Éléments de corrigé Brevet blanc de Français 1.a. A quelle
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Éléments de corrigé Brevet blanc de Français 1.a. A quelle
Éléments de corrigé Brevet blanc de Français 1.a. A quelle personne le narrateur parle-t-il de lui ? Citez le texte. (0,5 point) Le narrateur parle de lui à la 3ème personne du singulier « L’enfant », « il ». b. Cette manière est-elle habituelle ? Justifiez votre réponse. (1 point) Cette manière de raconter n’est pas habituelle car le récit autobiographique se fait habituellement à la première personne du singulier. 9: R v z d ux p rt c p p é qu c r ctér t ’ xpr o d ’ f t (0,5po t) ébloui et intimidé b. Expliquez chacun de ces deux termes en vous référant précisément aux passages concernés. (2 points) ébloui par les bottes brillantes intimidé par les grandes bottes, le long manteau 3. « Il le dépos pr t t, p rt r d é , ur t, v r ’écur » ( 20) a. « Prestement » : donnez la classe grammaticale et le sens de ce mot. (1 point) prestement est un adverbe Pour qu r o ’off c r ch -t- d’ tt tud ? Exp qu z en vous appuyant sur les termes employés. (2 points) L’officier change d’attitude car il se rend compte que l’enfant s’est aperçu qu’il est son ennemi et l’enfant le lui manifeste en pleurant et en hurlant. 27 : a. Quelles sont l ré ct o ucc v d ’ tour d ’ f t ? (1 po t) La famille est d’abord dans l’affolement de ce qui vient de se passer « en alerte », puis choquée/ indignée par l’attitude de l’officier « il a cru qu’il pouvait prendre le petit dans ses bras », puis compatissante car elle prend l’enfant « le dorlote, l’embrasse, le passe de bras en bras ». «O dor ot , o ’ r ,o p d r r »( ) Quelle est la valeur du pronom « on » ? (1 point) Le pronom « on » représente la famille 5. « Est-c qu qu qu’u t v u pr dr tout ot d r ?I saura jamais. » (lignes 21-22). Qui intervient dans cette phrase ? Quel indice le prouve ? (1 point) L’auteur-narrateur adulte intervient en posant cette question et en fournissant cette réponse. L’ensemble de la famille n’a sans doute pas survécu à la guerre et ne pourra donc jamais renseigner l’enfant devenu adulte. 6 Mo tr z ’oppo t o tr ’ f t t f d d r r p r r ph ( points) L’opposition se lit dans le dernier paragraphe. L’enfant « sent » que personne n’a compris ce qu’il avait vécu. Il s’est senti « forcé » d’exprimer ce que sa famille attendait de lui, mais qu’il ne ressentait pas, qu’il ne « voulait pas » : la haine. Pourquo , o vou , c t ép od t- r té r vé d répo ’ ppu r ur ’ du t xt t ur vo répo Cet épisode est resté gravé dans la mémoire de l’auteur car : -mélange d’éblouissement et d’intimidation -impression d’avoir « pactisé » avec l’ennemi -obligation de « mimer » la haine contrairement à ses ressentis é o r d ’ ut ur? Votre précéd t (3 points) Réécriture « J’ t d que c’ét t la langue de l'ennemi. J’ét dans les bras de l'ennemi, je riais avec lui. Une peur terrible me saisit, je pleurai, je me mis a hurler. » Dictée e n’aurais jamais su ce qu’a ete vraiment l’incendie de Louvain si un jour grand-mère et maman n’étaient venues s’asseoir dans la véranda de é o t, pour tricoter comme elles le faisaient toujours en ce temps-la. lles ne se sont pas aperçues que sous la table, couverte d’un chale indien qui tombait jusqu’a terre, nous étions, Olivier et moi, occupes a jouer aux cartes. « Je ne comprends pas, dit maman apres un certain temps, pourquoi mon second a tellement change de caractere. Quand il était petit, il riait sans cesse et maintenant, je vois qu’il n’est pas heureux, il boude souvent. Il n’y a qu’Olivier en qui il a confiance ». Henry Bauchau, L'enfant rieur.