ESSAI PHILOSOPHIQUE SPIRITUALISTE :

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LE JOUBERTISME
CRE 28/02/2009 MAJ 27/04/2015
BJCOMJOUBERTISME.docx CRE : 28/02/2009 MAJ : 27/04/2015 63 pages
Bruno JOUBERT
Ma spiritualité selon le monde étrange des Esprits interventionnistes,
la prédestination et la réincarnation,
avec mon point de vue comme quoi l’existence est un Jeu spirituel,
un genre de film
dont le bon Dieu méchant en est le scénariste, le réalisateur et l’animateur.
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La Terre est le centre spirituel du Monde,
à vibrer entre jouissances et souffrances,
pour l’entretien énergétique de la dimension parallèle des Esprits et de Dieu.
Version octobre 2009
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Ma philosophie spirituelle au sujet du Monde de l’étrange,
pour les Hommes, les Esprits, les Génies, Dieu et le Néant.
LE JOUBERTISME
Quelle est la raison existentielle de l’existence ?
Pourquoi l’existence existe ?
Sommes-nous dans un film ?
Le bon Dieu méchant s’amuse à faire son cinéma !
Selon Bruno JOUBERT
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SOMMAIRE
DEFINITIONS
AVERTISSEMENT
INTRODUCTION
A - MA SPIRITUALITE
A 1 : MES EXPERIENCES
A 2 : MES RENCONTRES
A 3 : MES LIVRES
A 4 : MES CHANSONS
A 5 : MES FILMS
B – LE JOUBERTISME
B 1 : MES BASES DE RAISONNEMENTS
B 2 : MA PHILOSOPHIE
B 3 : LE PROCES DE DIEU
B 4 : REVELATION
B 5 : MES VALEURS ET MES MESSAGES
CONCLUSION
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DEFINITIONS
La spiritualité est la qualité de ce qui est esprit, de ce qui est dégagé de toute matérialité : la
spiritualité de l’âme. La spiritualité est aussi ce qui concerne le spiritualisme, la vie spirituelle.
Pour être épris de spiritualité, il suffit la nuit de regarder au calme la lune sur fond d’étoiles,
pour arrêter le temps et se demander sentimentalement envers nous-mêmes, ce que nous faisons
sur cette petite planète Terre perdue dans ce cosmos infini ou presque, qui tient tout seul dans le
vide cosmique par l’opération du saint Esprit ! Qui contient, voit et a créé tout cela et dans quel but ?
Soit alors « J’y pense et puis j’oublie » et je passe à autre chose, soit j’y réfléchis longuement avec
« prise de tête » et deviens philosophe spiritualiste !
Le spiritualisme est une doctrine philosophique qui considère l’esprit comme une réalité irréductible
au corps et à la matière et qui lui attribue une valeur supérieure. Contraire : le matérialisme.
La vie spirituelle est un entendement sur l’ordre de l’âme, avec finesse et vivacité d’esprit,
intelligence, morale et valeurs. Abusivement, elle est employée à une vie religieuse.
Le matérialisme est une doctrine philosophique selon laquelle rien d’autre n’existe que la matière, la
pensée et les phénomènes scientifiques, selon une conception mécaniste avec ses jeux de
contradictions internes. Le matérialisme est aussi un état d’esprit et une manière de vivre orientés
vers la recherche de satisfactions et des plaisirs matériels. Les matérialistes sont athées car ils nient
l’existence de Dieu et de toutes divinités.
Les agnostiques déclarent l’absolu comme inaccessible à l’esprit humain, à l’entendement des
Hommes. Ils préfèrent rester en dehors et dans l’ignorance de ce qui touche à la nature intime,
l’origine et la destinée des choses. (Ils se doutent de quelque chose mais ne vont pas plus loin, ce
n’est pas pour eux un sujet de préoccupation. Ils font confiance… sans vérifier !)
AVERTISSEMENT
La spiritualité au sens où je l’entends dans la connaissance du Monde des Esprits, se place
bien au-dessus de la métaphysique des philosophes et de toutes les religions du monde. Elle n’est
accessible qu’au petit nombre de personnes privilégiées qui ont eu au moins une expérience
extraordinaire, paranormale ou miraculeuse : décorporation lors de comas médicaux ou accidentels,
passage dans le tunnel lumineux, rencontre d’Esprits en des personnes connues préalablement
décédées, vision de trois doigts lumineux guérisseurs, état second comme l’état de grâce des
footballeurs qui marquent but sur but, le fanatique qui se boucle une ceinture d’explosifs autour de
la taille ou qui prend des cours de pilotage pour se scratcher en Jumbo-Jet sur les tours de NewYork… Cette étrangeté, en ce phénomène de résonnance affective des perceptions humaines, est
fantastique, divine, sensationnelle, unique, magique, inoubliable et… « perturbante » comme dirait
ma mère. Ce don est réservé pour les prophètes, les voyants qui voient dans le passé, le présent et
l’avenir, les spirites qui conversent quand bon leur semble avec les Esprits, les Aborigènes d’Australie
qui vivent encore en harmonie avec la nature…
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Heureusement les gens commencent à délier leur langue et osent parler de ces phénomènes
étranges, comme les expériences de plénitude au seuil de la mort (NDE, Neath Dead Experiences).
J’ai tellement cherché une théorie philosophique spiritualiste qui me convienne, que, ne l’ayant pas
trouvée quelque part, je l’ai conçue moi-même : On n’est jamais aussi bien servi que par soi-même !
Mes réponses à mes questions me conviennent beaucoup plus que d’autres ! Je vide mon sac : c’est
du brut de décoffrage, sans censure !
Les personnes qui n’ont pas de dimension spirituelle en ce sens, ne comprendront pas cet
exposé. Néanmoins, elles peuvent toujours le lire, en attendant d’avoir elles-aussi un beau jour, un
ravissement extatique !
Mon Joubertisme est constitué de 75 % d’expériences et de réflexions personnelles, plus 25
% de fréquentations et de critiques, entre les amis, les livres et les films…
Ingrédients de mon cocktail d’expression :
§ Une réflexion consciente et passionnelle de longue date. Depuis mon traumatisme crânien dans
mon enfance, je me pose des questions sur le monde parallèle des Esprits sauveurs. En psychologie,
cette facilité donnée par les Esprits me rend sûr de ce que j’avance dans ma maîtrise, ou presque, de
la spiritualité je la nomme : le « sur-moi ». Je suis très charismatique en la matière car en ce
domaine, je suis un roi ! De temps en temps, je redescends d’un cran, en mon « sous-moi », je me
rends humble pour me mettre à la portée des gens qui croient à leur religion et ont la foi en la
confiance qu’ils mettent en leur croyance. Moi, j’ai plus que la foi : je suis certain ou presque de ce
que j’avance par expériences et réflexions intelligentes. Mon entourage familial aime le Tibet, le
sport, la danse, les études bibliques, les voyages, la musique, le boulot… Moi, ma passion, c’est la
spiritualité dans la réalité cosmique. Quand j’aurai très bientôt bouclé la boucle en éditant mon livre
d’expression personnelle, je tâcherai de me trouver une autre passion, plus facile celle là sans prise
de tête !
§ Une hypersensibilité vibrante d’émotions.
§ Un exorcisme spirituel de mes tourments intellectuels en ce livre thérapeutique.
§ Des projections psychologiques personnelles de « sur-autre » à rivaliser et dépasser dans ce que
l’on en connaît, JC et Dieu, par rapport à mon complexe de « minabilité » dans mon sous-autre, pour
obtenir dans mon inconscient un équilibre psychique.
§ Une solitude crucifiante quand je ne suis pas avec mes ami(e)s et ma fille. Tel Robinson Crusoë qui
se trouve un aborigène qu’il nomme Vendredi. Tel Tom Hanks dans le film « Naufragé du bout du
monde » : un avion de la Fédéral Express s’abîme en mer et le héros se retrouve sur une île déserte. Il
trouve un ballon et le personnalise en lui peignant des yeux, un nez, une bouche et des oreilles pour
discuter avec lui et enfin se complaire dans l’échange, le sauvant ainsi de la folie ! Tels ces solitaires,
j’écris mes confidences à mon ordinateur, qui lui ne me contredit pas, ou presque, tellement il est
tolérant !
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§ Un humour machiavélique indécent à outrepasser les réserves d’usage dans ma tenue par rapport
à Dieu, depuis que je sais que ça ne le dérange pas trop qu’on le traite de con. Je Lui parle alors
d’égal à égal. Pour moi, à faire entredévorer ou entretuer ses propres créatures, Dieu est devenu
cinglé. Il m’aide, je l’aide aussi à retrouver la raison. Un type comme Jésus qui se réclame être le fils
spirituel de ce Dieu aussi bon de nous faire naître que méchant de nous faire mourir, délire un
maximum ! Alors, le vrai humour n’est-il pas de ramener les vérités relatives à leurs justes valeurs
absolues en les mesurant froidement par des raisonnements lucides, évidents et irréprochables
puisque fondés sur tellement de bons sens retrouvés qu’ils nous font sourire de compassion sur
notre crédulité enfantine.
§ Un courage de me mettre devant vous, tout nu au soleil de mes vérités personnelles, en vous
ouvrant toutes grandes les portes de mon « jardin secret ».
§ Un espoir de libération de mes tracas, traumatismes et passion spirituelle, comme je me suis libéré
grâce à ma fille de mon comportement studieux et borné issu de mes études scientifiques, et comme
je me suis éloigné de ma passion pour la psychologie grâce à l’acceptation de ma prédestination.
J’espère que vous ne vous rendrez tout de même pas malade à faire une indigestion de mon œuvre
philosophique spiritualiste !
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La folie psychique de certains est due à la rencontre chaotique de l’intelligence spirituelle et
de la connerie humaine en une résonnance cérébrale où le cerveau « chauffe de trop ». Il arrive à
bouillir comme l’eau d’une cocotte minute dont le souffleur s’emballe à tourner à toute vitesse.
Heureusement qu’en nos temps modernes, les cachets anxiolytiques nous apaisent psychiquement.
Au contraire, d’autres cachets mal adaptés, poussent encore plus loin nos hallucinations : « J’ai la
tête comme un soleil ! » Chaud devant ! L’accès à la spiritualité n’est pas sans danger ; les spirites le
savent bien et les médiums travaillent donc toujours en groupe !
Psychologiquement, j’ai besoin de coucher ma spiritualité noir sur blanc, de ma tête à un
livre thérapeutique, respectivement en un couper / coller salutaire. A vider ma tête de tous mes
délires psycho-spirituels, je m’éclaircis l’esprit et reviens à la lucidité. Je me sens alors cérébralement
« plus léger », pour avoir davantage de bonnes idées et être de plus en plus disponible pour moimême et pour les autres. Mes délires ont commencé à l’âge de 41 ans, quand les adultes de mon
entourage ont « bloqué » sur ma première, vraie, pure et authentique expression personnelle libre :
ma première bande dessinée réalisée pour ma fille, sur la genèse du monde « La Naissance de
l’Existence ». J’ai ainsi réécrit la première histoire biblique en une version plus crue et pertinente
pour moi bien que sous toutes réserves de ma compréhension des choses divines. C’est guère moins
bizarre, mais c’est de moi ! J’en avais marre de répéter ce que les gens voulaient entendre, de lire ce
que les gens voulaient me faire croire en des bouquins qui ne valent pas mieux les uns que les autres.
Ma réflexion personnelle, mon intuition et mon introspection, me reflète « moi », Bruno pour Bruno,
en mon jardin secret, la raison existentielle de l’existence. Le Joubertisme est la suite de cette
première BD : même source, même vision et même conception cosmogonique, en plus « hard » cette
fois, puisqu’il s’adresse maintenant à des adultes. Ames sensibles s’abstenir de cette lecture ! Sinon
êtes-vous prêt(e)s à vous fondre dans mon « univers » ? Alors en avant les âmes vaillantes !
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A partir d’ici, je ne réponds plus de moi, puisque mon besoin d’expression est supérieur à ma
contenance. Surtout, ne soyez pas choqué(e)s de ma mise à nu à la lueur de mes vérités spirituelles
qui rejoignent celles de quelques compagnons : « Nous sommes Dieu ! Je ne veux plus me réincarner,
tellement la vie sur Terre est difficile !» me dit Nicolas. « Je suis un envoyé de Dieu » me lance mon
ami JC, Jean-Claude ! Je vous souhaite du plaisir à me lire dans ce divertissement littéraire qui rend
compte de mes pensées. Voici ma vérité :
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Je suis un éternel enfant. J’aime taquiner les gens : faire rire les filles et provoquer les
garçons dans leurs convictions philosophiques et surtout religieuses ! J’ai été un garnement qui en a
fait voir de toutes les couleurs à ma mère, puis un adulte rebelle dont la grande conscience humaine
m’a poussé souvent à changer d’emploi, et qui maintenant, prenant de l’âge, entre dans une certaine
sagesse qui me dit que la vie est aussi belle que cruelle, et qu’elle doit ressembler aux traits de
caractère de son Créateur, aussi gentil que méchant !
Ce qui est important pour moi, ce n’est pas ce que je dis, mais plutôt de comprendre ce que
je ressens afin de dire ce que je veux dire. A moi de me « libérer de mes chaînes » comme dit ma
copine Annick dans mon expression personnelle, jusque là bien muselée par les autres de part ma
faiblesse de caractère et mon manque de personnalité. Grâce à mes travaux de recherches et
développements en spiritualité, psychologie, philosophie et sociologie, je suis maintenant quelqu’un
sûr de moi, lucide avec plus de bons choix que de mauvais, certain de mes certitudes, de mes
croyances et de mes doutes, notamment de mes valeurs, celles qui me réussissent. Comme dit mon
copain Yves : « A chacun sa philosophie !» Voici la mienne, ma vérité parmi d’autres… Quant à la
vérité, elle est LA réalité. Non celle inconsciente, personnelle et relative dans la tête de chacun de
nous, mais celle consciente et absolue de notre petite planète toujours belle, vivante mais de plus en
plus polluée, qui nous héberge tous, perdue dans ce cosmos infini ou presque, et qui souffre depuis
l’ère industrielle de la pollution des Hommes sous la couverture du progrès militaro-technique au
grand dam du progrès spirituel !
INTRODUCTION
Le Monde des Esprits veille sur moi. Ils me font vivre des expériences qui me sauvent la vie
et me protègent. Je leur suis redevable et je fais de mon mieux pour les aider dans leur tâche à veiller
à ce que les humains se comportent selon la destinée du monde : « Man musst den Plan erfüllen »
[On doit remplir la planification des labeurs], phrase d’un livre scolaire d’allemand sur le
communisme soviétique. Spirituellement, cela signifie qu’on se doit de jouer au mieux son rôle
terrestre selon son destin divin écrit à l’avance, tel un bon acteur de théâtre (un humain). Il suit son
texte aidé par le souffleur (son double en Esprit), et obéit en actions à la mise en scène que d’autres
que lui ont imaginée (les Génies metteurs en scène [Ils sont les clones de Dieu, qui s’est mis en 4
pour mieux élaborer sont Jeu]). Le seul libre arbitre d’un bon acteur est de faire passer ses
émotions, entre beauté et cruauté, rires et larmes, confiances et peurs, jouissances et souffrances,
afin de faire vibrer son public : les Terriens, les Esprits, les Génies, Dieu et le Néant.
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PERMETTEZ QUE JE ME PRESENTE !
A – MA SPIRITUALITE
Il me semble que les Esprits me font des signes autant que je puisse le supporter en tant qu’être
humain. Ce juste équilibre de communication médiumnique est des plus délicats.
A 1 : MES EXPERIENCES SPIRITUELLES ET MES DELIRES
A l’âge de huit ans, en courant sur une digue, je glisse sur une flaque d’eau et me cogne la
tête sur le bêton. Après un moment de « vide comateux », je me vois d’en haut, à 5 m de hauteur
environ, dans les bras de mon père qui descend les gradins menant à la plage du Bourget du Lac près
d’Aix-les-Bains. Une voix d’homme, familière mais inconnue, peut-être celle du Double de mon père
au Ciel, venant de derrière moi, m’interpelle : « Alors Bruno, que fais-tu ? ». « Je retourne avec mes
sœurs ! » Après un autre moment de vide, je reprends mes esprits et me retrouve allongé sur la
plage, à l’ombre d’un arbre, avec mes sœurs et mes parents autour de moi. Avec intelligence, je
demande à mon père : « M’as-tu porté dans tes bras en descendant les gradins ? » « Oui, en te
ramenant de l’infirmerie ! ». La preuve est obtenue : je n’ai pas rêvé et mon cerveau a encore moins
divagué mais j’ai vécu « en double », Esprit et gamin, dans une double réalité ubiquiste [faculté
d’être présent en plusieurs lieux à la fois]. Cet « Esprit-Homme » m’a sauvé la vie. Depuis cette
décorporation, je suis en relation avec le Monde des Esprits et je lui suis éternellement redevable.
Les Esprits me parlent de temps en temps, de 0 à 1, 2, 3 fois par an. Ce sont toujours Eux qui
viennent à ma rencontre. J’appelle cela le mysticisme du Haut vers le Bas.
De mon côté, je ne vais pas au devant des Esprits par la méditation, la transe, le spiritisme ou
autres concentrations mentales, à marcher sur les charbons ardents, qui sont le mysticisme du Bas
vers le Haut. Nos rapports sont délicats, car leurs interventions sont autant salutaires que
perturbantes, comme disait ma mère. En effet, cela n’est donné qu’à certains « privilégiés » comme
moi, ma mère, les médiums, les Aborigènes d’Australie… de converser avec les Esprits. Donc, depuis
que je suis enfant, je pense aux « Esprits sauveurs », à leur Monde étrange et à mon non libre arbitre
(de part ma prédestination), et par conséquent, je « plane » comme Eux le plus souvent sur ce
monde terrestre.
Dès l’adolescence, j’ai des pressentiments comme diraient certains, mais je dirais plutôt des
prémonitions à deviner justes les évènements à l’avance.
§ Avant l’épreuve de français du BEPC, je me perds dans mes pensées en me disant qu’il n’y a
pas plus courageux qu’une gentille maman qui s’occupe tous les jours de ses enfants. Un surveillant
me tend le sujet : le courage. Moi qui craignais cette épreuve, sa rédaction est déjà toute faite dans
ma tête! Magique !
§ En revenant de Rive-de-Gier en Dauphine, je repère une voiture. On va avoir un accident
avec. Bing ! Ca se produit !
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§ Je devine à l’avance le décès d’un ami de mes parents Paul, puisque je réponds à ma mère
qui me demande de lui parler d’un stage de formation pour moi : « C’n’est pas la peine, M’an ! ». Je
sais d’avance qu’il va mourir. En effet, dans les jours qui suivirent, ce patron exigeant aux yeux bleus
glacials se fait assassiner par son jardinier, employé à l’entretien de son « château », une grande
maison bourgeoise, qu’il a achetée en détournant l’argent de son entreprise personnelle de
machines-outils.
A 17 ans, en cours de sport, deux de mes copains montent dans un cheval d’arçon qui
s’empile de caissons en bois, et ont l’idée imprudente de traverser le terrain de hand-ball pour
perturber le match qui s’y joue. C’est pour moi. Je heurte en plein élan quelque chose et je m’y
assomme. Ce choc violent me rend amnésique à ne plus me souvenir à quelle date on en est, à me
demander si on a ou pas passé le bac. Je mets tout un après-midi à me remémorer avec force mon
temps disparu dans ce traumatisme.
A 24 ans, en faisant l’amour avec une très belle femme, j’ai fait un « voyage astral » dans le
soleil. Elle se serre autour de moi et cela me fait un effet magique : je pars spirituellement à une
vitesse vertigineuse et me retrouve dans un endroit magnifique tout blanc, « Plus blanc que blanc »
comme dit Coluche, où je suis étrangement bien, calme et serein. Après un moment, je repars idem à
une vitesse vertigineuse, et reprends mes esprits à revenir à ce que je suis entrain de faire : un câlin
avec 7ème ciel ! Encore une fois, je n’ai pas osé en parler à ma copine que j’aimais bien. Dommage, car
juste avant que je ne la demande en mariage, elle s’est suicidée.
A 34 ans, marié depuis, ma femme et moi, nous ne nous entendons plus très bien. Je décide
de prendre un moment « du large » et accepte un emploi de directeur d’usine dans le nord. Ma fille
me manque mais je redescends tous les week-ends, ou presque, pour la retrouver. Un mauvais jour,
je reçois une lettre Accusé Réception. Qui cela peut-il bien être ? C’est une demande de divorce ! Je
panique, cela se ressent sur mon travail. Mon PDG me dicte ma lettre de démission, comme à l’école.
Je pars en Allemagne voir mon correspondant Karl-Eugen car je ne vais pas bien. J’ai peur que la
direction de l’entreprise, qui triche avec la maison mère allemande, me fasse suivre. Je deviens
paranoïaque et me prends aussi pour la réincarnation du Christ. Si je suis le Christ, je dois faire des
miracles, non ?! Ma demande est pour ma grande sœur qui souffre d’ataxie, c'est-à-dire de mauvaise
coordination des mouvements. Je rentre à Lyon et la retrouve toujours dynamique quand bien même
son handicap de naissance la perturbe. D’ailleurs ma grande sœur a retrouvé l’infirmière qui l’a
ranimée après sa naissance et l’a remerciée. Trop intelligente ma sœur ! Puis elle a rencontré le
médecin de service qui n’a pas appelé le médecin accoucheur et qui a mal fait son travail avec des
conséquences à vie, et l’a engueulé. Ma sœur est la femme la plus intelligente que je connaisse. Je ne
lui arrive pas aux chevilles ! Preuve est faite, je ne suis pas le Christ car le miracle n’a pas fonctionné.
Dommage… ! A moins que pour cette vie là, je ne me sois pas programmé de miracles, du fait du
traumatisme perdurant de la crucifixion ! Pour moi, on a fait beaucoup de miracles, à me sortir in
extremis de situations dangereuses, comme ma chute du train lorsque j’étais collégien et revenait à
la maison où une personne costaude m’a rattrapé de justesse par mes vêtements. C’est pour cela
que je ne prie que très rarement ! « J’suis servi ! » comme on dit au poker. Le seul miracle que je fais
pour moi, est de me sortir seul ou presque, de ma névrose psychique. J’ai fait quelques miracles pour
les autres, comme :
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§ De marier mon copain Bernard à la copine Monique de ma grande sœur. Ils ont deux
enfants, et ils sont tous heureux en famille. Merci à eux car tous les étés, je reçois une carte postale
de leurs vacances.
§ D’aller chercher un type qui se promenait bizarrement sur le terre-plein central de
l’autoroute, juste à côté de la deuxième voie à gauche. Ce type jeté avait une aiguille de perfusion au
bras. Il venait de quitter l’hôpital psychiatrique car il est devenu fou de ne plus être avec ses enfants.
A 41 ans, je comprends que ma fille, alors âgée de 12 ans, continue son éducation chez sa
mère et que je reste seul dans un appartement que m’ont offert mes parents dans une résidence qui
devint ma prison dorée, loin de la chair de ma chair. Là, après m’être régalé à lui écrire une bande
dessinée sur la Genèse, expression personnelle que ma famille dédaigne violemment, je craque
psychiquement et fais ma première « bouffée délirante ». Je lâche totalement prise et me prends à
nouveau pour la réincarnation du Christ.
A 48 ans, j’ai des prémonitions concernant la mort prochaine de ma mère, mais je ne percute
pas : Pit Baccardi chante « Si loin de toi ». Ma mère veut nettoyer la tombe familiale. On se bouscule
à trois dans la cuisine… Le soir de sa mort, me trouvant devant la porte de sa chambre, je sens un
froid glacial et me dis : « Il fait froid comme la mort » Je réalise qu’on ne dit pas ça d’habitude… La
Mort est donc là, dans la chambre. Moi, le roi des trouillards, vais pour m’avancer afin de « La »
chasser de là, mais ma mère me parle par télépathie, ou plutôt son Double, car maman s’affaire à sa
couture dans le cellier : « Ce n’sont pas tes affaires ! » entends-je sa voix téléportée dans mon oreille
gauche. « Ok, M’an, comme tu voudras ! ». Je pars avec ma copine du moment dormir chez elle. Le
lendemain, ma mère est morte ! Dur. Un moment, je fonds en larmes. Ma petite sœur me console. Le
jour de l’enterrement au funérarium, je suis seul devant le cercueil ouvert de ma mère : Je m’adresse
à elle : « Que dois-je faire aujourd’hui ? » « Occupe-toi donc des invités ! » me répond-elle. « Ok,
M’an ! » et je m’en vais content, sachant ce que j’ai à faire en ce jour particuliers où ma Mère, après
avoir assisté d’En-Haut à son enterrement, s’en va dans le Monde invisible ou presque des Esprits.
Peu de temps après, j’ai une révélation au dancing : je ne danse plus sur la musique, mais sur la
musique je danse. Je ne compte plus mes pas et les temps. Tout me vient magiquement,
naturellement. Enfin le déclic ! Je suis sûr que c’est un cadeau de ma mère. Merci M’an !
