CHA Il Messies Hés. - Bibliothèque municipale de Senlis
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CHA Il Messies Hés. - Bibliothèque municipale de Senlis
B ÿ m td ü fià t-i-VÔ/;'; Fsi I •îcyw)vv- P r a lC O l^ ' mm iê I • -ù 'f[ü . ^ Lmm ripondm iM »ù«»ri I I^IB........... S»®»^....... (H iataxM riE N N Ô Ii amotmoiÊÊ. • £. *tt. 0 AtomUt, e frT B- b. Tirage : 4.200 exemplaires. Il M essies Hés. onale Paris IMS. IVE ier de Vi IS D E CHA itim PAIRES il ie diplômé kO N S h C H A IÜ T l |l8 dH G oi m raoi tx ro s n I le s j o u r s , d è i a tm à 8 h . dv^i ET DBS DBMTS (U tlM e t n i e s th e s ie g ê ^S DU R ly i au-dessoM i i 6mbfants>,-w>>t 'iÊk MO] Os «ait que H . Gombea e t les fena 'i f bloc > ont partionlidrement en reor eenx qn’ils appellent dédaiucaent .ka ralliéa, c’eat4 -d ire lea .jnes qni, aprda avoir appartenu anx osnepartia de droite, ont A it a d b ilonà la République, acceptéi la Conaiation, mais professent en mSdié temps pHidées modérées e t libéralM. c Nona ttTDospasconâaaoe, disent H . Gombea 'tiM amis. lies antécédents de eea Muass las rendent à jamais soapeets. bnntdes réaetionnairea qni oMhent jgrjss. t Os n’igaore pas, non pins, qne M. Sonbes n’aime pas les hobereanz. Il bira dit joliment lenr jEait dernièrement iTrénier, et ses amis n’ont point méBgéles qnolibets et même les inveeimasTieomte et & la vicomtesse de wisaon, qni se tr ô n a ie n t piomi lea .JM an ts. Qnelqnes-nna ont laissé qifossr qne cette dernière,' trouvée ortasMd’nn revolver qu’elle avidt pour • dMndre, vonMt attenter â n z jours bM. Combes, et il est i présumer que ) Mu-prélét qui l’a désarmée sera Jeoré. [ Mais il 7 a ralliés et ralliés, comme il r a hobereaaz et hobereaux. U j a les MUet les mauvais. Lm bons ralliés, ce sont ceux qui ment, sans transition j du blanc au m g eles bons hobereaiix, ce sont IX qni, tont en continuant à faire mer leurs titres, sont aux petits soins MITM. Combes. C’est ainsi qne M. la neomte de Eergnézec, conseiller géhéil, qni fat, d’ailleurs, le principal niutenr de la manifestation de jnier, a eu l’honneur d’offirhf l’hosaliié & M. le Président du Conseil, 'dant tonte la durée de Son séjour ^ cette ville. Aussi la presse minisJrielle, notamment le journal socialiste Idcto», le couvrent-ûs de fleurs 1 1 Or, quels sont les antécédents poliMSM et religieux d e.cette nouvelle f®ne dn c bloc î > I Voici : l u 7 février 1896,M. de Kerguézec ■envait : » La République est sur le bord de Hume. En avant, c’est le gouflre : que • modérés se rejettent donc en arrière pqnus viennent aux monarchistes qui ^nr eux le salut et dont la devise ssormais : c Oubli pour tous et xpourtous; » ^ faisait la proposition p in ts a la conférence Mole : I e CoMidérant que, seule, une poliIm! peut sauver le pays, fw à l’ordre du jour. » ' II ?’®ïprimait ainsi 1 « i l ’™publicains, vous avez «fé les petits et les faibles et le birt 7? ▼<>«» «T** f c f j ® ® TOUS êtes marqués au |^ " ® 8 “e des réprouvés. > iwmême joM, il demandait le rétaK ® ® n td e la ro ^ u té dans les conT à ,« 1 9®* Toici : ‘in».i monarchie k Phii * /Oublie dans la personne B o u rb on -O rlé^, chef J'U Mauon de France. K l ? - “ «0®sMajesté, pour «tan consenteétablissement du pacte tradilir do lî _ SaÜli‘it'0lHb ' Ààltü d ^ ' ' y? • J > v ................ » *. Su «son................. air. B | S ir . , f *. f. .. J, - 3sb ..iîû;' -d;-;ia .. ■imeTRATION ‘ S S lK IiIS - ~ tionnel entre h F ranik e t la Maiéon royale; » _ Le 30 ju illet, dans l’ind^eM ifance o rtlo tm ti royaliste/et catholique, il acclamait la monarchie, tapait c m M dé mocratie c oùseuletiriomphelaméiiBC^ crité etila canaillérie >, su ih es agioteiuA véreux, su r les c bandité du P fâ è ^ ment >, sur ceux qui c m inént l u , p e ti^ , répandent 4 prd fu io n sur; dés sous-panamistes des croix qui sont voléés à de braves s ^ d i ^ i e t distribuent . des récompenses qui ne seront m éritées que i p a rle s services politiques d’une bamle^ de plais valets. > ‘ Supposez que M. le viemnte dé ’Kep- d is Iwzféc néaetioBBaiMB et séeeudrC ISU qu^M opératéaii» cPsritImiéliqto d!éeirés uUe « é tin ^ jé m itiq tte . L éu eiut tiiteôr^u tm tttikri'indwtneKt'poû; I b r j e i ^ ^ io iy e ^ e ïiÿ flte W k r U r c e r ^ dé ch6séé Pour p rii^p e, omis dans >1« Déclaration des DrghUfio l’Homme, un sénateur, M , .^ la n d , va d râaad er Je re ’M t ^ mtoriritfiâiAÂiorilèé é è t F îlie t' d é k D o . ^ n e d h r é H t e S ^ œ ’S S De ^ A s » > i r , l e s ; q a à t i ^ v i & ^ ' ^ m b ^ e < f td s ^ i ^ ià ; i» i ^ le i ) a i^ ^ jDudne U n C am ouflet. H . Combes, renonçant au voyage qu'il avait projeté en Bspague, passera tes va cances en Charente. Ce ehsDgement d’avis n’a pas été ,tout i faitspontuié: Onqons affirme, en effet, de bonne totiree. que le gouvernement espagael aurait discrètement laissé entendre au quai d’Orsay qu’il ver rait tans plaisir cette excursion et que* par avance, ii dégageait ta respcasabuité des iacidents fécheaz qui pounsient se pro duire. U. Cembes a craipris, et p é w se dédommager, il exécutera quelques congrégatums de plus I rq é d e s ^ a n h ts l .«iss-; : . ..-j.j.sY-i i. r n e m __ JjrtsanMliii — DoQ r ptr Â>] ttprottoiioas. Depuis, le teu fflïïSw a) tai lîÿaBiî PolM»f*eé: œ i caMaitt ^ ~ I ■Un p e tit so u , s. v . p . Vous pensiez peut-être l’ipstruction obligatoire en France, et les parente coupables de ne pas envoyer leurs entente aux écoles passffiles des rigueurs de la loit Erreur. En France, sous la dictature de M. Combes, l’éducation doit être laïque ou n’être pas. Grèce i l’exécution de la loi d e ISIOl, selon l’interprétation de l’ex-ebbé, quatre-vingt mille enfante ne peuvent trouver place dans aucune école. Leurs parents vou draient cependant bien se conformer aux prescriptions légales sur l’enseignement; mais impossible. Comme le fhit remaz«quer un de nos confrères, le bloc aime mieux voir les entente d û s la rue que dans une école congréganiste. H vaut in finiment mieux que près de cent mille jeunes Français attendent un peu pour apprendre è lire, écrire et compter, qne d’étudier un alphabet congréganiste, faire — On a des nonvellm de V A m h a V G itty d tn , . nàviroi des C haigeuis réunis. Un inceadie a obligé le navire è se jeter sur la cOte d’AroUa. n e st .perdu, m ais è part un matelot dispara, l’éqidpage et les passagers ont été sauvés. — -M. Loubet a signé la décret, plaçant l’amiral flsr éc h a l en d ^ o n ib ilité par retrait I ; d’emploi. — Le gouvernement n r e i t déddé, en pré« sance det événements de Macédoine, d'envoyer l’escadre de réserva de la Méditerrannée dans le Levant. — L’empereur d’Autriche a de. nouveau chargé M. Kuehn-Hedervary de former un cabinet — La Russie e t l’Autriche o nt officieUement désà'voué les comités macédoniens. — En Angleterre, M. Balfour éprouve de grandes difficultés pour reconstituer le ca b in et -Jt pas ou- . '^rtà "ce-que -q w K m. Oambetta' uamoL__a_trouvé tout ■ ‘ Ion était r i ^ h è à tomber, qaet pêiaibta. Là pettvoir ne psr t w tes plus_ri*Més dttv arttii iê'âstei. — Des secousses de tremblement de terre ont été ressenties à Blidah, . ttataun P iu n a x . Et c’est ce même Pelletan qui tait anjonrd hui i Cahots l’éloge de Gambetta I Nous sommes surpris qn’on l’ait écouté ime minute. Les vGadarciens devraient mieux honorer Gambetta. Npur rappelou i MM. les Chasseurs qnite peuvent se procurer dans nos burtèUL des Demandes de Permis de Chasse imprimées sur papier timbré. La codt d’une demande est de 0,75 centimes. ■OlMi) - Trois SCds, 4 ^*^41 « OOlOriiM) f - Trois Mois. 9 i BD eoDRsas BM L'OISE ads patronM i lA T IS ■dssmas-st-i 'WTEAO TRAfilOüE ’ ** *’“ ll»i» par A-A. Srou. |'««*chaqn6 ) ? ,'? ,j®* ^•.Vous vewtS? *1“® TOUS *0“ dé- ®®]°“™»Ters madame Vine. a riffiL 'T ® ’ ‘«i.diU l. c’est ÎÎJl’oss é Z ï i depuis longlemps; S?^iaa<ra’à Paroles. Je l’ati 8r™de, car cJ^Pi aussi'iepalif P’i ? monde. » « ! f a ! ï.4 ” i s i a t a a „ . Tous ne a J“”“e lord : •(Siiu°®»«Te?Wen^®î' P "le r ainsi à •XI ®* *®? M- Dobède, le co lonel ^ t h e l ou quelque personne de mar que. Il nw chait souriant, la tête haute. Rencontrait-il son adversaire, ce dernier s emp^ressait de disparaître en dépit de son unpudence. C était un lèche. „• VTés-nüdi, madame Carlyle manifesta 1intention d aller teire quelques emplettes è Ouest-Lynne, accompagnée de Lucie et de M dam e Vine. L’msbtutrice redoutait fort dalldr à l a i ^ e pendant qne Iserlson S S . . ’. “ ® ^ .3 “ ®‘ P'^‘®*‘® ««rait-elta V*®" Bwunranw, BÎÂrbtra. Ut-eue à la jeune femme, sans remaroner te P.résenco de madame Vine, ni celle de Luci®. EUea®ni»re ®u un de ses rêves: elle est lè, ^mbUmte, pleurant, assurani que R ic h m court quelque danger.' J’al essayé de la remettre ; je lui ai dit qu’il n’v a que les fous qui font attention aux rêves, mais nen n’y teit. ’ j® ^ “ï®*" maman, s’écria ®* '®®* retournez chez vous, maattendre?® ^ accompagner et m’y L ^ Mamm, emmenez-moi a'vec vous, fit P*ï‘ machinalement la main de l e n ^ t et entra avec elle dans le jardin. ■'^aae°*nn ^® ^ “®*®’ ®’*® Pendsnt cdtsmp's, miss Csrlvls et isahAiiA l l t e |a m a i w V ““ P®« P®"Md. «0 * un coud ôS S S e elles tournaieht un coin de pue, -de vent releva le yofle dé Madame Vine, quL rihiS?*'anianièî«f^ parcouraient la dans sa précipitation ê le retenir, fit t o n ^ r «taens effrayés, à terr® ses fimdtté's bleues. BÙes s e M I t py?.»entiDi.-,P£?Jî“ .r coup mis au sèrent en morceèùx.' — (kmment avez-vous teit pour casser TOUS lunettes! Amenda Comy, pendant que l’instituWce se bainteit p o û r ^ » . masser les débris. « Lte .^ s 'v f é ta f t envolé par dessus une haie, l ltm sttes étsiant 6ea»lèteaient bri- sées. et Isabelle n’osait plu» relever la tête Jtegurds scrutateurs de Cornéha. 11 làllait pourtant sa lever. L’ani mation avait ramené quriques eouleun g t e ^ r e s sur le visMS de la pauvre femme, et lorsque m us (Siriyle put aperceTom son vuage, elle demeura eommè pé tnflee* ■■ ^ éU~L°*e - P°*®*^* ' nfiB^ura-^t-.ril», quelle teM t s ’évanouir e: Allait-il te reconnaître,'{«f t UN CAMDmAT DANS UNE MARE Miss Cornélia et lady Isabelle se tenaient ®. 5?’'®?* Puutre, la vieille fille dévisa- ?®v^de Juger cqutrslri aux ssinm vamnous - IrÜHffiHe^süstdilgl q ris » » m S i? u 5 SIS vtrs d un anUmiliitrlsms ritra-simpUst^ m-MHiNBtUeiitCt qnrno. baUMSont poBP aoi.p»pTM gteSranz. . A l ^ juivantte OUde secialiste. tout soldat S? *, *1*» • » »«» cbsfi n’est p u ,,, «te seldat rép^llsain ; la stul moyen da démoitita i* S.^%5?®^*!-'^®!* de lui It; • * D aF Îÿ afe . . M..FaljstaB, qBi fait tant da bruit jx» lattn.qhffi avoua avrir. rerta..devralt mm nous pwlwun pende là lettre aâ H. F a rr i^ ^ ^ t e lettre était influimant phis grave une t e t M t o e ^ M o d m d* F â fra l^ M a fiL qiti lemble amii si faitememiintié ta aS K S ? Hi Pelletanioeattiet. ^ . J1 MUi «HihdaiMaial,^daBajtatirr^ ■ g ^ ’. 7 i f c ! 3 2 a r K j é i S ‘ ^ -jè tM ite des t^éraratiou dans .le dnat da deux mois, a Mnm i^ Jn ietn n ité ne’ serait dû an sonlE w it na4Me« du irittéi Or, le l" août, on ariodilél’artele 6. . die) le délai ' te*A»ntA«mténM aiwès, dis la Id spdL Je ■ejM rtgtiMnatee abaudaenatt les niléitemaruMl ‘ umusiu H- Lé®k|(oiirràit ptuf-êtrédemsBdtt ouei« M S 'e z id te ^ aumbtùlèra date m uteslnr la, oorraspoManea qtn â été éabaiiBée à cet effet antrtte-ne «oy.lv et l e S , ^ *** * “ ** Cette eorresMaMian(*b«tiiiiifiatma»> m- , j h . î?i^2*^utîî î®* lettres* l’amirai Haréchal. SI regratteBla^fltes srient. ♦ «* Dû iTtafrqnngHMt : . •aandateusa et um oeaoMmtee^ffteCbamtere une lituàtien en déuU, qui,je» lams» aux ji«x.-iBi ruroahait U aw ritilU K p e n r v ^ da tehééiùiSH aerttts. ■ i -iff. Œ S ? Æ?* w '» V ‘» A * W w S « î révWeparAàs choix qui sMfalwt de# ca-’ I -r-r r— ------------------- ■ a n dWanpo. — La Colombie et les Etats-Unis ne s’en tendent pas sur la question du canal de Pa nama. L’opinion yaahee demande l’annexion de l’isthm é aux Etats-Unis. dé dM S& h s T ' éoutre lés persécatit. « ,dM ttKMUTobJst.i il voulait m m t l’irL ^ n ^ în S 't‘î t a ? ^ «léiloato. Auieura’bufc.. dteeeratiaeril’er- J-------- .._ /s ! A s s s : i^ lc K p ia le B i, câriyte°'^ oubliez que. je m’appelle miss Quant è cela, fitLevison, d’un ton iro nique, on ne saurait vous oublier lorsqu’on vous a vue une fois. . Misérable ■lèche ! rugit Cornélia, si j è tra nn homme, vous n’oseriez pas mtinrolter, mam ne luvyez pas que vous i’auloc “*î • * ®î gueux 1 s’écriat- ^ e , honte à .cet effronté, dont te seule présence saht notre ville ! A gauTio a un enei‘a ussi hniuMiat. Maie «a: colère i^était transttitee è la foule. Les laboOreurs Commencèrentà ®*l*ès par la posture inisolente deLeviaon, leur grossière honnêteté, sentant bien que la cause du droit et de Fhonnêteté Ofélaitpas' de son côté, les mimchedM retroussèrent,-le cèécle seresseira ntenaçant vers lui, et tout à coup, de la foule qui s’augmentait sans cesse sortirent d<8 cns S. >- A te 'inare, le candidat 1 Un plongeon I Çanail* 1 H faut le traiter comme il le mé« »’®u voulons pas! A l’eau 1 A l’eatf hAllons, en avant I Vmgt p ^ s de mains le saisirent, quelles nteUtei et l’emportèrent, suivies de la foule lijhiijtiîîîiMi?” BWtestasant et ap“ ;^ * ^:« réo a! je ne veuxpas: gràcel au nom du ciri I hnrteit Lsvisoti. Un rire de démons accueillit dette tairoieation. ' - -■ ■ â®M ®îh?® **lfce q ttïd ’èril'; It la bande. A l’eau I _ n même temps,:on entenffitun cri hopJM"3' L8j*»pa da misérable tombait dans: 1®èKviMriètro.pdi ouM t pour le recevoir smnote^anséMMtndt.ttefutime révolution. rlyle fut détournée-par l’ai r - — :— deLevison. u était entre ses déux compagnons habiluete et suivi de quelques électeurs dégueDjil4c, '‘ ' w C’étaft te aremière fois, depuis son arri vée, qu’eÿe le vivait face i face; Elle ne déto u rn aim te tôle ; son sonrcB bantabi se releva et, te lèvre plissée dédrigtieteMinent, son regard écrasant de m ^etot elle le toisa. Letisoiip cmbtmscéy •otücft lïitftltiniic m ^ t cou Mma ConiéÜii prejttant ce geste p(HiP4ins ne put m col&ie. S e e J S ^ devinrent aussi pàleS que Celles de là malheurease qni'Se dissiranteit derrière rite. >' — Est-ce une insulte, M.