PARIS - Trencadis, Fons locals digitalitzats
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PARIS - Trencadis, Fons locals digitalitzats
Année. N" «77 i " JUJN 1908 Filtre Mallié Supérieur à ACADÉMIE DES 1" LES tous lea Filtres SCIENCES : PRIX MONTYON B A V A N T S LKS PT.l'S A l : r O l U S É S O I S T RECONMIT Q U E l'nATIQTE L A F I L L T A T I O N i i l ' A l T J,Ii S l i L L M O Y E N stmEii TEUn L ' I N > ; O C I I [ T É D E L ' E A U , LIÎ F C I . T B S MALLIÉ, C O M M L L ' I [ Q U E NT L E S RAITORTS D I S S O L H , l ' H É B I i N T l i L'A G A l ' . A N T I K Rapport U'AS" TASTEURISAC L I . A PLUS COMPLKTL, d e M. le D' MIQUEL ï Pendant dsuT períodes de Î2 Jcurs canA^catif^ sans ueitiM/ùgft aucun, t'saa était aussi stênJisëe Je dernier JOVT îe premier Jmtr & r<jlde d'ua filtre M a i l l é - ^ ituc R a p p o r t d e M. l e DE TIRABOSCHI L'IHSTITÜT D'HÏGIÊNE DE GÊNE3. " T.es bacillfts dn ttfphns. dtt la dysenteries et tes Vibrions dti cnùlëfa dans íes conditions ordinaires de rtlcraiian Jie SOTJÎ jojnajs jiassês ii tràilers Je fiUre M a l l l i , tes expériences ont dura un. mois.^ Rapport d e MM. S i m s Vood= h e a d et C a r t w r i g h t W o o d B ' H E N R Y ArJlÈS L'EHQCETIÍ OrFIOIEl·Lfi QI^'lLB EIItRH]; EH Ab-QLHi B l t Î l H fiDa TOUS l.r.Ë S i L ï n l Î S ËJ.VAÏI!-, 3 PRTMEKT AIl·-3T A U STJJBI FTLTRTÎ MALTJfi 1 ODÏTHUS, ces EX- « filtre canstitae contre fa tronsmi^îon desmatadies fiar Veau, ío sorantîe îa pius parfatie qu'il sail paSsthie d'ahtBnir pfT taas Í Í J St/sièmíS de iu J C I E N C E connus fusqu'à ce Jour. - Le dispcsitif mécanlqufí de CB filtre Bht ésaiemeni: ioat ce qui peut ûtrtt dÉsiré comme p^rfsctian. ^ KIALLIÊ ñitre ?25immm FIL.TLLL! I M M ^ ^ A C C 155, Faubourg Poissonnière, PARIS A I^IE L'Lis LU:^ T É L É P H O N E : 164-37 ••- " := SJI,S3 I'IIL:!Í:>ÍI>.-Í Créateur de la natte à deux pointes et de la. torsade uoue, succis de cette dernière saison, noiis réservait pour l'été 1 9 0 8 cette iner\'cinexise surprise qu'est la coifíure grecque dont le double avantage est d'être seyante et très, irès légère, Ai:nables lectrices, nous vous annonçons une nouvelle qui vous fei-a plaisir. A l'Exposition Iníarnaíionalô ds Prodmts alimentaires et d'Hygiène, ' B ' " H E N R Y , votre coiffeur attitré, a remporté le PRIX D'HONNEUR POUE SON " Séchoir Universel " et pour son' appareil à coiffer le p o s t l c i e . Nous les reproduisons ici afin que vous jugiez de l'ingéniositi de ces deux inventions de la plus haute utilité. 6£ M"-' "b £ S B R U È R E S MESDAMES, Avant le Grand PriXj avmti ie vous disperser dans vos châteaux, sur des 'plages ou dans la moniagne, n'ovibUez fas de vous munir du posiithe qm vous fera belles durant toute la saison du plein air, saison, 'pendant laquelle le grand mnt, l'himiiitê de la mer et la ¿ranspintíon aplatissent towte coijjure et vous dotynmi V aspect que l'on aurait au sortir do l'eau. Avec Us postiches B " H E N R Y , rien à craindre, les ahemax en fristirss mkwoiles ne se défrisant jamais. A la fitt de la journée, grâce m concours de quelques légères épingles, toul est m place et vous pouvez affrunisr les rigumrs de la table d'hôte. Jt vous conseille tout pariiculiirentent me visite dans les élégant^ salons du 6 0 , R u e d o T u r h î g o . Vous serea émerveiUêes dss sitpmii^ el nouvdUs coiffures que l'on y voit. '0^ UNIVERSEL •= B"HENR% Aveclampeàalcool 7 0 ^ La.mpeàga2 . . . 7 5fif^' é. . A l'électricité. Sur demande Envoi franco de l'Album illustré ^ ISOfJ g 'u ¡3 'a he Corset T>ORISE" E CORSET " DORISE " qui coth /' vient à toules les tailles et aux Datnes convine oM» jaunes Fuies, constitue LE CORSET D'ETE par excellence, la gaine rêvée pour U saisan des voyages et des villégialures. Il procure au iorps un bien.être délicieux en laissant tottte liberté aux mouvements ef aux organes. E CORSET " DORISE " de £ A. Claverie e&t le Corset en'Vogne g-ui a séaiíit les plus exquises. 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" est établi strictment sur mcs-ure pour ks lectrices de .Femina au prix spécial de 2 8 ir. SO au lieu • de 55 francs, et votis comprendre» pourquoi ceJ,U séduisante création a été accueillie dans tous lss milieux avec mt réel enthousiasme. Celles de nos Lectrices et Abonnées qui voudront profiter de cette prime exceptionnelle devront le faire sans retard. Il leur suffira d'envoyer les mesures de circonférence de la • poitrine, de la taille et des hanches, prises aur la personne coraetée de son corset habituel, eu joignant un mandat-poste de 28 fr. 50, ainsi que la nuance désirée, à l'adresse de M. A. C L A V E R I E Corsetier 234, Faubourg Saint»Martin, Paris, L'expédüiúiv sïíïiírff ííflíií le.^ i jnuys. Elrajlger ét Colfmies 2tr. SO de sMppUTjient pçtír pofî £t embtdiagespétiitl. m •a u ¡3 LE S I G N E D E L A P E R F E C T I O N CHEZ LA REINE D U CORSET M"X. QUI LLOT PARIS, ÎO, me de LA MODE AU THEATRE ET A LA VILLE LES MAIL TS HFU MS La supériorité des Parlums LUBIN est incontestée depuis plus d'un siècle. Mais il a été reconnu que la Maison LUBIN s'est elle-même surpassée en créant ses quatre derniers Parfums : ENIGiVlA P A M P R E S D'OR SOLA MIA BOUQUET CREUZE L U B IN. I I . R U E ROYALE. PARIS BE.EVETÉ 1. y a en France une multitude de gens qui, à force d'avoir été trompés, ne savent plus où s'adresser pour être sûrs qu'au lieu de iioire du vin — du vrai vin — ils ne se mettent pas dans le corps quelque mixture plus ou moins chimique qui leur ravage la santé. Or, depuis de* générations, on fait à Segonzac une moyenne de quatre mille barriques de bon vin par an. C'est le fameux Châtcau-Segonzac que voua offre " N O S LOISIRS''. II n'y a pas de pire ennemi dc fa fraude que le propriétaire de ce domaine. Sachez, de plus, qu'il a les moyens de ne pas s'abaisser à. des coupages, mouilJages, sucrages et autres pratiques louches. Le vin de Segonzac est vendu avec la garantie absosolue que c'est le pur jus du raisin, qu'il estlsien de l'année. qu'on vous indique, qu'i) est sans aucune addition d'eau, de sucre, de colorant et sans aucun coupa.ge de vin du Midi ou d'ailleurs. L'innovaiion l a p l u s s e n s a t i o n n e i l c d e cette s a i s o n ost, a u théâtre el à l a v i l l e , l a s u p p r e s s i o n d e s d e s s o u s pat- l e s M A I L L O T S d e M'"' Guillat, q u e d ' e n t h o u s l a s t n e a d o p t e n t l ' u n e api'Ës l ' a u t r e n o s plus grandes artistes, ainsi quo n o cesse de l e constater l a grande presse dans s e s compte» rendus d e s pièces à s u c c è s . 3 U .O BREVETÉ s •S L a s u p p r e s s i o n d e s d e s a o u a o s t e n effet l a p l u s g r a n d e prfiooCTÎ? patlon du jour c h e s toutes n o s élégantes. L e s M A I L L O T S de M'"" Guillot, t o u t e n d o n n a n t u n e l i g n e p e r s o n n e l l e et t o u t e s p é c t a l a des iolies statuettes de Tanacra, procurent également u n " O amincissement. - ^ 'u ¡3 • ru Nous voici â la veille cUi Grantl Prix, dernière étapt; delà grande saison pariâiemic qui sera cette année, paratt^il, PARFUM CAMIA 373^ RaeSciTit-fionorô Lka BERT |îi ticHo Kdjtsû, fjlAlSCW lÎENÛAHT LE h^EL l LËUH mm DE TOUT Blouses MantHfiUK Robes Cola En Broderies, filet Clííny,Jrland^et YeniRe véritable p,mr.iLil -i i.pLiuc sjL louiw le& t:li;u5!S, e x c e p i L Q U i i e l l í m e n t brillante. Nus couturiers rivalisent à cette épcxjiie U'iiigcniositè pour cròer ces mervfiilles rtont. la. f e i n m e , L juste titre, s'eviorguoillit, car elle sait que ce jour-là, elle aussi-sfiiit courir li? Tout PariÈ, admirateur du Inxe et de l'élégaiice. Comme toujours, le Seni.i6r de laVcttu est chaque matiïl le rendez-vons tle tOLilfjs nos Parisiennes; aussi, si voua viiul£2 c O ü n p i t r c la dernière mode, c*est bien là qu'il faut aller. D'a-illeurs, le Bcjis mfiintenantt les dcjetiiiers.leÊ dînera a-u son d s S tziganes, ] b s gai'den parties, voilà ne qui nous attire en ûe moment et nûus a.vona bien raison d'en profiter, car les saisons commencent si tB.rd q^ue no^s avons á peine le lempa de montrer nos loïfettes d'été. Et pourtant ii en est de si jolies! Ou en iait de ravissantes ea tussoi" ; ct chose cnrîeusû, c'est qne jamaja l'alliance de ce tisâu et du drap n'a été plus envogueqii'en cette saison. Voici la description d'une toilette de re genre vue CCS joure ilerniers ch/zz un de nos grands couturiers : jnpe très uolîant& tlana le haut, évasée ilans le bas, garnie de trois la:;gcs bandes de drap: grande rçdiiifjote eu tusaor avec col. parements et gilet de même drap. Très simple, très cliic et très élè^ut tout à la rois. Voici également pour jeune nlle njíe autre toilette : en voile de soie, jupe et corsage plissèsà tout petits plis et tenant ensemble ; le corsage est décolleté en rond sur une guimpe de tulle; les Jnancb.es en même áloffeque la robe, et également plissées. l·Iiie l a í g e ceinture en ruban de satin, Liberty souple^ nouée sur le devant de la jupe avec deux longs pans fraugós. Comme toilette du soir bien que, la saison soit finie, en voici cependant une qu<i j'ai vue ces jours-ci à un. dîner de JrançaJlles et qui pourrait vons servir i l'occagion: c ' e s t une délicieuse robô de jeune fille en crêpe de Chine rose tendre, la taille très haute sous les bras, autour de la<ïuelle émit enroulée une ceinture dè faille bleu Kattier tros souple. Dans les cheveux torsade çle même teinte eue la ceinture posée en auréole sur le devant des cheveujc. Le décçlîetêct l e b a s de la. jupe étaient terjuinés par une guirlande de petites roses pompon. J^airemaxqnêavec {ïlaisirqiï'on porte beaucoup, avec .les toilettes claires, de grands chapeaux noirs garnis de grosses roscE> ce qui est infinimeut distinguo, . D'ailleurs beaucoup de fleura c e t été sur nos chapeaux. On en fait de si jolies que c'est à se dernander souvent si oui DTi non elle& sout naturelles, Mins >í:iiLL-. •IBO li A tare iÎL' rC'liine. •^f^ í-íïiiliW iiu'itk·i·i ÍC Je ícif; Ces niiidàiúa sent Yi^'i 1, Fauboupg St-Honoié. Téléphone î 2 7 3 - 7 4 HARTMANN OmbraUes, Piraplilii, Cirnll lAuitnillingntBdilgiCafijc'itil L'OMBRELLEdeBEBE , SiramlDilsBhato i (lluís 'S'inillnt ilans toni ies sus Bpitiiklloiiiiinlsurtoultsnim sans tnliiir la Capole, SD nse iplameut mr la ciiaiii (( Itafant. CouiiMiriimttitoti teilïi si minpiffis latBSe l'ûirolrpulaf l l U ™ ment,ol50 lecomraanii ¡m cela il VmtM les miraans sm :t c l e u « & 4 <Je l a s a n l é d « ' B é b é s . — Moéilsi M ¡Olíít! Comtesse \V. D ü h b m , ••teinte.-IfodéiSíiíHMÍ'Iei. ME^ CONSEILS Voici une excellente recette ponr ia iabrication des saclieta à parfumer le iings. Faites un mélange de' 6a ^r. de pct^Lles de roses rouges, 60 gr. d'iris de jFlorcnce, 5 gr, de poudre da urnacade, S gr. de clous de giroÛe et i q ^r, dc poudre de grains d'ombrette. Paitesen de petits sachets qne vous placerez daas -vos arji*oiaes et vous obtiendrez •une odeur délicieuse. ^emesers depuis déjà t^oTs ans d'un lait de beauté extraordinaire; il satine la peau^ rend adhérente la poudre de Ti'£ et ne fatigue pas l'épiderme. C'est la création d'une de mes amie&, chi• miste à. sea moments, qui n'apas voulu jusqu'àprésent mettre son produit dans lé commerce, J| espère l'amener, chères lectrices^ à vous donner son adresse, pour le plus grand bien de la beauté de votre visage. Jé ne pourrai que vous donner le conseil i'essayer ce produit dont je me trouve à. merveille. PETrr COURRIER Une blonde, Paris. —Seul chez Goestcliel, ii.rueKichcpanse. vous trouvercî; l'extrait de camoaiille allemande. Célimène. — En effet, Pavy, 4, rue Meyerbe^, est bien le peintre dont V0U.6 me ç^lez, mais il est aussi couturier et vous trouverez chez liù l^g toiUttes les plus exquises. Dótall dilua tüulfls maiaojia de Yoiturcs SOUTIEN-GORGE Tout entier en batiste, s^jia liusc ni balcduogs, c'est par s a ÇOUPB SPECIALE, fort i n ^ ûieuse, que Je ^ ^ SOUTIEN • GORGE rem put iehutj^siri , . . . tout eu resta:ç^ ifivisiblo. Il forme unepoifrinaidéale et n^tile uae taUla parfaite. , Il s'impose aux lîatties qui font du iS^nis, de réijuitalion, des sports en génáríl. ^ S'adresser à AT™ .LUls'·ri. SEURJtE SS» Boulevard. do& Batlgnvlloc, a d i u z pus de ï a ' SWRRE ^ Station d u T.Tg1?DppUlLLiii I VrLldEI^S est 61! msBcre d'iUbliT des par GorrûapûndaiiM . -D Yï , d'Enfants, BïiïaiE, Opos; ?MnBDWu>m/LLETiifuBII£T,iî,T. du CalM,PKiV AUTARD Imê CastigHone Succursale André, T É L É P H O N E 2 43 NF. A R - 6 > à ij NEW-YORK West 2 9 th st B R O A D W A Y POSTICHES D 'A R T L ' e m p l o i rie h joli et el>ace CRÈME les A S P A S I E rend le teinl rides (depuis 3 frnnts). (U - Les dames habitant la -proviace an/ont I. 3. 3. 4. Crépon Lamballe . ' Pouf fantaisie Coifiure Hippique. Transformation impériale 5. Coiffure 3 3 ir. «S i'^- — 8 0 fr. . Manucui?e, 3 • fr. — J¡f Face 3. p. 10. . II. la. I ¡. fantaisie. 6. Coiffure natte fantaisie. ¡f. Grappe Printania vu l'obligcancs is dspuis — ioi»drs «« échantillon à lew Grande .guirlande. NsÀio simple. • . _ _ _ Guirlande Prinlaiila. Natte d o u b l e Grappe Printania . . Natte Royale . . . . commande. depttis î5 h: fr. ïS il. 5 0 fr. )a fr. 6 0 fr. 6 ir. massage, 5 fr. M '{cû 35 Chiropodist, 5 fr. Vll \^ VIN Consei'vGtîon dii M viavde peixâanf ïss chaleurs, — L e s grandes chaleurs, l e s t e m p s orageux et lourds font le désespoir d e s ïnénagôres. Ce a e Kont.à table, que d e s plaintes continocliesj aujourd'hui c'eit le rôti q u i e s t dur, coriace e t s a n s g o û t , d e n i a i r i Cf^ s e r a It biXteCk o u l a c ò t n i í í t t c q u i "avancé ' ' en aura trop. DiLiis l e p i ' e m i e r c a s la. v i a n d e e s t trop fraïclie t a n d i s qu'elle n e l'est p a a a s s e z d a n s l e socond.. Alors, cotiimeiït faire, o ù ae procurer lé morceau « X poiat ou, comment le conserver ? D a n s c e r t a i n e s g r a n d e s villes il e:siste d e s e h a m b r e s írigoriñíiuüs q^i'utilisent b e a u c n i i p d e b o u c h e r s a v e c suûcèÈ. P a r d e s p r o c é d é s c l i i m i q u e s . l'air, r i v a n t d e p é n ò t r e r d a n ; ; c e s chiL.mbr<:Sj e s t c o m p l â t e r n e u t d è b a r r a E s é d e la, v a p e u r d'eaT.1 q u ' i l c o n t i e n t t o u j o u r s e t i l est constammeot maîntemi à unet e m p 5 r a t u r e d e î'> ^ 2° a u - d e s s u s d e z é r u . S û r t a û t d e là., l e s p i è c e a d e b o u c h e r i e peiivejit résister à l'actinn d e l'air e?^têrieur t o u t c u n i m e s i e l l e s s o r t a i e n t d e r a b a t l û i r [lUEiis e l l e s o n t S u r c e s d e r n i ô r e s l a s u p é r i o r i t é d^être t o u t à fait à'poini). Malfieu reu s è m e n t , Vótablisseiueiit d e cps c h a m b r e s frigûritiques c o û t e très cher. O n a alors recours à l a cougélation ou a u x glacières orilinaires. P a r l a congélation,la viande acquiert s o u v e n t u n e d u r e t é telle qu'il fa,ut q u ü L q u e í o i s a t t e n d r e d e u x j o u r s po-ur qu'elle a i t repris s o n aspect ordinaire e t p o u r Ift d é b i t e r . C'est à l'aide d e c e p r o c é d é q u e l e s inoutOES e t l e s b œ u f s a b a t t u s e n A u s tralie a r r i v e n t s u r l e s marcIiès européens e t rivalisent a u point d ev u e d u p r i x — d u p r i x s e u l e m e n t , c a r Ja q u a l i t é ept i n f é r i e u r e — a v e c n o s prodTiits t u é s Sur p l a c e . L a g l a c i è r e ûrdiD&ire q u ' e m p l o i e t o u t le c o m m e r c e de l'alimeatation a d e grands avantages,c'est certain; d'abord o a l ' a c h e z s o i . jna.ï9 l ' a i r q u i e n t o u r e !e m o x c e a u à, c o n a e r v i i r e s t h u m i d e e t il e s t flifficile d ' é v i t e r u n e a l t é r a t i o n rapide quand il est a u dehors, A l a cajn;^agne o ù il n ' y a p a s d e c h a m b r e s frig;orifiqueset l e p l u s s o u v e n t , pas d e glace, o n e a t encore plus e m b a r rassé, surtout que, généralement, o u n e p e u t i e p r o c u r t r d e liLbouclierie fraîche c|.ue d e u x f o i s pîtr s e m a i n e ; i l e s t d o n c indispensable de pouvoir l a conserver trois o u quatre jours. Voici u n procédé q u i a fait l'objet d'une c o m m u n i c a t i o n à li. S o c i é t é N a tionale d'Agriculture ; K n b r û l a n t un p e u d e s o u f r e d a n s u n garde-manger e n toile métallique, o n peut conserver fraîche plusieurs j o u i s la v i a n d e q u i y e s t accrochée. — L e CDDsommateur ne. s'apercevra d e rien. Pour q u e l a conservation soit plus longue, il faut opérer e n vases clos sur d e s m u r o e a u x r é c e m m e n t a p p o r t é s de l'abattoir. Après avoir passé d e u x j o u r s dsius l e gas: a c i d e s u l f u r e u x p r o v e n a n t . d u soufre eii ignition à l'air JiÎDtre, o n r e m p l a c e r a c e d e r n i e r p a r d e l'acide carboniqiie gazeux. Ainsi traités, ils p o u r r o n t s e c o n s e r v e r fort l o n g t e m p s sans q u e le goût e n soit le m o i n d r e m e n t altéré. Ce n'est q u e d a n s la v i e d o m e s t i q u e que l'on peut essayer CE procédé. TONIQUE HYGIÉNIQUE wm Fâll avec d e s vïna vieux exce tionnellomont g néreu:<i mis au ûonlacl du quinquina 61 de aubslances s m è r e s et bienfa¡santos, le S Y R R H posséda arôme agrËable et de práclauses qualités candiales lesquelles il est plus partlculièramSDt Recommandé a-uxi ra AMINCIT, F^amilles AISAISSE SEULE 209, Sue tHANCE c, KTRANGuI ai REBaKSSE LESNaï mfllSOli^ .JainUHsm'i-l. »tS VENTE • 109. ft TMixj Lè B Y R R H se conso ma , soit puri à la dose d'un verre à Boftfeaux, soit dans un firand- verre, élenau d'eau ordinaire <l'eau ds Seitz, Il devient alors une dêliciauss et rafraiohissanto boisson, s a n s perdra aucune tîe sea qualités bienfaisantes. TONIQUE HYGIENIQUE^ Et Employer les produits nm^ucnre H e l t a n flue l ' o n t r o u v e 11 l ) i s I J o i i l e v . i r t ! H a u s s m a n n e t 031)5 t o n t e s l e s b o n n e s P a r f u i ï i e r l c & , Coitïbl;ra e i M a g a s i n s (le N o u v e a u t é s ; L ' O n g - l é i n e p o u r l a beauté des ongles ;|i, P â t e d ' A v e l i n e s p o u r l a d o u c e u r delàiJeau, la C r è m o î î e i ^ a p o u r b l a n c h i r l c a ipains, l a C o r a l U n e , p a t e e t i i g u i d e , p o u r r o s e r Iss o n s l e s , ï a P i e r r e e t l,-i P â t e O n y x p o u i ; l e s p o l i r , e t c . , e t l i r e l a Brochare : dt jL'Ari d e sfi . í o í f f n e r J c i m a i n s , p a r HELTEN Franco 1 franc. VÍOLET Frèr^^^ VOITURES PDiR E N F A N T S FliantBSttiIffis/ii en Idus ( \ Servi dans tous les éíabllsaements de oonsommatlor an bouleitle (l'orîglne,leB RRHselrouïédanslouleslestnaisonsd'alíntenistion AriiolDB ncuvciiii ot liDavütSs, - Galaloíuo ffinta „ S. G r - e o v ^ o s . ¡nveaíemvfiibriofiní c IGj A v e n u e d e B o u v í n c í i . 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Et p o u r l e s m a l a d e s e u g é n ^ ' ral i l s p r é f è r e n t l e S í í / n a n lait, b o u i l l o n e t a u t r e s b o i s s o n s . D é p ô t ; 7, P ) . d e l a Bourse, Paris, e t t o u t e s pharinacies, MON MÍDAIlLt D'í^aEHI GUÉlf^T mmm COXJRRIER 'Ail Doi^UUf X, — L e c r ê p e d e s a n t é E e t C d e divers modèles plus ou moins montants se mûdilio sur indications d e s clienta. U u p r o s p e c t u s illustré e s t e n v o y é f r a n c o p a r M , / , Jcnd, 3 î â , m a de R i v o l i , Patifi, M. C, 'pJiavmar^ien, IaïÎo. — i*> O u i ; 2'']'Antiarthritique q u ' o n v o u s réclame (le j u s d e raisin%Sîîîk1 T g ^ r . 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Fiancées, d o n t la. légende de mai,le mois des roses, a peut-étrs retardé le bonheur, réjDui&Èez-vou.s : juin, îc mois cûiisa.cré à la, belle Junon, la déesse du mariage, est ftppari^ effaçant les tristes présages, leg malheurs, qui, eu Angleterre surtout,^ soTit encart: v i v a t e K jaour ceux qui s'unissent eu ee nioîs, depiua le mariage de Marie Stuart avec Rotliwell. Eat-ce à cette légende d'outre-Tner qu'est d i i le petit nombre de mariages pendant le mois dea roses, on bien i la saison mondaine dont on veut attendre la ñn ? Nous ne nouË permettons que d e le constater ot de nous écrier : * Préparez vite vos trousseaux, chères e t charm a T i t e g petites fianeéey e t que juin vous aoit favorable en vous apportant le "bonl^eur d e vos H o u l i a i l s avec l'oubli d u bonheur d'un mois perdu. & Enumérûiis donc fêtes et feetins avant de parler de fiançailles et mariages, s M Prix S de M E S S I E U R S lm %m 3, RUE DU LOUVRE 137,13?!» et 139,Rue Saint-Honoré PARIS Tarfum nonVean de SUCCURSALE : LË^ monde álpIomaiEque. L· PLASSARD n7-119, li Grand dîner, à Tambassade d'Espagne, en riiouneur des infantes Manicfherèse et Enla-lie, acçur et tante du Roi d'Espagne, et de leur mairi et neven, rinfant don Fernande;. Les autres Convives du marquis et de la marquise d e l Muni átaient : Comtesse de 3\'Ürasol, marquis de San FeJice, comtes de Parcent st d e Gïiaqui, marquis et marquise de LambertyC; marquis et marquise de Arcicolkr, marquis et niLi^rquise de Movellan, M. et Mme Anguto, etc., etc. 17, Hoolevard Ruedu de la liberté 4='Sepiembre, VARIS LILLE Le Ji S. E. l e ministre de Belgique et Mtnc Le Ghait ont donné un dîner suivi de réception en Tlionneur de LL. AA. RR, le dtic et la duchesse de Vendôme et aussi plusieurs autres dîners e t soirées. g Fabrique ET dernier Cri de ta Mode M E S D A M E S M. Grégoire-J. Ghika.^ m i n i s t r e dc Eoumanie en France depuis 1S9Û. vient , de d é m i a s i o n E e r , voulant qiiitter l e service d i p l o m a t î q n e pour des raisons de famille. IL lemplira toutefois sa haute mission jusqu'à' La nomination de son T A I L L E U R m Avee ie Nouveau C O S T U M E C O R S E T "N D" muni du merveilleux buse mobile "EVNEDÉ" cliiiDgeilila A literGliiuigtBUi successeur, qiii p o u r r a i t ê t r e M. Alexan- dre Lahovary, m i n i s t r e à Vienne. Petite Jaquette ' .13 Ls comtô et la comtesse Balny d'Avricourt, venant de Kome, sont rentrés à Paris, après un court arrêt à Monaco, où ils ont été - îes hote.? de S, A. S. le prince de Monaco• Sun E r e v s t ó S v G . » 6. Vous il'ouroi plus l'enjiul û c faire rempltutif le biiac dc vutro corset, Cfu VOUE p û t i r m l e laîFfl vQUE-tnûmG tt I n a t a n l i n é i n e t i t sani a v o i r r e c o u f i J - MM aleulllc. Mesure a M. D, Stanciûiï^ le nouveau ministre de Bulgarie en France, et Mme Stancio£t, née de Grenand de Saint-Christuphe, sont arrivés â Paris et ont 6té reçus à la gare de l'Est par le chargé d'affaires et les membres de la légation de Bulgarie, et les membres de l a colonie bulgare. . Le se fait d a n s toutes las formée Salons. à Lin AA, RR. le duc et l à duchesse de Vendôme ont donnó un d î n e r très élégant suivi de réception intime. Parmi les Invités, on remarquait ; dncM duchesàe de Rohan, duc de Mortemart» nrinte Henri de Ligne, due et duchesse de. Bisaceia, duc et duchesse d'Audîfiret-Pasquier, comte Maurice de CosseErissac, etc./etc. fi Le comte et la comtesse-A. de Chabriîîan oni donné, en leur hôtel de la rue Cbristophe-Colomb, nn dîner, suivi de réception restreinte, en Tlionneur de LL. AA. RR. le duc et la duchesse de Vendôme. Parmi les convives et les invités à l a soirée ; prince et prinpesse da Salm-Salta, le ministre de Belgique et Mtne Le Ghait, duc et duchesse de Bîsaccia; princes etprincesscs Henri dc Polignac, Dominique Raáziwill, comtes et tx>mtesses André de Ganay, Guy de Lubersac, etc. SPÉCIALITÉ do CORSETS LAVABLES avec bunC li' En oente tíans toutes ies bonitú^ üfaisüns 154.3 M O R I S - R O O S r^^rar»;:?'"'"^"^' Foijrnis- d c ü T H É Â T R E S d e P A R I S ' SERVICE ! Vùiv sitiie page XIÏ.) flENWEVIllIEBS TLA.PÍDE paf.voiiiitv a DOMIC/IZ ruaf a Thé très élégant chei Ja marquise de • Mûntferrier, On a b e a u c o u p applaudi une très intéresga-ute conférence faite par le maître de la maison, avec projections photo graphiques, sur les Tiiccnrs " des ttibus du. Sud du Maroc. Parmi les . invités : Prince Louis d'Orléans et Braeance,tnarquise*i d'Aligre,d6Montebëllo, • de Ploeuc, de Gasquet, de Bacbentane, princesse Jcaime Bonaparte, comtesses de BailLenccurt, de Breiùlpont, de Chateanbrtand, de Lauûay, de Vanssay» d'Aubigny, de Kergariou, î, de LessepS. ' F U T JOAILLERIE-ORFÈVRERIE ^ arílnl» ÉTRM Pin •Il U CQCICATR[CES,TACH£S, L·QP'tci l?/,r'.VËI eiaicir,é<!. i ii.SESZ0a,Li>IBítii<!yí •a Corsets ' ' N D ' ' munis du merVeîUeux Buse "Eynedé" liKEVETÉ 5.G.D.G, FKANCE ET Î l K A K G I i J i Système nouveau pcrmertant de cha,nger le buse i volonti:, de l'assouplir oa le renforcer lustantanémeni.. 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B E R L I E T S O U P L E ô SILENCIEUSE i - Voiture >^ II T O U T E S les É L É G A N T E S Drjrgar S a l o n s (ÍDÍÍE-) £^ IÏRATIRI dîner chez lady Pirbright, dont les convives étaieût : J^ambassadeur d'Angleterre et lady FaûdoroV7ia Bertie, îe ministre de Suède et la. corn» tassô Gyldeostûlps, príncease Radmvîîl née Castellane, prince A. de îlolienlohe, prince ct princesse Dominique RadsdwiJl aveu leur fille, marquis eî marquise de Lasteydc, miss Marv Maore, comte de Pûiret, MM. ' Georges Grahame, W.