Programme PDF - Documentaire sur grand écran
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Programme PDF - Documentaire sur grand écran
Documentaire sur grand écran 52 avenue de Flandre 75019 Paris T. 01 40 38 04 00 www.docsurgrandecran.fr [email protected] La Filmothèque du Quartier Latin 9 rue Champollion 75005 Paris T. 01 43 26 70 38 M°: St-Michel, Odéon www.lafilmotheque.fr Plein tarif : 9 € Tarif réduit : 7 € (étudiants, seniors, moins de 20 ans, chômeurs et adhérents DSGE) Tarif groupe - plus de 20 personnes : 4 € Cartes «UGC Illimité» et «LE PASS Gaumont» acceptées avec le partenariat de NEW YORK UNDERGROUND 1960, New-York, Bleecker Street. C'est dans ce quartier de Greenwich Village, à deux pas du Club où débutent Bob Dylan et Jimi Hendrix, que Lionel Rogosin décide d'installer sa salle de cinéma. Las de se battre pour projeter ses films ou ceux de ses amis, il crée ce lieu qui sera l'un des rendez-vous de la scène underground new-yorkaise jusqu'en 1974. Inauguré avec son film Come Back Africa, le Bleecker Street Cinema accueille nombre des films de la "neuvième vague" de metteurs en scène, parmi lesquels Shirley Clarke, John Cassavetes, Robert Frank, Jonas et Adolfas Mekas, Morris Engel, Andy Warhol... Le Bleecker Street Cinema est alors l'un des cinémas new-yorkais où se jouent les batailles mais aussi les grands défis esthétiques et politiques emblématiques du cinéma indépendant de ces années soixante. Un cinéma léger, libre et débridé qui fait écho à l'esprit du cinéma documentaire contemporain. Les petites caméras HD d'aujourd'hui répondant aux caméras 16 mm d'hier. Les images de contestation d'hier répondant au cinéma activiste d'aujourd'hui. Cette effervescence créatrice et politique des années soixante se cristallise dans un mouvement appelé "New American Cinema" emmené par Lionel Rogosin, avec Jonas et Adolfas Mekas, Shirley Clarke, Bob Downey. Les films réalisés en totale indépendance d'Hollywood -voire contre Hollywood- deviennent emblématiques d'un cinéma direct, d'un cinéma poétique, d'un cinéma expérimental ou d'un cinéma politique soucieux de montrer l'envers du décor hollywoodien, l'autre face du rêve américain. Une explosion des thèmes, des styles et des genres chroniquée avec humour et passion dans la revue Film Culture par l'un de ses protagonistes, Jonas Mekas. Les quatre ou cinq salles "art et essai" de New-York se partagent cette étonnante production. A l’affiche du Bleecker, on trouve ainsi majoritairement les films politiques d’une nouvelle génération de cinéastes activistes qui s’élèvent contre la guerre du Vietnam, pour les droits civiques des minorités ou la reconnaissance de la culture gay (Emile de Antonio, Lionel Rogosin, Shirley Clarke, Kate Millet, Storm de Hirsch…), tandis que les mythiques séances de minuit sont pleines de l’effervescence des avant-gardes du cinéma expérimental (Jonas Mekas, Kenneth Anger, Warren Sonbert…). Les Nouvelles Vagues française et tchèque y sont également très présentes. À travers la reprise de ces quatorze films sélectionnés dans la programmation du Bleecker Street Cinema des années soixante, école d'un cinéma indépendant pour nombre de jeunes cinéastes parmi lesquels Martin Scorsese, John Cassavetes, Milos Forman ou Francis Ford Coppola, nous vous offrirons un bel aperçu de la formidable pulsation de cette "renaissance du cinéma américain", comme l'a qualifiée Dominique Noguez. Et, point d’orgue de cette semaine new-yorkaise, nous profiterons d’une séance spéciale autour du portrait de Shirley Clarke par André S. Labarthe et Noël Burch, Rome is burning, pour échanger sur les influences réciproques des Nouvelles Vagues française et américaine, à l’occasion d’une « Rencontre entre deux Nouvelles Vagues » en compagnie d’André S. Labarthe, Jackie Raynal (qui poursuivit l’aventure