A 49 ans, j’entends de l’intérieur de la maison, mon père m’appeler faiblement du dehors. Je
me précipite à l’extérieur, mon père est étendu sur le sol : « Je suis tombé du toit où je suis monté
pour couper mes rosiers. » Puis ses yeux papillonnent. « C’est la fin ! » me dis-je. « P’a, je t’aime ! »
lui criais-je ! C’est bon, il reprend ses esprits. Un grand voisin éloigné, me propose son aide et appelle
les pompiers. Mon père s’en sort… indemne. Miracle ! Il me raconte plus tard qu’il a fait un saut
périlleux, comme à la gym, et s’est reçu sur ses jambes, mais son corps a basculé et sa tête a cogné
un rebord de jardin. Plus de peur que de mal ! Spirituellement dans mon « Papa, je t’aime ! », il y
avait une prière pour ma mère : « Maman, laisse-moi le un moment. J’ai besoin de lui car je suis
encore un enfant qui a besoin de grandir sous sa bonne protection. » Ce qu’elle a fait. Merci Ma
Maman ! Prière exaucée comme la chante, hélas après coup, Edith Piaf dans sa chanson « Mon
Dieu »pour son amant parti au Ciel, aussi sans prévenir.
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Depuis que je suis gamin, mon père est mon idole, à boire en champion de kayak sur la
Saône, le champagne dans sa coupe gagnée haut les cœurs. « Moi, jaloux ! » ai-je écrit dans mon
album photos. Mais mon père, mon héros, est quelque peu inaccessible : trop fort le papa en
montagne où je l’ai suivi jusqu’au Mont Blanc, en vélo, en voile, en harmonica ! Seul problème, il ne
vient pas dans ma dimension, la spiritualité. « Ton fils n’est pas manuel, mais intellectuel » lui a dit
justement ma mère. Tout récemment, il m’a enfin encouragé : « Et ton livre ? » Merci Papa !
A 51 ans, un médecin me prescrit un autre anxiolytique qui agit à l’inverse de l’apathie, à me
donner des effets secondaires d’euphorie et de surpuissance physique. Après avoir rendu visite de
très bonne heure à ma fille, j’ai au retour une idée suicidaire, comme de faire un tout droit dans un
virage avec ma voiture… Heureusement qu’à l’époque, je ne sais pas bien faire mes choix et hésitant,
je m’interroge à savoir si c’est une bonne idée. Que faire ? « Fais comme d’hab, P’a ! » me souffle ma
fille par télépathie. Comme d’hab ? C’est rentrer sagement à Lyon, attendre que le temps passe pour
revoir ma fille à nouveau… C’est mon habitude… et ça le restera ! Je choisis, je reste… dans le Jeu !
Merci ma fille de m’avoir sauvé la vie ! Je t’aime infiniment.
A 52 ans, je m’inscris à une agence d’intérim pour me trouver n’importe quel boulot, car je
n’ai plus d’argent. Je trouve un job dans la mise sous pli de courriers pour la Poste. Je travaille dur en
équipe de jour avec des horaires de 6h à 14h ou de 14h à 22h, à ne même pas prendre le temps de
boire un coup à ma bouteille d’eau. Je mets des plis en caisse à longueur de journée. Je décroche
enfin mon CDI. Avant cet emploi, un truc étrange m’est arrivé. J’ai acheté dix caisses plastiques qui
s’emboîtent les unes dans les autres, dans un supermarché. Je n’arrive pas bien à les ranger dans
mon coffre de voiture ! Que fais-je avec toutes ces caisses dont je n’ai pas vraiment besoin ? Le
disque est rayé. Encore une avance sur mon destin ?! En effet, ces caisses, je les manipule à longueur
de journées, à mettre les plis dedans ! Dans cette entreprise, ma mère me fait des signes. A un
moment donné, ma machine de mise sous pli s’enraye, j’en deviens abruti et cela m’excède : « Mais
qui donc me fait ce coup là ? » J’arrive à sortir le pli qui bloque la machine et lis : Madame… Place de
l’amour 97… Sainte Suzanne ! Ma mère, qui se prénomme Suzanne, est mon guide féminin spirituel.
Elle protège notre famille. A moi de continuer son œuvre ! Un matin, je m’occupe des NPAI, N’habite
Pas à l’Adresse Indiquée : je vois passer beaucoup de Bruno, et un « Bruno LABITE ». C’est marrant, je
montre l’adresse à José, mon chef bien-aimé ou presque ! Puis un moment après, je trouve un
« Monsieur LABITTE » avec deux T. C’est trop étrange. Je n’ose montrer cette deuxième adresse à
mon chef, il ne va pas me croire !
Un beau jour, je propose à ma copine de danse, qui travaille à la SNCF, de m’occuper
psychologiquement d’elle car elle est une dépressive hyperactive [qui se fuit dans l’activité]. Je lui dis
de prendre un cahier et d’y écrire : « Je m’occupe de moi » et de signer. Elle le fait, puis me retourne
le cahier et me tend le stylo : « Toi aussi, écris : Je m’occupe de moi, et signe ! » Trop intelligent !
« Non, non, hors de question, je veux bien m’occuper des autres mais pas de moi ! » lui répondis-je.
« Allez mon Bruno, écris et signe ! » D’accord. C’est incroyable, je me suis décidé à m’occuper de moi,
et je vais donc commencer à décoder, modéliser et comprendre le psychisme humain ! M’occuper de
moi m’occupera !
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A 55 ans, je suis excédé par le bordel qui règne sur Terre, notamment avec le tsunami. Je lève
les yeux au Ciel et m’exclame : « Dieu, t’es con ! » … puis je m’explique : con comme … compliqué !
Sur 15 jours, je m’attends au pire. Vais-je recevoir, comme ma fille de la part de son père qui ne sait
pas écouter parce qu’on ne l’écoute pas, une gifle mémorable après un révolutionnaire « P’a, t’es
con ! »? Cette insulte régurgitée est suivie … d’un cadeau, celui de ne plus me tourmenter
spirituellement. Dieu est vraiment très fort car beaucoup moins con que moi, puisqu’à de la haine, Il
répond par de l’amour !
Moi, je n’aimais vraiment pas qu’on me traite de con, ça me mettait hors de moi. Un jour un
Monsieur avec une belle voiture esquintée vient se plaindre que je lui ai cabossé son automobile. Il
cherche un pigeon. Il m’explique que son pare-choc est « intelligent » puisqu’il a la mémoire de
forme. Mais je suis ingénieur, je comprends ce qu’il me dit, et je lui lance : « Votre pare-choc est
intelligent, mais moi je suis con ! » Je sens les puissances verbale et physique monter en moi. Là, le
gars prend peur. Il a raison car je suis le plus fort, prêt à lui faire « sa fête » et à appeler la police pour
abus mensonger. Il détale comme un lapin, sans demander son reste ! Un autre jour, un internaute
qui me connait, le seul qui m’ait répondu au sujet de mon site sur ma boîte mail, m’indique comme
message : « Plus con tu meurs ! ». Le pompon revient à Jean-Claude qui dit à son amie tenant le
combiné téléphonique à la main : « Bruno est tellement intelligent, qu’il en est con ! » En vacances,
un ami de la famille me répète ce que dit mon père à mon sujet : « Quelles conneries a-t-il encore
faites ? » Tout cela m’est maintenant égal. Comme dit le Christ « Les derniers (des cons) seront les
premiers (des intelligents) ! ». Une amie me questionne souvent : « Ange ou démon ? ».
Heureusement qu’une autre amie m’encourage bizarrement : « Bruno, tu es terriblement
intelligent ! »
A 56 ans, après avoir lu quelques ouvrages à la recherche d’écrivains qui pensent comme
moi, maintenant, je réfléchis à tout ça et élabore à mon tour, ma théorie existentielle personnelle,
que j’appelle « le Joubertisme ».
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La complexité du psychisme humain m’interpelle :
§ En l’an 2000, j’ai une idée sensationnelle. Je vais mettre mes choix de vie sur un graphique
et voir à quoi il ressemble. Sur un tableau informatique, j’indique les événements marquants de ma
vie avec mon âge du moment. Si c’est un bonheur, je note +1. Si c’est un malheur, je note -1. Puis je
cumule mes notes, ce qui me donne une courbe ascendante sur mon PARAITRE. C’est bien ! Mais je
me dis que je fais aussi beaucoup plus plaisir aux autres qu’à moi-même. Alors j’établis un correcteur
psychique : +1 si c’est bien mon choix et -1 si je me suis forcé à le faire. J’obtiens une deuxième
courbe sur mon ETRE. Et là, terrible de pertinence, ma courbe PAGAILLE de mes bonheurs et de mes
malheurs corrigés psychologiquement selon mes vrais choix pour moi et mes faux choix pris pour
faire plaisir aux autres, cumulés dans le temps, me montre une dérive en dégringolade,
caractéristique d’une forte dépression nerveuse pour laquelle je me dois de redresser la barre. En
2008, je rajoute à cette étude, un correcteur spirituel qui ramène la courbe psychologique à la
première courbe apparente, par pleine acceptation des événements de ma vie, somme toute de mon
destin.
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§ Je distingue aussi quatre états dans le psychisme humain :
§§ Le supraconscient règle notre prédestination.
§§ Le subconscient gère notre corps humain.
§§ Le conscient (le MOI) avec lequel je vis ma vie en subissant, maîtrisant puis créant plus ou
moins les événements avec, lorsque j’excelle dans un domaine, le SURMOI charismatique allant avec
le SOUSMOI humble pour rallier les autres à mes entreprises florissantes, comme ma spiritualité et
les religions des collègues.
§§ L’inconscient d’une part avec le SOUSAUTRE permet de réaliser les projections des autres
comme par exemple d’être ingénieur pour faire plaisir à mes parents, et d’autre part avec le
SURAUTRE, de rêver à des projections sur moi-même, comme par exemple d’être un agent secret,
costaud, malin et tombeur de belles femmes. L’inconscient me dédouble deux fois dans deux
irréalités impuissantes.
En ce qui me concerne psychiquement, à l’âge de 11 ans, je dis un oui au lieu d’un non pour
faire plaisir à ma mère au sujet de mon orientation scolaire. Là, je fais l’abnégation de moi-même et
me dédouble en un « clone » ou un « clown » schizophrène [perturbé par le schisme [la rupture]
entre mon monde intérieur et le monde extérieur, incommunicabilité pouvant aller jusqu’au délire].
Alors à vivre inconsciemment comme un robot pour les autres, je m’oublie et me cache
consciemment dans ma tête pour ne plus en sortir, sauf à 55 ans, après avoir cassé à coups répétés
de pioche en des remémorations conscientes, mon carcan inconscient par conscientisation totale
genre « Total Recall». La gangue inconsciente atomisée révèle alors un joyau : mon MOI libre,
pleinement conscient, et enfin retrouvé !
§ Je répertorie mes domaines conscients en ce que je maîtrise, et inconscients en ce qui
m’échappe. Concrètement, mes domaines conscients sont ma spiritualité, mes copains et ma fille.
Mes domaines inconscients sont ma famille parentale, ma carrière professionnelle et les femmes.
Maintenant, je suis pleinement conscient pour n’avoir plus d’inconscient ou presque et ne plus être
dans mon passé devenu révolu, comme dit ma fille. C’est incroyable, je me suis guéri seul ou presque
de ma névrose avec mon irréalité psychique, et de ma dépression nerveuse schizophrène avec mes
bouffées délirantes ! Fantastique ce retour à la réalité consciente ! « Bravo Bruno chéri ! » me suis-je
dit il y a un mois. Je m’aime donc ! « Tout va bien ! » comme dit ma mère.
§ Tout est équilibre. Tout et son contraire cohabitent en un compromis délicat selon une
dualité entre le bien et le mal qui nous fait alternativement jouir et souffrir en nos bonheurs et nos
malheurs successifs. Tout est vibration, sensations et émotions. Pour rester dans le jeu, il est
nécessaire et suffisant d’être dans le temps, juste un peu plus heureux que malheureux, d’où la
lucidité de ma courbe PAGAILLE.
§ J’énonce clairement mes problèmes, puis les trie par famille et enfin les classe en
arborescence, des problèmes dépendants au problème indépendant. Il en ressort les problèmes
primaires sources indépendants qu’il faut travailler et résoudre ; par suite, les autres problèmes
secondaires dépendants se résolvent d’eux-mêmes, comme un jeu de sucres.
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Mon problème source était ma prédestination : Je suis prédestiné, c'est-à-dire que mes choix
ne sont pas les miens, que ma vie m’échappe, que mon destin est plus fort que moi. « Séga, c’est plus
fort que toi ! » comme le dit si bien la publicité d’un concepteur de jeux vidéo. Alors c’est vrai, Dieu
est plus fort que moi ! J’en conviens, je l’accepte et me résigne, ou presque : je joue maintenant de
mon mieux mon rôle que je me suis donné il y a quelques temps, moi-même, de Là-Haut à vivre sur
Terre, ce « Saint Bruno » des temps modernes !
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A 2 : MES RENCONTRES SPIRITUELLES
A 23 ans, la première personne qui m’ait parlé spiritualité est ma mère. Elle me raconte la
naissance difficile de ma grande sœur. De part la souffrance de l’accouchement, ma mère fait une
décorporation [un dédoublement ubiquiste : corps physique / corps spirituel], avec passage dans le
tunnel lumineux. Elle rencontre alors sa belle-mère, la mère de mon père décédée juste avant leur
mariage, qui lui dit : « Tu n’as rien à faire ici. Retourne d’où tu viens. Tu auras trois enfants à
élever ! ». Ma mère me parle aussi d’une voyante ripagérienne (habitante de Rive de Gier) qui lui
prédit que l’un de ses trois enfants, son fils, aura un destin fantastique ! Avec ma mère, nous n’avons
hélas pas bien échangé sur le sujet.
A 35 ans, je vais avec ma mère, à la présentation par le couturier Paco Rabanne de son livre
« Trajectoires », où il parle de son mysticisme du Bas vers le Haut, puisqu’en méditation, il part dans
le Monde des Esprits. Je me rends compte maintenant que nous avons la même vision spirituelle.
A 46 ans, je rencontre une femme, qui fait sur simple concentration mentale de sa part, des
décorporations. Au chevet d’un de ses fils mourant, elle part en Esprit le retrouver au Ciel. Il joue au
trampoline sur les nuages. Elle lui intime [signifie avec autorité] l’ordre de redescendre sur Terre
s’occuper de ses enfants. Elle reprend connaissance. Comme en témoigne l’encéphalogramme de
son fils, le cœur retrouve ses battements. Il est ressuscité ! Mon amie réalise des voyages astraux sur
Terre et dans d’autres planètes, en faisant l’amour ou en rêve. Un soir, un autre de ses fils vient
dormir chez elle. La nuit en rêve, elle part avec lui en voyage astral visiter une planète dont les toits
des habitations sont bleus. Au petit déjeuner, ils se racontent leur voyage astral et son fils lui dit :
« Jolies ces maisons aux toits bleus ! » Fantastique les voyages astraux en famille, comme aussi de
survoler la Saône ! Lors d’une visite touristique, elle reconnait un château qu’elle a habité dans une
de ses vies antérieures en indiquant au guide : « Il y avait un puits ici, au milieu de la cour ! » « Oui,
Madame, comment savez-vous ça ?! ». Un de ses petits-fils, tout gamin, discute avec les petits génies
de la forêt.
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A 54 ans, je rencontre également des bouddhistes à la pagode de Sainte-Foy-lès-Lyon mais
leur théorie de réincarnation et de karma est trop compliquée et n’est pas de mon genre, car je ne
crois pas au bonus / malus de la vie pour les suivantes. Comme disent les Aborigènes d’Australie,
nous sommes dès le départ du Monde, tous spirituellement libres, égaux et fraternels. Au Ciel, il
n’y a pas de hiérarchies personnelles, seulement une hiérarchie fonctionnelle où des gens
spirituellement plus doués que d’autres font part de leurs certitudes, aptitudes et réflexions afin de
promouvoir à leur tour, des élèves en maîtres, comme au Tae Kwon Do, art martial coréen : « On
reconnait un bon maître, non à son nombre d’élèves dans ses cours, mais au nombre de maître(s)
qu’il forme à son tour ! ».
A 55 ans, je découvre le Centre Spirite Lyonnais Allan Kardec où les médiums
communiquent, voient et entendent clairement les Esprits (comme dans le film Ghost). Ils leurs
prêtent leurs voix, leurs talents de dessinateurs et leurs plumes pour noter à la demande des
spectateurs, les messages de leurs êtres chers décédés. Ma mère Suzanne m’a transmis un beau
dessin en couleurs de l’Ile d’Or où nous passions nos vacances quand j’étais adolescent et un
message « … Rends-toi disponible aux pauvres, ceux qui ont besoin d’une oreille amie pour confier
leurs préoccupations et leur tristesse. Aide ceux qui ont besoin. Continue à t’instruire, tu es dans la
bonne voie. Au revoir mon fils. Je t’aime toujours ! » . Merci ma Maman de répondre à mes
demandes sur ce que j’ai à faire, car c’est vrai que bien des fois, je ne sais pas m’occuper et je
m’ennuie. C’est fantastique, vrai car prouvé, surtout le dessin qui ressemble en tous points à la
photo de l’Ile d’Or de notre album. Mais comme beaucoup de communautés, les spirites sont des
gens enfermés dans leurs bouquins, ceux d’Allan Kardec et de ses acolytes, dans leurs avancées
spirituelles qui se résument en leur loi de réincarnation : « Naître, mourir, renaître encore et
progresser sans cesse, telle est la loi. » Mais dommage, ils sont autant fermés que leurs bouquins
sont ouverts, comme les bouddhistes, les protestants et les Témoins de Jéhovah, hermétiques à
d’autres théories… surtout la mienne ! Au lieu de passer leur temps à prier, les religieux feraient
mieux de faire la révolution, comme Jésus Christ ou comme d’autres philosophes, qui rédigent dans
des livres intéressants, des solutions, non divines mais sociales. Beaucoup de révolutions culturelles
ont commencé par un bouquin : La Bahgavad Gîta avec le taoïsme, les paroles du Bouddha avec le
bouddhisme, les Evangiles avec la chrétienneté, le Coran de Mahomet avec l’Islam, le code civil
napoléonien, « Le Capital » de Karl Marx avec le communisme stalinien, « Mein Kampf » d’Adolf
Hitler avec la seconde guerre mondiale, le petit livre rouge de Mao Tsé-toung et la révolution
culturelle chinoise. Quant à « CAP France », le programme présidentiel de Bruno Joubert, mon
député l’a lu mais il n’a pas donné suite !
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A 3 : MES LIVRES SPIRITUELS
Je me suis mis vraiment à lire régulièrement, à l’âge de 46 ans, et lis environ trois livres par
an dans les domaines de la spiritualité, de la religion et de la psychologie. Je prends beaucoup de
plaisir à trouver dans les ouvrages des pensées identiques aux miennes, ou presque. Ces
recoupements me réconfortent et m’encouragent à poursuivre ma propre théorie puisque personne
jusque là, ne pense comme moi, ou presque.
§ « Trajectoires » vers 1995, de Paco Rabanne, le couturier parisien. Cet homme n’était pas d’accord
avec le conseil des Sages d’En-Haut pour se réincarner à nouveau sur Terre, défendant son avancée
spirituelle. Il fait, par sa volonté, des voyage astraux, reconnait des gens fréquentés dans des vies
antérieures, connait une de ses réincarnations précédentes comme grand prêtre égyptien du temps
des pharaons, a trouvé l’antéchrist en un Anglais, et cherche le Christ réincarné…
§ « Le livre des Esprits » vers 1880 d’Allan Kardec, où ce médium interroge les Esprits, les Morts
désincarnés au Ciel, pour leur demander Là-Haut et ici-bas, comment ça se passe. Tout est dessein de
Dieu, il faut se résigner et Lui faire confiance. Certains Esprits souffrent, encore au Ciel, d’être morts
et tâchent de se guérir spirituellement et s’éduquent d’avancées spirituelles dans leur nouvelle
dimension.
§ « Voyages autour de l’équateur et du cercle polaire arctique » de Mike Horn (2000). Cet aventurier
solitaire ne compte que sur lui, ou presque, pour relever des défis contre les éléments
naturels. « Dieu me protège » avoue l’homme !
§ « Message des hommes vrais au monde mutant » / « Message en provenance de l’éternité » de
Marlo Morgan 1998. Les Aborigènes d’Australie cultivent depuis 40.000 ans, la communication avec
les Esprits, et entre eux, par télépathie. Ils sont guérisseurs de fractures ouvertes du jour au
lendemain par des chants incantatoires. Ils peuvent se faire disparaître ou se multiplier, réaliser un
voyage astral dans le corps humain pour voir de quoi il souffre, ou dans le sol pour regarder où de
l’eau reste sous un cours d’eau asséché… Ils disent que la musique, le chant et les textes font vibrer
les âmes des vivants sur Terre et aussi les âmes des morts au Ciel. Leur premier message pour le
monde mutant, le nôtre, est de faire en sorte de trouver ses propres talents, ses facilités, ses dons…
sans se faire happer par la société moderne à se plier en pauvres prolétaires au service des riches
patrons, à les aider eux, à se faire plaisir dans leur talent à faire de l’argent. Ils nous font perdre notre
temps, notre énergie, notre santé et notre âme à leur unique profit ! Chacun doit être heureux par
et dans son expression personnelle ! Alors méfions-nous du miroir aux alouettes : belle voiture,
week-end, congés payés, assurance maladie, télévision, films, retraite… le temps passe sans nous
exprimer pleinement ou presque ! Existons par et pour nous-mêmes, tout simplement !
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A 4 : MES CHANSONS SPIRITUELLES
Mon idole est Dany Brillant, auteur, compositeur et interprète. J’adore toutes ses chansons sur les
gens, les femmes, sa fille, Jésus et Dieu. En fait, Dany est diacre (serviteur) à l’office catholique.
A 5 : MES FILMS SPIRITUELS
§ « Le jour où la Terre s’arrêta » (vers 1963) vu en colonie de vacances. Un extra-terrestre débarque
en soucoupe volante avec son robot pour avertir la terre de ne plus continuer ses expériences
atomiques.
§ Un film parle d’une Terre jumelle située à l’opposé du soleil, où vivent nos doubles en Esprits dans
des vies ressemblantes. Pour moi, cette planète existe dans un autre système solaire d’une autre
galaxie, et nous échangeons nos vies par l’intermédiaire de nos rêves.
§ « La Guerre des Etoiles » (1977) de George Lucas. Un fils du côté clair, se révolte contre son père
qui a pris parti pour le côté obscur. Le père aide même son fils dans sa tâche « Que la Force soit avec
toi ! ». Pour moi, c’est encore l’histoire du fils Jésus, le pacifiste violent de non violence, qui
provoque son père spirituel, le bon Dieu méchant, afin de le raisonner de son délire
schizophrénique de double personnalité !
§ Un dessin animé vu dans une boîte de nuit d’Annecy (vers 1979), parle d’un couple qui main dans la
main, entre dans une chambre à coucher où deux lits sont séparés. L’homme et la femme se
couchent chacun dans un lit. Puis, ils se décorporent en même temps tous deux, se retrouvent en
l’air, entre les lits et le plafond, en apesanteur spirituelle, et font l’amour. Puis ils regagnent chacun
leur corps, se lèvent et quitte la chambre main dans la main ! Fantastiquement dingue ! Ca, c’est mon
fantasme : l’amour spirituel en apesanteur ! Le scénariste du dessin animé n’a pas pu inventer ça, il
l’a vécu ! Trop fort !
§ « Le Passage » avec Alain Delon (1986). Un père dessinateur de bandes dessinées futuristes est
programmé par la Mort sur son grand ordinateur. Il décède d’un accident automobile provoqué par
Elle et est fait prisonnier par la Mort pour l’inspirer de ses œuvres pour la destinée du Monde.
Néanmoins le père recherche un moyen de recontacter son fils bien-aimé, il creuse un passage et
retombe à nouveau sur Terre et y retrouve son fils.
§ « Matrix » vers 1990 où un homme est programmé par un grand ordinateur, Dieu, à des talents
innés, comme de ralentir le temps afin de se faufiler entre les balles de son assaillant.
§ « Last Action Hero » avec Arnold Schwarzenegger (1993). Invité par le projectionniste à regarder un
film au cinéma, un enfant va aider son idole cinématographique à déjouer les méchants en entrant
lui-même en irréalité dans le film, grâce à un ticket magique, et en emmenant aussi son héros vivre
dans la réalité. Il est bien de faire le parallèle entre le gamin et un Esprit interventionniste, le héros
dans son film et un humain, et entre la réalité et le monde des Esprits qui communiquent de temps
en temps l’un l’autre.