^Lavlaraf-dèm anda^elle d’anei.voix tremblante. — O h/m on Dièu,fltLevis<«ea'tievettant qti tous iH repUlM de* te taerient, preneBde «omne votii voadNi. eenM é •’étitiMBt donné rends^Moua. bilité, dont ^ û iiT i^ e s n ^ ta ire s i L e s p v e n e e ré g im e n ta ire s . . Le •çMtléë® ffè#; igénw régimentafret -yanl ir ià ; duta®i5 crilaiB noihbre de cprja * trm ^H m eiitiportàiieetoat i tait uag éré^ le m ^ t r e de la guerre viexfde nH®dBltDlàdh9 AAmeifié 1Mm —* -—^ . Dans chaque cerps on ne devra employer aju serrice d elà jm gie régimentaire qnun tons-offlciair0Bt ^ t r i d a t ; eéservioB nteocqpera qu une pièces La presse sera absslnBunt rMeMée^anxitravaui coucernuit le epmmmdeineDt et l'instruction, è l’exleusion.: abschie des/états rriatifs è la ceeqpta- frarnltare tacombc ' et aux ce 'unités, q r i p c r ^ venté cet effet des Itais da t a i a u ; f t n it intwdit aux offlriers d’user du du tariéiïel d u t& r^ pour crtienHen, les frais; e e n z ),_ . . recetoir m c ry e n^n ut t'.. ||„i r i ’iiRe le v e, n,|„ am ectisatien, le serriee de ta dddiieB taaiid^ liére et de certaine antns/^ d e c a tm e ' (théine»deinanieavrH,pngresrinail’lz t t . ; ctau, etc.). t — ! il «s.sya ds gnupsres_ g ^ r w l k s t a smaUsifurqul ig & s ^ r iâ n » u p O io B : n â S S s l 'A '^ ^ e i i l ® ^ lie sais bien que-tes—«mis du bloc ta c t^ ^ U tK U rta ite à è n ) pNtendent avek.-eoUs lejneiRlas.'; Jdcanx iAiMI é v r i r n i d é '^ 'théeriss eti les professeurs nécessaires pour loger tifw w isttc tirie : jmqu’è >S«|Tm etiniiruire ce siippléménf (félévesi< inalheurejj||ément les cbiffires sont autrement ékqnenU que ces efarmatione. Telle insti tutrice a soixante-dix élèves dansa sa. r il 'c U a TQ lonr a loar clksseiet.les eriCnts sfassoient par tm<e«. , LTupeetiomprimaine, ci sévèreipcur llidK. QggVdm AMB1a Vklfvm MJA„t JelSKSi 1« umnx-.t servaliéttides .k iu da/l’bygiène :deaa les ééoles libres, laissai dèns 'tes écries pu-' i bliques.les entriits s’entasser dims des ^ qui le eoucouraoùileiiùaïqutattf'cir. ^ A Péris, d’epUès-le prèilit*de teilEtehie, liv|(ai%(tet,seBL tous les enâmts'vent éJ'éiriëj°oni, in iii iW,"jPSft*»B p r,iié sontlii ‘ parce q ^ l é e écoles co n g rA m n Ü td si^^ —ita^BtaMttufc’Aciax m d'^nt'' teiit tmvèrteé-’n riA ri ta loi d e ttû l. 'ÏS quand éUes . s e m i lérmées,. ihàAii'^ lé : ,S.. désir de M. BéTand,fAiaii de l’une, bu cette féineuse Ibipoi;^ ta ç m é t a , jaiviÉr » 8 é B .^ ta grand blocj a déchaîné lia g u a rn c ^ k ^ r i t j t a i n b ^ e t Ic'scrutin de lili^ : France, ne servira de riéh, ,<m b i ^ ‘taa ' enfants ne recevront pas rihetriKtiomMo^ simiretadspiiis tougtsitps 1m iUusiens clainée;obl«atrire. ; , « a « m u ml ~'»i«*••—*--jifsenr H. AmLê pcéfet d ê ia Seine ne tient pas.A 00r.mMM ste ;pétiis petitepariie, parte, le 1que da prepositiQB deM/iBérâUdijnit vulli E tp eu n aatiiee aeaaeBSj ^ ,ip a iw e quffi faudrait emprunter-cent ‘ ^IqmwêeAiiHta Beux mois. mpliim» pour lager les seris pettis tùM-' .i^ m r w i^ l s B i,! sipni. Et il ^téndra pareBIë; sébâmê. 'au >!h.pf i ; i C ^ tab iit.,. moins, pour louer ou construire les locaât m l é m êei' wupe ^ indispenaàbles éûx élèves soirtSât ita èhex - —. — i/Lepriiltaiteriëismlee eongréganistes daim les d ^iariâéi^ta. T -'^il'fe-lî'* éWtfltisliïsiient Le gouvernement -va noue dem ürier celee Aegaude «»;iêem«iideat -elle petit sou : 200 millions, sffi vous pltdt; ,‘li est vieiqUe nous ne savons que fiuié de ■ ” ®” ■f*yow®te»:ta «en* tatrie et Inéffrtbls trtdiMedai/ieéiidtgt Ktne) du Mbiset i cher notre argent ; les caissee-d’épargnes ne Iriv»* le. pouvoir, des peuvent plus contenir.le montant des dé ^ ^ ^ 9 ® denteibé e i u eoBtiêis ; soit.qus Im pote — quoiqu’en, dise le Journal g ? ^ * y » M jri|IWj«e«eutd’ax«rBer nne.tar — et M. Rouvier, va nous rendre notate *g»-*P»11 TMffieaçaehêr aux argent malgré nous et nous obliger é le qaltat ÿ r l ^ de ' ^ è h ^ l ^ é dépenser. — P a u l Coimiév B C H O S dcP A R T O U T I Dqr.^éiau-.‘ te sônvhmt I d é la /i te n u ls . L E F A I T D U JOUR illT D U B U jP lU tB lilO t. .iasiÉiiitai:'Hrffaiebfttà’a i M aiBmceetwdeiesdM i adlints, cecM-jnnifiMf-ètn.puBja i é d * ‘i ONm’aooepti »AB n’nçSlBlTIOMAU-MîSSoiüS^mi^i fraWc Le.annpD0«, ridâmes, été., ewcerayit Paris.rtte son^rsdiu dit^rtament ;MB borahii^^iMoiiiML > r A i u m t is ü M — siste ou libéral, les_ m in is t^ é S ^ e ^ poursuivraient de leurs suùasm es et le déclareraient dttéint d’sfîsA ÿtPiiidélébile. Mais il esbdevenuiCombiite e t^ U l sufSt pour le faire c o u id érer comme le plus p u r des républicains I 11 est vrai m e U . Combes a des raisons'pour d ie rir partiCnlièremehtùenx qui passent d’un extrême à l’antre. Kons n’insisteroUs pas sur la v o lt e - f ^ qu’il a faite au point de vue religieux, aiurès avoir jeté m soutane aux orties. Nous ne voulons nous placer, p o u r le moment, qu’au point de vue politique. Nous avons donné déjà quelques ex - ' traits du journal bonapartiste de Saintes, ' dans lequel M. Comtes s’élevait jadis, contie las lois d ’exception au nom « du Christ, c*Mt-à-dire du plus grand légis-, lateur qni fu t jadis > et pour se c o n -/ former aux paroles de c S. M. l’Em pereur >. Qu’on s’étonne, après cela, qne^M. Combes et M . de Kerguézec aient éprouvé subitement ta n t d’amitié l'un pour l’autre 1 L’exemple de M. le P ré sident du Conseil a é'videmment convêrii M. le vicomte de Kerguézec e t, de son côté, M. Combes s’est presque reconnu en lui. Qni se ressemble s’assemble. Annonces ■ sœ iK X iiç s y d u s tons H» bsiw ax d* poste. - L’eboiaemeDt est piMble dSTsBoe et eontian» de pletoï dndt d’s s i. s ï ï S S S r “ todt jmau’àsdoeo&B d*>Tfa;cqyttnire. U i e S t p i m ^ r t l$ O S u u T Ê s ’-ii ' i 'âb j ,-îDOtl '{ — -' .. ■ Avldi siixx sifoiitD £ab‘’ Les jeuuMjgens du cleuM IPOt et 49ÎM C o u r d ’itimmimriB d e r o i a e . ' Total la m it» des Anfrw de ID iirM ar le troisième trimestre i 903 : • /« è a n w ô ë ta i^ ..JIT'ji ” “ oaipémorteis, arrondissement de BestVfir, «tonSmoias! — Hiristêre jubUo ; HrDSflse. — DéloBsnu's Hv Aaviaiti-v/., . ■ r r - . ', ':• ^ Aitajre,.^eanette (Janne), avor atrondrssamettC* Baitaval^eâb tL - lünlstêrtjÉ M ic : II, DeriseTii- ] leuriM 'R avlarf. Affaire Séniehai (Angnite-G candie volontaint wrCndisiamu... . m n tj dnq témoins. - ü ia iiiite paUiei M, Péan. — Difetuenr : M* Q o e Û ttî^ ^ Teittfredf 9 oetebr». AfÇiirt Potin (AogasteïCharlen), Loagflbr, (Lonis-Arthar), Lenlafre .(Ghtstave-F^^” assassinat», vol quàDflé; attentat ê ta i .. avec viotedce, artendltaoÛiffde B e m r i^ “ D é f r i ^ é ^ :--------------avocats du bam an dè M invM i. C o n tp l b n ti o n e : I n d ir e o te ie . H. Bnlteuz, commis principd de é* Otas » i Mareq on-BaiwiU (Ife d ), est nommé c tm ^ s prineipai de J« classe'a Bai'l)ery(raffinwia}. U. Moriot, préposé i Briey CMenrthee l-M o ^ i^ , est nommé commis deS*cSste ' a EimenoBvllle; w ra««toiir» des Alp Maritimes, est nommé commis de ê Antiily. H. Besson, snrnnméhdre de la ai__ estIfnommé dèBàciâttràBaïimrV’' i r - . rcommis . . . -------M. Fratese, commis princtari classe i Yàmiiennesi est nommé en la même qualité à Stdnf-Btienne. H, Superbat, p r é p ^ à Ofaguigtini, est des* classe éVandemies. AÏ’.‘ Ponvieime, préposé < Saftn-Ceàd^ssereiti, est nommé commis de 8* ctassê IL ^ ^ o n z é S L ex-ieommiS' ê 1110, est nommé otimmis de S* classe à F6ss64luu uOe M; R o ^ n , surnuméraire .de la Ham»Gnronnep est ooBUBé conutis clsiis &BftlWQo M. Fontaine, coiflmis de s* classe à CiriL SS. M. D hén», swwùM raûe ê Lyif . eit nommé cmniris de S’ ottH ed (ïeti; ' M. Rabrisson, snraoüÉnfrocda ta Gi< rendep est ncouaé coEomls à Ogoesq M- G n é ^ n , prépiisé iiS tiitr& iettm H t nommé commis de S* riasse.d S m i K Tilieo M; Bng«t„ surnuméraire do. ta Ttanne.® >ijiw ^é commis. dë8*itiiÉi9 &B rih em ' M. DabH, snrnuméniie i La BnciteRA est nommé commis de S* «i».», ^ BrinS raini M; BertasMu, surtnméraira'ABnsitiin. H t nommé commis de 8* classa à Bosoy. M. AUj»eh comiBl» de S* e ta w è CMIri passe OB te même qaaUtééAtais. M. SiUiOB, commis -do 8* etaise' A Ata Un huri®ment de Joie sauvage répondit à entra inopinément. EHe se leva vteémen ce cri de suprême angoisae, et les * élec- rouge et iqipressée, son cœur 'bàttàll teurs dans rexeitalion dé la vengeance romp.-e la poitrine. ■ « wmui «-n accioaplie, formèrent autour de te mare — Ne vous r*’ une ronde tentastique, véritable ronde de dit-il en s’asse sauvages en. délire. Cependant les laboureurs ne voulaient vous parler de wiiiiam.. Cœnmi victimes;'ils retirèrent je vous trouvé ces derniers joure! candidat du gouvernement à deini a s jte v ^ et souillé de toutes les im ntpndiC M d^ n ia r r .J ^ a is vormfhe n ^ é è tfoffrit plus lamentable aspect que le beau LevisoB, I# 9 y a.ped on pojnt de grelottant, treinblant,. secouant la vaaâ -Monsiefe je croyais q a ^ v o ô s a ë ^ c ^ ^ comme le chien quf sort de Féâu. H s’Moi - tentitm-fai^rier un antre médsèhif .'-iO uL jjwtete l’intention de le^sàyteÉe en courant, accompagné , des hüéés et ehszde docteur Martin;; I N * t a ^ d î S le k«Sie,:et jexwsaisdrop —— — T»-— ^ aewivasew HrMIli àiegril UIl ? i ; ^ ^ jT?niez .taoilüiser 'to oimdidre. jour .de honte et de folie, elle avidi choisi ^J*^â|jw é«hieTine éÇhh to n su raS x L d a entrètous. cette tepoit vous ne perdriez pas d e b S te L Quelqueeinatants après, les deux feinmea reniraient chez miss Cartels. En même ^1® t^ p s -u n grand bruit se tu dan« i« rue, et — C H trâem ent, madame ’VîneCornélia icourut è la-fenêtre pour voir cé qui se piaaaait. Un nouveau q>«etaele Fab- avec smi idas aimabla arârire : » -ne^youdr^pas tous te n e r o H t o tendait. . . . Deux troupes d’hommes stevançaient. en sens oppoee. A M lete de Fona d ’rites, — (A niisreji les oteùa et tes roupes,—marchaient M. Car H.^WOODi; lyle et lord Mont-Sevèni; ' A u n U lie u d e U 's e e o n d O jù n ê trd 'h À iT m e , f r is s e a n a n è , d é g d a t à h t -, 'condhfiw B le s C’é t a f t B m s o n 'd H f i l e .m è r t y r e c o n tin u a it. L e è C H à e ,in * e B e ( ^ r iif pÉ^sàea y e io c -m n de lo rt Headtlielot t Caélla# d é td S ^ S to Mtedtimair-ds»suptêiaffR Wain. que aà5fp«6iitraf ^ ^ i s T ;■ leiineM É H hndi (HArd), « t iodbi A ca U BteenpalitéliiC( rril. M . r ~ -----4*4* eUsM 4: Sarâ iiA ^niité i H m w BtUI»^ i-oO âu a n 8* rdi^nm t IL l le, aet Mmmé d’inbnti deS'eUiiwIi iposê i Taudennei, passe H.] iine> i< (S e ii^ U. et"ï à Beaurain, passe K. Lerieieiir, 1 à Monture* (Sm m e) M. Mondeieni, préposd mobile à Cempiègne, est nomme à Vaudennes. M. Chafdotte, préposé à Mentagny, passe à Bnzey (COte-d'Or). --------C o n ig r è s d e l a l l é i m e r i e , LetS* Congrès de laMennerie se tiendra AParis les 12,43 et 4toctdbreprochain, A l’Hôtel de la Société d’enconragement pour llndustne nationale, At, rue de Rennes. Parmi les questions qui seront discutées se ttb u » q d u de l’ergaûsatien de la vente des faîffîis au moyen d’un Comptoir qni a déjA réuni ia production journalière de meuHns représentuit .ensMible environ 60.000 qitiBtanx d e blél Los débats pro mettent de présenter le plus grand intérêt ; nn grand nambre de meuniers eut annoncé leurpréeumo. A l^oceasiœ de ce Congrès, les billets ordinairas d’d le r et retonr délivrés, par toutes les gares des sept réseaux de ehemins de fer français, du samedi 40 octobre au 4Ainclusivement sereut valables, pour les pwsennes assistant au Congrès, jusç jU ^ ^deritiMs trains de la journée du Pour tons renseignements, s'adresser au secrétariat dn Congrès, place du Louvre, 6, i Paris. hem • n é d o is M à im awsn. Le /e u m e l officiel publie un décret autorisant l’administration des manufac tures de M âtt A livrer i titre d’essai, au' eeniBieree en gros, des pochettes de vingthuit aDumettas suédoises qui seraient iivrées an public au prix de ôn q centimes. Pourvu qn’eiles soient un peu meUlenres que ceilM que nous vend actuellement la Régie !... S Ë N L IS A t r a ' ^ e z ’B S e n 2 im . Bbamb d i la usiBE. — ü â de nos compatriotes, H. Larallée, établi depnis longtemps é Paris, s’est soicidé arec sa femme. Les éponx Larallée tenaient, depnis qua rante ans, nn lavoir an n* 16 de la m e d’AUemagnoré Paris. Depuis denx ans, les affaires marchaient mal, et les éponx Lavallée devaient denx termes i leur propriétaire. Désespérés et trop vienx ponr se créer nne - nenvelle sitnation, les malhenrenx décidèrent, d'nn coidmnn accord, d’en finir avec l’existence. Mardi soir, ils gagnèrent lenr chambre à coneher vers les neuf henres. Le mari se rendit dans la cnisine, conpa le tayan de caentchenc d’nn fonrhéan a gai, et, après avoir ouvert le compteur, alla s’étendre sur son lit, dtms la pièce vdsine, près de H*» Lavallée. Le lendemain, à sept henres, le garçon fut surpris de ne pas voir ses patrons qui, d’ordinaire, descendaient bien avant cette heure lA. Il monta et frappa à lenr porte. N'obte nant pas de réponse, il pesa nne échelle le long dn mur et atteignit la fenêtre de • r chambre. lenr c b i ................ U brisa un carreau et re garda dans la pièce. Sur le lit, les deux vieillards étaient étendus, étroitement enlacés. Us ne don naient plus signe de vie. loformé aussitôt, M. Ducrocq, commis saire de police dn quartier se rendit sur les lieux, accompagné d’un serrurier. Le magistrat pénétra dans la chambre et s’approcha des vieillards qui respiraient encore. Transportés aussitôt & l’hOpital SaintLouis, ifs y reçurent les soins les plus éne^qnes. M°» Lavallée est morte jeadi matin, et bien que l’état de son mari se soit Iteérement amélioré, on garde peu d’espoir de le sauver. M. Lavallée était âgé de 72 ans. GoimuoimAOE nus R o u te s . — Plusieurs essais de goudronnage ont été faits dans les environs de Compiégne et de Sealis, sons la direction de ringénienr en chef des ponts et chaussées. Ces premiers essais, qui ont donné des résultats satisfaisants, vont être continués incessamment. Acte de PsoBiTd. — M°» Grimhert, femme du cantonnier, a tronvé, mercredi dernier, une broche, qu’elle s’est empres sée de rapporter an Gonunissariat de police. Nos félicitations pour cet acte de probité. O b jets f e r o u s . — Il a été perdu : 1* un porte-monnaie contenant une forte somme; 2° un parapluie; 3° nne montre à remon toir, en or reuge, cuvette taillée, couronne sur le boist er. Prière de les rapporter an Commissariat de police ; il y aura récompense. Objet Tucuvi. — Un porte-monnaie contenant une petite somme. M é s a v e n t o p e d ’u n D o n .