dossier de presse

> DOSSIER DE PRESSE <
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27 et 28 septembre 2013 à Châtel-Guyon
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èmes
Nuits Étoilées
d’Auvergne
organisées par le
www.astronomie-auvergne.fr
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évènement soutenu par
www.astusciences.org
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COMMUNIQUE DE PRESSE
Découvrir le ciel les 27 et 28 septembre prochains
Suite au succès rencontré par les journées de l’Astronomie en 2009 et en 2011, les membres du Collectif
d’Astronomie de la Région Auvergne – le CARA – souhaitent partager encore une fois leur passion en
organisant les 27 et 28 septembre, les NUITS ÉTOILÉES D’AUVERGNE. Au centre de la Mouniaude, à ChâtelGuyon, ce sont 2 jours et 2 nuits d’animations et d’observations gratuites pour tous ceux qui regardent avec
passion et curiosité le ciel. Le samedi matin, le public pourra assister à l’une des 2 liaisons radio en France
avec la station spatiale internationale.
Un lieu animé de conférences, d’ateliers, d’expositions et des défis à relever
Le centre de la Mouniaude est aménagé pour recevoir tous types d’animations. Un espace des conférences est
ouvert tout au long de la journée, avec des présentations adaptées selon le public : enfant, tout public, ou
public passionné. Deux invités de marque sont attendus : le vendredi à 20h30 : Guillaume Cannat, journaliste
scientifique et passionné d'Astronomie, le samedi 28 septembre à 14h : Raymond Blundell, astrophysicien
directeur du "Submilimeter Aray" fait le déplacement spécialement pour l’événement depuis les USA. Des
ateliers pratiques, constructions, expérimentations, jeux, sont proposés dans 3 espaces aménagés : la galaxie
des clubs astro auvergnats, la zone des télescopes, et l’univers des pôles astro. Pour compléter les ateliers, le
CNES de Toulouse anime le Spatiobus à destination des jeunes. A l’univers des pôles astro, 9 thématiques ont
été choisies pour construire une exposition originale animée en continu : Lune, Soleil, Histoire de la Terre et de
l’Univers, Astrophysique, Astronautique, Astro-informatique, Poésie, Pollution lumineuse, Station Spatiale
Internationale. Ecouter le soleil, aborder les mythes et légendes avec les aurores boréales, écrire un poème et,
s’il est retenu, gagner une paire de jumelles, réfléchir aux solutions pour diminuer l’impact de la pollution
lumineuse, contacter un membre de l’équipage de la Station Spatiale Internationale (ISS), tels sont une partie
des défis à relever par les visiteurs.
Des observations de jour comme de nuit
Grâce aux explications fournies par les astronomes présents qui mettent leurs instruments à la disposition du
public, le Soleil se met à nu, de 10 h à son coucher. Bien qu’éloignée de plus de 130 000 000 de kilomètres de la
Terre, Vénus apparaît dans les lunettes et télescopes comme un petit premier quartier de Lune, très lumineux
de 10 h à 19 h. Uranus et Neptune, minuscules points vert émeraude, Jupiter et ses 4 satellites galiléens sont
tous visibles à partir de minuit. Le ciel profond est le nom que donnent les astronomes aux objets qui se
profilent sur un fond de ciel très noir, loin des pollutions lumineuses. Après une présentation des constellations
du ciel du mois de septembre, le spectacle commence à partir de 21 h.
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SOMMAIRE
HISTORIQUE DES NUITS ETOILEES
LES ACTEURS
LES PARTENAIRES
PRESENTATION DE L’EVENEMENT : LES NUITS ETOILEES D’AUVERGNE 2013
PROGRAMME
INFOS PRATIQUES
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HISTORIQUE
En 2009, « Année Mondiale de l’Astronomie », des clubs d’astronomes amateurs auvergnats fondaient
ensemble le CARA (Collectif d’Astronomie de la Région Auvergne), dans le but, entre autres, de promouvoir la
pratique de l’astronomie auprès du grand public. L’acte inaugural du CARA fut l’organisation, au mois de
septembre de la même année, des 72 heures de l’Astronomie, à Vulcania.
