Dossier de presse

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Dossier de presse
The Absence
Gary Lawrence Soubrier
Siegfried Chevignon
2003 - 2007
We spent most of our teenage years in a bleak
town called Nevers in the middle of France ,
where we both landed; Sieg came from Paris and
I arrived from small city in England . Neverland
as we like to call it was and still is, I assume, one
of these numerous forsaken places where nobody
wants to stop and where people quickly get cemented by boredom.
We started our first band in the late 1990’s and
did a few festivals with bands we admired such
as Baby Chaos or Girls against Boys . However a
few years later we both left Neverland and went
in different directions, spending a couple of years
drifting from one town to another.
The Absence project was born in the hot summer of 2003 in Lyon. We furiously started writing
and recording songs without thinking about how
they should sound just letting the ideas drip from
ourselves.
Gary Lawrence Soubrier
La rencontre
Notre rencontre date de l’adolescence passée dans une
petite bourgade du centre de la France, appelons la Nevers
pour la circonstance. Chacun atterrit là un peu par hasard,
moi “descendant” de Paris, Gary d’Angleterre. Ces villes de
province (bleak comme Gary les décrit justement) sont, dans
leur sommeil, d’énergiques pépinières musicales. Nous commençons à jouer ensemble durant les années 90, quelques
concerts et puis …. Nos chemins divergent quelque temps
et nous nous retrouvons autour d’un nouveau projet musical
à Lyon durant l’été 2003. Le nom The Absence viendra plus
tard mais les principes de bases étaient posés.
Des morceaux courts, simples, une promenade dans nos
univers respectifs. Une synthèse digérée de notre culture
auditive autant musicale, cinématographique que littéraire.
Nous privilégions la sensation et l’image plus que le discours.
Pop
Ce terme indique que notre musique prend ap-
pui sur la culture populaire de son temps, sans que
celle-ci réponde nécessairement à des critères de
styles particuliers. C’est à partir de ce principe que
nous essayons de mettre en évidence l’influence
que peut avoir la publicité, les magazines, les bande
dessinées, le cinéma, et la télévision sur nos décisions de consommateurs, d’auditeurs et finalement
de compositeurs. Un simple produit à écouter ;
éphémère.
Les morceaux sont composés rapidement, nous décidons tout aussi promptement vers quelle sonorité,
quelle ambiance nous nous dirigeons. Evidemment,
le résultat est toujours une surprise mais rarement
éloigné de nos premières intentions.
The Absence c’est surtout la culture de la chanson.
Chaque morceau raconte une histoire, sa propre
histoire. Nous mettons en avant cette forme musicale de courte durée où la mélodie est mise en avant
structurée par un enchaînement de couplets et de
refrains.
Nous sommes un groupe anglophone par choix, le
chant est traité comme un instrument, à cette différence que celui-ci sera privilégié dans le mixage.
Le Duo..
Notre duo est avant tout une histoire d’amitié, Gary vit à Angoulême moi à Lyon, nous nous croisons ré-
gulièrement pour confronter nos compositions. L’instinct de jeu. Plus concrètement nous avons, en dehors
de la composition commune, des domaines réservés : Gary le chant et les textes, moi une partie des arrangements et le son. De la démo éponyme de 2004 à l’album « Movie Tones » 3 ans vont s’écouler.
Movie Tones
Après le succès critique de notre premier opus, nous avons décidé logiquement de garder l’esprit initial
pour un album. Le pari étant de faire une sélection de chansons indépendantes mais capables de s’enchaîner
le mieux possible pour l’auditeur. Cet exercice fut le plus difficile car comme nous le revendiquons, nous ne
voyons souvent que par les morceaux et n’envisageons jamais leur imbrication future sur un support. Les
compositions furent nombreuses et le choix serré. Nous avons gardé 3 titres du précédent dont « Pristine » est
le single et la pièce maîtresse. Le fil rouge de l’album c’est la voix de Gary, d’une ambiance l’autre, de l’electro
de « waiting room » au shoegazing de « trauma », d’une certaine vision de la pop anglo-saxonne « the end of
intellectuals » aux sonorités morriconiennes « behind the mirror ». 12 chansons, 12 ambiances, d’une même
voix.
