Construction du scénario du film phase 4

Transcription

Construction du scénario du film phase 4
Scénario du film
Plan 1
Il était une fois 2 villages qui se faisaient face. L’un des villages était rouge, il se nommait
houassa et l’autre était bleu, c’était le village de Liaoning.
Entre deux collines, dans la vallée, il y avait un puits avec très peu d’eau. Les maisons du
village bleu avaient la forme d'un igloo de terre, alors que les maisons du village rouge étaient en
forme de case, avec le toit en paille.
Le puits asséché se situait dans le lit d’une ancienne rivière qui ne coulait plus. Un barrage
avait été construit, il y a très longtemps par leurs ancêtres, pour éviter les inondations terribles
qu’il y avait à la saison des pluies.
Plan 2 et Plan 3
Dans le village rouge, forcément, tout était rouge ; le toit de l’église, les maisons...
fenêtres étaient rectangulaires. Le village bleu, c’était l’inverse, évidemment tout était bleu,
contre les fenêtres était rondes.
Le village couleur pivoine était perché sur la grande colline. Il était entouré de cactus,
emblème. Celui à la couleur de bleuet, accroché à la petite colline était lui encerclé de sapins,
emblème à lui.
Les
par
son
son
Les habitants de la grande colline n'étaient pas très bien cachés du soleil par les cactus et ,
avaient la peau plus bronzée.
Comme ils aimaient la musique, les deux villages fabriquaient des instruments avec tout ce
qu’ils trouvaient, les rouges préféraient les percussions, les bleus étaient eux plutôt instruments
à cordes … Quand un village s’y mettait, il était difficile à arrêter. Alors si les deux s’y collaient
…. C’était la fête dans la vallée !
c. D. et e. V.
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Plan 1
Depuis quelques temps, entre les deux villages, c’était la guerre à cause du fameux puits
qui servait aux deux villages.
Les villageois remontaient le seau d'eau grâce à des éléphants qui mettaient leur trompe
dans le puits.
Plan 2
Les villageois se bousculaient pour prendre l'eau.
Le maire du village bleu tomba dans le puits. La moitié de l’eau en sortit. Les houassariens
étaient furieux.
Le maire sortit du puits, tout énervé, il cria
« Qui m'a poussé ?!!!! »
Le maire Houassarien répondit :
« C'est moi ! Parce que j'en ai marre que toi et tes campagnards preniez toujours l'eau en
premier, et beaucoup en plus !, Surtout que c’est notre puits ! »
« Et pourquoi, on est plus près de ce puits » dirent les villageois de l'autre village.
« C’est nouveau ça ? Sûrement pas, nous sommes plus proches de lui ! » rétorquèrent les rouges.
Plan 3
Les maires de chaque village hurlèrent : « On le partage depuis des millénaires, depuis
même nos arrières-arrières-arrières-arrières-arrières-grands-parents, mais maintenant, c’est
fini. »
Et c’est ainsi que la guerre éclata !
c. D. et e. V.
Plan 1
Depuis ce jour, la vie n’était plus possible dans les villages.
Les parents obligeaient leurs enfants à creuser des souterrains, avec les mains, derrière la
colline pour espionner le village voisin.
La fabrication des souterrains dura des mois et des mois. De plus, il leur arrivait de
ressortir aux mauvais endroits, ils étaient alors obligés de reboucher le trou, pour rester
discrets, et de creuser dans une autre direction.
(à l’image, arrivée dans des toilettes et dialogue : « mais on n’est au bon endroit !!! »)
Plan 2
Leurs parents les obligaient aussi à aller chercher de l'eau à des kilomètres à la ronde, dans
une rivière dangereuse, car infestée de crocodiles.
Plan 1
Depuis le début la guerre, la vie avait changé. Les enfants ne pouvaient plus
apprendre et étudier.
À cause de la guerre, ils ne jouaient plus au ballon, ils ne faisaient plus de toboggan,
ni de tourniquet, ils ne sautaient plus à la marelle et ne sortaient plus les billes…
À cause de la famine, ils ne mangaient que 10 haricots et ne buvaient qu'un verre
d'eau par jour.
Ils se faisaient taper sur les fesses et se faisaient tirer les cheveux, par leurs
parents rendus nerveux à cause de la guerre.
En plus, il n’avait pas plu depuis plusieurs mois, et la sècheresse n’arrangeait rien.
c. D. et e. V.
Plan 1 plus succession planche dessins (transition ?)
C’est au bord de la rivière, en allant chercher l’eau, que les enfants des deux villages
se retrouvèrent. Ils étaient amis avant cette guerre. Ils ne purent se retenir de se serrer
dans leurs bras.