Fort du succès remporté par cette manifestation (1800 visiteurs sur trois jours), le CARA lançait en 2011 les
Nuits Etoilées d’Auvergne, dont la première édition eut lieu à St-Jean-des-Ollières, sur le site de Chavarot. Là
encore, le succès fut au rendez-vous, démontrant l’intérêt que le public auvergnat porte à l’Astronomie et aux
Sciences de l’Espace.
Désormais ancrées dans le calendrier « astronomique », les Nuits Etoilées d’Auvergne se déroulent cette année
à Châtel-Guyon (63) au centre de la Mouniaude.
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LES ACTEURS DES NUITS ÉTOILÉES
L’équipe organisatrice : des passionnés à rencontrer
Le Collectif d’Astronomie de la Région Auvergne, rassemble des passionnés d’Astronomie que l’on peut
rencontrer à l’astro’bistrot aménagé à cet effet. Le CARA est né en 2009 à l’occasion de l’année mondiale de
l’Astronomie. Le collectif organise ses évènements grâce à la participation et au soutien d’Astu’Sciences,
association pour le développement de la culture scientifique, technique et industrielle en Auvergne.
Il regroupe une quinzaine de clubs d’astronomie et d’associations. Ceux et celles qui seront présents lors des
Nuits Etoilées et prendront part aux animations, sont
-
dans l’Allier :
Astronomie Loisirs Serbannes (Serbannes)
DENEB - Découvrir les Etoiles et la Nature En Bourbonnais (Autry-Issards)
-
dans le Cantal :
OACC, Observatoire astrophysique Cézallier Cantal (Champs-sur-Tarentaine)
-
en Haute-Loire :
CABA - Club d'astronomie Bassois Antarès (Bas-en-Basset)
ORION - Groupe d’astronomie du Velay (Le Puy-en-Velay)
Etoile Double Nord Cévenole (Riotord)
-
dans le Puy-de-Dôme :
Amicale Laïque d’Egliseneuve-près-Billom (Egliseneuve-près-Billom)
ANPCEN – Association Nationale pour la Protection du Ciel Nocturnes (Riom)
ASTRAP (Isserteaux)
Astronomes Amateurs d’Auvergne (Aubière)
ARA – Association Riomoise d’Astronomie (Riom)
Club Astro du Val d’Allier (Brassac-les-mines)
Le chemin des étoiles (Pérignat-es-Allier)
Les pléiades (Verneugheol)
Les Astronomes des Combrailles (Pionsat)
Membre à part entière d’Astu’sciences, le CARA bénéficie du soutien et des ressources de ce réseau régional
qui œuvre depuis plus de vingt ans au développement de la culture scientifique, technique et industrielle pour
tous et par tous, notamment auprès des jeunes. Astu’Sciences est une association régionale pour le
développement de la culture scientifique et technique en Auvergne. www.astusciences.org
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LES PARTENAIRES
Sont partenaires de ces Nuits Étoilées d’Auvergne, la communauté de communes Volvic Sources et Volcans,
l’ESA, le CNES, le Conseil régional d’Auvergne, la Délégation Régionale à la Recherche et à la Technologie
Auvergne, Universcience, le Conseil Général du Puy de Dôme, la ville de Châtel-Guyon, le MEDAS
instruments, l’IRAP astrophysique et planétologie, Harward Smithsonian Center for Astrophysics, et
Astu’Sciences, association régionale de développement de la culture scientifique et technique en Auvergne.
La ville de Châtel-Guyon accueille le public et les organisateurs des Nuits Etoilées d’Auvergne dans le centre
culturel de La Mouniaude, une ancienne gare ferroviaire à l’architecture spectaculaire. Située dans le Parc
Régional des Volcans d’Auvergne, Châtel-Guyon est bien connue pour ses thermes, ses grands hôtels, son cadre
de vie agréable et son dynamisme culturel.
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PRESENTATION DE LA MANIFESTATION
Les 27 et 28 septembre, 50 astronomes amateurs venus des 4 départements de l’Auvergne, tous des
observateurs passionnés du ciel, se relaient de jour comme de nuit pour animer les 5 espaces aménagés à
l’intérieur et à l’extérieur de La Mouniaude. Conçus par les organisateurs pour donner au public la possibilité de
choisir facilement le type d’animations auquel il souhaite prendre part, 5 espaces constituent l’univers
« multidimensionnel » des Nuits Etoilées d’Auvergne.