-A, JOHNSTIJTJ et Lavino. La table était toute fleurie d*asphodèleg. Le ser vice était fait dans du vermeil aiicien, Après le dîner on a joué a MondanîtésKevuò l'amusants fantaisie de jMJguel Zamacoïs, enlevée de verve par la délieicusù Lyse Bia-ty. M. Adrien Ray tenait,, avec son habituelle boane gràûô, le piano d'accompagnement, à CSnq splendides matinées pnétiqneg chez îa duckesse de Rohan. Très applaudis, les vers d'Abel Eonnard, lus avec un art consommé par la maltresse de La maison ; les ballades de Mlle VacaresCû, si bien dites par Tauteur ; deux beaux sonnets de Vega, détaillés à iravir par Mme I-ods de Wegmann ; la « Naissance de TArum inteqprctée par M; IVIanuel, deux poèmes touchants de la baronne de Baye, rendus avec élégance par M. Lionel ÏSTastorp, et des vers du prince de Leca, de lilNL Cljarles Graudmougin, Gustave Zidlcr, BelvalDelahaye, Pli. Dufour^ Delacûnr, Picatis, Gaillard, Pittié, Gaston rie Kaismes, HentiMalo. Alcanter de Bvahm.Bonetti, Gabriel Montoya, Guy, Xavier Laug, Mmes Mesureur et Marthe Dupuy. Dans relegante assistance : Maj;quis tît marquise de Sésnr, duchesse douairière de La Eficbe-Guyon, princesse de Léon, marquise dc Lasteyrie^ princesse Lucien aturat, etc., etc. • à Bal blanc et cotiîîon chez la barannedeBaraute. Parmi les d'aoseuaes el' lss danseurs : Mlles d'Andigué, de Fonscûiomhe, de Boisgelin, de La Monneraye, de Mon tesquiou-Fezensac, de Goulaine, de Ligne, de Mont^on, de Méré, de Lévia, etc., prince Ciiarles de la Tourd'Anvergnc, comtes de Ctiarnacé, Í7re5son, de Peliteville, e t d etc. On a très applaudi, chez la comtesse Robert de Fitz-James, l'êmineut pianiste Diïïmann qni a Joué des pages de ia V Waïltyrie i> ct de « Parsifal Û, Parmi les invités : l'ambassadeur des EtatsUnis et Mme White, princesse d'Hénin, lady de Grey, marquis et S-flie d'Harcourt, efcc.^ ete, S A Notre-Dame de Grâce de Passy, a été béni le mariage du capitaine de Sugny, breveté hors cadres, oíücier d'ordonnance du général adjoint au gauverneur de Nice, avec Mlle de La Reveillfirej fille du comte et de la comtesse de La, Eeveilière, La veille du mariag'e, la comtesse de La Reveillère avait donné une soii'éo tr-Òs restreinte ñ, l'occa.gion de la signature du contrat, dans son hôtel de la rne du Ranelagh où étaient exposés les cadeaux. fi Mgr l'évêqne de Bayeux a béni, en rógljse Saint-Pierre de Chaillot, le inariagfe du baron François Gérard, fils du député dn Calvados et de la baronne Gérard née de Dampjerre, avec Mlle Catherine d'EIva, filie du vicomte et de la vicomtesse d'EIva née dess Rochers. Témoins du naneé : le comte Foy et le comté Gérard de Pampierre, ses oncles ; de la nancee : le comte d'Eîva, sénateur de la Mayetine.son oncle* tt le comte dff Qùéien, son cousin, 0 Le vicomte Maurice BúlJín dtt Fresnçl, fils du colonsi ct de la ctimtease Dallin du Fresnel, née du Morica, est fiancé à M!le A3ice Ferreîra de Ahueida, fille du ûoitxte et dc la comtesse Ferreira de Almeida, née de Paiva, fi On nous annonce les fiançailles dli. comte de Sàporta, fils du marqui.^5 de' Saporta et de la marquise née de Ginostous, avec Mlle Roilocanachi, fille de M.L, Ttodocanaclil et de Mme, née RalU. RËGÏWA. SU MORS GR0SÏE»I0R HOTEL LONDRES ADJACENT A LA G A R E D E VICTORIA, TERMINUS D E S VOIES CALAIS-DOUVRES ET D i E P P E - N E W H A V E N S 48, impies 0 0 ouples 0 0 ilencieuses VOITURES à Chaînes et à Cardan UN DBS PT,US BEAUX HOTELS U'EUROPE ; IL E5T LE PLUS A LA CONVENAKCE BES VISITEURS B E L ' E X P O S I T I ON FRANCO-ANGLAISE Rue du Théâtre. 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' Rides, cicatrirtos ou déíormatioils supcrf? les avantpsuii'outraparontpliiH aucun v i : Iftj^au cottn métliode migénèx'iî Ht cadiculoinentla • ni les qu'elle elTace même les iracos de mfttcrni' plus anoienaes. t >^ 'u ¡3 Modèles EICÍTISÍFS de LA Madame BELLANGER L A Í S O N ARQUILLIÈRE 10i ; : LA ËUP Rnêâë T É L É P H O N E MAISON SIltPMÎ DEMANDE £ï'ÎCTl>, ; : des Corsets STELLA Elle s'excusa de n'avoirpu répündreá toutes íes d c m a c d e s q u i lui o n t é t é f a i t e s , ayant été littéralement dépouillée d e toutson stock, lequel a é t é r e c o n s t i t u é et ae trouve à peu près nu complet raainieDâDt e n magasin, aînsiquodanslesmod è l e s sirnilairea v a riant d e i 9 fr. 90 h EKVOIE ÈÛN AL' KT créatrice si c o a n u e pour ses créations s a n s c e s s e r e n o u v e l é e s , r c m e r d e l e s L e c t r i c e s d û Fcraina d u s u c c è s q u ' e l l e s o û t l'ait k s e s m o d è l e s p a r u s d a n s l e e n u m é r D a p r é c o d e û t s e t r e p r é E e i i î é s ici s o u s l e s auméros I et 3, le premier d u priï de fr. 9a e t l ' a u t r e d e 35 ft. Mehelieu Î 17-99 AEgUILLlfiliE HUM EE La DE ' CAMPAGKE Les deux modèles de tricot qu'elle préseate a u j o u r d i i u i étaient b r é m d e depuis plusieurs mois, afin d'éviter l e d é i a u t q u ' a v a i t l'usqu'ici ce tissu de se d é f o r mer très vite e t dc ü'átre p a r conséquent pas d'un usage pratïyuô,etffont c o m plètement au point v o u l u . Ce tricot, t i s s é d'iiue s e u i o p i è c e c o m m e c e u x e m p l o y é s ,jns<[u'ici a u s c o r s e t s s e v e n d a n t i w e t ISO fr- — s u i v a n t l e s m a i s o n s — e s t garanti iadéformablc. C e s m o d è l e s t r è s différents l ' u n d e l'autre^ l e n u m é r o 3 é t a n t le corset e n v c l o p p a o t du h a n t et du b a s e i v a l a n t d e p u i s 3S fr- a l o r s q u e l e n u m é r o 4 e s t le c o r s e t - o e t n t u r e l a i s s a n t a u c o n t r a i r e l e b u s t e e n 2 tíferemeut l i b r e e t v a l a n t d e p u i s 19 fr- 90) est t o u t i n d i q u é p o u r l e s p e r s o n n e s a i m a n t êi.re t r è s m a i o t e n u e s t o u t e n é t a n t t r è s s o u p l e s et p o u v o i r faire d e s s p o r t s e t d e l ' a u t o m o b i l e , a l o r s q u e le n u m é r o 3 convient au contraire a u x pers o n n e s désirant porter les toilettes très e o l ïantcg:' 11 _y a t o u j o u r s d e c e s m o d è l e s e o ina{»atia p o u r les personnes isBÎsaut les e s s a y e r a v a n t d e faire leur commande, Mme BELLANGER rappelle qu'elle a modèles idéaux spéciaux pour les personnes miaccs aux- des et iie]!es ies ormes actuelles ne peuvent eoavenir. .ûlle s e t i e n t à leurdîspoaitioo pour donner tous Jes renseí¿^aements ou envoyer franco le c a t a l o g u e . ? TÉLÉPHONB 323-S6 Eügíisk spjfcen i Maa spicht :. denbcli • - fa). — R O B B D E T O I L E K A K K fiamJQ p a t t e s p i q u é e s g a l o n s et s t m t a c h c sur k c ô t é , ¿chacpe de satinnoir, I S Û f r B o c r e n paillasEon ï u m ô , Frarai eoil· teaus: vieux b i e n , ilen d e u toUe B t r u b a n même ton. 2 9 fr. XIU Ctf tes nombreuses erreurs qat lai soni Signalées múame Bellangar pris que fon s'assure que la marque STELLA est ù natêrisar de chaque en aefietant. 13) T O I L E T T E DE COURSE en Ijatiste L o u i s X V , e^iaio très jo¬ liment d'entre-deui et valenciennes' sur l e eûlè, ceinture e m p i r e eus a t i n b l e a N a t t i e r , 1 6 0 fi. sur b a t i s t e , 2 1 0 ft, snr eoie. d i a p e a u très e n l e v é e n Japott ijlê m u r , garni conronnes Uerrcs e t roses et Brosse rose r u b i s sur l e c ô t é . . . . . . . . . . . . SO ir. article st sur le earton Madame B E L L A N G E R M a i s o n S T E L L A MARQUE PARIS B. E. DÉPOSÉE 60, CHAUSSÉE D'ANTIN/ 60 :: PARIS 3 VAN Hourej^ La Bi-elagae tragique, âpre.pûiguante. tenta les íirtÍ5tes: C'est àiuai qu'en la personne de Mme C^laniû Carrissan, elle vient de nons offrir une ntusicienne. d'un grand laQcnt. Sa Fiancen Caêi, qu'elle fit leprésenterau tliéâtre Femina. le mardi ¡ mai, Rst une œuvre originale et íníÓLXggante. Le pgème de ^l. A. ds • Cami prêtait à une déllsieuse adaptation îitnsicale, mais l'auteur, surtout dans la scène d e la sôducdcu, a atteint au plus grand et plus dramatique e2et : un gros SUCCÈS a récompensé cet admirable Etïort. Mllo Peudefer is Colonie, qui j o u a i t l e rôle de Tiaa, ss révéla à la fuis excellente clianteuse et b o n n e tragòdienue. Sou vif succès fut p a r t a g é pai MM. Eimunl Motigin et Cheyrat, de r O p é r a . d a n s l e s rôles de Ga^l et Loïc La pièce était précédée d'un ooncei't où prirent part M. Gravrcmd. ureinier violon d e l'Opéra ; Mlle Retiis 'jtbatat, un premier pruc d e harpe, el Mlle Lisa Pitiaeorska, n n c pianiste de valeur. Ce fut aussi a u théâtre Femina qu'eut iièu le 2 a avril la matinée donnée a u proit de l'CEuvre des Maisons d'accueil temporaire pour la protection de la jeune fille. La. partie concert fut p r é c é d é e d'une • agréable causerie,. très applaudie, de M. AKêri de Foitquières. On e n t e n d i t ensuite Mlle J. Hatfo, d e l'Opéra, dans des ceuvres de Scliumann, Chopiu, Sapellnlltoff e t Lavalle ; et M, i . Fotitiomm dana des m o c c e a u K d e Saint-Saéns et Ealf ; M. / . do S I M Î - EstSban joua aussi une sonate de Mozart à deux pianos dont le premier était reinp l a c é par ua p i a n o l a qui accompagna d'ailleurs tous les caorceaux interprétés. On goûta surtout u n quintette d e Schumann où sc ficant applaudir Mlles Héllne Morhange, Li;te Tiilhiel, Jtilíelií Coiídard, Germaute Pelletier. CettedcrniÈre, violoncelliste de talent, joua seule des œuvres de Hœndel et Van Goens e t accompagna Mlle Hatto dans te Nil de Leroux. Des plus intéressantes aussi, fut ia " matinée d o n n é e a u profit de l'CEuvra dn Patronage de l'Enianoe e t d e l'Ado- 5 0 % D ' ÉCONOMIE Coriro ËOKAHTILLON GRATUIT p o u r S d â j a u n a r s CAOAO W ifOUTEflt Agence générale^ Service l FARI8> 2J ruo Salnto-Cépllo, P A R I S lescence. Le concert,était des mieuxcoinposés. firent applaudir : M. Bene.detti dans un solo' de vioioncelle. M, Devirio d a n s dsspoésieadeVcriaine; enfinlHleffi/iHi Morsl. dans sou amusant répertoire, l e nain Delphin. si comique, et M. José Porta obtinrent le p l u s v i f succès, îî'oubUons pas non pins les excellents chjansonnierïï Jiasriev Privas et Gabriel Montoya qtii égayèrent e t émurent tour à tour l'assistance et Mlles Lmgier e t Picharl qui dansèrent délicieusement des danses anciennes. La jolie comédie de Féraudy et Konché. Tío â Tic. fut jouée à ravir par • M . B o M e A i f j d e l a Renaissance, et une très jolie artiste Mlle Simonne ds PaUin, q^ui fut délicieuse à souhait. • On t e r m i n a par- : Un mariage sous Louis XV où l ' o n Temajrqua les talents si élégants d e M. • Soin'deaiííí et de Mmes Bourdemje, Malet c t Mignon. La conférence de M. Jules Bois qui eut Heu le S m a i e t qui traitait, comme on sait, du Mifocle moderne, o b t i n t un g r a n d succès de curiosité. Le remarqnable écrivain y commenta des docn meiitg ioédits. relatifs á Victor Hugo, aux p r i s e s aveo l'Invisible. EnfinM. Panl Seguin-Bertault fit une exposition de s e s œuvres d u i 3 mai a u i ¡ juin dans. notre salle. Cette exposition contenait une centaine de toiles des plus remarquables; elles réunirent les suttragea des artistes et de la,critique. Nous rendrons compte dans nos prochains numéros des conférences de Mme Jane Catulle Mendès^ de MM. Ábeí Her-mííní&t Fyancis de Crais· îit, des représentations des Esoholiers. qui eurent lieu les i i ct is mai. et du T^Scent concert où MUe Anne Villa se r é v é l a grande artiste et enthousiasma l e putÜLC d'élite qui se pressait p o u r Se Prendre Îe^ mesures sur ia "Personne toute fjabillée. îr*457, L e r i v # du cûisst. La jolie CTÎatlûii -pour ]a Ccnimc avcitc. Ext;r£-dr{>ît Trière d'ajaU' ter lé port aux mandats. finpprioia l'abdomen, HUod^S taille d0 cent,, avantag» la poifrlui. Lt ooisût 1* plut Coupla ct ]« plus légûr Bïiatt, En CùU-lll ù flouTH toiito» mi^nces ovt Wanc, blileîne polaire, rî^ha ffarnitBr*^ lubflTi liTïerty, l paira jiirretâUfis , , 2 0 f'- l ' e n t e n d r e e t l'applaudir. -\nnonçoas à • nos abonnées qu'à notre ñve • o'olocli du i " juin, elles auront le plaisir d'entendre iVilIe Jeanne Thomassin et M.Cooper dans : " Mais... E ' C . Î Î M K Í revue l" de M, Jean Bernao. Nul doute qu'ils n'obtiennent un gros succès dans cette petite revue destinée à, laire le tour des salons, des cercles, Bt des casinos au mcment des villégiatures. H i i , è H S AVEYL. Echange permis SUCCURSALES L,I£:«K M A Û A N D BRUXELLES JS L I L L E 614, L o B r a n t l a i i c c f e s d o l a S a i s o n I LH plue btJle.criatioti dcJ ucraitíüa maigtôS Tiût ioinul nîastîiiiiB id^CiIc, ctauKjíírsíiiiiícsfartas Un buste avcitc et aojiplc. Cri* apiclaismcatpour la coBtiirai íídUüur, l» Tobo piiiicoB6ft ût la chciDÍflett«t B[loii^e l i (aille de ^ teatl metres ú!, «upprímeU&bajicIififl. Eïtía-droit devaut *t Ciiinbraii,t derriirt. ETV èeaa COKUI hrazlii s, flfiUTS rosci ou blcUflB, b i l l e gûfûi• iuTCjboTinie bfllcinfl&t^itf*'^*' aovple, coupteütiütic. l^ÎT. En inefviiUeux PiMn muiaùlt, fûa4 Wiflc^ Tayun:» ciftl, roses 6U qoircajTichegarLÎiure eu milan Libcrty.iûoimcaur Io figurine, I p . d e jlïríií, 2 4 fr. t w 00 00 «S» Os > Q !3 Pi O w S B H M M <! H ?1 Ü M y? M 13 W O Ü H o o P 1-1 w M tí P z z PH w H 0 H S típ HJ- O W M H en (Û ;d Í « S •S tí y) Si p tí 1-1 <! h tí p H (0 o M fil 0 H E Ü O. h P Ü < B s tl ^ 1-1 Z 2 o .3 S p i h O H W E " S 3S Ü a K {à Ü Pi LO B W Q K I 'O â S i O Ü H W Ü rt to • f=i G H H a < H1 H H) tn (0 10 Pi Q rt Ü < m « • - GRAND MAGASIN DE CHEVEUX 33, rue POSTICHES D'ART H E Marins PARIS, :: Rue Bergère, Bergère- PARIS Vis. 16 te»-/'-4 Fis. LEÇON DE COIFFURE LEÇON Attacher tous les cheveux sur îe sommet de la tête. Poser un flou (ftg. 1«) en l'agrafant derrière la !anq.uo (fig. 15), relever d'abord le cfité droit en prenant toute la. partie de la tempe et de la nuque «nsemble. Placer le peigne de côté, relever ensuite le côté gauche de la même maméK, et enfin, le devant du front. Il ne reste plus qu'à donner à la DE ts COIFFURE coiffuie la iorme que l'on fJfFiirc. O" tourne ensuite ses propres oiieveux à plat sur ie sommet de la têto et on place une gujrlimdo de boucles de 6a centimètres (fig. lî). Pour la'soirée an encerclera ces touffes de boucles et d'ondulation.s d'un r u b a n que l'oit r o c e r a derriÈre l'ureillc (fig. IH ei IS) Fis. IS -—• v> Postiche de ta Maison Marias HENG, 33, rue "Bergère Qui envoie franco son journal U Art à toutes les lectrices de Femina Demandez la Brillantine ENVOI gracieusement, qui en font la demande, de se Coiffer, spéciale de MARIUS FRANCO DU CATALOGUE SUR DEM/INDE HENÔ ^ • Sur ie «wtfnEnuiH/ fintinjm ajrùjimpannM. l'infiuBnce £Îf Femina f v t cfinsidirabli et fit d i n taui da tmt^ à nas /«MNUF, à rnis u x w f . nux Ç F 4 K U E L d n m wt CIT. 99, ^ t L Cbof^£}gsê*M 9. Ar. ¿* rOpinr, NUMÉRO 177 PÙ»R U PUWLEÎFI : HUPURL. MINAN .R C i t . I BMILXIARD 4<i \ i t A m . | " JUIN IpÒfF AHNTIDEAAFINTÏ ÏNNUEB: FNNCI, CA IR.: ETRANGAR, LO TR. EDIIIOQ DÜNVRAGSS ( M PATRWN*DÉCOUPÉS EÎ^S OQVRIGUIJT iJirTn«| : FTANÇE. TBfr.: ETRANGER, 30fr, •a ra X I •a o M i l » M f e L È K E D U F A U ^ Uws trH erattdi ariisie. Chaquà a n n i t a manpiê un proctisi d a n s i ' é p a i i a m s s É m c n i dt ÍOÍÍ taient, e t íes deux poMHHimx décoratifs gK*flWff a pitnts pouf ia saiie ârs Autoritis di la Sorbonru soni ta grand succès du Saton des Artisles Français en 190a. y{omancière ef directrice de journal d'une Maplei. — J'aiteiids Mme Maacfhii-einlassable, Mme Serao a reçu alzatilde Seriio dans le bruuîcir qni précède son cabipiés, cil elk habite, l'envoyé de "Femina". net de travail. Par la f e n ê t r e onvcrtc, la pince La conversation tí roulé sur l'art ef la liftéVittaria apparaît, baignée dans une plnio grise, mais clriire pourtant, et dont la venue inopinée rahire, et on lira dans cet ariide les intésemble avoir inomontanéniflnt suspendu la vie ressantes déclarations de Mme Serao sur gronillaTite de Naples. C'est à ces moments-là nos artistes et nos femmes de lettres. s u r t o u t que le Parisien en voyage songe avoo If.gist, presque, au charme de la pluie... dc Paris I Ce boudoir qui. par son caractère intime, paraît être la pièce favorite de i'ilUistrc romancière, est tendu dc clair et laqué de blanc. Mille bilielots ornent les tables et les iîta'»Ères, d'innombrables pliotographios sourient sni les m u r s : o n y remarque les effigies de l'impéiatiice Eugénie, à l a place •t de Monaco •et d'Elconora. Duse.° An dehorl la pînie tombe toojours... d'homieur, du Prince Albert 'un télfcihon cependant que la sonnerie dd'un téléphone s'impatiente, dana la pièce voisine, sans qu'on fasse quoi que ce soit pour la calmer. Soudain u n rire joyenx, sonore, éclate, se répand et sème la vlo el la gaîté dans la pièce... Mtne MatUde Serao apparaît ^ c o m p a g n ó e d'un petit chien jappant qui sauta après elle... et Mme Serao m'entraine dans son cabinet. ( Cette pièce consiste... en une table chargée, encombrée de livres, papiers et journaux ; dans le fond, nn canapé, pourtant : a u x murs, des étagères; avec lea dernières nouveautés littéraires françaises, et près dn bureau, derrière le fauteuil nù s'assied Mme Serao, un calendrier éphèméride décore dn splendide tableau de Besnard, le portrait de Mme Réjane qui, on s'en souvient, créa d'inoubUablo façon : Après k Pardon. ~ t Ma vie, commence Mme Serao aj)réa quelques tnots, est des plus bourgeoises... Je suis une bourgeoise, répète-t-elle cn éclatant de son large rire, qu'interrompt encore la sonnerie du téléphone. On demande Mme Serao du Giorno. — a Voyez-vous, me dit-elle en accroc h a n t le récepteur, voici raa vie, et elle eat simple. « Le matin, je valsan Gicrno, de bonne heure, j ' y reste j u s q u ' à I heure 1 / 2 , puis je rentre chez moi, et je passe mon après-midi ici, à m'occuper dc mon ournal. I j — Mais, hasardai-je, ct vos romans ? — Ah oui... mes romans ! E t son visage devient sérieux cette fois. Mme Serao me montre un cadre placé sur sa table ; — Voyez-vous ia reproduction de ce portrait de Balz.ic auquel je tiens t a n t : c'est Bourget q u i m e l'a do Il trouvait en elîet que le h a u t de mon visage ressemblait au front de BaJuac — et d'une façon frappante je r e m a r q u e e n effet ce r a p p o r t — E h bien ! ajuutc-t-elle, le senl point commun LA E D M A N C l i î n i î • A SON B U R E A U que j'aie avec ce graud génie c e s t que je me Mfïiiîde^^.Serdo ne^'fi'nit un romñ-n mets à m a table à n heures du soir e t que je que pomt 'en mtmnsr mi autre. M""= M A T I L D E SEIÎAO L'atftmr îï'Après le P a r d o n si de tant de Hures étonnants de me, est aussi tm journaliste d'une atttorité incroyable. Le jour, cite dirige son journal !s Giorno ; la nuit, ells écrit ses romans. Quand donc se repose-t-elle ? la filleule de la Duse... maia j ' a i d'autres cnfauts et do plus grands, des fils, dont l'un, Iraîné, s'est illustré dans le raid ParisNcw-Yorli en autoniobilî. Mme Serao attire tendremen t sa fillette à cfitÉ d'elle et lui recommando (le se tenir très t r a n quille afin de paraître dans Femina... Piiii la conversation reprend, continue, ct, à ce propos, Mme Serao remarque les ohanponionts apportes H notre revue. EUe exprime t o u t e sa satisfaction d'y vrir la littérature si grandement représentée. Ella me fait même cspiror sa collaboration et • c'est ponr nous un grand plaisir que d'annoncer cette heureuso nouvelle à nos lectrices. La conversation roule, raaiiltcnant, sur les femmes écrivains ot naturellement sur toutes les collaboratrices de Femina. Mme Serao me dil toute Sa profonde admiration pour la comtesse Mathieu de Noailles, chez qui l'on sent, très souvent, 4 l'étincelle-du génie». E t Mme Serao s'explique à l'aide de la parabole du Christ e n t r a n t chez le PubUcain et lui disant; « Je suis le fils de Dieu t ; i quoi le Publicain lui répondit i « Qui me le prouve ? o — í Regarde moi. !., et Jésus-Christ a p p a r a î t s e s y e u x le iront nimbé d'une anréole, — C'est cette auréole de génie qui se dégage' de JVIme de Noailles ; poeta, ^ nasoitur, dit 1u n proverbe latin, on naii poUe, et cet adage s'applique à Mme de Noailles mieux qu'à a u c u n . a u t r e poète. E t Gérard d'I-Iouville, quel écrivain délicieux I quel cliarmc, quelle eiudition, c'est u n plaisir délicat que de lire ses livres savoureux comme un beau iruit.E t d'un mot exact, précis, Mme Serao dáfinit, juge et classe ses confrères françaises. C'est au t o u r maintenant de Mme Marcelle Tinayre dont l'auteur à'Après te Pardon fait l'éloge le plus flatteur, • — l e t a l e n t de Mme Tinayre e.9t puissant, eon L A m E E C T I M C E D U -î GIOEÏTO S E N SOK CA.BIN1ET style est rude, l a force éclate'entre les lignes, MatildÉ Serûo est adorée ds Ions ses collübovateurs au rniHea desquels elle a hien Doiitii se c'est un noble ot grand écrivain, dc t o u t prelaisser photographier prmr les lectrices ds Femina sans s'arrêter de donner des ordres, mier ordre. ds s'informer des no-uvtlles, de répondre «iijr demaiidss de renseignements de-ses rédacteurs. J'ose dcraander à Mine Serao son opinion sur Mme Tinayre... chevalier de la Légion d'honneur. travaille à mes romans toute la nuit.., ~~ Mais c'est une boutade... une simple boutade et qvi n'est pas digne A ce moment une délicieuse petite fille fait irruption dans k pièce... d'elle. Sa lettre n'était pas fondée... Pour moi, d'ailleurs, il n ' y a au monde — Ma fille, ma dernière, me dit avec orgueil Mme Serao, Eleonora... c'est qu'une seule décoration, c'est la Légion d'honneur, à cause de son insti- 03 t M"" SEUAQ TÉLÉrHONE A BON J O U R K A L LY. •! GLOIiNÛ 1> M"" Seyao a ls iramil des plus fasiles si m craint fas d'êlre dérangée -par sa joHs fiUstts Eléonum, filleule âe la Duse. tution eile dépasse en importance les décorations de tous les autres pays... HI: quand je pense que Sarah BeinliardL qui a promené l'art français anx quatre coins des continents... » E t Mme Serao, sans achever sa phrase, d'un geste compléta sa pensée, son adoration pour notre illustre et nationale tragédienne. Apràs in'avoir exprimé son goût très vifpour Mme DeLorue-Hardrus, écri¬ vain original et personnel, dont elle aime le style savoureux et plein de trouvailles, Mme Matilde Sei'ao complétant sa pensée intarrompae, revient à la décoration de Mme Tinayre : •—< D'aillemï, en France, l«s femmes de lettres n'ont pas d'indépendance ; elles sont trop entourées ot partant mal conseillées -. il ae forme autour d'elles des c h a p e l l B S où les amis et les amies exagèreiit leur admiration et font, malgré eax, du tort aux écrivLiiixs qu'ils aimeat. C'est ainsi qu'il y . a la chapelle de la noblesse qui entoure Mme de ÎSroaiUes,,la chapelle des arts où vit Mme dc Régnier ct la chapelfe de la. bourgeoisie où règne Mme Tinayre... » J'aborde enfin le sujet qui est le prmcipal objet de ma visite ; il s'ait de l'œuvre nouvelle que la célere romancière tei-mine eu ee mor ment et qui doit paraître dans quel- . ques mois. Et ces indiscrétions antûrisâes sont les premières et les seules que Maie Serao a bien voulu permettre, et ceci pour les lectrices d c f — <t Mon nouveau roman s'appelle : Vitis la Vie. C'est d'ailleurs le titre d'une ceuvre de Sudermann. Vive la Vie est nne sorte de roman cosraopolitoetia scène se passetantfitàKome, ' tantôt à Saiut-MoritE. J'ai voulu • peindrelagrande sociétéen ^énéralet le ftift en particulier. La foule est le principal protagoniiste de nson livre; il n'y a pas moins de cent personnages, et, remarquez-le bien, tous ces personnages ne sont pas là puur entourer l'action principale et les héros de ce roman, mais ils agissent tous pOTif lenr compte : c'est VOUS dire l'importance qu'ils occupent. * Matilde Seran me parle ensuite du ftirl et m'explique s e s théorioa ét ses idées sur ce sujet et la façon dont elle l e traite. Sans vouloir rien déflorer ici et sans même paraître en savoir plus que Mme Serao ne m'en a dit, qu'il me soit permis pourtant d'exprimer l'impatience avec laquelle, tous, nous attendons l'œuvre que nous promet l'anteur du Pays ííe Cooagiw et qui est bien un des plua admirables romaiicierg coDlcmpocains. Mais Ü est tard et il faut que Mme Serao s'en aille à son jo'urnal où je vais la retrouver. Pendant qu'elle met son chapeau, Mme Serao me parle de son culte pour Henry Bataille et pour Beoistein qu'elle considère comme deux très.grands auteurs dramatiques et elle se souvient encore de Berthe Bady dans Maman Colibri&l des émotions que lui procura cette originale et étrange artiste... Mme Serao arrive au Giovno ; la porte franchie ce n'est plus la romancière que j'ai sous les y e i J X , c'est la directrice de journal. A son entrée, toute la rédaction se précipite au-devant d'elle et c'est une cordiale et franche effusion. Mme Sarao tra^ verse deux ou trois pièces dallées qui servent de salles dc rédaction et se dirige dans son cabinet. Ce n'est plus ici le bureau confortable et coquet de la romancière ¡ c'est au contraire un bureau vaste et nu,sommairemûnt meublé et décoré; les portes sont toiijoursouvertes,c'est:un va-et-vient ooiriin'iel.... La directrice s'assied à sa table et il peine installée voici que déjà autour d'elle s'empressent ses rédiacteurs. Mais je ns veux pas déranger plus longtempsMme Serao ctaprés l'avoir fait poser devant l'objectif avec tous ses collaborateurs je m'en vais : et tandis que je m'éloigne j'entends sa voix impérieuse, grave ct autoritaire, discuter, donner un ordre, répondre au téléphone et, aussi,rire de co beau rire éclatant et sonore, comme imprégné de tout le Soleil de l'Italie. Jacques BHiNDHJONT-Ol'ífENBACH. MATILDE SERAO ET S E S O U A T E E F I L S " ^ - ^ HABILLÉES POUPEES >ÎOTIÎTÎ I^KOCI-TAIN U ? J'ac- ocde volontiers k Iftur déair,ct c'est I donc le I" octobre que sera clos le Aujour^d'hui, e t afln de stimuler le zèle des FOtJPÊE. D E u " " J U N G B W T Í Í . . Le i;osiumef second empire^ est concurrentes, je donffuns exactitude minutiewse ; c'est une 7;ériiable reconstiUi- ne ici quel tion histurigue.i¡,,,„ , 1 . i„ sia6„,„ii.