sont maintenus sur le terrain des affaires votant selon leurs convictions et sans autre'souci que celui du principe en discussion. ' < , Ceux-là, malheureusement, sont les moins nombreux parmi les membres de la gauche et surtout de la gauche radicale, qui a désertéen masse la cause de la liberté commerciale pour apporter son concours aux protectionnistes à outrance que la droite compte dans ses rangs. La République française donné de ce fait regrettable une explication au moins étrange: selon ce journal, la majorité n'a fait < qu exécuter les engagements qu'elle avait pris au 19 janvier ». Et, à l'appui de cette assertion, la République française reproduit le texte de Tordre du jour Feray, qui fut voté à cette époque. Or, cette résolution était ainsi connue : , . . « L'Assemblée nationale, réservant le principe d'un impôt sur les matières premières, décide qu'une commission de quinze membres examinera les tarifs proposés et les questions soulevées par cet impôt, auquel elle n'aura recours qu'en cas d'impossibilités d'aligner autrement le budget. » ^«soulignant les derniers mots de cet ordre <?u jour nous avons suffisamment mis en lumièrd par quel côté pèche l'argumentation de la République française. Avant de pouvoir décider s'il y avait, oui ou non, impossibilité actuelle d'aligner le budget , fallait-il au moins insister pour la discussion préalable du chapitre des dépenses, ce que n'a point fait la gauche, que nous sachions. Et l'eût•elle fait, il n'y avait pas , ce n«us semble, de meilleur moyen de résister aux prétentions du gouvernement à cet égard, que de voter contre le projet en discussion. Nous avons à peine besoin d'ajouter, au reste , que les députés du Rhône, à l'exception de M. Glas; absent par congé, ont tous voté dans ce sens, et parmi eux il en est certes plusieurs dont la compétence ne sera pas récusée par la République française. Aux yeux' des honorables représentants du Rhône, il est donc tout aussi téméraire de prétendre que i la quotité fixée par la commission des tarifs, qui varie de 1 à 2 1/2, 3 et 5 0/0, n'intéresse en aucune manière les théories du libre-échange et de la protection, et ne forme, itant au point de vue de la production, de la consommation intérieure, et des échanges avec le dehors, qu'une véritable taxe de consommation parfaitement en harmonie avec la lettre et l'esprit des traités. » C'est là pourtant ce que soutient la République française, s'appuyant sur l'autorité d'hommes compétents, auxquelsnousnousconîeatefons d'opposer les votes de nos députés, FEUILLETON DU JOURNAL DE LYON D« S» Juillet 1IS99. 18 ORIGINES DE tA. MACHINE À COUDRE Barthélémy Thimonnier _____ Tout le mande a remarqué à l'Exposition lyonnaise, dans la galerie des machines à coudre, une installation provisoire faite au nom de la société des sciences industrielles de notre ville. Trois machines à coudre très élémentaires construites en bois et qui contrastent avec les appareils élégants s'ôchelonnant en pyramides savamment élevées qui la dominent à droite et à gauche forment cette modeste installation surmontée d'un buste moulé sur lequel on peut lire cette inscription : Barthélémy Thimonnier, inventeur de la première •machine à coudre. Cet hommage posthume, et nullement provocateur assurément, a cependant éveillé les susceptibilités ombrageuses d'une des plus grandes maisons américaines, de la maison Hélias Howe, dont le chef a eu jusqu'à présent sans partage la gloire de la priorité non-seuïement aux Etats-Unis mais en Angleterre et même en France. Cette compétition a engagé un débat assez vif et un comité s'est formé dans notre ville pour continuer, en faveur de notre compatriote, l'œuvre de revendication commencée il y a quelques années par la Société des geierices industrielles de Lyon. Cette société savante a, en effet, publié en 1550 une excellente notice d'un de ses membres, M. Meyssin, qui a établi péremptoirement, à lfit»de des documents les plus authentiques, la priorité incontestable du modeste artisan lyonnais. 18 c. 4 Lyon. - Au d.hora, 20 d î ainsi que les protestations des chambres de commerce, des chambres syndicales et les irréfutables démonstrations' qui se sont produites à la tribune de l'Assemblée durant le cours de ce triste débat. En dépit de toute affirmation contraire, il est donc clair jusqu'à l'évidence que le vote d'avant-hier a été pour beaucoup un vote politique. Il s'agissait de prouver à M. Thiers qu'on était résolu à le soutenir en tout et pour tout. Nous avons déjà signalé quelles peuvent être, au point de vue de la marche des affaires et de la considération due à la représentation nationale, les conséquences de cette dernière et malheureuse campagne de la gauche extrême. Nous avons à mentionner un document dont l'importance ressort de l'initiative prise par les signataires de cette pièce. C'est une pétition des instituteurs du département de l'Eure à l'Assemblée nationale, dans laquelle ils se prononcent formellement pour le principe de l'obligation « légale, - et revendiquent leur droit d'être entendus dans cette grave question de l'instruction populaire. Nous ne doutons pas que l'exemple donné par les instituteurs de l'Eure ne soit suivi par d'autres, et peut-être en présence d'une opinion si générale et si formellement exprimée de toute part, la Chambre refusera-t-elle de sanctionner par son vote les étranges doctrines que nous relevions naguère dans le rapport de M. Ernoul. :—i— ^ Le Journal officiel publie l'arrêté ministériel concernant rémission de l'emprunt. Nous reproduisons ci-contre cet important document, et nous ne voulons pas attendre un instant, pour rappeler à tous et à chacun ce que la situation de la France nous commande. L'emprunt est assuré, dit-on, par le concours des capitaux étrangers. Nous devons noter avec une joie patriotique ce témoignage de confiance que nous donnent les pays voisins. Le crédit de la France, au lendemain de nos désastres, est tel, que même les banquiers allemands souscrivent à l'envi nos emprunts. Mais, s'il est bon, k divers points de vue, que l'argent étranger s'offre à nous, il est bon, à d'autres points de vue, que l'argent français s'intéresse vigoureusement à cette grande opération patriotique. Nous ne voudrions pas que ce fût à nos seuls capitaux qu'incombât la lourde charge de verser les milliards nécessaires, parce qu'il ne pourrait être que dangereux pour la France de se vider, pour ainsi dire; mais nous ne voudrions pas davantage que les capitaux français, en présence de l'empressement de "l'étranger, s'abstinssent de se présenter. Ceci, d'ailleurs, hâtons-nous de le dire, n'est nullement à craindre, et ce que nous en disons est bien plutôt pour notre acquit de conscience : chacun a compris, de reste, les devoirs que nous impose l'ouverture d'un emprunt éminemment patriotique, destiné à libérer le territoire et à racheter le pays. Toutes les sommes qui s'offraient naguère pour la souscription volontaire s'offriront derechef pour la souscription nationale. Chacun tiendra à honneur d'aider le pays, dans la mesure de ses moyens, à recouvrer son indépendance. Devenir C'est dans les broderies au crochet que la, fabrique de Tarare faisait exécuter dans les montagnes du Lyonnais que Thimonnier, pauvre tailleur à Ampfepuis, trouva le principe de son invention qui restera assurément l'une des plus considérables du siècle. Mais si, comme on l'a dit bien souvent, la France est le pays des idées, il est bien rare au'eltes trouvent leur germe sur notre sol nationà! j presque toujours, c'est l'étranger qui les reçoit oî oui recueille les premiers fruits de nos propres inspirations. On pourrait multiplier les exemples. Ainsi il en a été des expositions universelles internationales dont la pensée première nous appartient sans conteste, et qui a trouvé sa première application sur la terre britannique, ainsi il en a été de la machine à coudre qui nous est ensuite revenue deg pays transatlantiques comme invention ! américaine. I * Pour prouver la priorité de Thimonnier, r* suffit de citer deux dates. La première patente américaine pour machines à coudre au nom d'Elias Howe {porte la date du 10 septembre 1846. Or, dès le 17 juillet 1830, c'est-à-dire seize ans auparavant, Thimonnier prenait un brevet pour une première machine à coudre à fil continu, dite point de chaînette. Ces dates rigoureusement exactes, puisées dans les documents officiels, ne jugent-elles pas la question, surtout quand on ajoutequ'un second brevet pris par Thimonnier en juillet 1845, soit un an encore avant l'invention d'Elias Howe, constate que, grâce à certains perfectionnements, sa machine était arrivée à faire deux cents points à la minute. Elle n'était donc pas, comme on l'a affirmé, une machine en quelque sorte purement théorique; elle fonctionnait réellement, et cejaest si vrai que la maison Germain Petit, de Paris, dans laquelle Thimonnier entra comme directeur en 18.11, établit un atelier de 80 de ses machines pour la confection des vftiemente militaires. Si cette première entreprise, tenté? sutune trop large échelle pour une invention encore à sa naissance, ne réussit pas, elle n'en reste pas moins une preuve d'un résultat pratique obtenu et du parti qu'on pouvait tirer déjà à cette époque de la première machine de Thimonnier. Le problème de la couture mécanique avait été d'ailleurs bien avant celui-ci l'objet de Art. 4. — Il ne sera point admis de souscriples créanciers de la patrie est en cette occasion plus qu'une bonne affaire fi- tion inférieure à 5 fr. de rente. Au-dessus de cette somme, les souscripnancière, c'est une bonne action pations seront reçues pour 10 fr. de rente et les triotique. multiples de 10 fr. Chaque souscripteur devra, au moment de -«a»> — la souscription, à titre de garantie des engagements qu'il contracte envers le Trésor, verser une somme de 14 fr. 50 c. par 5 fr. de Emprunt national de trois milliards rente. EN RENTES CINQ POUR CENT. Les souscriptions seront constatéesau moyen de la délivrance d'un récépissé à talon au porLe président de la République française promulteur. (Loi du 24 avril 1833, art. 1".) gue la loi dont la teneur suit : Art. 5. —• Le paiement de l'emprunt sera Art. 1 er . Le ministre des finances est autorisé à faire inscrire sur le grand-livre de la dette pu- effectué comme suit ; blique et à aliéner la somme de rentes 5 0/0 né14fr. 50 c. pour chaque somme de 5 fr. de cessaire pour produire un capital de 3 milliards de rente attribuée dans la répartition. francs. Le surplus, échelonné en vingt termes menL'aliénation de ces rentes aura lieu par souscription publique, à l'époque, aux taux et aux condi- suels, exigibles, savoir : le premier terme le tions qui concilieront le mieux les intérêts du Tré- 21 septembre 1872, et les dix-neuf autres termes le M de chaque mois, du 11 octobre 1872 sor avec la facilité des négociations. Art. 2. Le ministre des finances ajoutera à cette au 11 avril 1874. somme de rentes 5 0/0 celle qui sera nécessaire Les arrérages trimestriels de rente échéant pour faire. face au paiement des arrérages à échoir les 16 novembre 1872, 16 février, 16 mai, en 1872 et 1873, et pour couvrir les dépenses ma- 16 août, 16 novembre 1873 et 16 février 1874, térielles , de l'emprunt, ainsi que les frais d'es- seront reçus en atténuation des termes de compte, de change, transports et négociations. . Art. 3. Afin d'assurer aux époques fixées le l'emprunt exigibles le 11 des mômes mois. Art. 6. — Un avis officiel fera connaître le paiement des 3. milliards restant dus au gouvernement allemand et d'accélérer la libération du taux de la réduction proportionnelle à laquelle territoire, le ministre des finances pourra passer les souscriptions seront soumises si l'ensemble avec la banque de France et autres associations des souscriptions reçues dépasse la somme de financières des conventions particulières destinées rentes à créer. à, rendre promptement disponibles les produits Dans la répartition qui sera opérée entre ces de l'emprunt et à faciliter les anticipations de versouscriptions, il ne sera pas tenu compte des. sement. Art. i. Le chiffra des émissions des' billets de la fractions qui donneraient droit à moins de banque de France et de ses succursales, fixé au 2 fr. 50 c. de rente, et les fractions de 2 fr. 50 minimum de 2 milliards 800 millions, est élevé et au-dessus seront comptées pour 5 fr. de provisoirement à 3 milliards 200 railions. rente. Art. 7. — Les versements par anticipation ne seront reçus qu'après la répartition, soit Le président de la République française, pour l'intégralité d'un ou de plusieurs termes, Sur le rapport du ministre des finances, soit pour la libération entière du certificat Vu la loi du 15 juillet 1874 décrète : Art. I""'. .Le ministre des finances est autorisé à d'emprunt. Ils donneront lieu à une bonificaprocéder à l'aliénation de la somme de rentes tion d'escompte qui courra du jour du verse5 0/0 nécessaire pour produire un capital de 3 ment et dont le taux, fixé qaant à présent à milliards de francs, ainsi que le supplément né- 6 0/0 l'an, pourra être modifié par un arrêté cessaire pour faire face au' paiement dss arréra- ministériel. Le taux de 6 0/0 ne sera pas mo;. ges à échoir en 1872 et 1873, et pour couvrir les difié avant le 31 octobre 1872. dépenses matérielles de l'opération, ainsi que les Art. 8. —. A partir du jour qui sera fixé par frais d'escompte, de change, de transport et de né- un avis officiel, les récépissés provisoires au gociation. Art. 2. Lesdites rentes 5 0/0 seront émises au porteur seront échangés, aux caisses des comptaux de . quatre-vingt-quatre francs cinquante tables où les souscriptions auront été reçues, centimes, avec jouissance à compter du 10 août contre des certificats d'emprunt au porteur, 1872. avec faculté de les rendre nominatifs. Les certificats d'emprunt seront munis de Arrêté ministériel du 20 juillet 1872. coupons trimestriels d'arrérages et de talons de versement. Le ministre des finances, Dans le cas où les souscriptions seraient réYu le décret du président de la République, duites, les souscripteurs recevront; en même en date de ce jour, arrête ce qui suit : Art. 1". - Une souscription publique est temps que le certificat d'emprunt, le rembourouverte pour la réalisation de l'emprunt na- sement de la somme excédant le montant de tional de 3 milliards de francs en rentes 5 0/0, leur versement, à moins qu'ils ne préfèrent l'imputer à la libération d'un ou de plusieurs autorisé par la loi du 15 juillet 1872. La souscription sera ouverte les dimanche termes avec bonification, à leur profit, de t'escompte à partir du 29 juillet. 28 et lundi 29 juillet 1872. Tout porteur d'un récépissé provisoire qui, Art. 2. — Les souscriptions seront reçues : 1" A Paris et dans le département" de la à la date du 31 août 1872, n'aurait pas réclamé cet excédant, sera considéré comme l'affecSeine : A la caisse centrale du Trésor (palais de l'In- tant aux termes à échoir. Les souscripteurs de 5,000 fr. de rente et dustrie) ; A la caisse centrale de la Seine, rue Louis- au-dessus pourront, dans un délai qui sera indiqué au Journal officiel, et qui né pourra le-Grand, 5 ; Aux mairies des arrondissements ; , dépasser dix jours à partir de la clôture de la Dans les principaux établissements de souscription , Féclamer le remboursement d'une portion de leurs versements corresponcrédit. dante à la réduction de leur souscription. 2° Dans les autres départements : Art. 9. — Aussitôt après la libération intéA la caisse des trésoriers-payeurs généraux, des receveurs particuliers des finances et des grale des certificats d'emprunt, il sera délivré, en échange de ces titres, des inscriptions de percepteurs. rente qui pourront être nominatives, mixtes 3° En Algérie : ou au porteur, au choix des parties. A la caisse des trésoriers-payeurs. Les bureaux destinés à recevoir les souAit. 