L’espace des conférences
Dans l’espace des conférences le public assiste, deux jours durant, à un cycle de mini-conférences et à des
vidéo-projections abordant les notions essentielles de l’astronomie et faisant le point sur les dernières
découvertes. Deux invités de marque, le journaliste scientifique Guillaume Cannat et l’astrophysicien américain
Raymond Blundell, directeur du Submillimeter Array dans le Massachussetts, donnent chacun une conférence,
le vendredi 27 à 20h30 et le samedi 28 à 14h.
La galaxie des clubs astro auvergnats
Dans la galaxie des clubs astro auvergnats les clubs membres du CARA présentent leurs activités et dévoilent
différentes facettes de l’Astronomie au grand public, en utilisant des outils d’information et des dispositifs
pédagogiques développés par eux. Ces facettes sont liées aux aspects techniques, scientifiques, historiques et
artistiques de l’Astronomie (notions d’Optique, constellations, mouvement des planètes, éclipses,
fonctionnement des cadrans solaires, fusées, conquête spatiale, mythologie, histoire des sciences,
photographie…).
L’univers des pôles astro
L’univers des pôles astro est l’espace d’exposition. 9 thématiques sont mises en valeur et animées en continu :
Histoire de la Terre et de l’Univers, Lune, Soleil, Astrophysique, Astronautique, Astro-informatique, Poésie,
Pollution lumineuse, Station Spatiale Internationale.
La zone des télescopes
Grâce au matériel et à l’aide technique fournis par les clubs, la zone des télescopes sera un lieu entièrement
dédié à l’observation du ciel et des objets qu’il contient, de jour comme de nuit. Devant le public, le Soleil se
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mettra à nu, de 10 h à son coucher. Dans les lunettes et les télescopes, Vénus apparaîtra comme un petit
premier quartier de Lune très lumineux, de 10 h à 19 h. Uranus et Neptune, minuscules points vert émeraude,
de même que Jupiter et ses 4 satellites galiléens seront visibles à partir de minuit. Quant aux objets du ciel
profond, ils seront visibles dès 21h, après une présentation des constellations du ciel de septembre par les
astronomes.
L’astro’bistrot
Cinquième espace, l’astro’bistrot, est un lieu d’échanges informels, autour d’un verre, en compagnie des
astronomes amateurs, l’occasion de rencontrer ces observateurs passionnés du ciel.
Des ateliers pour les enfants
Des astronomes, des membres du
réseau
Astu’Sciences
et
des
structures nationales telles que le
CNES et le Palais de la Découverte
animeront des ateliers destinés aux
enfants (venant avec leurs parents
ou dans un cadre scolaire). Ces
enfants apprendront à construire
des fusées, se livreront à des
expériences scientifiques, écouteront des contes, écriront des poèmes, participeront à des jeux… A cette
occasion, le CNES de Toulouse présente son Spatiobus, de l’espace pour la Terre.
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Pollution lumineuse
L’ANPCEN (Association Nationale pour la Protection du Ciel et de l’Environnement Nocturnes) sensibilise le
public à l’épineux problème de la pollution lumineuse et aux moyens d’en réduire les effets. Sur-éclairées, les
villes baignent dans un jour quasi permanent, réduisant les possibilités d’observation du ciel et perturbant la
vie de nombreuses espèces animales.
Contact radio avec l’ISS, Station Spatiale Internationale
samedi matin 28 septembre, à 10h39 (heure à confirmer sur les communiqués suivants)
Grâce au soutien technique du REF 63 (association des radioamateurs d’Auvergne), des élèves du collège de
Marcillat-en-Combrailles entrent en contact radio avec la Station Spatiale Internationale située en orbite
autour de la Terre. Aidés par le club des Astronomes des Combrailles, en public, ils posent des questions aux
astronautes de la station, qui leur répondent depuis l’espace. Les élèves de 20 établissements scolaires français
ont déjà eu le privilège de prendre part à tels échanges avec les membres d’équipage de l’ISS.
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zoom sur 4 invités de marque :
Leopold Eyharts
vendred 27 septembre, 14h
spationaute à l'ESA, parlera de ses missions dans la Station Spatiale Internationale et de sa vie d’aujourd’hui.
