L`Acné: pour Avoir une Peau Superbe et Plus... - Femme

Femme-Médecine
L'Acné: pour Avoir une Peau Superbe et Plus...
Soumis par MaRa
21-06-2007
( 1er février 2011: le Roaccutane -> à Eviter Absolument ! )
-°-
Histoire de Florence (pseudonyme choisi par elle au dernier moment). Je l'ai contactée pour recueillir son témoignage parce qu’une relation commune m’a dit qu’elle s'était débarrassée de son acné par les méthodes naturelles. Nous nous
sommes rencontrées le 14 Juillet 2004. Son récit ne concerne pas uniquement l'acné - bien que ce dernier fut l'un des
moteurs qui l'ait poussée à se prendre en mains. Elle décrit cependant, tout comme Antony, les conditions de base pour
avoir une peau superbe, qui est le reflet de la vitalité de l'organisme. Voici ce qu’elle m’a raconté autour d’un repas indien
en plein air. Elle avait alors 25 ans...
Témoignage de Florence
“J’ai pris conscience que je devais mieux m’occuper de moi vers 16 ou 17 ans. Je voulais perdre du poids. Ma mère
connaissait la macrobiotique, et utilisait l’homéopathie et l’orthobionomie pour nous soigner. Nous n’avons pas été
vaccinés - sauf contre le tétanos.
“J’ai commencé par faire un régime dissocié (pas de protéines avec les féculents, les fruits à part, etc.). Puis j’ai
progressivement cessé de manger de la viande et du poisson, parce que je n’en aimais plus la consistance. J’avais vu un
reportage sur les élevages de poulets en batterie - pas nourris normalement, piqués, gavés, coincés dans des cages...
l’horreur.
“Chez nous, nous mangions toujours de la nourriture saine (biologique) - et du tofu pour remplacer la viande. Puis, j’ai
cessé tous les produits laitiers (ma mère nous faisait arrêter les produits laitiers quand nous avions un rhume) - et
j’avais lu des choses graves sur le lait. Ensuite, j’ai cessé complètement de consommer du sucre blanc. Je l’ai remplacé
par du sucre complet, du sirop de riz et de blé, et du miel.
“J’ai aussi arrêté le chocolat et les aliments à base de farine blanche (régime strict pendant un an). Je ne mangeais que
des aliments sains et complets et j’ai cessé de grignoter entre les repas.
“Les conséquences?
- j’ai perdu beaucoup de poids: 7 kg environ,
- j’avais une peau superbe,
- les douleurs menstruelles ont disparues (avant, c’était tellement raide que je devais rester une journée au lit et
prendre des anti-douleurs très forts).
“C’est là où je me suis rendue compte à quel point la nourriture que je choisissais était importante. Je faisais aussi
beaucoup de sport: une demi-heure de jogging par jour - et je me déplacais partout en vélo.
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“A l’âge de 18 ans, je suis partie en Inde pendant six mois. J’ai mangé la nourriture locale - c’est facile là-bas pour les
végétariens. Après l’Inde, ce fut l’Australie. Je maintenais dans ma tête les principes de bases de cette année où je
mangeais hyper-sain (pas de viande ni de poisson).
“Juste avant de partir pour ce voyage autour du monde (qui allait durer un an), je travaillais à l’aéroport et il m’était plus
difficile de manger comme je voulais. A cela s’ajoutaient le stress du départ et la fatigue de ce travail. Je commençais
toujours très tôt le matin, je faisais 40 minutes de vélo pour me rendre à l’aéroport et je travaillais 9 heures par jour.
D’ailleurs, je me rends compte maintenant que chaque fois que je suis trop fatiguée, je mange n’importe quoi parce que
je n’ai plus de résistance...
“Ensuite, je suis rentrée de voyage et, six mois après, j’ai commencé à travailler et à vivre seule. En m’insérant totalement
dans ce qu’on appelle “la vie active”, il m’est devenu beaucoup plus difficile de maintenir une façon idéale de me nourrir.
Gros chamboulements dans ma tête: je me suis rendue compte que j’avais été trop “extrême” - du style: je me
culpabilisais si je mangeais une glace! - et aussi que cette volonté de contrôler ma nourriture de façon aussi dure
correspondait à un manque d’amour pour moi-même.
“Aujourd’hui, avec le recul, j’ai compris que l’amour de soi joue un grand rôle dans notre équilibre physique et psychique. Il
est certain que je préfère manger de la nourriture saine et végétalienne, mais je ne me culpabilise plus le jour où j’ai
envie d’un mille-feuille ou d’une glace. Mon mode de vie actuel (étudiant, travaillant et vivant seule) font qu’il m’est difficile
de vivre comme je le souhaite...”
*
(Je savais que Florence avait aussi utilisé AMAROLI, qui est le terme sanscrit pour l’Urinothérapie. Cette méthode de
soins figure en bonne place dans les Védas - Ecritures sacrées de l’Inde datant de 5.000 ans. Elle est gratuite, guérit
bon nombre de problèmes et compte aujourd'hui plusieurs millions d'utilisateurs. Je lui ai donc posé la question).
“Je connais Amaroli* depuis la petite enfance parce que ma mère l’utilisait déjà pour soigner les coupures, les cloques,
les brûlures... Plus tard, à l’adolescence, quand j’ai eu de l’acné, je l’ai utilisée sur mes boutons. Et un beau jour, entre 17
et 18 ans (pendant la période où j’ai changé ma façon de me nourrir), j’ai commencé à boire mon urine.
“L’urinothérapie associée à la bonne nourriture ont vraiment amélioré l’état de ma peau et ma vitalité en général...”
Florence (Genève)
* Tapez Amaroli ou Urinothérapie dans un moteur de recherches. Des milliers d’articles et plusieurs livres lui sont
consacrés. Il existe depuis quelques années des congrès sur l'Urinothérapie où les chercheurs partagent leurs
expériences.
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