Siegfried
Discographie
the absence
04:45 Pristine
02:51 Fade out
05:03 Behind the mirror
02:28 Window town
03:40 Trauma
Gary Lawrence Soubrier :
Lead vocal, Telecaster Guitar, Keyboards
Siegfried Chevignon :
Mustang guitar, CZ-101, programming, synthesizers
All music and lyrics © 2004 The Absence / Soubrier / Chevignon
All rights for The Absence
Produced by Gary Lawrence Soubrier & Siegfried Chevignon
Thanks to Ba Dat N’guyen for the bass line on Trauma and Window Town
Photography Charlotte Marcodini
The Absence
Movie Tones
04:50 Pristine
02:55 Wainting Room
03:52 Urban Shape
03:31 Soft Motion
03:10 Miss n°: 5
03:48 Disconnection
03:40 Trauma
03:37 Veins
06:03 The Gift
03:48 Sidewalk Lovers
02:46 The End of Intellectuals
05:11 Behind The Mirror
Gary Lawrence Soubrier : Vocal, Guitars, Synth
Siegfried Chevignon : CZ-101
Produced by The Absence
Music and lyrics The Absence : Gary Lawrence Soubrier & Siegfried Chevignon
Except “The Gift” Jean-Sébastien Nouveau / Immune
Florent P. Christiansen : Second Guitar on The End of Intellectuals and synth on Disconnection
Ba Dat N’guyen for the bass line on Trauma
Photography Charlotte Marcodini
Critiques
Movie Tones, voici l’un des albums de 2007 au sujet duquel les très bons échos vont sans aucun doute fortement s’amplifier durant l’année 2008. Derrière une pochette qui ne laisse rien transparaître du groupe et de
ses origines, si ce n’est un probable goût pour une ligne musicale plutôt sombre, se cache un duo franco-anglais dont la rencontre s’est faite à Nevers. Après avoir partagé l’affiche de plusieurs festivals à la fin des années
90 au sein du groupe Neverland, en compagnie de têtes d’affiches telles que Girls Against Boys ou de Baby
Chaos (diantre ! Je n’avais plus entendu ce nom depuis une éternité), Gary Lawrence Soubrier et Siegfried
Chevignon décident de prendre une nouvelle route, c’est ainsi qu’Absence voit le jour durant l’été 2003 à Lyon.
Une fois encore c’est du côté de Lyon que l’on trouve cette authenticité ‘so British’ recherchée par tant de
groupes locaux. Après les Suki Brownies qui, dans un registre résolument plus Britpop, sont enfin sur le point
de rencontrer un succès à la hauteur de leur talent, Absence est sans aucun doute en lice pour devenir l’une
des nouvelles sensations indépendantes de l’année.
Il y a beaucoup de (bonnes) choses dans ce ‘Movie Tones’ qui a mis trois ans à voir le jour entre sa démo
initiale et sa version définitive. Les références sont nombreuses et inévitables, leur musique évoque beaucoup
les grands noms de la Pop anglaise, le chant de Gary y étant pour beaucoup. Sous une atmosphère souvent
éthérée s’impose une voix étrangement voisine de Morrissey et des Smiths, de Tom Smith (Editors, sur ‘Veins’
et ‘The End Of Intellectuals’), et surtout de Murray Lightburn, le chanteur de l’excellent groupe canadien The
Dears (notamment sur ‘Urban Shape’, ‘The End Of Intellectuals’ et ‘Disconnection’). Pourtant, bien loin d’être
une simple resucée de ses idoles, Absence délivre ici un premier album autoproduit à l’atmosphère aussi envoûtante que posée, n’hésitant pas à jongler avec réussite sur 20 années de musique anglo-saxonne.