10. — Le versement des termes menscriptions seront ouverts de neuf heures du suels doit s'effectuer dans un délai de quinze matin à cinq heures du soir. jours à dater de l'échéance. Art. 3. — Les rentes seront émises au taux En cas de retard, le débiteur sera passible, de 84 fr. 50 c, avec jouissance à compter du de plein droit et sans mise en demeure préa16 août 1872. lable, des intérêts envers le Trésor à raison recherches nombreuses. Le milieu du XVIII 8 siècle nousa laissé entre autres le nom de l'Anglais Cari Waisanthal,et dès le 14 février 1804 une machine à coudre était patentée en France comme ayant pour objet de remplacer la main d'œuvre dans la confection des habillements (1). Une aiguille ordinaire saisie par de petite» tenailles ou pinces et poussée au travers de l'étoffe était reçue puis tirée par une autre pince qui retournait ensuite l'aiguille pour présenter de nouveau la pointe à la surface de l'étoffe et la faire repasser, et ainsi de suite consécutivement en produisant le point dit de surjet, Il y avait vingt aiguilles travaillant ensemble et lorsque le fil de ces vingt aiguilles était employé, on dégageait le mouvement jusqu'à ce que vingt autres aiguilles préparées à l'avance aient été mises en place. Ce procédé tout primitif comme on le voit qu'où a cherché à perfectionner jusqu'en 1850 n'est jamais entré dans la pratique de môme que la machine qu'un Américain, M. Rogers, de New-York-, % fait patenter en 1844. Dans ceu* flernière, le» bords accuuplés des étoffes étaient gaufré8 en petits plis successifs el l'aiguille poussée continuellement à travers ces plis. H est plus que probable que Î8 modeste tailleur d'Amplepuis ne connaissait pas ces p;c. miers essais lorsqu'il commença en 1825 les, recherches qui le conduisirent à" l'invention dé ' la machine au point de chaînette. Dans tous les cas, le principe, inspiré évidemment par les broderies au crochet qu'il voyait exécuter, en est complètement différent. La pièce essentielle consistait, im effet, comme on peut le voir sur la machine qui figura à l'Exposition. en une aiguille à crochet fixée verticalement à une barre mise en mouvement de haut en bas par une pédale. Par l'appui du pied sur celte pédale, l'aiguille descendante était poussée au travers de l'étoffe. Une petite pièce placée audessous de l'étoffe et capable de tourner concentriquement autour de Taiguille dans sa position intérieure enroulait autour de cette aiguille le fil d'une bobine qui était entraîné sous forme de boucls par le crochet de l'aiguille lorsque celle-ci se relevait. L 'sàguille était c}e nouveau poussée au travers de cette boucle ou maille sur un point de l'étoffe un peu en avant de son premier passage, puis de nouveau reti- rée en soulevant une seconde boucle qui aussi passait au travers de la première. En continuant l'opération,on. forme une sorte déchaîne dont chaque maillon traverse le précédent et qui, par cela môme, unit entre elles les deux pièces de l'étoffe. Un avocat, M. Magnin,qui avait compris toute l'importance de l'invention de Thimon* nier et avec lequel il s'associa en 1845, appliqua diverses modifications à la machine de Thimonnier. Exécuté en métal avec une plus grande précision, elle prit dans un brevet du 5 août 1848 le nom de couso-brodeur. Cette nouvelle machine qu'on peut également voir à l'Exposition avait acquis une vitesse de trois cents points à la minute et pouvait coudre toutes sortes de tissus depuis la mousseline jusqu'au drap et jusqu'au cuir (1). Un mécanisme ingénieux permettait de broder dea ronds et des festons sans tourner l'étoffe. Ouant au principe, il n'était pas changé, non plus que dans la maehiueS.-A. Singer, brevetée en Amérique le 27 février 1854 et dans laquelle l'aiguille à croch et était remplacée par une aigui Ile à œil voisin do la pointe. . Le système qu'Hélias Howe a fait patenter en 184C aux Etats-Unis cl qui passe encore aujourd'hui comme le premier essai pratique de !a couture mécanique repose au contraire sur tsaè tout autre idée. Le point qu'il produisait n'était pas jusqu'alors employé dans la couture à fa rnàin ; il est très possible cependant mie la machine Thimonnier l'ait inspiré, car il a précisément pour but 4'é' viter un inconvénient inséparable du point de chaînette: le défilement. Voici de plus, en quelques mots, en quoi le système d'Hélias Howe consistait : " Une aiguille verticale a œil percé près de la pointa, et alimentée par une bobine, descendait, traversait l'étoffe et formait au-cjeïT sous une boucle avec le fil ; une petite navette placée en bas tràversait'cette boucle avec un second fil parmi va et vient horizontal. L'aiguille eu se relevant tuait avec elle son propre fil et serrait la boucle en môme temps que le fil de la navette. Cette machine n'était d'ailleurs que l'application heureuse d'une idée émise dès 1834 par Wal ter Ilunten Amérique niais qui, Payant pu obtenir aucurTrésdltai pratique, avait négligé de prendre un brevet. Elle reçut ensuite de nombreux perfection ne? Mardi 23 Juillet I8f8. de 6 0/0 l'an, à partir de l'échéance du terme. H? A défaut de paiement d'un terme échu dans le délai d'un mois, le montant du certificat deviendra exigible en totalité. En outre, le ministre pourra déclarer le porteur déchu de son droit et faire effectuer la vente de la rente représentée par le certificat, pouf le remboursement de la somme due au Trésor. Fait à Versailles, le 20 juillet 1872. E. DE GOELAIID. LA LOI MILITAIRE Cinquième article. Paris, 14 juillet 1872. Monsieur le rédacteur, Comme vous l'annonçait ma dernière lettre, je n'ai plus que quelques mots à vous dire sur la nouvelle loi de recrutement, et, pour rassembler sous lesyeux de vos lecteurs les principaux traits de l'analyse que j'ai cherché à en donner, il me "suffira de leur présenter un tableau de ce qui va désormais se passer. Voici, au premier janvier de l'année, 150,GÛ0 hommes mis à la disposition du .gouvernement. Le, gouvernement, sur ce contingent, aura à fixer le chiffre qu'il veut pour le service de cinq ans, et le reste, par cela môme, sera destiné à ne faire que six mois. Il est probable, si la loi ne contenait pas d'autres clauses dont nous allons tenir compte, que le nombre exigé d'hommes de cinq ans serait d'environ 60,000. En effet, cinq appels de 60,000 hommes donnent un total de 300,000. Ajoutez-y le chiffre de 120,000, qui représente la partie permanente de l'armée (officiers, rengagés, corps spéciaux, gendarmerie , etc.] , et vous aurez 420,000 hommes, effectif voisin de celui de 450,000 auquel nous limite notre budget. Il resterait donc annuellement 90,000 jeunes gens qui n'auraient que six mois d'instruction militaire une fois pour toutes. Vous savez ce que je pense de ce système à tous les points de vue. Jusqu'ici, l'opération du partage du contingent parait bien simple. On tirerait au sort, et les 60,000 premiers numéros seraient incorporés pour cinq ans. Mais c'est alors qu'intervient le volontariat d'un an. Je vous l'ai dit et je pense qu'il n'est pas besoin de le prouver: tous ceux qui pourront être volontaires d'un an voudront l'être, et viendront s'engager de la sorte avant le tirage au sort, ainsi que le prescrit la loi. Certainement, en contractant cet engagement, celui que son numéro de tirage eût placé dans la seconde partie du contingent et destiné à un service de six moiSj court la chance . de faire une année entière, c'est-à-dire six mois de plus. Mais qu'est-ce que cela auprès de la chance qu il aurait courue également, de tomber dans la première partie de ce contingent et de rester cinq ans sous les drapeaux? Il est donc bien clair, n'est-ce pas? que tous ceux qui le pourront, prendront d'avance la précaution de se faire ments, notamment de MM.Wheeler et Wilson, qui en 1850 remplacèrent la navette par un petit disque plat tournant au moyen d'une roue à pédale, avec une vitesse constante dans un plan vertical. Enfin deuxautresAméricains,— car ces svstèmes nous sont venus du Nouveau-Monde, où la fabrication des machines à coudre a pris lesplusgrands développements —MM.Grower et Backer ont substitué à la navette une seconde aiguille de forme circulaire, par laquelle ils ont obtenu ce qu'on appelle le double point de chaînette. Ce nouveau type de machine a été également l'objet de perfectionnements nombreux. * Telles sont, en quelques lignes, les principales étapes parcourues par cette industrie toute nouvelle et déjà si importante des machines à coudre. Il en est peu qui aient autant que celle-ci exercé l'esprit de recherche et la sagacité des inventeurs. Nous n'avons cité que les nom? qui se présentent à l'origine des principaux systèmes dont les autres ne sout que des dérives plus ou moins parfaits. Beaucoup d'autres chercheurs, venus à la seconde et à la troisième heure, auraient presqu'à un égal titre, leur place marquée dans une histoire eomplète de la machine à coudre; si on les a passés sous silence, c'est pour que cette esquisse rapide ne prenne pas un faux air de réclame. Ici, en effet, comme toujours, comme nom la machine à vapeur, comme pour l'électricité comme pour le plus «impie des appareils scientifiques ou, industriels, l'invention n'a pas été une. Elle n'est pas sortie d'nr>s ssuie intelligence, commet fiction antique a fait sortir Minerve tout armée du cerveau de Jupiter La nouvelle machine a dû passer par bien des mains avant d'arriver à l'état de perfection où nous îa trouvons aujourd'hui. Il semble que ce sou une lai de ia Providence que tout inventeur ne puisse jamais lire que le premier mot du problème qu'il a deviné, él c£e toute grande idée ne soit en quelque sorte que le K^ume du passé et un germe pour l'averi? reliant ainsi, par une chaîne contimie, les générations oui viennent à celles qui s'en vont Mais, sans chercher à rogner la part (te mérite revenant à ceux qui l'ont suivi, ce qu'on (I) Ce brevet est décrit dans, le tome VOI deg fi) Histoire de la machine à coudre, par J Mevu- a voulu établir ici avec preuves à l'appui* brevets d'invention, page G6. sin. c est la priorité indiscutable (le notre compa- admettre au volontariat, et il est non moins clair encore (veuillez noter ceci ) que le chiffre des volontaires d'un ah fora reculer d'autant le chiffre de la première partie du contingent. Si, par exemple, le gouvernement a rintent;on que cette première partie aille à 60,000, et si, dans les 60,000 premiers numéros sortis au tirage, il y en a 10,000 appartenant à des jeunes gens qui ont pris la précaution susdite, il est mathématique que, pour avoir le nombre voulu d'hommes de cinq ans, il faudra reculer la limite à 70,000. En d'autres termes, quoique le gouvernement ne demande que 60,000 hommes pour le service de cinq ans, les jeunes gens, de 60,000 à 70,000, feront partie de cette catégorie, pour remplacer les 10,000 volontaires d'un an qui ont tiré des numéros entre 1 à 60,000. Vous voyez, d'après cela, que non-seulement le volontariat est une faveur (une chance si vous voulez);, pour les uns, mais que c'est, en outre, un déplacement de charge qui .retombe sur les autres. Je le constate simplement, sans dire encore que ce soit bien ou mal. Cela dépendra de la manière de procéder. Un esprit d'égalité jalouse estunesottise.il faut savoir y déroger avec justice et dans l'intérêt général. Nous verrons plus tard si les choses ont, lieu ainsi. Mais d'abord examinons dans quelle proportion les effets que je viens de signaler se produiront. En un mot, à combien à peu près s'élèvera le nombre annuel des volontaires ? M. de Chasseloup-Laubat, dans son rapport, disait 15,000. L'Assemblée, dans la discussion publique et sur la demande du gouvernement et de la commission, a refusé au général Guillemaufc d'adopter un maximum de 23,000. Moi, monsieur, je dis 50,000, peut-être davantage. Quelles sont, en effet, les conditions pour être admis à ce volontariat qui sera le désir de tous? Une somme d'argent et des examens. La somme d'argent doit expressément représenter les frais d'entretien du volontaire sous les drapeaux; mais l'évaluation appartient au gouvernement,lequel cherchera évidemment une moyenne entre le taux réel des frais et un excédant qui n'éloigne personne, tout, en lui permettant de faire un bénéfice ; et il cnerchera d'autant plus à grossir ce bénéfice qu'il pourra rappliquer à retenir et entretenir sous les drapeaux un plus grand nombre d'hommes de cinq ans , les seuls dont il fasse cas, au moins tant que les idées de M.Tbiers prévaudront. Or, il est calculé que le soldat d'infanterie ooûte à peu près 500 francs par an a 1 Etat. Tout ce qu'on demandera de plus aux volontaires constituera donc un boni; seulement il ne faut pas demander trop, car alors on aurait moins de volontaires. Nous pouvons supposer 1,000 francs. En 1859, si jene me trompe, à l'époque de la guerre. d Italie et quand les exonérations coûtaient cher, il y en eut 42,000 sur un contingent de 140,000 hommes. Une somme de 1,000 francs n'arrêtera ms triote Barthélemv Thimonnier comme inventeur de la couture mécanique. Tous lés essais tentés avant 1830 étaient restés infructueux" Çwqiiesuum. A lui revient incontestablement 1 honneur du premier résultat pratique obtenu par une machine à fil continu. Ce n'est que seize ans plus tard qu'Elias Howe. sur lequel a été reportée jusqu'à présent toute la gloire de celte invention, obtenait la couture mécanique par un procédé différent. Et une autorité dont an ne contestera pas la compétence le jury international delà première exposition universelle de Paris, déclarait, il y a dix-sept ans, dans son rapport, que la machine de Thimonnier a servi évidemment de type a toutes les machines à coudre modernes, ' Mais tandis qu'Hélias Howe recueillait la lortune et les honneurs réservés à ceux qui savent tirer, parti des grandes idées et des grandes inventions, l'humble artisan d'Amplepuis, constamment absorbé dans la recherche des améliorations à apportera sa première machine, n'a pu, selon la loi commune profiter de son œuvre, Epuisé par trente années de travail et de utte, Barthélémy Thimonnier a succombé à ? pemeei n, 5 .;' oût 1857 - Né à l'Arbresle en lannée 1/93, i avait 64 ans. Il est mort à Amplepuis, malheureux, ne laissant à la triste compagne- de cette existence misérable et agueo a inventeur aux prises avec les nécessites de la vie, d'autre héritage que la misère La veuve de 1 infatigable chercheur dont le nom doUôifé désormais placé à l'origine d'une jnuustne qui en a enrichi tant d'autres aprè= .lui est aujourd'hui arrivée aux confins de la vie, Ifl \&§uant à ses compatriotes la gloire a une invention qui restera comme l'une des plus grandes et des plus utiles du siècle Barthélémy Thimonnier leur a laissé aussi 'une dslio. 11 est temps encore de l'acquitter M le ministre de l'intérieur dont l'attention 'a été appelée le jour de l'inauguration de l'Exposition sur ce maiheure oublié a fait remettre avant de quitter notre ville un secours de 300 fr. à la veuve de Thimonnier!=< yoie étai ouverte. Un comité d'initiative pour la revendication de la machine h coudre comme invention française s'est immédiatement formé aans notre. ville et nous ne pouvons qu applaudir dos deux mains à la pensée m,e œ comité a eue de compléter son œuvre de. justice par une œuvre de réparation en ouvrant une souscription publique destinée à venir en aide à la veuve de (Inventeur méCQnnu < PÉNÉLOPE. • 2KyUi&tf/AJLi XfM XJTZOIR lis ii Taberlet, Tassin, Testelin, comte de Tocqueie- , Il résulte des renseignements fournis par ,ar ' Tel est le récit précis qu'on nous envolTT*?