du Bleecker Street Cinema après Lionel Rogosin) et Eleni Tranouli, le dimanche 24 novembre après-midi. Annick Peigné-Giuly, Hélène Coppel Documentaire sur grand écran 3 mercredi 20 novembre SOIRÉE D’OUVERTURE 20h30 séance suivie d’un débat avec Michaël Rogosin et Jackie Raynal ON THE BOWERY Un film de Lionel Rogosin Etats-Unis, 1957, 35mm, N&B, 65’ Ray, un cheminot à bout de ressources, échoue sur le Bowery, le quartier des clochards à New York. Il traîne dans les bars, offre des verres aux alcooliques et fait des rencontres éphémères. Dès le premier soir, il s’écroule dans la rue et se fait voler sa valise par son compagnon de circonstance. Le lendemain, Ray se met en quête d’un travail pour tenter de se défaire de l’emprise de ce milieu destructeur… « Un film-clé du cinéma américain... On the Bowery m’est très cher... Le film de Rogosin me rappelle si fidèlement mes souvenirs de cette époque, de ce lieu. Il a accompli son but, dépeindre la vie des gens qui échouaient dans le Bowery, aussi simplement et honnêtement que possible, et avec compassion. Un exploit rare. » Martin Scorsese « D’après moi, ce type est probablement le plus grand documentariste de tous les temps. » John Cassavetes Précédé de deux entretiens réalisés par Michaël Rogosin avec Martin Scorsese et Lionel Rogosin. (env. 15’ ) LES INTERVENANTS DE LA MANIFESTATION Michaël Rogosin, fils de Lionel Rogosin, réalisateur de The perfect Team : Making of de On the Bowery Jackie Raynal, cinéaste et monteuse, a repris le Bleecker Street Cinema à la suite de Lionel Rogosin. Federico Rossin, critique, historien de cinéma Christian Lebrat, cinéaste, photographe, président des Editions Paris Expérimental. Il a notamment co-dirigé “ Jonas Mekas : le livre de Walden ”, Paris Expérimental 1999 et publié “ Ciné-journal, un nouveau cinéma américain ” par Jonas Mekas, Paris Expérimental 1992. Thierry Jousse, rédacteur en chef des Cahiers du cinéma, animateur de "Cinéma Song" sur France Musique. Il est notamment l'auteur de “ John Cassavetes ”, Ed. Cahiers du Cinéma, 1989 André S. Labarthe, cinéaste, écrivain de cinéma Eleni Tranouli, diplômée en architecture et titulaire du master 2 recherche en Cinéma et Audiovisuel de l’Université Paris-3, auteur de “ Les écrits de Maya Deren, 1936-1961 : historique, traduction et commentaire ”, Université Paris-3, 2013 Martha Kirszenbaum, commissaire d’exposition indépendante, met actuellement en oeuvre "La fin de la nuit", une exposition en deux temps à Paris (Palais de Tokyo) et à Los Angeles (Los Angeles Contemporary Exhibitions), consacrée respectivement à l'influence visuelle de Kenneth Anger et de L'Enfer d'Henri-Georges Clouzot. Jackie Buet, directrice et fondatrice du Festival International de Films de Femmes de Créteil Dimanche 24 novembre 4 RENCONTRE ENTRE DEUX NOUVELLES VAGUES Animée par Annick Peigné-Giuly avec la participation d’André S. Labarthe, Jackie Raynal et Eleni Tranouli. A l’issue de la séance de 15h30. jeudi 21 novembre 20h30 LES VÉTÉRANS DU MASSACRE DE MY LAI séance suivie d’un débat avec Federico Rossin (Interview with My Lai Veterans) Un film de Joseph Strick Etats-Unis, 1971, Vidéo, Couleur, 22’ Oscar du meilleur documentaire en 1971 Le massacre de My Lai, survenu pendant la guerre du Vietnam, a été une tuerie menée par des soldats américains contre des civils vietnamiens dont de nombreux femmes et enfants. Joseph Strick a interviewé cinq soldats impliqués dans ce massacre. VIETNAM, ANNÉE DU COCHON (In the Year of the Pig) Un film de Emile de Antonio Etats-Unis, 1969, Vidéo, N&B, 101’ Deux ans avant Millhouse, Emile de Antonio est le premier cinéaste américain à tenter d'expliquer les raisons profondes de la guerre au Vietnam. Se fondant sur une étude méthodique d'une quantité énorme d'images d'archives, qui remontent même à l'époque