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§ « Total Recall » (vers 2000) avec Arnold Schwarzenegger. Sur Mars, un agent secret subit par une
machine, un lavage de cerveau puis un copié-collé cérébral d’une vie d’ouvrier sur Terre. Amnésique,
il passe son temps à se battre pour lui-même, à se remémorer sa vraie histoire et retrouver sa vraie
personnalité. Parallèle spirituel : il ne faut donc pas perdre sa mémoire instinctive au profit d’une
mémoire prolétarienne copiée-collée par la machine de l’école pilotée par l’Etat, au profit de riches
patrons corrupteurs. Le sage désapprend ce qu’il a appris des autres pour tout reformuler selon ses
valeurs personnelles en une remémoration totale. Nos parents et nos autres éducateurs nous aident
à faire le puzzle de notre vie. A un moment, on veut vivre sa vie pour soi-même : on brouille alors
tout le puzzle pour le reconstruire à l’identique, mais seul cette fois, et le continuer de même car il
nous appartient.
§ « Little Bouddha » (vers 2000) est un film produit sur le retour d’âge par le milliardaire français du
BTP, Francis Bouygues. Les lamas tibétains recherchent de par le monde, la réincarnation de leur chef
spirituel.
§ « The Truman Show » avec Jim Carey qui est filmé dans un décor de cinéma depuis son enfance en
reality show, et qui découvre le pot aux roses et sa liberté de sortir du décor (vers 2003).
§ « Ghost » (2004) avec Patrick Swayze, Demi Moore et Woopi Goldberg. Un golden boy se fait
assassiner par un tueur à gage, commandité par son meilleur ami. Il se décorpore de suite et
s’aperçoit qu’il est maintenant un Esprit. Il recherche à tout prix un médium pour communiquer à sa
fiancée, que son ami séducteur est son assassin. Il réussit à déplacer des objets et à tuer son ancien
copain qui se fait emporté par les mauvais Esprits. Le héros peut alors s’élever vers la lumière des
bons Esprits, pour un autre monde. Je ne crois pas qu’il y ait des mauvais et des bons Esprits. C’est
juste notre rôle sur Terre… C’est comme vouloir rouer de coups un acteur de cinéma qui a violé une
femme dans son dernier film ! La fatalité permet-elle tout ? Non ! A chacun de faire selon sa
conscience, d’être vigilant à tout instant, de se protéger et de se défendre habilement, à tirer au
mieux son épingle du jeu ! De même, la société n’a pas à tuer un tueur pour de vrai ou un violeur
(pas de peine capitale). Il vaut mieux l’emmener en psychiatrie et le guérir de sa psychose. A chacun
de ne pas être au mauvais moment, au mauvais endroit, avec la mauvaise personne ! Il faut ne pas se
faire prendre, il faut fuir ou alors tuer en premier son agresseur, selon ses capacités du moment. Il
s’agit d’être malin comme cette araignée mâle qui capture une mouche pour l’offrir après
l’accouplement à sa veuve noire, afin qu’il ait le temps de filer avant qu’il ne se fasse dévorer, non
pas financièrement mais physiquement par sa belle ! Déjouer les plans divins qui se jouent quelques
fois en interactif, fait partie du jeu (film : Last Action Hero). Si on commence à tuer les tueurs, la
société et ses juges doivent commencer par tuer Dieu, le serial killer par excellence ! Tous ces tueurs
offensifs sont des malades mentaux qu’il faut guérir, n’est-ce pas JC ?! Les juifs devraient s’excuser
d’avoir fait condamner à mort un gars juste pour ses idées de transparence de la réalité !
§ Ma fille m’emmène souvent au cinéma et un film parle de ce qu’on est dans un jeu, dans une
station spatiale où un cosmonaute revenant, joue avec des enfants (vers 2006).
§ « Beowulf » (2007) Légende danoise. Une magicienne séduit des guerriers héroïques pour faire des
enfants mutants, fœtus puis dragon, qui se révoltent contre leur père respectif devenu roi. Encore le
complexe d’Œdipe !
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B – LE JOUBERTISME
B 1 : MES BASES DE RAISONNEMENTS SPIRITUELS, METHODIQUES ET RATIONNELS
Après m’avoir fait étudier le latin 4 ans pour me faire prêtre, ma mère m’inscrit dans un lycée
technique et m’installe finalement comme ingénieur. A 48 ans, après le décès de ma mère, je laisse,
tomber ce métier qui me rend malade par rapport à mon haut niveau de conscience humaine,
tellement les patrons sans états d’âme, trichent entre eux au détriment des prolétaires. En fait, je me
suis mis ouvrier le jour et ingénieur la nuit, à étudier la spiritualité et la psychologie. Ces deux
approches prêtre / ingénieur font de moi quelqu’un d’excessif, d’explosif et de jusqu’au-boutiste.
J’ai fait peur à ma mère par mes impertinences familiales. La sagesse de l’âge venant, je continue
malgré tout à faire peur à mon entourage de mes pertinences spirituelles. Il faut dire que j’applique
souvent les raisonnements mathématiques à ma spiritualité : comme j’étudie une fonction, je mets
en place mon raisonnement :
§ 1 : Je rédige par écrit de façon explicite, l’énoncé du problème.
§ 2 : Je vérifie l’énoncé pour déceler un faux d’un vrai problème, des fois que ça n’irait pas
dès le départ : somme des pourcentages = 99 %! Ou des fois que la solution serait dans l’énoncé :
« Quelle est la couleur du cheval blanc d’Henri IV ? ».
§ 3 : Je borne son contexte selon un domaine de définition, avec continuités et
discontinuités : cohérences et incohérences, inférences et interférences. Je cherche les valeurs aux
limites (+ infini et – infini). Mon jusqu’auboutisme m’interroge spirituellement : A quoi s’occupe t’on
au Paradis et en Enfer ? Si on ne fait pas l’amour au Paradis entre homme et femme, je préfère aller
en enfer, s’il n’y fait pas trop chaud !
§ 4 : Je cherche quelques solutions évidentes souvent grâce à des raisonnements par
l’absurde : Si Dieu est bon, il n’y aurait pas de misères sur terre comme les éruptions volcaniques de
Pompéi, les tremblements de terre, le tsunami, les virus et les maladies associées, les accidents… ces
nombreuses exceptions ne peuvent pas confirmer la règle d’amour de Dieu, elles l’infirment. Donc
Dieu est méchant. Il y a aussi la vie qui est belle par moment… alors n’en n’oublions pas la moitié et
ne l’appelons-Le plus « Le Bon Dieu » mais plus justement « Le bon Dieu méchant ». En
mathématiques, je recherche des solutions simples (pour les valeurs 1, 0, -1).
§ 5 : J’étudie alors mon problème en détail. En mathématiques, je procède à l’étude de la
fonction continue y = f (x) pour tout x appartenant au domaine de définition, avec les dérivés et les
asymptotes, tableau de variations et tracé géométrique.
§ 6 : Je fais des vérifications multiples par recoupements, puis certain du résultat, j’encadre la
solution. Je traduis alors la solution mathématique en français.
§ 7 : Je suis satisfait ou non de la résolution de l’énigme… genre pourquoi existe-t’on,
tontaine et tonton ? Stop ou encore ? Un problème résolu n’est plus un problème. Un problème non
résolu reste toujours un problème !
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BASE 0 : LA RAISON EXISTENTIELLE M’INTERPELLE : POURQUOI L’EXISTENCE EXISTE ?
Telle est la première question philosophique digne de ce nom, que doit se poser un Homme
intelligent, redevable de son existence à la raison existentielle. Plusieurs philosophes en
métaphysique s’y sont cassé les dents, et moi, « l’orgueilleux », comme me décrit ma petite sœur,
tâche en ces lignes d’y répondre de mon mieux, ne serait-ce que partiellement.
Cette question : « Pourquoi l’existence existe ? », je l’ai posée à Paco Rabanne. Il me
répond : « Des extra-terrestres ont déposé tour à tour sur terre, avec des OVNIs, les créatures
divinement conçues, prêtes à une vie terrestre. » Comme il élude la question avec une réponse qui
me paraît farfelue, je n’ai pas écouté la suite, car j’ai de suite pensé : Mais qui a créé les extraterrestres avec leurs OVNIs ? Le problème n’est que repoussé dans le sens de la remontée du temps.
Dieu ? Et qui a créé Dieu ? Et ainsi de suite.
Pour ma part, je ne suis pas du tout sûr de moi en disant que le Néant a fait un caprice
existentiel qui a créé l’existence : le temps, l’espace, l’énergie, la pensée, le Jeu divin, la matière
artistique représentative et Dieu l’animateur du Jeu… Il s’est d’ailleurs quadruplé en 4 Génies avec
lesquels il a créé la Création proprement dite, pour s’amuser de son théâtre existentiel afin de passer
le temps qui passe. Cette version quelque peu tirée par les cheveux est ma solution cosmogonique
[explication de la genèse du cosmos] du moment. Elle me convient jusque là mieux que la Genèse de
la Bible, en attendant mieux. Mais qui donc a encore créé le Néant ? Le problème est encore
repoussé en amont du temps !
Certains simplifient la théorie en disant que tout existe de toute éternité… C’est une version
aussi peu étayée que la mienne et celle d’autres philosophes !
Me concernant, je préfère les histoires qui ont un début et une fin… pour passer alors à un
autre conte encore plus incroyable que vrai !
Le Bouddha et les Aborigènes disent respectivement : « Tout n’est qu’illusion ! » « Le Rêveur
Serpent Arc-en-Ciel concrétise son rêve à travers le cosmos. » On peut difficilement croire aux rêves
imbriqués… Y’a qu’à se pincer !
« Dieu est un mystère » comme dit un curé retraité !
J’ai chiffré cette base 0 car elle me semble hors de portée de l’intelligence humaine puisque
les Etres supérieurs, les Esprits, ne connaissent pas plus Dieu que nous, car ils ne l’ont jamais vu non
plus. Les spirites reçoivent des messages d’Esprits disant s’être approchés de Dieu comme d’une
lumière insoutenable au regard ! Certes, Dieu est une lumière… spirituelle, donc au sens figuré,
mais Il est bien fait de matière finie qui se tient en un genre de corps avec une tête pensante, un
cœur énergétique et des membres agissants, de façon à pouvoir bricoler sa Création comme
Frankenstein, savant fou qui transforme les humains en super héros.
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Plus fort que Dieu est le temps puisqu’il le précède pour sa pérennité ! Le temps a existé
avant Dieu qui l’a inclus dans son Jeu limité dans le temps comme les êtres vivants qui ont d’un jour
(les papillons éphémères), à 100 ans comme l’Homme, ou plus de 200 ans comme les tortues de
mer !
Le temps est à sens unique, il est impossible de le remonter, n’est-ce pas Monsieur Superman ! (film
Superman, vers l’an 2000). Sa vitesse d’écoulement est plus ou moins élevée. La période terrienne de
base est la durée d’un battement cardiaque de l’Homme (environ 1 seconde). Lorsque nous perdons
nos repères (tonneau en accident de voiture, roulade dans un tonneau…), notre cerveau accélère
instantanément notre vitesse de perception et nous voyons les choses de la vie se dérouler au
ralenti. De même, lorsque nous sommes agressés, le temps ralentit pour nous et nous pouvons faire
plus de choses comme :
§ Prendre congé de notre agresseur, tels les Aborigènes d’Australie qui cultivent l’art de la disparition
face à l’homme Blanc.
§ Se faufiler entre les balles de son ennemi, tel le héros du film Matrix.
§ Se figer dans l’inexistence, ce qui surprend et perturbe l’agresseur qui abandonne le combat faute
de combattant. Dans le restaurant où nous mangions, Jean-Maurice et moi, j’ai mis un désordre
spirituel pas possible. J’en ai pris conscience et je suis sorti dehors. Le fils karatéka du restaurateur
court me rejoindre pour me casser la gueule et me retrouve complètement perdu dans mes pensées,
parfaitement immobile devant son agression, qu’il n’a pas portée heureusement d’ailleurs ! JeanMaurice veille sur moi, comme moi je veille sur lui! Attention donc à ne pas massacrer les fous
pleinement inconscients par erreur médicale, ils peuvent reprendre instantanément conscience à se
demander longuement où ils en sont, pendant que d’autres les agressent ! C’est la violence de la
non-violence !
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Place aux mathématiques en astrophysique. Explication de la relativité magique de l’espace-temps.
§ Lors de mon voyage astral dans le soleil, j’ai voyagé dans le temps : 5 secondes aller, 10 s de séjour
et 5 s retour. La Terre est éloignée en orbite moyenne du soleil, de 150 millions de kilomètres. La
lumière se déplace à 300.000 km/s. Vitesse = distance / temps soit t = d/v. La lumière met donc
150.000.000 km/300.000km/s= 500 s ou 500s/60s/mn = 8 minutes environ pour venir du soleil à la
Terre. Le rapport de vitesses entre celle de la lumière et celle de mon voyage est de : 500 s / 5 s =
100.
Ceci signifie qu’un Homme-Esprit en voyage astral se déplace à une vitesse 100 fois plus vite que la
lumière ! C’est pour cela qu’il est invisible aux Terriens !
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Exemples :
§ Un agresseur Blanc s’étonne de voir un sorcier Aborigène disparaître, car l’indigène mystique s’en
va à une vitesse supérieure à la lumière !
§ Les œuvres en blés couchés en Angleterre formant des dessins artistiques sont sûrement le fait
d’Esprits ! Lorsque les Esprits errent parmi nous (film Ghost, dans le métro), nous ne pouvons les
apercevoir.
§ Les Esprits doivent donc vraiment ralentir pour se montrer aux Terriens : communications spirites,
discussion avec les lutins de la forêt, apparition d’une défunte qui vient faire ses adieux à une de ses
proches…
§ La vitesse des balles de pistolet est d’environ Mach 2, c'est-à-dire deux fois la vitesse du son qui est
de 340 m/s dans l’air. Si l’agresseur se tient à 5 m de la victime, le temps que met la balle à atteindre
sa cible est de : t = d / v = 5 m / (2*340 m/s) = 0.007 = 7 millisecondes. Comme dans Matrix,
l’Homme-Esprit se déplace d’un mètre à 100 fois la vitesse de la lumière en t = d / v = 1 m / 100 c =
1m/(100*300.000km/s*1000m/km) = 3.33 *10 puissance -11 c'est-à-dire 33 picosecondes (1 pico =
10 puissance -12), soit largement le temps de se faufiler entre les balles qui ont l’air de faire du
surplace !
§ On peut donc dire qu’à un mouvement terrien de 1m en une seconde soit une fréquence de 1
hertz, correspond un mouvement spirituel à 100 fois la vitesse de la lumière. Le rapport spirituel /
terrien est donc de : 100*300.000km/s*1000m/km / 1 m/s = 3 * 10 puissance 10 soit 30 gigahertz.
Les hautes fréquences en physique terrienne sont de 30 mégahertz, soit 30 * 10 puissance 6 soit
1000 fois moins (= zoom successif de l’univers). Un humain mettrait pour réaliser un même
mouvement spirituel : 30 Gs / 3600 s/h / 24 h/jour / 365 jours /an = 951 ans soit environ 1.000 ans!
Un terrien marchant au pas voulant faire un voyage spirituel d’une seconde, mettrait 1.000 ans !
Ce qui est fantastique, c’est l’accélération instantanée pour passer de la vitesse humaine à la vitesse
spirituelle… Magique !
Conclusion :
Le monde spirituel nous dépasse de loin. L’Homme face au monde des Esprits, est comme une
mouche collée sur l’écran d’un téléviseur couleur à regarder un film de merde… Que peut-elle y
comprendre ? Et pourtant la vérité existe ! « Qui cherche, qui trouve ; Cherchons, nous
trouverons ! » telle est ma réplique en valet de Léontine, mon rôle lors d’une petite pièce de théâtre
en classe de 5ème avec les filles ! Une mouche ne pourra jamais comprendre, elle n’est pas faite pour
ça car elle est physiologiquement limitée… Pourquoi l’Homme est-il aussi orgueilleux à s’entêter à
s’occuper à vouloir découvrir, égaler et surpasser Dieu, au lieu de profiter tout bonnement de la
Création ? Ainsi soit-il ! Courage, Homme !
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Pourquoi l’Homme progresse dans son confort matériel, stagne en de vieilles religions et régresse
spirituellement à être de moins en moins bête mais de plus en plus con ? Pourquoi s’est-il,
majoritairement par l’argent, autant détourné du monde gratuit des Esprits ? C’est ainsi. « C’est la
Vie, Lili ! » En minorité, c'est-à-dire quelques gens de conceptions philosophiques et de religions
différentes, arrivent chacun de leur côté, à avoir la paix en leur âme et conscience. Cette ataraxie
vient avec des réponses satisfaisantes à leurs questions existentielles ou avec la foi : « Christ est
entré dans mon cœur » me dit d’entrée mon collègue Roberto, alors que nous venions juste de faire
connaissance au boulot.
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BASE 1 : DIEU EXISTE.
Axiome : [vérité non démontrable, qui s’impose avec évidence]: Quand quelque chose existe, c’est
que quelqu’un, une intelligence supérieure à elle, l’a créée.
Exemple : Le Néant n’existe plus depuis qu’il s’est, par un caprice existentiel magique, incarné en un
dieu existant dans un espace-temps. Pour ne plus s’ennuyer tout seul, Il s’occupe à quelque chose : il
crée le Monde, l’entretient et en invente une suite selon une destinée qu’Il scénarise. Le monde
existe, son Créateur existe donc et est nommé par convention : Dieu. Cette divinité a créé la partie
invisible du monde, la Sienne et celle des Génies, puis la partie demi-visible des Esprits et enfin la
partie visible aux yeux de l’homme, le cosmos et les êtres terrestres. Cela me semble donc s’établir
sur sept niveaux : le Néant, Dieu, le Jeu, les Génies, les Esprits, la Création avec le cosmos (la matière
éternelle et les galaxies) et ses créatures éphémères qui se régénèrent en toute autonomie pérenne
selon des programmations qui donnent à chacune des capacités inhérentes à leur rôle (cellules,
plantes, animaux, humains)… Jusque là, l’Homme en est la quintessence en un être animé d’une
certaine conscience à vibrer entre vie et mort, jour et nuit, chaud et froid, amour et haine,
intelligences et conneries, richesses et pauvreté, santés et maladies, bonheurs et malheurs,
jouissances et souffrances, délires et raisons…
Exemple : Une automobile existe, son créateur est un ingénieur automobile. Pour se déplacer plus
vite, l’homme qui marche se met à courir, saute sur un cheval et le dompte, invente la roue puis le
char, le moteur à explosion puis la voiture, le moteur à réaction puis l’avion, les moteurs fusées puis
la navette spatiale… Pour se remémorer sa longue série de réflexions techniques, il expose dans des
musées ses différents modèles. Extraordinairement, les techniques amènent des formes agréables,
surprenantes voire hypnotisantes au regard : un quadrige, une Ferrari, un avion furtif F117…
Voici la raison de l’écart d’intelligence entre Dieu et l’Homme : Dieu a au moins 13.7 milliards
d’années, âge du cosmos. L’Homme a seulement 40.000 ans ! Courage, Homme, à égaler ton Dieu !
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BASE 2 : L’EXISTENCE EST UN JEU SPIRITUEL.
Des fois je me dis que ce Jeu est un film peut-être déjà joué et qui repasse en boucle, histoire de
donner raison aux voyants qui peuvent faire marche arrière ou marche avant sur le magnétoscope de
Dieu.
Axiome : Quelque chose est créée à partir d’un besoin, d’une fonction, d’une utilité, selon
l’imagination nouvelle, originale et donc intelligente de son créateur.
Parallèle : les enfants pour passer le temps, s’amusent entre eux sans le savoir, à faire leur cinéma.
Ils conviennent en quelques phrases d’un scénario et jouent une scénette de cow-boys et d’indiens,
comme l’attaque d’une diligence. On a vite fait de se répartir les rôles, de s’entretuer et de se relever
pour passer à une scène de gendarmes et de voleurs. Nous sommes immortels !
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Base 2-a : DIEU EST LE CONCEPTEUR, LE REALISATEUR ET L’ANIMATEUR DU JEU DE LA VIE
L’Homme est tellement orgueilleux, qu’il sous-estime grandement l’intelligence de son Dieu
créateur, jusqu’à le renier pour les athées. Ceux-là oublient bêtement qu’ils sont ses invités sur la
planète Terre. Alors respectons notre hôte sans se faire prier !
Dieu a créé le monde pour s’amuser à passer le temps qui le précède. L’existence est un Jeu dont
Dieu en est le concepteur, le réalisateur et l’animateur. Elle est un divertissement dans un théâtre
existentiel avec :
§ Son décor : galaxies avec des astres : étoiles et planètes, sur fond de ciel noir.
§ Une scène particulière locale avec un environnement spécial : la Terre avec son ciel bleu, son air,
son eau et son feu.
§ Ses personnages : plantes, animaux, humains, Esprits… qui y cohabitent tant bien que mal.
§ Ses liens spirituels : Chaque soleil, planète, arbre, cours d’eau, plante, animal, homme et femme…
est habité par un Esprit. Ainsi certaines personnes médiums peuvent voir des êtres chers venant de
décéder leur dire au revoir. Une amie Nathalie a eu peur de la « visite » sa tante. Les médiums
discutent avec des anges (Mahomet et l’Ange Gabriel). Certains dansent avec les elfes… mais les
sorcières sur leur balai, les pères et mères Noël font parti des contes… quoiqu’on en voit dans la rue
les 25 décembre ! Attention aux copies illégales !
§ Son scénario : la destinée du Monde est faite des destins imbriqués de chacun, avec nos
réincarnations successives dans le temps, pour se retrouver entre copains et copines de vies
antérieures et refréquenter ensemble dans cette vie là, des lieux auparavant appréciés ou rêvés.
L’histoire des gens se répète, comme ce dessin animé « Il était une fois la vie » qui montre les mêmes
personnages traverser le temps en une fresque historique.
Base 2 – b : LE MONDE EST UNE PIECE DE THEATRE ECRITE PAR DIEU, JOUEE PAR DES ETRES
VIVANTS DANS UN DECOR TERRESTRE
Dieu en est le scénariste, le réalisateur, le metteur en scène et est également acteur. Il joue
aussi dans son film, comme Alfred Hitchcock en passant, ou comme Alain Chabat, en César dans
Astérix. Un jour, je me suis dit : « Dieu, si t’es tellement intelligent, tu t’incarnerais sur Terre pour
voir le bordel que c’est, ta Création ! » A pousser à fond les manettes des extrapolations, je me dis
que Dieu, c’est moi, chocolat, le champion des réincarnations ! [Cémoi est une marque de chocolat,
son histoire vient de ce que les administrateurs de l’entreprise chocolatière n’arrivaient pas à se
mettre d’accord sur le nom du chocolat, et disaient tous : « C’est moi… qui ai raison ! ». Etre
chocolat, c’est être soi-même celui qu’on cherche, ou être dupé, déçu ou bredouille ! La poule qui
chante est celle qui a pondu l’œuf !]. Les Esprits sont les souffleurs. Les Hommes sont les acteurs.
Comme tout acteur, mon seul libre arbitre disponible, ou presque, est de jouer mon rôle du mieux
que je peux, en suivant à la lettre le scénario divin, en textes et actions. Si un acteur se permet de
tergiverser sur telle ou telle répartie et action, ce n’est plus le film du scénariste, c’est un compromis
foireux… alors on voit souvent des acteurs passer derrière la caméra pour faire « leur » film.
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Base 2 – c : TOUT EST ECRIT (« Mektoub » disent les musulmans).
Les voyants connaissent le destin de chacun et peuvent lire en transe, dans le passé, le
présent et futur. Ils feuillettent ainsi le scénario de Dieu, écrit comme une BD qu’on joue tous en ce
moment, à moins qu’ils n’aient déjà vu le film que Dieu se repasse sur son magnétoscope !
Un beau jour où je me suis enfermé à danser dans un sombre dancing, j’ai invité une très
belle jeune femme à faire un rock and roll. Contente de son cavalier d’un moment, elle me
lance : « Vous rencontrerez prochainement une femme brune qui se prénomme Martine » « Ah, bon,
merci de votre voyance ! » Un mois après, je fais la connaissance d’une prof de musique brune et
prénommée Martine, qui enseigne à ses élèves l’art de la comédie musicale que les enfants jouent
devant leurs parents en fin d’année scolaire. Fort ! Son mari la disait frigide, je l’ai faite enfin jouir !
Passons d’un jugement subjectif à un résultat objectif : blonde, brune, rousse = 1 chance sur trois.
Sur le calendrier, il y a environ 360 prénoms filles et garçons soit 180 prénoms de filles. Ce qui fait
3*180 = 540 soit 1 chance sur 500 ou 2 chances sur 1000 ! Au minimum, entre blonde et brune pour
25 prénoms courant de femme donne 1 chance sur 50 soit 2 chances sur 100 ! Faut le faire quand
même !