^ l'armée territoriale? j'joint à son teint, fait dire à quelques mauvais c aujourd'hui 50,000 jeunes gens, qui x [ dans TIavi -je ville. j les h jounaux des dépat tements que le gibier,. à Ij ddrid. Ajoutons encore quelques détails DnUi n plaisants qu'il' est... Comment écrirai-je [ Nous sommes bien loin, convenez en, F F lbes a»tij les journaux espagnols. voudront ne faire qu un an au lieu dee .ga Vacherot, Viox, Vuillermoz, 0I1 " plumes sera plus abondant cette année qu'on e cela? Mon Dieu, quand on parle de matières p c du service obligatoire tel que l'immense c S Wallon, Warnier, Wilson. ^ s'y attendait tout d'abord. Les lièvres, quoijl Rour arrêter la voiture royale, les assaq^' 13 cinq, et espéreront ensuite se caser dans ne „_ fpremières, il semble que tout doit passer. C'est. rirent en travers de la rue, au moment où i»n S ffii' " r -,_ majorité du pays l'avait acclamé au lenles réserves ou dans l'armée terri tojg que plus rares, ont déjà atteint la demi-gros" cependant le contraire. Enfin lisez Rabelais, et 1 f' Tvait, un fiacre qui stationnait près d'env n rri ^voyez les quatre fonctions qu'il recommande â 21 Voici, d'après le même journal, la liste desg seur, ri aie. ' fdemain de nos revers. Je ne vous cache ils seront d'une force. raisonnable à l'é. lre s î à 33 députés qui avant voté ie 19 janvier contre t-" „manœuvre, qui réussit aux misérables mp, t* ls t pas que, convaincu comme je le suis, l poque de l'ouverture. Les perdreaux sont gros dde Prim, n'eut pas de succès cette fois r 1 lers Remarquez, d'ailleurs, que ce n'est > cceux qui veulent se conserver le corps sain et pj 3 | 'OS l'impôt sur les matières premières, se sont )U P p îr" il'esprit gai. Il y en a une que M. de Meaux, ccomme des cailles. Les cailles sont nombreu:ll- ddu roi, lancé au grand galop, entraîna ' aoor^^ f pas M. Thiers qui le trouvera mauvais. S- Jj'en ai voulu à la Chambre decesaterx, aabstenus hier : 0c ae à u une de ses roues, le coupé de place. ' r [g moiements, mais surtout à M. Thiers <j ses dans le Nord. irs disent ses ennemis, doit accomplir avec peine. Avec 50,000 volontaires, une taxe de ax. '?" MM. Anisson-Duperron. Baucarne-Leroux. L'assassin tué était un homme d'une o' f ja j| qui n'a épargné à cette Chambre hésinOn s'attend à ce que quelques députés de la !6t. 1,000 francs par tête lui procure un boni Boj'sset. Brame. Brice (Ille-et-Vi!aine). Broet. . titaine d'années. Il était mal mis et portai» |!1<{uan K( ;t- cdroite essaient, pendant les vacances, une t aucune rouerie pour la soumetin. Voici comment le Court Journal décrit le ne rj] Challemel-Lacour. Chanzy (général). Gberpin. n rasée depuis trois ou quatre jours II\p •rl)e de 25 millions, qui lui permet d'entre-' 3_. tante fe non n- ccampagne de meetings, à l'exemple des radic< ii- Gosta de Beauregard (marquis de). Crussol. Doc )o- costume des ambassadeurs birmans qui sont )I)t ddécharger un tromblon sur le landau-' ciu-ir fî (!e tenir 50,000 hommes de plus pendant a t tre 1 à ses idées. Et ce qui indispose enj'applaudis des deux mains. D'abord rd ri: rian. Dréo. Dulay. Dupont. Escargue.l. Folliet. c **: een ce moment à Londres et doivent arriver v atttaqué par les agents, il ouvrit un \t à iK /er vit a _ eaux, un an, ou 10,000 hommes de plus peulr. ccore plus les observateurs, c'est de n'al'a pGaudy. Godin. Grévy (Albert). Jamme. Laibn 7 de bientôt ^ g. c'est la pratique de la liberté, etle pays n'a c t( catalan avec lequel il se défendit m" ^ tt" teau à Bnrxelles : t voir pas un terrain de critique assuré ; e dant cinq ans ; c'est-à-dire que, de cette J •g_ Fongaufier. Lamy. La Sicotière. Mazeau. Parent. ' cqu'à y gagner. Puis il ne faudrait pas croire. F' t)i_ qu'il ".' A l'endroit où l'Européenne place son éluq fût tué raide par trois coups de revolv1 U a ce le grand défaut de cette loi, c'est ce (de). Ouinet (Edgar). Quinsonas (marPl 1S 1 façon, il aurait constamment en plus f| e Ainsi le roi Amedée n'a pas été en butu'- . parce que nous pensons autrement qu'eux, [X ' Pourtajès n gnon, ces messieurs portent un morceau de ti | 1 de). Rampon (comte). Kathier. Revmond. .',.' Squis a de vague et d'élastique. Je l'ai [ les monarchistes n'aient aucune valeur. ai que aattentat ordinaire, à la folie d'un fanât' U" , 33 qu'elle sous les drapeaux 50,000 de ces hommes £ mousseline plié comme un éventail déployé. S" Silva. ^ B l 2n jIls comptent au contraire, nombre de gens seexactement, je le crois, en le curé Merino, ou à l'explosion dWe '*' 3 _ interprétée ' de ciuq ans, les seuls dont il s'occupe. >ei 111 Leurs jupes ressemblent à des rideaux ele J,^: lit que c chine infernale comme celle de Fieschi S ma " pour point de départ les idées es ssérieusement instruits, distingués, et même ne r _ prenant Au lieu de 450,000 hommes sous les ar1 P , en satin broché. s ^ _ _ -«»_ _ c sassins étaient nombreux, et ils ont livré un<fS as" ~ g Vra>« r_ du mes, il en aurait 500,000 sans surcharÇ chef du gouvernement chargé de 1bien intentionnés, souvent même désintéresUn corsage ele mousseline blanche se se bataille b à visage découvert. nt sses, qualités qui ne sont pas assez communes mais on peut parfaitement es -, (]drape sur leurs épaules et leurs poitrines, et et 3_ l'appliquer; ger le budget. Cela vaut la peine. J\o1 Le roi a fait preuve d'un courage témptv ^ ne pour en faire fi. Si me l répondre que je me trompe, et que I lue que une étroite bande de mousseline est tordue q son âge seul peut excuser. Encore r-e Pn ' pelle votre attention sur ce point. *Si lOOfELLES ET BRUITS ; l Pour M. Thiers, il semble décidé qu'il pas» »rend-on pas comment il ose exposer ]es in n autour de leurs têtes. Sous leurs robes est enJ i M. Thiers fera tout pour le mieux. Tout n vous avez bien suivi mes calculs, .vousS * jje —.— ^_ sera s les vacances à Fontainebleau, où l'école ..«: de sa vertueuse et noble femme aux couniT 8 tièrement cachée une épée à lame très-courte; " t ;yt fest possible, à commencer par l'artidevez m'accorder que les choses n'iront ml meurtriers. .j. d'artillerie de Metz a été transportée et où il itif iun ordre est suspendu par un ruban panaché ^ M. Martel a déposé le projet de loi relatif l iaurait le projet de s'occuper d'expériences de pas autrement. iele 37 qui permet de garder les soldats mil ie aautour de leur cou ; leurs gants de chevreau " e aux ai vacances de l'Assemblée. En voici le n is ccinq ans, c'est vrai, mais qui ne s'op\ Il est vrai qu'il y a les examens. Mais j tir. Sa santé est bonne, malgré les symptômes „ ies ttexte blanc sont très-longs, à l'instar de ceux que : 1 1rue , VAgence Ilavas a transmis aux iourna». aus i- Ipose pas à ce qu'on ne les garde que la Ja cde lassitude que -je vous ai signalés, et ceux cde Paris les dépêches suivantes : que pensez-vous que ce soit que ces exaax s à portent actuellement les dames. « Art. H. — L'Assemblée se prolonge p . moitié de ce temps. Il faut donc nous us qui c le connaissent bien racontent qu'il est . r * mens? Peu de chose, soyez-en sûr. are Depuis leur arrivée en Angleterre, ils ont *r partir du 4 août 1872 jusqu'au 15 novembre D 3nt ' Madrid, 19 juillet l maintenant à la mise en prat *a- taillé en Hercule ; en costume de bain, il aur_ ajourner Rien n'est fini dans la loi, et le gouver•î" ^ suivant. aadopté comme chaussures des bottines vernies ies (Arrivée le 21 au matin) rait l'air d'un petit bronze florentin d'après l!S >p 1tique. r m- àà élastique de fabrication anglaise. nement, dans ses idées actuelles, a trop " « Art. 2. — Une commission de 25 memLes individus arrêtés en flagrant délit fors J ité 1l'antique.' XJ'ajoute d'ailleurs que cette élasticité l'attentat contre le roi, sont au nombre de tr bres b élus au scrutin secret sera nommée pour intérêt, je viens de le faire voir, à mulnir ,* \ ( Avant la prorogation,- qui aura probable„ l8" remplir ]a «^ Sdont un blessé. On a fait, de plus, une vi'nr>i°' s' re d- rmême de la loi a l'avantage de la rendre les obligations mentionnées par la tiplier autant que possible les volontaiolaine d'arrestations. ' el > constitution de 1848. aisément modifiable. On n'aura ra lment lieu comme l'a demandé hier M. Martel, C( ie plus res. Je crois donc pouvoir dire, quoique I U Impartial dit que le gouverneur civil avait éti L évidemment d'accord avec M. Thiers, nous u , ^ « Art. 3. —Les pouvoirs du bureau seront de rien bouleverser, si l'on veut 33 besoin prévenu de l'attentat et qu'il avait pris des rne rien ne me le prouve en dehors de mes 1 ^ *aurons, entre autres choses, le vote pour les s ^ prorogés jusqu'à la rentrée de l'AssemD| [•e yî porter la main dans quelques années. res de précaution. Le nombre des agents de n"1" raisonnements dont chacun est libre c ' b - conseillers d'Etat qui pourra porter sur quel3l" L i avait été augmenté sur la route que <} ? 0j" blée. » lice 3n le Le Times faisait dernièrement allusion ea d'apprécier la valeur, je dis donc que le \ ques préfets et occasionner ainsi un mouvec suivre le roi pour rentrer au palais. i- ài cela en faisant le décompte des niée~ rment électoral. C'est sans doute dans cette tte chilïre annuel des volontaires sera d'enATTENTAT II est peu probable que la discussion du ts irites et des défauts de M/ Thiers. Les ;es jprévision qu'un assez grand nombre de comMadrid, 19 juillet n : rapport viron 50,000, et je calcule les résultats de M. d'Audiffret-Pasquier sur lesS ra (Arrivée le 21 au matin.) ,,! CONTRE LB ROI ET LA REINE D'ESPAGNE u- pétiteurs se montrent depuis quelques jours' àa marchés lois qu'il nous force à accepter le cour. du 4 septembre ait lieu avant Jes vaVa," en conséquence. i m La Gazette rend un compte succinct de l'attenta 4t teau sur la gorge pourront se réparerr ; ^Versailles. cances. CJ 50,000 volontaires à 1,000 francs font t f constate le sang-froid que n'ont cessé de con ïcit «t Nous empruntons au journal le Soir un récit t M. Ernest Picard, qui y était également, en i- cce qui l'absoudra de son obstination eet s On croit que des pièces indispensables? àa ccirconstancié et très-dramatique de la tentai a _ server le roi et la reine. Elle annonce q ue j e " 50 millions par an, dont 25 pour l'enns j>l'établissement de la situation et qui n'ont Ppuu tive t d'assassinat contre le roi Amôdée : ( de ses violences législatives, ce sa. profité pour obtenir quelques modifications partira demain matin. Un des chevaux de la voi s - même tretien desdits volontaires et les 25 rest le travail de la commission, d'enquête c ture royale a reçu sept balles ; il est mort en arri4e encore être mises à la disposition delà eomm— • i ei n dans tants pour l'Etat. ;• ssera d'avoir fondé, s'il y parvient, un Jeudi dernier, à dix heures, le roi recevait>. de y irc m • £sur le 4 septembre, que prôsideM. Saint-Marc. de -vant à la porte du palais. Les arrestations conti" mission nécessiteraient un supplément au rapp lP" l'amiral 1 s, ordre durable dans ce pays, après l'avoir Topete un avis de la plus haute gravité, L'Etat, avec ces 25 derniers millions, c l } Girardin. A cette époque, le nouveau gouver!r " port ité. jnuent. Ge matin, à cinq heures, on en avait opéré et partant ie renvoi de la discussion. r p( D'après une confidence qui lui avait été faite par 5 ,sî; itrouvé si voisin de sa ruine. Ce n'est par 27. La blessure du prisonnier est sans gravité peut appeler annuellement 10,000 h'om- 1 nement avait un secrétaire, M. Dréo, gendre r ire _ i une personne que le hasard avait placée de façon a 8 ., de çon \2Impartial convoqua la population pour ce soir st Ipas une raison cependant pour ne pas â G-arnier-Pagès et journaliste d'une môdiomes de plus. Il en voulait 60,000; c'est °" La commission du budget de 1872 a adopté, té, à entendre une conversation entre deux individus dus àà six heures, afin de faire une manifestation enrés 5 Ilui résister autant que nous le pouvons, is, ccrifé absolue, ce qui ne l'a pas empêché d'arir ~ par 70,000- qu'il en veut maintenant. Mais, suspects, qui parlaient à. voix basse dans un café, t 10 voix contre 8, ie projet d'impôt sur les a p! ifé, paration de l'honneur national; il engage tous'là •e. ' river à la députation, grâce au courant qui en eK j^ nous croyons devoir le faire. r un après le tirage au sort, la limite de la quand c bouilleurs du crû. u attentat contre la vie du roi Amôdée devait, vait, fhommes honorables à y assister. . la a porté tant d'autres. A la Chambre, on assure T e a tel avoir lieu le soir môme. sn L'Assemblée va bientôt entendre . Quanta la proposition de, M. de Belcastel première partie du contingent ira bien I Madrid, 20 juillet, matin. roi reçut effectivement l'amiral, mais refusa te > tendant usa e _ que u- ttroisième lecture de la loi de recrutefj ce qu'on prenait pour de la médiocrité, te à taxer les cafés et autres établisse- de . Lerien plus loin que les 70,000 premiers nuchanger à ses habitudes ou de prendre ^ Le roi est parti a 5 heures. Les rues conduisant clre . s'est révélé sous une forme non équivoque de ( s e m n * ments publics de même nature, la commission il îment. Un assez grand nombre d'amenrnéros ; car, dans ces 70,000 numéros, il ji g. àa la gare étaient encombrées par la foule, qui asa . ? n j,la moindre précaution pour protéger son exis,„ nullité. C'est lui qui, venant parler à la trin ~ a été d'avis de renvoyer cette partie du projet î 3S déments nouveaux doivent se produire ï jet tence. t lue Sa Majesté par des acclamations enthony en aura qui tomberont sur des jeunes £ i-i b une en faveur de Paris capitale, eut ce beau au ai s au gouvernement, pour qu'il le prenne en en s Le gouverneur civil de Madrid, M. Mata, reçut cu t siastes. ie ià cette occasion. Je ne pense pas qu'il gens précédemment engagés comme -, rmouvement : « Messieurs, le patriotisme (dee considération cc lors de la révision générale des les c< communication de cette dénonciation. Madrid, 20 juillet, soir. e ~ Paris i- ss'ensuive aucun changement consuléj volontaires d'un an; soit. 25,000. Il fauva jusqu'à l'aliénation. •• Vous jugez si la pî Immédiatement ii fit les investigations nécespatentes. :esD'après plusieurs journaux, c'est l'amiral Toic tu rable; mais, dans ce cas, je ne manc Q~ droite a ramassé ce pavé. Au demeurant, dra les déduire, et alors on ira jusqu'au i U, . — s:saires pour contrôler l'exactitude des renseignep no- pete qui aurait fait connaître au gouvernement le ie querais pas de vous en informer, si i le meilleur fils du monde, quoique siégeant nt n transmis, et il acquit la certitude qu'ils n'énuméro 95,000 pour la première partie ( l'é- rprojet d'attentat. L'amiral en avait, dit-on, reçu lug ments Une grande revue était bien, comme nous à l'extrême gauche, ce qui est pour bien des p. .„. taient nullement exagérés. I confidence d'une personne qui avait entendu par :e^ l'avions la du contingent. Au lieu que d'abord le >vous le permettez. annoncé d'après d'autres journaux, jï? tout autre pays, on aurait prévenu l'attengens une manière d'être sans heureusement an- 1:hasard une conversation indiquant le lieu, l'heure le Veuillez agréer, etc. k c^ ;nt commandée hier dimanche ; mais elle a été , Dans numéro 60,001 échappait au service de i,& ttat en arrêtant les coupables ; à Madrid, on crut e les détails de l'attentat projeté, :rut et tirera conséquence. Mais avec tout cela les e ^ retardée r€ parce que plusieurs puissances étran{ ia_ (devoir cinq ans, ce ne sera plus, à présent qu'à 'à Georges JEAN.NBROD, « s'en tenir à la défensive sans rien empêpêLe Débate raconte que lorsque l'amiral alla féliIrs .gères gens comme M. Dréo figurent les réformateurs „., ont, dit-on, demandé que quelques-uns ns ccher, sous prétexte de respecter la Constituc partir du numéro 95,001, et encore tu- citer Leurs Majestés, la reine lui aurait dit :«Voas Rédacteur dn Temps. . rdes sociétés modernes. gde leurs , généraux pussent y assister. ti tion, qui interdit toute arrestation préventive. a avez été deux fois notre Providence. » • ie ' On voit la différence pour ceux qui ne Or, des procès-verbaux tenus par ledit M. ité On échelonna tout le corps de police habillé en f• On annonce maintenant que cette solennité __ pourront profiter du volontariat. —- Dréo sont restés des séances du gouvernee ~ militaire b enm coïncidera avec la souscription de bourgeois, depuis le palais royaf jusqu'au Buenint m Je ne sais si j'aurai bien fait saisir ir rment de septembre, et il paraîtrait qu'ils sont r [,.g Retiro, où Leurs Majestés devaient aller passerr la . Nous trouvons dans le Times la dépêche l'emprunt et il ressort, en effet, d'une Jettre assez extraordinaires pour donner matière à la soirée, et on attendit. j Ja a( s ces considérations un peu arides. En suivante : adressée par le ministre de la guerre au maoô Eu môme temps que les agsnts prenaient posicritique sur le pouvoir d'alors et peut-être en réchal ie COURRIER OE PUIS ? deux mots en voici le sens: tout le >siParis, 19 juillet." r/ Mac-Mahon , qu'elle aura lieu le 28 f : tition, on vit sortir de chez un marchand de vins ; faire rire, ce qui est tout ce qu'il y a de pire ;G ins II paraît certain que le gouvernement espajmol monde aura un avantage énorme à être g J«iHet_ o de la place Mayor quinze ou seize hommes d'asa 'as- a été averti par un de ses ambassadeurs de la tanpour un pouvoir. C'est pourquoi M. Picard est :it F volontaire, les vues du gouvernement pect sinistre, qui avaient l'habitude de se réunir nir ttative d'assiuat sur le roi et la reine, quia eu lieu intervenu. Il aurait convaincu la commission 00 . Paris, 21 juillet. i L'autorité militaire a fait saisir depuis queld eldans cet endroit. ! s seront servies par l'accroissement preshier. G'est à cet avertissement qu'il faut attribuer ar que tTI temps un grand nombre de brochures res Ce groupe se dirigea yers la, rue de l'Arsenal, 1les précautions exceptionnelles qui avaient été s, Le Journal officiel annonce l'emprunt ce fique ces procès-verbaux brillaient moins par ial, oue indéfini du nombre des volontaires, _ l'exactitude [ que par l'éclat des vues politiques ^ !es ar- >voie fort étroite qui conduit du palafs à la Puerta rrépandues parmi les corps de troupes en gar)r té matin. r Conformément à mes premières infor:rta jprises pour protéger le roi. et cet accroissement ne sera limité que M. Dréo a trouvé bon d'y inj n " nnison dans la 9" division militaire. Ces bronés II n'est pas vrai que le maréchal Gialdini iiit r y mations, le taux en est fixé à 84 50. On remartl._ personnelles î ro _ dde! Sol. Arrivés à la rue de l'Arsenal, ces hommes qu'autant que ce même gouvernement et l'on aurait rectifié le travail en ce cchures, j s fractionnèrent en petits groupes de trois ou l :...