de la colonisation française, il démontre à la fois la préméditation de l'intervention américaine et le caractère, selon lui, inéluctable de la défaite militaire. Ce film antimilitariste et radical fut évidemment reçu avec une grande hostilité à sa sortie dans les milieux conservateurs et nombreux furent les actes de vandalisme et les alertes à la bombe dans les cinémas qui le programmaient. vendredi 22 novembre 20h WALDEN séance présentée par Christian Lebrat (Diaries, notes & sketches) Un film de Jonas Mekas Etats-Unis, 1969, 16 mm, N&B et couleur, 173’ (VO) « Depuis 1950, je n'ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. Certains jours, je tournais dix plans, d'autres jours dix secondes, d'autres dix minutes, ou bien je ne tournais rien... Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l'ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significaJonas Mekas tifs ou non. » 5 samedi 23 novembre 18h50 AMPHETAMINE séance suivie d’un débat avec Thierry Jousse Un film de Warren Sonbert Etats-Unis, 1966, 16mm, N&B, 10’ « Sonbert a commencé à faire des films en 1966, alors qu'il était étudiant en cinéma à la New York University. Dans ses premiers films, il a capté de façon unique l'esprit de sa génération, en s'inspirant de son milieu universitaire et des figures entourant Warhol. À la fois enjoué et provocant, Amphétamine dépeint de jeunes gens se shootant aux amphétamines et faisant l'amour à l'ère du sexe, drogues et rock'n'roll. » Jon Gartenberg MINGUS : CHARLIE MINGUS (Mingus in Greenwich Village) Un film de Thomas Reichman Etats-Unis, 1968, Vidéo, N&B, 60’ Une nuit avec Charlie Mingus dans son loft de Greenwich Village, alors qu'il attend d'être expulsé par la police. Filmé par un étudiant en cinéma, c'est un film sublime sur la brutalité de la condition des noirs et des musiciens de jazz aux États-Unis. Durant toute la nuit, au milieu de son capharnaüm, Mingus se livre dans un étrange monologue, parle avec sa fille, tire à la carabine dans le plafond. Au petit matin, les policiers débarquent et Mingus part les menottes aux poignets, ses affaires embarquées sans ménagements dans un camion municipal, sa contrebasse abandonnée sur le trottoir. Mingus in Greenwich Village est un film poignant, brutal dans sa simplicité et son propos. Entouré de journalistes qu'il a convoqués alors que la police et les services de la ville embarquent ses affaires, Mingus demande, "Vous vouliez savoir ce que c'est la soi-disant vie des musiciens de jazz ? Et bien, c'est ça." 21h WHERE DID OUR LOVE GO? séance suivie d’un débat avec Federico Rossin Un film de Warren Sonbert Etats-Unis, 1966, 16mm, couleur, 15' “L'époque de la Factory de Warhol... Des rencontres fortuites, Janis et Castelli ainsi que des vues de Bellevue... Malanga au travail... Des coups d'oeil sur Le Mépris et La Mort aux trousses... Des groupes rock de filles et l'ouverture d'une discothèque... Un film ultra-vivant sur ce qui est moderne. Mon second film.” Warren Sonbert SHADOWS Un film de John Cassavetes 6 Etats-Unis, 1959, Cin. Num., N&B, 87’ New York, à la fin des années 50. Benny est un jeune homme révolté qui passe son temps à jouer de la trompette et à traîner dans les rues de New York avec ses amis Dennis et Tom. Hugh tente quant à lui de faire carrière comme chanteur de jazz, tandis que Lelia nourrit le rêve de devenir écrivain. Ils vivent sous le même toit, ils sont frères et sœur, et ils sont noirs. «Shadows a gardé toute sa fraîcheur comme si le New York de 1958, capté en direct, était resté éternellement présent. Dernier élément constitutif de Shadows : la musique. Pourquoi ? Tout simplement, parce que l’auteur et l’interprète est Charles Mingus qui improvise en compagnie de Shafi Hadi, son saxophoniste de l’époque. Tout au long des images, Mingus fait tellement corps