Críticas Francesas de “El corazón a contraluz” (“Cavalier

Patricio Manns
Críticas Francesas de “El corazón a contraluz” (“Cavalier seul”)
Patricio MANNS - Cavalier seul - Roman - (Phébus)
En Librairie: 31 Janvier
1996 - Deuxième édition: juillet 1996.
Livre de poche, juin 1999.
Sélection critique pays
francophones:
Quel personnage! Et quel livre!
Cavalier seul (Le coeur à contre-jour) est en effet un grand livre. Ou
plutôt, davantage qu'un grand livre, Cavalier seul est un livre fou,
comme on parle d'un vent fou du coté du Cap Horn. Un livre bancal, chaotique et
formidablement inspiré, qui va et qui vient entre la chronique et le lyrisme,
la raison et la folie. Frédéric Vitoux - LE NOUVEL
OBSERVATEUR - 7/23 mars 96
Aux détails strictement exacts d'une biographie
féroce, Patricio Manns mêle des éléments romanesques, dont le superbe
personnage de Drimys Winteri, jeune Indienne à l'inoubliable chevelure blanche.
Nourrie d'exils, de rêve et d'histoire, sa littérature est aussi généreuse
qu'inclassable. Alexie Lorca "LIRE" - avril 96
Patricio Manns a déjà publié une dizaine de
livres. Avec cet éblouissant Cavalier seul, le premier de ses
romans traduits au français, dont le titre original est Le coeur à contre-jour,
il accède au premier circule des écrivains latino-américains. Luisa Ballin - LE NOUVEAU
QUOTIDIEN - (Suisse) - 2 mai 96
Cavalier seul
chevauche d'emblée dans le fantastique et de bout en bout c'est Julio Popper
qui avance, couvert de crimes, d'orgueil, d'un sourd remords, déchiré entre la
compassion et le meurtre, le goût des lettres et la soif de l'or. Texte
étonnant qui nous transporte aux antipodes de nos "anciens parapets". Eric Deschodt - VALEURS
ACTUELLES - 6 / 12 avril 96
On reste pantois devant tant de talent romanesque
et on comprend mieux, lecture faite, ce qu'en dit Francisco Coloane de Patricio
Manns : un Stevenson à qui Borges, Faulkner et Freud auraient prêté leurs rêves
et leurs obsessions. AMOUR DES LIVRES - Paris avril 96
Au centre de ce récit superbe, souvent brutal, se
pose la question du pourquoi de ces amours balayées de vents marins. Mais bien
sûr, il n'y a pas de réponse. F.R. - BIBLIOTHEQUE POUR
TOUS - avril 96
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Patricio Manns
Patricio Manns, l'écrivain de la semaine. Roman,
livre d'histoire, de géographie, d’ethnologie, Cavalier seul est tout
cela à la fois : un beaux livre, très physique, emporté pour un souffle
incontestable, celui que balaie sans trêve la steppe fuégienne. Michel Ehrsam - SUD OUEST
DIMANCHE -31 MARS 96
Julio Popper...Sous la plume ardente de Francisco
Coloane dans "Tierra del Fuego", ce cavalier solitaire traversait
déjà, le temps d'une nouvelle, les territoires désertiques du Páramo. Cette
fois, le voici devenu un personnage à part entière sous la plume de Patricio
Manns, dont le talent se révèle capable de ciseler de purs joyaux. Roland Brival
-"ELLE" - 29 avril 96
Patricio Manns, avec cette fresque échevelée, nous
donne un livre brut taillé à la hache, empreint d'une poésie opaque toujours
inquiétant. Jean-Luc Coatelem - LE
FIGARO MAGAZINE - 16 mars 96
Un western épique qui mêle fiction et réalité. Éblouissant
! Alexis Liebaert l'EVENEMENT DU JEUDI - 7/13 mars 96
Dans Cavalier seul, Patricio Manns nous
fait le portrait de cette passion unique, troublante et magique entre deux
êtres indépendants, farouches et rebelles au milieu de la barbarie humaine que
représente la colonisation brutale de terres primitives et sauvages. En plus
d'un tableau historique précis et authentique, Patricio Manns nous entraîne
surtout dans un extraordinaire fleuve poétique, au style enchanteur,
remarquable d’empathie fantastique et universelle. Michel Sender - ESPACES
LATINO AMERICAINES - mars 96
Grâce à Francisco Coloane, l'aède chilien de la Terre de Feu, nous (re)
discourrons un autre grand poète des étendues sauvages du bout du monde:
Patricio Manns, à travers son roman Cavalier seul. Daniel Walther - LES
DERNIèRES NOUVELLES DE ALSACE - 7 mars 96
Ce roman où soufflent les tempêtes est d'une
grandeur épique et brutale. NOTES BIBLIOGRAPHIQUES
FICHES RAPIDES - 4 mars 96
Courage et fragilité, espérance et folie se mêlent
à l'infini dans un lieu où la frontière entre rêve et réel n'est plus
qu'illusion. Marie-Louise Bernasconi - LA REFORME - 30 mars 96
Patricio Manns, vous êtes aussi un conteur hors
pair. En fait, seul les superlatifs conviennent à votre cas parce que le moins
qu'ont peut dire après lecture de Cavalier seul c'est que vous êtes un
cas. Et le pire, Patricio Manns, c'est que ça n'est même pas exagéré. Vous êtes
le romancier le plus fou que nous n'avons rencontré jamais.
