Les difficultés sexuelles - Centre de santé et de consultation
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Les difficultés sexuelles - Centre de santé et de consultation
• L’accompagnement d’un professionnel de la santé psychologique et sexuelle est souvent une aide précieuse pour revoir nos pensées et mieux comprendre nos réactions à l’égard des relations interpersonnelles et de la sexualité. Diminuez votre consommation de drogues / alcool • Cessez ou diminuez votre consommation d’alcool et de drogues ! Cela vous permettra de vérifier leur effet sur votre réponse sexuelle. Remettez en question vos croyances / pensées! • Identifiez et remettez en question les pensées / croyances qui viennent inhiber votre désir ou votre excitation (c.-à-d. les pensées négatives sur la sexualité ou sur vous). • Identifiez et remettez en question vos croyances sur la sexualité. • Diminuez vos exigences de performance! Réglez vos difficultés ! • Prenez le temps de régler les différentes difficultés personnelles (dépression, anxiété) qui peuvent avoir un effet négatif sur votre sexualité. • Prenez le temps de digérer vos expériences traumatiques. • Réglez vos problèmes au fur et à mesure. Apprenez à communiquer ! • Exprimez vos désirs / préférences et respectez vos limites. Expérimentez ! • Explorez votre corps et celui de votre partenaire via le toucher (ensemble du corps et parties génitales) puis changez de rôle. Cela vous permettra de partager vos préférences et d’élargir votre répertoire d’activités sexuelles. • Tentez de nouvelles positions ! Savourez ! • Au lieu de vous centrer sur votre performance ou celle de l’autre, prenez le temps de savourer. Vous serez surpris de constater comment ceci favorise la présence et le plaisir de chacun ! Pour les HOMMes… • Retrouvez le plaisir d’être et de demeurer en érection en éliminant la « nécessité » d’amener votre partenaire à l’orgasme. • Déployez votre corps entier à l’excitation sexuelle plutôt que de vous centrer uniquement sur les organes génitaux. • Utilisez le regard (regarder / être regardé) pour moduler votre excitation. • Utilisez la caresse globale et génitale dans un contexte de lenteur, où le temps ne compte plus ! • Respirez par le ventre ! • Savourez le moment présent en habitant vos sensations corporelles et la relation avec l’autre, plutôt que de penser à la performance ! • Apprenez à repérer votre tension sexuelle et à moduler votre excitation en vous masturbant selon une technique d’arrêt-départ et en utilisant des fantasmes diversifiés. aide PsYcHOLOGiQue Centre de santé et de consultation psychologique Pav. 2101, boul. Édouard-Montpetit, 2e étage, porte 220 Tél. : 514 343-6452 www.cscp.umontreal.ca Pour trouver un psychologue en cabinet privé : www.ordrepsy.qc.ca • Habitez votre corps et non votre tête ! • Sollicitez vos divers sens (toucher, vue, odorat, ouïe, goût) ! • Cultivez le plaisir ! stratéGies pour s’aider sOi-MÊMe ou aider un PrOcHe Consultez un médecin / pharmacien • Faites un bilan de santé complet afin d’exclure toutes causes physiologiques pouvant expliquer votre difficulté. • Si vous prenez un médicament, renseignez-vous sur ses effets secondaires auprès de votre pharmacien. Consultez un psychologue ou un sexologue • L’accompagnement d’un professionnel de la santé psychologique et sexuelle est souvent une aide précieuse pour revoir nos pensées et mieux comprendre nos réactions à l’égard des relations interpersonnelles et de la sexualité. Diminuez votre consommation de drogues / alcool • Cessez ou diminuez votre consommation d’alcool et de drogues ! Cela vous permettra de vérifier leur effet sur votre réponse sexuelle. Remettez en question vos croyances / pensées! • Identifiez et remettez en question les pensées / croyances qui viennent inhiber votre désir ou votre excitation (c.