N`écris pas. Je suis triste, et je voudrais m`éteindre. Les beaux étés
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N`écris pas. Je suis triste, et je voudrais m`éteindre. Les beaux étés
Marceline Desbordes-Valmore (1786 - 1859) Devenue comédienne à l’âge de 16 ans, elle se produit notamment à Paris, et à Bruxelles où elle incarne en 1815 « Rosine » dans Le Barbier de Séville de Beaumarchais. Elle crée plusieurs pièces de Pigault-Lebrun, rencontre Talma, admire Marie Dorval et surtout Mademoiselle Mars, qui sera son amie jusqu’à la fin de ses jours. De 1808 à 1810, elle a une liaison passionnée avec le comédien et homme de lettres Henri de Latouche, qu’elle nomme Olivier dans ses poèmes. Elle publie en 1819 son premier recueil, Élégies et Romances, qui attire l’attention. Ses ouvrages les plus importants sont les Élégies et poésies nouvelles en 1824, les Pleurs en 1833, Pauvres fleurs en 1839 et Bouquets et prières en 1843. Toutes ses œuvres, dont le lyrisme et la hardiesse de versification sont remarqués, lui valent une pension royale sous Louis-Philippe et plusieurs distinctions académiques. En 1833, elle publie un roman autobiographique L’Atelier d’un peintre où elle met en évidence la difficulté d’être reconnue pleinement comme artiste pour une femme. LES SÉPARÉS e. dr in te ’é m is ra ud vo je et e, ist tr is su N’écris pas. Je au. be m fla ns sa it nu la t es c’ i, to ns sa és ét x Les beau teindre, at t’ t en uv pe ne i qu as br es m é rm fe re ai J’ . au be m to au r pe ap fr t es c’ r, eu co on m à Et frapper N’écris pas! , es èm -m us no à rir ou m ’à qu ns no re pp ’a N N’écris pas. s! ai m ai t’ je si i, to à u’ .q .. eu Di ’à qu de an m Ne de ’aimes, m tu e qu r te ou éc e nc se ab n to de nd fo u A s. ai m ja r te on m y ns sa el ci le re nd te en C’est N’écris pas! ; re oi ém m a m de ur pe ai j’ : ns ai cr te Je N’écris pas. t. en uv so le el pp ’a m i qu ix vo ta é rd ga a Elle boire. la ut pe ne i qu à e viv au l’e s pa e tr on m e N t. an viv it ra rt po un t es e ur rit éc e èr ch Une N’écris pas! e: lir us pl e os n’ je e qu s ot m ux de s ce s N’écris pa r; eu co on m r su nd pa ré s le ix vo ta e qu e bl m Il se ; Que je les vois brûler à travers ton souronirecoeur. Il semble qu’un baiser les empreint sur m N’écris pas!