Guillaume Cannat
vendredi 27 septembre à 20h30
Le journaliste scientifique Guillaume CANNAT sera aux NEA 2013 et donnera une conférence sur la comète
ISON.
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Luca Parmentino
samedi 28 septembre, 10h39
Le contact avec l'expédition 37 de la Station Spatiale Internationale ISS et notre correspondant italien Luca
Parmentino sera établi pour pouvoir échanger en direct depuis le centre de la mouniaude vers la station
spatiale.
Pr. Raymond Blundell
samedi 28 septembre, 14h
Le Professeur Blundell propose une conférence samedi à 14h sur La détection des trous noirs par
l'interférométrie à longues bases.
Raymond Blundell est l'un des meilleurs spécialistes du monde en radioastronomie, il est en effet le directeur
du radiotélescope SubMillimeter Array qui trône au Mauna Kea et a sous sa direction Robert Wilson (celui qui a
découvert la radiation des 3K, prix Nobel 1978 avec A. Penzias)... Il est professeur à l'Université de HarvardSmithsonian Center for Astrophysics, et actuellement co-concepteur du plus gros radiotélescope du monde, le
VLBI. Enfin, il est membre de l'équipe du Laboratoire de Recherche sur la Foudre et a accepté de prêter conseil
à Philippe Morvan en siégeant au comité scientifique de l'Observatoire d'Astrophysique Cézallier Cantal.
Raymond Blundell fera spécialement l'aller-retour depuis les États-Unis afin d'être présent le 28 septembre
pour la manifestation du CARA.
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LA PROGRAMMATION
les conférences
niveaux d’accès :
*
Enfants prioritaires
* * Tout public
* * * Public passionné
vendredi (conférences de 30 min)
MARS Conquête Animation **
10h30 - également le jeudi à 14h
Originalité de la planète Mars, pourquoi et comment y aller. par Hadrien Celle , ORION
La Lune **
13h15 - également le jeudi à 13h15
Ses origines, ses reliefs, ses phases… par Gérard Coute, 4A
l'ISS aujourd'hui **
14h00
par Léopold Eyharts
"ISON dit quoi ?" **
15h15
La comète ISON brillera-t-elle autant que la pleine Lune en novembre 2013? par Antoine Salvado, CABA
Jupiter et ses satellites **
16h00 - également le jeudi a-m
Jupiter : un système solaire miniature…par Franck Rigaut, ARA
Saturne et ses satellites **
16h45
Saturne : ses anneaux, cryovolcanisme sur Encelade, cycle du méthane sur Titan par François Barbarin, ASTRAP
La TERRE, notre planète, et notre Soleil ***
17h30
La Terre, ses continents, ses mers, son climat, comparés aux autres planètes. René Bonhomme, ORION
Les stations spatiales : rêves et réalités **
18h30
L'histoire des stations spatiales Skylab, Saliout, MIR et l'ISS. Entre rêves et contraintes. par Jean-Pierre Leclerc
La comète Ison 20h30
Conférence de Guillaume Cannat, journaliste spécialisé en Astronomie
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samedi (conférences de 60 min)
Les Marées et la mécanique céleste ***
11h00
Comment la mécanique céleste a créé et diversifié le paradis terrestre. par Jean Paul Monatte, ORION
La détection des TROUS NOIRS par l’interférométrie à longues bases***
14h
Qu'est-ce qu'un trou noir? Comment le détecter? Raymond Blundell, Harvard-Smithsonian Center for
Astrophysics
Les Planètes EXTRASOLAIRES ***
15h15
Qu'appelle-t-on planète extrasolaire? Combien sont-elles? Comment ont-elles été découvertes? Yann Lourd et
Eric Navarre, ARA
Ces SATELLITES qui nous gouvernent **
16h30
La dépendance satellitaire: et si les satellites n'existaient pas. Jean Michel Vially, ORION
Origines des PAYSAGES LUNAIRES **
17h45
Pourquoi autant de cratères sur la Lune ? Quelle est l'origine des " mers lunaires "…? Gérard Coute, 4A
La LUMIERE ***
20h
La LUMIERE dans tous ses états. par François Barbarin, ASTRAP
Les pôles astro
en continu du vendredi au samedi
Pôle Lune
par 4A
La Lune, ses origines, ses reliefs, ses phases.