( n a n . On vient de rire nn tantinet, dans une commune de notre canton qui a été le théâtre de l’anecdote suivante : Uu de nos coucitoyens, M. X, poursui vait de ses assiduités, hélas I sans succès, une accorte blanchisseuse de ladite com mune, M"' Y II finissait par douter de ses talents, quand nu beau jour, é surprise, à la suite d’une nouvelle supplication, notre blahcûssense le prévint, que le soir même, son. mari seraU absent ; après quoi, en vé ritable fille d’Eve, elle avertit à son tour celui-ci, nn solide gaillard. X n ’eut garde, comme on pense, de nmnquer au rendez-vous, sans se douter, bien entendu, que l’époux de sa Dulcinée avait été mis dans le secret. Le soir venu, il se rend discrètement au logis de la belle, ciré, poudré, pommadé, frisé et cosmétiqué je ne vous dis que ça 1 II pénétre dans le bon loir de son idole, fait apporter deux verres et sort de sa poche une bou teille de champagne, carte d’or, dn meil leur crd, bien entendu, dont il fait sauter adroitement le bouchon. Ou boit à la déco ration du front de M. Y ; mais la nouvelle Dalila parle d’une migraine, effet du chaapagae, et d’nn irrésistible besoin de dormir, seul remède possible i son im l de téta. Le sédnetenr se déclare dans les mêmes dispositions... Mail, jeteoi s a voile is r les prâlimif¥ à : S ein s. Qu’il suffise i n e JaeM n 4e sa voir que notre heureux cracitoyen va J a w h e r de^’opporlanujsigrdne, quand ^ s\coup .la s é n r d iaafe et le mari emergede saoachetter aime d ' u gourdin nspeétnble. En demi temps et quatre ffiomremnts, M. X oÉ ne-la fenétie et dort, laissant au v ainpeur son butin. >ur prix de sa* vietdru, M. Y consem reste de chaïqmeMi le pantalon et le Kt4 4 umnaie du fnyardi contenant une n ^ n t a i n e de’ francs! de q n d boired sa santé pendant plusieurs semaines. Il parait que l’histoire arrivée A ce nou veau Samson n’aura pas d’autres suites. Teilequ’eileost, onen parlera longtemps dans la commune de... Cherdiezl 11 £ A boiaiié» a n té lép h o n e» N ou donnons la liste des nouveaux abonnés au téléphona pour l’arrandissament de Seniis i Baron (réseau nouveau). — MM. Dubonnet (Marins) ; Gautrelet (Charles), docteur en médecine; Gibert (Armand), agricul teur; TerbyswVital, cnltivataur. Béthisy-Saint-Pierre. — M. Resibois (André), docteur en médecine. Brasseuse (réseau nonvean). — M. Deveuge (Paul), agricultear-distillatenr. Chantilly. — MM. Belosse (Arsène), boucher, rue de Paris, 4i ; BregUe (prince François de), propriétaire, route de Lamer- C O im R ip i F A IT S L O C A U X i r t â i m i z JüNiriisiÉ6il êt SiiliiA U é fB iir-|U R -T H E R A Itt Nos stgpéiàrs-ponipiers. J* êi» sapenrs-pomniers * pris part dimanche doraier au festival organisé par4a uinnicigalitAdedloiiy, avec le reneoiN de rHarObnie m nyâpale, de Xlds .. — Après un défQé dans les rues de la ville, un vin d’honneur a été offert aux compagnies qui ont ensuite manœnvré sur la place. La distribution des récompenses n lieu A cinq henres. BETHIBY-SAINT-ffiARTlN L a fê te patronale. H y a lengtemps que la fête patronale if tv u té lé a û s i nfinée quê cette Année, et c’est sortant le second dimanche et le deuxièine lundi que l’entrain a été le plus grand. Les forains ent quitté le village satisftits des recettes. ^ second lundi, les jeunes gens ont tiré l’oie. Cé peudant qn’ua-groupe d’IUBunes en tirait une autre. Chaque ip ir lé bal était très firéquenté, et le dernier jour nos jeunes gens ne pa raissaient pas plus fatigtiés qne le premier. Les jeux d’arc ont reçu la visite d’ar chers des environs venant prendre part aux prix. Nous avens entendu plus d’une personne manifester l'espéruce qne la fanfare se rait reconstitués pour l'année prochaine. Nons le souhaitons vivement; nne somété musicale ne pourrait qu’augmenter l’en train dé la fête. bien, place Hospice-de-Gondé. Crtil. — MM. Aury-Pauquet, proprié taire, rue Heari-Panquet; Maiartic(H. de), représentant de la Compagnie d’Anzin, rue de la Concession, 45; Région (Albert), café hOtel, avenue de la Gare, 9. Dttvy (réseau nouveau). — MM. Billet CEdmond), cnssiculteur, route de Seniis; Floqnet frères et C‘*, minotiers, route d’Or léans; Lemoine (Alfred), t^ricultenr à Basoches; Lemeioe (Charles), cultivateur; BETHISY-SAINT-PIERIIE Mantel (Henri), agricnlteu'. Accsdont d u travail. Erctttt. — M.< Serrin (Henri), proprié Le samedi 49, vers cinq heures du soir, taire. f M. Grain, travaillant chez M. Lequeux, in Ermenonville (réseau nonvean).— MM. dustriel, an Moulin de rHirondeile, a été Brunean (Henri-Lucien), bOtel de la Croixvictime d’nn accident consistant en la sec d’Or; Martin (Léon), agricultenr; Roostion de la phalangette dn pouce gauche. sean (veuve), travaux publics; ToUin M. le docteur Résibois a prescrit un re (Alfred), hôtelier. i), hOteli“ pos de vingt jours. Gowoitttx. — MM. Goldschmidt (Frédérié), chalet Picot; Saint frères, impression JRtsUrit des classu. sur tissus. Nanteuil-le-Haviouin (réseau nouvean), La rentrée des classes aux écoles com — M. Rudault (Emile), propriétaire. munales est fixée au vendre^ 2 octobre. Nogent-lei-7ierget (réseau nouveau). — CHAMBLY MM. Desnoyers frères, tubes sans sou A ccident dans u ne usine. dures, Laignevilie. Poet-Sainte-Miuence. — M. le marquis Un grave accident, an cours duquel plu de Luppé, château de Beaurepaire. sieurs ouvriers ont été blessés, s’est^rodnit cette semaine aux foiges de PersAn-BeauPrécy-tur-OUt. — M~*Yenéque, châ teau de Précy., mont. La toiture d’nn bâtiment s’est effondrée Sm lit. — M.' Sagny (Léon), rentier, rue tout A coup, ensevelissant sous les dé du Puits-Thiphaine, 47. combres un ouvrier nommé Dnvivier, ♦-------------An bruit causé par cet accident, les ou 'V e r s l a vriers accoururent et constatèrent que trois autres de leurs camarades avaient été a^ Les journaux de la Bourgogne signalent teints par les débris du tolL déjA l’arrivée des petits ramoneurs. Antre Tandisqn’on enlevait les blessés et qn’en s i^ e d’un hiver précoce : les marchands les traïuportait dans un local pour les pui d* marrons seront installés A Paris un ser, on se Buttait A l’onvngepenr d^ager mois plus tôt que d’habitude. le malheureux Dnvivier. Après trois quarts N’avoir pas en d’été et se voir menacés d’heure d’effOrts, l’ouvrier a pu être retiré. d’nn hiver prochain et rigoureux : récon Par suite d’un h u ard prondéntiel, il ne fortante perspective pour les pauvres gens 1 portait qne d u contusions sans gravité. H Est-ce que les fâcheux pronostics d’un avait été protégé par les matériaux qni, aa certain comte Ledocbowski, réputé comme moment de l’accident, s’étalent enche célèbre météorologiste, commenceraient A vêtrés les uns dans les autres e t. avaient se réaliserf Ce Ledocbowski, en effet, an formé sur lui une espèce de toit. nonce que le prochain hiver sera extrême Toussaint Thomerelle, âgé de 65 ans, ment rigoureux en Enrope et qu’il sera le père de quatre enfants, demeurant ACham plus froid qu’on ait subi depuis un siècle. pagne, atteint par Im débris de la toiture, En attendant que ces prédictions se réa avait été blessé si grièvement qu’on dut le lisent ou ne se réalisent pas, les hiron transporter en tonte hâte A l’hOpital de delles, cet gentilles messagères du prin Beanmont. LA, le docteur Meyer constau temps, font leurs préparatifs de départ qu’il avait une omoplate brisée, la mâ vers des cieux plus cléments que le notre ; choire fracturée, et portait sur le corps, A on les voit se rassembler sur nos maisons, la figure et aux mains de nombreuses brû notamment aux abords de notre vieille lures, provenant de la rupture d’nn tuyau cathédrale et sur les fils télégraphiques, de vapeur qni alimentait un mutean-piien ce qni donne l’aspect d'une page miuieale et avait été brisé par la riinte des matéA longue et double portée se détachant sur . riaux. lechilgris. Les deux autres blessés, Louis Ephrem Ce charmant oiseau, l’hirondelle, que la et Denis Fouquet, dcBuurant tous deux A mythologie dénomme : Progné, fille de Beanmont, rue Perrine, ont n ç n des con Pandion, soeur de ’ Philoméle (Te (le rossignol), tusions et de* blessures légères. et que par périphrase les poètes désignent Cet accident, prés de l atelier des marsons les qualificatifs de : messagère prin teaux-pilens, avait été provoqué par une tanière, agile, frileuse, lascive, etc., a profonde excavation creusée dans le sol rendu cependant assez de services A l’agri pour l’édification d’un autre marteau-pilon culture, cette année anssi, en poursuivant dans ce local, destiné Ala trempe des es un nombre immense d’insectes destruc sieux. teurs de nos céréales, pour nous joindre Si l’accident s’était produit nne heure aux agriculteurs et leur souhaiter un bon plus tard, il aurait occasionné une véri voyage vers la haute Egypte en vers des table catastrophe, cAr, A cette henre-lA, climats plus doux. vers midi, il se produit un va-et-vient Les chaumières ou les palais de la Théb sïle les attendent. considérable d’ouvriers. Pour nous, c’est la mauvaise saison qni C HA N T I L L Y nous tus revient, c'est l’auteinne avec son cor tège de brumes attristantes qui s’avance A Le dopping. grands pas... On annonce que le comité de la Société d’encouragement se réunira prochainement ponr examiner la question du dopping et E t a t «riwU d e Semlfai arrêter les dispositions Aprendre Ace sujet. du 49 an 26 septembre 4903. Les commissaires de la Société ont chargé Naittaïuet. nne commission de vétérinaires de procé 17. Boyeaval (Gsorgstts-Chirlotte), ru* Salntder Aune enquête approfondie sur le dop Gülss. ping, tant an point de vue de ses effets 21. Maniny (Huie-Philomèn*-Antoln*tt*-Joséimmédiats qu’au point de vue de son in phise). Al’Hôpital. fluence sur la reproduction dn cheval de 25. Jtvtt (Louisa-Manxll*), AVUlsmétrie. pur sang. Déeis. Le dopping consiste, en principe, dans 18. Fycardon (Gastivs-Léon), 9 mois, ru* d*s l’administration d’un remède destiné A Vigoês, 2. parer A quelque insuffisance passagère on 18. Brscqnamond (AEdr4*-C'ém*ntine). 11m.. chronique de l’organisme. ra* Yi*i:i*-da-Ptfis, 38. Il n’y a guère Ablâmer l’emploi du dop20. Hsguigny (Domitien-Lonis), débitint, 39 ping quand il s’agit de traiter des chevaux u s , rn* dn Fubou'g-Samt-Hartin. 16. malades ; mais, ce qne les commissaires de 21. Frèr* (Rogar-Hanrie* ïosepb), 7 ssmaiUM, la Société d’encouragement ont constaté re*Ÿieill*-d-" ’ -d^-Ptfis, 42. ’ 22 . G i^u (Mari*.Jtann*), sœir Jourdain, avec bien d’autres, c'est que le dopping 41 u s , plac* Silat-Haurie*. 3. tend, de plus en plus, A être employé ponr 22. Bonillut (aos*), venv* Bmx*U*, rntièr*, donner A des chevaux sains une force mo 72 u s ru* Ballon, 28. mentanée, une vigueur éphémère, qui les 25. Vilcot (Virglaie-Aarëlle), v*nva Ltdne, rend capables, pour une fais ou denx, 75 ans. rntiére, rue du Honlia-Saintd’exploits extraordinaires, mais qu’en fin Rienl, 24. de compte, il les transforme en véritables Publications de Mariages. malades, corrompt et empoisonne lenr 20. Entr* H.Dahamal (Manrica-Adolpht), marésang, et les rend inaptes Ala reproduction. ohal d«s logis aa 2* hussards, ASeniis, Gu conçoit que, ponr une Société dont *t damoisali* AUt*rt(Juli*niie-Cbarlott*), le but est l’amélioration de la race cheva r*pus*nse. damenrant ASsnlis. line, l’emploi systématique du dopping est 20. EntroH. Ilrivièr*(Loiii*-G*otg*i-Alixudre), inacceptable. agratd’*ssnrue*s,dwi*iirut A Snüs, et demolsall* Dischamps (Lasi*-Aliii*), sans profasaion, d*m«nrut A GkinlillT. Les courses. 20 Enti* H. Guillot (Rané-Eadl*). ntr«pr*Les courses d’octobre auront lien le di neur d* peinmr*, d a m s D r u t ASeilis, et manche 48 (Hindicap Limité), le m a i^ 20, damoisalla Pottiaz (aélAna-Léa-KImlrele jeudi 22 (prix de Condé), et le di Lyd a),sans profession, damaurui ACrell. manche 25. Mariages. 23. Entre lemair* (Lucien), commis des p*nt* Depuis le 4" septembre, nn omnibus et ehiusiées,-demeurant A Clermont, et assure la correspondance pour Lamorlaye, damoisalle Hessagsr (Marie-Thérése-Geavec l’agrément de la Compagnie dn Nord neviAve), modiu*. demeurant A Stnlis. (en date du 23 septembre). La eorresponEitr* Fotil (Joseph Lfen-Désirë), merédance était assurée autrefois par GrrT-Iaehil-ferrut, et dmoiseli* Mention (HoVille-Coye. ' norine-Hinha), eeutnrière, to u deux demeurant ASenlls. A rrestation. Nous engageons nos lecteurs Alire l’avis Lo nommé Dopais (Victor), se disant des G ran d e M agaaina du P rin ta m p a macouvrier, mais en réalité braconoier, A dd P a rla que sons publions amtAonéSces, é,é arrêté pour cestrainte par corpi, L ’O I f f l C m È S r-L M É L lO les œuvres dont se composait l’Exposition. (Uponi seulement que la moyenne a M I v # tbÎÉ:^saiiSfidt«nte d « u las différentes^itectioBi, et m le jury, tout « i se |io|trauit résirvé dans ratlributien des médailles, a été, au contraire, plutôt large d û s celle d it mentions. Pour la cl^Ure, la Section musicale du Gerële avait organisé uu fœt joli concert; qid a été exécuté dans la cour de l’Ecole é t lort s q ip la u tt^ un publie choisi et que l)>n peut évaluer, sans aucune exagéra tion, A quatre cents personnes. La veille avait eu lieu, au Théâtre, nne cenférence avec projections, fûte par M. Bsnoist Lévy, président de la Société po pulaire des Baaux-Arts, de Paris. La soi rée était complétée par l’audition de quel ques morceaux de graphophone .Cahit, de cuansonnettes cormqnes, par M; L.; du due des Cauchois de l’Gnele Cilistin, par M. C. et U”* H.; de Badinage sur la glace, duo chanté et dansé par H. L. et MU* R. 'l'ous, conférencier, graphophone, ar tistes et orchestre ont obtenu un véritable Succès devant une salle bien composée, mais dans laquelle il y avait trop do vides. Le Cercle artistique s’efforce et réussit A intéresser ses nonibreux membres hono raires. D’après les renseignements que nous avons pu obtenir sur son fonctionne ment, il ne poursuit qu’un but, celui de développer le goût de l’Art dans toutes les classes de la société; son Comité d’organi sation est composé de personnes apparte nant Atoutes les opinions sans distmction, et il semblerait, dans ces conditions, qu’il ne devrait rencontrer que de la sympathie et de l’encouragement. Nons savons cepen dant qu’il n’en est pas ainsi et qu’il trouve auprès de certain^ penonnes une opposi tion d’autant plus regrettable qu’elle n’est aucunement justifiée. ' Nous ne voulons pas insister sur un pomt anssi délicat; contentons-nous d’ex primer l’espoir de voir ces dissentiments disparaître, car le goût de l’Art est l ’apa nage de tous. l^sadli Mwg ÜIAÿ-'AiVtA' Jitutep'(tepnis six ans, ^ ~ --..,-.