-à-d. les pensées négatives sur la sexualité ou sur vous). • Identifiez et remettez en question vos croyances sur la sexualité. • Diminuez vos exigences de performance! Réglez vos difficultés ! • Prenez le temps de régler les différentes difficultés personnelles (dépression, anxiété) qui peuvent avoir un effet négatif sur votre sexualité. • Prenez le temps de digérer vos expériences traumatiques. • Réglez vos problèmes au fur et à mesure. Apprenez à communiquer ! • Exprimez vos désirs / préférences et respectez vos limites. Expérimentez ! • Explorez votre corps et celui de votre partenaire via le toucher (ensemble du corps et parties génitales) puis changez de rôle. Cela vous permettra de partager vos préférences et d’élargir votre répertoire d’activités sexuelles. • Tentez de nouvelles positions ! Savourez ! • Au lieu de vous centrer sur votre performance ou celle de l’autre, prenez le temps de savourer. Vous serez surpris de constater comment ceci favorise la présence et le plaisir de chacun ! • Habitez votre corps et non votre tête ! • Sollicitez vos divers sens (toucher, vue, odorat, ouïe, goût) ! • Cultivez le plaisir ! © Centre de santé et de consultation psychologique, Université de Montréal, 2011. Consultez un psychologue ou un sexologue Services aux étudiants Centre de santé et de consultation psychologique Pour les feMMes… • Respectez-vous ! Envisagez les relations sexuelles dans un contexte qui vous corresponde et qui respecte votre intégrité. • Cherchez à lâcher prise, laissez aller… • Allez chercher votre plaisir, n’attendez pas que l’autre devine vos pensées. • Apprenez à contracter et relâcher vos muscles pelviens. • Enrichissez le répertoire de vos fantasmes érotiques. • Savourez le moment présent en habitant vos sensations corporelles plutôt que de penser à la performance (ou à vos études ?) ! • Montrez à votre partenaire votre excitation. • Respirez ! • Prenez le temps de découvrir les parties de votre corps qui vous procurent du plaisir. • Exprimez vos préférences ! • Croyez votre partenaire qui vous trouve belle ! Pour les HOMMes… • Retrouvez le plaisir d’être et de demeurer en érection en éliminant la « nécessité » d’amener votre partenaire à l’orgasme. • Déployez votre corps entier à l’excitation sexuelle plutôt que de vous centrer uniquement sur les organes génitaux. • Utilisez le regard (regarder / être regardé) pour moduler votre excitation. • Utilisez la caresse globale et génitale dans un contexte de lenteur, où le temps ne compte plus ! • Respirez par le ventre ! • Savourez le moment présent en habitant vos sensations corporelles et la relation avec l’autre, plutôt que de penser à la performance ! • Apprenez à repérer votre tension sexuelle et à moduler votre excitation en vous masturbant selon une technique d’arrêt-départ et en utilisant des fantasmes diversifiés. aide PsYcHOLOGiQue Centre de santé et de consultation psychologique Pav. 2101, boul. Édouard-Montpetit, 2e étage, porte 220 Tél. : 514 343-6452 www.cscp.umontreal.ca Pour trouver un psychologue en cabinet privé : www.ordrepsy.qc.ca Les difficuLtés sexueLLes, c’est aussi une réaLité de jeunes… Le petit guide de prévention des difficultés sexuelles ; Information et stratégies pour s'aider soi-même ou pour mieux aider un proche. 5.00060 SAE, Communications (mars 2011) • Faites un bilan de santé complet afin d’exclure toutes causes physiologiques pouvant expliquer votre difficulté. • Si vous prenez un médicament, renseignez-vous sur ses effets secondaires auprès de votre pharmacien. • Respectez-vous ! Envisagez les relations sexuelles dans un contexte qui vous corresponde et qui respecte votre intégrité. • Cherchez à lâcher prise, laissez aller… • Allez chercher votre plaisir, n’attendez pas que l’autre devine vos pensées. • Apprenez à contracter et relâcher vos muscles pelviens. • Enrichissez le répertoire de vos fantasmes érotiques. • Savourez le moment présent en habitant vos sensations corporelles plutôt que de penser à la performance (ou à vos études ?) ! • Montrez à votre partenaire votre excitation. • Respirez ! • Prenez le temps de découvrir les parties de votre corps qui vous procurent du plaisir. • Exprimez vos préférences ! • Croyez votre partenaire qui vous trouve belle ! Services aux étudiants Centre de santé et de consultation psychologique © Centre de santé et de consultation psychologique, Université de Montréal, 2011. Consultez un médecin / pharmacien Pour les feMMes… 5.00060 SAE, Communications (mars 2011) stratéGies pour s’aider sOi-MÊMe ou aider un PrOcHe Les difficuLtés sexueLLes, c’est aussi une réaLité de jeunes… Le petit guide de prévention des difficultés sexuelles ; Information et stratégies pour s'aider soi-même ou pour mieux aider un proche. Les difficuLtés sexueLLes… Il n’est pas rare d’observer des variations de la réponse sexuelle, que ce soit au niveau du désir, de