> ques charm a n t e s petites bonnes ferames q u e Mmes Jungbluth, Lafitte-Daussat e t Kiera exposent à la Deux poapiis UN 1;^ Nationale. Voilà, de glorieux modèles à sui ^'rc mais non pas à copier, s'il vous plaît. ''e rappelle encore une iois que les concurrentes devi-nnt joindre leur nom e t l e u r a d r e s s e à chaque envoi et que dana le cas où le costume' serait une ( reconstitu - ' t i ü T i . historique, ane note explicative devra nous être adressés. N'oublions pas que lefmmier prix est un ^ - n grand numl're dc vres lectrices me prient d e retarder jusqu'en octobre la date de clôture du concours cle Poupées habillées, ñxé d'abord au 15 juin. Elles lont valoir, eutrc autres raisons, q u e le délai q u e je leur laissais était v r a i m e n t trop court pour préparer à. loisir les merveilles d'ingéniosité e t de fantaisie qu'elles sc disposent à [n'envoyer. Le moyeu dc résister i des v œ u x si ge.7< ti menti'; expri>m6B COKCOL'llS ,••«4' d'une E ' • valeur \ . de 3 0 0 f . , ^ i le secvndy un bijou d'une valeur de i j o f . , et q^ue venirs DANS LE PAK BQtIDOin M ' " dans ans pose adorable de naturel, CONCOURS DE L E S riïASES DU Il y eut, dernièrement, tii^sz Mme H... D..., un concours improvisé de pitisserie qui obtint le pbis franc succès, A chacune des concurrentes on KIERA huit sou- seront dis- J TROTTIN P A R M">=' L A T T T T E - D A U S S A T Remarquable par lu vie intense, le geste et raitilude. (Cl, ïioreiii ) (iiluü H.ilîcnilfc) tiibués a ï L x huit envois les meilleurs après las d e u x premiers. (s,j.,fci¡.H,.iiíi«i«.) SiMOMK D'Ax, PATISSERIE CONCOXJIÎS remit toutes les denrées qu'elle réclama. Puis, aur un signal donné p a r un membre du .jury de ce concours, la lutte commença, a r d e n t e sans merci. u •a LETTRES A SAISON LA LECTRICE DE 3)00t P OU Parisienne, aujourd'hui, chaque iemme a son « jour !.. Pour son jour, elle s'ait la ^grande toilette du logis, Elle décore le salon î l e feuiUagea ot de fleurs, commande cn abondance le thé, le chocolat, le porto, les sandwiches, les tartes au caviar, les petits fours ; parfois elle se risque même à ajouter une o attraction » aux agréments ordinaires d u lien^i musique, récitation de poèmes, comédie, voire lecture de la penséa ou séance de magnétisme... --^ ..i :¿ ; g ESort toujours touchant, qu'il faut encourager, même lorsqu'il aboutit à des résultats discutables I Grâce à tous ces jours, à tous ces thés, à cette passion moderne de recevoir, les femmes nous font perdre et perdent elles-mêmes pas mal de temps, c'est i n c o n l B s t a b l a . ¡\iais un résultat d'importance est acquis : la vie sociale et sociable se développe, s'harmonise. Non seulement à Paris, mais encore (et principalemeut) cn province française, aujourd'hui ne ressemble plus dn t o u t , sons ce rapport, à autrefois. Balzac, s'il revivait, ne pourrait plus noter les mesquineries, les béotismes, les traits de féroce parcimonie qui rendent si divertissantes les réceptions provinciales de sa IÍUV1MC1ALÏS PARIS =3C00C= Enfin, depuis quelques années, Paris s'est mis, lui-aussi, à avoir une saison, qui bat son plein en ce moment même de l'année, et qui n'a pas tardé à édipser la plupart des autres saison.9 d'Europe — sauf peut-être celle de Londres, qu'elle égale. La saison de Paris est de création assez"récente. Car si, de temps immémorial, Paris fut une ville attractive, un foyer permanent de luxe, d'art et de plaisir, on distinguait peu, naguère, entre aes périodes d'attraction. L'hiver, avec sa fermentation mondaine, l'éclat des théâtres, la brillante vie du soir, semble n\>cir été pendant la seconde moitié du dix-neuvième siècle le beau moment parisien. En ces temps lointains, la mondanité vcçpérale se prolongeait fort avant dans la nuit ; on soupait tard ; on se couchait an petit matin ; on dormait volontiers jusqu'à midi. La conquête de .t'aria par les sports a changé tout cola. Le plein air est entré dans l'existence élégante : une certaine activité sportive semble désormais indispensable a.ii visiue mu. Une dame angevine ou languedocieime, en 1908, reçoit à. peu prèscommesasceurparisienne. Piquee d'émulation, elle prétend que son * jour » soit aussi brillant, aussi artistemani orné, aussi couru qae si les fenêtres de son salon ouvraient sur le parc Monceau, sur la rue de Varennes ou sur l ' a v e n u e du Bois. Èt voilà, pour toute une vüle, uu foyer de politesse et de goût ; voilà, peut-être un terrain de réconciliation pour bien des adversaires privés ou politiques... Car, lorequ'une femme acréé un salon,un «jour*, —lorsqu' elle a vraiment conquis de l-'autorité mondaine, elle rêve aussitôt d'élargir aes réceptions, aile tante de réunir les gcn.·s qualifiés des sortes les plus diverses. Pour peu qu'eUe y parviemic, c'est autant de gagné sur les sottes querelles et les puériles di-iTsions qui, depuis tant d'années, 6tent un peu de son charme au doux pays de France. Vous verrez qne les femmes, obstinément soM"-" M . D U B O T E . C^lr.) ciables, seront les délicates ouvrières de notre Fille dn peintre aiébre, Mlle Dwlmfd a exposé à la réconciliation t Naiionale WJÎ (veniail cn dentellss am est une n a a tnerveilh el gui fait l'admiration des msiiems. Cependant, les capitales, qui sont femmes, ont voulu, elles aussi, se faire belles à date fixe, recevoir en tra-ïa-li les gens de leur voisinage et ' contentement dos gens pourvus de loisirs. Aussi les « saisons t, des divers heux privilégiés du monde même ceu¡£ des pays lointarns. Les grandes cités coînoidcnt-t-eUea désormais avec le plus bel insd'Europe ont s leur jour », elles aussi, ou plutôt tant de leur climat, l'instant le plus favorable à la • leur mois, ou plutôt enoore, pour user du mot couv i e au dehors. Si Pétersbonrg.' a sa saison en hiver, • sacré, leur « saison c'est que l'hiver 3^ est rigoureux, mais sec, et que, La mode en vint de Londres, comme beaucoup sur la ncige^durcie, on patine, on glisse en traîd'auti'es modes: depuis longtemps, la siaso» launeau, on joue au tennis. Londres et Paris, viUea de donienne est célèbre et suivie. Comme fougue de climat tempéré, devaient nécessairement avoir mondanité, le Londres de la w r s s c M n e sera leur saison à la ineille de l'été — ct Paris ua peu jamais dépassé. Il y a surtout trois semaines plus tôt qne Londres. durant lesquelles tout homme vraiment é l é gant reçoit au moins, chaque matin, dix ti a a invitations i luuchcr, quinze à goûter,, trois ou quatre à dîner. Cependant les théâtres londoLes limites de la saison, à Paris, demeurent touniens font alors tous le maximum. S U T leur tefois moins précises que ceUes de la seasoii, à façade on • peut lire, dès le lever dn rideau, la Londres. Tout ce qu'on en peut dire, c'est qu'eUe mention : Èmss full. bat sonjilain au mois de juin ; la fin de mai en béAvec moins de mise en scène,_ d'autres capinéficie, par voisinage, et souvent aussi l'aube de tales ont aussi une saison très goûtée. La saison juillet. Le Grand Prix n'est plus, aujoui-d'hni, de Rome, c'est la fin de l'hiver. La ville éternelle, . qu'une date eutre autres, dans la saison ; toutes malgré son climat un peu perfide, l'emportera ces dernièies années, des réunions mondaines toujours sur les autres hivernages cosmopolites considérables se donnèrent aux premiers jours de par la splendeur dss souvenirs etles trésors d'art juiUet. inépuisables. La saison de Vienne, c'est le prinQuclqnos jours avant ia fáta nationale, temps : il faut entendre une joue Viennoise proParis se vide, comme par enchantement, de noncer, la bûuolie amincie comme en un baiser et C J qui iait l a vie brUlantc de la viUe. Certes, les yeux qua-si-pâmés, ce seul mot : Í T * M A / Í ( A C (prinles étrangers ne manquent pas pour cela : temps ),pour coniprendre tout ce que la oharmante mais on dirait que, dans Fariî entré en léthargie, capitale, quand ffeurissent les Ulas du Prator,peut ils n'ont plus qu'eux-mêmes à contempler... C'est offrir d'agréments aux privilégiés qui en connaisl'époque (détestable aux Parisiens) où les allées sent les détours. Février est la saison de Pétersdu Bois ne sont plus sUlonnées que par des hourg, La Semaine Sainte est la saison de Madrid fiacres et des autos de louage ; où, dans leg couetde SévUle.Seule, parmi les capitales des grands loirs des théâtres subvenüonnés (les seuls ouverts), Etats, Berlin n'a pas réussi à imposer une saine résonnent plus que des Idiomes exotiques. son ; croyez que Berlin en est tras mortifiée... Qu'oifro donc Paris, en juin, pendant cette période d'affluence ct de vie exceptionnelles f—qu'oñre-t-il de spécialement attrayant aux l'isiteurs venus des quatic coins clu monde ? La concurrence des réceptions y est certes active, mais nullement comparablej^à la_j_frénésie mondaine de Londres pendant Ja season. Au lieu de concenti-er, comme Londres, tout son efiûït artistique sur ces semaines privUégiées, au lieu deréunir, comme Londi-es, laa¿gi'ands artistes do tous les pays et de passer en revue toutes les pièces célèbres de l'année, Paris ferme peu à peu ses théâtres, et ne présente^plus aux dilettantes que des tsiganes, de vagues revues de café concert, et quelques scènes officielles qui font, tiavailler, piir contrat, des acteurs de second plan, Les grandes auditions musicales ont cessé avec le printemps j les expositions se font rares... Qu'offre donc Pans, encore une fois, qui vaille cet afflux de l'univers vers ses boulevards, ses larges pvenues, son Bois de Boulogne, son Louvre î Jl offre lui-même, sans plus. Il offre Paris, sous la lumière qui sied le mieux à la beauté de son site, de !,es paies, dc ses rues, de ses monuments, de son neuve. Il oifte, en outre, la plus prodigieuse expression dn luxe qu'il soit possible de contempler A travers lo monde. E t cette exhibition somjptuaire, dans le prestige d'un par rcU cadre, suffit à attirer les fouies, des bornes de l'univers, jusqu'à ce contre unique, incompar rabie. * ff a Parisiennes, dont l'habitude apeut-être émonssé la surprise devant oet épanouissement annuel de la fleur : Paris ; •— provinciales, étrangères qui visitez la Ville suprême, alors^que précisément elle s'epaiiûuit, je veux fixer un peu longuement vos regards sur le spectacle du Faris de juin, vr aiment unique au monde, et pour lequel nulle autre capitale ue peut rivaliser... Par un da Ces lents soirs des plus longnei jonrnésj de l'année, pénétrez, par exemple, dansundes restaurants du Bois, et regardez . Il y a là, sous vos yeux, d'abord presque tout ce qui fait la célébrité de la France ; pas une table où ne soit assis au moins un convive illustre, homme^politique, artiste, écrivain, héritier d'un, grand nom. Les célébrités étrangères ae mêlent aux illustrations françaises ; voici le général anglais de la récente campagne coloniale ; voici un dramaturge russe, nn prince allemand, un grand poète italien, nn roi incognito. Quant aux femmes, eUes sont, elles aussi, à peu prés toutes représentatives d'une race, d'uu pays, d'un art, ou tout au moins d'une aventure. Dans tot étonnant congrès de notoriétés, il n'y a pour ainsi dire pas de place pour les inconnus.,. E t puis, sur cette assemblée de gens notoires, Paris a mis ce soir sa marque d'élégance. Les Parisiennes par nature, les étrangères par imitation, toutes les dinenses témoignent du gout le plus juste, dans la pro'diBalite démosurte. f Or, pour réaliser cette conjonction du gouf dans la parure et de la dépense infinie, songez, ô spectatrices, quels efforts de ïa nature, de l'éducation, de l'art, de l'esprit durent se cümhiner l... Regarder, regardez Men !,., Un autre jour, nous tâcherons de tirer laphilosophie dc ce spectacle ; nous nous demanderons si cela est bien ainsi i et si, par exemple, un tel spectacle, jugé par des témoins prévenus, présente de la France et de Paris une imago exacte... Aujourd'hui, lectrice, js vous, dis seulemeiit ; Regardez l Regardez, et rendez-vous compte que vous avez souslesyeux un spectacle définitif, un spectacle d'aboutissement... Cette rencontre, dans le plus beau lieu d'Europe, à l'heure la plus charmante de l'année, de la plus précieuse élite masculine, avec ia beauté iéminine la plus rare, parée dans uu style à la fois prodigue et sûr, c est nn instant do la vie sûmptnaire du monde, comme le furent certaines fêtes du paganisme ou de la Renaissance. MARCEI, i'BfiVOST. la chambre par une grippe violeüte, je n'ai pas p u voir' jcuer toutes les _ pièces d o n t je vais parler. C'est donc seulement par ouï-dire qne je rendrai compte de certaines d'entre elles ; et, à cause de cela, je me garderai do t o u t jugement qui ne saurait être entièrement personnel. Je sais bien qu'il est impardonnable d'être malade î mais cela ne m'arrivc jamais, e t je prie i n s t a m m e n t que, pour cette fois, l'on a i t la douceur de mo faire grâce ? E n vérité t o u t alanguie de fièvre, je n'ai guère envie de causer de choses t r è s sérieuses. De ma c h a m b r e de malade, p a r la fenêtre ouverte, j'aperçois les thyrses blancs des marronniers on fleurs t a n d i s qne leurs feuilles ont trouvé enfin la force de redresser et d'étendre en palmes leurs sept doigts verts. T o u t le boulevard b m i t e t vit avec ses t r a m w a y s , ses camions, ses autos, ses pétrolettes, ses pauvres fiacres, e t l'entêtement orgueilleux de quelques impeccables victorias a n x belles bêtes bien appareillées. Bes visages connus passent avec des expressions q u ' o n ne leur connaissait pas. —• E t voici S a r a h . A travers les vitres du cab, son visage d'or fait u n e tache de lumière. Elle se penche un peu e t lève les y e u x vers la fcnStre ouverte de m a chambre ; je n'ai pas le temps de lui fairs un signe, la voiture est déjà loin. Que j'aimerais à vous détailler t o u t ce chatoyant cinématog r a p h e naturel q u i défile sous le soleil et q u ' é v e n t e n t les palmes légèrement balancées des marronniers en fleurs. N'est-ce p a s a n peu du t h é â t r e aussi, ce boulavard parisien? Mais ce n ' e s t pas de ce théâtre-là que j ' a i à vous entretenir. On a beau être malade, ü faut être raisonnable. Détournons les y e u x de t o u t e la joie printanière e t abordons les sujets véritables de cette causerie. R ETSNUE à L a chance a l a gentillesse de me favoriser. Ce n'est p o i n t u n sujet morose ni trop sévèrequi s'impose a mon choix d'après le plus récent succès t h é â t r a l . Au contraire, fl est p i m p a n t , mousseux, iragile, avec des tendresses e t des mélancohes. I l pourrait s'appeler, selon le tour d'esprit qu'on lui v o u d r a i t donner : lea charmes ou les dangers de la coquetterie, et il m'est suscité par l'exquise pièce q u e vient de représenter le Vaudeville, Mariage d'Etoile, de MM. Alexandre Bisson et Georges Thurner. s e a La comédienne Florence Bell a tous les succès. Nulle n ' a plus d ' talent, à la scène, e i plus de séduction, à, la ville. Elle plaît parce qu'elle aime à plaire, elle est aimée parce qu'elle aime., à être a i m é e ; elle est u n e perpêtnelle expansion de grâce t e n d r e , de belle humeur, de vif esprit. Ce n'est point qu'elle soit t r è s j e u n e ; l'enfant qu'elle eut iiutrefois, de son premier amour, Gilberte, a dix-huit ans e t h a b i t e en province avec 6 o a père, Ildefonse Lacrampc. J u s t e m e n t , un jeune homme d'une austère famille bourgeoise, André L a m b e r t h i e r , s'est épris de Gilberte, et vient à Paris, aveo ses parents, pour coimattre Florence. C'est alors q u e la coqaetterie v a faire t o u t le mal ou, du moins, u n peu de mal. Florence, inconsciemment, est si a t t r a y a n t e , si exultante de plaisir, á charmeuse e f S Í harmonieuse que, p e n d a n t nne absence de GEberte, André oublie presque sa fiancée, e t s'éprend presque violemment de celle q u i doit être sa bellemère. P o u r la première fois l'amour qu'elle inspire, fait horreur à' Florence, qui repousse e t chasse le jeune h o m m e . Bien entendu, t o u t s'arrangera. André, en pleurant, demandera son p a r d o n , l'obtiendra et épongera G i l b e r t e ; Florence, assagie, épousera Laorampe qui n ' a pas cassé do l'aimer, e t la coquetterie féminine aura ou son p e t i t procès, u n p e t i t procès pas bien méchant, mais qui t o u t • de même la laisse un peu éberluée e t penaude. J e voudrais défendre les droits c h a r m a n t s de la coquetterie. O h l non de la coquetterie froide, calculatrice, de certaines îemmes intéressées ou envieuses des succès de leurs amies, e i qui cherchent sournoisement des revanches, mais de a coquetteiic instinctive, à la fois naïve et culti- vée, toujours sincère, et dont, en somme, aucun acte féminin n'est entièrement dépourvu, aucun, sinon l'amour. Lui, il est le maître tout-puissant qui ne permet à aucun autre insidnct de se manifester. Une femme amaureuse est unegrande flamme ardente et nue autour de laquelle nulle fleurette ne saurait s'épanouir. Mais l'amitié ellemêniB n'est-elle pas enjolivée des mille grâces de la coquetterie ? Que serait la vie si, vraiment, il en fallait supprimer toutes les prévenances tendres, t o n t le 'bel entrain familier, toutes les élégantes hardies.ses, toutea les câlineries de la voix, t o u t ce jeu changeant e t furtif,^ généreux et plein de mystère, par lequel la femnie qui sait le mieux garder son cœur, dispense t o u t de même un peu de aon éclat e t de sa douceur, répand le contentement autour de soi — s'il fallait demeurer perpétuellement renfrognée par crainte de * blesser les coeurs *. Avouons que ce serait bien ennuyeux, que même cette terreur n e serait pas sans quelque ridicule. Puis les cœurs trueuse coquine. J'espère bien qu'il ne s'eii est jamais trouvé une seule, sinon, pi^ut-Atre aux temps barbares du rao^'en âge, quand li^s fi-mmes, en majeure partie, étaient de Irélca êtres ignorants et terrorisés. Mais à notre époque, il nous parait impossible qn'aucui'e conscience féminine puisse accepter le poids de ce rriine. puisse même un i n s t a n t hésiter. Tonte femme sait ce q u e peut lui coûter sa faute, eût-elle toutes les excuses, ét doit en accepter les responsabilités. La troisième question tjaitée par VÂhbi est la question du pardon. Le mari pardonne. J e n'ai jamais tres bien compris ce q u e cela voulait dire. J e connais beaucoup de ménages où l'on a pardonné. Ils vont tons très mal. C'est qu'en vérité on ne peut pas pardonner. On le donne, ce pardon, en y croyant, de t o u t son cœur, parce qu'on a tant de chagrin, parce qu'on voudrait t a n t que ce qui a été n ' a i t p a s été. C'est vainement. P a r la trahison, toutes les vertus de l'amour ont été assassinées. Il ne reste plus que ce qui fait mal. La trahison n'est pas plus réparable que la mort. Le doux pardon na p e u t que garder les coeurs de la colère, de l'injustice, de la rancune ; c'est une délicate et tendre besogne, mais, dans ces cœurs, ne luira jamais plus la créatrice et magnifique illumination de l'amour, fi Mil" M A E G U E E I T E B R É S I L . Cette belle cptnMimne vimt de jtnier à l'A t}iéné6 la rôle delà t Rose a, daiis la Conquête des Fleurs, une 'piéca miUheureuseifiem, n'a pas réussi, qui eont ai • facilement « blessés s, ne le sont en général pas bien profondément; le plus souvent il y a même quelque fatuité dans leur ,cas, et, pour ïes guérir, il n ' y a q u ' à leur démontrer gent i m e n t que l'on tient à eux, sans doute, mais pas plus qu'à beaucoup d'autres, l i ' a y o n s donc las trop de scrupules a être coquettes, soyons¬ ; sans recherche, spontanément, simplenieüí, oserais-je dire,, comme nos meilleurs, nos plus, sûrs amis, sont galants envers nous, afin de leur inspirer non seulement la confiance des qualités cordiales, mais le plaisir charmant dti sourire. A l'Odéon, les questions posées par l ' ^ Hbi de M . Gabriel Trarieux, qui a remporte a n très estimable succès, sont beaucoup plus graves. I l y a. dans cette pièce, qu'on me dit pleine d e nobles qualités d équité et de style, trois sujets proposés, sinon résolus. La j D r e m i è r e est laquestLondesecte dansl'armée que, Si vons voulez bien, nous laisserons de côté ; je n'entends rien à la politique, d'abord, e t ensuite je la crois, insoluble. Seul le temps peut atténuer la différence des races, apaiser l'hostilité qui en résulte, La seconde question posée est celle-ci : u n homme accusé d'un crime, e t devant pour se sauver, déshonorer ane femme,. doit-il so laisser condamner et exécuter, pluiôt que da dire la vérité P Evidemment, u n homme ne doit, en a u c u n cas, livrer le nom de la femme qu'il aime, qui court les p i r i s risques p a r amouf pour lui. Mais u n e femme qui, p a r son silence, e t pour sauver sa tranquiUité, laisserait condamner un innocent, e t , de.plus, cet innocent étant l'homme qu'elle aime ou qu'elle a aimé, serait une mons- fi /S Au Théâtre Mévisto, qui p a r de courageux efforts tend à prendre sa place intéressante pai-mi les théâtres * à côté », on a donné un spectacle coupé d'un ordre moins psychique m a i s tour à tour amusant, pittoresque, poignant et terrifiant, que je regrette vivement de ne pouvoh-, faute dc place, détailler. Au Paîais-Koyal, Madame Gribouille, de MM. A. Tarride et A. Chennevières, est nn vaudeville plus délicat que ceux qu'on donne ordinairement en ce théâtre, ce qui ne l'emipêcho pas d'Être souvent spirituel, et parfois extrêmement oooassc. Mlle Y a h n e s'y montre exquise de belle gaieté, Mlle Madeleine Dolley a une c h a r m a n t e langueur. Aux 'Variétés, Le Roi a un succés toujours triomphal ; la verve éclatante dc ses auteurs, la fantaisie dêlioiause de ses interprètes, en i o n t u n spectacle qui n'a pu éclore qu'à Paris, qui en est tout u n coin d'âme tintinnabulani e, c t qui pour cela fait accourir t o u t Paris, bien entendu, mais plus encore, ei possible, tous les étrangers. On mo rapporte qu'à l'Athénée l a Conquits dss Pleurs, de M . Griüet, n ' a pas conquis le public, malgré l'éclat d'une exquise interprétation féminine, même que la répétition générale a été assez tumultueuse. K'insistons donc pas. E t c'est t o u t , je crois. Le cinématogia.phe est fini. Finie aussi la belle journée printanière ; le v e n t devient plus frais, il v a faUoir fermer l a fenêtre, s'enfermer dans Sa chambre comme dans une coquilla close. Qu'on na me soit pas sévère aujourd'hui si j ' s i parié un peu superficielleinent des sujets que j'avais à traiter. Déjà mes médeoins, qui m'avaient interdit la petite fatigue de lire et d'écrire, vont me gronder. Vous, mes chères lectrices, accordez-moi toute yiotre indulgence ; nous causerons gravement la prochaine fois. , MME CATULLE MEKDÊS. N.-B, ^ Je remercie mes cliarmanteg correspondantes des lettres exquises ct toueliantos qu'elles m ont ecntea, surtout à propos tle mon article sur Mme Sarah Bernhardt. Selon leur désir, je lenr parlerai le plus souvent possible de nutra illustre st odoiirabk Sarah, et ce me sera une très douce tache, M M E C. M , EXCEPTIONNEL OU GRAND FinX Notre prochain numéro est un des six numéros exceptionnels qu& n o u a a v o n s promis à n o s lectrices. S o n apparition coïncide aveo la date da Grand Prix de Paris, et il contiendra une auperbe double page en trois couleurs - MOTRE NUMERO d e Simont ; Le feiour de LangoJiamp. N c a leo- trieos apprécieront aussi sa ravissantei GOiivûrcouvoiv tare, également en trois couleurs, d' lie René Leloug, (Pi-iV .- 0 fr. ¡0). ^ ^ >< x ' 2 ^ • -a 'u ¡3 3 j< Salnn des Altistes français a réservé nne place d'honneur à la vitrine contenant les / bijoux où se réalise le mieux l'efïoi-t mófleme vers la nouveauté de la forme et de la matière. Applaudissons, nous, femmes, à cet acte de justice. Réjouissons-nous de ce que l'éniulatinns vers le b u t de nous parer mieux, de nous in.lre ))lus belles, devienne créatrice d'un art oapablo dc s'imposer à côté des plus nobles ct des plus hauts. Snr ce même vaste balcon, suspendu entre la peinture ct la sculpture, à cette place précisément où ñeurissent les joyaux qui nous ravissent, j ' a i vu naguère se dresser des statues de maîtres. Aujourd'hui, sans qne personne leur refuse u n e identique admiration, voici des parures, dont les émaux riches et sourds'mettront plus tard la caresse de leurs tons imprévus dans nos cheveux, contre le velours de nos chapeaux, ÍL notre cou, à nos doigts. L'artiste qui les a fait éclore, ces émaux soyeux, doux et mate comme des pétales, nuancés comme les fleurs aristocratiques, orchidées, iris, lotus, a cherché leurs reflets sur une palette de feu. Tandis que la brosse de ses confrères les p d n t r c s mêlait les pâtes aux couleurs brutal.es pour en composer les plus frais tremblements de lumière, lui, mettait en jeu les déconcertantes ardeurs du creuset pour leur arracher, — parmi quels déboires I — ces pierreries nouvelles qui sont la conquête artistique la plus intéressante de notre temps. nous offrir des coiffures de théâtre. Louable enti'eprise 1 Puissent ses grappes de glycines, son joli diadème d'eucalyptus, a u x feuilles d'or verdi, aux grosses graines" d'émail translucide, séduire définitivement celles d'entre nous, qui, récalcitrantes, oubUent les \rrais principes de la bonne éducation et de la bonne gr.