-:4 8 9 7 j M. LebrnBi'qniianait d*^l**|i^«Rrésno;^ d ^ t pricédé de fitrép tM o u A M lui valaient les néecis de ses I ’^ b e ri-e cê qu’il était A ^ B c ^ F f i i M y el^ce«qtf’U ièrà ACires-IesMello, un 'éducateur consciencieux et plaire, nn'h4lffin»;ÎAstif;;dé^dié e t tSn.^urs ,pret A r a m service A ses conciteyens. ^ . Nous n^entreprendrons pas de donner Yci'lt liste des si&ès qu’il axem porâsfendant son trop court passage parmi nous, . ^ eeawsdt. trqp. lœig. ûtons seulement les premières places ira’il a obtenues aux nemerein concours d horticulture, les con' férences pupulafres suivies si assidûment ;pat^..la,population,'l’lmpulsien qu’il a: su donner au patronage scolaire, les nom breuses excursions qu’ii a fermées et diri gées avec tant de tact ; ce sent autant de œrlas A notre reconnaissance. Nous sommes persuadés que la pepulatien.de Clires-tes-Mello saura sq^précier A leur, juste valeur les nobles qualités du maître dévoué qui a fOrmé et dévdoppé l’intelligence de nos enfants pendant six années et, dut sa modestie en souffrir, nous sommes heureux de lui dire ici qu’U em porte avec lui l’estime et la reconnaissance de tons ceux qui l'ont approché. Un Sautriawe. CREIL Coneert de VEarm onie Creilloise. Le dimanche 27 septembre, Atrois heures et demie, sur la pelouse de la Cour du Château, l’Hisrmom* Creilloise, sous la direétien de M. Duvillier, donnera un nmcert doût voici le prognmime ; L Par le flâne droit, allegro. H. Bbesles. 2. Au Moulin, da E. Gillet... . L. Haieue. 3. Bediel de Coppelia.............. Léo Diubxs. 4. Bnimil«,poiktponrplsteii. 0. Bautobt. 6. PotteitPeysmiOm etttn, S e n t. LAMORUYE ■ ** scptmUbre m s. Ou nous écrit: Au soi-dism t vrai père de famille de Lamorlaye. ^C’est vous faire trop d’heaueur qnsM répondre Avos articles. Mais puisque vem avez voulu envrir le feu, en a ll^ ja û t dm mneitions fausses au sujet d’une p r o tê t tira concernant le d ^ a rt des u œ m dt l’asile de Lamorlaye, n'étant pas du tm d accord avec vous Ace sujet, quoique von, disiez; je ne veux pas éviter, comme vogi i le dites, de prouver la fausseté de tontm vos assertions mensongères, puisque ' signe mon article en toutes lettres. Et si •, \ ne vous dis rien qui vaille, que me din donc votre façon d’agir T Le devoir d m vrai père de famille est d’étre nn hemmj ' avant tout. Je constate que jusqu’Aun cer. tain point vous êtes l’un, mais vous n’êtm pas l’autre. Mon habitude n’est pas de four, rager ni de me servir de pommade, i:ei i procédés vous conviennent, vous ne h niettz pas. Puisque dans le cas suivant, vous dites être d’accord avec moi en disaip i qne le Conseil mnuicipai a Asa léte du hommes résolus A faire leur devoir < roa est bien forcé d’étre honnête », comme !• dit la chanson, et comme cette pommade sa vous dit rien qni vaille, je vous la retourne Puisque vous contestez l’existence de ci groupe de conseillers municipaux, soi-di. sant signateires, tout en disant qu’il ne Vous dit rien qui vaille, je tiens Avous h présenter aujourd’hui, ot par ce moyea détruitre tout ce que vous avez avancé de contraire Ala vérité. » Et avec tout le mépris qui convient en pareil cas pour ceux qui se dérobent, nou signons : > i G. RjHBEBTj TaBBIF. P a t im . Ca s s b . P atat. G. Bbaibant. Dsubbbgue. j . Dbsngtbixis, h . Moba. m o n t a t a ir e Louise M ichel à M ontataire. . Carnet de mariage. Une réunion, organisée par Louise Mi. 6. £* FloreMin, pu redoublé. 6. Aluib. Mercredi dernier, en l’église Saint-Jac chel et le citoyen Girault, a eu lieu lundi ques, de Compiégne, a été célébré au misoir, A Montataire, salle Noël. uen d’une assistance élégante et choisie le Un cantonnier écrasé. Clémence-Lonise Michel est née ATrovea nmriage de M. Maurice Patry, petit-fils de le 20 avril 4833. Elle a par conséquent plu Mardi, vOrs cinq heures du soir, M. Claux M. et M » Jacquin, de Crépy-en-Valois, de 70 ans. Insiitntrice aux Batignolles, eUi (Antoine-Hippelyte), cantonnier, travail avec MU* Briet, de Compiéipie. s’occupa de politique Ala fin de l’Empin, lait sur la route de Liancourt ACreil, lors L’église était trop petite pour contenir la Eu 1874, lors des événements du 48 mars, qu’il vit venir deux voitures de déménage foule sympathique venue exprimer ses elle prit un costume de garde national cl ment. Des personnes qni se trouvaient A vœux aux jeunes époux. une carabine et alla faire le coup de feg. I proximité diéclarent qn'en apercevant ces Au graduel, M. Briet, frère de la mariée, Pendant la Commune, elle présida li voitmes; le père Claux, comme en l’appe et nn des plus brillants élèves dn profes cliffi de la Révolution tenu dans l’églisi 1 lait, rangea sa breuétto sur 1a droite et seur Desloges, a interprété d’une façon Saint-Bernard et prononça des disconn vint se poster sur le trottoir. magistrale la cavatine de Raff. violents dans un grand nombre de réunioni, j H attendait en lieu sûr, lorsqu’il cons A l’offertoire, M " Lefévre-Raines s’est tata que les conducteurs ne serraient pas fait entendre dans l’Ave Maria de SaintAParis, elle fut arrêtée. Elle fut tr«dtili leur gauriie, probablement parce qn ils Saéns, inteiprété magistralement. devant un Conseil de guerre et condaumit I n’avusnt pas aperçu la brouette. A l’élévatien, le professeur Desloges et Ala déportation dans une enceinte fortifiia I Que fait M. Claux : il revient vers sa M. Briet, ont exécuté un fnyment de la Devant ses juges, elle déclara avoir par-1 brouette pour l’enlever du' chemin où elle sérénade de Reber, pour violon, violon ticipé Al’incendie de Paris et avoir eu le I risque d’étre mise en miettes. celle et orgue. dessein de tuer M. Thiers. i (J’ést alors que le cantonnier fut culbuté Enfin, A la communion, M. Briet a de La loi d'amnistie de 4880 lui permit de I par la première voiture qhl l’écrasa, sans nouveau charmé l’assistance par l’exéenquitter Nouméa et de revenir en France. I que le conducteitr se soit aperçu de rien. tion impeccable de la Méditation de Thait. Elle continua ses conférences révolutiei-1 A sept'heures, M. Claux expirait sans ' déf...................... naires. I Le défilé A la sacristie a duré fort long avoir repris connaissance. temps. Le 9 mars 4883, Louise Michel se mil i l Lesgendarinos de la brigade de Lian Le mariage civil avait été célébré en la tête d’un attrouppement qui partant de| court, de passage A Monchy, ont constaté i’esplanade des Invalides remonta le boi* j l’acddent e t pris le nom du conducteur. ' l’hOtel de ville de Compiégne par M. Delondre, premier adjoint, lequel après les levard Saint-Germain en pfilant les bei. j Cest n nommé Fenthieux, au service d’un p formalités l ^ l e s a, dans une charmante langeries. | entreiaeneur de transports de Clerment. Il allocution, adressé ses vœux de bonheur Elle fut condaumée pour ce fait, par lej effectuait le déménagement de M. Brngeaux jeunes éponx. Cour d’assises de la Seine, Asix ans deri-1 vin, instituteur, quiqnittait Liancourt pour Les témoins étaient, pour le marié : clnsion. Elle fut internée A Clermontd| Nanteuii, MU. Beaudeqnin-Martinet, agricultenr A grâciée en 4886. Gn dut l’expulser de a l Lé père Claux était un excellant servi Béthisy-Saipt^Pierre, et René Dnbuisson, prison dont elle ne voulait point sortir. | teur, oiénveillant A tous, acharné Ala be de Compiégne, ses amis; ponr la mariée : En juin 4886, de nouvelles excitation u j sogne. H comptait 38 années de services et M »* Raunet, sa tanté, et M. Cauchemé, meurtre lui valurent une condanmatioiil avait reçu cette année la médaille d’hon inspecteur des bâtimente, A Ckimpiégne. quatre mois de prison. neur des bons serviteurs. U était âgé de Lomse Michel fut aussi une des oigiii-| ■ effu 70 ans. satrices des premières manifestations di| Un gibier p eu ordinaire. premier mai. I M ort subite. Il faisait bon chasser dimanche der Tel est le passé de la femme qui estreun I Dimanche soir, comme le train venant nier... Un Nemrod crépynois, flanqué da lundi se faire entendre A Montataire. I de Paris qui arrive ACreil A6 h. 47 entrait Cette estimable personne n’est pas iiiei j porte-carnier et dnrabaitenr traditionnels, eû gare, un voyageur qui était indisposé et parcourait nos plaines dans le courant de dangereuse et la révolutionnaire de jsdii,! avait en une crise de nerfs en route mou celle dont le nom était un éponTanttii,| l’après-midi, quand tout Acoup il aperçoit rait subitement dans un compartiment de nn superbe iièvre au giw qui, sous l’œil n’est plus anjourd’hui qu’une lamenttlÉ| 3* classe. Ce voyageur, M. Dupire (Arthur), ruine. I avide dn chasseur, s’immobilise et tente de âgé dé 30 ans, célibataire, habitant Leers Les pins purs d’entre les purs ne rhivj se dissimuler... Il n'en a pas le temps... (Nord), allait sur Djuai. sirent point As’empêcher de rire lorigalï I pan 1 pan ! et l’animal resté cloué sur virent s’avancer la fameuse Louise, esul place. L’heureux chasseur s'empresse au Un sieur X., renyoyé depnis peu de la petite bonne femme, au dos rondrau clid| près de lui, l’attrape par les oreilles pour fonderie Véry, avait juré de se venger de briinland, qni arriva en trottinant et a l le mettre dans son carnier... C’est alors son renvoi. Hier matin mardi, il entra tremblottant dans la salle Noël. qu’il s’aperçoit de la bonne farce qu’on lui dans l’atelier et menaça de tout briser. Mis Le citoyen Girault l’accompagnait. a jouée : le,liévre présumé n’est antre qu’un Ala porte, il revint l’aprés-midi vers denx La c vierge ronge > et le camarade ( gros lapin de chOu, qUe ses amis le portehenres étant ivre, mais cette fois il ne put raultont, de façon congrue, ditlearfiiti cacnier et le rabatteur ont attaché A nn entrer. Alors, il brisa A coups de poing ies l'abominable bourgeoisie, A l’infame riUpiquet... Gn rit encore de l’aventure dans vitres de l’atelier, dont les fenêtres don gion et Ala misérable armée. le quartier de la gare! nent sur le quai d’Aval ; naturellement, il L’une et l’autre, A bouche que veai-tii|| se coupa une veine au poignet avec les ont mangé du curé et dévoré au soldat I éclats de verre. E ta t civ il du iO au S 4 septembre. La mère Michel — pardon, la citojmal Conduit immédiatement chez le docteur Louise Michel, — a d’abord pris la panbl Roustan fils, il fut pansé et reconduit A NaUsanets. — 22 : Beanmoat Oscir-IAoDe sa conférence, il n’y a pas graBd’cMl nard-Kiéber,A Mermont. son domicile. Aretenir. Cette bonne vimlle a déchnil Vleis. — 11 : Qaintird Madeleine-Disiréecontre * tons les bons dieux > et a iB T ilil Gaorgette, 6 semaines, rue Faldberbe. — 24 ■ Accident. les vrais amis de la liberté A détrnin i>| Bisse Eimond-Edonanl, 8 ans. Lundi dernier, un cheval attelé Aun cab prepriété en respectant toutefois loi tMi Publieations de mariages. — (Néant.) jaune appartenant AM. Boncompagne, de humaines. I Mariaget. — 12 ; Cortat Binjamia-JtanVerneuil, prit peur au passage d’une auto Après elle, le citoyen Girault pritlj Baptistt-Alexindre, graveur, at aemeisella Garmobile rue de Montataire, entre les rues parole. C’est, nons a-t-on dit, unaBcMI notal Louise, ehipahere, tous danx ACripj, Roset et dn Temple, et tomba, brisant un typo ; eu ce cas, il aurait mieux fait d«M| 12 : Lefèvre Léon, chtpeliar, at damelMlle brancard et se dételant. Se relevant, l’ani jamais quitter la casse. C’est un ontnt| Laœaire Lonise-Angèle, cbapahére, tons deux mal partit Atoute vitesse, mais il fut arrêté ACrépy. tonitruant, mais bien pauvre d’idées. parM. Eugène Carpentier, aidé de MM. 15 : Le Goff Pierre-Vietor, employé de che A. grand renfort de mots ronflanti, • min de far A YiUers Sdnt-Penl, et demoiselle Morel et Marcy, évitant ainsi les accidents nous conta comment l’homme desœsWl Sellier Luoie-Augustine, su s profession A qui eussent pn se produire. du singe ; nons avouons ne pas tavoirel Crépy. l i a pouvait ---------- avoir de commun stn I* que cela question sociale. Procès-verbauœ'. ERCUIS D’ailleurs, la conférence de ce brave >4 Louis Langlais, de Paris, s’est vu dres Vols. Girault roula toute entière sur dsttMj ser contravention, dimanche dernier, pour ventes de ce genre. Quant A la qaeiliif Pendant la moisson, plusieurs vols de défaut de plaque de contiOle Asa bicyclette. lAetAléA* A«ld AAMMVMλ! sur le 1 teiritoiro— récoltes ont AOA été commis ouvrière elle-même, Girault eublia m d’Ercuis. gneusement d’en parler. C’est nne fa(e>* Procès-verbal a été dressé contre Tansimplifier les choies. . M. Lecomte (Charles-Félix), ouvrier tost (Paul), d’Haveluy (Somme), qui cir est .«••auM attribué une Par exemple, on s’amusa fort lorspj ;d’usine A Ercuis, s’en ww auv *U S« culait, le 47 septembre, sur une bicyclette nous dépeignit sons les pluinoires coair bonne part, notamment en avoine. Hâtonsnon munie de plaque. l’inquisiiion, que, d’aprés lai, les joiâ nous de dire que la paille a servi d’acompte ventèrent et les sombres mystères dsl ponr payer une dette de famille et que La veuve D., dont le cbien divaghaitle 5 francs avaient été, parait-il, versés au liacce du sabre et du goupillon Ai’éÿti* 49 septembre sans colliwta été l’objet d’un bureau de bienfaisance de la commune. de la pierre polie. DéjA I procès-verbal pour ce fait.. Dans quelle pensée f Mais nous croyons La partie la plus importante da diuw du citoyen Girault, fut celle qui avait m savoir que dame Thémisnes’accœnme de pas C R E PY -E N -V A L 91B de cas arrangements et qne l’affaire sera A l’armée. Il parait qne cette insiitoti^ L 'E aposiiion dit C erck artistique. snrannée et que le devoir des so ld au ^ iroehainement appelée devant le tribunal Le Cercle artistique de Ciépy-en-Valois le Seniis. de déserter én masse si la désertion M a déluré dimaueha sa troisième Exposi Avis aux amateurs I raie était possible. Il parait aussi ç o ^ tion des Beaux-Arts. soldats sont des assassins qni ont été i ^ Comme les années précédentes, elle a tyriser les pauvres Malgaches et les GOUVIEUX obtenu, auprès, des personnes qui s’inté tunés Chinois. C’est horrible évidr' * Les chevaux de courses. ressent réellement au dévèloppement de mais M. Girault oublie que les M . l’art sous ses différentes formes, le succès et les Chinois ont 'lœssi quelques Herminie et Mimi Pinson sont arrivées qu’elle méritait. au repos au haras de la chaussée. méfaits sur la conscience et qû, Les salles de peinture, dessin, sculp effroyables massacres qu’ils ont ^ ture, arts décoratif et rétrospectif, photonous n’auriims jamais eu besoin d iVORS grqihie, avaient été décorées avec beau venir. . Voici les résultato du Prix A l’arc rendu coup de goût, et les massifs de fleurs et de Le conférencier appuya sa thèse par la Compagnie divers : plantes vertes, très habilement disposés, lecture de certains passages du Mes»" 1. Gotord-Vto, Sainte-Agahe-Crépy. 