l’excitation, ou de l’orgasme. Il y a toutefois dysfonction sexuelle lorsque la perturbation de la réponse sexuelle engendre une souffrance marquée chez la personne qui la vit ou des difficultés interpersonnelles importantes. Les jeunes ne sont pas à l’abri de ce genre de difficultés. Les difficuLtés Liées au désir sexueL Baisse du désir sexuel. Ce trouble est fréquent et peut survenir chez les hommes comme chez les femmes. Il se caractérise par une diminution (ou une absence) d’intérêt et de fantaisies imaginatives pour les activités sexuelles. Aversion sexuelle. Ce trouble se caractérise par une aversion (dégoût extrême) et un évitement des contacts génitaux avec un partenaire. L’aversion peut être accompagnée d’anxiété ou de peur de l’intimité sexuelle. Les difficuLtés Liées à l’excitatiOn sexueLLe Trouble de l’excitation sexuelle chez la femme. Ce trouble se caractérise par une inhabileté persistante ou récurrente à atteindre ou à maintenir une réponse d’excitation (caractérisée par une lubrification adéquate) jusqu’à l’accomplissement de l’acte sexuel. Trouble de l’érection chez l’homme. Il y a dysfonction érectile lorsque l’homme rencontre une difficulté persistante et répétée à atteindre ou à maintenir une érection adéquate jusqu’à la fin de l’activité sexuelle. Les difficuLtés de la PHase OrGasMiQue Trouble de l’orgasme. Chez l’homme comme chez la femme, ce trouble se caractérise par une absence ou un délai persistant ou récurrent d’orgasme à la suite d’une phase d’excitation normale, malgré une stimulation sexuelle adéquate en intensité et en durée. Éjaculation précoce. Cette dysfonction sexuelle masculine se caractérise par une éjaculation lors de stimulations sexuelles minimes avant, pendant ou juste après la pénétration et avant que la personne ne souhaite éjaculer. Rappelons que pour être considérée comme une dysfonction sexuelle, la difficulté doit être persistante ou récurrente. Les difficuLtés sexueLLes… Il n’est pas rare d’observer des variations de la réponse sexuelle, que ce soit au niveau du désir, de l’excitation, ou de l’orgasme. Il y a toutefois dysfonction sexuelle lorsque la perturbation de la réponse sexuelle engendre une souffrance marquée chez la personne qui la vit ou des difficultés interpersonnelles importantes. Les jeunes ne sont pas à l’abri de ce genre de difficultés. Les difficuLtés Liées au désir sexueL Baisse du désir sexuel. Ce trouble est fréquent et peut survenir chez les hommes comme chez les femmes. Il se caractérise par une diminution (ou une absence) d’intérêt et de fantaisies imaginatives pour les activités sexuelles. Aversion sexuelle. Ce trouble se caractérise par une aversion (dégoût extrême) et un évitement des contacts génitaux avec un partenaire. L’aversion peut être accompagnée d’anxiété ou de peur de l’intimité sexuelle. Les difficuLtés Liées à l’excitatiOn sexueLLe Trouble de l’excitation sexuelle chez la femme. Ce trouble se caractérise par une inhabileté persistante ou récurrente à atteindre ou à maintenir une réponse d’excitation (caractérisée par une lubrification adéquate) jusqu’à l’accomplissement de l’acte sexuel. Trouble de l’érection chez l’homme. Il y a dysfonction érectile lorsque l’homme rencontre une difficulté persistante et répétée à atteindre ou à maintenir une érection adéquate jusqu’à la fin de l’activité sexuelle. Les difficuLtés de la PHase OrGasMiQue Trouble de l’orgasme. Chez l’homme comme chez la femme, ce trouble se caractérise par une absence ou un délai persistant ou récurrent d’orgasme à la suite d’une phase d’excitation normale, malgré une stimulation sexuelle adéquate en intensité et en durée. Éjaculation précoce. Cette dysfonction sexuelle masculine se caractérise par une éjaculation lors de stimulations sexuelles minimes avant, pendant ou juste après la pénétration et avant que la personne ne souhaite éjaculer. Rappelons que pour être considérée comme une dysfonction sexuelle, la difficulté doit être persistante ou récurrente. Les difficuLtés sexueLLes avec dOuLeurs Dyspareunie. Ce trouble se caractérise par la présence de sensations douloureuses (persistantes ou répétées) lors des rapports sexuels, que ce soit chez l’homme ou chez la femme. Chez la femme, il y a dyspareunie lorsque la douleur n’est pas due à un vaginisme ou à un manque de lubrification. Vaginisme. Ce trouble se