Caroline Lachowsky et Jean
Maurice de Montrémy
LA GRANDE AFFICHE - RADIO FRANCE INTERNATIONAL - 29
février 96
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Patricio Manns
Dans Cavalier seul, le romancier Patricio
Manns donne à ses personnages une dimension humaine presque mystérieuse à cause
du labyrinthe de leurs contradictions, d'une psychologie complexe et torturée,
de ses esprits désoles comme le paysage de l’extrême sud de l’Amérique du Sud
où s'écoule la part essentiel de ce livre. Carlos Zamora - AGENCE FRANCE PRESS - 12 février 96
Mais si grande qu'il soit Julio Popper, le
héros de Cavalier seul, de Patricio Manns, la "Magnolia Sauvage de la Terre du Feu", Drymis
Winteri, c'est une création plus magistrale encore : elle s'enfonce dans la
mémoire du lecteur comme une flèche araucana, ou peut-être un poignard
d'obsidienne qui nous ouvre les entrailles pour mieux nous arracher le coeur. Robert Pring-Mill - OXFORD UNIVERSITY De l’Académie Britannique de la Langue. Spécialiste en Littérature
Hispano-américaine. 26 Février 96
Julio Popper, le personnage du Cavalier
seul, concentre une grande partie des idées et des illusions de son
époque: éclairé et polyglotte, d'une solide formation scientifique avec un
penchant pour les idées racistes, franc-maçon et Juif renégat, il quitte sa
Roumanie natale pour s’établir en Terre de Feu. Or, dans sa rage
exterminatrice, Popper fera la connaissance de Drymis Winteri, une jeune
Selk’nam, qui va tenter, infructueusement, de lui faire découvrir le
merveilleux univers des Onas. Un roman plein de réalisme, fantaisie et
sensualité. M.I.Aguirre - M. DE L'AMERIQUE LATINE - Bruxelles - mars 96
Décidément la Terre de Feu, avec son
exotisme froid d’extrême sud, taire éditeurs, traducteurs et lecteurs que ne le
regrettent pas. Après Coloane, Patricio Manns décrit cette contrée violente.
Roman brûlant et sanglant, fougueux et fantastique, on se laisse emporter sur
le cheval au galop du héros partageant son attirance pour la jeune Indienne,
ses interrogations et ses doutes sur les
mirages qu'elle suscite et dissipe. Pierre Sempé - ETUDES - avril 96
Cavalier seul chavire nos pauvres têtes d'Occidentaux, hante nos nuits insipides. Lire Patricio
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Patricio Manns
Manns, c'est s'exposer aux délires les plus extravagants. C'est revivre une fin
de siècle avide de pouvoir, vorace de richesse, dévoreuse d'hommes. Ici, sur ces
étendues inhumaines du Grand Sud chilien-argentin, la mort est souveraine. Elle
les prend tous, qu'ils soient chercheurs d'or, violeurs de femmes,
intellectuels névrosés, colons d'Italie ou d'ailleurs, coupeurs d'oreilles
d'Indiens, et autres vadrouilleurs du grand chemin. Martine Laval - "TÉLÉRAMA" - 22 mai 1996
L'écriture de Manns coupe le souffle. Du
début à la fin, Cavalier seul est un de ces livres d’Amérique du Sud qu'on
aimerait ne jamais voir finir. Est un grand livre. Il prend tout naturellement
sa place à coté de ceux de Alejo Carpentier, Jorge Luis Borges, Gabriel García
Márquez o Juan Rulfo. Jean Portante - "TAGEBLATT" - (Luxembourg) 16 mars 1996
En Terre de Feu, tout est possible et, à
travers Julio Popper, géographe, explorateur, écrivain, chercher d'or et grand
exterminateur d'indiens, l'auteur nous livre l'incroyable et magnifique épopée
de ce bout du bout du monde. "ÇA M'INTERESSE" - juin 1996
Cavalier seul n’est pas un livre d'aventures, mais une