Mon entraîneur de Tae Kwon Do connait une femme marocaine aux dons divinatoires
extraordinaires : elle voit dans le passé, le présent et l’avenir. Un jour, un homme se présente à elle
avec son problème : « Quelqu’un a violé ma fille qui est dans tous ses états et qui pourtant ne veut
rien me dire ! » La dame tape deux cailloux l’un contre l’autre et se renverse en transe sur sa chaise
les yeux révulsés : « A la fête anniversaire de votre fille, votre neveu l’a violé ! » L’homme s’en va
aussitôt prendre un fusil et le pointe sur le ventre de son neveu : « J’avoue, c’est moi qui ai violé ta
fille » lui dit-il. Le comble est que cette femme, qui fait régner une juste justice, s’est vue allouer par
le gouvernement marocain, une rente à vie sous la promesse de ne plus exercer son art. Tout
s’achète, même la justice juste !
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Base 2 – d : LA REINCARNATION EST VRAIE.
Pour moi comme pour les bouddhistes et les spirites, la réincarnation prouve l’immortalité de l’âme.
Après la mort, la vie continue de suite en Esprit dans une autre dimension, invisible des Terriens ou
presque, sauf par les médiums spirites. La réincarnation comprend :
§ La vie actuelle selon son destin : naissance, vie et mort.
§ A la mort, la décorporation est immédiate, comme dans le film Ghost et la théorie spirite où l’âme
du défunt sur son lit de mort est accueillie par des proches préalablement disparus. Ensuite, vient la
montée au Ciel par le tunnel lumineux quelque part entre les deux dimensions visible et invisible.
§ Là-Haut, sans péché, ni karma, ni jugement dernier, ni Paradis et ni Enfer, l’Esprit, soit ne se
ressaisit pas trop de sa désincarnation s’il est spirituellement peu avancé et souffre encore quelque
peu, soit il profite de sa vie 100% spirituelle avec comme les Terriens, danses et études spirituelles
afin de croître encore plus dans la compréhension des choses divines.
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Les Esprits se reconnaissent alors entre eux et retrouvent aussi leurs animaux de compagnie. Ils
vivent sur « une autre planète » avec des hôpitaux spirituels, des maisons aux toits bleus, des salles
de fête où l’on danse… Leur énergie leur est fournie par les vibrations spirituelles de la Terre.
§ Puis, quand les Esprits sont à nouveau spirituellement pleins d’énergie, ils demandent aux Génies,
gouverneurs et programmeurs de la destinée du Monde, de les réincarner dans le monde des
vivants, chacun en plante, en animal, en homme ou en femme. Par exemple en cheval dans un film
avec Laurel et Hardy. A chacun sa sauce ! Leurs scénarios de vie leurs sont présentés, puis ils en
discutent entre copains et copines pour s’y retrouver, signent et repassent par le tunnel lumineux,
cette fois dans l’autre sens. Destination : leur lieu rêvé dans leur vie antérieure : France, Nouvelle
Zélande, Tibet, Etats-Unis, Amazonie, Australie centrale… pour y être accueillis par des parents
préalablement choisis d’après leurs traits de caractère.
§ Et en avant pour une nouvelle vie conformément au destin convenu, admis et signé ! Y’a plus qu’à
bien remplir son rôle, comme les gens qui vont être fusillés et qui refusent de mettre un bandeau sur
les yeux ! Pour plus de joie quand même, comme convenu, on se recherche de par le monde, les uns
les autres entre amis spirituels : livre « Message des hommes vrais au monde mutant » où une
américaine se retrouve avec son ami aborigène d’Australie, en frère et sœur spirituels du même âge,
rencontres annoncées de part et d’autres par des « vrais » voyants.
§ Notre nouvelle vie est alors faite de plus ou moins de jouissances et souffrances, question
d’équilibre psychique, selon nos aptitudes spirituelles en la matière. A nous de faire vibrer
spirituellement un maximum le Cosmos !
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Base 2 – e : DIEU N’A JAMAIS ABANDONNE LES HOMMES.
Dieu a toujours été continuellement l’Un de nous de réincarnation en réincarnation. Dieu est le
champion en vitesse de réincarnation ! Pour ne pas devoir subir de reproches de la part de sa
Création, Dieu le Malin, (Dieu et Diable commencent par la même lettre), est toujours le même, l’Un
de nous sur la Terre, mais Il n’est jamais écouté, compris, et encore moins repéré par lui-même (JC)
et les siens.
Qui suis-je ? Quelles sont mes réincarnations successives à remonter le temps ?
Moi, quand je me compare malheureusement aux autres, j’arrive à dire de moi que je suis un
minable. Pour compenser ce complexe, je m’invente alors des projections psychologiques puissantes
à être l’incarnation successive de personnages illustres ou fantastiques :
Moi = Jean Moulin =… = Napoléon = … = Le Roi Soleil = … = Jeanne d’Arc = … = Saint Bruno = … =
Mahomet = … = JC = … = Bouddha = … = un Aborigène d’Australie = … = Osiris = … = Adam = Dieu
Voici mon équation spirituelle ! Rêvée ou réelle, peu importe ! Ce qui est important est de découvrir
Dieu en chacun d’entre nous. Il suffit de LE chercher, non avec des télescopes ni des microscopes,
mais simplement au fond de nous, ce qui est à la portée de tout le monde.
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« Le royaume de Dieu est accessible simplement à ceux qui ont gardé leur âme d’enfant ! » nous dit
Jésus Christ. Donc à prendre la réincarnation pour vraie, le Christ est l’un de nous, Bouddha et Dieu
également… à moins qu’Ils ne soient la même et unique personne ! Comme Paco Rabanne ou dans le
film « Little Bouddha », certains croyants les / LE cherchent. Dans le film « Da Vinci Code », des
personnes ont trouvé l’incarnation de la fille de Jésus et de Marie-Madeleine présente à la Cène, où
sur le dessin de Michel-Ange, le Christ partage son dernier repas avec ses apôtres et sa femme,
oubliée en une place manquante, celle de Saint Matthieu pour ne pas révéler que Jésus est soutenu
par une femme ! Les lettres et les poèmes de l’artiste italien témoignent de sa spiritualité
tourmentée.
Pour moi, Jésus, à la sortie de son adolescence, est un grand gaillard, charpentier comme son
père. Jésus est taillé comme l’acteur Arnold Schwarzenegger, mon héros cinématographique. Un
mauvais jour, il s’énerve contre son père Joseph qui bascule d’un toit dans le vide, et meurt peu
après dans les bras de son fils. Jésus perd la tête, dit au revoir à sa mère et part avec une caravane de
retour au pays de la soie. Là, il va en Inde, puis en Chine, où il connait le monde des moines
bouddhistes et taôistes, qui prient et s’entraînent aux arts martiaux pour défendre leurs vies. Ayant
alors fait le deuil de son vrai père, il revient en Palestine, sa terre natale. Il retrouve sa mère et le
chemin du temple, d’où il chasse les marchands, seul, car c’est un champion de Kung Fu. Un jour,
aidant un ouvrier tombé à terre, il se prend une claque par un soldat romain. Il se relève et fait une
tête de plus que son agresseur ! Là, il se baisse et tend l’autre joue, par provocation, en pensant : « Si
tu m’en mets une autre, je te casse la tête comme une pastèque ! » à la Bud Spencer dans le film
« On l’appelle Trinita ». Le romain qui a lu ses pensées, s’en garde bien ! Jésus a des bouffées
délirantes car il est médium et a des prémonitions sur sa vie qu’il donnera aux hommes pour les
sauver de leurs péchés. JC est hyper intelligent à expliquer des choses compliquées par des paraboles
simples, pouvant être comprises par les enfants. Il refuse à son apôtre préféré Judas de lever une
armée pour lui et préfère qu’il le vende aux Romains, afin de suivre les écritures bibliques
prophétiques qu’il connait par cœur. Judas protège ainsi son copain du sanhédrin, la police religieuse
juive qui veut attenter à sa vie en préparant son assassinat, car les juifs ne veulent pas le reconnaître
comme leur Messie. Pour le faire interpeller par les Romains, le sanhédrin le surnomme « Le roi des
juifs ». Après une petite rixe entre des soldats Romains et ses apôtres, le Christ est arrêté. « Pierre,
avant que le coq ne chante, tu m’auras renié trois fois ! » Sur la croix, le Christ dit : « Pourquoi, Père,
m’as-tu abandonné ? » Dieu n’a pas abandonné son Fils spirituel, son double sur la Terre, pour la
simple et bonne raison que le Christ est l’incarnation de Dieu sur Terre, mais Jésus n’a pas percuté
jusque là. C’est Ponce Pilate qui le sauve en disant à un soldat qui veut l’achever : « On ne transperce
pas le cœur d’un roi ! » Jésus qui connait grâce aux hindous, l’état d’autohypnose s’installe dans un
demi-coma. Ponce Pilate et son médecin privé, déplacent la pierre tombale, le raniment et
l’emportent loin d’ici. Le sauveur du Sauveur se fait muter en Gaule à Vienne et emmène le Christ
avec sa famille : Marie sa mère, Marie-Madeleine sa fiancée enceinte du Christ, et Lazare, le
ressuscité, qui lui voue sa vie restante. D’un bateau de l’armée romaine, ils débarquent en civils aux
Saintes Maries de la mer. Marie-Madeleine donne naissance à une fille que Jésus prénomme
également Marie. Puis ils gagnent Vienne, où ils retrouvent Ponce Pilate et coulent ensemble des
jours heureux.
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Champion de la réincarnation, Dieu est donc irréprochable, à partager avec nous, nos
galères, à chaque fois dans tous les endroits du globe pour aider la civilisation humaine à progresser,
à continuer le jeu vibratoire des souffrances et des jouissances, afin de Le faire exister dans le temps.
La Terre palpitante d’émotions alternativement positives et négatives, est le cœur spirituel de Dieu.
Si on ne veut que jouir et ne plus souffrir, Dieu meurt et nous avec. Le Film se terminera par manque
d’intérêts et de spectateurs, le monde implosera et le Néant reviendra. Alors courage ! N’écoutons
pas les Bouddhistes et leur nirvana… C’est pour les fatigués du système. Allons-y, aimons, haïssons,
donnons la vie, reprenons-la en tuant, rendons-nous malades et mourrons de vieillesse la tête
haute… car telle est notre destinée. Pleurons de joie devant nos téléviseurs à la vue d’un milliardaire
sur une plage paradisiaque, et de peine à la vue d’un enfant amputé d’une jambe pour avoir marché
sur une mine antipersonnel, vendue par ce même milliardaire !
Le monde est fou, flou, dingue… à chacun ses limites. Les fous toujours inconscients hantent
les asiles psychiatriques, les suicidaires trichent au jeu en le refusant. Dur, dur… mais terriblement
passionnant ! Les gens turbulents sont sur la planète bleue. Les gens préférant la tranquillité,
retourneront sur la planète rose pour y voir… la vie en rose !
Nous n’avons pas de libre arbitre. Les footballeurs sur un écran vidéo qui se régalent à faire
entre eux une partie, ne voient pas que des gamins les manipulent sur leurs consoles de jeux. Une
voiture téléguidée se fait un temps scratch sur son circuit, bien loin d’elle de comprendre qu’un
passionné conduit pour elle par ondes radio interposées. Les hommes ne voient pas plus les Esprits
qui les manipulent. JC nous dit : « Ce n’est pas moi qui parle, c’est Dieu qui parle par ma bouche ! »
Alors laissons faire ou presque ! Entrons dans le jeu des Esprits et profitons-en !
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Base 2 – f : A QUOI JOUE-T-ON ?
Le bordel sur terre : Faites vos jeux, rien ne va plus !
§ Base 2 f 1 : A quoi Dieu joue ? Il fait vibrer spirituellement la planète et ses habitants, d’émotions
entre constructions et destructions.
De part l’abandonnique divine, l’homme détruit ce que la femme construit, lui-même !
Spirituellement seul sur sa petite planète, l’Homme, pour rivaliser de savoir et de puissance par
rapport à son Dieu Créateur invisible, insaisissable, autant hyper intelligent qu’hyper violent, est de
plus en plus fou dans la jalousie qu’il Lui voue inconsciemment, à inventer pour s’entretuer : la
massue, l’arc, le fusil, le tank et la bombe atomique… L’Homme suit les traces de son idole ! Dans son
inconscient collectif, la femme, elle, est pacifiste et altruiste avec partage et amour, l’homme, lui, est
guerrier et égoïste avec jalousie et haine.
Si Dieu n’intervient pas directement, c’est que ça l’arrange ! « Qui ne dit mot, consent ! » Un Dieu
gentil nous aurait tous faits herbivores. Non, ce Dieu est aussi méchant car Il nous a fait
majoritairement carnivores et omnivores, histoire qu’on s’entredévore selon la loi du plus fort !
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§ Base 2 f 2 : A quoi l’Homme joue ? A rivaliser avec Dieu !
La Création dépasse le quotient intellectuel inhérent à l’homme. En plus de son Dieu spirituel
inaccessible créé par intuition, l’homme s’invente d’autres idoles plus accessibles : le veau d’or
pour le culte de l’argent, les dieux du stade surtout le foot et le rugby pour le culte du sport, les
idoles de la chanson pour la musique, les stars du cinéma pour le culte du rêve, les riches héritiers
dans les journaux people… L’Homme est polythéiste, très loin d’un culte monothéiste unique.
Désolé Monsieur Mahomet !
§ Base 2 f 3 : A quoi jouent les riches entre eux ? A faire un maximum d’argent en un minimum de
temps, en jouant dans le monde entier, entre financiers internationaux, au poker menteur où
toutes les tricheries sont permises, jusqu’au meurtre mafieux prémédité ni vu ni connu.
§§ Les riches s’amusent des pauvres, comme Dieu s’amuse des deux. Tous des pantins par manque
de spiritualité de part et d’autre! La très grande majorité de riches (hormis peut-être Bill Gates et l’un
de mes patrons) sont des fourbes, des tricheurs, des voleurs, des corrompus et des corrupteurs aux
intérêts croisés, des dépravés… somme toutes des gens dangereux. Ils n’ont aucune conscience
humaine à soulever des masses populaires entre elles afin de leur vendre des armes et leur faire faire
la guerre le plus longtemps possible. Ils commercialisent aussi des paquets de cigarettes dont le
comble est d’écrire dessus « Fumer tue », ce qui dénote bien l’inconscience des fumeurs et de l’Etat
: « Quelle conscience humaine avez-vous de vendre des produits qui tuent ? » demandais-je à mon
buraliste du coin ! Un an après, il vend son affaire.
Gare aux gens issus du milieu ouvrier qui ne connaissent pas les règles de leur jeu hyper violent. Les
riches invitent ces effrontés à des « dîners de cons », s’amusent de leur propre intelligence, souillent
leur âme pure, les ruinent financièrement, les violent sexuellement et les massacrent
psychologiquement jusqu’à les tuer. Un cadre de chez Renault s’est pendu dans son usine. Les places
au soleil sont chères ! « Dallas, ton univers impitoyable fortifie la loi du plus fort » dit le générique du
feuilleton télévisé. Dans les années 1980, un groupe cimentier français paie des hommes de mains à
enlever la toute jeune fille d’un jeune industriel espagnol qui commence à lui prendre des parts de
marché. L’espagnol ne se démonte pas et mène l’enquête avec la police. Ils trouvent la planque,
sauvent la jeune fille et font avouer les kidnappeurs. Tous les coups sont permis !
§§ Les riches sont pauvres, spirituellement, donc inintéressants. Je ne suis pas du tout jaloux d’eux !
Je préfère ma place de milliardaire… spirituel ! Pour draguer les filles au dancing New Hollywood, je
leur avance : « Je suis milliardaire… » Leurs yeux s’écarquillent en un instant et brillent d’euros à
détourner, « … en amour » ajoutais-je. Là, le rêve s’effondre avec un triste retour à la réalité du
dimanche après-midi, où je me demande souvent si les danseurs s’amusent ou s’ennuient. « Que
faites-vous en rentrant chez vous ? » demandais-je à une danseuse. « Dès que je rentre chez moi, je
tire le verrou, et là encore seule, je pleure ! »
§§ Qu’est ce qu’un riche ? C’est une personne qui a de l’argent plus qu’en quantité nécessaire et
suffisante. A partir d’un certain seuil, « Le premier million est le plus dur à gagner », le riche n’a plus
de souci d’argent : « L’argent n’est un problème que pour celui qui n’en a pas ! ». Un riche ne peut
pas porter deux chemises, ni manger 5 fois par jour.
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Une fois son premier argent placé dans l’immobilier pour lui rapporter de quoi vivre à l’aise toute sa
vie, lui et sa famille, il ne peut que réinvestir l’argent en supplément, en implantant des hôtels et des
usines dans le monde entier, cela lui rapportera encore plus d’argent et ainsi de suite. De cet argent
superflu, puisque en supplément qu’il ne peut plus dépenser pour son propre compte, il s’en amuse
comme au Monopoly ! J’achète un hôtel ici, je ferme une usine là-bas et j’en ouvre une autre ailleurs
en se contrefoutant de leurs ouvriers qui comptent sur eux, leurs patrons, en totale dépendance.
Tant que les riches trouvent des prolétaires pour s’enfermer dans leurs usines toute leur vie ou
presque, en leur faisant miroiter une bonne retraite, pour ceux qui y arrivent, à tenir ce juste et frêle
équilibre entre la carotte et le bâton, ils ont la vie belle ! D’ailleurs, ils ferment le système de façon à
ce que les gens ne peuvent même plus faire machine arrière : comme de redevenir des paysans libres
traditionnels à leurs comptes en complète autarcie ou presque, comme ils auraient dû toujours le
rester ! A liberté chérie ! Même les Sans Domicile Fixe sont coincés à être entretenus financièrement
par l’Etat car ils ne peuvent plus aller à la chasse et à la pêche sans permis et règlements, car la police
politique vous arrête pour braconnage !
§ Base 2 f 4 : A quoi jouent les politiciens de tous bords ? A faire eux-aussi, un maximum d’argent
dans le minimum de temps que leur permet leur mandat !
Liberté, égalité, fraternité… le plus gros mensonge français ! Les politicards sont des tocards (sauf
peut-être l’américain Barak Obama : bonne chance Monsieur !) En France, après la grande guerre de
1914 / 1918 qui a tué tous nos braves, les jeunes n’avaient plus de modèles à suivre. La preuve, après
la débâcle de 1940, les politiciens ont disparu en une volée de moineaux laissant la place à un lion, un
poilu de Verdun, le Maréchal Pétain, alors âgé de 80 ans, un militaire et non un politicien, prendre les
commandes du pays dans la partie sud de la France non envahie. Au nord occupé, reste Jean Moulin,
plus jeune préfet de France, qui a préféré demeurer avec les français qui ne voulaient pas quitter leur
terre. Il a accueilli l’ennemi et négocié avec lui de bonnes conditions de vie pour ses compatriotes,
avant de gagner la résistance et d’en être le chef. Le général de Gaulle a lui, préféré faire la guerre
depuis son bureau de Londres bien au chaud, faire sa publicité avec l’appel du 18 juin 1940 et
préparer sa rentrée politique militaire en faisant place nette parmi ses concurrents. Il a notamment
faussement rencardé Jean Moulin à Caluire et fait tirer la DCA anglaise sur l’avion de transport civil
dans lequel voyageait le maréchal Leclerc. Je m’avance, ce n’est pas ma génération, mais des bruits
courent aussi chez les anciens combattants… Comment des politiciens actuels peuvent-ils encore
admirer un tel général qui a spolié la Présidence de la République à un civil comme Jean Moulin !?
Depuis, nos politiciens, président de la République compris, sont souvent des énarques (élèves de
l’ENA, l’Ecole Nationale de l’Administration) ou des avocats. Ils chassent, à l’aide des services secrets
français qu’ils dirigent, tous les autres de leurs plates-bandes « Chasse gardée » : comique comme
Coluche, industriel comme Tapie, prolétaire comme Bérégovoy… Pourquoi les places sont si chères, à
se faire la guerre entre gauche et droite ? Parce qu’elles sont disponibles aux premiers venus, pourvu
qu’ils soient corruptibles ! Facile : l’Etat, la plus grande entreprise française avec tous ses
fonctionnaires, n’est pas redevable de ses actes, quand bien même Napoléon a mis en place la cour
des comptes. Aucun président n’a donné, par son intermédiaire, un bilan chiffré de chacune de
toutes les années de son mandat. Tous s’y gardent ! Somme toutes des gens irresponsables de leurs
propres idées qui entraînent 60 millions de Français avec elles ! Le comble, est que l’Etat demande à
la plus petite des entreprises, un bilan annuel chiffré qui reflète les plus ou moins bonnes idées de
son administrateur!
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Aux politiciens, Président de la République en tête, les pots de vin des riches ! Ils n’ont pas le choix
d’ailleurs. Un président incorruptible comme John Fitzgerald Kennedy, avec son rapprochement des
Blancs et des Noirs, à se mêler du peuple et non uniquement des intérêts des riches, s’est reçu une
balle dans la tête (Dallas 1963) de la part de ses services secrets, la CIA, commandités par son propre
vice président Johnson qui est devenu président à sa suite. C’est un comble d’ailleurs de se dire
président démocratique où le peuple exerce sa souveraineté. On devrait dire président oligarchique,
où le vrai régime politique est entre les mains de quelques personnes financièrement et
mondialement puissantes. « Faites c’qu’on dit, ne faites pas c’qu’on fait ! » « La somme des intérêts
particuliers de chacun, n’est pas égale à l’intérêt général de tous » m’a dit un gadz’arts. Le mieux est
de faire disparaître la planche à billets et les presses pour la monnaie, en ne gardant que des
écritures bancaires informatiques et la carte bleue. Cette organisation financière moderne laisse ainsi
des traces de tous les mouvements financiers, des uns et des autres. L’Etat devrait aussi, pour ceux
trop nombreux qui ne savent pas lire un bilan, donner des notes aux entreprises, l’état en tête,
comme à l’école, en passif, actif et moyenne. Chacun comprendrait très facilement où en est
financièrement son entreprise et son pays au fil du temps ! Et dire que les politiciens prônent la
transparence !
L’Etat français ne joue pas son rôle de protecteur du peuple. « Que demande le peuple ? »
questionnaient les rois de France. Il doit donner des conditions minimum de vie à tous les français :
un travail, un logement et une assurance sociale. Le travail, ça s’invente, les logements peuvent se
construire en quantité et prix industriels, la sécurité sociale doit être maintenue. Les politiciens n’ont
qu’à faire des entreprises de fonctionnaires dans le BTP au lieu de laisser flamber les prix de
l’immobilier ! Ca emploierait les chômeurs et les prisonniers. Les prix sont régis par de la fausse
concurrence, où les grandes enseignes s’entendent sur les prix, comme l’OPEP, l’organisation des
pays exportateurs de pétrole. Les gouvernements laissent faire puisqu’ils n’ont pas d’entreprises
publiques en ces domaines… et encore, ils veulent eux aussi, dans les hôpitaux civils d’état, faire une
très bonne marge financière pour s’en mettre plein les poches au détriment de la stabilité de
l’emploi de chacun ! « T’as pas honte ? » écrit le navigateur Olivier de Kersauson. L’état doit installer
pour toutes les entreprises lui compris, la comptabilité analytique afin de limiter les marges à 15% du
prix de revient des produits fabriqués et qui ne peuvent être revendus qu’une fois à 30% de marge
pour limiter les distributeurs intermédiaires. L’état doit limiter les salaires et les revenus à 10 SMIC
soit un SMOC (Salaire Maximum Oblatif [qui fait passer les besoins d’autrui avant les siens propres]
de carrière). L’état doit indexer les prêts sur le SMIC.
L’Etat est, comme l’armée en 1914-1918 « la grande muette », à ne pas dévoiler au peuple ce qui se
passe en réalité, dans les causes, les faits et les conséquences selon les tenants et les aboutissants de
toute entreprise ou événement. Par exemple, mon grand-père paternel, sergent à Verdun, a refusé
de fusiller quelques uns de ses soldats qui n’avaient plus le courage de sortir des tranchées. Il s’est
pris quelques jours de prison militaire. A qui profite le crime ? « Dormez braves gens, tout va bien ! »
surtout pour les riches et leurs corrompus de tous bords. « Que le sang sèche vite en entrant dans
l’histoire » chante Jean Ferrat.
Pourvu que les ingénieurs informaticiens tiennent bon à conserver une indépendance d’informations
par Internet, avant que les gouvernements ne fliquent tout le réseau !
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L’Etat paye ses polytechniciens français, non à créer du travail dans des entreprises d’Etat, mais au
contraire à manipuler les masses populaires, à dénationaliser et à grappiller de-ci de-là. Récemment,
suite à la canicule qui a fait 22.000 victimes parmi les personnes âgées, au lieu d’obliger les maisons
de retraite à s’équiper comme les grandes surfaces de climatiseurs, l’Etat nous a purement et
simplement fait sauter un jour férié, le lundi de Pentecôte, pour l’établir en jour ouvré : c’est du
racket, du vol, de la manipulation gouvernementale ! Les politiciens sont des minables ! Vivement
qu’un industriel intègre prenne les rennes du gouvernement pour enrichir d’abord tous les Français
qui travaillent dur pour un maigre argent de poche : Réveille-toi, PDG incorruptible, sors de ta
retraite, un nouveau challenge de Président de la République t’attend !