caractérise par la présence d’une contraction spasmodique involontaire répétée ou persistante de la musculature du tiers externe du vagin venant empêcher ou perturber les rapports sexuels. et les causes ? Les causes d’une difficulté sexuelle sont très variées et multidimensionnelles. Les variables influençant la réponse sexuelle peuvent être individuelles ou relationnelles, physiologiques ou psychologiques. Voici les essentielles : Les facteurs physiologiques La maladie. Toute maladie touchant les systèmes nerveux, hormonal ou circulatoire peut compromettre la réponse sexuelle. La douleur et la fatigue viennent aussi influencer le fonctionnement sexuel. Les médicaments. Plusieurs médicaments, dont les antidépresseurs, peuvent avoir des effets secondaires néfastes sur la sexualité en altérant le déroulement de la réponse sexuelle (désir, excitation ou orgasme). Les drogues, l’alcool et le tabac. La consommation répétée d’alcool ou de drogues a un effet négatif direct sur la réponse sexuelle. Notons que la marijuana est reconnue pour abaisser la testostérone chez les hommes et pour réduire le désir sexuel chez l’homme et la femme. Par ailleurs, le tabac atteint la vascularisation du pénis et peut ainsi réduire la fréquence et la durée des érections. Les facteurs sociaux / culturels L’éducation sexuelle. Nos attitudes face à la sexualité se sont principalement construites durant l’enfance. Pour certaines personnes, la sexualité peut avoir été présentée comme honteuse, immorale ou condamnable. Des sentiments d’angoisse, de dégoût ou de culpabilité peuvent résulter de cette éducation et influencer négativement la réponse sexuelle. L’importance du coït. Beaucoup d’importance a été donnée au coït ; il n’est pas rare de croire qu’une relation n’est pas « complète » ou « réussie » sans celui-ci. Cette croyance interfère avec la sexualité en augmentant les exigences de performance et en limitant le répertoire des activités sexuelles qui pourraient être également sinon plus satisfaisantes. Les difficuLtés sexueLLes avec dOuLeurs Dyspareunie. Ce trouble se caractérise par la présence de sensations douloureuses (persistantes ou répétées) lors des rapports sexuels, que ce soit chez l’homme ou chez la femme. Chez la femme, il y a dyspareunie lorsque la douleur n’est pas due à un vaginisme ou à un manque de lubrification. Vaginisme. Ce trouble se caractérise par la présence d’une contraction spasmodique involontaire répétée ou persistante de la musculature du tiers externe du vagin venant empêcher ou perturber les rapports sexuels. et les causes ? Les causes d’une difficulté sexuelle sont très variées et multidimensionnelles. Les variables influençant la réponse sexuelle peuvent être individuelles ou relationnelles, physiologiques ou psychologiques. Voici les essentielles : Les facteurs physiologiques La maladie. Toute maladie touchant les systèmes nerveux, hormonal ou circulatoire peut compromettre la réponse sexuelle. La douleur et la fatigue viennent aussi influencer le fonctionnement sexuel. Les médicaments. Plusieurs médicaments, dont les antidépresseurs, peuvent avoir des effets secondaires néfastes sur la sexualité en altérant le déroulement de la réponse sexuelle (désir, excitation ou orgasme). Les drogues, l’alcool et le tabac. La consommation répétée d’alcool ou de drogues a un effet négatif direct sur la réponse sexuelle. Notons que la marijuana est reconnue pour abaisser la testostérone chez les hommes et pour réduire le désir sexuel chez l’homme et la femme. Par ailleurs, le tabac atteint la vascularisation du pénis et peut ainsi réduire la fréquence et la durée des érections. Les facteurs sociaux / culturels L’éducation sexuelle. Nos attitudes face à la sexualité se sont principalement construites durant l’enfance. Pour certaines personnes, la sexualité peut avoir été présentée comme honteuse, immorale ou condamnable. Des sentiments d’angoisse, de dégoût ou de culpabilité peuvent résulter de cette éducation et influencer négativement la réponse sexuelle. L’importance du coït. Beaucoup d’importance a été donnée au coït ; il n’est pas rare de croire qu’une relation n’est pas « complète » ou « réussie » sans celui-ci. Cette croyance interfère avec la sexualité en augmentant les exigences de performance et en limitant le répertoire des activités sexuelles qui pourraient être