7‘5 produisaient le meilleur eflet. Soldat dont il est uu des auteurs. 2. Carrier Félix, Ivors......................... lo La salle des travaux de dames péchitit Gn ne peut rien imagiaer de pIM 8. Oodert-Télo, Siriate-Aiûi'the-Crépy.' 11 7 un peu par la déceration, surtout lorsfrançais et de plus i^ eb la. 4. Noiret, Vamennes .............. la p ’cn venait de visiter les trois précé 5 Bridoux. VUlers-Couéréts................. J2 5 < La crosse en l’air •; tel est le dentes. Teutefeis, cette légère eritkfiM est s.A.giés,'Petfr. ......................... 18 du soldat, d’^ r é s leeiim w Ginultatténuée par ce fait que toute l’attention 7. Herder HÔri, Ivors......................... 17 Enfin, la conféranoe se tomiie des visiteun devait être concentrée sur les 8. Moehot A., Cuverguon .............. 19 8 que le ciÿyen G fiû lt eut nlué l’*>‘ 9. Pœet EâdIé,‘BoBnoBue. 20 œuvres exposées dans de* vitrines, et qu’il le doux régime qu’il nous promet, 10 MoquaiEog*iie,Ivori;,... 21 était inutile, par suite, de garnir les mndauBlaméme tonnèAnLaiies et te 11. Ctrrter Oc'ave, C r é p y . 219 rai'les d'une décoration quelconqiu, qui Minerand. 12- Paa^ier, Crépy. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21 n ’rût servi eu rien à mettre en valeur les I l»-6«é*r4i Gn évalue A 600 penenies 1* «hiata ---------------Pag»ol*t............................ 818 desatiiiiante; l’è n ^ é ta iiA ié e iT0«tS«T0BipMl'intWli9Bd'iBimêrff 1 i l E8 AtaportiiOA d à tr ilM i» * F: S 40 1 41 1 42 4 43 3 44 6 45 6 « 7 47 5 48 6 «10 Î9 9 51 C E OÔCQEtlU]^ t "Æi.i.j.J.v , jnlT T • n i l a r t . aies; qnedQ lalMHmemnt iMofatte^tetfaet' t p m ge f tr â i a v a u r a r .. M Bw eN t ibre ; Pwnet M e S ri^ ig ^ ie et RedeiCam "irie-PauUna.'1 . - » Téroose ^élfired et ’ XHÉabcêi ' *i«ij»b;*--i--a‘’«éût' lAcetne Ernest Ctrller PanlIat * S^aeût littMHe 17 sépuabn : Ffllcf Gtoni«-Aitei et ÀvtiB E m B é i& lIifiïS a p r- ÉEi|lUY-EN-TilELLE Nous âëpninoiü qtm Krieger, de Saint-Grépin-Ilieavfilers, vient- d’étre aceeptéeommegarde cbanqiétredélfenillyen Tbelie. . Nous pensons nue M. K ri^ w , titulaire d a médaillM mlUtaUe, de I b ^ a s e a r et plusieurs ahtresi se mMtberâ âüissi Bon . g a r d e ^ ’il a été vmlltmt sbtdat. en ehassw lea déteatevs 8 ‘^si Ia4ra»m. <s o i^ muMi, , de m’r n n jtt, m ______ Je me suis donpfdsiié à jOefMi Itla s g ( ^ m 'a i _ nRMetponzc - " " M e tou i^ iflti If bli^ sonbauqu’OU t le ' ^1 fixe, et it si maL Mardi’ lans nn,délit fibations ■r lesinit ’ib M ., dhtpêne. ' iboontiBÜ éiièté sq'’d U p Q k r ____ marCiknt e tjk ir h r è j^ dn poit'deiTOise, Boùgû^ IH én en tti p n k A à n s Ikvwita i^ C S ra k ^ k je ta a m u en dbaiti an -e m ô rtw : < ’T u m y a ll a auui », ét il Prairifis et Scories. S’U est; ujiftcititare suF laqnelk tout le - . mon^erate d'aecmd pouc-vtmkc.^aai(n merveflkUu d u S c a ^ c’a t Mm ceüe-, des prairks. L a efféis u n t d’a ^ en rs Càmt$tlonnttiKt9 .On voitl u mravaiSM planta et notamn u B tl a h a b u a%ra. disparoltro; , On 'TOitksfépiminênsa (iréfléjminetk, t ce sujet, qoeiqa^ w sie; ek .) H m eloppen am m e par enI éviter, eoowâ'j; inametitéBt: tnssrais bien.«nbmassé ni Fnh t^TMk|L-iik.'r«BiaBnt. ensenibk, ..chankment, l i iniBm od; il nly; en avait nsnder un repu. Cnq m â id la fanssettsieT sans se faire dé nù L I b se rékvO eùt et ijamab eÉ,'kuliéemttiB si oneiuvait semé ; t i f e ^ ’sarm o n % m ÿ is,":itrM â^ L E S H C flU tR Iin E S -Onféres, p n _ __ ■krehèreatM cineqd M qnnfeUant. Quelf - . On voit'— déni lé u s d a 'p â in r a '— le I tontes lettres. & Peu de p e m n n a it çpiéHe Ir b k lï? » n t M ^ ^ e ^ a ^ v th f'ie v ^ ^ bétail: s r k n i r r t ^ a t r s sur k s parties qui J vaille, q n e a e infinnité coutitnent hém om dda, car POT|*L" n’obtisMÉt pas di répoea, goûte fort le raisonnedi(4-t’à è t r » ^ ! ^ t n n ’a ént. été ,seociéss, dékbsanf l'autre heiw i ’ag irr Le devoiÊ. c’a t une d a affections l a p lu râikaduM, la e u m m’eonfata *t je détiaraiS’an ripott' le p tt un: fainéant, prends nn pavé et jette-le ^ i? f/iia re h is te » de la broebire. moins savonréhsé; Be est d’étré niirliei. mais cbmme on n’aime p u à parler de ce pwsff etmettMs tja a ro o q c ^ aaraisnt venin.. -msd sn rk -m M k Bovin ne se le fit pu-Da'voit—.d M s k e u d » p rairia fauifaojéars le droit » dü-il « de supiate qne jnsqn’é na < qi£on ignore. genre, de nuffranca, même à sonmédedire d é ^ m s . M àifièhrilm i^iSI'iT^ppa' chabks— ks.animaux faire ràkliér set, îîiaelbâte qui mordre et faire dn t l’ail, mais vons aV jta ise a geas m sont pat aérsf^^pmti'iVoir çin,on satt beaneom moiw qa’U eittsk, justeétHeogirys.ioHba CoiBUimuae messa,-^ m aoga .av u -pkisir-et appétit, proflkr gi beeAaé'flS'l ont bit, o’ML-poûr' mla q a depais Qoelquas: un n é d k t M ^ ' ‘ntnde n’est p u de : tandb que son coiupagnen, sans pins s’oeaboMsiipéin^de jainouriiture dmiiiée ; iLam e s’sccagor les ebftteraz, brûler baqua fuis que js jo p le momat'propdcn;: }S l ' E l b e «le 'T irg fiiiet, qui k s guérit irvir de pominad% i semble c ip a de lUf, rontinuait sa ronk jpsqu’à Oh voit téÿours Ua quotité de k it vais fiire nn tonrau psrs pour Nurremuéru P5L"taerle* boniwois. me Tiennent, vois ac radiealemeU et s a u aucun' danger. On bile; ne Hw et ne Wsent rtw .lene ineonvéSenBs a v ittd t 'M chentin' k reê v e rra , augmenter, l’engraissement se faite p lu J dans M cas sniv n’a qu’à écrire, S, rue de k TàrtiHk, La Jeunesse Biatpndntsise f s n n sortie -' aMs pae w éansi^de’pr^odiMi e’eèt'Ànplaeémme le prouvait so t ék t quand il fut rapideinMt,Tacciy)issement d a jénnu se StiMPPriiaer... lesanatdhlsttes. lerd avec moi «_ Pftris, ^ n r loceroif 'franco ia brodinra anuuellé demain, fimancte. -■empenr le » r ^ l e r que je side t n i ü n "arêté. tam ioer p us vite : on a en nn mot d a l^eipal a i sa féte . explicative. On verra combiM il a t t ^ « «tistent- . , La ÿroménade j^ jfté d é n v ritu re anra Huogwis eàttoqj^ui^dusnh éiat comaaninuux p lu prèccC» et meilleurs ptodnc'lul ekil d» f » il4 s e p tm b r « . biire leur devoir < l’s de. su: débarrasser de k m akdk k plus l’itinéraire suivantTVi'annes, Botoi, Précy, Eoniaar;M qM.xouAvez omis dans Auae tMrs. knx è tn a p a conséquent’pM éneore pu sMut — yi ■ Sstlier Bolsad-logèas. dooehe »,‘tfest de dire qoe quand le garde I h i^ é ta », e e m ip pnible,. quand elle n’a t pis k p lu atmNeuilly-en-Théllê., Clumblj, P é m n , êtreintaïugé. Par.ço.Btre, ce^qne Ton ne voit pas, ce r^'lIsnries-Loiil». — 20: Diserstz ebampétreat arrivéaqnejeliii al 1 1 1 ^1 0 nme cette p o m m ^ i loureuse. Le flacon, 4 10, S O , franco,. Beaûmont. Envin a è té écroué à k maison d’arrêt sont ce'g maladies : rachitisme, ostéomak! Piocbil e Idfflood-Ticier. . le ia ré ^ m fille à travers la giille,nne perbe, je VMS la retoirai de Senlis. ' ' ORIiOT-VILEElIft ck, ostéockatie; qui sont la ciractéristique somMide hniatton m’a répondu : a quand elle _18 : Ws|B»rNi60lu „68 ans. —19: istez l’essteneé de.c étairehenvons,vowM?atHiezaevaieM m ». d a étibks od le békil a t nourri a v a un 'K b . chsrl'S-LoBli. 8J ans. — I l : DsNous avons' en le regret d’aniwnCer la rs mnnieipaaz; idiadj p o u A n to m o h f le m j A c à fd ^ , ^ I» aséme ptoaeè en foln.pànvre, d a u y s od l a pSluraga ne jffïotii's-FiaTde, 13 mois. — H : Dismort de K. BdmMd Cloaet, i g rlMilieiii è- ; melManf de l’eau, yéR ont en disant q n ll g ie fils, voyam-qw je m m» laiicfiLTUBE, ù i i ü n f i i sont jamais scoriés. Dupanché dénüeir ifeh neuf h é u ra du ^tft,ïJo n M . Ormey-Villers, décédé, eb son domitilê, à w lle, je tiM» à 1— -■ llçluia p u . me craeba-è la figuré a medtsant : j l | ( | v ettoususagesindtuàiib, Ce qui k it la grande efkadté d a no k a lM M, k s ^ p itth ^ îd ira o et RsbliectioM. — (Nésat). l’ige de 49 ans, H. Gfonét laisse do vifi bai, et par oe le camp, prieeniHi » er Im afim meoil r i a sur prairia c a t qu’elks y a^ssént M k u r de l ’éwle d a g a m n s dé v a b ^ , regrets dans sa famiOa et parmi ses nom* voiMt qne Je me retire, il k trU k de M ie nne vons avez aTanôî^ MORIENVAL d e ’» A s S ’^ w w n t . réalité par frais facteursdhimiqna: Tadde. desoÉidsdt à byrtcktk Tatfinne de 06mbreuxamis. : ' . -munsiSk ; - V . Bté. iS L a pluéconotitiqua, l a piègUé.' - _ 4" " phoqihaique. -la chaam e t'la maghétié,. oni le regret d’apprendre la mort Eïis je jm U s e«s ehos» d’où llla vieuent,' Avec s a aptituda de bon cnltivatear, Bépris qoi cen v io t edé j .plus silienciraz,.ne se C’a t là un motif important de leu' supéribcar on nonsvoaoalt iam is « k s anlNs, at je Le cyelbM ellaif doucement à causa de "eTBoalant DPsiré, de Grimancoart, dit la Prepà :ande Agridolt, Edmend-Cleuet i qtti te dérobait, i pourrai en contir bleu d’auâr» quand le mo déréglant jàmab, tonks rité sur l a autraEograisphosphatés; mab Tartimakn-squn. jMemMdt tat-roe à ce isirégedeOO ans., aimait aussi à c n ltiw son esprit. H’était ment Mra'ifena. piècuinterdisngeablu. il ne fautpw oitiiüw qne, tah'ÿs q u e la Snmoment-là, lorsqu un petit gamin, Marqsl olisëqaas ont été célébrées landi un lettré et un écrivain polémiste à s u Tabbiv. perphosphafeféont addes,lés Sccries soht Gimnet,£viat M h w B ta dàns^M machiné h eura. On aimait s a artiela’ bumoritf, i dix heoTM et demie, en l’église i Catalogue f> f deam de. Cassa. Couple arrêté. b is ia u a a .comme te lla , neutralkaDt et ganiin et C y ^ k roulèrent sur k ’tiq u a signés c;Jacques le Laboureur > et rienral. Usine à SAINT-DENIS (Seine), J. D is n o ià u jÉ l Passant à < la Gréviére », i Margny-Usrtiam seé.. , 1 a d ^ nattirelle d a larairia, y favorisent lolésBces à la famille. « Jacqua du Tàlois ». 33, boulevard Carnet. H. MOBA. : Il Compègue, le nommé J u la B r^ n > . .38 Releva aussilèt p a l a speckieurs de censidénibleménf k~ nitrification, c’a t- à Dans son rOfe de contradicteur, Clonét* IIûNTEUIL-LE^AUDOUIN M. Léon B u ii, senl concessiohnaire ans, manonvrier à Bury, fut rencohtié dire k ’& a tk n de l’azote de Tatniuphère, cetk scène, on cim skk qné l a blessuru cacbait de précieuses qualités que Ton ap - pour k DépartemMt dé l’Oise. votdredi par les gendarma a n x q ô ^ il MTAIRE .évitant k dépense d'un Engrais azoté. n’é ta k a p u très g ra v a ; seul k leune préciait votoMers malgré Ini; car il était C o n te il m u m e ip a L déskra avoir qnitté le 2 sqltembre UUygarçon se plaignait de- doukurs au nras, Ilhé'saO aft donc être quation pottr.ks foncièrement bon et meilleur qu’il nè le p à M o n ta ta irt. • -, icoaieil monicipal s’est réuni, jeudi 24, p rairia d’un Engrais phosphaté antre que Saint-Georga pour aUef.ft LaMotte-Brenu, kaU quelquaheuros isqra il n’y p u a b croyait lni4 nêihe. lisée par LooiMlllBy Jflienresda soir, Mras la présidence i Seiasona, et de l i iévbhir i Compègné i u Scories..Ce sont d’ailleurs les Sonnes sait presque plus. An cimetière, un diseonrs a été prononcé toit, a en b e i ' [n Grenier, maire. 9 B L IE T H C O S W E B C m pour T. chercher dn travail. M. Liorun avait m machine un peu Thomas m arque “ ETOILB ” qui se par H. Fleurant (Agricola), adressant à sa --tlle Noël. Ugrocés-Tsrbal de la dermére séance Hais nulle part il ne troava d’onvrage et fanuto .et dans u chute, u montre qui n n t kujours — dam l u expériencu et mémoire le'snpréme homimige. Kpié i l’unanimité, Uichel est née à T r , ^ MBisu SU vixsBiDi 16 s s m u u se livra à la mendiçité. Sur sa ronteil fit d a u la pratique — m ontréa l a p lu effia v a ité ^ ro |e té e i terre, s’était quMqne tsliits d’assutance médicale grataite i aparcoBséqoaUBli ORROUY connaissance de k femme Genty, blanchiscaca : c est à e lla qu’il faiit' s’a d ra s a , ce a stu n t heunt. Ooptée telle qn’elle mt présentée par ’s aoz Batigiûllai, r ” aeuse iV à n v u (Seine).. sont e lla qu’il faut exigà de son marchand F ête patronale. E m u s .,- Lu 100 kilM nsis, lits m on In ds l’Xoti liPréiident. Celle-ci avait quitté Paris en avrù der d’Engrais. E lla n n t d’ailleurs, afin d’évikr yssomp» lo/O pou k M bast-fiO/Osklsl Néerélogie. Bnuevin, notre nouvel instituteur, La fête patronale anra lien-le dimanche nier ponr venir faire k cneilletts d a pois k n k tromperk sur k qualité de k màr- ' logë,wtrsiM)t(ceudsdSkN}, le une indemnité de déménagement; Nous apprenons avec regret la mort de 4 ectobre prochain. dans divers endroits dont e lk ignore le cbàndiâé, vM dttésàvaks garantia snivan4XC00U. - i ’lMstolitrs90>,iea lsg<,saàM*i„,eil ini accorde là somme de 50 fr. M: Hénoque, décédé à P o is à Têge ’de’ Nous en donnerons le programme dans nota. ^ t a : tittage, pureté, fineme de mouture (au COUALDI tCoDiÀ nomme membre de la comc in q n a n te ^ t ans, d a suitad'une longue notre prochain numéro. Dnrant tout ce temps, elle fit la connakm oiu 75 O/O-pusant à travers les mailles cosu doi Kolaire, en remplacement de M. corat et domranuse m akdk. sance d’un individu avec lequel e lk vécut du tamis h< > 400) et solubilité (au moins PONT-SAINTE-IIAXENCE taiMi nu. u iH i n u . aUiin» w nu. r décédé, U. Belorme ; de la commisM, B liieqU fr-D éae)^ était éUdiii m a maritalement, igùs c < w u e .c ^ -ti k Bal-; oufim, 75 0/0 de Tadde phosphorique tokl soluble firJ 6 ÉtM da dmetiére et de la commiuioi des chand'beum iaa Y srtktkdépub de nomUn p o in t à^histoire U tU rairt. Ccer,,. 