Ils décidèrent alors de trouver ensemble une solution :
« Et si on faisait un puits magique qui pourrait transformer les pommes en eau ? » proposa
un garçon.
« Mais non ça serait alors la guerre des pommes » s'écrièrent tous les enfants.
« Pourquoi on ne se mettrait pas au milieu de la guerre ? » demanda une petite fille.
« Oh non, moi, j'ai peur que l'on se fasse mal et qu'on nous blesse » hurla un garçon.
« Et si on disait des gros mots en lançant des tomates ? » chuchota une petite fille
malicieuse.
« Ah oui, ça, c'est une super idée ! » s'exclama une fillette.
« Mais non nous n'avons pas les ustensiles pour fabriquer un lance-tomate » répondit une
petite fille.
« Mais moi, je vais me faire punir si je dis des gros mots ! » avoua le plus grand des
garçons.
Et finalement après plusieurs idées idiotes ce fut le plus petit, Matious, qui trouva la
solution :
« Eh, eh écoutez-moi ! Et si on allait voir le vieux sage à la barbe bleue, ma mamie m'a dit
qu'il avait des pouvoirs magiques et qu'il savait tout sur tout. »
c. D. et e. V.
Plan 1
Ils décidèrent finalement d’aller voir le grand sage de la région, il était très vieux et avait des
pouvoirs magiques, il sera capable de leur donner de bons conseils. Il leur fallait pour cela
traverser un marécage puis une forêt.
Ils arrivèrent devant le marécage. Mais là, ils se rendirent compte qu'ils ne pouvaient pas le
traverser à la nage.
Ils virent alors différentes sortes de rochers et de lianes.
(dans l’image des rochers sont gris comme des hippopotames et d’autres verts comme des
crocodiles).
Ils bondirent sur les rochers, mais certains ( pour l’animation pas les premiers et pas sur le
premier passage d’enfant) se mirent à bouger. Ils s'agrippèrent alors aux lianes, mais l'une d’elle
était très glissante … Ils arrivèrent quand même de l'autre côté du marécage
Ils observèrent attentivement l'immense forêt et restèrent bouche bée. Ils avancèrent vers
l’arbre du vieux sage.
Plan 2
« Enfin, on est presque arrivés ! »
« Oui ! »
« Regardez là-bas, il y a un grand arc-en-ciel et plein de papillons, on dirait le paradis ! »
« Venez on va voir ! »
« Tu es sûr ? »
« Oui oui »
Ils n’avaient jamais vu un tel arbre, avec autant de vitalité, si majestueux, et gigantesque. Il
avait des feuilles brillantes comme des pièces d’argent.
Les enfants se sont mis à courir.
« On dirait que c’est l'arbre que l'on cherche »
« On est enfin arrivé ! »
« Venez on va frapper ! »
« d'accord »
« toc toc toc …. »
c. D. et e. V.
Plan 1
Quand les enfants entrèrent dans la cabane à pas de loup, le vieux sage méditait.
« Bonjour les enfants » dit-il
« hein ! » firent les enfants étonnés.
« Oui , je vous ai entendu »
« Nous venons pour vous demander quelques conseils... »
Le vieux sage leur coupa la parole : « Je connais votre histoire ».
« Mais comment l'avez-vous su ? »
« Grâce à ma boule de cristal » dit le vieux sage.
« Grâce à quoi ? » dit l'un des enfants
« Grâce à ma boule de cristal! » répéta le vieux sage toujours zen.
« Comment allons-nous résoudre notre problème alors ? » demandèrent les enfants.
« D'après vous ? « dit le vieux sage.
« Vous pourriez faire de la magie ! » s’exclama l'un des enfants.
« Non, je suis trop faible » dit le vieux sage.
« Nous pourrions faire une potion » proposa le plus jeune des enfants.
« Oui » s'écria le vieux sage, « vous avez raison, je vais chercher dans mon livre de magie. »
Après 10 minutes de lecture, le vieux sage s'écria : « J'ai trouvé ! Et voici les ingrédients de la
recette de la potion que vous devrez aller chercher. »
Plan 2
: Scarabées, vers de terre, poils de chats, 3 fourmis rouges, de la gadoue, jus de citrouille.
Plan 3
Les enfants s’harnachèrent de pièges à fourmis, de presses citrouilles, de sacs à gadoue... et ils
partirent à la chasse aux ingrédients. Ils allèrent vers la forêt, ils cherchèrent sous les feuilles
et y trouvèrent des scarabées.
Ils décidèrent de continuer, car ils avaient vu une vieille maison. Un instant plus tard, ils
quittèrent la forêt pour trouver de la gadoue et en remplir les sacs. Ils marchèrent et se
trouvèrent sur une colline, et virent des pâtés de terre fabriqués par des vers de terre.
c. D. et e. V.