tentative d’introspection dans le coeur d'un homme dont il est impossible de
dire si c'est un loser ou un salaud, un massacreur d'indiens Selk’nam ou un
bienfaiteur de l'humanité. Sans doute tout cela à la fois: un personnage de
roman, une légende vivante de la
Terre de Feu. Jacobo Machover - "LIBéERATION" - 6 juin 1996
Montez en croupe de ce Cavalier
seul y laissez-vous entraîner vers la ligne d'horizon au hasard de
rencontres, de tatouages musculeux, de rasades de gratta, de nuits passées aux
pieds de rochers rongés par la lune ou léchés par la neige. Inoubliable! Tsomin Laxalt-"LA
SEMAINE DU PAYS BASQUE" 31/mai-6 juin 96
Voila donc un livre exceptionnel, où la
violence des péripéties le dispute à la sensualité des visions et à la magie
d'une écriture foisonnante et raffinée. J.B.B. - l'ILLUSTRé - Genève 20 mars 1996
L'affrontement (de Julio Popper et Drymis
Winteri dans Cavalier seul), donne lieu a des pages époustouflantes où
l'auteur parle de l'hémisphère nord et de l'hémisphère sud comme peu d'écrivain
avant lui: un roman magistral! Maxime Romain - LA
MARSELLAISE - 25.6.96.
Son Cavalier seul devrait enthousiasmer
les lecteurs: le personnage extravagant et tourmenté de Julio Popper a une
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Patricio Manns
stature telle que peu d'écrivain avaient osé en définir les contours. Seul la Patagonie, dernier pays
d'aventure, peut abriter un héros démesuré, séduisant et répugnant, érudit et
grossier, poète et coupeur d'oreilles! Anne Grasset - "LIBRIS" - 2éme. Trimestre - 1996
A lire: Cavalier seul, de
Patricio Manns. "On dirait une histoire imaginée par Stevenson, mais à
laquelle Borges, Faulkner et Freud auraient prêté leurs rêves e leurs
obsessions". (Francisco Coloane). MUSEART - Nº 62 - Juillet août 1996
Déjà auteur d'une oeuvre considérable,
l'exilé chilien Patricio Manns a publié un extraordinaire roman, véritable
rencontre avec Stevenson, Borges, Faulkner et Freud! Henri-Charles Dahlem - COOPERATION - 2 oct. 96
Une écriture vive, nerveuse et maîtrisée
dans l'action comme dans la description, des images qui font mouche, un suspens
permanent: il y a du Jack London, Jean Raspail y Cendrars chez Patricio
Manns...peut-être même du Freud. Patrice Boissy - AVENTURE AU XX SIECLE - Été 96
L'Agence Rhône-Alpes pour le Livre et la Documentation a
décerné pour la 9e. fois le Grand Prix Rhône-Alpes du Livre le 12 décembre
1996. En "Catégorie Littérature", parmi 200 livres examinés, le Jury
a retenu: Qui va-la?, de John Berger, Éditions de l'Olivier, Cavalier
seul, de Patricio Manns, Éditions Phébus, et La vie courante
, de Pierre Pejú, Éditions Maurice Nadeau.
Ce vrai roman, au ton parfois surréaliste,
toujours palpitant, toujours coloré, est à lire absolument. Il ouvre une porte
dorée vers la littérature latino-américaine.
Norbert Illi - l'Ardennais Dimanche - 4/8/96
Avec une langue superbe, foisonnant
d'images autant que rigoureuse, le Chilien Patricio Manns conte, dans son roman
Cavalier
seul, l'agonie, passée inaperçue, de la civilisation fuégienne. Antoine de Caunes - MARIE FRANCE - 19/7/96
Les amateurs de sauvagerie australe et de
prodiges amazoniens ont l'embarras du choix: périls, chamanisme, vagabondage
pathétique ou comique avec Coloane, Manns y Sepúlveda. Le Dernier mousse,
Coloane (Phébus), Cavalier seul), Manns (Phébus) et Le Neveu d’Amérique,
Sepúlveda (Métaillie). Jean-Charles Gatteau - JOURNAL DE GENEVE - 24/25/8/96
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