47.76 47.75 46.75 4^76 S îj» gtAO traitait, d ie lé quitta pour retenraer àj -danuleréaetif W agna, en réalité généra b ren sa annéu ; il jouissait de Testimë èt i, M. Delépine en remplacement de Eroob.. 47.74 47,76 46.76 46.60 86.60 86... Un d a lateurs de la G uette de Creil P^iis, et ^ e m in faisant, elle xw onitra lement 80 à 90 0/0)7^ de k sympathie de k u s, c’est dire k péni llKh. 48.60 48.60 46.76 46.75 84.'» 84'M envoie à notre confrère l a vers solvants, Breton avec-kquel, de complicité, elk ^ S c o r ie s T h o m a s m a r q u e -Nov..d.^ iCnieil nomme M. Kagdelain comme ble impression que ta m a t a produik èprsuL 60.26 50... 48.,, 46.76 86... 86... . qn’il pense étre de M. Berdin ; m endken ronk, au cbétau du Fràncport. (( E T O IL E ” s’emploieront k première naire de la Caisse d’Spargne de parmi kpoimkUon. .M fttusux: anIbn ds uv.-dés.,U n2 der^ Aprèa iutarrogatdre, ilsé h t prb k che annéa et sur im w airks h u ttid a . à raison T O ^ T AUX ENFANTS en remplacement de H." Dél;. L a é n è q u a ont Ou l i n m acredi darmin de k maison d’arrét de Goapièipe. de 4eOO M lm’^à î ’h n tare; on pourra ta wMfi^praiD^ne Je bois à tous, en&uits, je bois à vous les gossesp iCeiueil décide que lâchasse de Baron n i a 88 au ran t, en Téglbe de Yaberie, au ColkftgOftlma. S |lrtam g loord. Q.a’üs sont gentils avec leurs petits minois rosses coatenter e u n ik d’une dose ànohelk de irmant à la commune de Nantenil milieu de parenb, d’a i ^ et de notabiuta Roses j ’anrais touIu, roses ne rim ait pas ; VËRRÉRIE , : 606 kilos.'Lk(tudage peut seafeiré non iDiie en adjndication le premier ventant de Verberte q ié dés' environs. j& rim e est u n tyran qui s’attache à mes pas). seuleinant à Taukmne, mais encore pMRixe. 0 les petits bébés, le nanan, la gougoutte, Bdanois d’octobre, c’est-à-dire le 2. Le deaii étttit ctôidnit nar MM. Lucien SCCXIS88' titragssuM um 80*tara. rtamt. 9 60 daut l’hiver (mkne s u k neige) et au Le bibi, le bobo, .le bonbon, la moumoutte Couieil procéile à l’élection de deux Hénoque et G. Létrtchet, n b et gendre du Mercredi matin, vers Mpt heures, d a " 9 75.. E t les doux mots d’enfants, le dada, le toutou, prinkmps. Haiehé eakis s u kssisrss. patentés pour établir la liste des défunt. ouvriers agricola an nrvice de. M. P étas, Yeux pas dodo, neunenU, ^ p a , maman, npunon*. onise Hichel «eaiitl an Tribunal de commerce de Ah I douce poésie et charme de l’enfance, L’inhumation a eu lieu au cimetière dé fabdèant de sucra à Port-Salut, u ren fiOCUBLAECrO Je Wis &TOUS, bébés de Pont^ainte'M azence. eœent qui parfaaf i ln;iout élns : HH. Thuillier, mécaniV a b o k dans k eavnu de fàmiUe. daient à leur travail, lonqn’avant d» s’ennotas C b â n g ç e m e n t d e D o m ic ile . Üides remonta le ' ,etSasset, épicier. Cetie découverte nous vaut la coinmaniNous plbons à Madame Hénoque, si crnm p r sur le pont de Terbeiie, ils enténik u ... M 80 26 80|4prsn.. 87 26 2725 1en pillant les . Ctmseil se forme ensuite en commisalklement épreuiétt dans Cette pénible cation raivante : , dirent d u gémissonénts dans k direction rrosh^ 28 80 26-80 j 4 A ^ » 60 f f 00 ideseaoi. Les prix sont ainsi Bxts: clrconttançq,. „ i ^ i qu’à s a enfanb n u dunalus qui sa trouva non loin de k b ^ < Monsieur le Rédacteur en chef, Uardié «»i™« s u ks tuera. ■’iiOl métrés cnbes, 0 fr. 50 le métré plns^ieéracandoléanca, de l’Obe, en face krmaisen de M. Bucquet. pnomtsniipiM.ONÉ, < Je lis dans la G uette de Qreil un S m w larnxàs digouiblM. ig 100 kB». , Ue 1014200 métrés cubes, 0 tr. 25, pèsheur. infonne k s fam illà que, à d a tu dn s m l’asiM (souhrdt tiO in ^ 6>»» | ge-{j to u t attriboé par celui qui en tiouva le V lU E R S ^ W U R T -fJlilU O U R a [sb é 300 mètres cuba, 0 IT. 20 et auL’on d’eux, le sieur Boitemps, demeu Mêturs préeétak) 68 60 à 60 a». 4" ockbre, s a Cours d’Education manuscrit tans signature, sur la place de 1 de 301, 0 fr. 15. Un for&it sera Obsèques, " rant à Verbale, m détacha dn groupe pour l’Egb'se, au Barde de Pont. Je me permets seront tnhsC irés rAEiEB m n i R P A U Ipoar les quantités supérieuta à 500 se rendre compte de k u u se de c a Mardi dem kr, ont eu lieu en Téglbe de me servir de votre atimabie jewnal RaimBfiMiDiiM B. - l e s M d s l f f l k i l a 2 , P M de C om pligne, A ^ENLIS. Scubes par an. plaint» et fut frappé d’herrenr. A mu parousklede k localité, au milieu d une pour pretater coêtré pareille nsertion. Mro, toikpsrdM, M anrM8t, ev a bsnitatios rxoBseil s’ajoome ensuite à samedi appel, s a camaradu acconntrent; ik dé afQaaio(.céli^dér8b k de parents, de nota^ éu eamioaaags, s s a a p k I ■ o r "100, ’’" an —>M—i ^ f Ces vers ne sauraient en aucnne façon p eu il, sept henres du matin, pour concouvrirent le corps d’un individu gisant >ut. biliiés de k Connhune ét d a environs, l a être de notre poète national. D’abord, ils ► ♦♦♦♦eeéVe e e e e e e e e e e e i ansti nne dot ort d’examiner l a conditious d’exploidans une mare de saog, partant de muicous obsèqua de M. Jean Viton, de Mn vivant sent tous d’un mètre exact: or, oncqna rea m anifestatkw l des anx et l’établissement d a tiples blessnra, l a yeux complètnnent tu entrepreneur de maçonnoie. M. Berdin n ’octroya nn .égal nombre de -fontaines. '.our... 9 76 9 4 9 l4 a n e v .9 4 0 9 2 6 méfiés et qnipanissaltMhffrirattraMmant. Le anseU manicipal, dont le dMnnt Sieds à dix vers se suivant. En second BU JU RT, PA R IS19(N ) ’T ^ . 9 8) 2 f » o l4 p r u a - .9 9 s n o Quel ék it cet homme et d’efi venait-il t kisàit partie, ainsi que la tubdivislon d a eu, le poète incennn témoigne dejqueiqné Notre nom el institu teu r, rariass, marohé ferme. Malhenrensement personne ne puimattre sapeuts-pompkrs dont it était membre souci de la rime; or, jam usjiotre Barde ^ c p o h é M j e n t b e de [•Ungerin vient d’arriver parmi nous : 71 à 77 EDa à l-haun nom tout d’abord sur ce visage qui hononire avaient .twu .i Taecompi«naAj n’uservlt sa muse à cette régie surannée, iditrs,IOOkilos,paiamsat asi acnmtàtt snmpéL ^nédes regrets qu’il laisse dans semblait totalement inconnu à Verberie. M donière demfMue. bonne tout an plus pour Racine on Victor fim uu. — FMa aaïutl : 67 à 9 U u 1 iére résidence. Nous lui adrasons Un d a ouvriers présents. Courut pré Né à Vilkrs en>4fi39, M, y ik n n’é k it p u Hàgo. Troisièmement, — et l’argument a t rbsctolitn,100kBMnsteouusni. I nrillsurs souhaits de bienvenue bt venir le sympathique adjoint an maire, un in an n u pour n o u . Doué d’eh caacpour moi d’un grand poids, — dans ttus . Avonms. — F d a natuN : t f à 47 U a à munes persuadés qu’il retrouvera ici M. Rebours, ainsi que M. le dockur Maritère deux, ohlkeant, rMéefai, d’une pnn ces vers la césure a t respectée et la cal'|u d d itN ,ia il» k llo s M ^ l^patm a aussi vives et aussi nomcourt, cw il falhdt avant tout d onna les em Ê SOÂJàaol ee amsHtatbi rerUnbU. k té CMttmercûM inéprochabk, s a a n c idence est jnste, et il est inutile de vous « n d ja m s W qae celles qu’il s’est acquisa parAT(ERE| premiers soins à ce malheurenx.. Trans C A U y la S 0 IF itA 8 M H ilT fE A » téyens n’hésitèrent p u à Tenvoÿa s i ^ a rappeler i^ e c a deux lois de prosodie et so n s poéilapassé. eouu oons ' porté à k mairie, il fut couché dans une Dlnlp» lu MMXd» om iûu TtTi, iTttTMHO d e bonne henre arconseil municipal nd Salnr iti», SiiOB tuu de poésie sont complètement ignt^ées de iHiniaitiiaM,UDnDfrnii,i*cHaUama M lk atknank à l ’Ecole maternelle. L i, on l ’aïqdakntsen intsUigeBwararsmuqimCou... notre indépendant compatriote. EnHn, — 21.10 2020 16... K 90 142014.40 Changement de destination, nettoya kuùdheurenz couvert de boue et E iz n £ U M X i» iiis im 8 « a T 0 iiiim Proeh.. 21.16 21.Ï, 16... 14.90 14.6014.9 h k « V érk n ced a a t u r a . et ce te raison me parait décisive, — l a M matin, oh! très matin, puisqu’il de nng, ce qui laissait devina nne lutte 4noy. 2UD21. Iw d ia w w iF à B rte i w i w M Mi Il ék it de ceux qu’on atim e d’autUif vers, cités par la Uorette, si naïfo soient.m » ” r 1»Mob i “ UUs heure, un jeune homme tout fier entre lui et s u agresMun. P u b M. k iW S U '9 J0 21.10 162616. mieux qu’on l u éonnalt UraL anm fut-il ils, signifient quelque chose et ont appa MlUM fsnas s u k.Hé a fiu gagné une poule à nne tombola de docteur Maricoqrt constata une p k k pro p o u n o u to u p lu qu’un esaeitqrea, mab rence de réalité dans la bouche d’un en ' • I rîii:aggi ' 1 .... ‘iw, se promeaait sur la place de la fonde i k té k a v a enlévument du derme unem i v é rita ]^ fant ; or, jamais, au grand jamais, un élève eavec sou lot sous le b ra . Il fat acfàioB f an mmeniuRen,—hs su d e UMEm et d u cheveux et une forte ecchymoH d u ^ tSa vie, h élu I trop M urk ne seru poiiit de l’Ecole des Charta, le déchiffrenr d’hiéuparuniaconnu qui, très civilemont, deux paupières. roglypha lui-méma dont vous parliez à pOdue pour nous. Le souvenir dé son fàiuta de son heureuse chance, admira Le pauvre homme faisait pitié à voir ; il e x isk n a de travailleur ashhmé,an cuacpropa dn Congrès celte, n’ont pu décou ■ ■ é , ■ ... pnu lot et passa même la main sur le grelottait de froid ; il avait artainem oit BsuadsM fe-SsNtpmpe» tére ihennék prokssâ k dévouement vrir nn sens quelconque anx fruits de <pour s assurer qn’il était à point. p u ié k nuit & l’endroit ofi on Ta trouvéM d u J i é A e fpfpjb i iafifisigtsH tti, ^ u x in ta è b de k n s et d a sin u , jusqu’à < l’inspiration tumultueuse » — comme J^tatation faite, tont en caaant, il Ledoctew ne dissimuk p u s a inquié Guérison d a h ô iifa et 'diflbrmita du MU d a n k r Hufils, r u t a a vivant d a u n u disent s a admirateurs — du Barde de inementla malhenrense ponle nàsisR A fieii tudes et le blessé paaissrtt en effet n'avoir corps i k u t Igoi nlutdo v i ^ ans, d’e xcosan. Pont. C’est trop fort ponr les simpla mor avant que notre bon jenne plus que quelqnu h eu fu i vivre. pénimee-, b r é r é i è ^ ''^ d. g. BANDA<QoeM veuve inltortonaet s a fib é p la k . tels ; ils ont toujours renoncé ra y com , • “ ‘ «venu de sa surprise. Quant Une enquête, habilement menée par k GISTEiORTHOFEDIsra,aiicieB curateu prendre goutte. FWe, être mangée par l’un on par gendarmerk de Verbarie, fit bientèt Mvoir herniaire, venant dé Farb, attaché à k to-is n 16 20 « Par c a motifs, poétiqna, p rao d iq n a BOUS croyons savoir, sans l’avoir ue k victime était un sujet belge, nommé chirufije. A p ra trott mMs d’à p p ^ tio n S 18e76 76 6 m m sat.; I sympathiques condoléuiees. et de prosaïque bon sens, je ^rsi'ste i dé igie, qu’elle n’avait sur ce point auoogwys (Pierre), figé de 65 ans, an s a du bMdage ViMoheA k malade, qae les 18 76 78 18. l î ^ Paissent e u kmoignaga cTutima et II. clarer apocryphe la poésie citée par la ''èférence marquée. 8 .. « vicede H. Parm entia, cultivateur i k ee*a ee 00* fisids.. h em iu ont alité depira jdutieurs annéa, I I U VU. d’amitié, procuru quelque adoucbsement Guette de Creil comme étant sortie du 8 .. 80 ferme de La Borde, depub la 48 août obtient k curecwtaine et redeviMt aussi à i e u profonde donieu. avolM, cerveau de notre maire et conseiller géné ,-4;,i 47 6 6 Tombola de la Fanfare dernier. Id, ro b u k qu’avant. ral. C’a t tout simplement un mauvais tour |>BàGE L u n d i 2 1 S e p t e m b r e H o eg ^s était bien connu comme buTraiteiunt d u diffonnita du u ip s , que quelque réactionnaire aura v oâu lui , M x a rsk k k ; v r ia agricole, car il avait travaillé ch u mains, bras, jambes, pkds,- déviation do d n i6 aU80r “à lot par série de iO billets. jouer, en eisayaut de faire croire qu’imidifférents cultivateurs depuis une dizaine l’épine deTsale; Ajjpaml p o u Técartetant servilement les poèta d a époques de I 4s n â * g m gn m e S d’an n éa et partout s a m attra n ’avaient ment de k ligne bknche. H y a plusieura sartM M » RfrM eg.,M L»». - t t n s n 9 4 0 , tyrannie, le Barde de Pont a tenté de faire eu qu’à sa louer de lui. Homme séiienx, u r t u de h ern iu r k hernie inguinale, de la poésie... en vers. C lx e m ia d e . F e r d a Hioard. rangé et économe, il envoyait rônliéresootak, crnrak, ombilicàlèr l l u éharnu € Agréez, etc. ment Mn petit pécule à m femme. Hisogwys La Cempagaie dn Chemin d e f k du Nord d’eskmac, vitihkU invitible.. c Un Tîewx Paléographe. » 31 1 63 avait touché sa paye dimanche, soit i tient dans k u t a s a g a ra a statiou, à k B r e â a i l , 23 H ptafbn,' M. ViMOhet prouve p u d u iailUehr 6 123 2 163 Bien entendu, nous somma prêts à in 33 i 64 60 fran» ; lorsqu’il fut trouve agonisant, dbpoSition âàvojageursqui; m feront ja d’attuktions k guérison radiéak de k :mé 29 .. i ', . . . . Seigle 18 60à 14 ... (fegs’''^ 1 124 6 154 sérer la réponse du lecteur de la G uette on ne retrouva sur lui qne 8 firancs i Od ^dS ^M de^elqua jo u s à l’avance, sMt anx 1 6 ,.à l 6 . Avdàe 1476 à 16 .., b lOMUU h ern iép u sM m t ^ d’appareil dont il 8 65 8 125 3 155 35 3 66 si, malgré les fort» raisons de notre corlOOkUoa. ék it passée k différence f 1 126 5 156 u t lesenlpnqiiM tm . H Skigageà main raponoant, il persiste à tenir pour nne 67 P s k ls k ik lrs : 4 « e .,2 s 8 1 a . gsui» I . 9127 * 157 La victime avait bien été vue dimanche tenir te n ta Im h u n i a qinfi ÿ u i soit k berdinade la poésie en diseuHion. ^ ^ ^ b k f i o f i là 8 ...( B u f tk e s U iO u 1 118 2 158 verseb, , _____ , __________ . soir chM difléroits marchands de rtns en volume ou Tandenneté; desceUa, 4 129 8 159 compagnie de sujets belges comme lui, ta r a , cauuNS,etc,. etc., bHlets pour l a eicnrakttSAi-enra!: 6 130 4 180 L’épreuve finale du 6" Championnat de î S « ™ 1 mais depuis dimandie soir joâqn’A mer 4* Euarsion-.à L endra a à llle de C R eniieii^ fiéHptaalae, Consultations grattiites d u ^ mob : FrsBce, ainsi que la distribntion d a prix 5 11 179 113110 161 W i^ t, dn 20 sopteoMmau SoétobnêSOS. credi matin on perd complékment satraCe ; BM 1 rsquHié 1 969,2 e l9 . . . 8s 1860. Biauvau, hOtd d’A ngktnre, k 9 de 9 42 4 n S I ® 13* 1 16i des grands Concours d’arc qui ont eu lien a-t-il été frappé au r o a s d’une rixe od — Pnx à formait au déput de Farb : 877 ^ ^ 8 ^ S tS T o rg S ,U 60, AMins. 1 4 ., m . 8 43 3 ?? ? 