avec Shadows qu’on finit par ne plus savoir si c’est la musique qui accompagne les plans ou l’inverse. Dans un cas comme dans l’autre, le phrasé, la sonoThierry Jousse rité, la pulsation, le rythme de Cassavetes comme de Mingus font merveille.» dimanche 24 novembre 15h30 PEYOTE QUEEN séance suivie d’une rencontre avec André S. Labarthe, Jackie Raynal, Eleni Tranouli Un film de Storm de Hirsch Etats-Unis, 1965, vidéo, couleur, 9’ “J’avais terriblement envie de faire un court-métrage d’animation, mais je n’avais pas de caméra sous la main. J’avais un vieux stock de pellicule vierge et plusieurs bobines de bande son 16mm. J’ai utilisé cela – ainsi que divers instruments chirurgicaux usagés et la pointe tranchante d’un tournevis – en coupant, gravant et peignant directement à la fois sur la pellicule et sur la bande son.” Storm De Hirsch à Jonas Mekas ROME IS BURNING - Portrait of Shirley Clarke Série “Cinéma, de notre temps” Un film d’André S. Labarthe, Noël Burch France, 1996, Vidéo, couleur et N&B, 55’ La subversion est-elle soluble dans le cinéma ? Les films militants sont-ils efficaces ? Comment tourner hors du "système" ? Cinéaste expérimentale, "underground" disait-on à l'époque, Shirley Clarke répond en 1968 à Noël Burch, André S. Labarthe, Jacques Rivette et Jean-Jacques Lebel. RENCONTRE ENTRE DEUX NOUVELLES VAGUES La projection de Rome is burning sera suivie d’un échange sur les influences réciproques des nouvelles vagues française et américaine. Avec la participation d’André S. Labarthe, Jackie Raynal et Eleni Tranouli, animée par Annick Peigné-Giuly 18h30 séance suivie d’un débat avec Jackie Raynal THE COOL WORLD Un film de Shirley Clarke Etats-Unis, 1963, Vidéo, N&B, 100’ Avec Hampton Clanton, Carl Lee, Yolanda Rodriguez, Clarence Williams, Gary Bolling Adapté du roman de Warren Miller et tourné à Harlem en 1962, The Cool World dresse un portrait singulier, entre fiction et réalisme documentaire, du ghetto noir et de ses habitants. Entourée d’acteurs non-professionnels repérés dans la rue, Shirley Clarke privilégie l'improvisation et radicalise une méthode amorcée avec The Connection. Dans The Cool World, la liberté formelle s'accompagne d’un regard sur le réel inédit, au point que Miles Davis a pu affirmer que le sous-titre du film aurait dû être simplement The Truth, la Vérité. 7 lundi 25 novembre 20h PULL MY DAISY séance suivie d’un débat avec Martha Kirszenbaum Un film de Robert Frank et Alfred Leslie États-Unis, 1959, Vidéo, N&B, 28’ Scénario inspiré du troisième acte de la pièce The Beat Generation de Jack Kerouac Avec Mooney Peebles, Allen Ginsberg, Peter Orlovsky, Gregory Corso, Larry Rivers, Delphine Seyrig... Un évêque (Richard Bellamy) et sa mère (Alice Neel) vont voir Milo, un cheminot (Larry Rivers). Dans l’appartement traînent ses amis poètes qui interrogent l’évêque sur le sens de la vie et sur les relations entre profane et sacré. “ Pull My Daisy est une fête. Non seulement on y entend un texte peu connu de Kerouac dit par lui-même, mais on y voit des acteurs étranges : Allen Ginsberg, Gregory Corso et même Delphine Seyrig, tels autant d'anges dans un film léger comme le temps, celui de la jeunesse, de la rigolade, de la création et de la révolution de Edouard Waintrop l'écriture, qui s'envole.” SCORPIO RISING Un film de Kenneth Anger Etats-Unis, 1963, Vidéo, couleur, 31’ "Une vision transcendée du mythe du motard américain. La machine comme totem, du jouet à la terreur. Thanatos en chrome et cuir noir. Dédié à Jack Parsons, Victor Childe, Jim Powers, James Dean, T. E. Lawrence, Hart Crane, Kurt Mann, à la Société des Spartans, aux Hell's Angels et à toute la jeunesse Kenneth Anger attardée qui ne suivra jamais l'appel du Frère Amour." mardi 26 novembre SOIRÉE DE CLÔTURE 21h séance suivie d’un débat avec Michaël Rogosin, Eleni