„ se ou i été j chargé d'une mission pir. le roi d'Italie. Le c dans le décret l'absence de la formule orœuvre bonapartiste et dont l'origine )r ~ traduire, U que individus, qui se placèrent : l'un devant le voudra "bien. ïl est vrai que, dans 4 ant rmaréchal passera trois semaines aux Eaux-Bone| dinaire relative à l'irréductibilité des sousse trahit à chaque page, sont surtout, destinées jlquatre is- ssens se ^r l'église qui fait renfoncement au milieu de la rue, 1nés, et ensuite traversera Madrid en se «Virigeant On persiste à annoncer la démission du gélb criptions 'ue,, ce système, les hommes de sis mois a! de cinq francs. Il en résulterait que g" aux anciens soldats, à ceux qui ont fait partie c ue ue ej e jes autres à tous les coins des voies qui traver\vers Yalence, où se trouve la famille do la maréernôral Suzanne, directeur de l'artillerie au mij r ra les 1Rt disparaîtront presque, et il n'y aura j ( premières armées entrées en campagne, souscripteurs pour 84 50 ne jouiraient r" cclës ne,, ssent la rue de l'Arenal. c chale. i u lnistère de la guerre. Elle serait motivée par le 'et nas lieu de les regretter. Mais alors PS pas ei dénaturent l'effet de la dernière guerre, Un des assassins se détacha pour se placer,. en F de ce privilège comme cela avait eu lieu ,£_ [refus non moins persistant du ministre de i'auu__ v ui jjusqu'ici. Peut-être agit-on ainsi pour empêvedette à l'exfrémité de la rue qui aboutit à la quelle sera la composition de ceux qui v Le buste de Conté a été placé récemment iZ toriser à entrer en polémique imprimée avec ;nt Puerta del Sol; cher les manœuvres que certains financiers • fc I serviront cinq ans ? c L. M. d'Audiffret-Pasquier. Je vous en avais déjà ^ G'est par la que la voiture royale devait renen"Ja dans les galeries du" Conservatoire des arts.jgl et ie pourraient se permettre, en envoyant à leur ! Vous vous rappelez peut-être que f arlé ttrer. métiers de Paris. , st place des souscripteurs fictifs de cinq francs F tes P m ii LETTRES OE VERÂX j'ai déjà posé cette interrogation. C'est f Les agents se placèrent, de leur côté, de façon ,jj^ L'Evénement donne deux lettres assez imm àa n~ n de rente, de manière a échapper à la réductibiC'està Conté qu'est due l'invention du crayon 011 n ne pas perdre un seul mouvement des différents a elle que je voulais revenir. f nts -7* .,,." Fportantes ce matin ; l'une est du musicien 611 eet( ce ne fut point là sa seule découverte. „ Quoi qu'il en soit, le silence du gouver1 * lité. Reprenons l'opération au moment Là Théodore Ritter, qui proteste contre les bruits l[ $ • Nicolas-Jacques Conté, peintre, chimiste et groupes des conjurés. J Bourg, le 13 juillet 1872. i jnement sur cette clause ne peut pas être sans et Le roi, qui était sorti à cheval «lans l'aprèsc l'accusaient de toucher du piano en Aile1 jintention, qui du tirage. Nous avons une classe de F" m mécanicien, fit partie, de 1793, delà commisn is- midi, partit à neuf heures pour le Buen ReSe-le vous ai promis de revenir à M. Russew lL~ sion 'omagne pour le plaisir de l'empereur Guii150,000 hommes. Sur ces 150,000 hom)é- t:tiro. _ h sj des -savants chargés de suivre l'expé^" Autre remarque, Les souscripteurs que l'o- J Saint-Hilaire et à sa conférence, 5Q { laume ; l'autre est de M. Naquet, qui proleste j " îte ei\ Le général Burgos, aide de camp de service-, r mes 50,000 se sont d'avance engagés rrience de la décomposition en l'eau par le fer. - s pération de réduction réduira à moins de 2 50 , ice, Je vous.disais, en terminant ma dernière également contre des imputations plusgraA, a " Après de remarquables travaux sur cette maj â _ aaccompagnait Leurs Majestés dans leur Yoituro.'• | ?ez É le de c rente, seront rayés. Exemple : vous avez ' pourun an, Le gouvernement en appelle lettre, que l'illustre professeur avait conclu jg , A minuit, et après avoir pris des sorbets au jarte ssouscrit pour cinq francs de rente, l'emprunt 5 tière, le gouvernement le nomma directeur de mt ves tii ,aF" -,.en affirmant que le relèvement moral de la 70,000 autres pour cinq ans. Le reste din du Retiro, où il y a un .concert public, ils déj Vous savez que ce' député, avec deux aup u " l'école aérostatique de Meudon. . ( France ne pouvait se faire que par le retouri ne servira que" six mois. 1ge trouve couvert plus de deux fois, ce qui cidèreat de rentrer au palais. î L[U très, passe pour fort compromis dans les rnart l[' Il fit aussi partie de l'expédition d'Egypte et ÎS Jvous ramène à moins de 2 50. Votre souscrip1 et La voiture du gouverneur, qui attendait le ro roii la religion, aux croyances de l'Eglise primiQue sera-ce que ces 70,000 hommes chés qui ont eu lieu pfendant. la guerre. Je ^ c ,)e disposa en deux jours, à Alexandrie, des* foui'r ,u i_ tive et à lecture de l'Evangile. U> rrue d'Alcala, devant le ministère des finances, suit ra ltion est alors regardée comme non avenue. de cinq ans ? Évidemmen t il n'y entrera P*| m neaux à boulets rouges qui tinrent au large y le landau royal à cinq pas de distance. ^_ Je vous avais parlé encore de l'acceptation on ?vous l'avais dit, sans citer les noms que plu-, ge vit C'était là le point culminant de la discusque ceux-là seuls qui n'ont pu être vosieurs journaux ont pourtant publiés; mais, ls ! les j e vaisseaux anglais. s Le gouverneur était accompagné de son secrés i des titres en guise de versement. Elle est ;st ré- sion et aussi peut-être le point délicat et danj] dans des affaires de cette espèce, j'estime ne u c lontaires d'un an, c'est-à-dire ceux qui j ! in- taire, M. Castellanos. c II construisit un télégraphe, créa des fon' \ maintenue. En effet, si j'ai prêté cent millee gereux dans une allocution faite par un provaut mieux laisser les autres parler les es deries ^ ,ns En voyant arriver la voiture du roi sans escorte, n'ont ni instruction, ni fortune, ni ^ la ffrancs à un monsieur sur dépôt de titres, il est ne > testant à des catholiques. Je vous ai dit avec de canons et inventa enfin ces crayons J ;g(. qu'il , „'. la vedette des assassins siffla. T^j. premiers. g* 3r clair moindre protection capable de suppléer d'une si grande utilité et d'un usage si consque ce dépôt vaut de l'argent. On peut c bonheur M. Saint-Hilaire avait su éviter Quand l'éciuipage arriva devant le premier quel ." je ,I M. Naquet proteste donc, et j'ajoute que i.6 (a tant, t- donc l'accepter en paiement. Il est vrai que, - l'instruction et la fortune. Mais n'estc î|* le danger et à quel point son éloquence, sa foi groupe placé a l'entrée de la rue de l'Arsenal, ce\J beaucoup de gens protestent aussi pour lui. u. __ Flui-ci se déploya sur les deux trottoirs et fit une i- d'autre pan, on accep,ter4 gncore bien davau^ le défendent e sa bonne foi avaient touché son auditoire, 'ce pas ce que vous reprochiez aux remc |n! et j Ils à la façon de certains avocats, ;s > Un des éclusiers de la Monnaie, à Paris, es • mettant eo qu'il a fait sur le compte d'une ts tage les cent mille francs en question des lequel il n'avait recueilli que des applauPS, ppremière décharge avec des tromblons et des reD plaçants d'autrefois? Les remplaçants t re . dans j ae vvient de trouver dans la Seine une pièce des v les volvers. - (3dissements. Puisse-t-il aussi y avoir cueill» i- .mains du monsieur à qui je les ai prêtés. Il ,„_Çy en îforte dose de bêtise, quoiqu'il ne soit cepenn'étaient-ils pas généralement des ini a." pplus | curieuses. Le cocher fouetta les chevaux qui filèrent au au qquelques conversions ! Je m'explique : Puisseie Ea là'un double emploi qui est un inconvé' dividus qui n'avaient aucun intérêt de / *dant pas un sot. Mais que d'hommes d'esprit :1* v C'est une rapière du seizième siècle, magnini- galop : le général Burgos se jeta sur la reine qu'il f, avoir ramené quelques esprits ele l'indiffég t nient. Mais il y aurait un plus grand inconvér i'il t-il n I et de sens étaient à cette époque tombés dans ns « famille ou de carrière qui les retînt J nient couvrit de son corps ; le roi se mit debout dans im rence fiquement travaillée. Les armes de la maison c on Ç; U ," à en tenir compte, attendu que si vous l r religieuse, qui perd les Etats comme le? ,e| lune sorte d'Idiotisme à propos de la défense ^ Montmorency sont ciselées' sur la poignée : , refuse? de prendre comme argent les litres s, 88 de et qui ne trouvaient pas de meilleur iee -. la voiture, dans une attitude pleine d'assurance.• individus, à la foi, qui sauve les homineset r La voiture, du gouverneur s'arrêta ; le geuver-* nationale! emploi que de se vendre ? Ëh bien\ '! ; (doSf je suis détenteur, je vais iJRrnédiatement quiestenargentfinetoméedepierresprécieuqi Hl relève les peuples ! r Bref, dit-on, si M. Naquet a acheté à des ge Sur la lame sont gravées ces deux lettres;!'s": neur et son secrétaire se précipitèrent sur le pavé es ses. telle est la base qu'on va donner de P \les convertir en argent, c'est-à-dire les venMalheureusement, soit fatigue» soit manque, . • ppour seconder tes agents de la sûreté, qui avaient ènt ^l prix exorbitants de l'artillerie que M. Lecesne y "J® E. R., qui signifient évidemment: Erançois, nouveau à notre armée. Et, je Vous le dre, ( et cette opération répétée à l'infini détrui* IS, eengagé une lutte corps à corps avec la premier ier dde temps, soit tout autre motif, sa conclusion , * Pet uG R; e la commission d'armement avaient déclarée Roi. ggroupe d'assassins. n i- rai nous a paru manquer des développements nérépète, ce sera pis, parce qiie le voloni t pu rement et simplement notre marché en y_ mauvaise, n" c'est qu'il soupçonnait ladite comCette belle arme ne vaut pas moins de trois OIS Tous les autres groupes firent feu à leur tour, c lr 1- produisant une baisse incalculable. Voilà pour{j ur. cessaires et attendus. A partir de ce moment, iariat sera plus accessible que le remr ila ;," mission de vouloir entraver la défense... Cela r m- et, 1(le discours est devenu une exhortation, pour ou quatre mille francs, intrinsèquement. Pour e après avoir déchargé leurs armes une 0l r? equgi l'on persiste dans ce que je vous ai dit.g est bien fort, mais non au-dessus des exemme placement. Les examens seuls poura ~ un UI collectionneur, elle est sans prix. Ppremière fois uontre la voiture royale, ils les totirS ^pies que cette époque a fournis. Nous verrons Q- Seulement te gynaigit des agents de change se n pas dire une prédication et l'orateur s'est "lur - ne raient le limiter, et les examens dépen£ ns nnèrent contre les agents, se frayaut pour la plu„ rs réserve un droit de "contiéie SBi' ieg valeurs | r " attaché à entraîner sou public par le spectacle „ part un passage de vive force. " ', ra dent du gouvernement qui ne cherchera comment la chose se dénouera. p Nous trouvons dans la liberté de curieux c offertes. d'une foi vive et contagieuse, bien plus qu'à 1 16 Ceux qui se trouvèrent cernés se défendirent à f t r".a détails ,„ M ' ' Massïn," du Gymnase, a été saisie il va ^ qu'à reculer la limite. sur ie château de Ferrières : L® vgrsement de garantie et les versements 0(coup de revolver ou à coups de poignard. Pluiu_ le '! convaincre par des démonstrations scientiquelque temps, et, pour avoir dérobé à la sâiu" j Ce que j'écris là, M. Thiers ne me l'a '$ imensuels .sont d'ail}eurs, sauf une différence ^sie quelques bijoux chers à son cœur, elle a j] " Depuis deux ou trois jours des wagons 'ns gsieurs agents et un inspecteur furent blessés ; un Uliques, la des d assassins l'ut tué dans la bagarre, trois autres t- cde cinquante centimes pour le premier, ce quee ^été condamnée en six jours de prison. Coût1 ; ,g..cchargés d'arbustes et de plantes partent de la pas affirmé, mais c'est ce qu'il faut atres Je ne veux pas dire pourtant que les preu' gare n 38. reçurent des blessures plus ou moins graves. Les id je „ fc'£ dô Strasbourg à destination de Ferrières. ves vves aient fait complètement défaut. G'est surtendre. de lui, et, d'après cela, quand j< vous avais annoncé avant-hior. r „_ cinq {ranci. Mais là grâce de cette jolie per" « Ge domaine a été un peu saccagé, natuu- vvêtements d'un grand nombres d'agents furent 1 il sonne i- ' La séance d'hier a eu le résultat généraleent yltout dans les enseignements de l'histoire que s j'ai fixé à 50,000 le nombre des volonn" reliement, a été la plus forte. Elle a représenté l'iner- (idéchiquetés par les balles. par l'occupation du grand quartierre i ment prévu. Il s'agit de savoir à présent si le ! l t n " général taires d'un an, j'ai été peut-être au* nocence de ses intentions, il lui a été pardonJ Deux des assassins, qui s'étaient réfugiés dans M. Saint-Hilaire est allé les chercher. De;la prussien ; le parc surtout, où s'était a it jî protectiionniMS va décidément sortir, comme \°f part d'un historien, cela n'a rien qui doive r un café situa près du lieu où l'attentat avait été ^ P né, etj dans sa reconnaissance, elle a serré f lg dessous de la vérité. Il est possible que n "^ installé un bivouac de cavaliers-ordonnances, "commis, s a. FJe vent M, Thiers, d'upe question de tarifs, f' V? p nous surprendre: ,, 'ii furent arrêtés, assis autour d'une table ...j les mains aux gendarmes qui ont eu peine àa a beaucoup souffert, et l'qn g'oceupe en lt tout le monde soit admis au volontariat, i ce où .' Tous ceux qui ont à cœur Je relèvement moral idissim-uler 0 ils buvaient tranquillement , en apparence, Déjà, à propos des vertus républicaines, )' ce *j quelque émotiftn m ; excepté les individus destinés à servir A la gauche (c'est là le mot qu'elle mérité aur piamont de rétablir, dans la plantation, les )T de 'es n mais pâles et défaits. ' nnous était offert l'exemple des Etats-Unis d'AAI . Une dépêche 'publjée pu* Fe frigam annonoe Çe M nombreuse? lacunes qui S'Y faisaient remarcinq ans. Quel est l'ouvrier aisé, le eul^ j, lrParmi les prisonniers se trouvait le marchand nmérique; c'est encore le nom de l'Ame^ jourd'hui de se voir appliqué;, la pressent de nd ae *; la: mort de l'amiral Cjuevdon, gouverneur de quer. dde vin de la place Mayor, qui opposa aux agents 4" tivateur qui ne trouvera pas quelques 3s se g ramasser désormais, et, après avoir fait àdx l'Algérie. nts rrique qu'il invoque, en faveur des vert* « Ce domaine, déjà célèbre à cause du nom )m une u résistance désespérée, et ne se rendit qua is fcla politique les sacrifices jugés indispensables, sous pour épargner à soit fils quatre ans [uo pchrétiennes. En effet la grande république, 8 Je n'en sais pas davantage. N. ddee son propriétaire, a acquis une impérissable )le fquand il tomba blesse d'un COUD de feu, l pe l, dde se rappeler qu'elle appaftieui par principe e pour premiers fondateurs des croyants. E" d'absence? On empruntera au besoin, >ar Le gouverneur et sas secrétaire, qui s'étaient 1 3nt eu notoriété par le séjour du roi Guillaume et par ;é, ne î- aà l'opinion libre-échangiste. Votre dépufë, 1620, quelques protestants anglais, homme' on mettra en mouvement tous ses apig trouvés gasfondus dans la mêlée, partirent pour en T^s^r^^f»la fameuse entrevue de M. Jules Favre §vep le ' 'Y M. s Flotard, a déjà donné un bon exemple en '1* aaux cœurs intrépides et aux convictions v0la préfecture avec trois prisonniers, ils firent venir puis. Quant au gouvernement, il n'y grand chancelier Bismarck, s" éST à mettant ses observations eu travers de )a débustes, fuyant la persécution des Stuarts, parsur-le-champ le juge d'instruction. 0 perd que les hommes de six mois qui ]' H « Qu'on nous permette, à ce sujet, de rap;r, Voici, d'après fe Français, la liste des 94 " bâcle générale. Il ne faut jamais s'abandonner, } lent, l'Evangile à la main et s'en vont au bout P." Dans le trajet de la rue de l'Arsenal à l'h.