6 133 10 183 ch a^m d s. cette année i Pont, sont fixéa à dimanche bien s a camarada tentte jpa k petit pé à 385 fr., selon C lusèet ftkéra&e. 7 44 s ^ 104 1 134 8 164 S in u s, bétel du Grand-Ceri; k 40 dé prochain, 27 courant. cule qu’il possédait, Tont-ib ««««mms pogg SoExcnr^SM B tiÿ q n e a M Holknde, 9 45 57R Ig 103 * 135 7 165 On sois naetM iis : BU, Irs énaBié 1412. chaquémds. le déralbar f 0 1 4 4 1 ^ 1 4 08, te & : 8 n f o 5 ; “ S ï du 26 Mptembreau 8 ^ockbre. — Prix à 8 46 7 -45 ® 108 7 136 4 168 RAREY C n ii, bétel du C o n ttn u a,.k 40 de Qaoi qu’il en soit; le pauvre malheureux forfait an départ de Farb t 4'* classe, 1 47 5 4s 10 137 10 167 chaquémds. La Vie Heureuse publie cette, semûne , 9 48 6 4s g 1 138 8 168 Fsk, k M s,.lrsq M » i 8Be.,2s27 ».= 300 fr.; 8* c k s u , 880 fr. ■ fut soigné toute k journée de m ercredrpa une biographie de M » Gaffrio, la reine 4910 *1*3 8 169 10 l a sœurs de charité .qui dirigent l’asile de F o u k u t a . demandes a cureH on3* Excursion en Aigérk et en Tonisie, h 50 9 1? “ 110 4 140 8 170 10 du royaume de la rue Saint-Honoré qui eut d an eara’adrsssu directement 34 k s, rue vieilkrds de Verbeiie, a v a leur dévoue d u s? septembre au 83 ockbre. — Prix'à H 7 8i s * 161 8 171 9 le plus grand salon frauçaisauXyiII* siècle. de Dnnkerqne, PARIS. ment habltneL f u k tt au départ de Farb : 4» dasse. r ’ÿ m|p^tÎLlL‘-‘26-HttiiU>s,- 6* 2 83 I H ! * 16* 3 17* 9 Dans le texte sont reproduits denx pan Plongé dans un délire am ak n x , le 4.4(Mffr.;8*ckH*ai 9 6 6 ft . M 4Ai2Ô..,à . . ... 63 8 84 S H ! 8 163 9 173 9 à 1 4 ... neaux qui furent commandéa par U>» Geofblessé ne put répondre anx nomhreusa i* Excursion enilitlk, dn 5 octoMe au i , Avstm; ^ , ^ 54 3 85 I Î r * 16* 3 174 10 frin à Hubert Robert et qui appartiennent riB M g& S Q lp../ quations qui loi furent posé». L a deux 3 noTMilnK— SrtxA forfait an départ de' 55 7 ^ 3 }15 3 145 8 175 6 au comte de la Bédoyére, Taimàble chéle*6 7 87 5 3 166 4 176 4 F u is ; 4" ctasé^ 865.fr.; 8* elane, 765 ffe uniqua sy lk b a qu’en put lui arracha SSmüM sMe*. laindeB aray. *7 1 M î 10 147 9 177 9 forent otts et non. 5* Excursion On Cetue, du 6 au 28 oc 20* ANNÉE 58 s 1 ÎH * 8 148 6 178 6 Blé, I n in itié s a l i i o » te idfia tobre. — Prix à forfait au départ de Paris : Comme l’état de k victime semblait U L L Y -M IN T -Q E O R a E S 5910 ^ l î i g * 149 9 179 8 jÔORHàL HÉBOOnADAIRL du V H sljsiE s’aggraver, le d a teu r M ariaurt adonne 4T> cktH , 550 fr.; 8* clasH, UOfr. « p ^ ^ t e s a k a î s g s î ; 60 * 91 s ^1? 6 160 8 180 9 Bant ini Vat'-dB ; A propos d’une douche. fi” Excursion en Sidle et m Tunisie, du le transfat à i’hOpital de S oilb, transfert 61 8 92 i 6 151 1 181 7 I .A M ^ D B O iN B fMOÛVBImimB qui eut Um jeudi matin p u k s sM u de 8ockbroau44 novembror— F rix àfér' «Bt Dans son numéro du 23 aotii, le Cour 62 10 * 1** 9 162 8 182 4 pn;a sa ftit andépart de F arb : 4» c lu H , 950 fr.; M. Grenet, louM r à T erberk. rier de l’Oise relatait la façon dont un eages d a |{ G R A T U iT E M m T FclasM ,850fr. La gM d u aarie de Sehlb préTOUue télé Pàk. k m » l r s iM lté, 81 e . , |s 27 e. habitant d'Ully-Saint-Georgas avait arrosé c ! 6 ’0M Îâi!in^ 1“oore le gagnant dn les aoteipii ' pendimt DBOX Mt)fS graphiquement se mit à k raherche du prix p o u k s parcours s u lé Chemin son bmn-pére H. C..., de Balagny, pour 1 l0 if BOt laetearf qui es ftront la demande» BIojyM, 2é svlambrs. giner » A coupable. L a fours à chiuï, réfogo habide ftr du Nard u n t a u x d u b ilk k d’aller -Tieai let médade* e st intérAAlke: Tempéeher de statiau e r prés de son habi ble. t u l d a vagabonds, avaknt été explora et r a k u ordinairos. tation. l « H ËfrECjN E.'N éuyELiA aO rtiH . ' tel f MUS sueca, qumd, vèrslH x Sénrair du f i m t 1m resfdfsemeBtt s b s iwmpletE etc 1«. Notre eonb'éra le Journal de Uoug, ayant civil, c h % t i a k ? M § ” ™”°* l a j j u w ^ ^ ■éttinde Tftàlbte.«Êifaa»^iirla ssAiffos de tootM ' soir, l u gm darm a tronvèrofitan kabettix rqirodait notre information, a reçu de Saint-Msrtin. k n tp ^ s dn café Saint-Eki, l's^ -'B è êto jS ’â' = ?*U*7d GmaaiiM. a ^ l b b % u 'k ] ^ ! ^ ^ h i , H. C... la lettre suivante : .Fj' ‘ |j|^^WR„i5«^*iin.ttt.Aofn8tlM.un individu ékudu t u la Chaussa. Son d u k fisM et çunitthehk. k bgskM it a C a t tv<e un vif plaisir qae j’ai lu votre k l i ^ i t u n d u » k s principaux hôtels, « exictamaûtà artV . lu dimaotiie 80 août. UtiiaU : c Ooe *.VP>«riia-iï’éok s guida, intt^êtes, etik A ilW Doneha », doucha que Ja n’af M anllMBaBt éWto a ."5 -r.* ‘.: m F f« « k boissa ^àgsHse d u Yd^igm Univsneb, 4 t, •MterftMtABtgteenl snrp-is d* recvoir. car Csat passé à Télat rsonn Z 4 Ô e -R œ : comp'.étemest iv rp . snivi.t k s I , , . d’h’bitod*. l ’-.n ai dèjl raçu ona oetla annéa. knjbqur* .Montmartre, et 40, rue AnberL lA M b û # litm ü t amené an bùrma dn m.>récbàl-da«-l^s La 1** iaovie-. ma fi le na se .«ouvanaat phis de enverra grataUemént tous l a rehsaignés a devoirs rovdv Huz qoi l'oBtétavée, avait, chef, u déclara s’apoelu Envia (Joseph), ments qui lui lu d n t S a u ii d a p e u c à * *Wiag«. - J04W HPeomma fhablndc dn reste I w d i qn'sile est •xcurMou, 4 ^ de I I s u , colportsu sans donueik t f r n ’Mt pas l’amoar de« iTistes ni -du P f u , de tire rip r ee' F iu . aaree qae si les gréviitM o’eat ( b £ r ; ^ l d r 4^ lagrande '^ S S im e . Rea. M., l’abbé D e p e , »€ jL .ir a de Sa'ifiyé't* ^ ebtd^ K ^ t pas in leaïttearé p e v dire i Madame yeiiTe A. SEITZ, HORS GpWHHIRS i HERNIES &S ■ œ ils io H FA m iiR ]lï > . ^ ' -L E COü E B IÊ R D E L’OISE Safnd-TKse-fiv eeas faeutteds reimsoi» parNsBe X ia» totale. l ’adjnÉaetion an» Hen l e IH m aB blae 'fiS O c to b r e A a t e i i b e * , J. J«n d l d a i v e s . I " ^ . Kbib de Jl'e co iim H(HUII1>, ?^lâe«iBi#r;<B BMiW aToaeJi Senlis, ^n«-8*bU-Bil«in, a* 10. I JadidaiM. DMiiod i » Burtau 4e Smli$ • . dit tS juin ite t. AST. i. TÙBDIAI. DK COaaKRGl D1 SIN US 3 ;i î .-:,jP)M».cansad^ddpait. d dftts rsitses. En la Mairie de lé eommnne de Saint; lien-d’B<MNntr. Par le ministlie de M* LoKnois, notai» A Preey-snr-(Mse. dommis à set effet. gadretttr pour k l renieignementi 1' A M’ SAINTI-BEDTK, avone ponrsnivant.la vente; S- A M'ESCATT, avond i Sm Bs , présent à U vente; 3* Et i' M’ LOMBOIS, notaire à Preey-snr-Oise, dépositain dn cahier d « «larges. B 4V 4B £E > D’uii Ja’timutt par difant randn par le Tninipal eiTil de première bsunea de Sealis, le viogMeiix oetebre adl aeaf eest deux, euegliM, Ào profit de MtduM ÀlpbMdBe Firrr, io * pTofifiioii^ demearant à Tiaraie» (8eme-«t.0iie), dponae de Me ToUDh ClTAtnEBi TftmindfTMîif comburant «t pialdent par a* Georges loraiid, son aToneMistita*, D’une part; Contre a . Joseph Cavalliib, a^ant dsniendta denier Uen a Senlia, et aetnelleineit uns donieUe ni i<sl> dense connai. Dileadenr ddfeiUant, D'antre part; ^ llappart: Q a le ettroree a jtd prenoae< d’enfe iH dpenz CayALun, an pro> fit dlaadaaaeCayAuiiB. Ponr'extrait: (Sgn^ aORAMD. A , Etnde de i r Ocoar SATART, avonë à Seniis Place Henri IT, n’ 16. S 3 ' I B SUR SAISIE IMMOBIUâRB U N E M A IS O N A USAGE BE GAFt Sise à 60DTIEDX, Perdt dn Lys, lien dit Le Poteau. L’agiadieation an» lien le SenaedU d lz O c to b r e fts o a . heurs de nstdt. En l’andienoe des criées dn Trihnnal civil de SenÜ8, an Palais de Jnsüce. S’adresser pour les reuseigiiements ; 1' A M' OscAX SATABT, avond, demenrant a Seniis, ponnnivant la vente; 2* A M' JOLT, hnissier k ChanÜUy; 8’ St an Greffe dnlribsnaleiTUde Seniis, on le cahier des ehargas est ddposd. R i' ou G O n f iR I E R D E L ’O IS E mRiix Hm i H OAUOHIt, Dlpooteap. Rtddb V IIT I FOBOIÉRE, k Terberie,JE» l l i l l l de Parts, numéro 61,. ch la demenrc et aiuès le décès, }ida M. Portemer, le DimaiMéie 37 Saptemb» 1903, k deux henres, par la ministère de M’ Dherbe, hnissier. iB ÿW É is ee tous genres. G) ea iiR i» Atudb Ci M M va POUR CAUSE DE DODBLEEMPLOI Gpéffa dG JusticG da Paix B on F onda de' k y i l H H tai»,adjniUeition -91 araavojo^ W “ J>o*T-e^Tx.MAXBxax ■ ùg 1io de Fîh iM tE v ateir A V E X D R E P B ü » a 5& « a 4) S » ^ i f D i £ X ’4*ô.mb^^: 3 BOl CHITAljl *“ **i*- 4.adtnra, A v e n d ra aux >enchères publiques sans attribntion de qualité,. k Terhenil, an dcmiciie da M*'-vea -V H ve Rnikoné, ta Dimanche Etnde de M’ FERTÉ, notai» k SenUs, 37 Septembre 1903, k n e heure et rne BeUon, n* 18. lieiDeiiti Ooouion i sillir, demie, par 1e ministère de M- PotuA J L O tM U dor, greffier te ia Justice de paix dn 1 n n u i i PV adjodicatlon volone n d r e d e S u i t e A ilAIIMI taire, ie Mardi 6 Ootob» canton de Pont-Sainte-Maxence. P E T IT E M AISON AjFouBV oausi n’aoiuîinissHiiirr — 1903, k denx henres, k Seniis, en Il ■■ Il '■ ■A,— S’adresser à M -P im , ni 'étude et par ie ministère de M*Ferté, Dommifie d e B aiw ii, Foods de Boucherie hotdra, k M. 1 0 K m , 7, n e de la nxw P r o H ^ t é située a OXDlNAiBX 1903-1804. ter Sitnd dans vflle oommeroante de Ter, IM des Bona-Voisins. Swlis. GAIIPEü tid llla e t d a l’Oise. Conviendrait k Jeune homme. WUflD h a n te f a ta le , snr 13 S’ad r.u Bnrean dn JonrnaL 1641 C om m une d a VoPGigny. hectares 99 ares 37 an Etnda de M* DEUDNAT, notai» terroir de Baron, A cuiiares, V e n d ra k k Seniis. l’amiable, ta Dimaache 18 Octdire 38 Beaux Peupliers 1903, k n e henre et demie, an ehkk I f l i m d l’amiable, Madoom tu n de Baron. S’adresser u garde A UIUIK sise k Seniis, nw dn Lion, dn Domaine, an diâtun te Baron. OBZE FIBGEILES DE TilLUS n* 8, avec Jardin et Dépendances. sis terroin da 1, » i t e de Mantaiill, k Sanlis. TERSIGNT et DR0IZELLE8 mRkb Rtudb Grands entrés, pidees, eoMiieé, A VEJVDRE euisine, le 4 Octobre 4t03, à t h . du soir, BIIES appartenant k l’Hôpital géné- natursi, fruité, lûMite.taNMem sou et (OS, grands eow. A 1a Mairie de Tersigny. a raide Seniis. A A Saram ar eorvation, 316 i. BSTiu. fronu port, S’adrssssr ahsi M. QBOQBB- m riadjudication, par la ministè» de ga» destiMaMira. Envoi d’éch* gnI1A8SIER. U » Deiannay, en l’nne des salles de tnit p, ntBHT, flrop’'te vign"’ Tiils S'adresser .ttanche-u sBunlotais (Mffixe). 1300 l’Hôpital, sis ianbonrg-Saint-Mtf Ponr visiter, an Garde Champêtre; le Maiffl U Octob» 1903, k i Et k la Mairie de Tersigny, où le » m ndno cahier des charges est déposé. 171810 1 0 N q n a ti 4 A r a henre. Çoirs pour Jeunes Filles o'uia p u adjndieatioB volcntafiorBRadson, k TUk CHA if^t (Ose). lers-Saint-FranBoniB, ch la Grandé Rne, le Dimanche Saptembra 1903, R rh apAetanx peur la Oammar ea k denx heures, k S7 Tlllers-Sain^Framaliaf cnmGo CanaansaeaUaii. bonrg, en la Malson d’Ecelo. IddS H a rn a la à l’M a t d a nauf. IM PR IM ER IE lîbSïïi S E n L is — 9 & 11, Plaoa H enri IV — SENLiS irvOM 'V I e t w B dM R ünB FO T n flU B J U U M T A rré r ii L’envol lenr en s e n fait anssltGt g ra tlse tfrsn o G . TdfLtORÀFHB .•iiu-.>rauuJonin; dwie’ d r e anx enthèrss pobilanes. neni de SS Imctares 88 xras.bante ,de dspart, i T m tsé è ü Ms^nw, rente de CreU, le Dimanche k IP Pe|^ notai». 4 Oatobra IDâ; è'denx henres, pu bmlnistèndeM-Dherbs. M ÊM E HOOVBAinMG Noua prlona les Damea qui n’aoralent pas cncon reçu n o m Catalogne iUne> trd a EtadGco d ’H t r e r », d’en ù ito la demande à eâ. Emde de M* PET»,notai» kRexlis.. , Rtnds -de M- DHERBE, hnisidff I k Prat-Sdue-MaxaMe. ^ F o ^ s ^ M a t^ ie l DE i;kF£- BI|JJUW piiM k eituiaucenlipdfunbourgimportant, S’adr. anbveandnjonnaL 1707 T é jsgement dn Irihnnal de ComSieree de Smlis, en date dn vhig|>einq. septembre mil nenfoent ttotx le Mbênal de Cemmene de Senlu-a deolaré, enr la demande d’nn créaneier, le sienr Lonis Jacqnes, ^onxde dame lyisabeth £yl, marduûd de eonronnes fnnirairss, demenrantei-deyait à Seniis, nie dn ChinoeUtr'4indiin, nnmero i, pnis i Channy, rne des Mayonras, nnmiro 69, etaêtnellement à lergnier, en itat de IdUite; fixe provisoirement à ce Etnde de H’ DELAUNAY, notai» jonr la date de la eessation de ses k Seniis. paiements; dit qn’il n’y a pas Uen à apposition de scelUa; nomme H. B illard en bon é ta t A IM ID B IC IA V IO B I Pies jnge«8nmlssaire, et .M*Morand avBC A c a s s o m s En biocou par loti, syndu provisoire. • A V e n d ra B 6 0 Ira n c is, A Barbery, en U asile de la Mairie, Penr insertion : U OCXOBBE i m , S’adr. an bnrean dn journal. 1697 U Greffier du Tribumei, Le DUUMCBE d deus heures de reteeie. MIGNOI. Par le minlstèra de M'DuLauiUT, notaire, AM CDICAVIOIK A n. 3. DX Itnde de H* DBEBBE, hnisiiar 17^ 70* 98* de Terre T ravaux P u b lics à Pont-Saime-Maxance. un u n e seu l# plèoa Suivant écrit sons signatnras pri Au terroir de BUIBERY, vées, en date dn v in g t^ tre sep- lirax dits La Justice et Le SameL CommuRG dd Pi’éoy-G^ISG. tônbre eonrant, enregistré, M. et (Louée k M. Boncher, 8U Bray, ponr C onstruction d 'u n m u r en Madame Boum, mardiand de vins à dnrés devant expirer par ' briques avec fondation en Pent-Saints>Msxenci, ont VMdn à nne récolte de 1913). U. Sauloh, negodant andit lien, le m oellons, <Pune longueur tonds de emnaieree de Marehand de Oh plan de division sera mie d la de 20E m ètres. (C lôture du diipontion det amateure. Vint gn’ils Ibisaient valoir en ladite cim etière.) ville, rente de CreU. Ponr traiter, s’adr. k M. Eenidic, DsmiMle An en l’etnde de 65, rne de Clubroi, k Pans, et ponr Dherbe. 17S0 tons renseignements,- k M'DinauMiT, Adjudication publique, an rabais, notaire. 17d< ■ , snr soumissions cachatées, à la Mai rie, le Bimànehc 4 Octobre 4S0S, à deuxhettreedueetr. M’ Louis ESCaVT, avond k Seniis, snooassenr de Le devis et le cahier des chargu seront mis k la disposition du pnbiio S B , r u e R e u ssb atean tons les jours non fériés, de nne hen» k trois heures de l’aprèsanidi, PARIS M’ a t o i w ’ k la Mairie. ,t H’ PÉIUOM, notai» Le Maire, Seniis. G. WATRAD. Kranpsis, Anglais k tons las degrés. 1716 Préparation aux Examine. V M T E SUR U O T A T IO N A V e n d re d e e n ite . Enselgaement par oorrespoidance. entre Mejaum et Mineure, 1740 avec fteuUi de réunion, I \ dans de bonnes condtiions. S’adr. an Bnrun & jonnaL 1659' maison ONOOie. 