-ite féminines, jusqu'à dresser encore dans des stalles d'orchestre, d'agressifs échafaudages de postiches et de panaches qui n ' o n t rien à faire avec l'art. Ce n'est pns à dire, d'ailleurs, Ciuc tout soit à vanter dans cette bijouterie nouvelle, qui cherche sa voie, et oii les tâtonnements sont parfois de lourdeur fâcheuse. Décourageons, pour leur bien, les ciseleurs trop é j i y p t i e n s , byrantins ou í modem styles, comme ies éniaifleurs qui commettent la faute de ne p a s oheroher au fond de leurs fours autre c h o s e qu'une copie des p i e r r e r i e s naturelles. L'essentiel n'est pas de nous restituer des rubis des é m o r a T i d c s , des s a p l i t r s , Ce s e r a i t travail de prospecteur chanceux — accroissement de richesse, peut-être, — de beauté, non. L'émail est une matière relativement neuve, e n ^ s e s p e r f e c tionnements, ses applications. Elle doit nous Vous pouvez Être coquettes, lectrices da Pemina. Car nous arrivons à une époque où la coquetterie devient l'alliée la plus fervente de l'art. Jamais comme au début de ce vingtième siècle, l'accord ne s'est fait plus étroit entre l a . beauté artistique e t la beauté féminine. Que certains philosophes le déplorent en y voyant la victoire du matérialisme sur la métaphysique, du sensualisme sur l'idéalisme, ce n'est pas ee qui doit nous occuper ici. Le beau contient en soi quelque chose de si supérieur, de si rayonnant, de si élevé, que l'essentiel est de le outiver là où il se réfugie. Avant tout, ne le laissons pas périr, Tl nous sauvera de toutes les bassesses. Jl Mais ai nous avons encore la joie de telles œuvres anciennes, est-ce à dire q a e nous n'en créerons plus de semblables ? La question se pose d e v a n t les femmes dc France. L a solution dépend d'elles. ïTon pas des humbles, que nul travail ne rebute, e t d o n t l'adresse, l a vaillance seront toujours à la hauteur de ca qu'on attendra d'elles. Mais des autres, de celles qui, dans leur luxe, doivent songer à leurs responsabilités artistinue.'î et sodBles. I l faut beaucoup de t e m p s pour créer des dentdlcs dignes de durer comme des tableaux. E t le temps est, aujourd'hui, la matière première la plus cofiteuse. E h bien, payons-le ce qu'il vaut. Chères lectrices de Femina, ne laissez pas dire à vos maris, qui mettent cent mille francs stir une toile de maître, peut-être inautbentlque : «Moi, je fais de l'art », tandis qu'ils ajoutent dédaigneusement devant votre" coffret" dB_ dentelles ; « Tes 'chiffons ! i Jt JK L ' a r t suit l'évolution dc l'idéal humain. Après avoir été presque exclusivement roli^eux pend a n t des siècles, u s e n t se glacer l'Inspirationqiii le soulevait du côté du ciel, du surnaturel, du symbolique. Alors il se retourne vers la nature, vers la vie, vers la splendeur terrestre. E t quelle splendeur, ici-bas, peut rivaliser aveo la séduction de la femme ? Voyou-s dans ce fait,— non une satisfoction frivoie do vanité, — mais une amplification glorieuse de nos responsabilités. Puisque la femme devient le centre de l'art, puisque, dans ce moment, par une marcha des choses que nous n'avons pas décrétée, mais qui appariât indéniable, une robe, par exemple, déviant une œuvre d'art, méditée, dessinée, composée comme nn tablean, mettons notre consciencieuse applica-. tion à nous cultiver de façon à remplir au mieux des nécessités artistiaues, économiques et sociales, ce rôle de prêtresses de beauté qui nous est dévolu. Un devoir, entre tous, s'impose à nous. C'est la rénovation d'une branche de l'art qui doit plus que toute autre bénéficier de ee mouvement, iPrenons à cœur, nous, femmes de France, la résurrection de la dentelle,Pour trois raisons: D'abord, parce que de toutes les expressions de beauté, cello-li est la plus délicate, la plus sensible, la plus exquisement féminine. E n second Ueu, parce que nul pays au monde n ' y a trioiuphé, ne peut encore y triompher, comme le nôtre. Enfin, parce qu'un essor '.T,i.inient intense donné à l'art de la dentelle, C^rirait la meilleure des solutions au problème du travail des femmes au foyer. Pour l'art des bijoux, d o n t nons pariions t o u t â l'heure, nous n'avons qu'à faire œuvre de discernement, de goût. De ce côté, jl y a un élan, des rivalités, des trouvailles. Autour^ de Ja vitrine d'honneur, où fleurissent' des chefs-d'œuvre, d'antres exposants, dc talents inégaux, mais tous pleins de valeur, présBiitenfY.'des créations charmantes. Il faut louerceux qui, saisissant l'actualité, y puisent des inspùrationsi Telgce joaiUier-émaJlleur qui tente, avec beaucoup'd'ingêniûsité, idc Un spectacle, un jour, m'a ravie. J e visitais une des collections privées les plus fameuses dont Paris, tout récemment encore, s'enorgueillissait,— maintenant, hélas I dispersée. E t parmi les Rembrandt, les BoticeUi, les Pérugin, non loin d'un Ghirlandajo Incomparable, je vis, sur u n pa neau central, exposé avec autant d'égards et de déférence que les toiles glorieuses, un bandeau cn ancien point de France, La partie de ce bandeau qui se développait sur n n fond sombre de velours était d'un mètrccarré environ. Le reste — trois fois autant peut-être, — se trouvait replié. Cela valait des centaines de mille francs. E n réalité, c'était inapprériabic. Comment décrire une telle mervoiUe 7 J'eus le frisson de la pure beauté, aussi intense q^ae d e v a n t n'importe quel tableau de cette collection hantaine. Personne n'efit songé à disputer une place d'honneur à ce poème de l'aiguille, rais avec tsjit de justice au même rang que les poèmes du pinceau. Page sublime, d'aut a n t plus émouvante cpe t a n t de mains ignorées e t la docilité des longs jours avaient créé sa grâce, — anonyme et multiple comme la lace mystérieuse d une cathédrale. LE volLU GUIS (fragment) P A E LADTH, íí""* Ceile graàciíse fig^m esi l'un des plus succès âu Salon âe la Naiionale. grands apporter des impressions nouvelles, des nuances inconnues, des reflets qui lui soient propres. C'est .ce qu'ont très bien compris les maítres, qui ne se lassent pas de chercher. Q u a n t aux formes, 11 faut toujours revenir à l'inépuisable trésor des feuiUes e t des fleurs, élargi par la styliuation. Toutes les comhiaaisons géométriques de nos cerveaux ne réaliseront jamais la grâce d'une herbe des champs, JT jff jff E t voilà ce qui fait aussi la supériorité de la dentelle. La merveille de œ t art est justement que, dans une matière subtile, souple e t frissonnante comme u n tissu vivant, s'épanouit la légèreté d'une flore, aérienne comme des graminées Squs la brise. Les mots sont trop lourds pour dire la beauté d'une belle dentelle. Mais, hélas 1 malgi'é la noblesse d'un t d art, les organisateius de nos Salons annuels n'ont pu donner à aucun de sea produits la place exceptionnelle réservée à certains émaux, Pourquoi ? Parce que la dentelle, en fait do chefs-d'oeuvre, ne nous apportait rien do nouveau, cette arniée. Certain encadrement de portière, fait de chrysanthèroos en relief, certain paysage de saules eu chantilly noir, certain •voile princier de mariage cn point d'AJençon, nous avaient été présentés déjà lors de cette exposition de la dentelle au musée Galiera, qui, voici quatre ans, ne détermina pas, malgré son succès, l'enthousiasme actif dont nous voudrions enflammer l'âme de toutes les vraies Françaises. La dentelle est notre a r t national féminin. Faisons pour lui les sacrifices passionnés que savent bien^aire les amateurs de grande peinture. M je AfBrmez hautement que ces chiffons-là, c'est l'âme et le rêve des femmes ide France. Ne les achetez pas, ces dentelles, pour votre beauté, maia pour leur beauté à elles. E n p a r t a n t de ce principe, vous rejetterez le médiocre, vons combattrez l'imitation. Préférez,si !a sage économie s'impose, quelques centimètres d'un noble travail, à quelques mètres d'une méprisable camelote. Restituez au plus bel a r t féminin de France sa délicate souveraineté. Soyez sévère pour vos dentelles, comme nos collectionneurs sont sévères pour les œuvres de leurs galeries. Plus encore.' Car la dentelle vous approche plus étroitement. Elle vous enveloppe, vons caresse. Vos dentelles, c'est un peu vous. E t vos dentelles, c'est encore tonte anc mnltitude fraternelle des douces filles de notre pays qui se sont juré de rester honnêtes. Savez-vous q a e , p o u r 3a dentelle à l'aigiiille, l'importation est, aujourd'hui, chez nous, supérieure à l'ex-portation. Est-il vn f a i t p l u s douloureux que celui-ci ? Notre France qui, p e n d a n t deux siècles, sc plaçait au premier r a n g du m o n d e pour l'art de la dentelle, est devenue la tributaire de la Belgique e t de l'Angleterre p o u r les points à l'aiguille, elle qui créa le point d'Alcnçon. Elle ost encore la reine du fuseau. Ses dentelles du Puy, de Craponne, de Cluny sc vendent bien au dehors comme au dedans. Mais le fuseau n ' a t t e i n t pas aux morveiUcs do l'aiguille, a t il est plus facilement imité par la mécanique. Seulement l'aiguille réclame la collaboration du temps. E t ]e temps e s t moinschei à l'étranger, où les ouvrières subissent on acceptent de moindres salaires. Les nôtres ont vite fait de quit-ter le village. Elles viennent chercher fortune à Paris. Quelle fortune 1 Pauvres petites! Les villages de Normandie ae dépeuplent proportionnellement i la baisse d e l à production dentellière. Lectrices do Femina, ayez la passion de la dentelle. Lectrices de Femina, ne portez que de la dentelle vraie, e t q u e de la dentelle française. DANIEL LEStœuR. jl LA LE FEMMK DANS ROYAUME A caraotcristiqitc dc notre époque scrait-oUc donc de faire scientifiquement et avec méthode un certain nombre de choses que l'on faisait aulrelois spontanément f Vous ;onvenez-vous q u e l l e mois dernier, nnns parlions des récents congrès d'éducation familiale ? Or, voici m a i n t e n a n t que l'on nons annonce un prochain congrès international — le premier de la aorte — d o n t les écoles ménagères a u r o n t t o u t l'honneur. Il doit sc tenir en Suisse, à Fribourg, ce qni n ' a rien rie surprenant, si l'on sait q u e le canton de Fribourg est, jusqu'ici, le seul É t a t où l'école ménagère soit considérée comme obligatoire. L a d a t e de ce cojigrès est ñxéc a u x 3 p e t 30 septembre. Il est clair que l'enseignement menacer est sujet à. varier, selon les différents pays où il se donne ; mais le congrés dc Fribourg s'occupera d'éclaircir, de préciser ct d'í tudier les points généraux, communs â toutes les régions. Education familiale, science ménagère, étaient créées, semble-t-il, pour ne s'épanouir que dans le d o u x e t intime rayonnement du foyer. Les philosophes s'occupent aujourd'hui de l a première, e t les économistes de la seconde. A l'heure où t a n t de femmes songent à disputer le terrain aux hommes dans "les carrieles dites autrefois masculines, n ' y a~t-il pas là quelque jeu malicieux de la destmée ? Je ne sais ce qu'il en faut conclure, mais t o u t nous porte à prévoir que los cercles sociaux, les revues sociales, s'occuperont bea.acoup d'enseignement ménager ce semestre. E t l'henre est propice pour en dire ici quelques m o t s . L • 4 On ne s'imagine P l a t o n e t Aristote qu'avec d e grandes robes de p é d a n t s . C'étaient des gens honnêtes et comme les autres, r i a n t avec leurs a m i s ; et, q u a n d ils se sont divertis à faire lenr.s Zjiis e t leur PoH(ii¿ue,ils l'ont l a i t en sé jouant ; c'était la partie la moins philosophe et la moins sérieuse de leur vie ; la plus philosophe était de vivre simplement e t tranquillement... 9 Pascal a raison d e parler ainsi : il y a quelque chose de plus profond que les p h i l o s o p h s R s h u maines, de plus é m o u v a n t que les drames poétiques, de plus a t t e n d r i s s a n t que les douleur.s des héros : c'est la vie, l a simple vie, sans broderies e t sans falbalas- intellectuels ou sen-fcimentairx, toute unie comme la bonne toile de ménage qu'aim a i e n t les pratiques aïeules. J'inscrirais donc c e t t e pensée de Pascal au fronton d e l'idéale école ménagère, en y joignaiit les deux beaux vers do Verlaine : L'humble vie aux devoirs ennuyeux et faciles Est une œuvre de choix qui veut bea.ucoup d'amour. E t , pour montrer combien ces devoirs faciles, loin d'Stre ennuyeux, sont susceptibles de revêtir u n e b e a u t é , dans le vestibule d e notre école, j'établirais u n p e t i t musée historique et artist i q u e , consacre à l a glorifier. E y a, dans l'Economiq-ue. d e S é n o p h o n , une ou d e u x charmantes page? sur le ménage enseigiié à une nouvelle m a riée p a r son mari. Cela fait rêver d e la petite maison grecque, si claire c t si c h a u d e l'hiver, si fraîche e t si sombre l'été, où une jeune femme, drapée d'un peplos, disposait soigneusement, avec de beaux gestes, des vases d e matière comm u n e ou précieuse, mais de iornre exquise. L a médiocre poésie vous désenchante d e la vie quotidienne, et ta suprême poésie vous la fait goûter, vénérer, aimer, Tout l ' a r t dc Florence vous parlera du m o n d e silencieux où respire votre âme. T o u t l'art de la Hollande vous révèle la b e a u t é de -vie profonde qui se dégage de l'int é r i e u r de vos maisons ordonnées et paisibles. Il y a de la poésie d a n s les claires carafes q u ' a r genté un. rellet d'eau limpide, dans les cuivres brillants où s'accrochent des paillettes d e soleil ; .dans les bois polis qui vous renvoient comme u n miroir l'image de votre chambre ; dans le dessin des! tapis qui s'etïace au contact d e vos p a s ; il y a de la poésie, et très ancienne, e t très auguste, dans la lampe que vous allumez, ' dans le foyer qui vQus réchauffe ; et, d a n s les vastes armoires où s'empilent des blancheurs de linges plies selon les rites, e t dans le trousseau de clés qui t i e n t lieu de sceptre â p l u s d ' u n e main féminine. Sans doute il n'est pas à, la portée de toutes LÀ DU VIE MÉNAGE les bourses d'acquérir un tableau de Peter de Hoogh, mais il est loisible à u n certam nombre de ménagères d'avoir une chambre ou une cuisine dignes d'inspirer le pinceau d'un Peter de Hnogh. J'accrocherais volontiers aux murs de l'antichambre quelques reproductions des mattres hollandais, à câté de quelques scènes familières, dues à notre école française, p a r exemple a 1 art a-\dsé, discret, harmonieux de Chardin, Qu'est donc cette science du ménage, si délicate et si ndnutieuae? Prenezles divers programmes d'enseignement ménager qui circulent, e t vous y verrez inscrits la couture, le raccommodage, la lessive, la cuisine, la comptabilité, le miuché, l'hygiène, le jardinage. U faut sa^-oir acheter et savoir compter. On y joint des conférences antialcooliques; et des causeries sur le régime, sur l'éducation des enfants y seraient fort a leur LES M A U g U i S E S CASTIiJA El DE DE CASIKLLANE. Ces deitx grandes dmtss consacrent lenr vie â, des œuvres da charité. Elles viemieni d'organiser, aa prnfil de i ' Œ u v r e des itaisons d'Accueil temporaire pour les jeunes filles,«ms jéte qui eut beaitcaup de succis. ICI.xaiHttou») place. E n Belgique, le ministère de l'Agriculture a introduit dans ies écoles ménagères des notions élémentaires d'éducation physique, intellectuelle e t morale. Nous reconnaissons une idée chère à Mme JUoU Weiss. <! P a s de spécialisation 9, nous dit, justement, Mme de EUesbaoh. S'il est une science du-'ménage dont on acquiert patiemment les données, il est un art du ménage qui sert à la m e t t r e en. valeur. Cet a r t consiste surtout à ne pas se spéciahser. Après les études de leurenfance, les jeunes gens se font admettre aux écoles profession neties qui leur ouvrent des carrières. Pourquoi les jeunes filles ne se prépareraient-elles pas, elles aussi, à leur carrière féminine f Vers JSÚ5, ia ville de Goteborg, en Suède, inaugurait une école ménagère. Mais ce fut peutÔti-e on France que l'enseignement ménager, tel qu'on le conçoit aujourd'hui, c'est-à-dire complété par l'enseignement maraîcher, l'apprentissage a t T l c o l e , î u t d'abord institué, grâce à la mère Marie-Ernestine. (Ce détail m'est fourni par une récente brochure i l'Organisation de l'Apprentissage ménager dans les Orphelinats, par mère Marie Saint-Laurent, préface de M. E m . Cheysaon.) L'idée a fait du chemin depuis que Mme DoyenDoubliè, en 1870, proposait à la ville de Eeiras d'annexer une école ménagère à l'école maternelle de cette ville, proposition, que la municipalité déclina. U est vrai que Mme Doyen-Doublté sut échapper au découragement ; elle fonda son école ménagère en 1S73, et, après sa mort, en 1S78, la ville a d o p t a cette fondation. Aujourd'hui les écoles ménagères se sont multipliées ; â P a r i s , en province, an Algérie, L'enseignement libre e t l'enseignement officiel prônent cette nouveauté et on présentent de t o n t e p a r t des essais, des expériences. I l faudrait t o u t u n livre pour los énnmerer. Signalons à. ce sujet le volume de M. Bcaufretori s u t l'Ensâgnenis'il mhianer, volume que vient de couronner r.-\rudé:iiii des Sciences morales e t politiques. Comment se donne cet enseignement í II y a. plusieurs procédés. Parfois dos cours uni t4é faits dans les écoles ou dans les patriina!;i's. .tilleurs, les écoles ménagènîs proprement dites o n t été installées. Le local qui leur conviendrait le mieux, d'après Mme dc Diesbach, serait une simple maison d'ouvrier, car la leçon y serait ];hiB facile, la démonstration plus frappante. La iii'cessité d'un personnel enseignant est reconnue: i: faut joindre la théorie i la pratique, le raisonnement à l'exemple, sans quoi les cerveaux seront impuissants à garder les meilleures notions., Í Les élèves, d i t Mme Ferdinand Dreyfus dans un rapport présenté à Liège, épLuchent une pomme de terre, un poireau, g r a t t e n t u n e carotte, un navet, fon-t u n bouquet de légumes pour le pot-au-Îeu, essuient u n verre, une assiette, une ouiiler, un couteau, nettoient une fourctictte, dressent une table modeste. » Le professeur d éroule commentaires e t observations, A Fribourg, un cours normal, rapide, prépare les professeurs brevetés qui d e v r o n t opérer. E n F r a n c e , on se préoccupe très sérieusement do la formation de ces professeurs. Ça et là, oe sont les ménagères elles-mêmes, à Avaux-lc-Châ-teau (Ardennes), à Castelbiague (Haute-Garonne), qai s'associent p o u r organiser l'instruction ménagère. Le rôle social d'un pareil enseignement est immense. Il tend à ramélloration du foyer, et, par là, il consolide l'organisation de la famille. Que d e maris vont au c a t i a r e t , parce que ieur femme est une ménagère nègUgento ou grincheuse 1 Q u a n t aux maîtresses de maison qui ont à gouverner un personnel domestique, elles ont besoin d'une préparation. J e ne crois pas que les occupations ménagères fassent j amais t o r t à la culture de l'esprit. Ce qui n u i t à une telle culture, c'est l'oisiveté, la perte de temps. Les occupations nous apprennent, au contraire, à classer les heures de notre journée, de sorte que beaucoup de choses y t r o u v e n t leur place. Eugénie de Guéiin surveillait la cuisine en lisant P l a t o n ; éllo no laissait pas pour cela brûler xm mets. Certes, aimons les grands, les beaux livres, auxquels on pense, e t dont on ne parle point trop, de pour de paraître pédante ; aimons aussi quelques livres d'une saison, de ceux dont on parle, e t où des esprits contemporains du nôtre ont courageusement t e n t é leur effort, maia respectons le rôti de Chrj'aale, car, s'il était manqué, les petits souffriraient, et les grands iraient dîner hors de la maison familiale. LUCIE O SILENCE, FÉLIK-FAUEE-GOYÀU. O DOUX FRÈaE... 0 lumièi'e dont la douceur toujours est de so taire, La Inine, iigrette d'or du del, s'effile et luit. Sois doux à ma faiblesse, ô allenoc, ô doux frère, Qui me donnes la main et marches sur tout bruit,,. Un rlea me briserait ce soir, hors ton Étreinte. Le tremble a trop souffert, vois-tu, d'avoir tremblé La force de son souffle aa nflétri la jacinthe, wume etri la j a c n i r u e , La. plaine, au loin, ^ « t v i ; + envia lo T^r^î.ia rfr.... rin, g é m i t s o u s le p o i d s d'or d u blé. y) <u Les beaux bras d e l ' a z u r q u i p o r t a i e n t l a h i m i â r e , Tombent divinement Jinent l a s s é s a u x é t a n g s froids ; Aveo tout ee qui ,ij fui flamme et c h a l e u r p l f n i è r e Le soir fait de ''• l ' a m o u r , a t d u b l e u siii lea b o i s . . .triste .... O silence I le soir fait du et du tendre Avea' les plia soyeux ds ta robe i aea pieds, Il fait son ard«ur toute avec des voix en O B u d ï e , E t ton haleine avec le sommeil dea rcsiers. ^ 0^ Sois lent à me parler, toi qui sais tant me dire Et serre hien tea bras autour de mon destin. Je té suis,., iu prendras le sentier qui soupire De se tuer lâ-bas, daas le noir du ravin. HÉLÈNE VaOAKE-SCO >•. o [Extrait dt( "Jardin Passionné' •a 'u ¡3 Travestis d'Enfants Tly eut, cetle saison, de charmantes fêta enfantines, et l'une des plus délicieuses fui le bal travesti qui eut Usa ches Mme 'Lucien Gaumont ; voici quelques costumes. II! FOLIE Beriks IAYSANNE LOUIS La -petite moni. Sanders, S V Cm- LA TÉIL Jeanne Tournié. IÍ05IKE Edith deJoicvsnel. DAME l^AYSAN André LOUIS LOUIS GeviTiaine Tatlegmin MASCOTTE B E K G È R l î L O U I S XV Simone Wissenia^er. CLOWK Le jeune Borie. il·fuo Andrée Sanders. XV Windifck. - s. M . L A EJilNE Hftr.ÈKE D'ITALIE Celte souveraine très populaire vtent d'inaugurer, au Capilolù, le Premier Congrès des femmes italiejmes, an présence du Syndic do Rome, M. Nathan, ei du Minisire de l'Titstruotion fiublique, M. Rava, qui jirmmyicireat de remarqmbles discours, Oa a. liesucoup admiré la délicieuse éUgimce âe la reine, ainsi que lsparfaite bonne grâce et le tact remarquable qui lui cmt permis ds répendre aux discours sms toucher aucun point f.pi;imx. Quelqu'un disait en sortant : « C'est un double tnérite que de savoir conqvS'ir les lauriers de l'lloq->AôHce quand on s'est d'avance assuré tous ceiix de la beauté. 9 LES FKÍSIDEWTES DES SECTIOMS Ds gauchi à droite: Mme Bisi-Albini, la comtesse Dora Mslegsri, la comtesse Taverne, la comtesse Dameli. Toutes ces femmes remarquables ont apporté tme énergie et une actiiiiti toriles masculities à l'organisation de cé Congrès. •a >^ ¡3 3 GRAND P E I N T R E : M"^ H é l è n e Dufau Depuis l'ouverture du Salon des Artiste.-: Trancáis, oii les deux panneaux décoratifs que Mlle Dufau a exécutés pour L· salle des autorités, à la Sorbonne, font sensation, il n'est plus question que de ce peintre admirable, dont la maîtrise s'affirme d'année en année. êtres''qui se cherchent et a'nnissent, et doivent à Jour présence continuel hanlieur. BUc donne à toutes les figures qu'elle point une variété du mouvement qui va de la grâce voluptueuse et abandonnée do la femme, à la grâce animale ct souple dos joueurs dc pelote, à la grâce fière des " p r o m i s " errant sous Jes tamaris. C'e.st l'éclatante revanche d'un esprit énergique et enthousiaste sur un corps asservi p a r sa fragilité. Tout de suite on voit bien qu'elle est Française, mais d'une France lointaine e t m y a t é r i D u s e . P a r ses origines, MJJe Dufau est Basque, elle est du pays de Eainuntclio, voilà qui explique ce caractère si concentré, cette volonté et cette fierté qui sont les grands titres de noblesse de sa race. L'avenir est long pour elle; a v a n t la maturité de son âge, MUe Dufau connaît la gloire. Les deï2x panneaux pour la dico^.ration de la salle des Autorités, à la Sorbonne; Asirononiie^ MaUiématiques et Enâioaiiiviié-Magnétisme sont le grand succès du Salon des Artistes Français en ¡908. Ce fut en plein air et directement qu'elle peignit dans le petit village d'UrrugJic, prés de Saint-Jcan-de-Lui, son célèbre jeu de pelotaris,oit s'agitent,si frémissants dcvie, ees Basques au profil sévère ct ces jeunes filles aux attitudes d'Infantes. Qttand elle voulut peindre Chiquito à Paris, le célèbre pelotari a p p a r u t un instant et ne revint jamais. Ces Basques sont insaisissables comme leur pelote, ot même une main basquaise ne sut pas arrêter celui-là. Mlle Dufau a.signé de belles affiches ; on sc rappelle celle du fronton basque ; l'homme vêtu de blanc qui s'élance; au livre de Paul Adam : Basile et SopMa, elle ajouta unecurieuse illustration. Pour les écoles, elle composa des images simples qui portent les bonnes paroles : « Aidezvous les uns les autres ! » Comment ne pas admirer l'œuvre synthétique e t j>anthéi,ite d'un peintre dont la pensée est si moderne et dont l'œil, si juste, étrcint l'éterncUe beauté. E t comment ne pas Jouer un talent qui doit t o u t à' lui-mère a et qui n'&Sit arrivé que par sa propre force I tu n'a vu au Musée du Luxembourg cet admirable tableau de VAutomne ; dans un décor da parc jaunissant, baigné de soleil, une E-n costume d'atelier. femme s'est assoupie sur les degrés de marbre d'une fontaine. Debout, près d'eUe, un jeune faune mire dans la lumière blonde tme lourde grappe de raisin. Ce poème de l'Automne, si largement traité, est d'une feinme, l'un de nos granda peintres modernes r Mlle H.-C. Dufau. Devant cotte œuvre synthétique et devant les belles toiles qui figurent au Salon depuis cinq ans, ûn s'arrête, étonné d'une telle maîtrise et d un tel renouvellement d'art, se demandant: qui est cette feinme ? D'où vient-elle ? Comment tiavaille-t-elle ?... Car MUe Dufau est célèbre, ei on ne la conni^t pas, Ls. voici : Elle est dans son atelier du Trocadéro, lumineux comme la tourelle .d'un phare. Le soleil, à chaque heure, entre par une fenêtre différente (ce qui est rare chez un artiste), S» piOusslère d'or flotte sur les grandes toiles où s'esquissent les projets de décoration pour u n amphithéâtre des sciences à la Sorbonne, baigne des études faites en plein ait sur les hauteurs qui entourent l'ardente Tolède, glisse sur les portraits, oii des jeunes femmes, heureuses, sourient, entourées des fleurs qui s'harmonisent avec leur grâce. La palette est abandonnée près du piano. Etendue sur un divan, ime jeune femme se repose, une guitare à côté d'elle. Elle est petite, menue, nerveuse. Sa tête fino et brune, avec ses yeux d'agate nuire, rappelle un célèbre pastel de Latour qui est au musée de Saint-Quentin, Mllo Dufau est «n être de réaction ; alors que beaucoup d'artistes, hommes et femmes, ne peuvent peindre ou décrire que ce que la vie leur apporte d'émotions et de passions personnelles, elle, au contraire, dans son œuvre, est en contraste albsolu aveo sa vie. De santé déUcate, elle n'a voulu peindre que des êtres inagnifiques, épanouis p a r l a joie. 