àt&l de t< ( & ne valent et ne rapportent rien, et il yy j;et il est toujours bon d'affirmer ce qu'on croit re pe peler une particularité peu connue. On sait )it ddéputés qui, ayant le 19 'janvier voté contre H préfecture, la foule réclamait, OïPftn, Ici lfyr;\t ait ila n\t ddu monde chercher la liberté de conscience.gagne un revenu assez rond qui lui perî l'impôt sur les* matières premières, ont volé lé qi que ie château de Ferrières a appartenu à Fouu- U h*s assassins, et il falhH déployer vme certains ?" juste, môme quand on doute du succès. iae Ils traversent l'Océan sur de/mauvaises bar' ché, k met de garder de plus gros effectifs. >r, hhier pour le principe de cet impôt : cli et que ce ministre, un jour, y donna na 'Miergifi pour garantir jes 'p.v.jsQhnfers contre Tindin S« On a beaucoup remarqué que M. Rouher, hques à peine pontées, et abordent au nordu^ er :^, 9 &Uïv£ioiî popuiàTre, y l'hospitalité à Napoléon I . M. p ggpipcL et l'I Une fois dans cette- voie, rien n'empêi- cldans toute cette discussion économique; n'est FAmôrique, dans lu Hassachussetts, un désert P MM. Edmond Adam ('Seine"). Ancelon. Ar- qui „,. ne J'igaoiiut ppînt, lui, se fit montrar i'a „j Ht . Le prssiaent du conseil des ministres, M. Zoil- „...a ;'*t > Hi che que le contingent se partage en sn pas p venu tailler au président de la Répubiï•°.' alors. C'esi de cette émigration que devait j 1 ia lilla, prévenu tout de suite, se rendit au palais n LlJ ÏA chambre où avait couché le vainqueur d'IÔna, j,' i- que les croupières qu'il lui avait promises, et 6L Bamberger, Martin Bernard (8eine), Besnard, deux portions de 7o,000 hommes ehaq SJ naîti-e plus tard la grandeur île la libre Aii»ç' gj r^,"yal. M. Zorilla trouva, sous le vestibule, la vfii 7. oet c'est là qu'il reçut le ministre du gouverneui EBilly, Albert Boucau, Brice (Meurthe-et-Mo- et était plus en état que personne de lui cune, l'une devant servir cinq ans et 3u'U <f î^ n rique, de celte naliqn puissante qui a diw '"('t calme et faisant, avec un grand sang-froid, des ;s, ment du 4 septembre; c'est là qu'il vit couler rt U- siselle), Brillier, Henri Brisson (Seine), Brousses, m J aS infliger sur tas sujef. L'intolérance delà gauéaux respects du monde, depuis qu'aup/'* ri'marques sur la t^ftjitise à laquelle il venait d'éSi l'autre une année seulement, et les, é- les le: larmes de celui qui ne voulait céder ni un ,f cche en e»t cause. ÇCharles Brun ( Var ) , Buisson ( Seine-Infé*$ h „l',&pj.at,, d' d'une gnôrïô épouvantable, qui lui a coûte t» hommes de six mois disparaîtront tout r lit ! rlMi^f. bp nouce û& n^'.re tei;;;it&iié> ai uuy fàem& ae nos Je ne regrette pas, quant à moi, que Ton ait i Carton, Carnot' père, Sadi Garnot, sanjuet.Gâsos La reine, fort émue, comme il est bien facile, vi iifi vieeïeaû0,000 citeryens, elle, s'est guérie & s_ n. f j à fait. forteresses. ' d» 0 ''« le comprendre, était rentrée dans, §e.j apparteàété à l'sy.Qcat de l'empire l'occasion de prenér ni purifiée de la lèpre de V«>sclavage. lt > ip telnau, Cazot,- Chardon, Clerc, Colas, Contaut, !ïl •• On voit que les souvenirs historiques ne ne mente. Ce serait, au point de vue militaire, 3, ddre des attitude» à Ja tnbune et devant le Corbon, Q A l'autre bout àe Péchelle, un peuple qu' j* Cordier, Crespin. eî . V'** 4^ tàiBvaux de la voiture royale gisait dans n ^ été AI grandi qui a été puissant^ qui a possède [e pays. Reconnaissons, toutefois, quG ce pj'QQ~ une interprétation très soutenante de P a_ ',manquent pas au château de Ferrières, L$a D.£.rcn; Dpparo.. Dupuv, Buréault. Durieu, Duu 11. ,' cour du palais, la poitrine traversée par sept lp ,, i}eu* Napoléon, Guiliaume et Bismarck, Fou. G ie eéàfi n'a rien de commun avec la libre discuss" vergier dfe Hauràïine. • ' r}~ vi la loi. Veuillez observer pourtant que p^e partie élu monde et qui n'a profité do s* bstles. }'' cli etJuïës Favré. ' .e sion, &i féljcifqns-nous que les sectaires de ie Esquiros. ' j ché puissance et de sa grandeur que pour ^-îwaser l'infériorité de composition de l'armée f Pendant que le roi recevait las ^ombreuses p m te Farcv, Faye. — p» . Personnes qui accouraient ^ouy. la féliciter, lejugc |0 les petits, pour persécuter les peuples, po» f n l'extrême gauche se" miêni chargés ue cette proprement, dite serait alors à son m ùdLujh&tiA, Gaulthier de Rumilty, Girerd, OofIl résulte d'une note communiquée par la la po\lrsUivqit m s|n* velâchê l'interrogatoire des assasï- in importer chez eux Jes horreurs 'ele rinqu-S'" maximum, et qu'il ne serait plus ques- besogne. |u blet;' (Vronier. !»uik*l,- ''•sM^d; (;ujrard. Gui('b '- dirpcUQn des pogtescle pcrdeauïâiu joamaas M. de Meaux prétexte, qu'il n'a pas voulu W IX i\t »«'«. A la snfte de cet interrogatoire, vingt-sept pt tii tion, pour torturer les c&rps et violer- ies pution de ce contact des classés sociales p a n0 de ia'localïté sur l'incendie de la boite aux m IX Mandats d'amener furent lancés, et, à quatre $£ ^ ranfre jour irriter M. Thiers. Vous voyez que ie «, . tiej V? sciences, un peuple qui a mis la superstition a 1^ lièvre, Houssard, Huhn. j e sous les drapeaux, dont on attendait de :Ja la r- ' étires du matin, quinze individus étaient déjà ]a , ±-lettres e que, d'après le volume du papier carP c - c'est tenjôSM !g même histoire, et que la plg.es àù la* religion et le bon Teau au-df s• Jaurès Cl'amiran, Jouin, Journault, Jouvence! ar j. ai'rotés. si bons résultats. Au contraire, on en bonisô trouvé dans la boîte, on a lieu de penu ddroite, s'il fallait i'è'u croire, r»e gourait jamais , 1S ((de). «W3 eîe t'évangiiô, l'Espagne, dont M. Rosssvi i P9 1 . Le marchand de vins détenu s'appcflR Bteto,:, S** se! ,. ser qu'une certaine quantité d'objets de corsera revenu à quelque chose d'assez ;z ni n ce qu'elle dit, ni ce qu'elle veut dire."' r iiabél.qnye, Henri de Lacretelle, Oscar de La01 pt il est parent du direc^ur d/mi joumal radical\ ;: 1 "*' Saint-r-Hiiaire étudie l'histoire depuis 35 ans, i. SCÏ sespondance ont été entièrement détruits : ,e La véjdié cet cependant qu'une partie des analogue au remplacement, et cette 3S fa fayétte, Lâfîize, Aie?is Lambert, Lan?lois, Lauuun 1 ^ Squ'il aim.G et qu'il plaint malgré ses crim^j r M'l autre'das asQassjris'est marechal-des-logis d.a.n.3 de cette droite étaient beaucoup ri. Leeamus, Henri Lefèvfp, Eh.érK|ir}ier, Eoùsj;ip rièr, iâG.lpttres Intactes ont pu être dirigées: 27 ressemblance ne disparaîtra pas enn j membres n M PRQ compagnie qêë gardes nationaux YOJQU= il i« j i'i'Spagne qui n'a plus de foi et qui n'a pi" 5 /* innocents; l'un d'eux, qu'on m'assure :e ta taiot, Lucet. . ' ' " lej lettres un peu bridées ont pu' être expédiées ;S ] moins 55 ïë taires. ' ]lois, temps de guerre, parce qu'à moins ™ 0; est tombée au dernier rang des peuf"*?» g Hagnë, Magniez. Magsin, Mahy f'da), Marcère gnj autorisation ;' 57 lettres brûlées ert partie être M. de Saint-yalry aurait déclaré que, 'e après T,'('motion publique fut extrême à Madrid. Les et d'une grande guerre comme celle que„e « ss et mérite à paine le nom de nation. (de;,Marck, liïaitél (pâ?-(|?-Cnl!t'is\'Monnot-Àry, a )n dans huit jours, on serait débarrassé de M.j' ^ 0 '" pj){!l été envoyées sous une deuxième ç>nveiop-'- 4b' r-<ls du palais ne désemplirent pas, et les hom-1nous venons de voir, on ne fera pas de? T 1 J^a Franee aussi se perd par soa fKÇ ni t biilèur, Moreau fGote-d'Qr). ^ f Thiers. b pee i la Mèmeuït portant dès gritibs eommor-'- !1 ™ ™°s do tous les partis exprimaient hautement jjg îî iigme, par son amour effréné du pl'aisir ^'oel-Parfaît. "' Ssà rapDel de classes; et mênje dans ce Fh D'autre part, beaucoup d'autres députés, cciaies s' ' 'horreur que leur inspirait cet fû%ft§ &uet- „„ ont été remis aux expéditeurs; 64 débriss jI ap Osmov ùl\ 'a W surtout par son manque de croyances. L" 1^ bu cas n'y aura-t-il pas, en vertu de l'ajtr ^ apens. mOme de la droite, avaient cherché à dissuade lettres entièrement carbonisés, sont con- i ! }Peyrat. " de | ne -la compare pas à l'Espagne. E11®^ s : ticle 59, des volontaires d'un an qui,> $ der H. de Metut de la, sortie qu'il a faite. Mais serves à la direction ; 88 journaux brûlés ga„ | .8b1 ;es ioiyr.r.a.v;i tjô tomes les opinions, les cariis-À teur 'S Rameau, Rampont, Roger-Marvaise,. Rou;-- ' ser re relèvera, il l'espère. D'ailleurs les peupj^ 5 fâS (Jorfime las radicaux, les alphonsistes comme au lieu de marcher avec l'armée ac-- le gendre de M. Montatâmoeit, hômpje ^e fa-l" sç 1 seaur ; Roux. i: p|riî§ DJU é é roipis à r#iHHf* sn \ "" "' \ ^s a les ministériels se firent, le lendemain, l'éoViq J», iïi< 'm iao4erne8Qe meurent pas comme lespeuij' jj *'' ' tive, seront pitiés dans les réserves oui lent le du reste et d'humeur acariâtre, Oë qiiî,i, " fcavovê, Siniiof. -rI ces sentiments. de l'auUquité. IA principe du Christian»' |[ (le - ij _002&*.âJji X>3B MOM ie gestion et bon sommeil. Elle guérit sans médecine, micide par imprudence n'ayant pas été posée Nous voilà bien avancés, dites-vous. — Ett au'ils portent dans leur sein les sauve de lai DÉPÊCHES DO SOSR u ni purges, ni frais, les dyspepsies, gastrites, gas-;avant la clôture des débats la défense n'a pu tralgies, glaires, vents, aigreurs, acidités, pituites, dissolution. Mais la France, comme les autress qu'est-ce qu'un tambourin? se porter sur ce nouveau chef d'accusation. Lecteur, si, au lieu de respirer les vapeurs ;' nausées, renvois, vomissements, constipation, nations chrétiennes, ne redeviendra grandeî Cette décision cassée, MM. de Serres et Cremer diarrhée, dyssenterie, coliques, toux, asthme, 2 8 Juillet. — 3 lièvres du «olr. _________ PI WiDÔre3 que par un retour aux vertus; blanchâtres de nos deux fleuves, sous notre^ n'auraient pu être traduits devant un nou-." étouffements, oppression, congestion, névrose, cl ré^Ses U l'Espagne, elle doit l'ori-- ciel dessiné au fusain l'hiver, l'été à la mine 1 Samedi, nos députés avaient à émettre un mélancolie, diabète, faiblesse, phthiParis, 22 juillet. Jine de tous ses maux à la persécution reli-- de plomb, tu vivais un peu plus au midi, là-~ vote d'une importance capitale pour les in- veau conseil de guerre que sur le chef d'homi-la" insomnies, sie, tous désordres de la poitrine, gorge,_ haleine, cide par imprudence, car la décision qui les bas où le soleil d'or fait crever la peau des S eu«e et en particulier à la révocation de 1 é'J térêts lyonnais. Il s'agissait de savoir si l'As- renvoyés ele l'accusation de meurtre Jeur estt voix, des bronches, vessie, foie, reins, intestins,' Une note officielle dit que le récit d t de Nantes , mesure impolilique , autantt figues 'charnues et rompt la dure écorce de. semblée passerait à la discuss'on des articles5 acquise, elle est souveraine, inattaquable, ils8 muqueuse, cerveau et sang. 74,000 cures, y com-- d'une prétendue visite par un reporter au'inique et cruelle, qui chassa de Erance; l'acide grenade, tu ne demanderais certes du projet de loi portant fixation des tarifs spés pris celles de S. S. le Pape, le duc de Pluskow de Paris-Journal à 2 condamnés à 500 000 citovens, des plus vertueux et des5 point ce qu'est un tambourin! Là, bien: cifiques sur les matières brutes, textiles ou1 n'avaient donc pas à craindre une peine plus M mo la marquise de Bréhan, etc., etc. forte. mort des conseils de guerre est une plus industrieux, sans compter tous ceux quii souvent, tu aurais suivi l'agile farandolej autres. (La question ele savoir si on aurait pu, dans s Certificat N» 56,935. pure invention. dont les nœuds vivants s'enroulent et se dénôrirent par les dragonnades ou dans les torL'Assemblée a répondu affirmativement par ces circonstances, les traduire une secondee Barr (Bas-Rhin), 4 juin 1861. Une autre note dit que le bruit suitures. Ces exilés, la fleur de la France, allèrentt roulent tour à tour, tandis que le grave tam-j 345 voix contre 248. Celles eles députés de[5 fois devant un conseil de guerre est une quesportera l'étranger leur industrie et leurs ver- bourinaire semblable à un corybante, marche'. notre région se partagent ainsi : Monsieur, — La Revafescière a agi sur moii vant lequel l'amiral Gueydon aurait été tion fort controversée.) . merveilleusement : mes forces reviennent et uneJ tus. C'est de là que date la prospérité de plu-• lentement à la suite, tirant comme par des fils — Ont voté .contre : MM. Ducarre, FaVoici la piquante « morale « qu'ont tirée de nouvelle vie m'anime, comme celle de la jeunesse. frappé d'apoplexie est dénué de fonsieurs puissances ennemies de la 1 rance et eni invisibles les pieds de cette folle jeunesse aux> vre,RHOMB. ; dément. Fiotard, Le Royer, Maugini, Millaud, Moral, particulier de la Prusse. Aussi un historien,, rvthmes de son galoubet sur lequel il s'escrime[ de Mortemart, Ordinaire, Perr t, de Laprade, de1 cette affaire les « spirituels » reporters pari-" Mon appétit, qui pendant plusieurs années a étét L'amiral Gueydon est en parfaite sien : nul, est revenu admirablement, et la pression et nui appartient à la ville de Bourg par sa nais- des doigts de la main gauche; pendant ce' Saint-Victor, le serrement de ma tète, qui depuis quarante ans s santé. De Serres révélé. temps-là, de la droite il bat sur un tambourin, sance M Edgar Quinet n'hésite pas à dire, i Absent par congé: M. Glas, s'étaient fixés à l'état chronique, ne me tourmenCremer restauré. AIK. — A voté pour : M. Tiersot. dans son histoire de la Révolution française, sorte de long tambour à légère caisse de bois,i •«•< 1 . tent plus. Arbinet re-fusillé. dont les vibrations graves, assourdies, sont ' : Ont voté contre : MM. Brun, Cottin, Germain, nue " la révocation de l'édit de Nantes a décaDAVID RUFF, propriétaire. . Mercier, Rive. chargées de soutenir les trilles aigus de la pité la France... Elle a fauché la fleur de la Absent par congé : M, Bernard. * Six fois plus nourrissante que la-viande, sans Erance Sans elle la révolution française flûte antique. OÉPÊCKES DO MATIN M me veuve Arbinet intente, comme on sait,' échauffer, elle économise 50 fois son prix en mé-! DROME. — Ont voté pour : MM. Bérenger, le Ou bien encore souvent te serais-tu réveillé, n'aurait pas eu lieu, carellen'aurait pas été néun procès civil à M. le général Cremer et à M. général Chareton, Chevandier, Clerc, Dupuy. • decines. En boîtes : 1/4 kil., 2 fr. 25; 1/2 kil. 4 fr.; par quelque beau matin de mai, aux sons du] ccssâirc " A voté contre : M. Malens. de Serres. 83 Juillet. •-- 7 heures du matin. 1 kil., 7 fr.; 6 kil., 32 fr.; 12 kil., 60 fr. — Les Si la révocation ele l'édit de Nantes fut le galoubet chantant, dans l'atmosphère limpide ISÈRE. — A voté pour : M. Brillier. Biscuits de Revakscière qu'on peut manger en tous M e Genton plaidera pour M me Arbinet. et sonore de l'aube, un certain petit air amougrand crime du règne de Louis XIV, ce roi Ont voté contre : MM. Breton, Ghaper, de Gomtemps se vendent en boîtes de 4 et 7 francs. — La Paris, 22 juillet. que l'histoire a eu le tort d'appeler grand, reux, mélancolique, pendant que le tambourin harieu, Eymard-Duvernay, Rion.del. Revalescière chocolatée rend appétit, digestion, som-; N'ont pas pris part au vote : MM. Jocteur-Montl'édit lui-même, cet instrument de pacifica- par contraste s'anime, s'anime et se répand en Nous avons parlé du procès en séparation1 meil, énergie et chairs fermes aux personnes et; L'Assemblée adopte jusqu'au paration religieuse, qui mettait fin aux longs dé- roulements folâtres , pleins de bravoure , rosier, de Quinsonas, Raymond. qui était pendant devant le tribunal civil et oùi aux enfants les plus faibles, et nourrit dix fois; graphe 197. Absents par congé : MM. Gueidan, Michal-Lachirements de la France, fut lamesure la plus comme un emblème de l'amour : dulces aut dichère. la demande, présentée par la femme, se fondaitt mieux que la viande et que le chocolat ordinaire Le scrutin pour l'élection des conseilsans éebauffer. — En boites de 12 tasses, 2 fr. 25; sage de Henri IV et de son ministre Sully ? un experietur amaros. — Bon ! te serais-tu alors entre autres griefs sur le refus fait par le marii de LOIBK. — Ont voté contre : MM. Arbcl, Callet, 576 tasses, 60 fr., ou environ 10 c. la tasse. — lers d'Etat en nomme seulement 14. écrié, je reconnais l'aubade des épousées, que homme de la réforme, un homme de foi et Cunit, Bouilher, Jullien, de Meaux, de Montgol- de laisser baptiser son enfant. contre bon de poste. Résultats définitifs : Dumartray , un homme de bien dévoué à son Dieu, à son l'on donne sans doute à Zani, la brune fille ûcr, de Sugny. Le tribunal a admis que ce refus constituait. Envoi Dépôts à Lyon, Dorvault, pharmacie censvelte, ma voisine, qui s'est mariée hier avec roi et à son pays. N'ont pas pris part au vote : MM. Cherpin, Do- à l'égard de la mère non seulement une injure,> traie. Perissoud, épicier, 57, rue Bourbon. Var- Groualle, Aucoc, • Collignon , Goussart, Sully avait rêvé plus encore. Après la paci- Andreloun, le pêcheur du Sambuc ! rian, Chavassieu. mais une violence morale. En conséquence, le' varande, épicier, rue de Lyon. Napoly frères, place Tourret, Saglio, Tranchant, Odilon Chose particulière, dans tout le Midi ce n'est SAONE-ET-LOWE. — Ont voté pour : MM. Alexan- tribunal a retenu ce grief comme un de ceuxt de Lyon. Verpilleux-Millou, rue de Lyon, 48. Barrot, Andral, Chateaurenard, Marfication de la France, il voulait la pacification de l'Europe. C'est dans ce but qu'il avait éla- que le peuple, le paysan qui joue du tambou- dre, Daron, Duréault, le général Guillemaut, de qui justifient Ja séparation. Gherblanc. Champin jeune et Gaget, cours Mo- beau, de Ségur, Trésor^ Delaroque. Le rand, 7 et 9; Redet, Perret, Pousin, Brun. Gamboré le plan'd'une république chrétienne,dans rin. L'instrument qui a donné tant d'aubades Lacretelle, le général Pélissier, Renaud, Rolland. bet, Turrel, épicier, 16, rue Neuve ; Girin, Ve- scrutin continuera après-demain. laquelle toutes les nations de l'Europe, quelle et de sérénades, cemduittant de danses chamOnt voté contre : MM. Boysset, Jordan, Mathieu. La discussion de la proposition dé ran, Chaumarat, Fayolle frères, Armandy. BalDes pigeons partis hier matin de l'Exposipêtres, est comme la flûte de Théocrite, sous que fût la forme de leur gouvernement, se Absent par co-igé : M. de la Guiche. [ landrin et Sabourault, Boissonnet, pharmaciens ; prorogation aura lieu demain. tion, dix portaient une dépèche de M. Tharel feraient représenter et qui, jugeant les diffé- les doigs seuls des bergers. Ce n'est pas l'insAUDÈCHE. — Ont voté contre : MM. Combier, le J. Girard, épicier-herboriste, rue Gnaumais, 14 ; . La séance est levée. rends survenus entre les Etats , empêcherait trument du bourgeois, cela se conçoit : le ga- baron Ghaurand, Destremx, Rouveure, Seignobos, à M. Anspach, dont voici ie texte : épicier, rue Imbert-Colomès, 29, et « Le directeur de l'Exposition envoie ses. Burband, toute guerre en mettant au service du bon loubet est resté ce qu'il était au temps où Jes Tailhand. Bourse : Avant l'ouverture 54.70 et chez lés pharmaciens et épiciers. — Du BARRY droit toutes les forces de la confédération. troubadours inventèrent de lui adjoindre le N'ont pas pris part au vote : M. Broët, le comte " respectueux hommages à M. Anspach, bour- et C», 26, place Vendôme, Paris. 