0 '« û « ■0 I a iq TYPOGRAPHIE - GRAVURE - LMHOGRAPHIE Brochures, C atalognes, Tarita, Circulaires, Piix-iCourants, Prospectus. Factures, Tètes de I,ettres, Etiquettes, Registres é souches perforés, brochés et reliés. > ■ 3 cl a “ t o SB J 1^ n M I « ^ n o PROGRAMMES PODB Spectadea et Concerts. H (/i M i-is c ra i - fr 1^ te t Sentis, Le Bli CARTES D'ADRESSE - iEMUS - CARTES D'ENVOI R E Z -D E -C H IU SSE E m n i BupiLiu C CAS L a RueLaffitte 17, et ra e P ü le t W ill, 2, PARIS, i m i u i it i H DU iKttoéi, fil H tiin , nlitii, i Imm l u A. VBSBTDRE! a raks BON coxptx S’adresser éhex M. PRCHEDX, k Chaînant. 1681 k Riie Rtusb avee eu n n e aartieiaatlen COlBiilkiSORSDITEB3ESPOUVANTCOIIEDIi k TOUTESLESSITUkTIttt VIEUX JOU RN AU X EN BON E t a t iD W D K u iw L irm â ; ■wur Felntpes et Hapahanae la Dimanche U Octobre 1903, k cinq i î U A U L L I S f i A B O I I henres' de relevée, par ie ministè» 9 0 eam t. ie izile. il. k Ceny. de M'Dslannay, d nme p iè c e d e par La lené-Aiais -----• t e z r a de 88 aies 80 oenuares, sise S’adresser au Courrier de l’Oiw. mtonae MM. les Oardèa ii tient an M iroir da Bnssanse. le v disposition des i_ F am nm ia pour PéleTage des sans et pcidrianx, an p m de I . Etnde de M- LPMBOIS, notai» m ^ l D E S ET OFFRES laiKpa,k70V.d'anlsa^Ni__ k Préey-enr-Oue, un 0 T V u m é a n g u est demandé. leman cocher vium de chambre, la snr-Oise, Grandc-Rae, A v e n d r a feaune cnisimère. par adjudication volontairè, ta Di 11 pièces, conr. Jardin. 9 0 9 francs! manche llOctebre 1903,ktenx heu S’adr. an bnrean du Journal. 1748 ! n 1884 res, en Pétnde et par ta ministèrete ntfr H o m m e muarié, nn u M- Lombois. tani, Ucien auus-ofiioier, uoni d’excaitantes reféranoo, demande placé Etude te M'IDXOND BTCHABB, dé garde parheniicr on forestier. S’adr. an bnrean du journal. 17331 notai» k Pont-Ste-Maxence. sü i-p io p jiiii MAISONA -ê k S S tJ R Æ D G ^ n o T A T ja a R e m te g T i a g è r e s i n u n é d i a t e s o r d iN é ré e s , A C m i S D £ n ü e s -p r o p r i é t R s e t u s u f r u it s n o n i M & L . 'T U ’S u on rente te Handres, comprenant : rM o n lIm A esta avec lune hydnniiqnc de 3 teevanx 1/3. pouvant êt»;nhlisée ponr nne.indnst^ fr et n e IH alao n d e v s ^ p e rts u s Ceptibie de division en pinsienn loguaènts, A V e n d r a par aijndicaDon, en S lots qui penrnmt êt» rénnis, enTétnde M par ta Bünistère te M' Richard, notai» k Pnt-SainteMaxence, le Dimanche 37 Septemb» GlotetGaivUtat. Plomb ordinal» aSBo. 1908, k tenx hures te relevée. Plomb durci.................... a ï S o . FusllsLofauohonx,depiiis.. 4S n t l » ÉTUDB Fusils k percnssion centrale, d e p u is ....,..,,.,,,,,, 06 Fusils Hamortsss,depnis., 176 Jfw fuMik eont vendue a p ^ essai À V E N U R f l T S S ^ S e ig le e t A v o in e , dénudant parkcUont. de l’exploitation agricole de M" venve FiscRxn, anx Agenx. et se tronvut Acceaaoins, Saca de voyage, u mules an territofredos Ageux et Fonmanx de Inslia, gaos A fnreta. dans ta gruge de la maison de cnltn», etUD g;raa (a a d e Fmm iaF, EiPkiUAQE DE TOUS LES.MiIkUX se tronvut dans ta cour de U mai et te M ut 0» q ^ fignn anjCataiogne son, par ta ministère de M- Leroy, no te k M ^ fa c tu ri Françaiu d lr r taire k Liuoonrt, u présence de M' Richard,notaire k Pont-Ste-Mexuee, meedeSaint-Etionni. 17 Septembre 1903, i Gaptouohes sur semmando ntaeDiniudhe henre. — Réunion anx Agenx, depuis lé fr, ta cent. u ta maison de M^ vuve Fischer, Bevoivops, tepnis S fr, Grande Rm . par O n o £ b « grand potiger,! nomhrnx arnns froiuers, m,uoa d’habitation, serres, etc., moyennut Une Isgèie ndevuce. S’adresser an Lientenut de Bxl- | LXOABOi, Fanbou g S’-Martin. 17481 H. MAflOJV, A SENLIS ou c h u tes eorretpondanU iant les prineipala villa ie l'er. rtni/asemua. B B BOULANGERIE VIENNOISE Padnn d e G ru a u e t d e ffantainie. TAins' nn û u A N C IB N N B U n m é n a g e , muni del sérieuses leféruoas, usmude place, ta mari a tontes mains, et ia fei ponr la basse-conr. S’adr. an borean dn journal. 17361 «u* On demude aid e -Ja rd in i e r ponr maison boaig.eis«. S adresser k M. BRIcR, jirdiniarl chsz M. Na z i , kJ>a Chapede-u-ServaL 17271 1 üt Eépnbiïq lie Bépnblique j T a r iË e t r e n s e ig n e m e n ts g r a t u it s c h e z M. CHASSEURSIM X « li a l o o i i B R Ë C H B 16, place Henri-LT, SENLIS, S I, rne Jnies-JniUet, CREU., étant, pour l’arrondissement de SenÜSjSenl Ageu de ta Mamfaatun Prangaue d’irmae et de OiMte de Eaint-Eticme (Loirg!. ^ S O liD F ponilles. Bourres, Baltes accès1» ■éison N A T IO N A L E Compagnie d’Assurances sur ia'V ’I E ! ■DViuîi'ù'B ma 4 fiQA SO n ni m M A IS O N GHÉRON NSI B. BARBE S' P la c e d e la lia u e . S e x tlis . Médaille d’or SxpositionintematioBaleParis4903. Lauréat de la Croix d’honaonr. b I a II n e Location, Echange, I I I n U d Accords, Réparations, ^Voitures découvertes, M . R ig a n lt, k CrsiL 1744 è 2 e t à 4 rouasÿ bon é ta t. OIreenstaneen et Dépendanees, » D em ude'valetdeoh sun-i sises kBABON (Oise), S'adresser le matin, rne de Meanx, b r a , marié. Serisnaes roféreuces. place de l’HStel-Dien, rne Sainpi Etnde de H' DHERBE, hnissier numéro 11. 1739, k Pont-Sainte-Maxenée. Antoine, appelde la Clergie, • V Demude fe m m e d a | XT c h a m b r a a é rie a a e , Com;agiiie do Gaz de Crdpy-ei-talols S’gdr. an bnrean du jonrnal. 17301 70 Pièces de Terre ^ T a k oà -cf éi ud îeer i dt ee - sEupitel œ F i à l’Imprimerie du C ourrier de l’Oise •U- On demude n n a p p r e n t i I I l I C l i n B C Lanternas carrées Bois et Friches, d a n s d e b o n n e s c o n d itio n s. A I tnUlfiâ en enivre, en bon p A tiasiér, Bon emplacement. ciat. provenant ue la transformation sises tem in de BARON, S’adresser chez M. HOUTSI, rnsl de l’Apport-an-Pain, a Semis. 17131 MONIAGNT-SAlNTE-PÉUaiË, S’adresser audit M. Dhebbe. 1749 de l’aolalrage pnbiio de la ville de Crépy. EBMENONTILLI, S’adresser k l’Usine k Gaz. 1763 POP O n dem suide liv re u r, PLIS8IS-BELLEVILLE, TEBSIGNT, muni de très bonnes referuces, cenPEROT-LBS-GOMBRIES, XteARATIONS IT XXKISX A NXur FONDS DE COMMERCE naissut 1a région de Chuüiiy et AUXr m Lxs plus xteuirs BOISST-PRSSNOT Font-Sainte-Maxuce. A C É D E R Un artiele n’étant pas en magasin xtMB éTunn et NAMIEinL-LE.HADfiOinN. nauMBirtS’adresser a M. LECOMTE, Grude est livré sens 34 henruL Bean Café. — Bétel Café Rastan- iatt, a chasse sous nne dame, k comBrasssrie, k FiU-James (Oise). 1693 lA DljifiBU 4 e T e r r e et o n n n t près gare. — Tins Restanrant. piègne, s’attelle seul et k denx, L’adjndicatien anra lien par le miaU rUiliBD J a r d i n contuut l i v r s d s o n A D o m le lla nistère de M* Ftnzon, notaire ' — Epicerie de choix. — Bonehiries. A v e n d r a avec garantie. M aréohsd-C 3aaiifIeur,| pareirviceautomotilt. 1646 ensemble 8 hect. 60 ares 60 cent., sis — Bonlangerias (S-3-6 qnintanx). — S'adresser chez M. CHARLOT, « Seniis, coiamis k cet effet, saveir : an territoire de Pontpeint, A lo u e r 36 ans, marié d e m a n d e p la c e Fruiterie Primenrs. — Café Concwt. 1739 Le Wmauckt- dia-huit Oetobri — Tabac Buvette. — Tins Tabac Borest. par affiudieation, u ta Mairie de aérienaedans nne ferme. d u tiT r o iu u m f e e a B ona O e n re » . Saint-Gervais-Pontpoint, et par le mil neuf cent treit, i une heure de Epicerie. — Tins en gros. — QninSérieusea référença. Etnde de M’ DELADMAT, notai» ministère de M' Richard, notai», le S’adr. an bureau dn jonrnal. relevée, en la ihiirie de la tommone eaillerie. —Fsïmcerie. —Horlogerie k S e ^ de Baron fOk^, ponr la maison et BJjonterie. — Charonterie avec et 'Dimuche 4 Octobre 1903, k denx A C é d e r d e S u ite heres. Ces immanbles appartiennut la pièce de boi| sises k Baron ; sans Buvette. — lebao et Jonrnanx. n d e m a n d e u n cdaanfk M. Charlas Nan, da SainbGanais f e u r 'Oeapaüsie Le même jour, dix-huit’ Oetdhre — Modes et Liogsrie. et u n b o n i FONDS DE COM M ERCE Pontpoint. mil neuf cent (rote, d (rote heures S’adresser k M. Ostàvb CAGNARD terroir deBo»st,kTeBdnki’amiable. g s ird e -c o m m ia chez M. Tnide S’adresser : ponr traiter k M * Oade relevée, en la mairie de la com k Morienval (Oise). BocLui, i Bargny (Oise). 16001 151i ChaPGutapia, Vina & T ab ao a tannay, et ponr visiterk M.Thoazé mune de Montagny-Sainte-PSieiti, 83i I tite de ** Bané FETIT, notai» S’adresser k M- Danoxb, notaire k garde k Borest. . Os demande, ponr maison de I pour les immeubles sitnds commu k Bar^Otae). Lonvres (Seine-et-Oise). 1731 commeioe, une b o n n e de 18 a 351 nes'de Montany-Sainte-Feiieite, A. V E N D R E Ermenonville, Flessis-Belleville et ans, vuant de ta campagne. à N a n t e n i l l e H a n d o n i n , TEHDDI k l’amiable, Tirèa S’adr. an burun dn jonrnal. 17381 Tersigny, TinU Sl B eU e P r o p r i é t é rne dn Poisean, Maison de Culture Et le Dimanche vingt-einq Oc de rapport et d’agrément, de 3 heem i, ir r u T iiiE a T tobre mil neuf cent troii, d detüc UNE PROPRIÉTÉ 88, rae da Chktei, k SenlU. S’adres sise k Ternenil, en la rne dn Bac, et tares et demi uvfron, sitnée k Baron 9 9 P i è c e s d e T c F ra , conte (Oise). S’adresser k M* Rué Petit. Peroy-les-Gombries, per Ghangemont de doffliolle. I heune de relevée, en la Beissy-PreS' mairie de la ser k M. Pottier, boulanger, n e dn nant ensemble 6 hect 64 ares 63 cent, noy K Nantenil-le-Handonin. A pahir dn.l6 octobre 1903, l’Etodel c lo s e d e m a r s , comÉnme de Pereg-kt-Gombriet, sises an terroirteTernenil, A lo u a r teM'.Mérelie, hnissier k SenUs, ac-| ponr les immenblss sis cemmnaes a v e c d e u x gprillea d ’e n tré e , Chktei. A l’aw ilahle. tneliemeat rus Saint-Piem, serai Sadretter pour les reneetgnemenle ; comprenant de ■* BAtraGN, notai» transférée rué BeUon, n’ 11. 16771 S’adresser k M« RICHARD, notai» Rtnde anPlessMetevlle. r A M- LOUIS ESCATT, avond, maison d'habitation, vastes eomk Pont-Sainte-Maxence. 1691 mnns, jardin avec musifs plantés ptmrsnivaat la vente; de beaux arbres, petit potager der C ih aag en ian t d e D o m ic ile . I S* A M’SAINTE-BEUTE et CHAM- rière, source converte, hnanderie et 5 , n i a d a P a r i s , A G O U É P T -N H -V A liO Ifr / I BASD,. avonds k Seniis, prdsents k lavoir sur la rivière. Sise k SAOn-LROHARB, emb» 1903,. k une hen» précise, Etnda te M* DEUDNAT, notai» la vdnte; keôté de ta Mairie. Bsixe : Avwm de Paris i(prks la Ga»). 1ChèvrevUle, u ta salle d’école det A partir du ! • ' o c to b r a pro-l kSenlis, . S’adresser, ponr visiter, k M. PstChain, iss Ateliers de Coninre del Garçons . d lm m e a b le a situés M 3* A M* MÉRELLE, hnissier k vosT, k Nantenil-le-Handonin. 1746 S’adresser k Seniis, 7, rne dn Chata a d e m o is e lle s P é p in se-l terroirs de Chèvrenlle, Biégy, BonilSeniis; Harêt. I960 A w e t t d r e é V m m U tM e lanêy, Réez-Fosse-Martin, Rozoy-u- ront trusfèrea plsnm lA n u c o n -l 4 ’ A M* FÉTIZON, notaire BELLE Mnltiu, Pnistanx, Dony-ta-Ramée. aeU, n° 3 b is . Seniis, dépositaire dn cahier des S’y adresser peur-la location et les charges. feurnitores ide utarie. 1737 our vendre rapidamant dans l’Oîie Blés de Semences Itnde te M’ MARBKUT, et départements voisins fonds de Bopdoaux de Saumup, pays d’ori avoe neiafra k NuteniHe-Handonin (Otaej Etndc de M* SAINTe - b e d t e , commerce, indnstriss, propriétés, gine. Snefr te M'Lineaui. P a r a a t P p a ip ia a , avond k Seniis. ebkteanx; poortronver commandi Rida do Sairniup et Saint-Laud. Xe tout (Tmm tuperHeie ie taires assouds on prêts hypothécai V E N T E S U R L IC IT A T IO N res, adressis-vons k la Bnnqus Blé da Neé de S aunur. m ui F HcsHmrem S i A xe& t P r i x : 9 9 ir a ii a a . d’Etudan oommerelalad si Inpar Je ministère de M‘ Mwdelet,le Ponr tontes 1m insertions portant] M itatiJmA' B’um Envoi Echantillon eitr demanda. I raUlilE-LEfr-CUPHilBI Tenteedi 9 Octob» 1908, k 3 heans, eette mention : duntplslies. 8, boulsvupd SaintATE3-T0US nalE B flSex 1 Harllii, Parta. C o a q ra d e B o ia bites anx ter S ’aateaasav nu Jeiavnad, m t r j o c s DIS f f i u B n i S’éubwfff / roin t e Boissy-Intnoy, Paroy-lesAegndrenn sériaux demandent k Blés Captsr et Tévepseii, triés, T(9 (SETEDZ s o n - a s 11 tente demande de tenseignemaats I Goiabrles et Levignen. Penr visiter achettr de suite Hôtels, Cafés, Raspnn, de semeiMs anglaisas. A M- GARAMOER. notai» é Paris, ro M is n -o s t les coupes, s’adresser k M. Largnèt, doit ét» aeconpapéa tUna tlHffiré. m •sa , . Sise k SATNT-LED-D’ESSERENT tanrant, Nonvaantes, Epicerits, Tins Dês Amas de Lostm &larly-la-IOlt bonlevard Magenta, n* 160 ; garde k 1a tanne te Targny. comU f in n II nevoi. unsm aeaj en gros et demi-gros. rne dn Penple, Et k M DEUDMAT, notaire k (Seine-et^ise). H M sera répondu 94 'eum kt-\ mnae d’Ormoy^TÛta», at k M.LeTj Transports propriétés. Châteaux. «T«0 Seniis, 848 tra eoiUenant im Simibre peur la P r i x : 9 9 /r s tta o a . tabv»; de Léviocn. Toufei les affaires sont éludiiee «PMMtlillMt «t rteoiiM. sur p’oee d nos /Tate. 1743 ITDS Blés k grands rendstnents dn Nord B ute Uaffi’ QnnxBR, notd» (Origine blés u i ^ t ) . A C E D E R ponr^ ^ V m i i V O T I 9 8 » f r m A * H ln g b le e # kChateblyCOise). LECTOBE fèlIRTODS P r i x : . 9 8 tr a ita m .. emploi, n e b o a n a jp a tlta Fhmb' sises terroin de «arie» sitnée k BÛiS, 10, n e Bal t h a o ta r a 0 8 s m a f | b b | SAiBT-Liu-D’EssniiiT et Cbahoist , et jardin, A lA n d a , idace de CnU. S’adresser k M. J. GA^ T , ingé- lon. - S’y adresser, 1686 A t - o o m ti a r a a te . T H l l ^ibmbnmntrUnu: Paris.6fr.jl46ltiBaai 11 fv d T lIA IT T lerrasM avec jolicmic. — S’tdrea- nienr-agrtaete, k Chanti , w a u f â l’amiteta, par h mi- B é w tM M a ts,7 fr.» rin iM ,9 k -| En 8 0 Lote, te c * • tj. A L H Ü ü I, ser k M 'D iuuiU T ^taj». iggg 1690 nistè» de M* Qnantiar, notai». Le F , 60 centimes. 8t t e r t e j f f i . m i l t . NllSOII BOlIRGIOlSII r I Six m ois... M Ml ïf .LETTRES DE FAIRE PART DE B fa iu e a n c e , M a r i a g e e t D é o è a , AFFICHES de coolenr et de tons foimats. iltaaa..... Avis à MM. les Chasseurs. ON TROUVÉ DES DEMANDES DE PER M IS DE CHASSI BEAU CHEVAL Coistrictloi de Voitires et de Reies toites fen â E. DIEUX Haisou de Gampagie AVIS IMPORTANT P MAI S ON 29 PièGfôdeTeFFeftBois ir N' < - PETITE M IISOK % T i par n m M ^ d e ü ^ do Uon^ ponr légaUitttOn do ta Hmatiiro te U T E iD * a * d tte r t) P R O P R IÉ T É AVIS IMPORTANT P:. ON s a I tenlta. I iBprtffiBto Adalatatrait» ot ^>l^o(tea^AlU9lll^^l ^ ^ ^ ^ é lo ig m tîo ô a p o n rrM i «a fie A j^ fe d e o p . conna iv i