Ils les ramassèrent et les mirent dans des sacs avec de la terre.
Ils continuèrent leur recherche vers la vieille maison où vivait une vielle dame avec son chat.
« Bonjour » dirent les enfants aimablement. La vieille les invita à boire du thé. Les enfants
expliquèrent à la grand-mère ce qu'ils cherchaient. Elle prit son chat et lui arracha quelques poils
à la demande des enfants. Ces derniers lui demandèrent si elle avait une citrouille. La vieille
hocha la tête, ce qui signifiait : « Oui ».
Elle leur donna donc une bien grosse citrouille. Les enfants la remercièrent chaleureusement. Ils
partirent vers la montagne et mirent un quart d'heure à la passer.
Ils y trouvèrent des serpents et bien d’autres obstacles. Au bout de 10 minutes la citrouille
devenait vraiment trop lourde. Ils se séparèrent donc en deux groupes.
Le premier allait retourner chez le vieux sage avec la citrouille et la gadoue. L'autre groupe
continuait à rechercher des fourmis rouges.
Plan4 (retour plan maison vieux sage)
Après quelques temps, ils étaient tous revenus avec tous les ingrédients pour les déposer dans la
marmite du vieux sage.
Le vieux sage leur parla d’une façon aussi zen qu’au début.
« Prenez cette potion, dirigez-vous vers l’Ouest, au barrage. Chercher un moyen pour libérer
l’eau et la ramener aux villages. En buvant cette potion, vous découvrirez un pouvoir magique qui
vous aidera. »
Les enfants saluèrent alors le vieux sage et se précipitèrent vers la route du barrage.
c. D. et e. V.
Plan 1
Enfin arrivés au barrage, les enfants se réunirent. L'ainé dit :
« Hey les amis, qui veut goûter la potion, attention on ne sait pas quel pouvoir il y a dedans ».
Le premier enfant dit : « Moi, je ne goûte pas la potion , j'ai peur que ça me rende malade »
Le plus jeune dit : « Moi, je veux bien essayer le premier. »
Plan 2
Après avoir gouté la potion, l'enfant éternua et un arbre s’écroula. Ils découvrirent que la potion
lui avait donné le pouvoir de la super voix !
Pour que le barrage s’effondre, les enfants burent tous un peu de potion et puis se mirent à
crier : « HAaaaaaaa ! »
Ils coururent vite pour se mettre à côté du barrage, car une fissure apparaissait. Ils crièrent de
nouveau. Cette fois, la fissure s’agrandit et tout le barrage explosa sous le poids de l’eau :
« BOUMMM ! »
Plan 3
L’eau dévala dans la vallée et arriva entre les deux collines. Le puits fut enseveli sous l’eau et à
sa place une belle rivière se forma. Elle coulait de nouveau entre les deux collines comme il y
avait bien bien longtemps.
c. D. et e. V.
Plan 1
La guerre se termina grâce aux enfants qui avaient débloqué l'eau du barrage et qui
avaient fait revenir la paix dans les deux villages. Les enfants racontèrent leur aventure :
la rencontre avec le vieux sage, la libération de l’eau grâce à leur pouvoir magique...
Ils apprirent alors aux parents à partager l'eau.
« -Vous auriez pu trouver l'idée d'aller chez le vieux sage vous-même.
- Nous ne pensions qu’à faire la guerre, nous avons été égoïstes.
- Alors faisons la paix.
- Oui ! Et pour fêter ça, organisons une grande fête. »
Les enfants demandèrent à inviter le vieux sage. Les parents acceptèrent. Les enfants utilisèrent
alors leur voix magique et puissante pour l’appeler et l’inviter.
« Vieux sage, retrouve nous pour fêter le retour de l’eau et la fin de la guerre ».
Les musiciens se mirent en place et un buffet fut installé, Il était magnifique, splendide, plein
de couleur. Il y avait tout ce qu'il fallait : des tomates, des pastèques, des bananes, des ananas,
du jus de cactus, des poivrons, des avocats…, tout ce qu'il manquait c’était le fameux pâté de
cochon.
Les enfants décidèrent d'aller chercher les derniers pâtés dans les réserves des deux villages.
Pendant que les maires discutaient, les tranches de pâté se faisaient engloutir une à une. Dès que
les maires virent qu’il ne restait qu’une tranche de pâté, les deux compères se précipitèrent pour
l’attraper.
L’un d’eux l’avala …
« Ho, tu m’as volé ma tranche !
« Paoos du ttououout, C’éttait la miennnnne, elle venait de mon village ! … »
Et la guerre recommença !!!!
Les enfants crièrent alors :
« Vieux sage, ça recommence !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! » avec leur grosse voix.
FIN
c. D. et e. V.

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