Tranouli et Jackie Buet MESHES OF THE AFTERNOON Un film de Maya Deren Etats-Unis, 1943, Vidéo, N&B 14’ Court-métrage expérimental réalisé par le couple Maya Deren et Alexander Hammid. L'intrigue du film est circulaire et répète des images psychologiques à caractère symbolique, telles qu'une fleur sur une longue route, une clé en train de tomber, une porte déverrouillée, un couteau enfoncé dans un pain, une mystérieuse figure habillée en Faucheuse et ayant un miroir pour visage, ou encore un téléphone décroché. THREE LIVES (INÉDIT) Un film de Kate Millett (co-réalisation : Louva Irvine, Susan Kleckner, Robin Mide) 8 Etats-Unis, 1971, Vidéo, couleur et N&B, 70’ Le titre du film est emprunté au recueil de nouvelles de Gertrud Stein Three Lives “ qui traite de l’expérience de femmes tout à fait ordinaires, des personnes dont les vies sont généralement oubliées ou méprisées”. En une succession de monologues autobiographiques, trois femmes ordinaires mais très différentes, intelligentes et attachantes, se racontent devant la caméra de Kate Millett, l’écrivaine féministe américaine auteur de Sexual Politics (La Politique du mâle, 1970), accompagnée d’une équipe exclusivement féminine. Elles évoquent les conflits passés, les décisions et les conséquences de leurs actions qui les mènent aujourd’hui à se réaliser en tant que femmes. NEW YORK UNDERGROUND calendrier des projections en région En parallèle de la manifestation parisienne, plusieurs programmations, construites à partir d'une liste élargie de films, sont mises en place partout en France en novembre et au cours des mois suivants. 5 novembre 6 novembre 6 novembre 9 novembre 9 novembre 9 novembre 12 novembre 12 novembre 14 novembre 15 novembre 15 novembre 16 novembre 16 novembre 17 novembre Gaillac / Imagin’ Cinémas - www.cine81.com 19h : Come Back Africa de Lionel Rogosin (en présence de Michaël Rogosin) 21h30 : Three Lives de Kate Millett Toulouse / Cinéma Le Cratère - www.cinemalecratere.com 19h : Good Times, Wonderful Times de Lionel Rogosin 21h : Portrait of Jason de Shirley Clarke (en présence de Michaël Rogosin) Rennes / Institut Franco Américain - www.ifa-rennes.org 20h : Mingus in Greenwich Village de Thomas Reichman Villejuif / Médiathèque de Villejuif - www.ville-villejuif.fr 15h30 : On The Bowery de Lionel Rogosin (en présence de Michaël Rogosin, Philippe Pilard) St-Leu-la-Forêt / Médiathèque intercommunale G. Pompidou-www.mediatheques.valetforet.org 15h30 : Mingus in Greenwich Village de Thomas Reichman (en présence de Federico Rossin) Sète / Cinéma Le Palace - www.imagesingulieres.com 20h : Shadows de John Cassavetes Sotteville-lès-Rouen / Bibliothèque Municipale - www.mairie-sotteville-les-rouen.fr 18h30 : Mingus in Greenwich Village de Thomas Reichman Bujumbura / Institut Français du Burundi - www.ifburundi.org 17h : Mingus in Greenwich Village de Thomas Reichman (+ 6 autres projections) Nantes / Université - www.3continents.com 19h30 : Come Back Africa de Lionel Rogosin (en présence de Michaël Rogosin) Ajaccio / Palais des Congrès - Corsica.doc - www.corsica.com 21h : The Connection de Shirley Clarke (en présence de Federico Rossin) Nîmes / Médiathèque du Carré d’Art - www.bibliotheque.nimes.fr 18h30 : On The Bowery de Lionel Rogosin (en présence de Michaël Rogosin) Villejuif / Médiathèque de Villejuif - www.ville-villejuif.fr 15h30 : Mingus in Greenwich Village de Thomas Reichman Ajaccio / Palais des Congrès - Corsica.doc - www.corsica.com 18h : Vietnam, année du cochon de Emile de Antonio (en présence de Federico Rossin) 18h30 : Shadows de John Cassavetes (en présence de Federico Rossin) - Auditorium Ajaccio / Palais des Congrès - Corsica.doc - www.corsica.com 10h30 : On The Bowery de Lionel Rogosin (en présence de Federico Rossin) 9 NEW YORK UNDERGROUND calendrier des projections