Pacte IFAW pour la protection de l`habitat

Transcription

Pacte IFAW pour la protection de l`habitat
Pacte pour la
protection de
L’Habitat
1. Changer de trajectoire
2. Nettoyer
Refuser, réduire, réutiliser, recycler
Élimine correctement les déchets ordinaires
ou dangereux. Les restes alimentaires vont au
compost. Ramasse les détritus que tu trouves
sur ton chemin. Organise une opération de
nettoyage localement avec un groupe d’amis
ou ta classe à l’école. Rejoins une opération de
nettoyage de la nature en tant que bénévole.
Refuse ce dont tu n’as pas besoin. Réduis la
quantité d’objets que tu jettes à la poubelle
(à l’école, emporte un goûter « sans déchet
»). Réutilise les objets (lance un échange
de jouets ou d’équipement de sport ;
préfère les sacs réutilisables pour faire les
courses). Recycle (les bouteilles, le papier,
le plastique, les canettes, etc.)
Économiser l’énergie
À la maison, à l’école et au travail, éteins les
lumières et les appareils électriques qui ne
servent pas. Marche, fais du vélo et utilise les
transports en commun lorsque c’est possible
; fais moins de voyages en avion. Achète des
aliments et des biens produits dans ta région.
Passe tes vacances plus près de chez toi.
Tous ces petits gestes contribuent à lutter
contre le réchauffement global, la pollution et
la destruction des ressources naturelles.
GRATUIT
Sonnerie de téléphone mobile
Va sur le site:
IFAW.org/animalaction.com.fr
pour signer le pacte en ligne et
recevoir une sonnerie gratuite pour
ton téléphone mobile !
S’engager à utiliser moins de papier – et à
préférer le papier recyclé – peut vraiment
sauver des arbres pour les habitants des
forêts. Éteindre les lumières et préférer le
vélo signifie moins de gaz à effet de serre
qui réchauffent notre planète. Ramasser les
détritus dans la cour de l’école ou le parc
local protège les animaux domestiques ou
sauvages des contacts avec des déchets
dangereux. Ralentir lorsque des animaux
traversent la route pour chercher de la nourriture ou un nouveau foyer sauve des vies.
© IFAW/J. Hrusa
En tant qu’individu, famille, école ou communauté,
tu t’engages à :
© WTI/V. Menon
Nous savons tous combien notre maison est
importante pour nous : pour les animaux, c’est la
même chose. Mais les activités humaines affectent
les écosystèmes et les habitats des animaux dans le
monde, avec des effets négatifs sur l’environnement
que nous appelons “chez nous.”
Les animaux ont des habitats très variés : une fourmilière
ou un désert, une mare ou un océan, une feuille ou une
forêt. Tu peux protéger ces habitats animaux de diverses
manières là où tu vis et avoir un impact positif sur notre habitat
collectif, la planète Terre !
3. Connaître et faire attention
Les animaux et leurs habitats sont partout!
Quand tu joues dans ton jardin, quand tu
enfourches ton vélo pour aller voir un ami,
quand tu voyages avec ta famille ou quand
tu te promènes, tu es en contact avec
des animaux, petits ou grands, et avec les
habitats dont leur survie dépend. Cela peut
être un insecte qui marche sur le trottoir, un
petit reptile ou mammifère à la recherche de
nourriture dans la pelouse, un chien ou un
chat perdu loin de sa famille. Nous pouvons
tous faire en sorte que nos rencontres avec
les animaux et leurs habitats, quelle que soit
leur taille, se passent de manière responsable,
positive, et ne tournent pas à la tragédie.
• Garde les yeux et les oreilles grands
ouverts.
• Ralentis, contourne, enjambe, ne dérange
pas, passe doucement.
• Reste sur les chemins balisés.
• Si tu vois un animal en détresse, demande à
ton responsable ou ton enseignant d’appeler
quelqu’un qui pourra aider, par exemple une
association de protection des animaux.
Les recherches tendent à montrer que le
réchauffement global causé par les activités
humaines, y compris la consommation
d’énergie, pourrait avoir des effets sur les
animaux dans le monde entier, depuis les
pôles jusqu’aux tropiques. Par exemple, le
Groupe d’experts intergouvernemental sur
l’évolution du climat (GIEC) des Nations
Unies suggère que les habitats arides
pourraient devenir encore plus secs,
ce qui signifie que l’eau et la nourriture
pourraient devenir encore plus rares en
Afrique orientale et australe, là où vivent les
derniers éléphants d’Afrique.

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