'Vivant dans une solitude de bénédictine, ella a peint les ¡íV riîAVAIL Csiis photographie fut prise au moment où Mile Hilins Dufau esquissait et place i la cma-posHion ds ses grands panneaux poii-r la Sorbonne. t niellait en u ¡3 1^ i examinant les mslumu ans amasones gui cimiposent ceits filiáis y réunit à pm pris tous ks cosivmes cheval. C'est ains^qit e le petit paieloi-sac pour la monts à oalifourçhon, la iaquetie «jli^ ^ ' redingote claire, cape et jaquette noire, lempion et émanons clasfmf^, noire- s i ^ e '« 0 •a - IC AU .¿sfí fi*ííse DOIS ftianège... ÍÏO ™ ^ÍOJÍ Boii. '¿(¿(í-íiW'™*^ íí amaeone ds jantaisii ¡latlíe ctm/ah lilcmcho de oheval. Boulogne, on remarqm le hasard stnguher qui II Jiabs de iüüc vavss mnhiti ei blanc. Jaquette ornée de petites pattes boutonnées. .Rmers de toile vert pré st cravate de dentelle. Blouse de dentelle neinturée de liberty noir. La manche de la jaquette sst plaie et i'arrète au covle Êti un revers de toile verte semblable aa col, haut volant de moiisseline blanclie. Grande capeline d'ilalie avec cotironne de roses, grosses aigrettes blanches s'enlevant à gauche du chapeau et fixées par une boucle de nacre. Gants de Suède chamois et hoiiines jaunes. Costume de tussor kaki. Longîte redingote rayée tle petits galons blatics. Manches très partiimtiàres, montées en épauisHes. complétées par une iria-Ache froncée et longve ; volant de mousseline encadrant la fermeture de la ma-nche. Gilet croisé en broderie anglaise Costunte composé d'une jaqueite-unie et d'une jupe rayée. La jaqueliê esl en knle garnie de bians âe toile dit même ion. Revers de piqué blanc. Jupe disposée en biais, ornée dc bandes de toile unis disposée devant en tunique. Blouse de lingerie. Volant long et souple tombant en chute sur le devant du corsage. Chapeau de paille blanche entouré de hautes palmes de plurt-tes bleues et drapé de taffetas, glacé blanc et bleu autour de la 'calotte. Voilettes ds lulle bleu. Longs gants ic suède gris et souliers de daim. gria. (U i e i jupes de campagne et de sport sont plus couries que jamais. — Jfabillez-voiis de serge, si le temps est gris; de piqué blanc, st le ciel esl clair. — I vous le voulez bien, nous irons, cette quinzaine, mes chères lectiices, faire uu petit tour à la campagne. Ce n'est pas que, surtout ponr celles d'entre vous qui h a b i t e n t Paris, la ville ne soit pas encore pleine d ' a t t r a i t s ; nous sommes,cn effet,en pleine saison de fêtes, de gardenparties e t de courses. Mais j'ai assez parlé de ces chiffons brillants qui parent la beauté des femmes dans nos réunions mondaines et, au moment même où ces radieuK chiffons sont en pleine flcraison, il n'est pas désagréable de songer à, u n peu de simphcité, et à nn peu de laisser-aller. Ces sortes de contrastes reposent parfois l'esprit e t aussi les nerfs. Aussi bion, avec le ciel plus bleu, avec le soleil plus gai, avec la tempéra- S •. A jupe courte, longue, jaquette ne saurait convenir. - Pour l'aulemcbile, , adoptez les'grisailles et les mélangés, car la poussière, c'e.-!} l'ennemi! - ture plus chaude, on conçoit, n'est-ce pas, des idées verdoyantes e t on se sent quelque goût pour la campagne. Là, à, l'ombre des arbres, le íla-íla n'est plusj:peimis ; il est de bon goût de sc montrer sous de très pratiques et de très simples atours. Je ne saurais donc trop vous conseiller — votre villégiature ne serait-elle même qne de quelques jours — de n'y point emporter ces jolies fantaisies, dont Je vous parlais dana m a dernière chronique. Point de fauxjpratique, mais du vrai, du net, du solide. Si les j o m s s'assombrissent,' s il pleut, si l'air devient trop fi-ais, vous avez la flanelle on la scrgp, cette dernière préférable, parce qu'elle ne se foule pas au nettoyage : serge blanche ou serge •D >^ 'u ¡3 3 Lmig manteau- de voUv/re itis souple fur-tnant pèlerine et se croisant derrière en W. Petit col de satin •n-oir.Manches tris amples et s'ouvrant sur le dessus. Robe de.linon rose pâle Jmdé blanc. Deux iiolants Ismiinmit le bas de la jupe. Corsage plat entièrement brodi. Grand chapeau blane drapé de mous¬ seline blanche. Immense plume blamche dressée devant, et retombanf- derrière en panache- Paletot long sans manches e» liberty bleu meim avec large biais de mousseline Manche bordée d'un biais de satin blanc formant les -ntanches. Rohe de linon Uanic brodi de pois, fiant volafit de broderie tenant la- moitiâ de ¡a jupe. Corsage drapé dans mie haute ceinture brodée. Gmmpe de mousseline uiiie remplissamt le décolleté. Grand chapeau noir, couvert M plumes noires. bleue, suivant l'usage que vous lui destiner, suivant votre âge ausiji. Si, par contre, le ciel est clair — ce qui, en dépit des fantaisies de nos saisons, arrive parfois — je vous recommande le piqué blanc, si joli, si net, et qui possède ce précieux avantage de se laver IndéiimEneiit. Que ce soit la serge ou le piqué, la ionne ne varie pas : jupes courtes, très courtes, beaucoup plus courtes que vous n'y étiez Iiabituées, inesdaines, puisqu'elles ne doivent pas descendre plus bas qu'une bonne main, audessus de la cheville. C'est la mode nouvelle, lancée et acceptée par presque toutes les femmes qui habitent la campagne ou qui y font do fréquents séjours, par tontes celles aussi qui voyagent et se déplacent souvent. Mode vraiment rationnelle, et confortable, qui est bien dans le ton de notre époque, si sportive et si mouvementée, mode plaisante qui a son élégance spéciale, et qui ne concerné point, remarquez-le bien, les toilettes dc garden-i^arty ou de casino, modèles spéciaux sur lesquels nous aurons l'occasion de revenir et dont la façon sera identique à celle des toilettes portées à Paris pendant la saison. Ces costumes courts, campagnards et voyageurs, sont complétés par dc cliarmantes guêtres, qui ajoutent à la crânerie de leur aDurc. Notez donc Grand manteau de voiture très a-mple en liberty verí, grasse torsade de passementerie, motifs el boucles indiquant ta fermeture. Robe de mousseline blavhche rayL· d'entre-deux de dentelles fines, haute bande de toile UancM entièrement sculachie, alourdissant le has de la ju-pe. Guimpe de tulle blanc. Grand chapeau noir entouré d'une fantaisie de plumes noires qui s'enlèvmi. que la guêtre de drap assorti au costume a un peu trop l'air * cbasser:r » et qu'il corvient de lui préférer la guêtre de piqué blanc immaculé. Ccjîcndant, quelques-rmcs d'entre vous, mesdames, trouveront perit-être qu'elle grossit uu peu le pied : je lem conseillerai alors d'adopter la guêtre de piqué gris ou chamois. Les jupes de ces trotteurs de serge ou de piqué seront presque toujours plissées: il n'y a pas, à mon avis, de plus jolie forme pour une jupe très courte, à qui le collant, précisément à cause de sa façon, est absolument interdit. Je n'ai pas besoin, en efiet, d'attirer votre attention sur ce qu'il y aurait do laid ct d'intonveuant à adopter ici lo « collant s-, tandis qu'une jolie jupe phsfiée, s'évasant bien du bas est tout à fait charmante, avec son aspect do a „,,„,..l,. ir,.,» „„„ .l'oUl^.rc o ^ + T,U= encore les disposer de façon ingénieuse, les croiser, les mélanger, en tirer ainsi des effets imprévus et gracieux ? Constatons enfin que l'unique volant dans Iflübis ne se porte plus, non plus que le tablier si longtemps en faveur, et que si la jupe n'est pas à plis •— car enfin elles ne le sont pas toutes — la ! : u ¡3 Rolis Al toile Neu del. Cofsage-boíero s'ouvrant sur une bloiiss de tulle blanc. Jupe formée de pa-nn-saux soutaohes, .lepares i>ar des bandes de linon brodées mi phtmetis. Haute ceinture de taffetas noir. Petite collerette plissée autour de l'encohire du corsage rayée de deux petits biais de satin noir. Grosse toque de crin gris aoec choux taffetas noir. Robe de taile corail ajustée à la taille par deux gros motifs ds passementerie âu mime ton mec gros glands.^ Corsage-boléro orné d'une grosse broderie en relief. Manehes terminées par un pli large sunnonté d'une grosse broderie semblable à celle de l'encoture. Grand chapeau de paille noire sur letpiel se dressent deux immenses ailes brunes et corail. couture est devant et ceci ne s a u r a i t supporter aucune espace d'exception. Bien entendu, à jupe courte longue j a q u e t t e ne saurait convenir, Celle-ci restreint donc beaucoup les proportions qu'elle adopte avec nos robes habillées : toutefois, elle reste arrondie, assez collante à la poitrine, mais encore u n peu décollée à la taille. Les manches t a u l e u r doivent Être très siipples, très longues, à peine soutenues à. l'enmímcluire. E t , dessous, ce seront des blouses de linon, plus ou moins Un, plus ou. moins ouvragé de petits plis. Plus ce costume paraît simple, plus il est chic et le genre lingerie très n e t t e semblera d'une élégance plus certaine que les guipures et les dentelles, même de prix. Le jabot finement plissé, orné ou non d'une minuscule Valenciennes, est devenu une sorte d'uniforme, depuis les premiers tailleurs printaniers, e t i l est fort joli, à la condition, bien entendu, d'attester toujours une irréprochable fraîcheur. N'oublions pas enfin la ceinture, qui sera de piqué blanc ou de peau souple blanche. L a question si complexe des dessous reste toujours d'actualité, ct il convient d'en dire u n m o t à ce propos. P o u r celles d'enti-e vous, mes chères Robe de tussor bis, Tuniqtfe tombant de l'éfatUe, s'entomant autour du corps, bordée d'une largebandesoutadiie « pain brûlé a, Bauls ceinture de hberty brun fixée derrière. Manche cmtrte â'ùà s échappe tme manche de mousseline blanche plissée. L'ettcolure de la robe. Iris échancrée, s'ouvre sut un col ie mousseline ssr/iblahle aux manches. leotiiccs, qui, cédant aux volontés de la mode, avez adopté la combinaison ou la culotte ds sa.tin, elle est toute résolue. iWais combien sont réftaotaires encore et s'en tiennent au japon : en oe cas, i S jupon de lingerie, p a s trop froufroutant, est bien plus élégant, l'été, que toutes les soies imagürables,^ J'en arrive enfin, mes chères lectrices, au chapitre des chapeaux, qui ne laisse point que d'être assez délicat h étudier, à propos de ce costume d'un genre spicial. En effet, il ne peut gaére être question ici de la grande charlotte, d'allure si Trianon et qui,ravissante avec des modèles plus souples, ne s'harmonise guère à des toilettes d'une allure si cavalière. L e panama est-il donc si décrié i> J e lui vois, cependant, encore de nombreuses fidèles, mais elles le relèvent, cette année, d'un seul côté, et y ajoutent le mol enroulement d'une echarpe de soie blanche ou de nuance vive ; cerise, bleu de roy, mandarine, veit-Empire... Le p e t i t chapeau de toile souple garde aussi des adeptes, mais pour conserver uir brin d'élégance, il .a besoin d'être blanchi chaque our. Tel est donc, mesdames et mesdemoiselles, dans sa ligne générale, le cos- (U - •D >^ 'u 3 Costume de Unnis. Jtipe pliss6e\ àevaiil et alter- P^^-^f^f ^^^Itnant sw les catês avec ''des panneaun ums et des fifjJ;"J^¿;¡ quilles plissées. Corsage formé débandes boulonnées Costmm de icnnü. Me s·ommnt m double fli ievmt et trois gres louions et boucles de passementerie. Bre^ ùdL formées de bandes brodées dans le style linon blanc if^^f-ff^ m-yrthe. Chameau panama relmé sur le côté avec rubm gros vert antotir SM fond. [FÂLÂATDE ti tombant sms coutures sur les épaules pour former des manches demi-longues. Col et manckei en mie, terminés par im petit plissé Ungsne. Petites poches 'carrées placies m-dessus de la cemture. ^1 tume de ca-mpagne actuel. C'est anssi un costume de sport, et lorsque noti-e amie Françoise joue au tennis ou au golf, elle nous appai'ait, ainsi vêtue, très crâne d'allure, fort charmante et coites, t o u t à fait de son temps. Cependant, comme je ne veux point vous sembler exclusive, je vous dirai qu'il est d'autres toilettes de sport, d'autres toilettes de campagne fort élégantes, et noti-c coDaboratei-ir Keué, qui a infiniment do goût, vous en offre, aujourd'hui, trois aimables spécimens, dont vous appréciere^, j ' e n suis certaine, le charme correct et la jolie fanfaisle. Les deux premiers sont, ainsi que je vous le disais, des modèles de tennis pouvant s'appliquer aussi bien à t o u s les sports, qui ne sont que des jeux, qu'à des simples toilettes de campagne. Quant au troisième, c'est « n d é l i délicicux costume de yachting, "destiné aux feinmes qui le pratiquent -sérieusement : jupe suffisamment courte et petite vareuse d'officier. Quant au béret, il semwe décidément devoir remplacer la casquette, qui avait paru rin moment plus distinguée. Mais je ne vois guêre^que les jeunes filles e t les très jeimes femmes à qni il puisse convenir et qu'U coiffe bien. urne de yacht. Jupn pUssâe en serge blanche régulièrement plissée. Petite vareuse de drap bleu marine, à bandes piquées. Botitons de niéfat doré, mures brodJes sur Us revers et les poches, c/temisette di lingerie. Petit béret de drap bleu avec ruban de satin noir noué autour du bord ei termini en un nœud noué sur le côté. M a ds i s )le yachting_ e s f u n sport auquel n e s'adonnent que quelques privilégiées et il est certain que Vautomobde est beaucoup plus répandu. Si toutes n'en font pas, presque toutes y pensent. Les grisailles et les mélangés, dont j ' a i médit t o u t à l'iieure, preiment ici leur revanche. Ce sont des étoffes contre-poussière, et le véritable ennemi des feinmes, en.automobile, c'est la poussière, l'horrible poussière, qui pénèti^e partout, et qui vous laisse peu de répit. Pour la coiffure, après des essais aussi nombreux que biscornus, on n'a rien trouvé de plus commode et de plus seyant que la casquette, le canotier, ou môme nne simple toque, emboîtant bien la tête et solidement assujetti, que l'on enveloppe d'une de ces grandes echarpes de mousseline de soie, serrée sous le menton, E n nuances tendres ou vives, cela n'est pas trop laid, ou du moins, cela ne nous semble plus laid, car nous nous y sommes habituées. E t l'habitude émousse nos sensations e t nos opinions. d'Art épistolaire «Adieu, mon chef oncle portez-voas bien et croyeï à ma bonne affection. » XMEz - VOUS recevoir des lettres ? P o n r rna p a r t c'est nue • des pins g r a n d e s joies de m a vie, KcinarqneK que les courriers sont en général chargés de prospectus, de factures e t de missives inutiles. Qu'importe ! Cette enveloppe cachetée qui est là, sur m a table, c'est un peu d'inconnu, d'imprévu, peutêtre! Je la retourne cent fois cette enveloppe, je savoure l'émotion qu'il y a à l'ouviir. Je fus donc servie à souhait et,je puis bien vous en faire l'aveu, trop bien servie, chères lectrices, lorsque j ' e u s à décacheter les deux mille six cent soixante-trois lettres !1 q u e me valut l'avis inséré dans JFsmina à la suite du délicieux article d ' A b e l H e r m a n t sur les Lettres d'hier et d'aujourd'Imi. J e tiens à vous dire la conscience aveo laquelle je me livre au long et minutieux travail da lecture, J e n ' y eus pas grand mérite : la t â c h e m'amusait. Commençons par les compliments. Je vous assure que toutes ces lettres sentent bon, nn. frais parfum de n a t u r e ct de p r i n t e m p s . 4 Impressions d'un voyage d c vacances », avionsnous demandé. Or nos corresjjondantes o n t marqué le pins vif a m o u r e t aussi la plus pénét r a n t e compréhension de l a n a t u r e . Beaucoup de concurrentes sont jeniies, j e m ' e n suis aperçu a u x écritures encore indécises c t m é m e au « papier à copie », avec m a r g e rouge, s u r lequel nous transcrivions, jadis, n o s devoirs de style. J ' a i trouvé dans ces lettres-là, p a r m i des maladresses, des fautes mémo, des-phrases charmantes qui m o n t r a i e n t q u e l'on a v a i t dû rêver d e v a n t u n paysage, s'imprégner de sa grâce e t d e sou harmonie ; il y a des mots qui ne t r o m p e n t pas et Jean-Jacques Rousseau, « l ' h o m m e d e îa nature e t de la vérité t, e û t éprouvé u n grand bonheur en dópouüiant ce délicieux courrier. Aux critiques m a i n t e n a n t , Kos lectrices o n t eu t o r t de n e paa laisser libre carriàre à lenr imagination Î la p l u p a r t d ' e n t r e elles se Sont retrouvées petites filles, gênées d e v a n t le devoir de style à parachever. I l y a t r o p de p e t i t e s fleurs, d c petits oiseaux, d'expressions t o u t e s •, faites, d'images qui ont t r a î n é p a r t o u t — e t pas toujours dans les meilleurs auteurs. Enfin — j ' e n arrive au reproche le plus grave — il y a de manière générale un regrettable m a n q u e de simplicité. T r o p d'adjectifs, 6 mes chères et, pour la p l u p a r t , jeunes amies, trop d'adjectifs, t r o p d'adverbes 1 ' i i premier prix, un bijou d'une valeur de 5oo irancs, a été remporté par Mlle Marie-Louise Varenke, 6 dis, boulevari Fereirs, Paris. Sa lettre possède de charmantes qualités d'esprit et de grâce. L a voici : « Il faut aimer l'autordobile, parce qu'il convient d'être de son époque et aussi parce que je ne connais pas de moyen plus merveilleux pour ne plus pensar avec l'intensité, la lièvre parisienne. L î i vitesse est un calmant suprême et, quand une main ferme est au voiant.cela se double d'unedélici en .'îe sensationdesêcuritê.Bien emmitoufiéedans des fotnrures, je suis donc partie, un peu à l'aventure, déjà heureuse de cette affreuse banlieue par laquelle il faut bien passer, ou les arbres ont la tuberculose e t où le gaaoñ e s t niaugé par la lèpre. Mon mari est devant, a.vec le chauffeur ; on ne distingue de moi qu'une silhouette v a ^ e : quelque';phoEe comme uue ourse qui, se serait voilée avec de'la gaze verte. Au fur et à mesure que nous avançons, les maisons se raréfiea t, remplacées p a r des guinguettes, d'humbles • maisons et do psuvres champs où la nature, malgré les cheminées d'usine, fait quand même son œuvre. « Par où passons-nous ? A ma droite, enfermée dans sa gaine de mica, une c a r t e d'ètat-major attend que je daigne la consulter. Mais tout g e s t e , toute pensée, me sant d ' i n s u p p o r t a b l B S eflorts. La earte restera où elle est. Il me suffit de ramasser tone les lambeaux <J'iotelLectualité qui sont disponibles en ma cervelle, pour redouter l'écrasement (fes chiens et des poules que j'aime d'un amour paternel, mais qui sont, devant la trombe qui passe, d'ixne imprudence frisant l'imbécilité... < Nous allons, nons allons, nous arrivons dans des villages où il n ' y a d'autre boutique qae le fatal débitant d e twisson et rimmanquable marchand de caries postales illustrées. C'ast une procession de petites places mornes. L'église, la marris, trois platanes et deux vieux qui devisent paisiblement, sans se soucier CnAtran PiA. du progrès q u i défile à soixante kilomètres à l'heure, devant lours yeux indiftèrenta. I Soudain le ronronnement de l'auto s'apîi.ise : «Nous nous arrêtons ? demandé-je. Mon mari secoue la t è t e , furieusement : » Alors I Alors ! » «Lerom-ouDcment s'éteinttûutàfait.C'estlapanne. Ressort cassé î interroge un antomobiliste. C'est demande à un joueur de bridge son avis sur la quadrature du cercle... Deux heures plus tard nous sommes encore l à . 'Mous dînons dans une auberge, la nuit tombe et nous sommes forcés de demander asile... Í Ne croyez pas â une histoire renouveléedecelle du iaulbûu qui immortalise dans les anthologies ie nom de Paul-LauLs Courier. Il ue s'est rien passe d'extraor. diuaite dans cette auberge, une forme plutôt. Mais le crépuscule y fut plus exquis qu'aillaurs. Un crépuscule gris-perle et lilas, La petite ferme se réveillalt dans u n e paix suprême, une glychie l'embaumait de SCS grappes lourdes qui l'auréolaient c o m m e une couronae de fleurs sur un vieux front. Le chien, d o u x et confiant,posait Euccesaivcmcut sa grosse tête affectueuse sur m e s genoux. Les vais de 'Verlaine chantaient dans ma mémoire. Mon D i e u I Mon Diou 1 la vie eet là, o H l m e e t t i û a q ^ e . t Un rossignol nous donna un divin concert ; — Je voudrais vivre ici, mu'rmurai-je... < Hélas I le lendemain, par un ciel gris et par uae brume ignoble, hék.s ! que restait-il "de ce tableau enclianteur î les parfums de la ferme devinrent de lourds relents : ie rossignol était remplacé par un habillé d e soie, d ' u n e ooieuse saleté, une tciatesse i n commensurable tombait d'en haut,' suintait des murs, et les fleurs paraissaient des âcurs de cimetière I t Nous sommes repartis, très vite, s i vite q n e la dernière impression se dissipa e t que si je n'avais pas pris la plunie pour raconter ces pauvres choses, je n ' e n garderais d'autre souvenir que celui^d'un crépuscule rdas où tremblait la lueur éperdue d'une étoile. » Maiuü-Louisií Vaiuíhme, fi bis, boviaisrd Perr-ire. Mlle Ciando Pia, d'A Iger, nous raconte simplem e n t e t • p o u r t a n t d'une façon saisissante une invasion de sauterelles dans son gays. Le j u r y lui a accordé le second prix (un bijou d'uno valeur de 200 francs). ^11 était onze heures du matin quand le soleil, splendide, s'est subitement voilé. Un gros nuage lourd, opaque, s'est rapproché ; des crissements se sont fait entendre ; des cris de peur, d'étonnement ont jailU et sur las têtea tendues toutes vers un point unique, des sauterelles sont tombées... Aux premières clameurs je m'étais élancée sur mon balcon ef je fus bientôt gagnée par l'excitation générale. Au bout de quelques minutes, je profitai d'une accalmie pour sortir. Tous les ti:ottoÍTS étaient-couverts de ces bestioles grouillantes, ce qui rendait la marche difficile. Je pris une voiture pour voix la c a m p a H i i e ; le sol seiabhiit ae mouvoir. Mais soudain la lumière sc déroba encore et des hurlements eSroyables fusêj:ent, accompagnés de bruits d e ferrailles frappées l'une contre l'autre. C'étaient les Arabes (iui,%'ûyant venir un autre nuage, voulaient le repousser jusqu'à la mer. Ils n'y réussirent pas e t malgré leur cacophonie à rendre sourdes toutes les sauterelles dc l'univere, nous e n fûmes inondés. t Dans ma voiture découverte je m'en garai le mieux queje pus sous mon ombrelle ; j e les entendais crépiter surta soie, puis tomber, sauter, grimper, voler 1... Les Arabes en avalent pris leur parti et les ramassaient dans des sacs, "parce qu'il paraît que cela se... croque comme des bonbons quand c'est bien sec... t Une odeur atroce a cominencé à envaJiir l'air e t je suis venue me mettre à l'abri pour vous raconter mes impressions. On m ' a appris que les pauvres bêtes v e naient du désert pour pondre en pays cultivé, afin que leurs petits trouvent à se nourrir. C'est d'un instinct sublime, mais gênant pour.les colons. J'attendrai cependant la naissance de ces phénomènes¿qu'il est. curieux de voir, ai-je entenda dire ettcore, prendre leur saut, non, pas tout de suite, leur vol.vers VOrient, leur patrie... Voici u n e jolie lettre de «Françoise on petits s a b o t s * adressée à son oncie illustre, Marcel Prévost. < Oui mon cher oncle, o'est Françoise, iîrançoiae à la campagne. Française en petits sabota,., «Vous connaissez trop votre nièce, m o n cher oncle, pour supposer un instant q u e si je suis partie c'est par Îimple caprice de Parisienne. La cause de ma fugue, c'est encore u n «Joas de canscienccs, u n <i étal d'âme» comme ceux qne je vons ai déjà confiés et dans lesquels vous fûtes un si liabile directeur. Voilà, mon oncle cette fin d'hiver m'a laissée u n peu ennuvée de tout, énervée par les gens et la v i e de Paris.,, , Comme la vie des champs est bien faite pour vous, remettre d'aplomb de corps et d'esprit 1 j e sens déjà que Je vous rendrai dans quinze jours u n e Françoise t o u t e neuve, une Françoise q u i de nouveau coraiaendra mieux la vie et saurajmieux la prendre, qui aimera plus que jamais 50ni.home ; qui vous reviendra toute i'mprégnée de sève nouvelle, toute parfumée des dernières violettes avec encore d e grandes aiguilles da J>m dana ses cheveux... Et je m'étais interdit d'éorire en roc promettant de panser beaucoup, mais j e ne sais pourquoi je m e suis éveillée ce matin avec un cœur léger, lê.^er... Je suis descendue au jardin et j'étais si joyeuse que j'ai souhaité da bonheur à tout le monde : que Pierre ait bien vita £ni de planter ses fleurs pour aller ensuite causer un moment avec sa rieuse fiancée. Que le gamin ébouriffé qui sifflait en se rendant àrécole sache â merveille ses leçons et qnel'inslituteur, mis en gaîté par le soleU ne fasse jms pleuvoirlespensums. J'étais on train de vouloir beaucoup de joie autour de moi quand j'ai vu arriver le facteur. De son sac, qui porte du rire et des larmes, il a thé,,. Femina. • ) J'ai fait sauter la bande et j ' a i ouvert bien vite, et la première page qui m'est tombée sous les yeux, c'est ia vôtre, mon onde.ca sont vos 4 Lettres à la lectrice Me voilà maintenant tout à fait convaincue qu'il y a une sorte d e transmission de l a pensée, da communication d'âme entre ceux qui s e connaissent et qui se comprennent bien réellement.S Vos sendments de 'François d'Assise m'ont expliqué les'miens et je manque à une de mes résolutions pour vous le dire, » Toujours affeolneusement à vous. > i riiwçoisïï. J e m'en voudrais de ne p a s citorencore quelques lignes de la délicieuse l e t t r e ' d e M l l e H e n n e i t e B a fadire,60,rue de la Condaminc,Paris, t o u t e débord a n t e d'une sensibilité tendre, d'un stjde sou_ple, à la fois précis et fuyant. Ce sont des impressions d'excursion que nons donne MUe Henriette Baradère, â qui le j u r y décerne le premier des huit souvenirs promis aux auteurs des huit lettres classées après les deux premiôrea. ,..< J'ai v u Cambo, il pleuvait ce jour-là, j'étais seule, en auto, ;ie suis descendue snr les bords de la Nive. elle était jaunâtre, boueuse ef elle courait vite, si vite, à sa perte, la pauvre, tont comme leshommes. Quelque thoss d e poignant m'étreignait le cœur. ...