Pôle Soleil et cadrans solaires
par Orion
Découvrir les taches solaires, les protubérances, les filaments, la surface tourmentée du Soleil.
Comprendre l’origine de ces phénomènes, leurs influences.
Pôle Histoire de la Terre et de l'Univers
par ARA
Le calendrier cosmique, les trois premières minutes de l'Univers...
La Terre, les ères géologiques, l'évolution des continents.
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Pôle Astrophysique
par OACC et SFP
Vulgarisation sur les phénomènes astrophysiques : spectroscopie et radioastronomie.
Pôle Astronautique
par Orion
La conquête spatiale.
Pôle Communication Radioamateurs ISS
par ASTRAP et REF 63"
Comment entrer en contact avec les spationautes de l'ISS (Station Spatiale Internationale) via les
Radioamateurs.
Pôle Astro-informatique
par 4A
Les apports de l'informatique en astronomie.
Pôle Poésie
par le "Club Brassac les Mines"
Au clair de la Lune, mon ami P,…Exposition de poésies et concours de poésie astronomique en vers ou en prose
ouvert à tous. De nombreux lots sont à gagner : paires de jumelles, longue-vue, etc.
Pôle Pollution lumineuse
par ANPCEN
L'impact de la pollution lumineuse sur l'observation astronomique, la faune et la flore.
La galaxie des clubs astro auvergnats
en continu du vendredi au samedi
4A, Association des Astronomes Amateurs d'Auvergne
Sur le stand
Exposition « Naissance, vie et mort des étoiles », Cadrans solaires
Amicale laïque, Egliseneuve près Billom
Sur le stand
Exposition
CABA, club d'Astronomie Bassois Antarès
Sur le stand
Exposition
ANPCEN
Sur le stand
Informations sur la pollution lumineuse.
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ARA, Association Riomoise d'Astronomie
Sur le stand
Exposition
ASTRAP, Astronomie Appliquée
Sur le stand
Exposition sur les objets du système solaire.
Etoile Double Nord Cévénole
Sur le stand
Exposition
Collège Marcillat en Combraille
Projet Liaison ISS , Le projet de liaison radioamateurs ISS initié et expliqué par les élèves du club astro du
collège.
Le chemin des étoiles
Lancement de fusées
Sur le stand
Propulser une bouteille partiellement remplie d'eau à plusieurs dizaines de mètres.
"Globe stellaire (le ciel selon les saisons). Régiscope® (constellations du zodiaque)."
Orion, groupe d'Astronomie du Velay
Cartes du ciel
Construction de cartes du ciel.
Sur le stand
Exposition
La zone des télescopes
Les instruments présents lors des NUITS ETOILEES D’AUVERGNE sur la zone sont des
Jumelles grands
diamètres, des Lunettes astronomiques, des Lunettes solaires H alpha ou avec hélioscope d’Herschell, des
Télescopes de type Newton et dérivés, Cassegrain, Dall Kirkham, Ritchey Chrértien et filtres associés, Sur
monture équatoriale de type « allemande » ou à fourche, un Télescope de type Dobson, un Spectroscope, des
Radio télescopes.
__________________________________________
les instruments d’observations dans le détails …
Les jumelles
L'utilisation de jumelles astronomiques permet de mener une étude visuelle approfondie du ciel. Une paire de
jumelles légère (7 x50 = grossissement 7 fois, diamètre de 50 mm) tenue à la main permet d’observer les grand
champs d’étoiles des nébuleuses et la galaxie d’Andromède. Elles peuvent également se révéler plaisantes pour
l'observation d'une conjonction serrée ou d'une comète de passage.
Certains modèles de jumelles de grand diamètre (100 mm et +) sont de vrais instruments d’observation en
particulier pour les comètes et les fins croissants de Lune
(Sté Fujinon, Miyauchi, Leica, Zeiss, Swarovski…)
Les lunettes
La lunette est un instrument d’observation muni à l’avant d’un dispositif à 1 et le plus souvent 2 (voire 3)
lentilles de verres qui concentrent la lumière à l’arrière de l’instrument vers un dispositif grossissant, l’oculaire.