85.50 ; début 54.60, 85.30 ; clôture en « gmestre de Bruxelles et président d'honRêve, utopie, dira-t-on. Oui sans doute et tambourin ; que dis-je ? ce qu'il était au temps Rampon. réaction. •' neur du comité belge pour l'Exposition unisurtout au temps de Sully, mais rêve d'une où il fut importé par les colonies grecques. Il Les conditions de l'emprunt sont bien Le conseil d'arrondissement de Lyon vient << verselledeLyon. » Maison <IM prince Kagène, 33, RUE belle âme, utopie généreuse et dont la réali- a trois trous, sans plus. C'est l'instrument le Cette dépêche a été reçue à. Bruxelles à 4 h.- DE LYON, A LYON, fondée en 1856, la plus im- accueillies partout en France et à sation arrivera à son heure, comme tous les plus primitif du monde. Normalement, on de faire une application très-originale de la 50, et le soir, à 9 h. 1/2, trois coups de canon portante de Lyon dans l'industrie du vêlement l'étranger. grands progrès de l'humanité. Il est trop tôt n'en tire qu'une gamme, et l'on ne peut jouer figure de rhétorique appelée prétention. encore pour y songer, car il y a trop d'Etats que dans un ton. Il n'y a rien là des ressources Paris, 23 juillet. Le conseil d'arrondissement, plein de respect annonçaient l'arrivée de la réponse télégra- confectionné pour hommes et jeunes gens. _ monarchiques et les rois ont trop souvent nécessaires au virtuose moderne. pour les décisions du gouvernement de la Répu- phique" de M. Anspach. L'arrivée du pigeon à Exposition permanente de tout ce qui a La commission de l'armée vote l'arMais il s'est trouvé qu'un jeune Provençal, blique, etc., etc., se voit dans la nécessité de re- Bruxelles était connue et affichée à l'Exposition été créé en modèles nouveaux pour le prin- t intérêt à susciter des guerres où ils trouvent ticle instituant trois corps d'armée modes avantages personnels et dynastiques, tan- artiste habile déjà sur le violon, s'est épris" de noncer au renouvellement des dix vwux suivants dès avant 6 heures. temps et l'été. ^ un à Paris Un de ces intéressants volatiles n'a pas pro- Bmne marchandise. — Bien cousu. — Bon marché. bile dont deux stationnaires, dis qu'elles n'apportent à leurs pauvres sujets l'instrument qui délectait les belles dames des frappés d'annulation par décret de M. le président et l'autre à Lyon ; le 4 e corps d'armée bablement pu s'orienter, car quelques heures cours d'amour et des jeux floraux, de l'instru- de la République. que ruine et misère. Suivent les dix vœux en question. après le départ, on le trouvait dans l'enceinte sera formé en Algérie. Elle adopté: égaC'est M. Rosseuw Saint-Hilaire qui dit cela ment sur lequel le troubadour Peïrol soupidu parc réservée à l'Exposition. et nous le trouvons fort bien élit. Un jour vien- rait ses tendres vers à la belle Saïl d'Auverlement l'article 15 établissant le recruDÉCÈS dra pourtant, ajoute-t-il, où le rêve de Sully gne. U laissa là son violon, et avec ce bout de tement régional des chevaux et préAujourd'hui commence devant le tribunal deviendra une réalité, où les Etats-Unis de bois dont les tambourinaires ne savent comLes amis et connaissances des familles voyant le réquisitionnement des cheLe crocheteur qui avait injurié l'autre jour l'Europe seront fondés, où la guerre impie munément tirer que sept notes, il est arrivé, de police correctionnelle l'affaire de la rue GUIIXET, ancien maire de Belleville et Maurice vaux et des voitures. Grôlée. un capitaine de chasseurs à pied, a été conmourra et ce jour est peut-être plus proche par dix ans de luttes corps à corps avec son Nos lecteurs n'ont pas oublié qu'au mois de damné avant-hier, en police correctionnelle, à THEVENIN, cfeLyon, qui, par oubli, n'auraient qu'on ne pense, car des grandes catastrophes méchant outil, à jouer toutes les difficultés Londres, 22 juillet. pas reçu de lettre de faire part du décès de novembre dernier le fameux comité de l'Al- un mois de prison naissent souvent les grandes réparations. et à se jouer de toutes les difficultés. C'est liance républicaine, cédant aux injonctions de Madame veuve Frédéric JUSSERAN» , Chambre des Communes. — M. FôrMais rien de bon dans l'humanité ne peut se ainsi qu'il exécute des variations sur le Carleur belle-mère, teseue déclare impossible de prohiber faire sans la foi et il faut tout attendre, tout naval de Venise, absolument comme l'on fait M. le préfet Valentin, se déclarait dissous. Mme Chanoine adresse au Petit Lyonnais, espérer d'un retour sérieux à la pratique des avec un violon. Il est arrivé même à donner Néanmoins à la veille des élections du 21 avril en réponse à celle qu'il a insérée hier de MM. sont priés de vouloir bien considérer le pré- l'exportation et d'imposer les charbons les trois notes simultanées qui constituent le on vif reparaître sur les murs de notre ville Véron, Baliue et Jantet, une lettre dont nous sent avis comme une invitation à assister à ses pour la France pendant l'existence du vertus chrétiennes. funérailles qui auront lieu demain mardi 23 traité de commerce dénoncé et pour La ville de Bourg n'a pas eu le monopole de trille du rossignol. On attend qu'il en vienne les affichés rouges du comité. Ces affiches an- extrayons le passage suivant : courant à 8 heures précises du matin. ' £ette prédication évangélique. Avant nous, ve- prochainement à jouer sur un tronçon de nonçaient les candidatures des citoyens Cottin l'union douanière allemande pendant Jamais je n'ai imposé une volonté dans la cfiet Florentin qui l'un et rautre,à une immense nant de Genève, M. Rosseuw Saint-Hilaire canne. Le convoi partira du domicile de la défunte, le traité de commerce en vigueur jusrection politique du journal, jamais je n'ai voulu, majorité, furent envoyés au conseil muniavait donné une conférence à Nantua et deOr, en Provence, l'on a accoutumé de donl'imposer, et si quelquefois j'ai donné mon opi- quai ele la Guillotière, i7, pour se rendre à qu'en 1867. puis, il a parlé à Gex et à Oyonnax, où il était ner des concours de tambourins. C'est l'an- cipal. nion, ou fait une observation (et mon traité l'église de l'Immaculée-Conception et, de là, Le 23 avril, M. le préfet Pascal adressa à appelé par le vœu des populations et où sa nexe des concours de poésie , des jeux flom'en donnait le droit), jamais du moins je n'ai ni à Belleville. parole a été accueillie avec la plus grande fa- raux d'Aix, eic. Voilà Buisson au premier M. le procureur général une lettre demandant donné ni voulu donnar un ordre. Oépêcîie» particulière n ««». : concours qui se présente. Naturellement.il des poursuites. veur. Parlant ensuite des relations des rédacteurs Du JOURNAL m LYON Des arrestations eurent lieu et plusieurs des Peut-être ne paraîtra-t-il pas inutile de dire obtient le premier prix ; à un second condu Progrès qu'elle aurait, d'après MM. Véron, prévenus subirent 20 jouis de prison préSITUATION ici' que, depuis quelque temps, soit par une cours encore le premier prix, et ainsi de Londres, 21 . Baliue, etc., voulu contrôler, M me Chanoine DE LA évolution spontanée de l'esprit public, due au suite, jusqu'à ce que, naturellement aussi, on ventive. Paris Rente autrick affirme ne s'être pas mêlée de leurs relations Des perquisitions furent faites, qui n'amevoisinage de la Suisse protestante, soit par le prie de ne plus se présenter. Emprunt50/0 1.621.56 cons... 89.24 politiques, mais avoir voulu seulement interBANQUE DE FRANCE Rente 3 0/0. ... 53.45 Améric. l'effet d'une intervention plus directe de la Et voilà comment ele Draguignan à Beau- nèrent pas les résultats attendus ; on ne trouva dire l'accès de sa maison à des personnes — 2* série quelques papiers qu'au sous-comité du 4° ar Défense... 97.75 Lombard 18.75 ET DE SES SUCCURSALES propagande genevoise, il se produit dans le caire, de Chàteauneuf-des-Papes à la pointe de qu'il lui déplaît d'y rencontrer, et qui n'y veItalien.. . ; 66.25 Oblig. anc. ..;... Bugey et le pays de Gex un mouvement reli- Camargue, battue de l'onde amère, partout rondissement. le jeudi 18 juillet .1872, au mati'/i. Turc... 51.19 L'accusation ele société secrète est elirigée naient que pour affaires personnelles à elleEspagnol 28.69 . gieux très-marqué , auquel les conférences oùPhébus couvre d'or les garrigues, partout Egyptien ACTIF Pérou. ........ 28.50 ei'un calviniste ardent et convaincu, comme où le mistral secoue l'yeuse. retentissante, contre les membres du comité central et celle même ou aux rédacteurs. Khédive Cons. angl ;... . Argent monnayé et lingots à Pal'est M. Saint-Hilaire, ne peuvent manquer de partout où le pied qui foule la terre fait jai Un- d'affiliation à une société secrète contre les ris et dans les succursales. . . 744.920.830 10 membres des sous-comités des six arrondis.fournir un nouvel aliment. Berlin, 21. ies senteurs des thyms et des lavanefes,il n'esl On fait signer depuis quelques jours, dans Effets échus hier, à recevoir ce Un journal de Nantua nous apprend que des tambourinaire tambourinant qui puisse lutter sements de Lyon. Paris 80 plusieurs cafés de notre ville, une pétition Emprunt 5 0/0.. 83.37 jour 297.529 05 Les inculpés sont au nombre de 24. Ils ont pour : réunions calvinistes ont lieu, non-seulement avec Buisson. Quidsi idem certet Phœbum suLomb 126 obtenir de la compagnie P.-L.-M. des Portefeuille! Commerce e Mye, de Périgueux, M0 : 322.879.971 57 Londres .... 6.21 3/4 pour défenseurs M Autrichiens 203 dans celte ville, mais encore dans plusieurs perare canendo ? « Mais quoi d'étonnant Obligations trains de plaisir à l'occasion de l'Exposition de {Effets prorogés. . . » » cs n 253 communes des deux arrondissements et qu'el- puisqu'il le disputerait à Appollon lui- Frémont, de Dijon, et M Caillau, Guillot,Thé- lyonnaise. Paris f Bons du Trésor . . 1.330.267.500 » Obligations.... 292.50 venet, Georges et Bonnuge, de Lyon. — n.. 283.25 Italien 66.75 les sont très-suivies. même ? » Portefeuille des ( Effets sur place 300.255.495 » Il est probable que Ja compagnie ParisLe nouveau procureur de la République, Lyon-Mëditerranôe n'attendra pas l'effet de Améric. 1882 ..... 97 succursales ( — prorogés. » » Rente autrich. . 64.50 Ce journal ajoute même, avec une impruOr Buisson est à Lyon. Nous avons eu la Turcs jcette pétition. Avances sur lingots et monnaies. 50.793.900 » Napoléons... 5.10 7/8 dence qu'on pourrait peut-être qualifier plus chance de l'entendre dans une soirée intime, M. Diffre, portera lui-même la parole. Lundi 22 ; dernière heure. — L'audience sur lingots et monnaies sévèrement, que le bruit se répand de plus en de quoi nous sommes ravis. Tout le soleil du Vienne, 21. M. Boulet, en effet, le directeur de la Avances dans les succursales , . 4.360.900 » plus que ces démonstrations anti-catholiques Midi, toute la vie et la gaieté de la jeunesse s'ouvre à midi. Paris 43.50 Chatte blanche à Lyon, et par conséquent, l'un Rente autr.arg. 71.40 Avances sur effets publics franA la suite d'un malentendu entre la défense [des plus directement intéressés aux trains de 111.60 sont suscitées par M. de Bismarck pour faire semblent s'échapper de ces airs nationaux sur — pap ....... e Mye est parti pour çais. . 17.482.900 » Londres et M. le président, M Napoléons... 8.87 1/2 échec à la papauté et préparer le rétablisse- lesquels il exécute des variations perlées com- ! Hongroises 107.70 plaisir, a télégraphié hier, de Paris, à M. VaAvances sur effets publics franMontpellier, croyant l'affaire fixée au mer- !zeille, son régisseur général, de la façon la Autrichiens Obl.lomb.anc ment de l'empire d'Allemagne avec reconstitu- me les coups de gosier du rossignol. çais dans les succursales . . . 7.118.350 » Lombards. .... 207.25 — nouv tion du duché de Savoie, dont le département Car Buisson a pris le parti de renoncer aur. 'credi. positive, que l'organisation de ces'trains Avances sur actions et obligaUn débat s'engage entre la défense et le mi- plus de l'Ain tout entier faisait partie. morceaux moelernes,écrits généralement pour tions de chemins de fer . . . . 18.938.400 » • était décidée. Avances sur actions et obligayoilà certes des protestants bien recomman- flûte, où il se contentait d'éblouir l'auditeur ]nistère public sur le renvoi qu'il convient d'acTERME tions dés au prône et sans doute en se faisant le par ; ie tour de force. Il y .a renoncé pour se 'corder. 1 de chemins de fer dans La grève des patrons fondeurs en fonte est les succursales 15.114.100 » L'affaire est finalement renvoyée à quin- terminée. . (DÉPÊCHE TÉLÉGRAPHIQUE) porte-i'oix de ces fables grossières, l'Abeille iconsacrer tout entieraux airs du pays, voulant Ce sont les ouvriers, paraît-il, qui Avances sur obligations du Crén'a pas réfléchi à ce qu'il pourrait arriver le ;rester tout Provence et rien que Provence. Il ;zaine. Paris, le 22 Juillat 1872. ont eu gain de cause. dit foncier 1.101.800 » , jour où la passion populaire s'en souviendrait, en i a noté par centaines, de ces airs ; il les a D'après le Petit Lyonnais sous la signature . Avances sur obligations du Gré-«iaiwi 1 Les discours de MM. Carteret et Margue au Jacques , Il ne faut jamais oublier que, grâce au règne brodés, i constellés ele variations, et enfin il a Pilon, les travaux ont été repris par les dit foncier dans les succursales 604.000 » CIPOTT™ VALEURS PREMIER DERNIER tir fédéral de Zurich, discours dont nous avons ' . R CLOTURE encore tout-puissant de l'ignorance obliga- écrit i toutes les parties de l'orchestre. De "cette ' CÛDBS ouvriers, avec une augmentation de 50 c. par -Avances à l'Etat (convention du C0UR8 parlé à nos lecteurs, ont eu lieu le 18, au : toire, toute absurdité trouve des croyants et 1façon il peut jouer eles concerto de tambourin. 1 10 juin 1857) 60,000,000 » jonr, la condition expresse de la rentrée de ( dîner. •' , qu'il y a toujours un peu de la bôto féroce iC'est là que nous voudrions l'entendre. de ( ^ oi 1du 17 «ai 1834.(») 10.000.000 » tout le personnel et la reconnaissance de la Rentes 1 La réception officielle de la société par les Jsociété. 54 42 3 0/0 Français 54 60 54 47 la réserve ) Ex "haiiques deparsous f épidémie des masses affolées par la pas* Ces vieux airs, simples, bien rythmés, presk 1 e du tir et la remise du drapeau a 84 85 5 0[0 Emprunt 85 25 85 07 '( tementales. ... .(6) .2.980.750 14 sion. L'horrible histoire de M. de Money est que < toujours en mineur, sont en général très autorités ' II s'agissait, on s'en souvient, d'une affaire jRentes disponibles 66.400.568 81 , 67 80 5 0/0 Italien 68 25 68 place le lendemain 19, à dix heures. itrop récente encore pour qu'on l'ait oubliée et ]beaux. Il nous semble que le plus grand vir- trouvé ' d'interdit. j z Prance Rentes immobilisées floi du 9 de 373û Les Maçonnais avaient apporté comme don l'on sait d'ailleurs qu'il suffit de crier à l'em- Ituose du monde n'est rien, s'il no joue de la , lll ?*?$?%lancier • - • • • 865 .•. • 37 &0 • ' Soi) •. . U-edit 865 juin 1857) (y compris 9.125.000 - poisonnear en temps^'épidémie, ou à l'es- ]belle musique. Le musicien doit être pour la à' la société du tir, destiné à servir de prix, une Dans la réunion des gardes mobiles du 3* de la réserve. (c)lOO.OOO.OQO » ..I .. Crédit Mobilier 416 .. 