•Et j ' y suis revenue par un jour de soleil, j'ai vu, je vous le jure, la montagne toute de nacre, ce fut un mirage, uu èblOuissement 1 Sans doute pour nie faire fête, eile s'était vêtus d'arc-en-ciel, c Les sept autres • souvenirs iront à Mmes e t îiniss Marcelle Solaire, 1 1 bis, rue d'Edimbourg, Paris ; Georges Assolant, 4 bis, rue d'Anjou, Versailles; Hélène Fontaine, 16, r u e d e la Défile, Hautourdinlez-Ville; G. Basset d'Auriac, souspréfecture de Melle (Deux-Sèvres) ¡Yvonne A lexander, 2 4 , rue des Soupirants, Calais ; M. Potdevin, 6 1 , avenue du Roule, Neuilly-sur-Seine ; RolaniGûsselin, colline de la Paix, Villefranche. Ces prix s o n t . des encouragements. Poisse l'exemple donné p a r Femina nous donner une génération de belles épistolières, de ceUcs qm,siir le magniñque papier do jadis laissaient courir des pattes de mouches qui étaient des phrases fines e t profondes, douces et tendres, (U '.^ HÉLÈNE AVKYL. P,S, Mea lectrices trouveront page xxii des feuillets de garde les mentions décernées aux concurrentes dont les lettres ont été tout spécialement remarquéesEUes trouveront même page la suite des mentions attribuées pour le concours des Margnmies e t pour L enquêta sur le type idéal de la Jeune fille tmaçaise; page X X la liste des primes que Pemina réserve à ses abonnées d'un an. H. A* 'u ¡3 3 Conte inédit par Paul MARGUERITTE l - ' I t/»f cavalièrr, le long d'une rampe ie roches, déroula son ruban grisâtre, tormare de ses bas notés : uns bonne mute d'entminement... — Pélican e s t neri'eux ce matin, monsiem: le comte fera bien de se méfier, dit Fred en tenant l'étricr à M. de Certes. Celui-ci s'enleva en selle et, malgré la velléité que Pélican e u t de Se cabrer et de se dérober, il le ramena docile et prit par l'allée des Sycomores. Le lad les regarda s'éloigner : u n beau couple, l'homme jeune, grand, souple; la cob énergique, beau i voir aveo sa croupe rocheuse d'Irlandais, sea jambes à, long poil, dont les bas fauves contrastaient avec le corps alezan clair récemment tondu. M. de Certes n'éprouva pohif la jouissance ordinaire qu'il éprouvait à tenir entre ses mains e t à sentir e n t r e ses,jambes une bâte de p r i x et, ce qui valait mieux, une bâte pleine de feu, d'endurance e t de courage. Mauvaise disposition ? Un souci ?..- Mais pourquoi, et d'oii ? U n pont de bois rustique, sur le ruisseau large de la Coulaine, — Pélican ronfla, peureux, — et du p a r c on entrait dans le bois de pins, feutré d'aiguilles brunes couleur de tabac. Les ramilles vert sombra faisaient paraître le ciel plus bleu. Une splendide matinée, décidément! • E t M. de Geries n'en ressentit aucune joie. Il venait de q u i t t e r son exquise jeune femme ; Gisèle s'était laissé embrasser avec une tendresse délicieusement endormie, rendant les baisers au petit bonheur. Etait-elle assez jolie, perdue dans le grand lit, éclatante comme une rose c t chauds comme u n e caille. A. cette amoureuse vision, une analogie d'idées suscita, par contraste, la rigidité définitive dont jouissait désormais le dai'nier sommeil de leur grand'lante, Mme de Chevroohes, et la perspective du considérable héritage qu'elle laissait. Méchante, avare, tracassière, aussi laide d'âme q u e de visage, alla ne laissait à ses neveux aucun regret. De Certes n'était pas intéressé, de plus il était très riche ; mais l'or s'amalgame volontiers avec l'or, et en t o u t autre moment il eût souri au million laissé p a r leur acariâtre po rente. Mais, — voyons, Péhcanl e t un coup d'éperon accentua le blâme, — aucun plaisir n'accompagna le souvenir de Mmo de Clievrocbea confortablement murée dans le seigneurial caveau de lamille ; et même l'image séduisante de Gisèle, dans sa tendre langueur, le laissa indifférent. D'habitude, aller ains.i, dans le jour clair e t vif, sentir en soi, au r y t h m e du pas ou d u petit galop de chasse, une harmonie dc force e t de santé, causait à Henri de Certes nue rare allégresse. Anjourd'bai, rien. Cet é t a t morose et inexplicable de vide, de néant, de vague misère et de mécontentement de soi qui vient souvent de l'excès même d u bonheur, par irop d'assouvissement. Heureux î Ahí parbleu, oui, il l'était, avait toutes les raisons de l'être. Alors î" Alors, un pli d e rose. Mais pourquoi ? Plus il s'interrogeait, et moins il trouvait. Satisfactions d'amour-propre, certitude d'Être aimé, plénitude de l'être physique e t moral, ane vie selon ses goûts, de bons amis, hier les Livreuil, demain les' Brascaret, de belles chasses à courre, une bibliothèque où so trouvait de tout, depuis les pins nobles chefs-d'œuvre jusqu'aux romans frivoles, passe-temps légers d'uno soirée, de la bonne musique avec Gisèle, il avait t o u t . Que lui mauquait-Ü encore? Il pouvait chercher, rien, non rien vraiment. Même p a s le mauvais petit plaisir que nous tirons des sentiments médiocres, des propos lestes, des médisances ou des tentations équivoques. Ce diable de Livreuil avait tant d E S p n t , le gros Brascaret t a n t de fine méchanceté, et avec î i a x Cliallango arriverait, deux jours après, sauvons les apparences l — la toujours belle Mme de Pouars, la veuve et blanche Hermine, avec sa fille Lisette, séparée de aon mari, le banquier Hasfer. 4 Ah ç.à, voyons, mon ami, qu'est-ce que tu as ? Secoue-toi, c'est trop bête I t a fl il S'étant ainsi admonesté. M, de Certes constata avec regret qu'il restait aussi veulc, en proie a un dégoût de t o u t et de lui-même d ' a u t a u t moins aurmontable qu'il n ' a ^ i t ni raison m excuse. , , , Un brusque écart de Pélican le rappela à la nécessité de s'occuper moins de lui et davantage do son cheval. C'est vrai qu'il était nerveux ce matm. Pélican! Drôle d'idée de baptiseï- ainsi les c h e r a u x en suivant le dictionnaire 1 Pélican était le clieval d'armes d'un général, â qui de Certes, sur un • brusque engouement, l'avait acheté entre deux bouffées de cigare, après le déjeuner. _ Sacré Pélican! H prenait ti'op ses aises, dans la v i e oivüe, M. de Certes fronça légèrement le B o u r d l à un coup de raquette que Pélican, sans provocation, jugea bon de détacher, puis, plus ferme en selle q u ' a v a n t , il sourit. Le pli de rose ? Ah! fichtre non! Ce n'est paa a u j o u r d h u i qu'un' cheval l u i ferait pem-. Jamais les clairières, jamais les gaulis, jamais les sous-bois de mousse n'a^^aient été aussi réconfortants à voir, t o u t e cette grande vie immobüe des arbres, de la terre, du ciel. E t jamais Henri de Certes n'avait jugé ce spectacle d a féerie auSsi maussade. A pehie répondlt-ü, lui si courtois envers les plus humbles, au salut de deux bucheP'ordinaire son regard perçant savait distinguer au plus loin la livrée de velours marron de ses gardes, et d ' u n temps de t r o t il était sur eux, écoutant aveo un intérêt do propriétaire lésé leur rapport contre les braconniers, qui vraiment abusaient, surtout le grand Jules. Aujourd'hui il ne se souciait ni du grand Tules — i l pouvait bien tendre ses collets! — ni du brave R a v a u t et de son fils, ses deux plus vieux gardes, médaillés l'un et l'autre. L'invisible p l i dc rose, toujours! Une cairalièi'e, le long d ' u n e rampe de roches, déroula son r u b a n grisâtre, l'ornière d e ses bas côtés : une bonne roiite d'entraînement, ni trop molle, ni trop dure, quelque chose d'élastique et d e ferme. — Allons, Pélican! E t Pélican prit le galop, u n joh galop r y t h m é comme une valse à trois temp.s, puis peu â peu gagna à la main, avec de belles enlevées, de ces foulées, pa-ta-tîc, pa-ta-tacl qui détendent à pleiii l'allure et réjouissent comme u n e cadence musicale ua cceur de cavalier. E h bien, mais il allait comme, un ange, Pélican ! Déjà la rivière, à. gauche, de rouiUe noire entre ' l e s frênes. Plouf 1 Un éclair de cinématographe arrête net. Quelque chose de noir e t d e blanc qui tinte la Soche. Les arbres à l'envers, le sol pour plafond, e t M. d e Certes passant par-dessus la tête d e Pélican gliSsC, glisse sur là pente d e la ber^e, Va-t-il rouler dans la rivière î Un sale endroit, huit pieds d ' e a u et des herbes ?... Non ! l'instinot d e la conservation !... Son pied heurte u n e souche, s'y agrippe ; s e s mains, qui dans la surprise ont laché les rênes, enfoncent le grappin dans la terre humide. Il s e cramponne à presque rien, de toute son Pélican lire mi renard / Un effort, hardi t... lout casse/ Non.,,, de Certes remonte... donc I Pélican s'a(jole. Crac, Aie énergie, dc sa volonté têtue à ns pas mourir, dc son horreur d » trou liquide qui le happe, le tire aux jambes, alourdit ses reins, le fait de plomb. Il glisse. U glisse... La souche pourrie peu à peu cède. U entend déjà le bruit d u plongeon ; l'eau de rouille sombre déjà lui glougloute a u x oreilles, il croit la vomir déjà, se débat, ptss a u x herbes visqueuses. Noyé t... un fuiieux, un voraco instinct le soulève. Il glisse encore... plus bas.., c'est la fljil Une lanière d e cuir fouette sa main crispée, la rêne de bride qui flotte à taire. Il la saisit : une secousse le d.éracine. F.., ichu I Une a u t r e secousse ! PéUoan tire au renard ! U n eflfoct, hardi !.,, Crac, t o u t casse ! Non,,,, de Certes remonte.,. Aie donc ! Pélican s'afíole : — Tira, sacré n o m ! , , . S a u v é ! A genoux, gras de terre, ruisselant de sueur, livide, de Certes se redresse,; une liorripilation lui court au long de l'échiae ; il s'approche do Pélican qui se cabre e t rne, le flatte d e l a main i — E h bien, mon vieux 1„- E h bien, mon bon vieux ! Secoué encore d'un frisson, Henri de Certes voit s'éloigner paisible la chose informe, noire et blanche, qui tinte de la cloche ; une vache I C'est d'une vache que Pélican a eu si peur ! I l contemple l a vie ; l e sol est en bas, bon plancher aux vaches et a u x hommes ; le ciel est en haut, plafond bleu ; les arbres n ' o n t plus la tête à l'envers: t o u t est en place, u n long moment, les rênes au b r a s , M . de Certes marche, laissant à Pélican le temps de se calmer. Il a tourné le dos à la rivière, Plus loin elle sera!... Sale m i n u t e ! Il lui semble que son angoisse a d u r é un siècle. Le sentiment des convenances lui revient, il so nettoie comme il peut, frotte d c son mouchoir ses bottes vernies. E h bien, où est son cha¬ p e a u ? . . . Ça, c'est drôle... Il e s t nu-tête e t ne s'en est pas aperçu... C'est vexant. E t il se r a p pelle : dans l'eau, le chapeau ! I l est loin s'il court toujours. Ce n'est pas le m o m e n t d'aller le ' lechercher. Non. on a beau être brave ! M . de Certes ne reverra jamais avec plaisir l'endroit... l'eau profonde, les herbes... Le pied à l'étrier... Là, là, PéUean !.., E t H e n r i de Certes continue s a promenade. Bon Dieu, qu'U. fait beau ! Non, mais est-ce asse?splendide, cette lumière ? E t ces chênes, quels géants ! On n'en voit pas beaucoup de pareils... T o u t de même, ii no faudra pas que le gi'and Jules dépeuple les bois. K t il se réjouit de revoir, en rentrant, les braves figures des d e u x R a v a u t , moustaches de crin, visages hâlés, regard franc. Henri d e Certes claque l'encolure de Pélican, Bonne bête 1,,, Ces ohers Livreuil J Ces excellents Brascaret ¡ on allait donc les voir demain. E t la blonde et g r a s s e H e r m m e de Pûuats, et Lisette!.,. Allons, p a s d e bêtises. Quand o a a le bonheur d'avoir une Gisèle parfaite, douce, ardente, un amour de Gisèle ! Oui, le bonheur. Bonheur d'aimer, bonheur d'être fort, plein de sève, bonheur d'être libre, bonheur d e vivre 1 E t au t r o t superbe d e Pélican, — un fameux t r o t ! — H e n r i de Certes baigné de soleil, grisé d'air pur, fouetté par la galvanique secousse, oublieux d e ' s o n absurde et inexplicable désenchantement, savoura l'extase d e respirer, de penser, de se sentir un homme, l'ivresse ñ'énétique d'être. PAUL MARGUERITTË. : I <u <s •a 'u ¡3 T 'AET e t l ' a r i s -"^ t o c r a t i c . Misa Camille Clifforó, u n e iLrtiato secsationnelîe e n Angleterre, v a épouser ou a épousé l'honorable Henry L'yndhurst iruce, lieu tenant au régiment (l'Hampshira et f i s cle l o r d A b e r dare._C'est le troisième mariage c o n c l u depuis le c o m m e n c e m e n t de cette année entre des artistes et des ftls d e l ' a r i e t o c r a t i e a n g l a i s e , p e u l - è L r e la plua h a u t a i n e d e t o u t e s . L e premier a é t é celui d e m i s s E v a C a r r i u g t o n a v e c lord Clifford ; l e s e c o n d celui d e miss Francés I>onncUy a v e c lord Ashburton. r.^'La n o b l e s s e britannique] compte d'ailleurs p a r m i ses plus jolies ieinjnes un certain nombre d'anciennes étoiles d e théfl-tre : m i s s A u n a R o b m s o n , d e venue comtesse de Eosselyn, miss îîosie Booie, aujourd'hui lady Headf o r t ; m i s s R a o b e l Berridge, protrnia a u r a n g ds l a d y C l o n m c U ; m i s s May y " o h c q u i s ' a p p e l l e a u j o u r d ' h u i IsAy Francis H o p e ; miss DoUy Tester qui n'est autre que la ^présente lad}? Ailesburg: misa Connie Gilchrist q u i parie la couronne de comtesse d'Orkney. ï E Scontradictions d u chic. '-' H i e r e a c o r e il é t a i t t r è s c h i c p o u r les h o m m e s d'exclure tout oe q u i ressemble à u n bijou et d e n e porter q u e d e s b o u t o n s d e naCre. M a i s u n revirement soudain s'est produit et voici de nouveau les bijoux masculins revenus e n honneur. Pas rasta d u tout, quoi q u ' o n e n dise, la parure d e b o u t o n s 4 clair d e lune > c e r c l é s d e b r i l l a u t s t r è s fins. E t très é l é g a n t le gilet da p i q u é b l a n c q u i a d e s a l l u r e s d e g r a n d fichu c r o i s é . a v o n s dit p r é c é d e m m e n t du parfum à la m o d e ; ^""3 i E u c e m o m e n t , t o u l est à la rose. Parures, bûuqueta, parfums, tout célèbre à l ' e n v i l a g l o i r e d e l a r e i n e d e s fieurs. Elle s'épanouit a u corsage de toutes nos jeunes élégantes, couvre les chapeaux de s e s fraîches corolles. L e s robes, les r u b a n s , les bas, tout est couleur d e rose. U n parfum n o u v e a u répand à s'y m é . p r e n d r e l e s elïiuvôS d ' u n parterre d e roses. Cette faveur d e la rose est unesiinilLtude d e p i u s e n t r o n o t r e t e m p s e t l'époque du Directoire qui procéda ie C o n s u l a t e t l ' E m p i r e . L e s l u c r o y a b l e s t e u a i c n t à l a m^a des bouquets d e rosea, t a n d i s q u e l e s f e m m e s à l a m o d e , Mmes Hamehn, Mural, Junot. Pauline Bonaparte marchaient environnées du parfum d'essences à la rose vaporisées sur leurs tuniques d e moiisselme dca Indes à transparent d e marceline rose. * T E s n o b i s m e d e la table. •'-' L e luxe d e la table à s o n snobisme, c o m m e l a plupart do n o s luxes. Voici qu'il s'agrémente d'une série de petits Instrumenta qui évoquent assez l'idée d'une trousse d e ciiirurgien et q u i laissent l e s c o n v i v e s songeurs et souvent embarrassés. Pour quel usage ces p i n c e s ? Il e n e s t pour les asperges, p o u r les artichauts, pour les p a i t e s d e h o m a r d . E t cea c o u v e r t s ? P o u r le poisson, p o u r les e n t r e m e t s , pour le d e s sert. Sans compter que le régime q u e toute personne chic observe, n o u s v a u t encore sur l a table d e s tubea dc cristal, d ' o ù fuae d u céleri e u b r a n c h e s — r e c o n n u très s a i a e t très r a f r a î c h i s s a n t — a i d e s t a s s e s i. t h é , d e s p a t s à c o u v e r c l e b a s c u lant, d e s petites corbeilles cajineiées c o n t e n a n t dfis t r a n c l i e s d e c i t r o n , . . L e s , gens simples o u td umal à s ' y reconnaître. A u x imprudents. A u x imprudents qui rêveut du retour de la culotte, je d é d i e ce passage d'une lettre de Pròsper Mé- r i m é e , q u e p u b l i e l a Revue ie Paris : L A fin d u b l o n d . Il paraît q u e les c h e v e u x blonds disparaissent, e t q u e l'avcuii- e s t a u x brimes. C'est u n s a v a n t allemand, q u i le dit. E t il ajoute q u ele blond a toujours s u d e fortes supériorités sur le bruu. S a n s s'arrêter à ce détail, l e t o u t e s t de savoir quelle couleur d e cïieveux a le p l u s d e c h a r m e ot e x e r c e l e p l u s d e sétiuctíün. J e crois q u e l'une e t l'autrù ont leurs adorateurs. La suprématie d'une couleur d e chev e u x vient d e la modo ; e t sur ce point nous s o m m e s tranquilles. L e blond peut d i s p a r a î t r e c o m p l è t e m e n t ; s i le c h i c consiste à être blonde, nûus le serons toutes, quand même. Sinon... Mais tout de m ê m e , o u pourrait peutêtre s'en inquiéter. Quelle sera d e m a i n la couleur é l é g a n t e d e n o s c h e v e u x ? pNcoKE u n e c o n q u ê t e . ••L' L a i e m m e vient, officiellement, de conquérir l'automobilisme. Mous a v o n s depuis quelques jours deux chauffeuses qui conduisent à travers Paris d e u x taxi-autoa. J e n e lea a i p a s v u e s p e r s o n n e l l e m e n t . M a i s d'aprèa leur p h o t o g r a p h i e je c o n s t a t e qu'elles s o n t très gentilles e t trèa orâuea a v e o leur p e t i t e a l l u r e « sportswomen . j e suis m ê m e sûre qu'elles conduiront leur voiture, à llavera toutes les difficultés de îa circulatiim, avec c e t a c t e t c e b r i o q u e les, f e m m o a m e t t e n t à conduire leurs aiaîres. Bravo, meadamea! "XToici q u i v a faire p l a i s i r a u r o i d e l a * •rose, l'éminant rosiériste M . Gravereau, propriétaire d e la célélire roseraie de l'Hay. M m e C a r o t t e , d a n s l e Gimlois. é c r i t ces lignes qui justifient t o u t o e q u e n o u s •s T r i s b e l l e s d é c o r a t i o n s d e s t r e i U e s d'or g a r n i e s d c v é r i t a b l e lierre, a v e c fleurs et jets d'eau. L e tout d'un g o i t parfait, maia ceux q u i n'avaient p a s de mollets garnis o n t tons attrapé d e s r h u m e s , et votre serviteur le premier. Il e u e s t b i e n p a y é p a r u u sourire d e S a M a j e s t é , a d r e s s é â. s a p r o p r e p e r s o n n e , fr Is'e r i e z p a s , c h è r e s l e c t r i c e s ; v o i c i pour nous — du m ê m e auteur : c C o m m e la plupart des personnes d e v o t r e sexe sont laides e n costume de b a i n 1 Je l e s v o i s t o u s l e s m a t i n s e n m e f a i s a n t l a b a r b e et c e l a m e c o n f i r m e d a n s m a résolution de garder le célibat. * C o m m e q u o i lea a m a t e u r s d e v ê l e m e n t s collants v o n t s o u v e n t àX'eucontre de leurs désirs,,. •pêpoNSE d ' u n e l e c t r i c e . D a n s m e s Bmardagss d u 15 a v r i l dernier, je d e m a n d a i s a m e s lectrices si elie avait raison, c e t t e correspond a n t e q u i nie disait : « Il n ' y a plus de bous domestiques, parce q u ' i l n ' y a plus d e bons maîtres. » O n peut imaginer l'avalanche d e lettres qu'une telle question m ' a value. Te n e p u i s î e s c i t e r i c i , m a i s q u ' o n s o i t j i e n rasuré q u e j e l e s classe e t q u e je tiens toujoura c o m p t e d e s idóes n o u . velles qu'on m e suggère. Mais toute la question se résume dana c e s m o t s d'une d e mea sensées épistolîères : « Ma chère Françoise, e u eÜet, il n ' y a p l u s d e b o n s m a î t r e s . Ceux-là m ê m e s q u i s'efforcent d e l'être n'y parv i e n n e n t plus parco q u e , les caractères évoluartt a v e o l e s m c e u r s , n o u s n'arrivons p l u s , q u o i q u e n o u s e n a y o n s , à n o u s i n t é r e s s e r a u x m e n u s d é t a i l s rie l a vie intime d e n o s doineatiqueS-Nousne savons plus provoquer leurs coufid e u c e s , si b i e n qu'ils n e nous e n fout plus. Or, l'afieotion ue vit que de confiance mutuelle. 5 ï l nepeut donc plus y avoir dc bons m a î t r e s , e t da r á e m e , il n e p e u t p l u s y avoir de bons domestiques, parce que, en dépit d ' e u x - m ê m e s , veille au fond d e l e u r c e r v e a u c e t t e i d é e m o d e r n o s i ré paudue, q u e c e h ü q u i paie, qui emploie, c'est l'eauemi. Q u ' y faire?... Mais c'est b l e u s i m p l e : s'efforcer t o u t d e m ê m e d'être bons I » Oui, M a d a m e • sagesse et bonté, tout est là. A VEZ-vous lu, d a n s u u grand journal, l'enquête m e n é e s u r la crise de l'aïuour? Il paraît que c a n e v a pas d u t o u t . 11 y a d e s g e n s q u i u e v e u l e n t pas se marier parce qu'ilsontpeur, Peur ae q u o i ? D e s e tromper, de m a l toraber, de l'iDconnuI... E t ià-dessus ils disent d a raal l e s u n s d e s a u t r e s , q u e c ' e s t u n e j o i e rie l i r e l e u r s l e t t r e s . Cela prouve t o u t simplement q u e ces gens-lFi n e s a v e n t pas c e q u e c'est que l'amour, le mariage, n i m ê m e la vie. Qui a p e u r d e l'incounu n e fera j a m a Ê r i e n . L e m a r i a g e , a^t-on d i t a v e c r a i s o n , e s t u n e loterie-. C ' e s t p e u t - ê t r e ce qu'il a d e plus tentant. M'oublions as q u e , m é m o a u x j e u x d e îiasatd, y a f a ç o n d e b i e n jouer, si l ' o n e s t s a g e , S p NTRis nous. ^ On devrait renoncer â. l a f â c h e u s e tiabitude d e ' salir î a m é m o i r e d'uu mort, e n allant chercher d a n s sa vie privée les p e t i t e s choses factieuses q u i p e u v e n t a ' y t r o u v e r . C'e.st p o u r t a n t ce q u i se produit tous lesjouis. U n e pers o i m e u n p e u e nvue vient-elle à mourir ? Aussitôt, sans le moindre respect pour sa m é m o i r e , sans la moindre pitié pour c e u x q u i l u i s u r v i v e n t , 011 r e m u e s o n passé, o n raconte, avec plus a u moins cl'œtactitude, s e s errements. O n révèle i .=ia m é r e d e s t a r e s i n s o u p ç o n n é e s , o n dressa d e v a n t sa v e u v e la liste de... s e s fautes, o u détruit s o n prestige a u x y e u x dc sea eafauts. E t tout cela pourquoi f P o u r a v o i r le plaisir d e m e t t r e u u p e u d'esprit d a n s u n article o u d e paraître bien informé. D i e u l les vilaines moeurs I E t c o m m e elles auront vite fait, si cela continue, de détruire notre vieille réputation d'urbanité 1 (""ONSEiLS d ' o u t r e - M a n c h e , ^ L e s Anglais — et les Anglaises — sout, c o m m e v o u s s a v e z , très forts en matière d'hygiène. J e leur e m p r u n t e d o n c ces quelques conseils s u r ia façon de matchEï pour conserver l a b e a u l ê et la souplesse d e l a taille. V o u s en ferez ce q u e v o u s voudrez ; kja-L s o i u , e u m a r c h a n t , d e t o u j o u r s purter la poitrine eu avant ; marchez de préférence avant îes repas,] a mais aussitôt après, ni après u n e grande fatigua. D e p r é f é r e n c e , n e m e t t e z paa d e g a n t s p e n d a n t l a m a r c h e . Q u e l e cha¬ p e a u s o i t b i e n fixé s u r l a t è t e . P o r t c r d e s cols d u p e u l a r g e s afin d e laisser jouer les muscles d u c o u , çt d e s jupes courtes e t pas lourdes. S e dèbarrassser d e s tiabits de promenade aussitôt rentré chez soi, et se reposer. L e s personues niUgi^ïs d o i v e n t m a r olier l e n t e m e n t . Cela f a i t p r e n d r e d e l'air a u x p o u m o n s c t p e r m e t d e g a gner du poids. S AGES c o n a e U a . Vous doutîez-vous q u e Sfeudltaî • fût « n féministe î D a n s sa eorrespondauce, que vient d e - publier M, C h a r l e s ; B o s s c , o a t r o u v e d e s c h o s e s ohariaautes, n o t a m m e n t s e s lettres a d r e s s é e s à s a j e u n e soeur P a u l i n e . S u r l ' é d u c a f i o n d e s filles, i l a d e s idées p a s banales du tout. I l n o v e u t p a s q u ' u n e fille s o i t t o u t o c c u p é e d u m é n a g e e t d u tricotage des bas; elle d o i t s a v o i r faire u n b a s certes, m a i s ne pas borner l à ses occupations. Pendant d e u x lleures p a s s é e s à tricoter o n aurait lu deux cent cinquante pages d'un livre utile j p o u r c i n q ou s i x frauûs on a u n e paire d e b a s et cette légère s o m m e n e v a u t p a s l e profit d'une belle lecture, D veut q u e l'éducat i o n l o r rmo e 3l ''ecss p r i ti d'une fille, l'orne dc c o n n a i s s a n c e s agréables, la prépare à la c o n v s f i a tion, à l'existence mondaine. Décidément Stendhal était u n m o derne. Bien que de son temps on n e payât u n e paire de bas que cinq à s i x irancs, on n'eu a v a i t paa m o i n s d e s i d é e s a v a n c é e s . A u j o u r í l ' í m i elles staii. bleut naturelles et sont á médi(er. C ' E S T v r a i m e n t u n e extiuísí; liisiuire qu'illustre cette photof^raphie de notre b l o c i i o t e s représentant l a princesse: L o u i s e de Bourbon, seconde f e m m e d e l'infant A n t o i n e d e B o u r bon, a v e c les jeunes iufautó A l e x i s et IsabeUe, Or ceux-ci sont les enfants très c h é r i s q u ' e u t s o n m a r i d e .sa p r e m i è r e femme.la princesse des Astúries dout o n se rappelle l a m o r t . L e u r n o u v e l l e et t e n d r e m è r e l e a e n t o u r e d e ta "plus e:;q u i s e a U e c t i o n , d e p l u s d e s o i n s q u e 3a m a m a n l a plus a i m a n t e e t la plus a t tentive n'en donnerait à ses propres enfants. O a n e saurait dire l a t o u c h a n t e i m pression c a u s é e e a E s p a g n e p a r cette jolie attitude. O femmes, ouvrières ou princesses, paysannes oa millionnaires, quels trésors e n v o s n o b l e s cneursl N o mu so rat v odnes parlé e n s o n t e m p s de la la fameuse romancière a n g l a i s e O u i d a , q u i finit e u Italie, d a a s la misère, après avoir gagné d e s m o n c e a u x d'or, pauvre cigale j Or, voici q u e notre confrère, le Daily -liirMr.ouvre.enti-olas s c u l p t e u r s de toutes les nations, u n concours pour le dessin d'un m o n u m e n t à la m é m o i r e d e O u i d a . C'est là u n o r é p a ration tardive, mais qui noua touche d'autant plus que, bien qu'écrivain a n g l a i s , l ' a u t e u r d e Cigarafte, C a n i i nièrs aux sQjioves, é t a i t d e u a i s s a t i û c françaiso — elle s ' a p p e l a i t L o u i s e d e la I t a m é ô , . — q u ' e l l e aimait s a t e r r e maternelle, c o m m e le prouvent et son joli p a c u d o u y m o et le titre d e s o n roman, e t qu'ainsi ce m o n u m e n t sera encore u n h o m m a g e â notre génie national. T A question d u vote. Au fond, pourquoi certaines f e m m e s r é c l a m e n t - e l l e s l e d r o i t d e y o ter, et qu'eu ferious-nous si nou5 l'avions F s i n o u s s o m m e s d'accord avec n o s maris, n o s v o t e s feraient d o u b l e emploi a v e c l e s leurs ; è t si n o s o p i n i o n s n e s o n t p o i n t Cûniormea, l a î s s e r o u s - n o u s l a p o l i tique mettre la désunion dans notre ménage ? Vaut-il mieux voter e t n e paa avoir îa p a i x chez soi, ou bien est-il préférable de ne p a s mettre des petits bouts de papier d a n s d e s urnes c t d c conservai' la t r a n q u i l l i t é d e s o n i n t é r i e u r e t l'affection d e son mari 7 T o u t e la question eslli. Qu'eu pensez-vous ? MOT DE I.A FIM M m e G,,, e s t q u e l q u e p e u v a i d l e u s e et l e s c o m p l i m e n t s l ' e n o h a ï U e a t . U n e bonne a m i e lui disait l'autre jour : — Q u e v o u s ê t e s heûvo, m a c h é r i e . Mais c e s gens-li, n e p a n s e n t p a s u n seul des m o t s flatteurs qu'ils voua disent et,.. — Qu'est-ce q u e ç a m e fait, répond i t M i n e d e G..., d u m o m e n t q u o j e le pense, moil FRANÇOISE. •a " h' T S L A DENTELLE RENAIT, saurait troj) 1 Llttl j \ ' l 1 K l de i-lití (in Calvadlas, et \ iivíi.u-ouíí, député de la ïiau-:c-Luive, de leur i-.