en région 17 novembre 22 novembre 22 novembre 23 novembre 23 novembre 23 novembre 24 novembre 26 novembre 28 novembre 29 novembre 30 novembre 22 janvier > 4 février mars 2014 10 Foix / L’Estive - Scène Nationale de Foix et de l’Ariège - www.lestive.com 15h : Portrait of Jason de Shirley Clarke Saintes / Cinéma Le Gallia - www.gallia-theatre.fr 18h30 : Come Back Africa de Lionel Rogosin Vincennes / Cinéma Le Vincennes - www.cinemalevincennes.com 20h30 : Come Back Africa de Lionel Rogosin (en présence de Michaël Rogosin) Villejuif / Médiathèque de Villejuif - www.ville-villejuif.fr 15h30 : Portrait of Jason de Shirley Clarke Paris / Bibliothèque Lévi-Strauss - www.paris.fr 15h30 : Come Back Africa de Lionel Rogosin (en présence de Michaël Rogosin) Champigny / Médiathèque Champigny - www.mediatheque.mairie-champigny94.fr 18h : Come Back Africa de Lionel Rogosin Nantes / Le Cinématographe - www.3continents.com 14h30 : Come Back Africa de Lionel Rogosin (en présence de Michaël Rogosin) Strasbourg / Musée d’Art Moderne et Contemporain - www.musee.strasbourg.eu 19h : The Brig de Jonas et Adolfas Mekas Lyon / Ecole Normale Supérieure - www.ens-lyon.eu 19h : On The Bowery de Lionel Rogosin 21h : The Connection de Shirley Clarke (en présence de Michaël Rogosin) Evreux / Bibliothèque-Médiathèque - www.culture-evreux.fr 20h : On The Bowery de Lionel Rogosin Champigny / Médiathèque Champigny - www.mediatheque.mairie-champigny94.fr 18h : On The Bowery de Lionel Rogosin Strasbourg / Cinéma Le Star - www.cinema-star.com Rétrospective New York Underground Nantes / Le Cinématographe - www.lecinematographe.com Reprise de la programmation New York Underground 2 NOUVEAUX COFFRETS DVD DES COLLECTIONS PARTICULIÈRES DE DOCUMENTAIRE SUR GRAND ÉCRAN “Ross McElwee séduit d'emblée : sa voix douce et légèrement maladroite et son empathie envers les gens qu’il filme, amis, famille ou étrangers... font de lui l’un des plus importants cinéastes documentaristes de notre temps." Richard Leacock sortie le 5 novembre 2 DVD / 4 films + suppléments sortie le 2 décembre 2 DVD / 3 films + suppléments “La trilogie papoue restera dans sa dimension véritablement shakespearienne un sommet du cinéma documentaire de tous les temps.” Thierry Garrel en vente sur : www.lescollectionsparticulieres.com Doc & Doc Documentaire sur grand écran et le Forum des images mardi 17 décembre 2013 19h FIRST CONTACT La trilogie papoue de Bob Connolly et Robin Anderson un film de Bob Connolly et Robin Anderson Australie, 1982, vidéo, N&B et coul., 52’ En 1930, trois chercheurs d'or australiens découvrent et filment en Nouvelle-Guinée une population jusqu'alors ignorée du reste du monde : les Ganiga. Cinquante ans plus tard Bob Connolly et Robin Anderson retrouvent la tribu et montrent aux Papous le film de ce premier contact. Chacun commente le souvenir de ce face-à-face historique. séance suivie d’une rencontre avec Thierry Garrel, producteur et consultant, ancien Directeur de l’Unité Documentaires d’Arte France Forum des images 20h45 BLACK HARVEST un film de Bob Connolly et Robin Anderson Australie, 1992, vidéo, coul., 90’ Troisième volet de la trilogie autour de la tribu papoue des Ganiga en Nouvelle-Guinée. Joe Leahy, propriétaire d'une plantation de café où tous travaillent, est perçu comme "l'ambassadeur du monde moderne ". Jusqu'au jour où le prix du café s'effondre, et les salaires avec. Ressurgit alors le vieux système ganiga et la guerre tribale éclate. séance suivie d’une rencontre avec Thierry Garrel, producteur et consultant, ancien Directeur de l’Unité Documentaires d’Arte France 2 rue du Cinéma / Forum des Halles 75001 Paris M° : Les Halles - Rens. : 01 44 76 63 00 www.forumdesimages.fr Tarif / séance : 6€ - Tarif spécial pour les 2 séances : 10€ - Tarif réduit / séance : 5€ (adhérents à DSGE) 11