420 ' i ipion et au traître en Temps de guerre pour imusique, ce m'est avis, non la musique pour sstatuette de bronze d'un très-beau travail re- bataillon du Rhône, du 20 courant, il a été JHôtel et mobilier de la Banque.. (fi) 4.000.000 » 573 . . Société Générale . 578 . ' 580 ' * présentant un chasseur demi nu, assis sur un ifaire massacrer Jes passants les plus inoffen- le 1 musicien. Ici les deux sont faits l'un pour { 3.747.751 » - ào\- Crédit Mobil. Espagnol 480 .. 482 !! décidé que pour répondre à l'appel fait par les ]Immeubles des succursales. . . . . JDépenses d'administration de la 832 .. Orléans....... aifs. 1l'autre. Buisson joue par exemple une vieille {tronc d'arbre avec son chien derrière lui, le bataillons 8 35 .. 833 . de la mobile du Haut-Rhin, une 9a3 .. ISord 957 95g Banque et des succursales . . 198.856 76 connue %en Provence sous le nom de tout porté sur un socle de marbre noir massif Jsouscription serait ouverte jusqu'au 15 août, Est-il donc nécessaire de ré/H 1er de pareilles marche, i IAvance à la ville de Paris (dé^2 ..] Paris à Lyon et Médît 847 '.. 842 ' erreurs? Faut-il rappeler que, p<*nd,ant lader- ]la Mardi'} du roi René, ou de la Marche des Iportant l'écusson de Màcon de gueule à trois "pour T l'érection d'un monument à élever au cret du 11 février 1871) . . . . 59.800.000 » 767 ..; Autrichiens,, 771 .."771 j tout simplement. Vous m'en direz des aanneaux d'argent avec l'inscription : nière guerre, la Bavière catholique; 1G WuT- 'Rois , eimetière de Neuf-Brisach, à la mémoire de Divers . 43.334.380 41 ... ..' Autrichiens nouveaux ,' lemberg catholique marchaient contre nous inouvelles si vous l'entendez ! C'est d'une amTir fédéral ds Zurich, juillet 1872 j camarades tués pour la défense de cette nos 47$ ..j Lombards........... 4^ .] 47g " 1 tireurs Maçonnais aux tireurs de Zurich place. v sous l'étendard protestant de M. de Bismarck jpleur admirable, Le musicien l'a entremêlée Les 3.164.65,7.982 84 393 . ; Suez 337 39 Q •et dans les rangs de la Prusse luthérienne, id'air de danses du pays, et entre autres d'un Souvenir de reconnaissance Les versements seront reçus : 292 ..; Délégations.,., 287 .. 290 !! *AS3IF qui, par le style et l'extrême puretei et de sympathie. tîandis que le3 Alsaciens, en majorité protes- menuet i ; 1»A la mairie du 2 e arrondissement, par M, (Capital de la Banque 182.500.000 » , 92 9/16 Consolidés à Londres. 92 5/8 92 5/8 liants, n'ont cessé de nous donner des exem- ide la mélodie, serait tout à fait à sa place dans ï Cette statuette avait été posée devant l'en- dd'Autevilln lits ; Bénéfices en addition au capital pies de patriotisme et de dévoûment à la iun ballet de Mozart. ( 2° Chez M. Juvenet, grande rue de la Guillotrée principale du pavillon des prix, sur un (art. 8, loi du 9 juin 1857). . . 7.647.053 25 Parmi tes plus beaux morceaux, nous cite- piédestal orné de feuillage, avant l'arrivée des tière, France? BOURSE! DE PARIS l 142 ; Loi du 17 mai 1834.(a) 10.000.000 » encore la Chanson de Magali, si célèbre Maçonnais. ? Faut-il remwiler dans le passé pour prou- rons i 3° Au greffe de la justice de paix, 6 e arrondisseDti 22 JUILLET Ex-banques déparavenue de Noaillos; le Midi, et dont les paroles ont été imyer .crue, dans la politique internationale, la clans < Quand la députalion s'est présentée, elle a lment, tementales. . . .(b) 2.980.750 14 __ DÉPÊCHE flOUVBRSaMKWTitT.g <: reçue par le comité, à l'entrée, et M. Fer- i, 4° Chez M. Aillaud, percepteur à Brignais, pour question religieuse ne joue qu'un rôle bien imortalisées par Mistral. C'est bien, avec les été Loi du 9 juin 1857. (c) 9.125.000 s tRéserve immobilière m allegro qu'y a intercalés le mu- jret, maire de Mà:on, a prononcé un discours le canton de Saint-Genis-Laval. rsecoadaire ? Il y aurait beaucoup à dire à ce intermèdes i de la BaniB 'COURS m GtOTOHE propos èi je dois me borner ; mais on se- sou» jsicien, la plus ravissante chanson d'amour. que .(d) 4.000.000 » t dans lequel il a rappelé la visite des Suisses à COMPTANT -7—— HADSSE BilSgS 24.364.2J39 97 'uujmANi T* Buisson joue encore quantité de noëls ele Màcon j Vient que malgré cette politique cathoD'HIER D'AUJOUR. ! l'annexe passée et les deux drapeaux La société des concerts de Bellecour donne- |Reserve spéciale Parions que. vous né connaissez pas cdont ils ont fait- don à la société de tir ele cette rra, mardi 23 courant, un grand concert ex- Billets au porteur en circulation lique qu'on dit être la politique tradition- Saboly. i (Banque et succursales). . . . 2.415.726.545 » S3 0/Q.... 54 10 nette et nécessaire de France, quoiqu'elle Saboly? .< — C'est un célèbre compositeur prrj- ^villa, 54 10 "T7~ . t traordjuaire dans lequel on entendra M, Far- Billots i à ordre et récépissés paya4 qui, auXVIP siècle, était organiste à nous aitsi mal réussi depuis quelque temps vençal i 4 1/aûiQ. 75 75 76 50 75 gués, hautbois soliste, et la première audition Mes à Paris et dans les sucà Ces drapeaux, a.t-il dit, nous vous les rappor- «j en Svrie, en Chine, au Mexique et ailleurs, le iSaint-Pierre d'Avignon, et dont les noëls font tons la grande ouverture des Girondins de „ cursales 84 45 '84 80 ! 25 * " t 9.505.123 07 • 6 0/0 exempts de toute souillure : nous présentons de j xardînalde Richelieu , à l'heure même on i! idenuis ce temps la joie de tous les Provençaux aussi CCompte courant du Trésor créa s un drapeau aux couleurs françaises que nous -*Littolf. assiégeait les protestants français dans La Ro- cet <fti toutes tes Provençales. Bref, Buisson a un sommes 9 chargés par la municipalité de Maçon de Cette symphonie imitative rappelle d'une n diteur 105.684.185 93 inépiusHolc ; il norte enfermé élans vvous offrir comme souvenir de notre visite et de façon «cheUe, ne craignait pas de s'allier avec les répertoire i fi parfaite les phases terribles de l'époque £LComptes courants de Paris . . . 319.530.Q3U 4Û ÊûMûiliÛ^S PUBLIEES DES SOIES Comptes courants dans les SRjÇa protestants d'Allemagne contre l'Autriche sou « tambourin le propre gêmie musiér,! de la rnotre affection. Ce sera un grand bonheur pour ddes Girondins. cursales . . . , 32.712.362 » . ii&us ô.e fe voir fqtter au milieu de vos bannières Provence. ï (Catholique. 1 LTOH, le 22 Juillet WS, r_ e de pouvoir aeolam&r aveé vous iu iibnrtè, lu pa- Q Littolf est une de nos célébrité? musicales, Dividendes a payer 8.311.825 t Et maintenant, pour finir prosaïquement, et " fiertés M. de Bismarck est un trop profond 2 a H „ M t, sa " " ~ qui a mis dans cette teuvre tout son génie. \ trie, l la république. " Escompte et intérêts divers à l'espoir que Buisson voudra bien p&T&ique pour ne pas prendre ses alliés par- mahîfefetOB.â i 1 aOBTES 5 2,3. S î ï^ f ï Aux dames zuricoises, les dames màconnaises Paris et dans les succursales. . 4.767 943 63 ft au public iyoangi* quelques occasions coffrent une simple couronne de fleurs, comme em§ 2.S£oSaK2*@ toist <cfii il les trouve, et il est trop familier avec donner i 6 S ^ I " * à Paras du-dernier semestre --.. g _ ^ * I,. iblème de leurs vertus. La France entière s•> sou- A BouciiKs-nu-RuôNE. — Un grand meeting a Réescompte le gên'à* du mal pour ne pas susciter la trahi- de i l'entendre. et dans les succuwiaias 3.063.393 80 " F à Paris pour Il nous semble surtout que Buisson pourrait ^viendra de Uur détournent pour les internés fran- été son partout où il l'a croit possible; maig il cilûts prorogés en f tenu mercredi, 17 juillet, à Marseille, par Réserve 40 Organtin* 27 -4 5 1 2 > «> " » o/,< les comités des Bouches-du-Rhône et ç}u yar «ait la géographie à fond et ce n'est pas dans se s faire entendre dans les maisons el'éduca- ççais de l'armée de l'Est. ' '' souffrance 14.000.000 -, des délègues de 30 départements du m'j'di Arrérages ^ de valeurs transférées BeautiOûj}.4eg.ûns se soucient peu d'aller nos provinces de l'Est, si patriotes et si fran- tion. | Altenhofer a répondu en remer- et p pour s'occuper des chemins de fer, du midi ou déposées ,..,,.,,_. 6.663.558 03 ,. Le docteur ^ises, à quelque culte' qu'elles appartiennent, iau théâtre, encore moins d'y pemilujre leurs .ciant pour les cadeaux des Maçonnais et en dde la Erance. Des délégués lyonnais y assis- H.tlQts E an cornant non aisponir 13 Bobines.. .[ .j ,, ,| , , J * q u ';t dberciiera des alliés et des traîtres. <enfants. Ce serait une bonne fortune! pqus >ïappel^iitquelaSui4geavai[ejùà la Erance la &ienî Mes. ...:...-.._',,, 2. 137.223 85 j^ Laines .... »| • », »j , » ,| , , 1 • que d'avoir l'occasion d'ouïr de cette première • ' Saches donc an peu profiter des conseils ceux-là < ; D,ver£ application des idées d'égalité et de •'•••_ L938.178 68 Après s'ntro .occupe des chemins de fer lode M Saini -Hiiaire. Soycus chrétiens et soyons ifa^on le virtuose. Dans presque toutes ces |fraternité ele 80. c l ou régionaux du midi, le meeting a émis ii q » un petit orchestre qu'avec un tolérants 1 Si u? foi kiplus ferv^te n'a pas le maisons, i 3.164.657.982 84 ' M. Dupuis, président ele la société de tir de caux à droit d'être into l6«nfe, l'indiSéièù^ reli- ]peu de bonne volonté ei quelques répétilions, jMàcon, a présenté alors la statue dont nous àti l'unanimité le vœu, qu'afin d'éviter le reCertifié conforme aux écritures-. teur des crises commerciales occasionnées par gieuse, qui malheureusement paraît être i& ;ajQ dresserait bien vite à accôrnpagnfet U jp; avon- parlé. . Le gouverneur à( tg bfryw (fc tyunce, a r de la ligne Paris-Lvon-Mé" M. Keysér lui a répondu. religion de la majorité &* Français p3 encore jliste. i,l'encombrement BULLETIN INDUSTRIEL ET CQKRCIAL lerranéo, il soit créé le plus prompletPAnt Î;;Î<Î Allez entendre Buisson, ûoand vous l'aurez moins. : $, Â\<(jiMiitat(on, seconde ligne di&cle ef indfoniihhte de'celle VRRAX. tecueneju, j*ose dire que vous connaiire* peut-REVUE HEBDOMADAIRE DES.S01ES ET DES SOIERIES r Encaisse métallique * 9 Qfi o.7fi 7fi iêtre mieux la Provence que tel qui l a parÙuoi ou^n disent certains journaux » bien fCompagnie, pour relier Marseille au Nord de T —— -«5»— , Portefeuille de. Paris . . w'sls <nk - Aucune amélioration iie s'est manifesta courue en long et en large, an large et en iinformés » MM. C:efriGr et dé g-?rro5 ne se »'la France. e,\ msirvCUH Lij^n pi Paris. dans la Situation de notre marché ei te SE £.tefeudle des succursales . 8.500.007 » ° (ye vœu, ae la plus grande importance, a été hlong. isont pas pourvus devant Ipcoaseilâe révision ; -U.lets en circulation : Banque P persistant des affaires a produis son résuHat et lie jugement est donc définitif, les délais pen- ssuivi d'un vote unanime en faveur du rératblis- 0t C rsales BUISSON LE TAMBOURINAIRE accoutumé, qui s'est trahie sur a dern£ rL n ' • *M»l.5K » ^ e t dant lesquels le pourvoi devait être fait étant ssèment du train rapide entre Marseille et Paris. t Comptes courau'.. .„i--aris.'. 70.088.975 68 Cl €expirés. «sMHmmptes et intérêts : Paris acote par une baisser un franc sur aSS articles et par ta suppression des prix leT f I " el Que le lecteur ne suppose pas une coquille, qna^urc que c'est pé" déférence e» qar Santé J et succursales ., 2.104.I8C;04 Si à h*i rendue s.ans mi.hcine par la délicieuse stsurs autres. Notons que cett» baisse ÂS~. et que nous av.ms voulu écrire tambourineur. Diminution. ~ rgfpect pour l^'h^.iiQ juridiction qui 1^' jugé • farine de Santé Recalesciàre Du Barry de Londres. . Un tambourineur bat de la caisse; un tambou- J que M. àe'Scfi-2' s !ëst SQumis à sa décision G9 :m;ie couvrit d«Trààor... 18.796.133 09 k tro;uve, par la douca Sèpaîas rinairejoue du taaibourin. qui pqurrajt éfre cassée, car 1(1 cjue§tio.n d'jio- cièrçU-iHqrr^ ci — Tout malade n santé, ine^i», «pp^tii/louno "âï- . E Uuniptos courants des suceur- CHRONIQUE ' ~ ! 88ale « 2.707.603 » e *" tÔ1^Ï*A3J !DS ÏJYOT$ riabilité moins grande de prix des provenances asiatiques tant dans un sens que dans un autre. Cette fixité relative des cours, que les événements de l'année" dernière ont à peine troublée, s'explique par l'influence régulatrice du marché de Londres qui, placé entre les mains de grandes et puissantes maisons d'importation, est soumis à beaucoup moins de variations que le marché de Milan. L'iiactivité des affaires tient à plusieurs causes. Là nïévente persistante de l'étoffe fabriquée est la principale; il faut y joindre l'inquiétude produite par la discussion des lois d'impôt et 'par l'approche de l'emprunt, qui suspend complètement le mouvement des capitaux et les immobilise de plus en plus dans les différentes banques. Le succès de cet emprunt colossal n'est pas douteux et on espère bien qu'une fois cette grande opération terminée, le superflu de l'argent laissé en disponibilité par la réduction prévue des souscriptions affluera sur les marchés et rendra plus d'élasticité aux transactions. Quant à l'impôt, toute incertitude a aujourd'hui cessé; la raison a dû céder devant les ruses parlementaires que le président* de la République n'a pas craint de mettre au service de son obstination et de sbn amour-propre pour triompher de la résistance de l'Assemblée. En ce qui concerne la reprise de la consommation, les nouvelles des marchés extérieurs sonit actuellement loin d'être satisfaisantes. A New-York la vente est toujours très-difficije et ne s'obtient qu'au prix de concessions et de règlements à lotgs termes. L'agitation, inséparable de l'élection présidentielle, ne peut que,restreindre pour un certain temps les affairés et l'esprit d'entreprise aux Etats-Unis. Le débouché anglais se plaint toujours de l'abondance du^tock, et ce sera peut-être la consommation intérieure, .jusque-là si. calme, qui, grâce à l'abondance exceptionnelle de nos récoltes agricoles, viendra donner un peu d'élan aux transactions.' Le calme des affaires est, d'ailleurs, de règle à cette époque de l'année, qui sert de transiitl*àmm*kmU*m*Ê*ÊàÊmtm\t n" i/Vi. ,'ii I' | II il"'. I '< ' 'rtVil«r< Soie grége .... i .152.700 1.587 .300 Soie moulinée. 478.000 397.200 B re en masse . . 1.200 .500 967 .300 — filée 191.700 204.300 -peignée... 81.800 86.400 Nous nous bornerons à faire remarquer ici, d'une part, une diminution au chapitre des soies grèges et d'autre part une augmentation au chapitre des soies ouvrées. Il est inutile d'ajouter que cet accroissement d'importation constatée sur les ouvrées revient exclusivement à l'Italie : En ce qui concerne les exportations de soieries, elles ont atteint la valeur de 198 millions de francs, chiffre qui diffère de 10 millions en moins sur les exportations de 1870. Les étoffes pures unies y entrent naturellement pour la plus forte part, soit 127 millions en 1872 contre 140 millions en 1870. L'Angleterre, l'Allemagne, la Suisse et l'Italie accusent une diminution ; les Etats-Unis font ressortir une augmentation insuffisante à combler le déficit total afférent aux débouchés européens de notre fabrique. Quant aux importations de soieries étrangères destinées à sa consommation intérieure, elle se chiffre par près de 16 millions de francs, soit 2 militons de plus qu'en 1870 et 5-millions de plus qu'en 1869. M. tion entre la saison de printemps et la saison d'automne. Celle-ci ne s'ouvrira guère que dans un mois. La situation est, d'ailleurs, exactement la même sur les autres places de production. Les plaintes, quant à la mévente de l'étoffe en fabrique et quant aux difficultés de faire accepter des prix en rapport avec le cours de la matière sent générales. Les cours pratiqués cette semaine a Milan accusent de la faiblesse, conséquence de la nullité presque complète des affaires. Le marché de Londres fait meilleure contenance et maintient ses cours assez fermement. Quelques balles de la nouvelle récolte sont déjà arrivées, mais on n'attend pas d'arrivages importants de l'extrême Orient avant les premiers jours du mois prochain. Les dernières dépêches de Shanghaï portent la date du 16 juillet : Règlement de la quinzaine, 3,000 balles. Exportations depuis le l or juin, 17,000 balles. Chopings 3 582 taëls soit 85 fr. Blue clephant 4 525 — — 77 - Red-peacock 4 1/2 5t5 — — 75 50 Kahnfgn. 1 • 550 ' — — 81 Tsatlées redevidées 620 — — 91 Haïnin 630 - — 92 Stock, 9,000 balles. — Marché faible. — Change 6i_l 3[4. L'administration des douanes vient de publier le relevé du mouvement des importations et des exportations françaises pendant les cinq premiers mois de cette année. Voici quelques chiffres extraits de. ce document mis en regard des résultats fournis par l'année 1870 pendant la même période, c'est-à-dire avant la guerre. L'importation des soies et bourres de soie a atteint la valeur de 152 millions contre 196 millions pendant les cinq premiers mois de 1870. Ces sommes représentent les poids suivants: 1872 1870 Cocons. 