-i(!;;.:ive. R e p r e s e n - B B U G E E , 1.3 P O Y t a . i i í ñ de deux régions Triptyque par ^ ^ I1Ú la Dentelle était dessinés et Ces signes du Zoi i ¥ k i 'i-iaifus, dessinés à "Noue donnons ici six dss âousû signes du Zoàieupie jort arhsîemènt j^ff-^- " 'fj:- '•^-.^jl^XoKvrièns de ®V?:r:.i viUe et Ziffer. brodés. Cette exquise exposition d u travail féerique do nos ouvrières retient longuement l'attention des visiteuses du Salon. C'est pourquoi notre eminente collaboratrice, Mme Daniel Lesueur, a tenu aujourd'hui à y consacrer sa chronique : La Vie s« Beauté, qu'on Urà d'autre p a r t . | >^ 'u ¡3 M"^" LALOtî ÍÍT LES JOURNALISTES Mlh Laki et son ounssil, Mme Maria Vérone, furent pense. assaiUies par les reporters qu'elles renseignireni I.A P K O F E 5 S I 0 K D E FOI D E LA CANDIDATE ^^niây^ M. E S C U D I E 1 Î , LE comme bisn on aimahlenienl. ¿^Jé¿. VAlKgUEUk L'AFFICJ-IE Pendant tout le cours de la lutte élect&rale, ipti fut vive dans le quartier Si-Georges, M. Escudier combattu sa gracieuse adversaire avec une parfaite eourtûis-ie. LA PREMIÈRE On sait qu'une jeune iemnie, Mlle Jeanne L a i o e , s ' e s t p o r t é e c a n d i d a t e a,ux d e r n i è r e s é l e c tions municipales, d a n s le n e u v i è m e arrondissem e n t de Paris, quartier S a i n t - G e o r g e s . Mlle J.aloS avait pris pour conseil u n e avocate, Mlle Maria V é r o n e , d o n t la science j u r i d i q u e l'aida b e a u c o u p à vaincre, les résistances q u e préteuclail lui o p p o ser l'administration. Mlle Laloé e s t i m e q u e les l e m m e s , ay?,nt les m ê m e s c h a r g e s q u e l e s h o m m e s , o n t l e d r o i t d& particdper au g o u v e r n e m e n t d e leur pays. L e s u n e s lui d o n n e r o n t raison et les a u t r e s tort, s a n s d o u t e . E n t o u t c a s , o n n e s a u i - a i i t r o p a p p r é c i e r M líe s a g i - â c e . Sa C r á n e r i e e t l ' a u t o r i t é d o n t e l l e fit p r e u v e a u c o u r s de la l u t t e é l e c t o r a l e . M. Paul Escudier, conseiller sortant, était u n rude adversaire. ïl est fort a i m é dans le quartier SaintG e o r g e s . C e p e n d a n t , f é m i n i s t e l u i - m ê m e , i l fit l e m e U leur a c c u e i l à s a c o n c u r r e n t e , e t o n ne p u t q n e cons- Je relisais, a v a n t de l'envoyer à la composition, une ch-culairc à mes électeurs, lorsque îa porte entre-biiUée de mon cabinet remua p l u t ô t qu'elle ne s'ouvrit davantage et jo vis entrer, m a r c h a n t avec précautions, une gracieuse petite chatte. Lentement, à petits pas, s'arrêtant à chaque rosace, à chaque fleur du lapis, clignant de l'ceil à chaque meuble rencontré, clic v i n t jusqu'au pied d u fauteuil que temporairement j e venais dc quitter. L e nez en l'air, le dos tendu, elle lorgnait ce f.auteuil. Elle en fit le tour plusieurs fois. D ' u n b o n d elle ne pouvait y a t t e i n d r e ; t r o p jeune, n ' a y a n t p a s la force nécessaire, 11 lui fallait trouver un expédient. Son imagination ne fut pas en défa.ut : elle vint au rideau de la fenêtre d e v a n t laquelle une table ^^se trouve et la. lourde tapisserie lui fut l'escalier rêvé. L'ascension fut dc courte durée... une hésitation, une ondulation, u a p e t i t saut.., et la voici sur la table. tïn peu effarée, m a r c h a n t snr mes papiers avec une' lenteur calculée, elle ñaire, vient de sa tête caresser le dos d'un gros r a p p o r t sur l'achèvement du boulevard Haussmann, f ai t remuer, oh ! imper- DU CONCORIHSKT L'í, candidate ne cessa d'étudier sérieusement les arguments de son principal adversaire et s'entendit iris étoquominen-l à te combatiré, CANDIDATE Laloë a tien voulu noltí confter son i^rogramme, écrit de sa main, On e n appréciera la nettet^ -le ton, vraiment électoral. t a t e r la pal'îaite c o u r t o i s i e d e la p o l é m i q u e des d e u x adversaires. Mlle LaloS réussit à conquérir poo v o i x . C'est appréciable pour u n pionnier de la candidature féminine. U n e autre lois, à la c o n d i t i o n d e ne p a s se p r é s e n t e r contre un adversaire aussi redoutable, elle en aura le d o u b l e . E t peut-être v i e n d r a l e j o u r oii e l l e s e r a é l u e . . . N O U E a v o n s d e m a n d é h. M . P a u l E s c u d i e r d e n o u s dire s e s i m p r e s s i o n s é l e c t o r a l e s , et v c i c i la très spirituelle e t a l l é g o r i q u e r é p o n s e q u e l'aimable conseiller du quartier Saint-Georges a bien v o u l u n o u s faire p a r v e n i r g o u s c e titre : Conte Electoral. 11 s e d i t é g r a t i g n é ; n ' é g r a t i g n e - t-il p a s u n p e u l u i - m ê m e ? N o u s n ' a v o n s pas Cfaliit d e d é p l a i r e à l a charmante et é n e r g i q u e l î U e L a l o ê . C ' e s t e l l e - m ê m e u n r u d e jouteur qui n o c c a i n t p a s l'ironie. Elle la m a n i e vielorieusement. et c o m m e elle a bec et ongles,,. ceptibiement, les lettres éparses sur mon bureau ; se faufile entre, deux tomes du B-uîielin mwncipcii, revienta l'encrier, puis fait îe tour des porte-plume, instinctivement se tenant éloignée de îa plume elle-même ; chatte, ç'est-à-diie presque femme, elle sait, elle sent ou elle devine que la plume est une arme quelquefois. A y a n t ainsi fait le t o u r du propriétaire, tout imprégnée des acres odeurs des paperasses encore humides d'encre, elle arrive an bord de la table q^ui domine le siège de mon fauteuil. Là, elle s'assied, se pomponne, se bichonne, s'étire, fait le gros dos, et t o u t à coup s'élance... Hélas ! l'élaTi a été mal calculé, le fauteuil est recouvert de cuir glissant, la pauvre petite v a tomber. Je tends unbras et suis assez heureux pour la recevoir et la remettre indemne sur le tapis. SOIGNONS L'AFFICHAGE I Mlle Laloe ne laissa à personne te soin veiller son affichage. On sait qu'en temps c'est de première importance. de surélectoral | - Ai'ec les mêmes précautions, la m ê m e lenteur que pour son entrée, elle sortit da mon bureau. ^ e me remis au travail. c'est alors qne je vis sur m a main une toute petite raie rouge. ,' . Avait-elle voulu me griffer ? PAtiL EscuDJEE. 'u ¡3 3 M"^ L A L O Ë A LA TRIBUNE i ai s o u s VE P R É A U B E L'ÉCOLE Sa-us mi brean d'école du du IX" IX" arronatssemem, arrondissamení, ta la wns jolie cwnaiaa«, candidate développa. Sous mi bréau d'école u^v^.ui^t,^ ^ • — J.....•.^^•ts faisant ^/TJV/>¿.Í preuve j^fa-nsíí. d d'unie son i^'ùgmnime avec une étonnanteJ.. h^eiditi, une coinAiaiscormaissanee Í Í " politique de ces dernières amiées, réfutant vtctoneu- sèment toiiles les objections de ses adversaires, répondant à toutes les inlcrruptions, ne se ladssmït jamais troubler, avecunc présence d'espi'il, uns logique irréfutable, conquérant enfin san auditoire par sa grâce ei sa crânerie. L'Tmp"D'<>âe Russie ei la Reins A Isxandra à Lon- Mariage d-u, capitaine d^S-ugny et de Mile de La Réseillire dres. [kiSaiiveratrca") La F"^" Laaise de Bowrhon avec les Infants Alphonse et Isabelle. Í | - 15"= VALLET-BISSON Expose á ta Société des Artistes FroAiçais un portrait oû se révèle un sentiment très personnel ei très vif de la recherche ei ie l'imagination. Min" BOYEE-BEETON Son tableau "Fleurs de Mal", ijue nos lectrices ont pu admirer dans WÍ* de nos derniers numéros, est l'une des toiles qui retiennent te plus l'attention. M"» MATIIILDE SÉE N'est pas qu'une arbitre des élégances. Artiste dislineuée, elle expose cette année au Salon de ta Nationale deux a^ttarellss de fleurs très appréciées. Mlle MArLLAET A envoyé aux  rlisies Français une toile : " D a n s l'Atelier " , csmte tout à fait remarquable par la couleur et la solidiié de la facture. M"" DESfOETES Ses fraîches peintures hollandaises, ou, elle a. su faire remvre l'atmosphère 1res spéciale de la Hollande, font l'admiration de lous les connaisseurs. 'u ¡3 3 I L ' U Roman inédit « Ce sont, en général, continua Marie-Tliérèse, (lo vieilles pensionnaires futiles et sournoises. Elles n'ont pas évolné, n'ont pas progressé,.. Il y a 'un abîme entre notre conception de la vie, de la conscience, de l a beauté morale, enfin de tout oe qui importe, et ieurs petites idées craintives, et tortillées ! .., s E t Lucien Terriel, q u i assistait souvent à cea discussions, ne pouvait s'empêcher d'admirer î a nette ñ-ancliise, la belle allure hautaine de MariaThérèse, proclamant la supériorité morale et int,ellecl;uelle des jeunes Dans um boite MÍuce, fiUea d'aujourd'hui. en or, émaillée, psHie Pourtant son cteur, bonhonnièreLowisXVI, Hn caehei de •pyramidon. son coeur d'homme, qu'un instinct généreux entraînait à défendre a t à protéger, slnclinait surtout vers ÉUse, si faible, si désarmée. Elle n'avait pas eu, celle-là, pour combattre la vie, u n cerveau utilement meublé, un caractère énergique e t fort. Prédrestinée â pâtir de l'égoïsme masculin, la nature ne lui avait accordé que des dons de victime : la douceur, !a tendresse, la patience, la résignation. Qu'il la trouvait touchante, ainsi meurtrie, non paa, comme t a n t d'autres femmes de son âge, par d'anciens et violents orages sentimentaux, mais par d'innombrables, sourdes, incessantes et mmusoules bleseutes dont son mari jnsouoiamment, inconsciemment, peut-être, avait lacéré son orgueU et son cœur, pendant quinze . années de vie commune... « Elle a souffert, jjenaait-il, et caa souffrances obscures, jamais révélées, donnent à son visage un attrait mystérieux I > Car Marie-Thérèse ne s'était pas trompée : Terriel chérissait Elise. Il la chérissait depuis l'heure oû eHo lui était açpanie près du lit de mort d e Surdier, peiBonmfiaut, avec sa grâce douloureuse, son attitude de douce vaincue, l'idée q u e Terriel aimait à se fau,-e de la femme Tout de suite, la pensée de se dévouer à la veuve s'était emparée de son cerveau, et, opiniâtrement, tendant aussitôt ses désirs vers un.seul but, il a\'ait consacré, sans relâche, son énergie, • sa volonté, toutes ses foixes actives à faire re- ' vivre.l'œuvre dc son atni. E t dans cette lutte, qui fut rude, aucun espoir égoïste ne l'avait soutenu. L'âme trop fière pour souhaiter une récompense à s o n dévouement, l'âme trop haute, aussi, pour exploiter la reconnaissance d'EIise et la contraindre peut-être, plus par gratitude que par s m p a t h i e , à l'accepter pour époux, ïl décida donc que Mme Surdier ignorerait le sentiment qui avait exalté son ïéle et il se jura à lui-même dc ne jamais le lui révéler. .11 tint si rlgoureusoment parole que, jusqu'au jour où Marie-Thérèse lui ouvrit les yeux. Elise n'avait rien p u soupçonner. Ce jour-la, ce int grande fête dans son âme. ,EJle savoura, sans eu rien laisser paraître, l a joio de se savoir aimée, • Mais l'allure réservée, le ton paisiblement amical dé Lucien, .ses visites courtes, ses théories sur le mariage, enfin, sa tenue vis-à-vis d'elle, lorsque, par hasard, ils demeuraient en tête à tête, tenue aisée, afiiectueuse, de parent, ds frère, calmèrent, refroidirent la petite flamme heureuse qui, ua instant, avait illuminé son cœur, « Il m ' a peut-être aimée, pénsa-t-elle, autrefois.,, Mais c'est fini, je ne l'intéresse plus. Je ( i ) Voir n M i i u j n ê r a s k partir n.» du n L X MARNJ^'> Dans une boîte mince, suis près de la v i d l l M S C : Quel a t t r a i t peut avoir, en or, émaillée, petite pour lui, une bourgeoise mûre, d'une intelligence bonbonnière Louis X V I , médiocre, mère d une brillante Jeune fille de il y avait un cachet de vingt ans ? Pour lui, cultivé, artiste ? Aucun pyrami,don. atti-ait, assurément ! N'y pensons plus...» — Qui t'envoie cela ? m. Mme Surdior, dont l'exiatence mondaine interrogea Marie - Théétait très active, s'efforça d'oubher, dans les rèse. nombreuses visites, réceptions, dîners en ville, Elise pâUt, toute trousoirées au théâtre, etc., la déception douloureuse blée ct décontenancée. qu'elle ressentait. E n enumerant à sa Cependant, une autre chose l'étcopait ; Jîllo. a v a n t le dlncr, les N'étant plus assez, jeune, supposait-elle, pour visites de l'après-midi, plaire à Lucien, jamais, cependant, elle n'avait elle avait omis de citer eu plus de succès dans le monde. On la courtisait le nom de M. Terriel, davantage que lors de ses trente ans, Pourquoi ? trop peu maîtresse de Elle se le demandait, très sincèrement. Sans se l'émoi qu'elle ressentait douter que, plus élégante, sachant mieux tirer en parlant de lui, et, parti de sa beauté, de sa sUhouctte mince, deaes craignant que son visage beaux cheveux, autrefois arrangés sans grâce, ' ou sa voix ne trahissent aujourd'hui harmonieusement coiffés, elle avait cette émotion, eKe s'était acquis l'art de mettre en valeur toute sa personne, tne. Maris-Thêrèse attmiit poussée par un innocent et p o u r t a n t impérieux désir de conquête, que le joug marital avait Elle hésita une se- que le donustique eût quitté la, pïiee. longtemps maîtrisé et qui, libre à présent, s'épaconde, mais, devant le fit-elle,,. nouissait. domestique, que la cu- — Pourquoi, riosité rendait attentif, 4 J'ai besoin, pour respirer rnoralement et Maria-Thérèse, dont le regard aigu réclamait avec plaisir, de ^ ^ v I B dans mie ambiance bienuna réponse. Elise se décida à parler, et du veillante, disait-elle à Marie-Thérèse, lorsque ton le plus na.t«rel qu'il lui fut possible de ceUe-ci Sni reprochait d'être trop gracieuse envers prendre, eUe dit : des étrangers, <• — C'est silrement M, Teriial, J'avais un pau L e fait est qu'elle se dépensait en phrases de migraine quand il est parti e t il a eu la pensée charmantes, disant à. chacun, même à ceux de m'cnvoyer oe cachet,.. C'est vraiment bien dont l'hommage lui était indifférent, des choses aimable, je vais le jprendre tout de suite I aimables que son t a c t très sur et sa bonté intuiD'un mouvement précipité, eUe versa u n peu tive lui Suggéraient, d'eau dans un verre e t but, se félicitant d'avoir Aussi, était-ele entourée d'adinirations et de i faire u n geste qui dissimulait, pensait-elle, sa sympathies par une foule de personnes que Marieooniusion. Thérèse traftait de haut, avec u n secret mépris Marie-Thérèse attendit que Je domestique e û t de ces flatteurs ou adorateurs d'une famnie quitté la pièce. honnête qui avait, déclarait-eUe, dépassé, véritablement, l'âge du fliit, — Pourquoi, fit-elle lentement sans regarder Elise c t en t r a ç a n t avec son ongle u n profil 'Í Maman a le plus grand t o r t de se distraire sur la nappe, pourquoi ne m'as-tu pas dit que ainsi, songealt-dle, elle eat vraiment inoonaéM. Terriel é t a i t venn t a n t ô t î quente!n — J'ai oublié, m u r m u r a Ehse, empourprée. E t elle apportait des yeux critiques et un vi— Oh 1 m a m a n 1 s'éciia Marie-Thérèse d u n ton sage sévère dans tous les ialous oii Elise triomde blâme. phait, — Mais oui, affirma Mme Surdier l'air si -visi— Mme Brouillard insiste beaucoup pour blemeuf malheureux que Marie-Thérèse, a p i que j'aüle à sa soiiée costumée du 26, dit Eliac à toyée, n'insista pas, prit la boite, et après l'avoir Marie-Thérèse, le soîr même de la visite de la examinée, affirma qu'elle la croyait ancienne et baronne. vraiment d'un g o û t ti-és sûr. Elles étaient toutes les deux à table depms u n Peu à peu EHse se remettait. moment. Devant l'attitude conciliante de sa fille elle — EUe dorme une soirée costumée ï se sentait plus forte e t le courage lui vint brus— Oui. • quement de prendre l'offensive. — Mais t u n'as pas de costume. — A propos, dit-ellé, t u lui as causé beaucoup — E t le temps manque pour en faire un. de chagrin, à M. Terriel. — Tu n'iras pas î — Moi ? Q u a n d ça 7 J e puis, peut-être, y aller en robe de bal, — Il y a ij^uelques semaines, a v a n t son d é p a r t insinua, timidement, Mme Surdier, pour Bordesiux. Marie-Thérèse leva les yeux, examina une — A quelle occasion ? seconde le visage embarrassé de sa mèi'e e t eut — A l'occasion d'un refus formulé d'une façon un furtif sourire. très désagréable, le jour où t u n'as pas accepté — Que t u es * gosse ¡1, dit-elle, m a pauvre qu'il nous accompagnât à l a saUe G, P e t i t ; t u maman I Ça t'amuse d'aUer là ? lui as dit que, s'il venait avec nous, ce serait ridi— Oh ! ça m'amuse I Enfin, ça ne m'ennuie cule. pas. — C'était mon avis,Çjen efiet, déclara Iroide— E h bien, mets t a robe do b a l e t vas-y, c'est ment la jeune fille. bien simple l Mais, menaça-t-elle d ' u n ton rieur, — E t pourquoi donc, jo te prie f tiens-toi bien ! ne fais pas d'impi'udcnces 1... La voix d'EIise, légèrement irritée, s'éleva, — Oh I Marie-Thérèse 1 tandis que, contrairement à son h a b i t u d e , Marie— C'est que je te connais ; sans moi, sans m a Thérèse baissait le .-tiQn, • '. surveillance, t u es comme un cheval éohapjpé I — Tu ne le devines pas, dit-elle ? La comparaison exagérée iit éciater de rire loa — Non 1 e t j'exige une explication 1 deux femmes. Ce verbe « exiger 9, combien peu coutumier sur •—' Qu'apportez-vous donc l i , Julien, i" demanles lèvres d'EUse, à peine prononcé, elle le reda lajeune fiUe au domestique qui entrait, tenant, gretta t Les larmes a u x yeux, sans regarder sa avec le plat, un petit paquet k la main. ÉUe, eUe q u i t t a la table, suivie immédiatement — C'est de la pharmacie pour madame, répar Marie-Thérèse, qui la rejoignit dana aa pondit-il, en plaçant l'o.bjct de^rant Elise. chambre. — Pour moi ? Seules, l a porto ierroée, elles s'embrassèrent —• Oui, madame, silencieusement t o u t d'abord, puis, Marie-ThéMme Surdier défit le papier. ! Il avril. 1 >o i rèse faisant asseoir sa. mèro, se mit à genou:! d e v a n t elle. — Ponlette blanche, dit-elle, bii donnant nnc de ces appellations tendres qu'affectionnait Elise, es-tn bien sûre d'avoir sept ans f E t comme Mme Surdier souriait au milieu de ses pleurs... — T u os trop petite, vraiment, reprit la jeune fille. J e crois que tu ne les as pas tes sept ans ! Voyons, laa chérie, comprends donc qu'ü ne suffit pas d'avoir des intentions pures, ici-bas, ni même une oonduite irréprochable ! 11 faut, aussi, ne pas prêter, par des imprudences, aux jugements toujours malveillants du monde... Quel besoin de t'afficher, en pubUc, avec M. l'crncl ? ^ dis-le-moi. Trouves-tu donc indispensable que l'on t'accuse d'une chose qui n'existe pas... On en parle déjà suffisamment, — On on parle 1 s'exclama Elise, stupéfaite, on en parle ? c'est impossible 1 — Je' t'affirme que l'on en parie. — Pas d e v a n t toi, oh I non, pas devant toi, r é p é t a Mme Surdier, désalée. — Si I à mots couverts, p a r insinuations, très souvent... Oh 1 rassure-toi, j e n'incite pas beauc o u p à ces sortes d'audaces. J ' a i l'air trop peu encourageant. Mais, enfin, quand même, U m'a été demandé, en même t e m p s que de tes nouvelles, des nouvelles d e M, Terriel. E t cela comme une chose t o u t e simple, toute naturelle, « Votre m a m a n va bien ?.„ M, Terriel aussi? * Dans ces cas-là, j ' a i conscience que m a figure m a n q u e de cordialité. Sèchement, Je r é p a n d s : <¡ J'ignore t o n t à fait comment sc porte M, Terriel, que noua na voyons presque jamais. " — Ce qui est vrai, d'ailleurs, Maric-Thérêse ; avança, tremblante, Mme Surdier. —• H u m I C'est vrai, t o u t e s les fois qu'il est absent de Paris, mais, dès qu'il est de retour, il vient bien souvent te voir 1 Elise tressaillit. U n besoin d'expiation agita sa conscience. Puisqu'il en était ainsi, il faUait qu'elle p a y â t , par u n sacrifice, sa conduite inconsidérée. — Veux-tu, fit-elle avec lenteur, arrachant, on eût p u le croire, ies mots u n à u n dc sa pensée, veux-tu q u e M, Terriel ne vienne plus chez nous, Marie-Therêse, le veux-tn ? Marie-Thérèse ue répondît pas t o u t de suite, frappée de la gravité aveo laquelle sa mère s'exprimait, — Comme t a es p â l e , . comme t u trembles, fit-elle après une seconde d'attention, puis elle reprit : —, Dis-moi, m a m a n , réponds-moi franchement, parle-moi, non comme à, t a fiUe, mais comme à t a meiUenre amie. Cela to ferait beaucoup dé peine si M, Terrier cessait de venir ici ? — Beaucoup,de peine, oui, répéta Elise sourdement; —. Mais, enfin, ce ne serait pas d u désespoir, tu t ' e n consolerais ?... — Je... je ne ie crois pas, m u r m u r a Mme Surdier du même ton. — Alors, alors ?.., — E h bien, alors, que veux-tu, t a n t pis p o n r moi t.-. Il y avait une soumission si completo, u u e acceptation si douce de la doaleur à subir dans cette phrase résignée, q u e Marie-Tliérêse sentit des larmes au bord dé ses cils, . — Epouse-le I dit-elle dans un grand élan, épouse-le, mère chérie. — Mais j e ne sais pas s'il m'aime, je ne crois p a s qu'il m ' a i m e , il ne me l'a jamais dit l jamais, jamais, entends-tu ? — Il t e l'a p r o u v é mille fois I depuis Lwtlio f a i i t m ' q u i , sans lui, ne se serait jamais relevé, jnscjií'i cette boîte de pharmacie, conclut MarieThérèse, d o n t le sentiment du comique, après cette conrte émotion, reprenait le dessus ; oui, oui, pour qui s a i t voir, p o u r qni sait comprendre, ce cachet de pj^ramidon est tiu cri d'amom-1 Mine Surdier ne p u t s'empêcher dc sourire t o u t en essuyant ses yeux. Moqueuse I dit-elle, n n p e u gênée. — J é ne me moque pas du t o u t . Ce sont de pareils petits faits qui sont,les sûrs indices d'une profonde affection, — Tu vois mieux la vie q u e moi, dit h u m b l e m e n t EUsc, — J e l'observe au travers d'un cristal plus d a h ' i plus exact, moins e i u b m m é de rêves, d'utopies, peut-être, reconnut Harie-Thérèse aveo une orgueilleuse conviction. — Allons, reprit-eUe gaiement, m a i n t e n a n t que nons voilà d'accord, que tu as mon « a p p r o bation i , p e t i t e poulette, que décidons-nous ?_ — J e ferai ce que tu m e conseüleras, m a chérie, mais, rien ne presse, il me semble, les choses p e u v e n t rester telles qu'elles sont actuellement. — C'est ma foi vrai 1 approuva la jeune fdle, tou1 de même, il me semble qu'une invitation à dîner s'impose, qu'en dis-tu ? Une invitation prochaine ? demain, ou après-demain. — Si tu lui écrivais toi-même, Marie-Thérèse, il serait sensible à un mot de toi. ^ Soit I E t Marie-Tl) érése. s'asseyant devant le petit bureau d" ^ímc Surdier, traça ces lignes 4 Cher -nonsieur, griice à votre aimable attentioii, m a m a n va mieux. La migraine est tout à fait finie. Elle vous remercie beaucoup et me prie de vous dire que vous lui feriez grand plaisir en vouant dîner avec nous, un jour, í votre choix, de cotte semaine. J'ajoute que, a y a n t manqué votre visite de t a n t ô t , je serais très heureuse de vous voir. <i Affectueuses pensées, MATÎIE-TKÉHÎSE. 4 J ' . - S . — VoT'-c boite est exciuise, maman en est ravie I s — Est-ce cela P dit la jeune fllle en tendant la lettre à sa mère. Elise la parcourut rapideinent, un sourire heureux aux lèvres. — C'est parfait ! Mme Surdier sonna et remit le m o t t Pauline, Quand ta femme ds chambre fut partie, MarieThéfêse reprit. — Il l'aura demain matin, à son réveil, e t i l va penser : « Tiens I tiens ! ooninie Marie-Thérèse est gent-Ue 1 Çu'est-ce qui lui prend ? i. Car, j e reconnais q u e je ne l'ai pas beaucoup gâté jusqu'ici, —. Pourquoi, m a chérie I — Pour ne pas encourager les espérances q u ' ü pouvait avoir. J e vonîats qu'il comprît que je n'étais pas son alliée, au cas où il a u r a i t voulu t'épouser. — E t maintenant — Maintenant, puisque ton bonheur à toi est en ien, c'est autre chose, bien que je persiste à croire qu'il n'est pas du t o u t le mari qu'il te faudrait, — T u crains qu'il ne me rende pas heureuse ? — J e crains quo, faibles et tendres tous .les deux, vous ne formiez un vacillant et t r e m b l a n t attelage, voUâ ce que je crains. — Tu seras prfe de nous, Marie-Thérèse, et... —- E t je vous servirai de côtier ? merci bien I Oh I non, maman, ne compte pas sur mol pour cet emploi-là. Je ne tiens pas à rester vieille fille, en tiers, consolidant votre ménage ; ce serait monstrueux, d'abord. Je veux, moi aussi, vivre m a vie, et avoir la p a r t de bonheur auquel j ' a i droit 1 • — Aimes-tu quelqu'un, Maiis-Thérèse ? dit tendrement Elise. Marie-Thérèse éclata de rirs. — Mol ï Ah I par exemple ! U ne manquerait plus q u e ça I nous vois-tu, toutes les deux, la mère e t la fiUe, atteintes, en même temps, du « doux e t terrible mal t, nous confier l'une i l'autre nos émois sentimentauK ? Ce serait t o u t à fait grotesque, ma p a u v r e maman, et u n pen choq u a n t aussi, tu ne trouves pas Et Mar-le-Thérêsû, s'asseyant devant le petit bureau de Jlííçe Swrdier, traça oes lignes... Elise, dans l'attitude d'une enfant répninandée, baissa la tête. Marie-Thérèse reprit du même ton joyeu.x, — Non, non, rassure-toi, mon cnour est libre. Personne ne S'intéie.