Base 2 f 5 : Calculons notre argent de poche :
Notre employeur nous réserve 100 € pour notre paye. Que nous en reste-il ?
§ Les charges patronales s’élèvent à 50% de la paye brute, soit paye brute *1,5= 100, d’où paie brute
= 100 / 1,5 = 66 €
§ Les charges salariales s’élèvent à 25 %, soit paye brute * 0.75 = paye nette, 66*0.75 = 50 €
§ L’impôt sur le revenu est de 1 mois ½ de salaire net, soit 50 * (12-1.5)/12 = 44 €
§ Les impôts locaux et la taxe d’habitation sont d’1/2 mois de salaire chacun, sois : 44 * (121/2*2)/12= 40 €
§ A acheter des produits étrangers hors taxe, nous devons retirer la TVA de 19.6 % soit 40 * (10019.6)/100 = 32 €
§ Il faut aussi enlever les autres impôts déguisés en taxes : les PV, parcmètres, taxes sur les
successions que nous font payer ces racketteurs d’état que sont les notaires, les taxes sur l’essence,
sur l’alcool, les cigarettes… de 32 € on passe disons à 30 €.
Sur 100 € que nous met de côté notre employeur, nous de disposons que de 30 € d’argent de poche
pour acheter des produits hors taxes au black, alors que l’Etat pour satisfaire son train de vie
démesuré, outrancier et sans vergogne, avec police et armée, enseignants et autres fonctionnaires,
nous prend 70 € ! Cela fait dire à un chanteur : « Je chante pour l’état jusqu’au mois de septembre,
après je chante pour moi ! »
Les politiciens ne veulent pas rouvrir les maisons closes, des fois que ça choquerait certains Français.
Ils préfèrent laisser les catins dans leurs camionnettes, au lieu de protéger ces filles paumées des
maladies sexuellement transmissibles et de leurs proxénètes qui versent des pots de vin « aux
orphelins de la police française » pour leur location de trottoirs. Le racolage est interdit ? Mais la
publicité par les médias avec la télévision au beau milieu d’un film, la radio au beau milieu d’une
émission, et les affiches qui nous font détourner notre regard de la route, et les enquêtes
téléphoniques aux heures des repas, sont du racolage autorisé en toute légalité ! C’est du n’importe
quoi ! Aucune logique désintéressée !
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§ Base 2 f 6 : Dieu malade nous rend malades !
Quand nous avons d’abord les santés : physique, psychique et financière… tout va bien ! La
vie est belle ! Mais lorsqu’un enfant se pend à l’accouchement avec le cordon ombilical et meurt à la
naissance, lorsqu’il y a mort subite du nourrisson, lorsque nous croisons des personnes handicapées
qui tous les jours se battent avec leur handicap, lorsque nous allons dans les hôpitaux avec tous ces
gens plus ou moins malades, lorsque nous ouvrons notre poste de télévision et que l’on entend
parler de meurtres et de viols et que l’on voit la guerre et ses massacres… Où est ce bon Dieu
d’amour tout puissant ? D’évidence, il n’est pas là. Alors à qui avons-nous affaire ? A un Dieu
méchant ? Non, puisque pour la majorité d’entre nous, la vie est belle, ne serait-ce que dans la joie
de vivre d’un enfant qui ne sait pas encore ce qui l’attend avec le monde violent que lui lègue ses
parents et notre Créateur. Donc si Dieu est aussi bon que méchant, il est psychologiquement
malade ! « Tu yoyotes de la touffe ! » comme me dit mon ex-femme. Dieu est schizophrène à avoir
une double personnalité. Vivement qu’Il se soigne et nous avec ! A moins qu’il ne soit complètement
dingue celui-là à avoir inventé une source d’énergie spirituelle sur Terre et qu’Il demande des
volontaires comme nous pour autant jouir que souffrir sur cette planète vibrante d’émotions, qui lui
sert de cœur spirituel. C’est une explication plausible pour moi. Alors bravo ceux qui souffrent la tête
haute !
Le sida est une nouvelle maladie sexuellement transmissible (MST vers 1980), sans vaccin
pour le moment comme le cancer. A la télévision, le gouvernement nous a dit que le sida provient de
ce que certains Africains dans leurs forêts équatoriales, copulent avec les guenons. Or cette zoophilie
a toujours existée = première incohérence. Elle se transmet qu’entre homosexuels… mais quelques
temps après, on nous annonce que les femmes aussi la transmettent aux hommes et même à leur
bébé = deuxième incohérence. Quelle irresponsabilité ! Qu’on se dise entre nous, des conneries pour
s’amuser comme dans ces lignes, oui, mais qu’on dise des conneries à 60 millions de Français ou 6
milliards de terriens par la télévision, ça non ! Certains gouvernements et quelques journalistes bien
au chaud dans leurs bureaux s’avancent trop souvent sur des considérations non vérifiées sur le
terrain comme le font les reporters, mais censure oblige pour ne pas faire paniquer le pays. Ces
premiers informateurs sont donc menteurs par omission, irresponsables, dingues, cons et
irrévérencieux [ils manquent de respect, sont insolents et impertinents]. On apprend par les
infirmières, que le sida est une maladie très grave qui fait énormément souffrir ! La cause la plus
plausible que j’ai entendue à la radio ou lue dans un journal, est de ce que des médecins, en rupture
de vaccins en Afrique, auraient élevé des cellules souches sur de la viande avariée de singe ! Les gens
alors vaccinés, ont contracté cette nouvelle maladie qui fait boule de neige. En France, le sang
contaminé par le sida (vers 1990) a fait de nombreuses victimes lors de transfusions sanguines, par la
décision vénale d’un politicien ministre de la santé à l’époque. Puisqu’il n’a pas eu d’honneur à
démissionner, il est toujours en politique dans les rangs socialistes. Ce qui prouve bien que depuis la
grande guerre, les hommes d’honneur ont disparu ou presque. Coluche appelait son groupe ou plus
vraisemblablement les hommes politiques : « Les enfoirés ! »
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§ Base 2 f 7 : Le fossé riches / pauvres se creuse !
Comme dans l’Inde ancienne, nous sommes maintenant dans des castes, deux en France, celle des
riches et celle des pauvres. D’après le Nouvel Observateur du 3 au 9 juillet 2008, un riche gagne
mensuellement environ 80 SMIC (salaire minimum d’un employé). Il y a un riche pour 10.000
pauvres. Un smicard est de plus en plus pauvre de part la diminution de son pouvoir d’achat par la
différence des augmentations des prix et des salaires. En effet, quand j’étais jeune, je partais avec
mon correspondant allemand, tous les deux étant étudiants et fils d’ouvriers des chemins de fer, en
voiture en Norvège. Les jeunes d’aujourd’hui voyagent sur Internet !
Pour le crash boursier de 2008, les gens qui avaient un peu d’argent de côté n’en n’ont plus ! Mais où
est passé cet argent dans la différence entre le prix d’achat des actions et le prix de revente ? Nul
n’en parle. Top secret ! A qui profite le crime organisé ? Probablement sur les comptes de quelques
Golden Boys qui ont écrit un nouveau logiciel sur les placements financiers internationaux et ont
raflé la moitié des mises sur toute la planète. Motus et bouche cousue !
§ Base 2 f 8 : Les gens pauvres ne savent plus à quel Saint se vouer ! Peut-être l’Euromillion !
Les milliardaires de la planète ont truqué le jeu de tous les gouvernements. Les Africains, les
Amazoniens, les Aborigènes d’Australie… dit non civilisés, se font civiliser dans leur brousse, à
regarder « Dallas » à la télévision. Ils veulent eux aussi de belles voitures et des maîtresses ! Les
Africains vivant chez eux en liberté dans la nature, prennent alors des pirogues pour gagner
l’Eldorado de Voltaire (écrivain français vers 1750, œuvre « Candide »). Ils en reviennent. Les riches
les ont dupés, avilis et spoliés de leur âme, car le vrai but des riches est d’entretenir l’immigration
dans leur pays, afin de gonfler les rangs des prolétaires nationaux pour maintenir les salaires bas des
autochtones, comme nous les Français de souche.
Qui sont les vrais racistes ? Ils vont par paire. Ce sont les riches qui trouvent des pauvres étrangers,
et les étrangers qui se comparent aux riches et commettent la bêtise de croire qu’ils peuvent être
leur égal, comme la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf, dans la fable de La
Fontaine. Se comparer rend malheureux. Les faux racistes sont les gens qui voient leur pays se
colorer de toutes sortes d’individus venus du monde entier. C’est la mondialisation ou le nivellement
par le bas où les coutumes, les traditions, la nationalité, l’histoire et les Hommes se perdent dans
l’indifférence totale, prolétarienne et mondiale. « Prolétaires du monde entier, unissez-vous ! » Le
problème, c’est qu’ils ne peuvent plus faire la révolution, étant donné qu’ils n’ont même pas une
semaine de salaire d’avance. Les patrons actuels français savent comment faire grève puisqu’ils sont
les soixante-huitards d’hier (grève de mai 1968) et donc s’emploient à ce que les étudiants et les
ouvriers actuels ne puissent pas répéter une telle grève générale de plusieurs mois ! (Bien raisonné
Monsieur Donato !) Les riches corrupteurs se jouent de tous les gouvernements corrompus qui
oscillent sur un équilibre sensible entre donner et recevoir avec le peuple. Les gens devenus
matériellement plus pauvres par la baisse de leur pouvoir d’achat, vont moins en vacances et sont
donc plus énervés. Ils ne vont même plus vers un bien être relationnel éphémère avec eux-mêmes et
les autres, sérénité que leur font miroiter les psychologues, charlatans qui les rackettent sans
scrupules, car eux aussi comme les politiciens et les médecins, sont payés quelques soient leurs
résultats.
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Les nouveaux pauvres se rabattent vers une autre richesse, celle spirituelle plus abordable
car lire de la philosophie ou prier dans une église ne coûte pas encore trop cher. Les religieux leur
promettent une révolution personnelle pour l’autre monde donc non dérangeante pour l’Etat en
place. A condition de ne pas se prendre et finir comme le Christ, le plus grand philosophe de tous les
temps ! Les religions sont également corrompues et avilissantes à faire courber l’échine aux gens
jusqu’à les faire mettre à genoux devant un Dieu que personne encore n’a vu. Les politiciens et les
religieux ont toujours fait bon ménage. Les croyants au paradis, et encore ils ne sont pas sûrs d’y
arriver car il n’y aura seulement que quelques élus comme le disent les Témoins de Jéhovah, sont
encore plus paumés que les prolétaires incroyants ! Les croyants endoctrinés sont sources de
vénalité des non croyants !
Il y a les industriels européens plus racistes que capitalistes à mettre des étrangers dans leurs
usines d’Europe. D’autres américains sont plus capitalistes que racistes à construire leurs usines à
l’étranger pour enrichir la population locale sans la déraciner de son pays natal et de ses traditions.
Les immigrés et surtout les enfants d’immigrés qui sont nés dans le pays d’adoption financière de
leurs parents, ont un pied dans chaque culture et oscille de l’une à l’autre comme des pantins
apatrides. Pas étonnant à ce qu’ils mettent du bordel en plus, à caillasser [jeter des pierres sur] les
trains qui passent, la police et les pompiers !
Il est bien sur évident que les amis de la France (et pas ceux avec qui on a fait la guerre) qui
ont des problèmes comme le génocide arménien par les Turcs, les harkis, les vietnamiens… sont les
bienvenus par solidarité. Une fois établis avec leurs familles, c’est vrai qu’il n’est plus possible pour
eux de rentrer dans leur pays d’origine.
D’une façon spirituelle, je reste où je suis né ! Sinon Dieu m’aurait fait naître ailleurs ! Je fais
quelques études à Cluny, je travaille à Paris, à Grenoble, à Mâcon, je voyage en touriste en Europe et
pour affaires en Syrie et en Algérie. Je ne fais pas comme mon copain Marc M., major d’HEC (Hautes
Etudes Commerciales) à m’émigrer aux Etats-Unis par racisme d’argent ! Dans une prochaine vie, je
me choisirai un autre lieu, comme la Nouvelle Zélande… Donc pas la peine de voyager… ou presque !
§ Base 2 f 9 : La télévision est l’outil de propagande de l’Etat.
En cheville avec les riches, l’Etat nous annonce 2% d’inflation par l’intermédiaire de sa propagande
télévisée, notamment ses informations lues par les journalistes du 20 heures, les perroquets de la
grande autorité audiovisuelle. Cette police d’Etat censure les informations de ses reporters et les
envoient ou non, tronquées en partie, dénaturées et travesties à l’Agence France Presse où tous les
médias piochent obligatoirement leurs informations ou presque, s’ils ne sont pas des canards
[journaux] enchaînés. Tout ceci pour ménager les oreilles délicates du peuple à surtout ne pas faire
paniquer. Les médias pensent uniformément à notre place pour être tous semblables, nous, des
clones à la cervelle lessivée tous les soirs, comme les pénis-soldats de la reine araignée dans le dessin
animé « Tarzoom » des années 1980. L’Etat, au lieu de rendre les gens intelligents à réfléchir aux
causes des faits, les rend cons à s’inquiéter des conséquences qui perdurent, faute de s’attaquer aux
causes maintenues top secret par et pour une minorité gouvernementale et une minorité richissime
!
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De leur côté, les riches industriels miment de très grands efforts pour 2% d’augmentation de
salaire pour leurs prolétaires, selon des lois pipées de marchés truqués entre l’offre et la demande,
comme d’une part le chômage entretenu et financé par les employeurs car il leurs coûte moins cher
que des augmentations de salaires, et comme d’autre part, les grandes enseignes des fabricants et
distributeurs qui s’entendent au préalable sur les prix. L’état a collé une amende aux sociétés de
téléphonie mobile de plusieurs millions d’euros. Or, que vont faire ces opérateurs en communication,
sinon répercuter l’amende sur les prix des produits achetés par les consommateurs ! D’ailleurs, vu le
nombre incroyable de téléphones mobiles vendus en constante augmentation grâce aux avancées
technologiques qui renouvellent les modèles, ils pourraient même baisser leur prix ! En fait, ce sont
des impôts déguisés pour financer les campagnes politiques et enrichir à nos dépends les politiciens
qui sont en somme, des grands délinquants financiers intouchables ! Les prolétaires sont des
personnes pauvres car financièrement dépendantes puisqu’elles ne savent pas gagner de l’argent par
elles-mêmes, alors elles se prostituent intellectuellement et corporellement auprès des gens riches
indépendants financièrement qui savent le faire. Un jour, je vais à la pharmacie du coin avec un
emballage de cataplasme acheté la semaine d’avant avec le prix dessus. « La même chose, s’il vous
plait ! » Ouah, le prix par contre n’est pas le même ! C’est plus cher de 14% ! Le pharmacien me
banalise tout ca et me dit qu’il n’y est pour rien ! Il faut dire qu’il est plus commerçant que
pharmacien pour m’avoir vendu une boîte de préservatifs NF (Norme Française), donc garanti par le
gouvernement, préservatifs qui ont craqué en service ! Dommage, ma copine n’est même pas
tombée enceinte ! Là aussi, à vendre sa merde d’Etat, il n’y était pour rien. Il n’a même pas bougé le
petit doigt pour le signaler au fabricant !
L’inflation est indiquée à 2% en mensonge, car élevée de 14% en réalité chez ce même pharmacien
pour un cataplasme… L’Etat et les riches nous prennent pour des cons, qu’on est à se laisser faire,
avilir, dépersonnaliser, déshumaniser, prolétariser et robotiser : « On nous prend pour des cons »
chante Tonton David dans sa chanson « Sûr & certain ».
Comme en Allemagne en 1933, les médias et les finances en France sont tenus actuellement
encore par les juifs, les maîtres en désinformations et en business ou presque ! Après la seconde
guerre mondiale, les juifs américains de l’armement sont devenus milliardaires. Ils ont volé ou acheté
à bas prix des territoires aux Palestiniens en 1947. Ils n’ont tous qu’à aller dans leur nouveau pays
Israël, au lieu d’être apatride ! J’ai appris, il y a peu de temps, que les nazis des camps de
concentration ne voulant pas faire de sales besognes, ont demandé à des juifs qui ne voulaient pas
mourir pour leur cause, de former des Kommandos pour s’occuper des chambres à gaz et des fours
crématoires. Un comble ! Ce sont les juifs qui, en fin de chaîne, ont exterminé les juifs ! Mais on ne le
dit pas à la télé. L’ennemi trouve toujours des collaborateurs. Ce mot est resté pour désigner les
prolétaires bien vus des patrons : « Chers collaboratrices et collaborateurs… ! » Marre d’être prolo !
On note aussi la montée du néonazisme pour mettre encore une fois, de l’ordre en Europe. Tous les
riches et les pauvres cherchent leurs sauveurs ! Quand j’ai lu « Mein Kampf » et que je me suis rendu
compte qu’Hitler avait écrit noir sur blanc en prison en 1933 son programme révolutionnaire de
politiques intérieure et extérieure, et qu’il l’avait appliqué à la lettre quand il a accédé au pouvoir, je
me suis demandé si l’ambassadeur de l’époque, de France en Allemagne, savait lire l’allemand ! Des
inconscients ces politiciens !
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§ Base 2 f 10 : L’armée est nécessaire à un pays en tant qu’armée défensive et non offensive. Je me
suis toujours demandé pourquoi les hommes aiment faire une guerre offensive… sûrement qu’elle
les fait vibrer au maximum, la preuve étant que tous les soldats psychologiquement faibles sont
traumatisés par leur guerre. Un exemple incroyable est la guerre instantanée menée par Ben Laden,
grand stratège guerrier, avec l’attentat du World Trade Center le 11 septembre 2001 (3.000 morts),
qui a fait effet de boomerang aux Américains depuis leurs deux bombes atomiques sur le Japon
(210.000 victimes). Comment des gars probablement musulmans, peuvent choisir d’être kamikazes,
de prendre des cours de pilotage, ce qui leurs laisse le temps d’y réfléchir, et d’aller se scratcher au
nom d’Allah avec des Jumbo Jets sur les tours de New-York et sur le Pentagone ? Tout le monde a
vibré de folie guerrière ! Les religions sont prétextes de guerre pour les milliardaires. Ben Laden a du
sûrement réglé un compte personnel avec les américains, qui ont du lui faire perdre de l’argent en
affaires ! Quand je vois l’attentat passer à la télévision chez Mac Donald, je m’étonne d’un tel
scénario de film. Très fort le scénariste… mais ils ne passent pas de films à la télévision en fin de
matinée ? Alors je me dis que c’est vrai, surtout que les images passent en boucle ! Dure la leçon
guerrière ! Donner sa vie gratuitement pour une cause me dépasse un peu ! Même si la vie est aussi
belle que cruelle, il est dommage de la perdre pour des idées, des révolutions et des leçons !
Je n’ai pas fait l’armée, mais mon père nous parle de son armée d’occupation en Autriche
comme des vacances avec les copains. Mon premier patron, lors de mon entretien d’embauche, ne
m’a parlé que de sa guerre qu’il a faite dans les environs de Lyon. « Un jour, nous étions, un ami et
moi, en side-car, avec l’habitacle plein d’armes pour les maquisards lyonnais. Un contrôle allemand
nous fait signe de nous arrêter. Je prends la corne de l’avertisseur et klaxonne à tout bout de champ
en faisant signe aux Allemands de nous laisser passer. Ce qu’ils font. La ruse non de sioux mais de
fous a marché. » Je me demande encore si cet ami est Jean Moulin. Toujours est-il que ce patron m’a
embauché pour avoir écouté avec attention et intérêt sa guerre sans avoir dit un seul mot au sujet du
boulot ! Fort le mec ! J’ai aussi l’esprit guerrier. Avec un bon physique et une bonne vue, j’aurai aimé
faire pilote de chasse à l’aéronavale ou agent secret comme Arnold Schwarzenegger au cinéma. La
seule guerre que j’ai menée, est celle contre et avec mon inconscient d’ingénieur, à me conscientiser
au maximum pour me ramener de mon irréalité névrotique solitaire à ma réalité consciente parmi les
gens, et c’est une victoire totale ou presque !
§ Base 2 f 11 : La mal bouffe.
En allant faire mon plein d’essence, le pompiste me dit que le week-end, il travaille encore. Son autre
métier est livreur de produits congelés… aux bouchons lyonnais ! En me baladant à la campagne avec
une amie, nous passons devant un petit restaurant rustique. Mais nous avons prévu le pique-nique !
Grand bien nous en a pris, car en revenant par une petite route parallèle, nous avons remarqué les
poubelles du restaurant pleines de … boîtes de conserve de 5 kg !
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En résumé, c’est donc un vrai bazar sur Terre. Seuls quelques irréductibles résistent encore et
toujours à l’envahisseur ! (Bande dessinée Astérix). Mes amis Gilles et Christelle restent paysans à
l’ancienne malgré une misère notable puisqu’ils veulent toujours fait paître leurs vaches et non leur
donner, comme leurs collègues plus riches, des granulés sans leur faire dégourdir les pattes. Des
indigènes ne veulent pas s’intégrer quitte à rester dans des réserves, non d’animaux en perdition,
mais d’hommes : les Indiens d’Amérique du Nord, les Amazoniens, les Aborigènes d’Australie… Ces
derniers prédisent que leur civilisation va disparaître au profit du monde mutant qui est le nôtre, à
nous éloigner pour des plaisirs superficiels, de plus en plus de Dame Nature, notre Terre nourricière,
notre planète malade de la pollution des Hommes. Car telle est la destinée du Monde !
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BASE 3 : LE JEU NE RESSEMBLE EN RIEN A SON CREATEUR…
à moins que nous soyons Dieu Lui-même !
Comme une voiture ne ressemble en rien, ou presque, à son ingénieur automobile, la Création n’a
sûrement rien de semblable, ou presque, avec son Créateur. Elle n’en reflète que le caractère !
On peut dire qu’une voiture à des phares comme yeux, une calandre avant comme un nez, une
carrosserie comme enveloppe humaine surtout féminine « Ouah, quel châssis ! », un moteur comme
un cœur, de l’essence comme nourriture…
Comme une petite fille joue à la poupée pour imiter sa mère qui s’occupe d’elle, l’homme fait du
cinéma comme son Dieu. Un film dénote la personnalité de son scénariste et communique son
message aux spectateurs. Le film de Dieu mélange beauté et cruauté, amour et haine, vérités et
mensonges… donc Dieu nous fait vibrer d’émotions entre rires et pleurs, et de sensations entre
jouissances et souffrances. Dieu est un génie, un artiste, un violent… somme toute, un garnement.
La Bible nous dit : « Dieu a fait l’Homme à son image ! » Pour moi, la traduction est inexacte. Il est
plus juste de dire : « Dieu a fait l’Homme selon SON imagination ! » Cette confusion a fait dessiner
Dieu en vieil homme à barbe blanche entouré de femmes et d’anges, dans son nuage-OVNI par
Michel-Ange. C’est probablement une erreur. Il y a peu de chances pour que Dieu ressemble à un
homme. De trop rares artistes se sont aventurés à représenter Dieu. J’ai dessiné le mien comme un
fantôme, un ectoplasme [substance éthérée des Esprits qui veulent se faire voir par les humains], un
Génie comme celui d’Aladin et sa lampe merveilleuse.
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BASE 4 : EVOLUTIONISME ET CREATIONNISME
Pour la voiture, il y a évolutionnisme visible dans les musées d’automobiles où l’on peut voir
l’évolution d’une telle machine par le génie de l’homme : le fardier à vapeur de Cugnot 1771, la
voiture à essence de Daimler 1883, la Traction Avant de 1940, les Ferrari…
Pour le big bang [explosion de la boule unique de matière primale] et le cosmos, d’après
notre télescope spatial Hubble, il y a bien une sorte d’évolutionnisme de l’arrangement de la matière
du big bang à nos jours, sur 13,7 milliards d’années, grâce aux forces d’amour, d’attraction et de
gravité qui ont uni les poussières du big-bang en galaxies, soleils et planètes… évolutionnisme un peu
bizarre puisqu’il s’agit d’une explosion de matière, c’est-à-dire d’une désunion, qui s’organise dans le
temps et l’espace en une nouvelle union multiple de cette même matière ! Là, les philosophes
scotchent les astrophysiciens ! Ces mêmes poussières d’étoiles ont donné, sous l’action de la
pression gravitationnelle, les différents éléments chimiques selon la table de classification
périodique limitée de Mendeleïev, chimiste russe (1869) : l’hydrogène, l’hélium… l’oxygène, le fer,
l’uranium...
Pour les êtres vivants, il y a créationnisme par Dieu qui est le plus grand des Génies, avec ses
créatures complexes et douées d’intelligences. C’est impossible que nous soyons là par hasard,
l’évolution matière / cellule / êtres vivants est trop importante en complexité existentielle. En effet,
les éléments chimiques de base regroupés en cellules ADN et associées à quelques intelligences liées
donnent par créationnisme, les créations végétales, les créatures animales et l’Homme. Il y a
créationnisme car il n’existe nulle part une trace d’évolution entre la particule élémentaire
existentielle matérielle immortelle d’un atome faisant partie d’un caillou depuis le big bang… et une
cellule douée de pensée, d’émotion, de santé et d’entendement télépathique pour être une
composante d’une création mortelle ou presque. Le créationnisme s’impose dans l’apparition des
intelligences inhérentes à l’existence et à l’entretien des créatures physiquement éphémères et
spirituellement immortelles.