575.400k. 456.200k. il iiiiii ïiwitiMii - i »Ui^wiiJ____in—ii. SPECTACLES ET CONCERTS 23 Juillet. THEATRE DES NOUVEAUTÉS Avant-dernière représentation du grand succès les Cent Vierge», opéra-bouffe. — L'Amour pris aux cheveux, vaudeville. On commencera à 8 heures. BULLETIN HÉTÊ0B0L0GIÛ0E THERMOMÈTRE PRESSION ÉTAT YENT minima maxima baromèt. du ciel à 7 h. du m — A.MI3I 4-29° — 0,744 — — beau S 10, AVENUE DE NOAILLES, 10 Salle d'Ombrage de 500 mètres SOCIÉTÉ DES CONCERTS DE BELLECOUR. Première partie. 1. Ouverture du Chalet ("Adam). 2. Roxane, valse (Hervé) . 3. Grande fantaisie sur les Huguenots (A. Luigini fils). 4. Ouverture des Joyeuses commères de Windsor (Nicolai). • Deuxième partie. 1. Ouverture des Girondins, l rf audition (Litfolff). , . 2. Fantaisie de concet pour hautbois (Lall'et), M. Fargues, soliste 3. «Airs de ballet du Prophète (Meyerbeer). 4. Les Echos des Forêts, 1™ audition (Riedel). On commencera à 8 heures. da S S juillet PAR BOULABE, ING.-OPTICIEN +20° Institution J. Bejey Hauteur de la Saône au-dessus del'étiage.. 0.00 Sa température -f-24° Hauteur du Rhône au-dessus de l'étiage. . . 0.40 Sa température -f-20° Quantité d'eau tombée à Lyon du 1" au 15 juillet 0,025 Enseignement primaire et enseignem™ secondaire. - Cours du lycée. - Etude ohii gatoire des langues vivantes. L'instruction religieuse est donnée par in prêtre delà paroisse. — La direction des ton des scientifiques est confiée à un licencié h sciences. L'omnibus de la maison prend tous les m'a tins et dépose tous les soirs à domicile ]t élèves des quartiers éloignés. L'établissement est visible tous les jours dp une heure à trois heures, et toute la'journfo pendant les vacances. ^l ««II—IMÉI—___i—™^MM5 AMMOMCEi I_IQGAX.I_S 9 JUDICIAIRES ET AVI® DIVERTI Etude de Me RATTON, huissier. à Lyon, rué Lanterne, 29. COMPAGNIE AGENCE 11 MESSAGERIES U1ITIUS VENTE JUDICIAIRE Le jeudi virigt^cinq juillet mil huit .cent soixante-douze, à, dix heures du matin, sur la place Morand, à Lyon, il sera vendu divers objets saisis, tels que: ta, SOCIÉTÉ ANONYME bles, chaises, glaees, poêle, mécaniques rondes à dévider, vais- au capital de six millions cent dix-sept mille cinq . cents* francs. . selle, etc. . ; • >•. 3782 . Le conseil d'administration a l'honneur de prévenir MM. les Actionnaires que l'assemblée générale du 6 jain 1872 a fixé à 40 fr. le : Le mercredi vingt-quatre juil- dividende de l'exercice 1871. ... let mil huit cent soixante-douze, Un à-compte de .12 fr. 50 ayant été distribué en février dernier, le à dix heures du matin, sur la solde du dividende, soit. 27 fr. 50 par action nominative, et 26 {r. 90 place de la Pyramide, à Lyon, il par action au porteur (déduction faite de l'impôt), sera payé à partir sera procédé à la vente aux en- du 5 août 1872 contre remise du coupon numéro 7. chères d'objets consistant en buA Paris, au siège de la société, 75, rue Neuve-des-Mathurins,.le reau, presse à copier, fûts vides, lendemain du dépôt des bordereaux. etc., etc. Le tout, saisi.... 3759 Les actionnaires. qui désireront être payés à Marseille, Montpellier ou Lyon, devront déposer leurs bordereaux huit jours à l'avance Etude de Me FONBONNE, huis- dans les bureaux de la compagnie. A Marseille» rue Thubaneau, 29V'" sier à Lyon, rue Ferrandière, A Montpellier, rue des Etuves, 2. n. 34. A ïiyon, quai de la Charité, 22. ' 3760 maladies du foie, de l'estomac et des reins, le diabète et la goutte [ DEPOTS à LYON : MM. SÂNTENA, pharmacien, place des Gèlestins ; BARNODD, pharmacien, rue de Lyon, 3; POULAT, quai delà Charité, 38. et VACHON, cloître des Chartreux, 24. 345» ET DIS JIESSÂGERÎES NATIONALES PAQUEBOTS-POSTE FRANÇAIS «POSITION UNIVERSELLE DE LYON BÊPABTS du Lundi 22 au Lundi 29 Juillet 1872. Jeudi Vendredi Samedi Samedi Samedi 25 26 27 27 27 juill. — — — — midî N. midi. . 8 h. m. 5 h. s. 5 h. s. CATALOGUE OFFICIEL JANVIER & C" MOERIS, cap. Borély, 1. d. v. TIBRE, cap. Allègre, 1. d. v. lusses, cap. Ravin. ARÉTHUSE, capitaine Cannac. Pour Alexandrie Pour Païenne, Syra, Smyrne et la Syrie Pour Londres Pour Alger Pour Messine, le Pirée, Constantinople, le Danube et la Mer-Noire. . Dimanche 4 août .10 h. m. Indes, Gochinchine, Chine, Japon, la Réunion et Maurice Dimanche 18 — 10 h. m. Indes, Gochinchine, Chine et Japon .... ERIDAN, cap. de Butler. 17, rue du Bouloi, 17, Panis Concessionnaires exclusifs pour les Notices et Insertions PEI-HO, cap. Rigodit, 1, d. v. MEIKONO, cap. Bourdon, l.d.v. {FRANCK et BELGIQUE) dans le Oatalog-ue officiel des Exposants et dans te Gatalagtw officiel des Récompenses, à l'Expositon universelle et intermnationace de Lyon 1872. SERVICES COMBINÉS AVEC LÀ COIPÂGNIE DE NÂVIGâTIOM MIXTE VENTE JUDICIAIRE Le jeudi vingt-cinq juillet mil Huit cent soixante-douze,, à dix heures du matin, sur la place de la Bourse, à Lyon, il sera vendu aux enchères publiques et au comptant, divers objets mobiliers saisis, tels que : tables, chaises, comptoir, vaisselle, fourneau et tout ce qui compose un fond da restaurant. 3763 T-Y0RRE i£; EÂU DE VICHY, SOURCE DE S g la moins altérable par le transport. — Elle est souveraine contre les Mercredi 24 juill. 5 h. s. Jeudi 25 — 5 h. s. Vendredi 26 — 5 h. s. Pour Oran directement, et par transbordement; pour Nemours, Gibraltar et ORAN, cap. Guizonnier. Tanger Pour Alger, Bougie, Djidgelli, PhilippeALGER, capitaine Raoul. ville et Bône AVENIR, capitaine Autié. Pour Philippeville et Bône Prix des Notices publiées à la suite du nom de l'Exposant: De 1 a 4 lignes fr. 35 j Au-dessus de 25 lignes, Au-dessous de 25 lignes, la la ligne.. fr. 4 ligne 5 I La 1?2 page 175 La i"age entière. fr. 300 DÉPART DE BORDEAUX Mercredi 24 — | Portugal, Sénégal, Brésil et la Plata La Direction de l'Exposition se reservant h dr«nt d'accepter onde refuser le texte des Notic.-s proposées. MM. JANVIER et C« ne peuvent être rendus responsables des refus. | AMAZONE, cap. Giost, 1. d. v. Les frais de dessins, gravures, marouts de fabriques, médailles, etct, ne sent pas compris dans les prix des insertions et sont à la charge du souscripteur. N.-B.' — Tous dessins autres que ceux de machines mécaniques on appareils ne p-.urront être mis qu'à la fin du groupe. — Le texte seul restera après le nom de l'exposant. Les Messageries Nationales acceptent, en outre, lès marchandises pour Tunis, Dellys, Bougie, Djidgelly et pour- toute destination quelconque desservie via Marseille par vapeur ou par voilier. Pour passage et renseignements, s'adresser aux bureaux de l'Agence, place des Terreaux, 7. SOCIÉTÉ ANONYME INSECTICIDE ¥IGAT Les insertions sont reçue* exclusivement pour Iiyon et 1« Les Cafards, les Psanasiises «ont détruits en projetant Rbôiie, chez m. V. FOUBMSHBB, U, rue Confort, à Lyon, avec l'insufflateur sur les groupes d'insectes cachés le jour, la poudre INSECTICIDE : VICAT. Elle -tu* aussi les puces, poux, artes, fourmis, en saupoudrant avec le flacon dont on a percé de petits trous la capsule, iès lits, les étoffes, les chiens, chats, voUn des meilleurs Chocolats est le MM. les Actionnaires sont prévenus que l'Assemblée générale lailles, fourrures. ordinaire aura lieu le vendredi 3 août 1872, à 1 heure précise, au L' Insecticide Vicat, le premier et le seul garanti par fa signature de palais du commerce, salle des séances industrielles, place de la l'inventeur, se vend en flacons à Paris, 125, rue St-Denis, à Lyen, Bourse. 18, rue Bugeaud et chez tous les épiciers. 3519 CHOCOLAT » D0NNEATO Usine de la Tête -d'Or, a Lyon. _- COURS OFFICIEL DES MARCHANDISES EN GROS ^Qmmà Abréviations : M nominal. — M. manque. — S, C sans cours. Les prix sont cotés aux 100 kil, et au kil.;ponr les spiritueux, à l'hectolitre et entrepôt, et hors pour les marchandises sujettes aux droits d'octroi. " ~Z~ les 100 k . Suif Grains et Farines SUIF fondu (sans fût) BLÉ de France 28.50 29 — oléine — exotique .26 34 — stéarine SEIGLE... .15 16.50 Savons ORGE de brasserie .. 15 16.50 SAVON de Marsei"« bl . pour tein™ 1 er — de mouture 13 14.50 — — — 2« AVOINE 16 46.50 — — bleu pâle,moy. ferme SON........... 11-50 12 — — — moyen... FARINE de boul. 1" 55 56 SAVON d'oléine 1" — — ronde 51 52 Spiritueux FÉCULE indigène 42 46 ESPRIT 3/6 Béziers et Pézenas bon g' , . RIZPégus M. — — Marc du Languedoc RISON du Piémont écume 48 50 — — de betterave, i re quai, de — — glacé A......... 52 54 93 à 94 degrés.... draine* fourragères et — — démêlasse, l re quai, de 93 oléagineuses à 94 degrés GRAINES de Trèfle de France nouv 1" S. C. Droguerie pour teinture et -^— de Piémont nou 1" S. C. impression — de Luzerne, de France nou le » S. C. ACIDE acétique bon goût — de Colza ou Navette 40 42 ACIDE acétique arts Amandes — tartrique. AMANDES de Provence, en sorte .. 140 145 ALUN épuré — à la dame, du Languedoc. 110 115 BOIS Campèche-Laguna Poivres — Cuba POIVRE lourd Alépy 370 375 — Fustel — Sainte-Marthe Sucres CACHOU jaune SUCRE en" pains, du Nord 4™ sorte. .. 165 166 CHLORURE de chaux 100 degrés. . . — — — «•—,.. 164 CHROMATE rouge _ — — 3° — ... 162 COCHENILLE Zacatiile _ — deMarse ,e 1"> — ... 161165 — Canaries grises _ — — 2« — .. . 163 CRÈME de tartre — — pilé 163 CRISTAUX de soude SIROP de glucose, 42 degrés 59 EXTRAIT de châtaignier 20 degrés.. Cafés GALLES de Chine et Japon CAFÉ jaune de l'Inde Malabar 355 360 — verte et noire CAFÉ Rio M. GAUDES Midi — lavé M. GOMME Sénégal en sortes — Java vert 355 360 — adragante rousse — — jaune 355 360 JUS de citron — Saint-Domingue 335 340 PRUSSIATE jaune CAFÉ Guadeloupe habitant 375 380 PYROLIGNITE fer — Martinique M. ROCOU Cayenne — Bourbon pointu M. RÉSINE blonde — Moka Zanzibar M. — brune Cacaos SEL DE SOUDE, 80 degrés CACAO Maragnan 245 250 SOUFRE en canons — Caraque .',350 400 — sublimé _ Martinique :. .. 238 245 VITRIOL bleu Huiles SULFATE d'alumine ;.... '.' . HUILE d'olive surfine d'Italie ... 180210 8ÉL d'étain .. , — — fine.. 150 165 TERRE anglaise. Métaux — — commune 118 120 — de noix 165 175 CUIVRE en lingots Chili — d'oeillette blanche surfine M. — — anglais — d'arachide surfine 130 140 ÉTAIN Banca — — commune 108 110 — anglais — de sésame surfine 128 130 PLOMB d'Espagne — — à brûler S. C. ZINC refondu .... ; _ de lin 102 — larniné HUILE de colza brute disponible 100 101 FER laminé l 1* cljssg,, -._, gggji HB ^ BOURSE DE LYON ~ Lundi 22 Juillet (de 11 h. à midi 1/2;. barrière; le8l00k ' 109 110' 79 80 180 181 96 99 93 95 76 75 70 74 67 58 59 , RENTES ! Au I A TERME ET ACTIONS comptant D<, n ' "l ' '. " D , . ^ . _.,— __. ' P' Cours Plushau* Plus bas D r cours 2 °/ 0 9 Coupures Porteur rerteur r 0/0 Emprunt o coupure,... Libérées „ Coupures... fl 1/2 s Oblig. Trésor 60/0 61 230 65 435 445 32 25 .50 26 48 24 M. 67 36 38 220 225 8.15 8.50 7.10 7.40 265 22 23 20 22 162 165 215 220 42 43 195 410 600 32 34 4.50 14 170 230 29 30 26 27 37 39 25 29 30 100 23 285 290 13 Italien Coup. 1000 — 100-50.... Ob. ville deParis — 250 f. p Crédit mobilier - Lyonnais. - 250. fi... Chem. fer Orléa Paris-Lyon-Mé Société Autrich. - nouvelles Lombards-Vénit Mobilier Espagn CanalSuez Délégations PRIMES POUR ~ m»..1, 3 0/0 .... g "," p0/0 Italien Obi. Trésor Ob. Ville Paris. Crédit Mobilier 2S5 - Lvonnais M. Ch.ferôréans 430 [, a " 3.-Lyon-Med 415 Autnchien 52 n q„7T T'T46 49 bud Lombard 69 70 Mobilier espag.. 30 30.50 J Canal Suez ..:..{ ^ îjSmSSSSSSSSSSSSSBSÊi ^„*«__ 21 iTIiïiii' Vu^wrlïmt^^ 54 40 54 3U 90 04 54 70 .... 5j Ï2 d 10 d 25 ... 85 10 •• •• 85 35 85 10 d ^ .... d 5o 5* M d 50 dl ÏÏJi'ÀJi ACTIONS « 60 « az . . Lyon... T?'T T \} :•• •• Trois villes du Midi nise 85 35 ^? ^ D* Prix """'"" OBLIGATIONS ' D' Prix 1 I Ville de Lyon 1854-56 .... Ville de Lyon 1859.... Ville de Lyon 1865-67 Ville de Lvon 1870 . Ville de Lyon 187 LJ!" ".' 951 Z I BSJLLETIi FI1IKIEB I i Lyon, 22 juillit. 435 f 520 \\\ I Le Journal officiel a parlé ; on nous donnera | •du 5 0/0 à 84.50, ou à 80.75, si l'on vëut.lM" i dl ïN on Département du Rhône. .. v 519 56" rer. C'est un peu plus cher qu'on ne l'avait dit, j .r Bayonne ..... Ville de Paris 1865 Qr r 85 „o A.X Ville de Paris 1869.! .. «70 '' mais les souscripteurs n'y regardent pas do si ... . Limoges Ville de Paris 1871.lib..." V' ., " près, ils disent qu'ils iront tout de môme gaie- | ment de l'avant. j Tarare De la Loire '• 'l ' sim& f, G ™ réunies On devra verser 14.50 en souscrivant; cela 500 ^ Rhône-et-Loire 4 û/ô* ][ ' [ ' À70i,i5,r r dâ d 10 Montpellier Rhône-et-Loire 3 0/0. . . i fera beaucoup d'argent à verser pour ceux q" 1 j , i Fonderies Paris à Orléans 3 Ô/0 souscriront de gros chiffres. Mais personne ne \ Fond. < t Forg. de Terre-Nei . Paris-Lyon-Méd. ; i? n r 'ioV o« là paraissait contrarier ce matin par cette clause ! oQ 67 80 88.. 67 80 68.. la Voulte et Bessèges _ _ ^vr,! 9un peu plus dure qu'on ne s'y attendait; tout ; -" .••• d 10 .. .. d 50 68 25 De l'Horme Méditerranée 5 0/0 le monde a pris ses précautions et l'argent .... d 25 68 25 dl .... De Pont-Evêque Méditerraaée 3 'j/0 abonde dans toutes les mains. Tout est donc . 240 Du Creusot Midi , ' d5 d 10 H. F., For. et Aciéries de la Dauphiné. | pour le mieux ! Nous avons en conséquence \ eu une bourse excellente. mar. et des chemins de fer Dombfes, Sud-ÊVt *' "1 Le 3 0/0 se tenait de 54.70 à 54.50; le 5 0/U ••• • d 5 d 10 ^M-»'-/'',; Victor-Emmanuel*' 62 9-n(J ' ït 638. 640 '. 641.. De Fourchambault BonsLomb. r 187<> « P"nV *' " '-| i 1871 faisait grande figure de 85.10 à 85.35. P d5 ..... d 10 H. F. de Franche-Comté _ _ ' r jay - ••[ Le marché de l'emprunt, nouveau était très j v " "i Forg. de C. et Commentry _ _ r " 1875'"fi Aciéries et F. de Firminy. . ..... _ _ " 1R77 ~A° lAii , S ) animé. Le ferme était demandé de 1.80 à 2.0J ; | 0/0 prime et les résultats ©nt trouvé de nom- j d5 d 10 H.-F. de Givors Lombards 3 0/0 _ Aciéries de Saint-Etienne.. 497 50 Id nouv 230 501 j breux preneurs de 1.40 à 1.50 primé. Un y | j en avait pas pour tout le monde. — Tudieu, j 50 entrain ! quel 767 . 768 l \ 770 . \ 7S8 !° 770 . . DeU Lo "^ ........ 206 50 ^0^ *" '**&$ ' ' § 776 d Le 5 0/0 italien profite du mouvement et 760. ..^ " " SÏÏ$£^±£: S '^^'.^"y '' fait sa pointe de 67.80 à 68. » f reVenu varia d5 ... .' d 10 '.'.'.'.'. De Rive-dp.Gier 55.. Portn^L, ;;••• Les Allemands se chargent, de l'action des , 18i 50 474.. 480.. 480.. 478.. 478. Roehe-la-M. et Firminy We df Lvon îlr^ Autrichiens et la mènent rondement à 768./» | d '5 d 10 ..... j; Banques Rue de LVon «¥r°o ! à 770. 476 DeFrance , Cjlfc'S Les recettes ne s'améliorent pas, mais les d5 d 10 .... Comptoir Lyonnais .V. S^ f0/ | 392 . . . De Crédit Lyor.n^ . ëmTnv I | Allemands achètent toujours. Les gros achats l'emportent souvent longd5 d 10 Coavptoii- d'esc. Collet et G» Fondera i 'L'ini IWÀ S e me Soc. Lyonnaise de dépôts &É iZw \ A ,g°' § 0/0 1 temps sur les raisonnements les mieux fondés. 8 comptes courants, 125 fr.p ... I S» ^ ? 3 Q nm° me 3 0/0 ' P Le tour de ceux-ci vient toujours, mais quet. Crédit fonder Suisse : . . . . \[ yT^l ? /0 i ' i quefois après un peu de temps. LA LIQUIDATION PROCHAINE Reports Crédit foncier d'Autriche . . . . ' * ' {? '„.±\*™?*u )! • *" » -•• • Le Lombard se tient à 480 et 478. _ ; , „, — _____ Bateasix >-»".cnamDauit, z« s , i 1^ d P ^eusot. . . . . ë 10 ~^^ à 50 Les actions des banquiers montent. — Voua d 10 ""' Comp. générale de navigat.. . S" 8 le Crédit lyonnais à 640 et 641 .25. — Le cour? Comp. des Grappins.. .. Aciéries de la Marine 86 55 Comp de navigation mixte ^rne-Bpckum . : de 700 se dessine très-nettement dans un ho.' CompP de Bateauxtûmnih £ omp - ^aeraïe des Eaux . . ; rizon qui n'est pas trop éloigné. Un peu de pa-15 d 10 d20 »H^e 8 Comp. gén. des Eaux 5 0/0. ! ..... tience donc! OmnhW Gaz delyon 6 0/0 i ... .. On bat toujours monnaie avec tous les titre- >i . .' , it ' Rue de Lvon Gaz de Lyon 5 0/0 ) au comptant, mais beaucoup préférant spécu, * . Rue de la Boùrëe' Union des Gaz ler sur les valeurs par trop dépréciées, le coray : i .... . ' C^omp générale des Ëàùx Domaniale (Autriche) o66 \ \ \ . Sb^sde Lvon, ft ." ! Emprunt Ottoman 1863.. . . 340.. tant est meilleur que ces jours dernier^ et j très-actif. Que de ressources encore d;dns ce Dombes et Sud.fet, 250Pp . " Z ~ \B« 6 1S69 bon pavs de France! "» Comp. des Abattoir ..... .' " SuI , n.ïT ?I! -50 Le Londres est ferme de 25.40 à 55.45. Verrerie de k Loire et du vVal. ,^de,.l'or. ' —«Pièce de 20 f. 1^82 .. . 50 0/00 Rhûne L'or est demandé de 1 à 2 0/û(k j Croix.Rr.imsn V~~ ' ~ — —-"1 -85 05 , " ___ 9 85 55 FUS: \\:\:v;::;.: :::: . :: : : : ?iï. 5: ^nSii! ;: ' MSr ; unitaires t. p :: Ly0n ; I^P/imerie H. Storck, rue de l'Hôtel-de-Villle, 7S * GERVAIS. - - ^1