pub65 ( 58.96 Ko ) - Le syndicat des Métallos

Communiqué de presse
Syndicat des Métallos (FTQ)
Un syndicat chez GDX Automotive Québec à Sherbrooke
Calomnie et maraudage contre les
Métallos
Mercredi, 11 mai 2005. Le Syndicat des Métallos (FTQ) dénonce les tentatives
désespérées et mensongères d’une autre centrale syndicale qui préfère marauder et
calomnier le Syndicat des Métallos (FTQ) plutôt que de corriger le tir dans son propre
syndicat local accusé de fraude chez GDX Automotive Québec à Sherbrooke. « Pris de
panique, le représentant de cette centrale se trompe de cible. Il est désolant pour une
centrale syndicale d’affirmer publiquement non seulement qu’elle maraude les Métallos
au lieu d'aider les non syndiqués mais aussi de nous imputer sans aucune preuve une
démarche sournoise afin de camoufler sa propre incurie », a déclaré Daniel Roy,
coordonnateur du Syndicat des Métallos (FTQ).
Le Syndicat des Métallos (FTQ) représente plus de 800 travailleurs chez GDX
Automotive au Québec. Depuis l’acquisition de SaarGummi par GDX Automotive, le
Syndicat des Métallos (FTQ) représente également des travailleurs et des travailleuses de
cette entreprise en Ontario et aux États-Unis. « Lors de notre dernier congrès
international aux États-Unis, les délégués du Québec, de l’Ontario et des États-Unis
provenant des usines syndiquées Métallos chez GDX Automotive se sont rencontrés.
Lors du prochain congrès du Congrès du travail du Canada (CTC), les discussions vont se
poursuivre. C'est le début d’une véritable solidarité internationale pour ces travailleurs et
ces travailleuses. Seul un syndicat international fort de ses 850 000 membres peut donner
la force nécessaire pour affronter une puissante multinationale comme GDX
Automotive», a poursuivi Daniel Roy.
«Nous travaillons avec nos membres pour leur obtenir de bonnes conditions de travail et
de salaires. Les négociations approchent. Le maraudage d’une autre centrale syndicale
retarde tout le processus. C'est déplorable. Nous aurions tellement mieux à faire que
d’être obligés de perdre du temps avec cette autre centrale. Au lieu de jouer aux vierges
offensées, elle devrait se concentrer sur la syndicalisation des travailleurs et travailleuses
non syndiqués et le règlement de ses problèmes internes», a conclu Denis Trottier,
permanent du Syndicat des Métallos (FTQ).
(30)
Pour information : Daniel Roy, Syndicat des Métallos (FTQ), (450) 359-4441 ou
(514) 293-9229
Denis Trottier, Syndicat des Métallos (FTQ), (450) 359-4441