Les intelligences sont de 4 types :
§ L’intelligence supraconsciente qui gère les Esprits, l’intuition, les dons et la télépathie.
§ L’intelligence subconsciente qui gère environ quelques milliards de particules ordonnées
entre elles dans le temps et l’espace pour donner naissance à une créature limitée et indépendante,
saisonnière comme une fleur avec toutes ses belles couleurs. Dieu est un bon designer.
§ L’intelligence consciente d’un animal comme un dauphin qui aime à devancer un voilier
voguant à toute allure.
§ L’intelligence inconsciente d’un humain qui se pose des tas de questions bien inutiles,
sinon de s’occuper à passer son temps à se mesurer à Dieu, en déchiffrant ses équations
élémentaires : z=1/2gt² pour la chute vertical d’un corps dans le temps, E=mc² pour la relation entre
l’énergie et la masse selon la formule de base des explosions atomiques, U=RI pour la relation entre
la tension et l’intensité d’un courant électrique… Ainsi l’Homme doué de réflexions dans l’irréalité, ou
presque, de son imagination, maîtrise le feu puis la matière pour construire une roue et en forger le
moyeu, la physique et les mathématiques afin de construire une automobile, puis l’informatique
pour concevoir des ordinateurs pour réaliser enfin une navette spatiale. Après, nous verrons bien…
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Les pierres sont là depuis le big bang. Les archéologues découvrent des fougères et des
poissons fossilisés de plusieurs millions ou milliers d’années qui sont traits pour traits, semblables
aux actuels, des squelettes d’hommes âgés de 40.000 ans qui s’apparentent aux hommes
d’aujourd’hui… mais rien qui ne ressemble à une ébauche.
L’Homme, quintessence de la Création, est une créature très complexe qui
s’ « autorégénère » par la sexualité. Il possède en lui des systèmes : cérébral, cardiaque, respiratoire,
digestif, musculaire, sexuel… qui fonctionnent ensemble de concert. Il est autonome. Dieu, son
Créateur, a du y passer des nuits blanches sur quelques milliards d’années pour concevoir dans ses
laboratoires quelque part dans cette dimension ou une autre, une telle réalisation, le temps que le
cosmos prépare une Terre agréable, pour les y implanter en toute autonomie. Bravo ! L’Homme,
c’est-à-dire l’homme et la femme, enfin mis au point en différentes couleurs : blancs, jaunes, rouges,
noirs… ont été importés par Dieu sur la planète Terre. Avant il y a eu les dinosaures. Maintenant,
l’Homme est le roi de la Terre. Après lui, il y aura d’autres espèces, que Dieu met au point
actuellement en plus perfectionné, et ainsi de suite.
Dieu crée la matière éternelle ou presque, (disparition de la matière pour de l’énergie : par
fusion pour les soleils, par fission et fusion lors d’explosions atomiques), et les créatures éphémères
qui s’entretuent entre elles ou meurent de vieillesse. Dieu est donc violent : il organise des combats
de dinosaures, fait que la mante religieuse et la veuve noire dévorent leurs mâles après
l’accouplement, donne idées aux humains de tortures physiques et psychiques : guerres politiques,
religieuses et économiques, séquestrations dans des bureaux et des usines… Une œuvre dénote
l’intelligence et les folies de son créateur : Un fou a raté ses rêves, un intelligent les a réussis !
Dieu est responsable de sa création. A ce titre, l’Homme plaide non coupable de ce qui se
passe sur Terre, notamment de ce qui lui passe dans la tête, de ce qui lui arrive puisqu’il est ses
jouets, ses soldats de plomb manipulés télépathiquement puisque collectivement supra
inconscients. Il s’agit d’un certain inconscient collectif.
L’intelligence intellectuelle dans le savoir, relationnelle dans le pouvoir hiérarchique,
manuelle dans le bricolage, sportive dans la gestion de ses efforts, artistique dans la musique, la
peinture et la sculpture, le sens du business… est un don de Dieu. A ce titre, nul n’a à se prévaloir à
un autre moins doué et encore moins à en tirer un profit financier. Liberté, égalité et fraternité sont
donc spirituellement de mise.
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BASE 5 : La Terre est une planète qui vibre spirituellement entre jouissances et souffrances, pour
une raison certaine : entretenir la dimension spirituelle des Esprits, des Génies et de Dieu.
Axiome : Si la souffrance existe, c’est qu’elle est nécessaire à quelque chose sinon elle n’existerait
pas, Dieu ne l’aurait pas créée !
La souffrance n’existe que pour faire prendre conscience à l’Homme, que sa situation
pourrait être pire et par là, permet d’opposer à son matérialisme, une vie simple à boire, manger,
s’amuser et dormir.
De même que le plaisir sexuel existe pour la pérennité des races, la souffrance est une
sensation qui se trouve à l’opposé de la jouissance, toutes deux comme pôles de vibration
émotionnelle et de résonnance de temps à autres, du coup de foudre sentimental ou spirituel, à la
folie psychique « à péter les plombs ».
Comme le soleil nous éclaire, nous chauffe et nous transmet l’énergie de ses rayons vibrants,
la Terre est le soleil du monde invisible. Notre planète est le centre spirituel du Monde, elle en est le
cœur, son moteur, sa survie. L’Esprit qui l’habite, la déesse Gaia (mythologie grecque), en assume
l’expression de vie entre beauté et cruauté, en un équilibre qu’elle tend à déplacer vers plus de
violence, car telle est son destin, notamment avec le tsunami (raz de marée faisant suite à un
tremblement de terre, vers 2007) et le réchauffement climatique qui fait fondre les calottes
glaciaires et donnent des tornades américaines de plus en plus nombreuses.
Les Esprits incarnés en humains qui souffrent le plus sur Terre sont ceux qui peuvent le faire.
Les Esprits désignés volontaires pour vibrer et résonner sur Terre afin d’entretenir le monde invisible,
sont les Esprits les plus téméraires. Les autres Esprits, plus trouillards, « se la coulent douce » sur
d’autres astres, soleils ou planètes, spirituellement plus calmes voire paradisiaques. Le paradis et
l’enfer sont sur Terre et non au Ciel.
Prier Dieu à ce qu’Il soit beaucoup plus gentil que méchant est une perte de temps ou
presque. C’est critiquer son œuvre accomplie telle celle d’un maître. Une peinture, une sculpture,
une bande dessinée, un film, une chanson… est pour son auteur, compositeur, interprète, parfaite :
rien à ajouter, rien à enlever. Alors demander à Dieu à ce que les hommes soient plus intelligents que
cons, c’est comme demander au lion de manger de l’herbe ! Dieu nous a fait comme ça, équilibrés en
une vibrante passion, à être par moments intelligents, et cons à d’autres, comme Einstein et sa loi E =
mc² (1916) qui a conduit à la construction de la bombe atomique par Oppenheimer (1945), avec les
bombardements au Japon des villes d’Hiroshima faisant 140.000 victimes et de Nagasaki avec 70.000
victimes. Rompre l’équilibre existentiel de l’homme, c’est détruire l’Œuvre, la Création, et son
auteur, Dieu. Jouissances pour profiter de la vie, sinon on se suiciderait tous collectivement, et
souffrances pour donner de l’énergie aux Esprits, sont donc des nécessités divines calculées au plus
juste.
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BASE 6 : PLACE A L’EVIDENCE !
L’évidence permet de démarrer un raisonnement et de le vérifier par des solutions évidentes,
comme en mathématiques. Le premier voyage de la Terre à la Lune (1969) nous a ramené des photos
de la Terre : Elle est bien ronde, notre planète bleue (vérité absolue) ! Pourtant vue d’en bas, elle
paraît plate (vérité relative)!
§ Base 6 – a : Qui est Dieu ?
A son sujet, des caractéristiques sont de toutes évidences : Dieu est aussi gentil que
méchant, sa Création est aussi belle que cruelle. Il est aussi présent dans sa Création qu’absent aux
yeux des hommes et des Esprits… De part notre conscience qui nous est intrinsèquement et
divinement donnée, le sentiment de l’abandonnique divine [comme quoi Dieu nous a abandonnés
sur Terre], rend les hommes fous à détruire ce que leurs femmes construisent, c’est-à-dire euxmêmes. Pourtant bien des gens sont spirituellement borgnes, à ne voir en Lui qu’un Dieu d’Amour !
Ils confondent le méchant Père et le gentil Fils, à moins que ce ne soit le contraire !
Base 6 – b : Quels sont les desseins de Dieu ?
§ Hypothèse 1 : Si Dieu est obligé de faire une planète vibrante d’émotions entre beauté et
cruauté pour faire vivre le Monde des Esprits voire Dieu Lui-même, son Fils le Christ a mal compris
et a tout faux. A moins qu’il ne soit lui-même un fieffé menteur [qui a atteint le dernier degré d’un
défaut ou d’un vice] « Je suis la lumière du monde, le chemin et la vie. Qui vient à moi, vient au
Père. ». Un bluffeur, le Diable incarné, l’Ange déchu, le Fils œdipien qui veut mettre en défaut son
Père pour lui prendre son royaume en le pacifiant de façon à l’anéantir émotionnellement pour
détruire la Création spirituelle. Il veut, en ne prêchant rien que l’amour : « Aimez-vous les uns les
autres… » sans vous haïr, mettre à mal le cœur vibrant spirituel de Dieu en une guerre de dieu à
dieu… Tel est le destin du Monde ! Dieu, Gaïa et le sanhédrin juif [conseil suprême du judaïsme et
présidé par le grand prêtre], ne l’ont pas laissé faire. Mais qu’on se rassure, le Christ en a souffert,
mais il n’est pas mort en croix.
Selon cette hypothèse, Jésus Christ est un trouble fête. Ce prétentieux veut que les choses
tournent « rond », alors qu’elles tournent « carré » depuis le début des temps ! « Mon royaume n’est
pas de ce monde ! » signifie que Jésus est un dieu, un roi régnant sur une autre planète ! JC a tenté
de concilier la Terre à sa cause, l’Amour… et est tombé sur plus fort que lui. Il s’est retrouvé crucifié
par les troupes de la violente Déesse-Terre, fille de Dieu. Les juifs ont peut-être raison, JC n’est pas le
Messie, digne successeur du roi guerrier David ! Les grecs ont aussi raison, il s’agit bien de multiples
divinités qui se chamaillent en un mythe polythéiste cosmogonique qui perdure.
Jésus ne perd pas espoir de pouvoirs. Il se réincarne en d’autres révolutionnaires : religieux comme
Mahomet, guerrier comme Jeanne d’Arc, empereur comme Napoléon, résistant comme Jean Moulin,
philosophe comme Bruno… car telle est l’histoire du Monde ! « Dieu est nous ; Nous sommes Dieu »
comme disent les musulmans soufistes. Je suis Dieu, tu es Dieu, nous sommes spirituellement tous
fils et filles de Dieu, des Christs en puissance, voire Dieu Lui-même !
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Plus la planète compte d’habitants (6 milliards actuellement), plus les Esprits se clonent entre eux, et
plus il faut les entretenir par l’augmentation de l’amplitude de nos vibrations, à plus jouir pour les
riches, à plus souffrir pour les pauvres ! Courage à tous !
§ Hypothèse 2 : Si la souffrance n’est juste qu’un caprice gratuit d’un Dieu aussi intelligent
que malade mental, psychologiquement déséquilibré en étant schizophrène en une double
personnalité, aussi bonne que méchante, alors le Christ a raison. Il faut changer profondément le
genre humain et par là-même guérir ce Dieu « cinglé », à lui inculquer beaucoup plus d’amour que de
haine. Tout bon père se doit d’être plus bon que méchant pour l’éducation de ses enfants, c’est à
dire juste. Il doit faire partager plaisir, découverte, beauté et bonté du monde avec déception,
punition, et enseignement de la cruauté de ce même monde qui n’est pas rose, bien sûr. Il peut nous
consoler par des explications pour acceptation par les jeunes de la réalité terrestre, cosmique et
spirituelle. Ce n’est en effet pas simple de donner raison au Père, car Il a créé les êtres vivants sur
Terre comme des créatures éphémères. Il donne la vie et la reprend. C’est pour le moins cruel. Il est
donc à première vue, surtout pour ceux qui ne croient pas à la réincarnation, un assassin. En effet,
César, Napoléon, Hitler, Staline, Ben Laden … sont des enfants de cœur par rapport à Dieu qui tue par
milliards ses propres enfants spirituels, en un infanticide qui fait de Lui… le roi des enfers ! Chercher
Dieu au Paradis ? Erreur, Il est en enfer ! Dieu se doit de me rendre des comptes, à moi son ami qui
cherche vraiment d’une façon méthodique, qui peut-IL être : soit je demande pardon à ce vieil
homme à barbe blanche si je n’ai pas très bien compris, malgré mon travail titanesque, de quoi
retourne la spiritualité (Hypothèse 1), soit je lui colle une bonne fessée à ce garnement qui se joue de
nous (Hypothèse 2)! Les musulmans disent qu’on ne doit pas demander des comptes à Dieu. Trop
facile ! Il doit répondre de ses actes comme tout à chacun ou presque ! Tout enfant est en droit à
demander des comptes à ses parents : « Pourquoi suis-je noire ? » interroge une jeune fille à
l’encontre de son père antillais !
Alors pourquoi prier son tueur ? Nous sommes bien sûr des trouillards quant à notre avenir
personnel, celui de nos proches, celui de la Terre qui nous porte et celui du soleil qui nous réchauffe,
nous éclaire et nous donne de l’énergie. On prie donc notre meurtrier afin qu’il ménage notre
meurtre sans trop nous faire souffrir et le plus tard possible ! A la guerre, on tue plutôt d’abord celui
qui veut nous tuer ! Tuer Dieu, c’est aussi nous tuer !? Où est la solution ? Il faut encore chercher et
je vous passe le relais, car j’en ai marre de divaguer sur ce sujet philosophique trop difficile. D’ailleurs
certains croyants chrétiens et musulmans attendent, pour nous délivrer de nos tourments divins, le
retour du Christ sur Terre !
Base 6 - c : Dieu et le Christ sont-ils la même personne, Père et Fils en incommunicabilité spirituelle
ou des dieux ennemis jurés aussi cinglés l’Un que l’autre à fouetter nos réflexions ?
Il ne faut pas confondre la Trinité catholique : le Père, le Fils et le saint Esprit. Le Fils est monopolaire
en amour inconditionnel, continu, simple comme un point, un soleil. Le Père est bipolaire, en
vibration sinusoïdale entre bonté et cruauté, jouissances et souffrances, compréhensions et
incompréhensions. Le Saint Esprit est la communion médiumnique spirituelle entre Dieu et l’Homme,
représentée par la colombe blanche qui a survolé Jésus lors de son baptême dans le Jourdain par
Jean le Baptiste.
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Quant au sain d’esprit Bruno, je suis tripolaire, à me balader entre trois qualificatifs, puisqu’en même
temps, on me dit intelligent, fou et con, ce qui me semble un peu vrai dans mon être, paraître et
rêver. Un intelligent est celui qui est heureux à réaliser ses rêves d’enfant ou qui, au lieu de faire
compliqué, fait simple. Un fou est celui qui ne maîtrise pas ce qu’il pense, dit ou fait, lorsque ses
actes précèdent ses pensées. Un con est celui qui ne va pas dans le domaine de l’autre ou qui fait
compliqué au lieu de faire simple. Ces qualificatifs se percutent tellement dans ma tête, que j’en
arrive à ne pas savoir qui je suis.
Spirituellement, nous avons tous notre double au Ciel. Le double du Christ est Dieu. Dieu s’est
incarné en Christ et par ubiquité, lui fait des signes venus du Ciel.
L’évidence donne tort au Fils. Sa révolution spirituelle, à part quelques effets théoriques entre
communautés chrétiennes, n’a eu en vérité aucune incidence pratique dans la vie de tous les jours.
Pour preuve, les ouvriers font de la délation entre eux dans un climat de suspicion tout au long de
l’année pour obtenir leur augmentation personnelle au mérite lors de leur évaluation annuelle, c'està-dire à la tête du client puisque nous ne sommes pas encore en comptabilité analytique. Ils sont
solidaires qu’une fois par an pour revendiquer plus d’augmentation générale lors d’une grève. Le
genre humain est donc pittoresque de haine et d’amour, traits de caractère de son bon Dieu
méchant, Créateur du Ciel et de la Terre. Toute création artistique : peinture, sculpture, écriture d’un
poème ou d’un livre, film… relève les traits de caractère de son auteur. Attention quand même aux
charlatans qui se disent artistes et qui pour s’amuser de l’ignorance et de la crédulité des autres,
passent 5 minutes sur une toile dite d’expression moderne et la vendent quelques milliers d’euros,
qui lisent 10 bouquins et en font un résumé, qui contre de l’argent sale de corruption, font des films
mensongers car orientés sur une minorité donc loin de représenter la réalité d’une majorité, pour la
propagande de l’Etat…
Un Père a toujours raison ou presque. Alors confiance en Lui. « Chasser le naturel, il revient
au galop ! ». Au lieu de nous égarer dans des croyances religieuses aussi infondées qu’abrutissantes
au sujet de notre immortalité post mortem, revenons à la réalité vérité de ce qui se passe chaque
jour sur terre. La création terrestre trouve donc son équilibre comme elle le vit réellement : raisons
et torts, entendements et conflits, riches patrons et pauvres prolétaires, paix des armes et guerres
économiques...
Base 6 – d : « Les religions sont l’opium du peuple » dit Karl Marx, philosophe, économiste et
homme politique allemand vers 1850. En effet, pour moi, tous les rares « illuminés » sur terre sont
des médiums qui entendent des voix d’Esprits qu’ils nomment par erreur souvent Dieu : Abraham,
Moïse, Bouddha, Jésus, Mahomet, Jeanne d’Arc… Bouddha et Jésus sont avant tout des philosophes
dont la philosophie de vie a été par les hommes, travestie en religion !
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Base 6 – e : Psychanalyses de Dieu et du Christ
Prenons le raisonnement, non plus spirituel mais psychanalytique.
Dieu est un dieu, un être spirituellement supérieur, omniscient [qui sait tout], omnipotent [tout
puissant d’autorité absolue], omniprésent [présent continuellement en tous lieux] et immensément
intelligent : super créateur à partir de l’énergie, de l’espace et du temps, de la matière éternelle ou
presque, excellent ingénieur en mécanique céleste astrophysique, exceptionnel concepteur en
biologie pour animer ses créatures autonomes, se reproduisant d’elles-mêmes puisqu’éphémères,
désigner débordant d’idées à façonner un paon majestueux qui fait la roue pour se pavaner devant
ses belles ! Pourquoi donc rajouter à cette majesté la Création, de la cruauté dans ses œuvres ? Ca
aurait été plus simple de nous faire tous herbivores comme les vaches placides, au lieu de
s’entredévorer, au sens propres pour les animaux comme au sens figuré pour les hommes !?
Pourquoi a-t’il inventé les parasites, comme le ver solitaire, les microbes, les virus… qui nous rendent
malades à interférer notre santé ? Pourquoi, au-dessus de la matière, des plantes et des animaux,
nous donne-t’Il à nous les hommes, quintessence de sa Création, une conscience qui tourmente
notre âme du sentiment abandonnique divin, à nous « paumer spirituellement » sur une planète,
elle-même paumée dans ce cosmos infini ou presque, sans se présenter à nous pour nous conter la
destinée du Monde ?
Dieu souffre ainsi d’un dédoublement de personnalité, comme dans un film où un docteur est bon
comme médecin le jour et cruel comme tueur en série la nuit. Il serait bien que les hommes
guérissent Dieu de ses troubles psychiques, en Le ramenant à la raison d’une existence plus saine,
plus communicative et plus rassurante.
<>
Le Christ est un homme hyper-intelligent :
§ Guérisseur par l’énergie cosmique comme les aborigènes d’Australie et le Reiki.
§ Athlétique comme charpentier (et donc beau gosse).
§ Dragueur car épris des belles femmes qui vont chercher de l’eau au puits ou qui sont condamnées
à la lapidation [action de tuer à coups de pierres] pour adultère.
§ Psychologue à rendre, grâce à ses paraboles accessibles même aux enfants, les relations humaines
compliquées en des histoires toutes simples, philosophe révolutionnaire comme provocateur de
l’ordre établi à faire réagir les simples d’esprit sur leurs aliénations sociale, religieuse et
professionnelle venant d’une minorité gouvernante.
§ Maître en arts martiaux pour chasser à lui tout seul, les marchands du temple, et tendre l’autre
joue comme invitation au pugilat [bagarre à coups de poings].
§ Médium avec bouffées délirantes à converser avec les Esprits, comme jouet piloté dans ce qu’il
pense, dit et fait, par un Esprit malin qui se fait passer pour Dieu, et donc lui à se prendre pour le fils
de Dieu. Comme certains grands médiums extatiques [personne sujette à l’extase, transportée hors
du monde sensible par l’intensité d’un sentiment mystique], il a le don de lévitation et il peut donc
marcher sur l’eau.
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§ Prédestiné pour connaître à l’avance par prémonitions son destin qu’il lit dans la Bible juive à en
réaliser les prophéties, comme à se prendre à tort pour le Messie puisque le sanhédrin [l’autorité
religieuse juive] ne l’a pas reconnu comme tel, mais plutôt en tant qu’imposteur, l’a condamné à la
crucifixion.
§ Magicien pour ressusciter les morts, comme son copain Lazare. Il n’y a que lui qui fait ça dans toute
l’histoire de l’humanité.
Jésus souffre ainsi de paranoïa [psychose chronique caractérisée par un délire bien construit, dont les
thèmes prépondérants sont la persécution et la revendication]. Il serait bien que les hommes
incroyants et intègres, guérissent les croyants au Christ Sauveur, afin de ne plus le prier mais de
descendre dans la rue faire la révolution, comme lui !
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BASE 7 : LES HOMMES ET LES ESPRITS SONT EN CLASSES SPIRITUELLES, COMME A L’ECOLE
(dixit les Spirites)
Les bouddhistes disent que les gens seront comme ils croient qu’ils seront : s’ils se croient
bons pour le Paradis, ils iront au Paradis, s’ils se croient bons pour l’Enfer, ils iront en Enfer, les gens
athées qui croient en rien iront nulle part, les gens qui reconnaissent la réincarnation se
réincarneront, et ainsi de suite… L’humain fabrique ses religions qui répondent à ses attentes
spirituelles.
Il y a des gens qui parlent « vrai » selon leurs expériences personnelles qu’ils ont contrôlées
vraies par recoupement avec d’autres gens. Il y a des gens qui parlent « faux », de ce que d’autres
ont dit au hasard ou par divagation d’esprit ou lu sur des bouquins, sujets pour lesquels ils n’ont
aucune expérience personnelle. Et nombreux sont ceux qui parlent, sans savoir ce qu’ils disent. Ce
sont des charlatans ! On n’apprend pas à nager dans les livres ! Les gens qui lisent sont ceux qui
répètent, les gens qui écrivent sont ceux qui veulent avoir raison, les gens qui comptent sont ceux
qui veulent les richesses, les sages, qui détiennent leur vérité, s’en contentent.
Il faut prendre attention aux divagations de l’esprit, aux idées nuisibles, aux non-sens qui
nous perturbent et nous interfèrent dans le fourvoiement [erreur de cheminement intellectuel] de
nos œuvres.
La disparition des Aborigènes d’Australie, le karma des Bouddhistes, le peuple élu des Juifs, le
péché et la foi des Chrétiens catholiques, protestants, orthodoxes, les nominés au Paradis des
témoins de Jéhovah, la demande de miséricorde des musulmans, l’évolution spirituelle des spirites
résignés… sont des connaissances spirituelles apprises comme en classe scolaire. Leurs professeurs
agrégés, les Esprits, les aident en cette tâche. Unique recteur de l’académie spirituelle, Dieu est le
professeur-concepteur agrégé docteur-ingénieur ès sciences, bon et sévère, comme tout enseignant
avec lequel on progresse.
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Le péché, le karma, le Diable, le jugement dernier, le Paradis et l’Enfer du Ciel… sont pour
moi comme les histoires que les parents enseignent d’abord aux enfants : le Père Noël, le Petit
Chaperon Rouge et le Grand Méchant Loup, la petite souris, le Chat Botté, la chasse au Dahu… Les
enfants y croient comme les adultes croient à d’autres histoires ! C’est l’arroseur arrosé ! A chacun sa
classe spirituelle avec son programme ! Quant à moi « l’orgueilleux », ingénieur malgré moi, je ne
crois pas à ce genre d’histoires. Spirituellement, « Je joue dans la cours des grands ! » comme dit un
copain gadz’arts [gars de l’école des Arts & Métiers].