Créée à la fin du 16e siècle à des fins militaires (observer les positions de l’ennemi) elle a servi à Galilée pour
observer la Lune, Vénus, Jupiter et Saturne en 1610. Elle a été développée jusqu’au début du 20 e siècle, qui a
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vu la construction de la plus grande lunette effectivement utilisée (Observatoire de Yerkes 102 cm – une
lunette de 125 cm a été construite pour l’exposition universelle de 1900 à Paris mais n’a jamais donné de bon
résultats)
Les difficultés techniques et le cout des lunettes de grand diamètre ont conduit à leur abandon au profit des
télescopes de « type Newton » et dérivés.
La lunette de « petit » diamètre (jusqu’à 150 mm) et de bonne qualité optique, est un instrument
particulièrement apprécié par les amateurs pour le piqué et la stabilité des images. Son inconvénient, le prix.
Sté Astro-Physics, Takahashi, APM, Tele Vue, Lichtenknecker
Les lunettes solaires
Longtemps les amateurs ont observé le Soleil par projection derrière l’oculaire. Puis sont arrivées les feuilles de
Mylar, du polytéréphtalate d’éthylène projeté sur un film plastique permettant d’observer les taches solaires
sans danger. Enfin la vulgarisation des hélioscope de « type Herschell » a permis l’observation des taches sans
placer un filtre à l’entrée du télescope, d’où une amélioration de la sécurité et de la qualité de l’image.
Mais c’est au début de 21 e siècle que sont vraiment apparues sur le marché les lunettes de « type H Alpha »,
conduisant à une révolution de l’observation du Soleil par les amateurs. Bien que d’un cout élevé elles ont vu
leur prix baisser sous l’effet de la concurrence. Elles permettent d’observer les éruptions de plasma à la surface
du Soleil et les manifestations associées (filaments, flares, champs magnétiques), ce qui était auparavant le
domaine réservé des coronographes, instruments complexes et très chers ne permettant d’observer que les
protubérances..
Ces filtres sont de deux types :
associés en permanence à une lunette dédiée exclusivement à l’observation du Soleil
filtres amovibles montés sur une lunette classique.
L’inconvénient : ne peut être utilisé sur un télescope
Sté Coronado, Lunt, Day Star…
Le télescope
Le télescope est un instrument d’observation composé de deux miroirs, un miroir concave situé sur le fond de
l’instrument qui capture la lumière et la concentre vers un miroir plan à 45° situé à l’avant, lequel renvoie la
lumière vers un dispositif grossissant, l’oculaire situé sur le coté
C’est l’instrument par excellence de l’astronomie amateur. L’astronome amateur français Pierre Bourge
(+2013) a popularisé l’utilisation de ce type de télescope en permettant aux amateurs de tailler eux-mêmes
leur miroir et construire le tube et la monture.
La baisse des couts de fabrication permet aujourd’hui d’acquérir des télescopes de grand diamètre (jusqu’à 400
mm) à des prix raisonnables pour les véritables « astram » (diminutif d’astronomes amateurs)
Le type le plus courant est le télescope de « type Newton » mis au point par Isaac Newton en 1671 à partir du
télescope Gregory. De nombreux types de télescopes dérivent du « type Newton » en particulier les « type
Cassegrain » munis d’une lame de fermeture à l’avant du télescope. Ce dispositif permet, entre autre, de
réduire la longueur de l’instrument (de 120 à 50 cm) ce qui le rend plus facile à transporter en dehors des zones
de pollution lumineuses.
Sté Meade, Celestron, Takahashi, Skywatcher, Astro Physics, Vixen…
Les filtres
En dehors de filtres H Alpha décrit avec les lunettes solaires, il existe un grand nombre de filtres associés aux
instruments
filtres colorés pour renforcer la perception de détails à la surface des planètes
filtre rouge pour atténuer la turbulence
filtres polarisant pour atténuer la luminosité de certains astres (Lune, Vénus)
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filtres « Oxygène III » pour contraster les nébuleuses planétaires
filtre LPR pour renforcer la luminosité des galaxies
filtres anti pollution lumineuse qui bloquent des longueurs d’ondes comme celle du sodium des
lampes
Les montures
Quelle que soit la qualité d’un instrument, celui-ci ne donne sa pleine capacité qu’installé sur une monture de
qualité. Cette monture est dite équatoriale car elle s’adapte à la latitude d’observation et compense la vitesse
de rotation de la Terre. L’objet peut ainsi être observé pendant une longue période, plusieurs heures, sans
avoir à intervenir sur la monture.