également sinon plus satisfaisantes. L’anxiété de performance. Les exigences face à la sexualité sont élevées ; il faut faire l’amour ; il faut avoir du plaisir et en donner. Et lorsque des difficultés sont vécues, le plaisir et la détente associés à la sexualité font place à la honte et à l’angoisse. L’anxiété de « performer » est grandement associée à une inhibition de toute la réponse sexuelle, autant pour l’homme que pour la femme. Les facteurs psychologiques Apprentissages. Le manque de connaissances sur la sexualité et sur sa propre sexualité (ex. : les préférences sexuelles) limite souvent le répertoire d’activités sexuelles et la capacité de savourer la relation sexuelle. Image de soi et du corps. De mauvaises images de soi et de son corps sont associées à la présence de difficultés relationnelles et sexuelles. En outre, le fait d’être très préoccupé par son corps (ou par des parties de son corps), vient affecter directement et négativement la confiance, l’aisance, le plaisir et la détente lors des rapports sexuels. Les difficultés psychologiques. Les difficultés psychologiques, telles que la dépression ou l’anxiété, peuvent diminuer votre réponse sexuelle. Cela est aussi vrai pour un ensemble des facteurs de stress (ex. : échecs, perte d’emploi, conflits) qui peuvent également altérer la réponse sexuelle. Les traumatismes. Les traumatismes sexuels ont des conséquences négatives sur la sexualité. Les abus (de tous types) peuvent également altérer la réponse sexuelle. Les difficultés relationnelles. Des difficultés dans la relation ou des problèmes de communication peuvent éteindre le désir ou altérer l’ensemble de la réponse sexuelle. Les craintes et croyances. Les craintes (ex. : de tomber enceinte, d’attraper une ITSS) peuvent inhiber le désir, l’excitation et retarder l’orgasme. Le désir et l’excitation peuvent également être inhibés par différentes pensées négatives face à la sexualité (ex. : « il faut que je donne un orgasme à mon / ma partenaire », « je dois obtenir une ferme érection »). L’orientation sexuelle. Ne pas respecter son orientation sexuelle peut grandement altérer sa réponse sexuelle et le plaisir lors des activités sexuelles. L’anxiété de performance. Les exigences face à la sexualité sont élevées ; il faut faire l’amour ; il faut avoir du plaisir et en donner. Et lorsque des difficultés sont vécues, le plaisir et la détente associés à la sexualité font place à la honte et à l’angoisse. L’anxiété de « performer » est grandement associée à une inhibition de toute la réponse sexuelle, autant pour l’homme que pour la femme. Les facteurs psychologiques Apprentissages. Le manque de connaissances sur la sexualité et sur sa propre sexualité (ex. : les préférences sexuelles) limite souvent le répertoire d’activités sexuelles et la capacité de savourer la relation sexuelle. Image de soi et du corps. De mauvaises images de soi et de son corps sont associées à la présence de difficultés relationnelles et sexuelles. En outre, le fait d’être très préoccupé par son corps (ou par des parties de son corps), vient affecter directement et négativement la confiance, l’aisance, le plaisir et la détente lors des rapports sexuels. Les difficultés psychologiques. Les difficultés psychologiques, telles que la dépression ou l’anxiété, peuvent diminuer votre réponse sexuelle. Cela est aussi vrai pour un ensemble des facteurs de stress (ex. : échecs, perte d’emploi, conflits) qui peuvent également altérer la réponse sexuelle. Les traumatismes. Les traumatismes sexuels ont des conséquences négatives sur la sexualité. Les abus (de tous types) peuvent également altérer la réponse sexuelle. Les difficultés relationnelles. Des difficultés dans la relation ou des problèmes de communication peuvent éteindre le désir ou altérer l’ensemble de la réponse sexuelle. Les craintes et croyances. Les craintes (ex. : de tomber enceinte, d’attraper une ITSS) peuvent inhiber le désir, l’excitation et retarder l’orgasme. Le désir et l’excitation peuvent également être inhibés par différentes pensées négatives face à la sexualité (ex. : « il faut que je donne un orgasme à mon / ma partenaire », « je dois obtenir une ferme érection »). L’orientation sexuelle. Ne pas respecter son orientation sexuelle peut grandement altérer sa réponse sexuelle et le plaisir lors des activités sexuelles.