A Baroudi, musulman sunnite, qui me parle du jugement dernier, du paradis et de l’Enfer où
l’on souffre éternellement puisqu’on ne peut y mourir une deuxième fois car on y est déjà mort, je lui
réponds : « De quoi veux-tu que Dieu me juge, puisque c’est Lui qui me donne à penser ce que je
pense ! »
Je demande à Roberto qui est bon, gentil et serviable, voire servile [qui fait preuve d’une
soumission excessive, à ses patrons comme à Dieu], quels péchés a-t’il pu commettre pour avoir
besoin d’un sauveur comme Jésus Christ. Il me répond : « Jésus a dit : « Regarder une femme et la
désirer, c’est déjà commettre l’adultère ! ». Moi, j’ai regardé d’autres femmes avant de choisir mon
épouse et j’ai donc péché devant mon Seigneur. » « Mais Roberto, arrête avec ton Jésus, il se goure :
Si Dieu a fait les femmes belles, c’est bien pour que les hommes les regardent et les désirent ! »
« Et toi, Bruno, qu’as-tu fait comme péchés ? » « Moi, je n’ai pas de péché. Mon âme est pure. J’aime
les femmes et les femmes m’aiment. Je n’ai pas trompé mon épouse, mais je me suis bien régalé,
avant mon mariage et après mon divorce ! Maintenant la sagesse arrive, je me calme !» Roberto me
lâche : « J’irai au Paradis et tu iras en Enfer ! » « M’en fous, pourvu qu’il y ait des femmes ! Tu
viendras me dire quand même bonjour, hein ? » « Non, car il n’y a pas de passerelle entre le Paradis
et l’Enfer, mais un abysse infranchissable !» Marre de cette Bible, non ? ! Roberto est un homme
excessif, entre ses tolérances quand on va dans son sens, et ses intolérances quand on n’est pas
d’accord avec lui. Parti à me contredire sur des sujets spirituels et religieux, je le teste sur des sujets
sans importance. Pareil, il me massacre ! Je m’amuse un moment de son esprit de contradiction
systématique, puis je lâche prise : « Roberto, pour avancer mon livre, je ne ferai plus de covoiturages
avec toi ! » Je ne le supporte plus, il me rappelle trop mon père et une de mes copines, qui me disent
eux aussi, beaucoup plus de « non » que de « oui ». Equilibre… le maître mot de l’univers !
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BASE 8 : Qui se soucie des fourmis, des hirondelles, des hommes ? Personne ou presque ! Chaque
espèce est programmée et se démerde toute seule. « Demerden Sie sich ! » Aide-toi et le Ciel
t’aidera !
Les galaxies s’éloignent les unes des autres sous l’effet du big-bang. Le centre de l’univers est donc
de plus en plus vide. Mais vers où vont-elles ? Quel est de ce contenu, le cosmos, le contenant ?
Mystère ! Ca se débrouille tout seul ou presque.
Dans l’univers, il se passe des explosions de soleils en supernova et des implosions de soleils en trous
noirs !
Sur Terre, les fourmis font ce qu’elles ont à faire par instinct intrinsèque à leur existence : se
reproduire par leur reine, s’alimenter et faire la guerre entre les rouges et les noires. Qui se soucie
d’elles ? Dieu ? Les hommes ? Non, ça se débrouille tout seul ou presque… Toutefois l’une d’entre
elles se retrouvant dans l’ombre d’un homme, lui prie de ne pas lui marcher dessus ! Les hirondelles
annoncent le printemps… et la pluie quand elles volent bas ! Les hommes aussi font ce qu’ils sont
programmés de faire dans leur finitude : se reproduire sexuellement entre hommes et femmes,
s’alimenter et s’occuper encore et toujours à se faire des guerres de raisons : philosophique,
psychologique, physique, religieuse, territoriale, financière… par jalousie hiérarchique à avoir plus
raison qu’un autre, dans un profit de pouvoir sur les autres. Qui se soucient des Hommes ? Dieu ?
Personne ne l’a vu Celui-là ! Les Esprits ? Oui, pour certains en minorité et non, pour d’autres en
majorité ! L’humanité a donc à se débrouiller toute seule ou presque !
Prier Jésus pour plus d’amour sur cette Terre afin que Dieu intercède en sa faveur ? Oui ! Prier Dieu ?
Ca, j’en doute ! Trop inaccessible, mystérieux et compliqué pour nos petites têtes et nos grands
Esprits !
L’univers est en des dimensions relatives selon une série géométrique de facteur 1000 : la Terre et sa
lune (distance Terre / Lune : 400.000 km, diamètre régional : 1.000.000 km ou 10^6 km), le système
solaire interne (10^9 km), le système solaire entier (10^12 km), les étoiles proches (10^15 km), la
Voie lactée (10^18 km), les amas de galaxies ou cosmos (10^21 km). En admettant que la spiritualité
(comme je l’ai démontré) soit sous la même progression que l’univers, on a : la particule élémentaire
existentielle (bof !), l’atome de matière, la molécule ADN, les plantes, les animaux, les Hommes, les
Esprits, les Génies, Dieu et le Néant. Dieu est donc 1.000.000.000 c'est-à-dire un milliard de fois plus
compliqué que l’Homme ! Ce n’est pas une mince affaire ! Comme l’Homme avec sa navette
spatiale n’est pas prêt encore de se balader dans le cosmos, l’Homme n’est pas plus prêt de
rencontrer Dieu ! Un film de science fiction vers 1990 raconte l’histoire d’un engin cosmique qui
rencontre le passage lumineux en un gigantesque vortex sidéral. Le commandant de bord donne
l’ordre de foncer droit en son centre et tout le monde se retrouve… face à Dieu !
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BASE 9 : La cerise sur le gâteau, est de se retrouver en cette vie, entre copains spirituels de
toujours !
En réincarnation, la naissance d’une vie relative nous rend spirituellement amnésique de notre
histoire absolue, mémorisée en notre âme éternelle, mémoire de notre existence spirituelle multiple
par réincarnations successives passées, présentes et à venir. Dans ces vies relatives, nous nous lions
d’amitié avec certaines personnes, plus que d’autres, par affinités spirituelles. Ainsi, dans nos vies
actuelles, nous cherchons à nous retrouver les uns les autres. Une émission télévisée parle de ces
gens, surtout les hommes, qui reconnaissent leur moitié, leur femme éternelle, quitte à enlever la
mariée !
Pour ma part, j’ai reconnu des amis spirituels de toujours :
§ Dominique, un copain du collège, en roi de l’Ile de Pâques par son profil caractéristique avec son
nez en trompette, comme l’une de ses statues, au profil identique, sur une carte postale envoyée par
mon ami Yves G. !
§ Lydie, une copine d’enfance, la plus belle femme de la planète, en épouse napoléonienne, en la
personne de Joséphine de Beauharnais, me semble t’il.
§ Nicolas, en soldat de Napoléon.
Dans le jeu de la réincarnation, je suis ou j’aimerais être parmi d’autres, la réincarnation de Napoléon
puisque l’empereur a de temps en temps croisé ma route : une buse ressemblant à un aigle, s’est
posée en bas de mes escaliers lorsque j’étais gamin / Je me déguise en Napoléon pour les 508, fête
des gadz’arts / Je lis un livre sur le rapatriement des cendres de Napoléon par le bateau « la Belle
Poule », peinte en noir pour l’occasion, où les soldats, sur les bords de la Seine, pleuraient leur
empereur et j’éclate en sanglots / La statue de Napoléon au lac de Laffrey / J’ai peur sur un cheval…
vérité ou délire psychique par complexe de "minabilité" ? Dieu seul le sait car les spirites ne nous
disent pas explicitement nos réincarnations précédentes !
Quand je dors, je mets mes jambes dans la position debout des Aborigènes d’Australie, une
jambe repliée, le pied sur le côté du genou de la jambe allongée. C’est un signe ! J’ai du faire une vie
là-bas ! Voir le film « Australie » où les métis ne savent plus bien s’il faut suivre les Blancs ou aller
avec leurs ancêtres.
Avec mon amie Christine de la danse, nous nous entendons super bien et nous nous sommes
donné rendez-vous pour nous épouser dans notre prochaine réincarnation à tous les deux !
Bravo Monsieur Paco Rabane qui lui, rencontre aussi des amis de vies antérieures !
Alors profitons de la vie ! Croyons aux Esprits, à l’immortalité des âmes, à la vie spirituelle après la
mort physique, à notre destin, à nos parents choisis avant notre naissance, à nos frères et sœurs,
enfants et ami(e)s… Nous sommes tous égaux dans l’œuvre de Dieu. Alors, confiance en Dieu ! Merci
Branka ! (médium spirite).
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Un cousin éloigné, brillant ingénieur touche à tout, est la référence inconsciente de mon père. Ce
gars est un bricoleur hors-pair, il fait son jardin et élève même des poules. J’ai remarqué deux poules
qui ne se lâchent pas. « Pourquoi ces deux poules blanche et noire, sont-elles toujours ensemble ? »
interrogeais-je la femme de mon cousin. « Parce qu’elles sont nées toutes les deux dans une
couveuse électrique. Elles finiront d’ailleurs ensemble dans la même cocote minute ! » Beau et
sombre destin quand même pour ces copines de toujours ! Les animaux domestiques se réincarnent
pour retrouver leur maître en passant de chat à chien. Quand leur maître décède, des animaux se
laissent mourir. Les spirites disent que des animaux décédés sont au Ciel toujours auprès de leur
maître. Pour moi, Dieu aussi s’incarne en des animaux, tel le lion, le cerf de Chartreuse, mon petit
chien Yorkshire Zouzou…
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BASE 10 : TOUT SE SAIT.
« Les murs comme les soupières, ont des oreilles ». Les Esprits nous voient évoluer sur Terre
comme par les yeux d’un oiseau qui étrangement nous regarde fixement, et nous soufflent nos
pensées. Toutes les particules existentielles sont animées d’une énergie, d’une masse, d’une
émotion, d’une âme et d’un langage télépathique pour discuter entre elles de ce qui se passe dans
l’Univers au fur et à mesure que le temps s’écoule. A tout moment, chacune d’elles peut faire un
voyage astral avec ubiquité pour savoir ce qui se passe en tous points du monde. Qu’elle soit au
centre de la Terre, du soleil, d’un moteur de voiture, d’un corps humain, d’un jouet… une particule
existentielle sait tout ce qui se passe et ne s’ennuie jamais. Elle voyage : le petit caillou du big-bang
est avalé par une poule, qui pond un œuf mangé par un petit garçon qui grandit avec lui, puis homme
vieux, il meurt, est dévoré par les vers qui sont à nouveau mangés par les poules… « Rien ne se perd,
tout se transforme » comme dit le savant français Lavoisier vers 1780… ou presque (explosion
atomique).
Objets inanimés, avez-vous donc une âme ? Oui, un objet, un animal, un Homme, dès qu’il
est nommé, est reconnu existentiellement. Il prend une âme globale, comprenant solidairement
toutes les âmes constituantes de ses particules élémentaires. On parle à ses plantes, à ses animaux, à
sa voiture, à son bateau ou à sa machine à l’usine à qui l’on donne des coups de pied et après qui on
jure quand elle ne veut pas produire comme on veut : « Bruno, ce n’est qu’une machine ! » me dit un
étudiant intérimaire. Mon amie Marie-France parle aux animaux : « Allez les taupes, partez dans le
champ du voisin ! »… ce qu’elles firent en chœur !
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B 2 – MA PHILOSOPHIE
Le Joubertisme est une nouvelle conception philosophique de la raison existentielle de l’existence.
Pourquoi l’existence existe ? L’existence existe, car s’il n’y avait rien, ça ne serait pas marrant de ne
pas exister à vibrer de tragi-comédie !
[Pièce de théâtre dont le sujet est romanesque ou chevaleresque, avec des événements à la fois
graves et comiques, et dont le dénouement est heureux].
Voici ma version de la genèse, sous toutes réserves de compréhension mêlée
d’incompréhensions, en une solution qui me satisfait jusque là mieux que d’autres :
Au début du temps, le Néant s’est senti une fois trop seul et a fait, tel un garnement, un
caprice existentiel, d’où est née l’existence… Le Néant s’est ainsi existencié [a pris corps en une
existence propre] en ce garnement, que l’Homme a baptisé Dieu. Or ce gamin turbulent s’ennuie
encore tout seul. Il se clone alors en 1+ 3 génies, car à plusieurs, c’est beaucoup mieux ! Ces dieux
géniaux créent un Jeu pour s’occuper à passer le temps qui passe. Le Jeu consiste, à partir du bigbang, en une Création, avec évolution dans un temps inexorablement croissant, d’un univers
matérialisé par une réalité sensible, avec des Esprits, des galaxies, et sur la planète Terre, la matière
dans tous ses états : solide, liquide et gazeux, engendrant les plantes, les animaux et les Hommes, en
Esprits incarnés, où tous cohabitent tant bien que mal ensemble.
De ce Jeu émanent des vibrations émotionnelles, qui ravissent Dieu comme au cinéma, entre
beauté et cruauté, rires et larmes, jouissances et souffrances, naissances, vies et morts… Nous
sommes ses joueurs sur Terre, avec pauses en Esprits au Ciel, jusqu’à notre prochaine réincarnation.
Un Esprit est comme un acteur de cinéma disponible, qui consulte de nouveaux scénarios pour en
choisir un parmi d’autres et le signer ! « C’est son seul libre arbitre » comme disent les spirites.
Après, il n’a plus qu’à se résigner à jouer son rôle du mieux qu’il peut pour y faire passer le maximum
d’émotions afin de satisfaire ses spectateurs : sa déesse Terre, son Dieu Ciel et le Néant, contenant
des mondes visibles et invisibles ! Puis, afin de varier les rôles, il passe d’une réincarnation à une
autre : homme à femme, gentil à méchant, intelligent à con, curé à pilote de chasse, flic à voyou,
béni-oui-oui à révolutionnaire, patron à prolétaire, riche à pauvre, inconnu à star… histoire de ne pas
se cantonner à un seul genre et à un seul lieu, afin de faire le tour de la Terre de région en région, de
civilisation en civilisation… donc pas la peine ou presque de s’émigrer ! Il y a des rôles pour tout le
monde dans tout l’univers ! L’acteur comique Bourvil passe du Corniaud, en patron de scierie dans
Les Grandes Gueules. Emouvons-nous ! Mais les scénarios de chacun et le scénario de tous en la
destinée du monde, ne nous appartient pas. Il est de Dieu. Alors confiance en Lui… tout en vérifiant
en continu ce qui se passe pour corriger le tir… et tirer son épingle du Jeu à passer entre les mailles
des filets catastrophes afin de mourir vieux, en bonne santé et heureux ! « Ca serait à refaire, je ne
changerai rien à ma vie, je ferais pareil ! » dit un oncle à mon ami Gérard. « Je n’aurais jamais pu
imaginer, même en rêve, la vie heureuse que j’ai eue. » dit Eric Tabarly, juste avant s’embarquer sur
son bateau et de tomber à la mer en pleine nuit. « A tous donc de mener sa barque dans le sens du
courant de son destin, en y donnant de temps en temps quelques coups de rames ! » comme le dit
mon acupuncteur asiatique et ma petite sœur.
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Pour moi, pas de doute, mes réincarnations précédentes sont les plus importantes de
l’Histoire… Or, je ne suis pas le seul à me prendre pour la réincarnation du Christ, comme ce jeune
homme interviewé à la télévision qui clamait idem, son père étant dans tous ses états ! Ce doit être
l’apogée de nos recherches mystiques… Mais il n’y a qu’un Elu selon « Le retour du Schnikel », bande
dessinée vers 1990. Les recherches spirituelles nous mettent dans des états seconds, proches de la
divagation d’esprit en tant que ratiocineurs [personnes qui raisonnent de façon subtile ou
interminable], que beaucoup de médecins psychiatres, qui n’ont aucune notion de spiritualité,
qualifient de délires. « A la fin des temps, beaucoup de gens se réclameront du Christ » annonce une
prophétie biblique. Ce n’est pas la peine que je lise la Bible, Roberto et ma grande sœur la
connaissent par cœur ! Peut-être que de Là-Haut, nous les mystiques, avons vu le film qui se passe en
bas sur Terre, et nous nous prenons forcément, lors de notre réincarnation suivante, pour l’un de nos
idoles, ou tous à la fois ! « Tu fais un beau salmigondis ! [Ragoût de plusieurs sortes de viandes
réchauffées, mélange confus et disparate] » Me dit encore mon collègue de travail Roberto. J’me
demande d’ailleurs ce qu’il fait comme ouvrier, celui-là aussi ! Il est très intelligent quand il anime
son église évangélique. Plus fort que le pasteur !
« Dieu est-il lyonnais ? » titre un magazine catholique conformiste vers l’an 2000. « Dieu est
ouvrier ! » me lance d’un coup Tony, le fils de mon ami Dominique, au restaurant. « Oui, puisque
Dieu, Cémoi ! » lui répondis-je en retour ! Nous n’avons pas été plus loin dans la discussion.
Bref, toutes ces recherches spirituelles passionnantes de l’âge de 8 ans à l’âge de 56 ans, soit 48 ans
de travail intellectuel en plus du boulot scolaire et professionnel, m’ont pris beaucoup de temps et
d’énergie. Pas étonnant que je souffre de fatigue chronique ! Quant à être l’incarnation de Dieu sur
Terre ??? Bon et après ? « 25 ans de légion et être bleu » se demande un légionnaire romain planant
dans le combat des chefs, aventure d’Astérix. Ce soir, je me couche de bonne heure pour bien dormir
et aller en forme demain retourner gagner ma croûte prolétarienne comme ouvrier de base à l’usine,
afin de payer mes factures, comme dit mon copain Yves, et rencontrer mon ami et collègue Roberto
qui reste ouvrier à 51 ans, après 25 ans de services dans mon entreprise, sans encore être passé chef
d’équipe… comme mon père d’ailleurs ! « Les gens intelligents sont des gens dangereux » dit une
réplique dans le film « La reine de Saba » vers 1965. Roberto comme ma grande sœur, ont
grandement besoin de moi pour passer, d’enfermés en religion dans le même livre « La Bible », à
ouverts sur le monde spirituel. C’n’est pas gagné d’avance ! A moins que ce soient eux qui aient
raison : « Tu n’as rein dans la tête sinon du vide avec quelques toiles d’araignée » m’affirme
Roberto !
Ma spiritualité tient du divertissement, histoire de passer le temps, car je m’ennuie ferme quand je
ne suis pas avec mes ami(e)s et ma fille. Avec eux, ce sont des moments naturellement magiques où
je ne suis plus spirituellement tourmenté ni perturbé. Je suis vraiment à ce que je fais, pleinement
conscient ou presque ! Je suis moi, Bruno, ami ou amant et père diplômé « Super Papa », dans une
tout autre dimension : le plein bonheur !
Quand j’aurai tout mis ce que j’ai dans la tête sur mon bouquin « Que se passe-t’il dans ma
famille ? », je tournerai la page et me mettrai à … la sculpture sur pierre avec marteau et burin. Je
passerai de marteau du cerveau à marteau à la main ! Ca me changera un peu ! A moins que je
m’intéresse à la culture des orchidées !
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B 3 – LE PROCES DE DIEU
Les prémonitions, la voyance et la prédestination me font dire, selon mes raisonnements
jusqu’au-boutistes, que tout est écrit, scénarisé et joué d’avance. Nous les Etres vivants,
probablement associés aux Esprits, présentons le spectacle du monde à son seul spectateur
narcissique, Dieu, notre Créateur. Nous sommes dans un Jeu, le jeu de Dieu pour Le sortir de son
ennui et Le divertir afin de L’aider à supporter le temps qui passe.
Lexique :
La prédestination : les prémonitions, les synchronicités et la voyance bornent notre destin. Le libre
arbitre relatif sur la forme et le non-libre arbitre absolu sur le fond cohabitent chez l’homme.
Le Monde des Esprits : les morts décorporés au Ciel (film GHOST) retournent en état initial d’Esprits,
libres, égaux et fraternels… quelques fois perturbés par la complexité du Jeu de Dieu qui s’amuse à
faire son cinéma ! Ils nous envoient quelques messages via l’entente de leurs voix par certains
privilégiés comme moi : l’intuition, la petite voix qui est en moi et les injonctions divines… ou par les
médiums spirites aux dons de visions, prêt de voix, dessins et messages.
La Création est juste un peu plus belle que cruelle, ce qui nous fait tenir le coup quant à la pérennité
de la race humaine, seule visiblement douée de conscience, attribut qui généralement la tourmente
plus ou moins, des mystiques aux tueurs à gage. Que dire de Dieu sinon qu’Il est invisible et impoli de
ne pas se présenter à nous, ses créatures ? C’est comme partir d’une toile d’un peintre absent : je
peux juste deviner à la vue de son œuvre, tout au plus ses traits de caractère qui y apparaissent
certainement. Dieu et le Diable sont-il respectivement un homme, une femme ou tous les deux des
enfants turbulents ? L’évidence nous répond que, comme personne ne les a vu(e)s, on n’en sait rien
du tout ! Ceux qui parlent au nom de Dieu installé au Paradis et du Diable régnant en Enfer sont
évidemment des charlatans ! Tout au plus, certains médiums illuminés car mystiques, entendent-ils
des voix venant d’Esprits qui se font passer pour l’Un d’eux, mais absolument pas directement de
Dieu ou du Diable, car les Esprits bons et méchants ne Les connaissent pas plus que nous ! Plus
crédible est l’aventure inattendue d’un citoyen romain sur la route de Damas, qui a eu la vision du
Christ ressuscité. JC lui a laissé un message de prosélytisme [recrutement d’adeptes pour imposer ses
idées communautaires]. Il devint Saint Paul et parcouru de nombreuses régions pour annoncer la
bonne parole de l’Evangile.
Le karma, les péchés, le jugement dernier, le Paradis et l’Enfer ne sont que des tourments humains,
des divagations de croyances qu’aucune preuve tangible ne vient étayer. Certains hommes se font
peur tous seuls à écrire, lire et croire des bouquins de contes, fruits de l’imagination humaine très
fertile en vérités comme en mensonges : la Bible, les Evangiles, le Coran, le Petit Chaperon Rouge et
le Grand Méchant Loup, le Chat Botté, le Père Noël…
La réincarnation nous permet de vivre plusieurs fois des rôles différents dans le film de la Destinée
du Monde : riche, beau, en bonne santé et célèbre dans une vie au bord de la mer ; pauvre, moche,
handicapé et inconnu dans une autre vie en pleine montagne, et ainsi de suite, histoire de varier et
connaître tous les genres humains dans tous les décors terrestres.
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Hypothèses de réflexion :
S’il y a tant de « bordel prédestiné » sur Terre, c’est que ça sert à quelque chose, sinon Dieu
nous aurait dotés d’autres attributs, dons, pensées, réflexions et raisons dans la tête ! Tout le
monde se critique donc à avoir tort ou raison et qui ne dit mot, consent ! Ainsi à l’école de la vie, on
peut dire que tout le monde a sa place en classe de conscience humaine, le premier qui vibre
d’amour comme le dernier qui vibre de haine, puisque c’est une classe sans professeur… Dieu étant
absent de la Terre, c’est le chahut total en classe terrestre !
Quoiqu’on fasse, nous sommes les acteurs du cinéma de Dieu et à ce titre, nous sommes
tous égaux devant lui. Un scénariste est content ou alors, fait autant de reproches, à son héros qu’à
un tueur, quant à la manière et à l’application que tous deux doivent instiller dans leurs rôles pour
faire vibrer d’émotions l’unique spectateur du film, notre Dieu narcissique qui se mire dans son
œuvre. Le scénariste traite donc à égalité l’un et l’autre. Dieu, scénariste, réalisateur et spectateur de
son propre film, fait de même. Ainsi Jésus et Hitler sont égaux devant la satisfaction de Dieu. Comme
preuve antagonique, les kamikazes musulmans du World Trade Center, commandités par Ben Laden,
sont considérés par les leurs comme des martyrs, des héros aux yeux de Dieu, qu’ils nomment Allah.
Si tout ce qui nous passe par la tête vient de Dieu, alors nous ne sommes nullement coupables de nos
actions. L’homme doit plaider devant l’homme et devant Dieu, non coupable, puisque nous sommes
tous manipulés dans notre supraconscient par Dieu qui nous télépathe nos pensées via les Esprits.
Un acteur qui viole une femme dans un film, n’est pas civilement condamnable : c’est du cinéma !
A raisonner encore plus loin, tout est permis pour s’exprimer ! On arrive donc à l’anarchie
divine, comme les riches qui peuvent profiter des pauvres, les pédophiles qui violent les enfants, les
arnaqueurs en tout genre qui s’amusent des crédules… ainsi va la vie avec la bénédiction de Dieu qui
laisse faire. Sûrement il y trouve quelque part de l’intérêt, peut-être même bien que ça l’amuse !