Les titres de ‘Movie Tones’ évoquent ainsi la New Wave des années 80 (‘Disconnection’ et son introduction
qui nous fait beaucoup penser à ‘A Forest’ de The Cure (‘Seventeen Seconds’ - 1980) ainsi que d’autres titres
à la ligne de basse et aux nappes de claviers ultra présents (‘Soft Motion’ notamment) ; le ‘Shoegaze’ et l’Indie
Rock des années 90 (‘Trauma’, cousin lointain des complaintes bourrées de distorsion de Ride) ; une touche
d’électronique (‘The Gift’) ; et enfin un aspect Pop ultra présent qui rend l’ensemble très accessible. D’où notre
comparaison à The Dears, lorsque Gary prend des intonations étrangement voisines du chant de crooner de
Murray Lightburn – c’est un compliment… Children of The Dears, here we come!
Titres conseillés: Pristine, Urban Shape, Disconnection, Trauma, The End Of Intellectuals, Behind The Mirror
Starsareunderground
Imperturbable, The Absence livre avec Pristine, Behind the Mirror ou Trauma, couchés sur ces cinq titres intemporels, une nostalgie à couper au couteau, doublée d’une présence lumineuse - cette retenue particulière,
richesse intérieure, qui crève l’écran.
MAGIC
Nous ne savions rien de The Absence, nous voila bouleversés par quelques minutes de Pop, aux résonances
new-wave, à la sensibilité très anglaise, et aux mélodies lumineuses.
VERSUS
Pristine démarre et déjà on se sent une douce folie s’emparer de nous, une voix charismatique et envoûtante ,
un univers musical qui sonne comme une rencontre entre le meilleur de la pop et du post rock, une production parfaite, The absence marque un grand coup.
ALTERNATIFS
Gary Lawrence Soubrier et son comparse Siegfried Chevignon proposent des compositions dignes des plus
belles signatures du mythique label Sarah Records.
FOUTRAQUE
Chacun à leur manière très différente, les cinq titres réunis ici semblent continuer une histoire que l’on croyait
oubliée, disparue avec les héros du rock indépendant, qui pourtant nous hante.
POPINGAYS
L’écoute de cette généreuse démo 5 titres nous a perturbé, ces chansons sont d’une habileté
singulière.”Pristine” draine un souffle épique dans la veine de “Tomorrow” de James, dominé par un chant
qui nous transperce de part en part. Des pop-songs tragiques où une guitare Telecaster pourfendeuse s’élance
sur des décors synthétiques en 16/9.
PINKUSHION
Ce qui n’aurait pu être qu’une banale démo d’un jeune groupe français se pose rapidement telle une véritable
révélation.
MELODICK
Enfin tout est bon dans ce disque, et c’est si rare dans la grande famille des disques auto produits qu’il faut
vraiment le souligner.
LIABILITY
Chaque pièce s’assemble comme un puzzle et on regrette d’être déjà à la fin du cd.
REAKTIV ZONE
Ein Engländer und ein Franzose, die sich in einem verlassenen Kaff namens Nevers getroffen haben und das
sie schnell in Neverland umgetauft haben, machen zusammen unglaublich schöne Musik unter dem Namen
THE ABSENCE. Wobei, vielleicht sollte man besser schreiben machten, denn so verlassen wie der Ort ist, in
dem Gary Lawrence Soubrier und Siegfried Chevignon sich trafen, so verlassen ist ist auch inzwischen ihre
MySpace-Seite und ihre Homepage, die gleich gar nicht mehr existiert...
Was sie jedoch hinterlassen haben, ist ein Album namens “Movie Tones”, das man immerhin noch für wenig
Geld als Download-Album erstehen kann. Darauf finden sich Songs, die man als eine melancholische EnnioMorriconehafte Version von ADORABLE beschreiben könnte, vor allem weil die Stimme doch sehr an Pete
Fij erinnert.
Das großartige Lied “Pristine” sticht auf dem Album dabei als makelloser Popsong heraus, der einen schmerzlich das Ausbleiben neuer Songs von THE ABSENCE vermissen lässt. Wo seid ihr bloß abgeblieben?
Sublime-music.blogspot
www.theabsence.fr