Le progrès des montures a suivi celui des télescopes, boosté par la demande des amateurs dans le domaine de
la photographie. Le prix des montures est très variable,
de 400 e pour de petites montures pour observer avec un instrument déjà performant (telescope
de 150 mm par exemple),
de 1500 à 4000 e pour des montures permettant d’utiliser des instriument plus lourds (200 mm et
plus) et pratiquer l’astrophotographie
10000 e et plus pour des montures lourdes de haut de gamme.
Les nouvelles montures arrivant sur le marché proposent pratiquement toutes le système « GoTo » qui permet
de pointer automatiquement n’importe quel objet de la voute céleste.
Sté : celles des grands fabricants de télescopes + spécialistes Losmandy, Paramount, ASA, Avalon…
Un cas à part : le télescope de type Dobson
C’est un télescope de « type Newton » associé à une monture azimutale qui se déplace selon deux directions,
horizontale et verticale.
Son avantage : une extraordinaire facilité de mise en place ; on pose le télescope sur un sol horizontal et il est
prêt à l’emploi.
Son inconvénient : l’objet visé sort rapidement du champ d’observation et doit y être replacé régulièrement.
Bien entendu, devant la demande d’amélioration des amateurs, les industriels proposent en complément un
suivi amélioré grâce à une table équatoriale transportable.
Sté Skywatcher, Orion
Et avec tout cela que peut-on observer ?
Lunette de 60 mm ou Télescope d’initiation de 114 à 150 mm
-
Soleil avec filtre Mylar
Lune (globalment)
Vénus et ses phases
Jupiter et ses 4 satellites
Champs d’étoiles, amas ouvert et grands globulaires, nébuleuses étendues et brillantes, galaxies
brillantes
Comètes brillantes
Télescope de 200 mm et plus
Tous les objets cités ci-dessus
+
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-
Etoiles doubles
Etoiles variables
Tous les objets (amas, nébuleuses, galaxies) de faible intensité
Imagerie astronomiques avec les appareils photos numériques, des caméras dérivées de Web
Cam ou des caméras de surveillance (dans un premier temps bricolées par les amateurs et
maintenant proposées par les industriels) et les caméra CCD (charge coupled device) dérivées des
caméras d’observatoires professionnels
Le dessin
Le dessin a été le premier mode de restitution de l’observation. Il requiert une technique très pointue et de
grandes qualités d’observateur. C’est pourquoi il est pratiqué par très peu d’astronomes amateurs. Mais
lorsqu’il est entre les mains d’un « maitres » les résultats sont exceptionnels
Sans pour autant atteindre ce degré de perfection, cette technique permet de renforcer le sens de
l’observation et d’aller plus en profondeur dans les objets.
La spectroscopie
Cette technique consiste à décomposer le spectre visible d'un objet (étoile, planète ou nébuleuse en émission)
à l'aide d'un réseau de diffraction ou d'un prisme et à observer ou photographier les raies d'absorption afin de
les identifier a posteriori et donc de déduire la composition chimique du corps observé. Elle commence à se
généraliser avec l’arrivée sur le marché d’instrument un peu plus abordable, en particulier par les clubs.
Sté Shelyak
La radioastronomie
En radioastronomie, une antenne parabolique associée à une électronique adaptée permet de convertir un
signal émis par les radiosources les plus puissantes : le Soleil, Jupiter, le bulbe galactique, quelques galaxies
elliptiques géantes...
Ce domaine tend également à se développer surtout au sein des associations
contact presse : PAYRAUDEAU Agnès – [email protected] - 06 52 60 64 96
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INFOS PRATIQUES
entrée gratuite – tout public
Lieu :
Centre de La Mouniaude à Châtelguyon, 63
Dates :
vendredi 27 et samedi 28 septembre 2013
le jeudi 26 après-midi est réservé aux scolaires à partir de 14h
Horaires :
de 10h à minuit
renseignements :
04 73 92 77 25
http://www.astronomie-auvergne.fr/
Des mises à jour de l’évènement sont sur facebook : https://www.facebook.com/events/194719930702238/
ou sur twitter avec le hashtag : #NuitsEtoiléesAuvergne
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