Dieu est donc un anarchiste… puisqu’il ne remplit pas son rôle rêvé de bon chef intègre,
interventionniste et aimant dans une sagesse à but de paix idyllique pour le paradis terrestre, comme
le voudraient certains croyants qui prônent l’amour de leur prochain : « Aimez-vous les uns les autres
comme Dieu vous aime ! » nous fourvoie Jésus. Dans ce rôle, ce type extrêmement intelligent pour
les autres, mais tout aussi con pour lui, à se projeter psychiquement comme fils de Dieu en malade
spirituel, s’est essayé à prôner l’amour et il s’y est retrouvé crucifié ! D’évidence, Dieu a bel et bien
abandonné cet homme Jésus qui se prenait pour son fils spirituel ! Dieu roule donc pour Lui tout
seul ! Dieu et Jésus ne jouent pas dans la même cour : l’Un aime la guerre et l’autre la paix.
Où sont les autres terriens intelligents, les majors des grandes écoles ? Certains travaillent
pour l’Etat : dans l’armement, l’industrie, le bâtiment ou dans la manipulation des masses populaires
par la télévision, avec pour cela, un très bon salaire de corruption morale. D’autres, sont laminés par
des fourbes qui les contiennent à des places subalternes, comme mis en gangue par des petits chefs
peu scrupuleux. Il y a même des enfants dont l’intelligence est nivelée par le bas, à se retrouver
clonés par des parents remplis d’amour et de projections sur leur progéniture, puis plus tard, par des
épouses ou époux qui étouffent leur liberté d’expression, c'est-à-dire leur personnalité naturelle,
authentique et instinctive. A tout bien réfléchir, nous ne sommes pas en démocratie, ni en oligarchie
des riches contre les pauvres… Nous sommes en anarchie divine. Une salle de classe avec un
professeur manquant d’autorité sur ses élèves… et c’est l’anarchie !
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Dieu étant non personnellement interventionniste, la Terre est une salle de classe sans
professeur dont le sujet du cours est la conscience collective humaine. L’homme divinement doué de
conscience, souffre ainsi du sentiment abandonnique divin : Dieu l’a abandonné sur Terre, à luimême et aux autres. Les hommes en deviennent fous à s’entretuer les uns les autres comme leurs
semblables, les animaux carnivores qui s’entredévorent. Eux, c’est intrinsèquement pour manger, les
hommes c’est gratuitement pour régner. L’homme qui a soif de pouvoir sur les autres, invente la
massue, l’arc, le fusil, la bombe atomique, les missiles intercontinentaux à têtes nucléaires multiples
capables de détruire en un jour toutes les grandes villes de la planète… A l’Homme de se
débrouiller de sa solitude divine ! « Demerden Sie Sich ! ». L’homme spirituellement inconscient
jubile de son côté à n’avoir aucun état d’âme à se permettre ce qu’il veut, à acheter le corps d’une
femme prostituée ou l’intelligence d’un ingénieur corruptible à souhait. L’homme sera sage quand le
lion mangera de l’herbe ! Tantôt bons et méchants, intelligents et cons, croyants et incroyants, c’est
ainsi que Dieu nous a faits, à son image ou selon son imagination !
LE JUGEMENT DE DIEU
Vive l’anarchie divine régnant sur Terre, cœur palpitant d’émotions pour faire vivre l’univers
spirituel! Notre vibration humaine, entre jouissances et souffrances, permet de faire vivre Dieu.
Spirituellement, la Terre est le cœur battant de Dieu ! Vive Dieu ! Vivent-nous ! Vive moi ! A chacun
de défendre, bec et ongles, sa propre philosophie existentielle, de profiter de ses bonheurs et de
défier ses malheurs ! Telle est la loi de survie de l’existence.
Confiance en Dieu, ensemble, d’une manière stratégique dans la prédestination divine du
monde avec jouissance du beau, souffrance du cruel et réincarnations successives. Confiance en moi,
seul(e), d’une manière tactique dans la guerre sociale de tous les jours, avec bonheur, malheur et
survie. Un soldat envoyé à la guerre par son général dont les décisions stratégiques dans les bureaux
le dépassent en intelligence guerrière, (Les voies de Dieu sont impénétrables), ne peut compter que
sur lui tactiquement sur le terrain dans la défense de sa propre vie (A moi seul de prendre soin de
moi !). Dieu me fait vivre sur une terre guerrière où tous les coups réguliers et irréguliers sont
permis, à moi donc de me battre en ne comptant que sur moi-même ! Je n’attends rien des autres ni
de Dieu, mais tout de « moi-m’aime » ! Aide-toi et le Ciel t’aidera !
Je déclare Dieu coupable de son invisibilité impolie sur Terre, de la souffrance
prédéterminée des hommes et de leurs abandons infanticides par leur mort terrestre si souvent
terrible. Je Le condamne donc à enfin se montrer pour s’expliquer, afin de nous rendre des
comptes ! Il pourrait nous dire par exemple, qu’il s’est incarné en nous, que c’est nous, Dieu. OK, on
ne va tout de même pas scier la branche sur laquelle nous sommes assis !
Dieu ? C’est plus fort que toi ! Alors confiance minimum en Lui et maximum en moi ! On n’a
pas le choix !
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B 4 - REVELATION
Provocation, humour noir caustique, ramassis de conneries, délires ou apocalypse ? Voici la
révélation de l’ère du Verseau, mon signe astrologique : « Je suis l’incarnation de Dieu sur la Terre,
en un nouveau Christ des temps modernes, vous annonçant la fin des temps troubles pour des temps
plus spirituels. » Mauvaise blague ou vérité ? Peu importe, pourvu qu’on s’amuse ! « Pour un jeu à la
(con), c’est un jeu à la (con) ! » (Réplique d’un joueur dans une aventure d’Astérix). JC suit les
écritures prophétiques. N’ayons pas peur de nous, de la mort, de Dieu, du Néant ! Confiance en nous
plus que tout et jouons le Jeu de Dieu, quitte à tricher pour que les choses se passent dans l’ordre !
D’un point de vue psychologique, l’Homme fait un complexe d’infériorité devant Dieu, à se
mettre à genoux devant lui, à le prier 5 fois par jours, à égrener des chapelets à répétition… : Stop !
Relevons la tête et conscientisons ! Prenons conscience de la réalité : l’Homme est le fils spirituel de
Dieu. A ce titre, il ne doit pas rester un éternel enfant, mais doit grandir et devenir lui-aussi
spirituellement un dieu, l’élève égalant le maître, comme un adolescent devient à son tour adulte
entre 18 et 25 ans, si toutefois les parents ont en ce sens réussi son éducation. « Arrête de faire chier
tes parents » me dit à l’âge de 38 ans, ma tante Andrée au téléphone ! Arrêtons de faire chier Dieu
avec toutes nos prières et assumons ! Si on avait totalement confiance en Dieu, on ne le prierait
pas ! Un père demandant à longueur de vie à ses enfants une obéissance aveugle, serait des plus
cruels et des plus cons, à ne pas considérer sa fille et son fils devenus adultes, comme égaux à luimême. « La pire aberration humaine est de voir les choses et les gens comme on voudrait qu’ils
soient, et non comme ils se présentent, à les considérer comme ils sont vraiment dans leurs réalités
relatives » citation de Bossuet, écrivain français vers 1770. Alors soyons les égaux de Dieu, c'est-àdire dieux nous-mêmes ! Retour au polythéisme grec !
D’un point de vue humain, il ne faut plus avoir peur : ni de son destin puisqu’on l’a écrit nousmêmes avant de venir le vivre sur Terre, ni de la mort puisqu’elle n’est qu’un passage d’une vie
physique terrienne à la vie spirituelle dans le Monde des Esprits, ni de la souffrance puisqu’elle est
nécessaire à notre vie spirituelle future.
D’un point de vue sentimental, je suis un dieu ! « Tu es l’homme à la perfection » me dit ma
copine Annick. Un homme ne peut recevoir d’une femme, un plus beau compliment !
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B 5 - MES VALEURS ET MES MESSAGES
MES VALEURS
§ Existons ! Arrêtons d’être un autre pour les autres, soyons d’abord nous-mêmes pour nous-mêmes.
Réalisons-nous ! Faisons que nos rêves de gamins deviennent des réalités. Vivons de nos passions,
facilités et dons que nous devons découvrir par nous-mêmes en explorant le monde inconnu inné qui
est en nous. « Connais-toi toi-même, pour connaître les autres » disent les philosophes grecs. Les
diktats des éducations successives : parentales, religieuses, scolaires et professionnelles… nous
voilent, volent et spolient nos instincts individuels ! Retrouvons nos expressions naturelles et
sauvages, cassées par le système social mais renflouées par notre volonté de nous exprimez
authentiquement ! Qui suis-je ? Ayons des loisirs ! Prenons souvent des vacances ! Exprimons-nous !
Nous avons autant raison les uns que les autres ! A chacun sa philosophie ! A l’émission télévisée de
Patrick Sébastien pour le nouvel an 2009, le souhait d’Olivier de Kersauson est d’ « être toujours
dans la réalité ! »
§ Prenons attention à nos santés : physique, psychologique, financière, technologique,
environnementale, relationnelle, familiale, religieuse, existentielle... En permanence, soyons
vigilants à ce qui se passe autour de nous et en nous, protégeons-nous des dangers qui se
présentent en intervenant promptement selon notre réflexion intelligente et nos capacités !
§ Communiquons !
Les gens sont relationnellement parlant de toutes les couleurs en ouverture d’esprit : verts, jaunes,
rouges, bleus, violets, oranges, blancs, noirs… Si un type jaune parle avec un bleu, ils ne vont pas se
comprendre, quant bien même ils feraient un compromis vert, car un compromis ne satisfait
pleinement, ni l’un ni l’autre des partis. Ils peuvent à la rigueur faire rouge si ça leur convient à tous
les deux. Un magicien de la communication est blanc, car il émane de lui toutes les couleurs de l’arcen-ciel, comme mon ami Karl-Eugen. Mais les gens avec la couleur de conscience noire ne peuvent
communiquer qu’entre eux ! La couleur violette, « Deep Purple », le nom d’un groupe de rock des
années 1970, est la couleur spirituelle. Elle est celle d’un pantalon d’une jeune fille qui est devenue
ma femme, qui connait la faculté spirituelle de toutes les couleurs et fait brûler des bougies colorées
pour telle ou telle circonstance.
§ Tâchons d’être heureux. Apprenons des autres et de nous-mêmes, puis désapprenons ce que les
autres nous ont enseigné et établissons notre propre échelle de valeurs et de contre-valeurs pour
notre vie personnelle, et l’échelle de valeurs et de contre-valeurs de chaque communauté
fréquentée, pour en connaître les règles de jeu et les tricheries possibles et imaginables. Stop ou
encore, changements ou abandon ? A tout moment, nous pouvons sortir du jeu ou presque ! Suis-je
heureux ? Construisons, entretenons et assurons notre personnalité, faisons ce que nous nous
sommes donnés à faire. « Ce que je dois faire, c’est ce que je sais faire » chante Dany Brillant.
« Dans la vie, soit on fait ce qu’on aime et on est heureux ; Soit on aime ce qu’on fait et on est
malheureux. » dit Bi²p, un copain gadz’arts.
§ Ayons confiance d’abord en notre destin puis en Dieu, faisons confiance plus en nous qu’en notre
propre famille, nos amis puis les autres ! Je suis adulte quand je suis l’idole de moi-même, quand j’ai
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trouvé d’une part mes valeurs qui sont mes forces stabilisatrices pour me donner confiance en moi,
et d’autre part mes contre-valeurs déstabilisantes à dévoiler mes faiblesses et ma vulnérabilité.
§ Connaissons nos contre-valeurs et protégeons-nous de leurs réminiscences [retour d’un souvenir
oublié].
Voici les miennes :
§§ Je n’aime pas qu’on me traite de con… mais j’ai fait depuis des progrès de tolérance puisqu’il
m’arrive de me traiter de con « moi-m’aime ».
§§ Je regrette ma trop grande crédulité qui me fait gober des tas de mensonges. Mais d’éternel
enfant capricieux car fâché pour toujours envers ma mère, j’accepte pour ma fille devenue adulte, de
devenir à mon tour enfin un adulte responsable, mâture et exemplaire de sagesse quant à ma
perception relative des choses selon une grande tolérance assortie d’une certaine ouverture d’esprit.
J’ai pardonné à ma mère ses injonctions de projections psychologiques puisqu’elles se sont avérées
spirituelles, à m’obliger à mon destin. J’espère que ma mère me pardonne à mon tour comme elle
semble l’avoir fait pour communiquer encore avec moi entre nos deux mondes.
§§ Je suis moralement blessé quand on se moque de moi, physiquement, psychologiquement,
financièrement et spirituellement.
§§ Je m’en veux de m’être passionné pour mon boulot, ce qui m’a coûté mon divorce.
§§ Je suis hypnotisé par le décolleté généreux des femmes toutes divinement belles…
MES MESSAGES
Quand je fréquente une communauté : ma famille, le travail, les autres gens, une femme… il
me faut donc rapidement trouver les valeurs et les contre-valeurs des individualités qui la
constituent. Je cherche donc à m’y adapter en découvrant petit à petit ou en demandant à ses
responsables, ses règles relationnelles le plus souvent implicites. Rares sont les communautés qui
présentent ouvertement, clairement et explicitement leurs règles de jeu. J’y joue donc un rôle plus
ou moins conforme. Si mes comportements conviennent à la communauté, elle me fait une place
en son sein, dans un rôle convenu et validé. Sinon elle me rejette, en me délaissant le plus souvent
jusqu’à ce que je m’en aille de mon propre chef, rarement elle me fait part ouvertement de mon
inadaptation que j’acquiesce plus ou moins. De mon côté, si les valeurs de la communauté ne me
conviennent pas, à moi de m’arrêter à y perdre mon temps, à me forcer à des comportements
erronés ! Fort de ce discernement, j’ai alors une personnalité solide qui me défend des
communautés, lors d’agressions physiques, psychologiques et financières.
§ Faisons les choses dans l’ordre et gardons-le. Mettons en arborescence nos problèmes et
attaquons-nous seulement à nos problèmes sources indépendants, les autres se résoudront d’euxmêmes par dépendance comme un jeu de sucres ! Allons en galère dans le sens du courant de notre
destin, en y donnant de temps en temps quelques coups de rames.
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§ Jouons notre rôle du mieux que nous pouvons. Soyons vigilant, raisonnons d’abord avec
l’évidence, ayons du discernement, appliquons-nous et vérifions si ce que nous faisons est bien ce
qu’il y a à faire.
§ Aimons-nous d’abord pour aimer les autres ensuite ! Occupons-nous bien de nous à nous rendre
heureux, avant de prétendre nous occuper des autres à ce qu’ils se rendent aussi heureux.
§ Amusons-nous, la vie, c’est fait pour ça ou presque ! Les riches l’ont matériellement bien compris.
« Faut rigoler, faut s’amuser pour empêcher que le ciel nous tombe sur la tête, faut rigoler, faut
s’amuser pour empêcher le Ciel de tomber ! » chante Henri Salvador. Rions de nos bonheurs et de
nos malheurs. Vive la vie ! Le meilleur exemple que peuvent donner des parents à des enfants, est
d’être heureux ! « La vie est méchante… Chante ! Chante ! » répond l’écho.
§ Aidons nos enfants, nos frères et sœurs, nos parents, nos ami(e)s et s’il nous reste un peu de
temps et d’argent, les gens authentiques. « Aimez-vous les uns les autres comme Dieu vous
aime ! », selon les réalités de chacun, des uns et des autres, du Christ et de Dieu, et la réalité de tous
en ce qui se passe sur notre planète Terre.
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CONCLUSION
A bien y regarder, le monde est juste un peu plus beau que cruel. Ce frêle équilibre
psychologique ressemble aux paramétrages physiques et astrophysiques des forces et positions
atomiques (comportement des atomes) et cosmiques (comportement des astres, surtout en ce qui
concerne la planète Terre, ni trop près ni trop loin de son étoile, le soleil). Tout notre univers perdure
dans ce cosmos si grand qu’on le dit infini. Les Terriens se reproduisent de génération en génération
selon ce juste compromis à être sur Terre, un peu plus heureux que malheureux. Le Monde est ainsi,
vibrant entre jouissances et souffrances, comme le veut, l’entretient et le développe, notre Dieu
Créateur, psychiquement juste un peu plus bon que violent, puisqu’Il nous a fait à son image !
En faisant zoom avant pour l’observation de l’infiniment petit à y regarder de plus près, je
m’extasie sur l’intelligence subconsciente qui gère le corps humain. Elle le fait grandir en déplaçant,
installant et reprogrammant chaque atome de nourriture, en élément d’os, de cheveux ou d’ongle à
chaque fois un peu plus grands. Je peux dire que chaque atome voyage en occupant différents rôles :
poussière du big-bang regroupée en astres, puis en plantes, en animaux et en Hommes, et ainsi de
suite, éternellement ou presque, sauf lors de perte de masse durant les explosions nucléaires, qui se
transforme en énergie. Cette intelligence se transmet de parents à enfants. En médecine ou science,
les savants parlent très peu de cette intelligence intrinsèque [qui appartient à l’atome lui-même] qui
construit, anime et entretient un être vivant. En effet, il est magique que de la matière statique qui
compose un homme, engendre de la matière dynamique en des millions de spermatozoïdes qui
s’agitent à chercher, en une course effrénée et diabolique puisqu’il n’y a qu’un gagnant qui fait
mourir ses concurrents, l’ovule de la femme ! Il est incroyable qu’à partir de vieux, on fasse du neuf,
qu’à partir de parents, on fasse des enfants ! C’est fantastique ! Pourtant cette intelligence doit bien
être quelque part, matérialisée ou supportée par je ne sais quel élément existentiel !
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En faisant zoom arrière pour l’observation de l’infiniment grand à y regarder de plus loin, je
réalise que les créatures divines s’entredévorent (un requin mange une sardine) ou s’entretuent (les
hommes se font des guerres territoriales, économiques ou sociales). Le monde est un jeu burlesque
[d’un comique extravaguant, ridicule et absurde] qui ressemble à celui d’un enfant qui joue
méchamment avec ses soldats de plomb qu’il arrive à casser, et que son gentil papa refond sans
cesse dans sa fonderie de plomb. Pourquoi Dieu [définit comme notre Créateur tout puissant] a
conçu il y a longtemps, fabriqué il y a quelques temps et entretient maintenant une Création juste un
peu plus belle que cruelle, avec sur Terre des êtres vivants justes un peu plus bons que méchants,
histoire de pérenniser la race humaine, sur une planète perdue ou presque, dans l’immensité du
cosmos ? Cela serait bien s’Il venait nous l’expliquer… Il nous guérirait ainsi de notre malaise
psychique face à l’abandonnique divine. Il aurait pu nous mettre tous herbivores, gentils, jamais
malades, toujours heureux et immortels… Non, il nous a conçu une conscience qui de temps en
temps dérape à avoir plus raison ou tort que d’autres, histoire de nous chamailler entre nous. Il nous
a inventé des handicaps, des virus, le sida, le cancer, le ver solitaire… histoire de nous rendre encore
plus malades. Bizarre ce Dieu ! Enfin, on n’a pas le choix. « Courage jusqu’au bout » comme dit mon
père.
Retour à zoom zéro. Pour ma part, je prends pour vrai, d’une part l’intuition, les
prémonitions, la voyance juste de rares voyants et d’autre part le spiritisme [communication avec les
défunts], et j’en déduis que :
§ Tout est écrit, le monde suit un scénario comme dans un film, je n’ai aucun libre arbitre sauf celui
de bien jouer mon rôle comme un acteur qui s’efforce d’exprimer au mieux ses sentiments dans des
jeux de scène et des textes imposés respectivement par le metteur en scène et le dialoguiste… Tout
ceci pour faire vibrer les spectateurs du Monde, nous, les Esprits, les Génies et Dieu.
§ Il existe des mondes parallèles : d’une part celui des Esprits qui nous aident ou nous jouent des
tours en cette vie et qui nous sont invisibles sauf pour les médiums spirites, et d’autre part celui des
Génies et de Dieu, inaccessibles ou presque des terriens et des Esprits.
Somme toute, tout est simple en apparence et compliqué en détails, comme le corps humain. Il est
donc bien de se poser des questions… mais surtout il ne faut pas s’en rendre malade. Donc confiance
en moi, en nous, aux Esprits, aux Génies et en Dieu selon sa Création ! Car telle est notre raison
existentielle, celle d’exister pour la destinée de l’univers.
Qui est Dieu ? Dieu est le Créateur de l’univers visible et invisible, des mondes parallèles des
Hommes, des Esprits et des Génies avec lesquelles Il travaille à la pérennité de l’existence et du
temps. Dieu pourrait ressembler à un humain, car Il est pourvu d’une intelligence remarquable, d’un
psychisme qui le fait vibrer entre bonté et cruauté, et d’un corps avec des mains pour dessiner,
bricoler et peaufiner ses trouvailles. Dieu est tellement intelligent, qu’Il en est con à mettre du
malheur dans du bonheur. Tout pourrait être si simple dans un Paradis terrestre. Non, c’est l’Enfer
sur Terre où l’on doit aller travailler à l’usine pour survivre. « L’enfer, c’est les autres » dit le
philosophe français du XXème siècle Jean-Paul Sartre.
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Dieu me semble t’il est un peu cinglé, psychologiquement perturbé dans sa propre réussite
puisque les mondes existent et perdurent bel et bien. Tous ceux qui se réclament de Lui, tel son fils
spirituel Jésus Christ, sont également perturbés pour remettre toute leur foi en un Dieu qu’on ne
connait pas bien et qui ne s’est jamais montré à nous, toujours absent. Ce n’est peut-être pas à Dieu
d’aider les hommes, mais peut-être bien aux Hommes d’aider Dieu.
Je me plains de Dieu 1000 fois pondérées un pour mes malheurs venant perturber mon
bonheur de vivre quand même sur Terre, et je Lui rends grâce 1 fois pondérée 1000 pour ma fille que
j’aime éperdument [pour laquelle j’éprouve très vivement un sentiment d’amour paternel]. Tout est
équilibre. Que dire à mon père, même spirituel, lorsqu’il est juste un peu plus gentil (51 %) que
méchant (49 %) ? « Père, tape-moi moins dessus ! Change, échange, mets-toi à ma place. Regarde
comme je m’en vois en cette vie qui est quelques fois difficile pour moi. Sois plus tolérant, moins
compliqué, ne me rend pas malade. Laisse-moi pleinement profiter de ma vie ! ».
Mon collègue de travail Roberto m’emmène à la fête de sa communauté évangélique. Là
aussi cohabitent des sentiments opposés d’amour quand ça va et de haine quand ça ne va pas. Dans
un premier temps, nous chantons l’amour de Dieu en musique avec un bon orchestre. Tous les
fidèles sont transcendés par l’amour de Dieu. Dans un second temps, nous prions tous à haute voix
d’une manière personnelle. J’entends ma voisine pleurer. Je tends l’oreille. Elle prie pour un
problème dans sa famille qui la perturbe jusqu’aux pleurs ! Dieu est Amour ? Pas si évident. Je me
rends bien compte que certaines gens ont de la haine qu’ils évacuent lors de leurs prières
personnelles. J’en parle à Roberto… qui me contredit : « Non, cette femme ne pleurait pas, elle
priait ! » Je n’ai pas rêvé. Ma haute considération pour mon collègue Roberto s’écroule. Je lui
découvre un esprit de contradiction systématique dès que je ne suis plus d’accord avec lui. Il est si
tolérant qu’il en est intolérant. C’est le lot des excessifs. Encore du yin et du yang, tout et son
contraire cohabitent en un même personne, un même Dieu. C’est étrange !
<>
Le Joubertisme est ma version philosophique de la spiritualité, pour beaucoup originale.
Qui a raison ou tort ? Tout le monde à la fois car nous n’aurons la solution que quand Dieu en
personne se présentera à nous ! Qui peut-IL être ? Un balayeur noir comme dans le film avec Jim
Carey ? Un Bruno Joubert ? Peu importe… Si ça se trouve, il est chacun de nous. Le tout étant pour
nous une question d’avancement et d’entendement spirituel. L’arbre cache la forêt. Nous cherchons
Dieu au Paradis et en Enfer alors qu’Il est probablement en chaque particule élémentaire
existentielle de sa Création puisqu’Il s’y est incarné lors du big-bang. Alors paix en notre âme.
Confiance en Dieu, en sa Création aussi belle que cruelle et en son bazar qui règne sur Terre !
“Nur der Kleingeist hält Ordnung ; das Genie überblickt das Chaos!” humour allemand. ”Seul le
simple d’esprit tient les choses en ordre; le génie, lui, supervise le chaos! ”
Nous sommes tous des déesses et des dieux venant de Dieu et revenant à Lui ! Courage ! Telle est ma
vérité apocalyptique, révélatrice de mes investigations spirituelle du moment !
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<>
Le bien-être est dans la simplicité. Appliquons-nous à rendre simples les choses
compliquées, et à ne pas compliquer les choses simples.
Merci de votre lecture.
<><><>
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ESSAI PHILOSOPHIQUE SPIRITUALISTE :

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