çse particulièrement, personne I grâce au ciel, ot s u r t o u t au parfait équilibre dont je suis heureusement douée, me voici arrivée à vingt ans, sans avoir ébauché le moindre petit flirt 1 J'ose dire que, parmi les ñllcs de tes amies, et, s u r t o u t chez tes amies elles-nicines, le fait n'est pas très fréquent. Sur ce, je vais te laisser dormir, il est temps qne tu te repos.·;;;. lu as t a petite figure grosse comme le poing. Elise attira sa fille vers elle. — Marie-Thérèse, njon enfant ciiéric, connue ru as été bonne, t o u t à l'heure, pour t a maman, balbutia-t-eile, en t e n a n t la jeune ñíle conlre si.n oxur. Mais elle se dégagea. — Allons, allons I ne recommençons plus, asscz d'émotions... ne nous laissons pas aller à nos nerfs, veux-tu f Tu es contente, poulette blanche ? Moi aussi. Tout est donc pour le niieu.x. Fais dodo. A demain. E t , envoyant du bout des doigts u n petit baiser rieur à sa mère, Marie-Thérèse q u i t t a îa pièce vivement. Mais Mme Surdier, quand elle i n t couchée, n e p u t dormir. La scène qu'elle venait d'avoir avec Marie-Thérèse, scène où la jeune iUle s'était montrée elle-même, avec ses contrastes de générosité et de sécheresse, revivait obsédante dans son esprit, et malgré l'affirmation de la juvénile psychologue, elle se demandait si vraiment M. Terriel ?... Won I Marie-Thérèae se trompait... Monsieur Terriel ne l'aimait pas I Cette pensée la chassa de son lit. Vêtne en hâte, elle aUa trouver la jeune fiUe, avec l'espoir de se faire, à nouveau, confirmer p a r elle cette affection dont elle doutait... Elle trouva Marie-Thérèse assise d e v a n t sa table à écrire, occupée à mettre en ordre les notes prises à la conférence dc l'après-midi. Dès les premiers mots tímides, Marie-Thérésa comprit et s'écria : — Assez ! assez I L a question est épuisée ! Moi aussi i Mais, voyant sa mère interdite, décontenancée, s'apprêter á regagner tristement sa chambre, elle la r e t i n t «ne seconde, déposa son cahier dans ses mains, et gaiement : — Lis cela 1 comme disent les gens du peuple, « ça te changera les idees 1 » et t u verras ce quo ce pauvre Jean-Jacques a s écopé 4 t a n t ô t I Avoc sa voix prenante, son ironie suave, pareille à de la vaseline empoisonnée, Jules Lemaître a été cet après-midi un démolisseur délicieux I Mme Surdier n'insista pas, elle p r i t les notes de sa fille et, silencieusement, rentra chez elle. CHAPITRE m Ainsi que l'avait prévu Marie-Thérèse, M. Terriel fut un peu surpris lorsqu'il reçut la lettre de la jeune fille. Ce n'était pas la première fois qu'eue lui écrivait, • mais, d habitude, ses billets laconiques ne contenaient guère.de termes très affectueux, ot il ne se souvenait pas qu'elle eût jamais insisté, personnellement, pour l'inviter à les aller voir. « Qu'y a-t-il ? Il y a quelque chose t , se dem a n d a i t Terriel en terminant sa toilette. I ! chercha le m o ü í de cette amabilité soudaine e t il ne le trouva p'is. L e caractère de la -eune fille lui était trop connu ponr lui permettre de croire à une sorte d'excuse de sa p a r t ; q u a n t i supposer qu'Elise eût pu lui dicter ce biUet, c'était impossible â admettre. L'impérieuse et irréductible Marie-Thérèse l'atriût sûrement, écrit de son plein gré, « D'où viennent ces nonveUes et bienveillantes dispositions, songeait-il, et, évoquant le visage de Mme Surdier qui, la veille lui avait semblé plus mélancolique que d'ordinaire. « Peut-être, la tristesse de sa mère l'a-t-elle . émue, car elle était bien triste,bien accablée,EIise, hier, * Terriel soupçonnait-il la cause de cette tristesse ? Quelquefois, il en avait une fugitive perception, bientôt détruite p a r une conviction contraire, car Terriel, observateur très fin lorsqu'il s'agissait d'indifférents, perdait, en présence de Mme Surdier, par cela seul qu'elle lui était t r o p chère, le don de l'étudier impartialement. (J suivre) J, | - MAHNI •. 'u ¡3 3 A U S E R I E Pow lotit e s qui concerne lu partie financiëre, retiseigKsmmts sur laleurs, erdrei de /JijMj-jir, paiement des cmpnns, etc., nos lectrioes dnisetü s'adresse/ direetemnl au Monllfiiir i.liis Capitalistes et d e s rentiers, 9, rm Pillet-Wilt, Paris. Chemins de Irr de ta Carotina d extensions. — Dans une bonne obligaiian, d e u x èlénioti^s ^iont à considérer : la sécurité du gage, qui représente la sauvegarde d u capità! engagé, et la aoliilité doa garanties qui assurent le service régulier des intérêts. Or, cii3 d e u x éléments SO trouvent réunis dans l'obligation du Chemin de ¡er dt la Carolitrim t i l r e est gagé par une hypottièque de premier rang qui frappera, au profit d e s uljligataifes, tous les biens dc la Société, aon réseau, ses immeubles, son matériel d ' H x p l o i r a l i o n , en un mot, tout s o n actif industriel, Remarqurms que l'exploilatioa d'un chemin de for, qui relie des districts miciera aussi importants que ceux dc la Carolina et dc Linares, comporte un mouvement inten.se de transport et, par causéquent, nécessite un matériel roulant considérable — d'où accroissement des garanties, 2^ Le service dc l'intérêt absnrbe une somme d e 200,000 francs. .\ ces 20Q.ÛOO francs, il faut ajouter, p o u r l'amortissement, 20.oûû francs, eu chiilre rond. C'est donc 2 2 0 . 0 0 0 francs qui devront être prélcvéa chaque année sur lea bénéfices. Quels serout cea bénéfices ? iVl. Arana, ingénieur des pouls et chausaéca, les évalue à 7 5 0 . 0 0 0 pesetas ( 5 3 1 . 0 0 0 pour le tronçon de la Carolimi à San Roqite et 1 9 0 . 0 0 0 pour le tronçon de San Rome i Linares). Mais si mes lecteurs veulent bien arrêter un moment leur attention sur lc.9 ranseignements qui suivent, ils pourioat ae coavaiucre que les chiffres indiqués par M, Aïana seront évidemmeat dépassés. Voici le très intéressant article qu'un organe spécial, VEcho des IHiaes ei ds la Métallurgie, consacre à l'industrie minière dans la province de Jaen. Les mines de cette province forment deux bassins : celui de Liriares et celui de la Carolina. Dans le premier, les filons sont généralement encaissés dans le granit, dana. le second, ils se trouvent, le plus souvent, dans le schiste silurien. Ce qu'il y a de remarquable, c'est que le filon passe rapidement d'un terrain granitique à nn terrain schisteux aans s'interrompre. Les affleurements étaient autrefois souvent visibles à la surface : aussi a-t-on été tenté d e les exploiter dès la plus haute antiquité. Les affteuiements sc composaient parfois de mineiais de îer au da cuivre ; certaina filons, comme ceux de Las Cadenas San Enriq-its Mejieana (Compagnie La Cruz) ètaienl encore exploitas récemment - pour le cuivre qu'ils coutouaient. En profondeur, !e même fllom de fer on de cuivre a fourni de la galène (sulfure de plomb). Les cauces, sionnaircs de cette région sont des Espagnols, des Fraiiçaîa, dca Anglais, des Allemands, des Belges, eto. Voici le rendement approximatif des mines les plus importantes : B A S S I N rut LINARES La mine la plus importante est celle de l'Etat (miae Ariayaoés), qui est exploitée L'hsure va bientôt sonner où, joyeuses, nous allons nous envoler vers noa estivales résidaucva : es moment me paraît propice pour vous aviser qu'au 2 6 dc l'avenue de l'Opéra il y a un admirable asaortiarent de nouveautés pratiques en fait de sacs, malles, et en général tous les articles de voyage les mieux compris en même temps que les mieux faits ; j'ai nommé les bagages V. Martel. Pour celles de vous qui vont faire du touring en auto, je leur recommande une ftmlb de petites merveilles pratiques, jolies, indispsoaatiles au coniort du voyage. Les bottes pour pneus sont surtout parfaites. Mon mot d'ordre sera donc, amies lectrices, avant de partir, dès que vous songez à vous équiper pour le voyage, quel soit-il : « N'achetez pas avant d'avoir vu les bagages V, Martel ^. Vous n'aurez qu'à recounattra ijue le conseil eat bon, et j'attends que vous me le disiez. Si jamais j ' a i reçu des félicitations et de gentils remerciements pour les racettea que j ' a i pu découvrir ou les nouveautés que j ' a i pu vous signa3 1er. c'est bien à propos du traitement pour maigrir dont je vous ai parlé • l'année dernière : ie traitement par les pilules foudautes de Martmbad, avec le savon Biodé Courtois. Saus fausse modestie, j'accepte vos remerciements car vous savez tontes que je ne vous recommande jamais la moiadrc chose sana m'être assurée de sa valeur absolue. Les pilules fondantes de Marienbad, quicomporunt plusieurs dosages gradués rt^a j , •2, 3, 5, et le savon Biodé Courtois, qui en est le complément obligatoire, se trouvent, j« vous le répète, à la Pharmacie Normale, 17, rue Drouot, S'il y a, par hasard, quelques-unes d'entre \^ous qui n'en ont paa encore essayé ct qui veulent maigrir sans craindre, comme avec d'autres traîtemeuts, de voir leur sauté s'en ressentb:, qu'elles demandent de ma paît la brochute spéciale qui leur sera envoyée le plus aima Lilemeiit du monde ; ou bien, si elles me croient sur parole, qu'elles adressent 4 fraucs pour la boîte de pilules et 2 fr, 75 pour le savon eu ajoutant o £r. 85 pour frais d'envoi. Le succès de ce traitement a été trop probant .pour que j'aie à insister davantage. S'ü est un moment où il est pour nous de toute imporfanoe d'être corsetécs à la petiection, c'est bien surtout pendant les moia d'été. Nous sommes souvent « en taille », les costumes légers sont plus difficiles à porter moins « habillants », bref, il faut que le corset à lui seul nous habille (si j'ose employer cetta FINANCI pour le moment par la Société LaPlombifera annuelle de sulfure de plomb est ÈRE Espanùla et dont la moyenne de production Tonnes de The Sopwith and L" anglaise (Mine Gitana et autres) Société anglaise Pozo Auolio (diverses mines) , Sociedad Española cugliah (Mine San Miguel) espagnole Société de Penarroya (Mine de los Alemanes et autres) fi-ançaise, Sociedad Bil baiua ( Mina el Collado del lobo) espagnole , Sociedad Española (iklina el Mimbre) espagnole Compañía Francesa de Escombrera Bleyberg (Mine Colo la Luz),française., "lo^eo 4- W 6.120 8,^80 IHiues diverses .'^•9'^° 11.040 9.960 1J , 0 4 0 2.7(10 Total du miuerai de sulfure de plomb , 97. a6o Le Sassüi déla Carolina, uu peu moins impoiíaut, produit 7 8 . 4 8 0 tonnes de sulfure de plomb. , , j 1 Laminerai de la Carolina a une teneur de 7 6 à S o a / o i e plomb et dc 2 5 à 5 0 grammes d'argent par 1 0 0 kilos de plomb. Les d e u x districts dc Linares et de l a Carolina produisent, le premier, S.ooo tonnes par mois, le deuxième, 6 . 5 0 0 , soit un total n i o n s B c l de 1 4 . 3 0 0 t o n n c a environ. . , , Donc l'extraction minière dans les deux bassina que dcsscrvna le Chemin de fer de iaCarolina, se chiffre annuellement par 1 7 5 . 0 0 0 tonnes. Ce chi2re, qui ressort de statistiques récentes et authentiques, est sensiblement supérieur i celui qu'indique M. l'ingénieur Arana dans son rapport sur le Cliemin ds fer de la Carolina. Ses calculs sont, en effet, basés sur ijû.ooo tonnes. Outre l e transport des minorais, il faut considérer que le transport du charbon, des bois, des céréales et des denrées diverses nécessaires au ravitaillement d'une populaüon sans cesse croissante, augmentera, dans d'importantes proportions, l'intensité du trafic, ^ , , . , Par conséquent le chiffre de bénéfices que prévoit M. Arana et qui représente plus de trois fois la somme nécessaire au service des obUgations C«foÎîk», .est de beaucoup inférieur à la réalité. Nous sommes donc fondés à condore que le service des obligations de la Co)Bi.flï«îe des Chemins de fer de la CiiTOitwa est surabondamment garanti. Sécurité du gage, service d'amortissement largement a s s u r é , pnme importante de remboursement, rendement d e 5 1/2 0 / 0 , prix d'achat extrêmemetit avantageux, t e l l e s senties conditions que réunit l'obligation du Chemins de fer de la Carohna et vollâ, pour quelles raisons nous conseillons l ' a c h a t immédiat da ost e x c e l l e n t titre. Kous engageons fort les abonnées de ce magaïine à recevoir et à consulter l e Moniieur des Capitalistes el des Rentiers, 9, rue Pillet-Will, compliment naturel de cette rubrique âuaucièie, L E M o H i i E D n DfiS C A Î I T A L I S T E S E T D E S R E M t n E n s , figure hardie). Comprenez-moi bien ; Depuis que j ' a i traité ici cette question capitale du corset, jé n'ai cassé de vous dh'e de quelle importance pour une personne élégante était le soin de fa îignc, joint à celui d'étie « à l'aiso quels que soient les mcuvements du corps i». Je n'ai pas encore trouvé, et je le dis bien haut, rien qui me plaise davantajjc que le Corset Pcrsephone n" 909, avec aa coupe parisienne bien allongée de dos, souple et sffj'ant. Depuis que je vous l'ai recommandé, d'ailleurs, Baihy me dit que mes coiàeils sont écoutés et que mes chères lêclrices affinent au 187, rue Saint-Honoré. Ceci n'est pas pour me déplaire, vous pensez bienl Avec la belle saison qui enfin nous arrive et qui, espérons-le I va durer, voici . qu'il va falloir affronter le grand ah- et vous n'ignorez pas que I» saison qui vient est relativement préjudiciable à notre teint et que de plus la fatigue obligatoire des sporlg augmente dans une proportion navrante les affreuses rides. Cî'oyez.moi, maintenez d'une façon constante les tissus de votre visage et de votre con daus un état de « santé réelle «• qui non seulement puisse faire disparaître les rides existantes mais empêche les vilains petits sillons de se creuser dans votre peau délicate. Pour mol, je vous le dis à nouveau, je ne connais rien de plus merveilleux et de plus vraiment eiûcace que le traitemenl par l'Auto-Masseur vibratoire Eslhética que vous trouverez, 5 , rue Dupin, en face le Bon Marché, Je n'aurai de cesse que chacune de mes lectrices n'ait cet admirable appareil sur a a table de toilette tout comme elle y place ses brosses et ses flacons 1 • II ne faudrait pas avoir dû raisonnentcui en soi pour ne pas comprendre combien ce traitement pai le massage, rendu pratique grâce à l'Auto-Masseur vibratoire « Esthética », est le seul moyen sérieux de comtattre les rides en afi'ermisaant d'une façon régulière tous les tissus. J'eatîme que je ne peux pas voua dire mieux pour voua convaincre que ceci '. je me demande comment j'ai pa vivre jusqu'à ce jour, sans avoir chez moi et aans me servir journellement de mon Auto-Massaur vibratoire Esthética... L a Parisíekbe; DK Phmina. F- S. — Je vous rappelle, parce qu'on me ïe demande, que c'est à JH. Bclilres. ig, rue Drouot, que vous devez voua adresser pour cette admimble merveille qu'on appelle la Bigoadine dont je TOUS ai parlé il y a deux mois et qui fait friser et onduler les cheveux par une simple application avec une petite éponge sans avoir à se aervir du fer qui ferait à la longue le soyeux et le brillant de vos ofieveux et les casse. Je sais par M. Beltíres que plua de 1 . 5 0 0 de mes gentilles lectrices sont devenues dea clientes assidues. Cela ma ilattel.,. ¿^1 1 l - t a i ÊCHOS NOTse COBSEILLE d OUVRAGE T I£s abonnées dc notre édition d'ouvrages ^ trouveront aujourd'iini, encartés dans leur numéro : I" La Corbeille de Fsmwa, supplément de quatre pages illustré, contenant La description détaillée des dessins décalquables et du patron découpé que nous leur QÉErons ; 2=1 Une planche de broderie aveo dessins décalquablea ; 3» Le patron découpé d'un paletot. Rappelons à toutes nos lectrices quo le prix de l'abonnement à notre éilition d'ouvrages, comprenant par an 24. suppléments illustrés, 4S ouvrages de dames ét 34 patrons découpés, eat de I S francs (France et Belgique), 30 francs (étranger). Envoi d'un spécimen franco contre o fr. 75. NOTRE SUVPLÊSiENT DE NKZ " F E M I N A " A HAUTS TtOVCE CST-CE Cûllignnn? Hacchus P Silène? On ^ pourrait le croire, alors qu'il n ' e n est ..^ T i e n , l e . s u j e t , b i e n s o u v e n t , n e •" b u v a n t q u e d e l ' e a u . L e P r o f . D . Mono, le spécialiste d u visage, scigne e t guérit depuis l o n g t e m p s cette affecliou qui relève de l a catégorie des acnés, soit ; rosée, congestió's, irritat i v e o u i n d u r é e , e t s o u v e n t plusioui'd de ces f o r m e s à l a fois. L e t r a i t e m e n t est facile à faire s o i - m ê m e . Questionnaire, n o tice sur les soins d u visage et produits spéc i a u x , 6, r u e d u H a v r e , P a r i s (9"). C cbauEBures ¿ h a u t s talons IL·LUSTRÍ: f D J LA VEAUTÉ EJTBtTISUE U K s o u f f l e , u n r i e n , s u f f i t à, t e r n i r l ' a u réole d e p u r e t é q u i s'irradie, gloi-ieuse, a u front d e la f e m m e . Envoléei la b e a u t é , envolé l e .bonheur. Q u e de pleurs accompagnent l a première ride ou le premier c h e v e u gris. .C'est p o u r c o n j u r e r cette c r u a u t é d e l ' i n h u m a i n o n a t u r e q u e Mnm E. Adair a. d e m a n d é à l ' h y ^ i é n e k s f O T r a u l e s réparatrices. S a l o tion fr. 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S o n u s a g e p r o l o n g é a p o u x effet d e régénérer l e s m u s c l e s affaissés, d e refaire le tissu a d i p e u x et d'effaèer successivement les rides, la p a t t e d'oie e t a u t r e s stigmates d e la faceDaiis u n Traité spécial, e n v o y é franco s u r d e m a n d e . Mute Adair p a s s e e n r e v u e t o u t e s les affections d u visage e t l e traitement approprié, — Consultations tous les j o u r s . S, r u e Cambon, P a r i s . Pi/lin C h a p e a u v u a u v e r n l a s a g e â e l a SooWtÊ d e s A r t i s t e s Création de Lenihlrie (2iS, NTE Sainí-Honofí, A OU IRONS-NO AiXEVARD US CEÏTE pour soigner ANNÉE nos f voies Frsnçaîa Paris). Salin i 11.7JI e n I 3 0 . POURENLBVEja I L faut LA ROUILLE employer la " Crème tDVLINOE Eusse Cette pommade chimique enlève l e s taches d e rouille et d'encre, s a n s brûler le FEMME SVELTE l i n g e , L e flacon ; i f r a n c ; f r a n c o i f r . 25. N E f e m m e s o u c i e u s e d e l a . b e a u t é d e s a p T é l é g a n t e a j o u t e r a - t - o j i a u s s i t ô t . P o u r L e v a i r e , c h i m i s t e , 11,rue P o l o u z e , P a r i s . a chevelure et d e sa santé doit connaitrs ^ le devenir, lisez l'opuscule q u e v o u s FANTAISIE DE FEM.'iE et surtout retenir l'adresse d e - H . C h a - enverra discrètement ot franco, k Savonnerie d e l'Amiral, 35, rue L e Peletier, HANGER d e n i i a n c e q u e l r ê v e I B r u n e , b r i e r , 48, p a s s a g e J o u f l f r o y , à P a r i s , devenir blonde à s o n gré; c'est c e q u e Ce d i s t i n g u é c h i m i s t e a é t é e n effet le produit l'Eau végétale q u e Marquis, e n premier e t e s t enoore l e seul jusqu'à préAUX ARMES DE PRO. • s e s n o m b r e u x s a l o n s , 77, r u e S a i n t - L a z a r e , sent qui ait s u rendre l'emploi d u henné VENCK, éO. BUE ÎÎJÎ 21115 é t a g e , a p p l i q u e d i s c r è t e m e n t . pratique, et qui, à l ' ^ d e d'autres v é g é t a u x PROVEUCE, PARIS a riches e u x aussi en matières colorantes, LA TATE ÉPILATOIRE VVSSER ait s u 'fabriquer e t combiner pour toutes E plus grand choix D U E J.-J.-Eousseaii, peut être em¬ l e s n u a n c e s , d e s t e i n t u r e s inoTfensives e t de colliers d e perles p l o y é e e n t o u t e s û r e t é , p u i s q u e son d o n n a n t d ' e x c e U e n t s r é s u i l a t s . D e s c o n - u n e s . B i j o u x d e preaction est certaine. Aussi pensons-nous étte trefaçons surgissent presque journellement, mière qualité. Spéciautile en l a faisant connaître a u x f e m m e s qui vont m ê m e j u s q u ' à la capie servilc lité d c corbeilles d e afâigées d e barbe o u d'une moustache. d e s b o i t e s e t d e s p r o s p e c t u s . C'est dire mariage. . fi que, si n o s aimables lectrices doivent conLEJOVCI DE LA -BEAUTÉ U L n a î t r e e t retenir l ' a d r e s s e d e M . H . Cliab r i e r , e l l e s d o i v e n t a u s s i Èe m e n e r d e s c o n trefaçons. LES S . I.KJ DIAMANTS !I t LES PERLES I 11 TJ m o m e n t o ù l e s a r t i c l e s dc f o n d d e s grands journaux cherchent i élucider par d'adroits interviews la question d e la r e c o n s t i t u t i o n d e s d i a m a n l s , n e v o u s êfes-vous p a s d e m a n d é pourquoi les cherc h e u r s d e p i e r r e s p h i l o s o p l i a k . s n u cle d i a mauts n'avaient pas porlé leurs recherches sur l a syntlidse de la perle, D c i i n c o u p d e n a t u r a l i s t e s c u l t i v e n t d e ] n n s tle l o n g u e s a n n é e s l e s h u î t r e s p e r l i è i c s , i i u ü s c e n'e,it p a s là. u n e s y n t h è s e c l ù n i i q u e , c ' e s t u n artifice p h y s i o l o g i q u e . L e s .Japonais o n t su tirer u n adniirable parti d e s d é c o u v e r t e s faiies à c e jour pour activer l a production d e s h u î t r e s p e r l i è r e s ; i l s l a <, f o r c e n t * à. l'aide d e p r o c é d é s s e c r e i s . O p è r e n t ils p a r piqûres o u par i n o c u l a t i o n s ? N o u s n e sav o n s . D a n s t o u s l e s c a s ils p r o v o q u e n t l'éclosion dans l a coquille d'une soufflure globulaire q u i n'est a u t r e chose qu'une perle creuse d ' u n magnifique orient et d'une pureté impeccable. E n coulant dans cette perle de l a nacre, ils obtiennent u n e perle a b s o l u m e n t réelle. U n e maison réputée d e Paris s'est assuré la production entière d c cette précieuse perle. Cette mais o n e s t Novûliy, ï S , b o u l e v a r d d e s I t a l i e n s , et I I , rue Notre-Damc-de-Lorette, ' UN JOLI COUPLE EVX parfums inédits « L e s Marguettesi,, « G u i , Vert » d'une finesse et d'une t é n a c i t é e x t r ê m e . 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'.Taitbout, Paris. N mSCRIVONS-NOUS. SOINS HYCIÊNISUES Et M O M D i î E d c j o l i e s é t r a n g è r e s s ' e m p r e s s e n t , •BEAUTÉ DE LA CHEVELURE ' ^ p e n d a n t l a season, v e r s n o t r e c a p i t a l e . A v a n t d e mettre au pillage les grands lyi E E V E I L L E U S E l a l o t i o u d e M m e s D o J-Vl- v o r s e t G r o s s , n o n s e u l e m e n t e l l e a r - s a n c t u a i r e s d u c h i f f o n , l e s p l u s a v i s é e s rête l a chute d e s cheveux e n quelques tiennent à se mettre e n forme et i réaliser jours, e n retarde l a déeoloration, mais une générale cure d e beauté. P o u r cela, elles d e m a n d e n t à M m e T a accoinpagnée d e s a v a n t s massages, fait r e p o u s s e r de's c h e v e l u r e s c o m p l è t e s e t b e r l e t , d o n t l a r é p u t a t i o n e s t v e n u e j u s q u ' à e l l e s, d e s soins précieux e t l e s produits abondantes. 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C'est à celle-ci que des milliers de personnes doivent leur santé. Il y a quelque temps, cette merveilleuse découverte a é t é pratiquement ytiliséc pour les dents. J\jsqu'a présent, des nûlUons de 1561166 d e n t s étaient inexorablement • rongées par des bactéries et pourrissaient inévitablement. Maintenant. chacun peut conserver ses dents belles e t saines, par l'usage quotidien d'un dentifrice antiseptique. Il suffit simplement de se rincer l a bouche avec l'Odol, pour que la. cavité.buccale soit entièrement purifiée e t protégée contre l e s fermentations qui détruisent les dents. L'Ckiol agit selon u n principe iùiti à fail ttottveau pour a n dentifrice. S o n action, dont l'efficacité est prouvée, repose principalenient sur la propriété particulière à l'Odol de pénétrer dans l e s dents creuses E T de se laisser absorber par l e s muqueuses des gencives, q u i e n restent e n quelque sorte imprégnées. Ou conçoit aisément l'importance énorme d e cette action sans précédent. i Tandis que l e s dentifrices généralement employés jusqu'à ce jour n e peuvent agir que pendant le temps fort court du nettoyage des dents, l'Odol imprègne les muqueuses de la bouche et l e s d e n t s creuses de ses éléments antiseptiques et continue encore à exercer ses eifets salutaires pendant des kemes cuntieres. D e cette manière, o n obtient une action antiseptique continuelle, par laquelle - 1 <I 2 l a denture, jusque dans ses plus fins replis, e s t dégagée de toutes les fermen- 1 l tations E T de toutes l e s matières parasites. E: > L'Odol se vend en flacon \flacon à eompte-gouites) dont le confemt suffit à l'usage de plusieurs mois, à 3 frcmcs — [le pdii flacon à dans toutes les bonnes pharmacies, drogiieries, payfwmeri6s,ei!t. Ali XRX n 1 l Avantages offerts aux Abonnées de «FE1VIINA'' Tout le Monde peut lire = L i s e s e a t l e l i s t o et I n d i q u e z 6 p r i m e s pur ordro d e pr^férmoe. 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Ls Billet 2^aus, do FcngoTïgxd, o u Sarak Beinhardt, OhATtran, m a Buiflques hÉlioBravures e n taiUedouce. ï iUsitniJi POCRETTS DB LUXE, dos e t cûlBB toile, reaftirm a n t r I« s o i t sa ^raciemnîionUsxie en conleura (poitruitede femmes), d n MMtreJ.EEIiLair,maTitésaurfeutre ; ces adressés à j» Pierre Lafitte &C'* Ett Vente Partout 3" soit dauzi hars.texig de F<iimK ei 1 Cftííííítaü:(Bcènca eliaiflp6ties>montés feutre; S' mit jiiímí íiira-tetít de • la F i e O M GWTii X i r (oélibrltÉsaporOfficiers Ministériels u ™ ) . Toutes oea lolleo g r i v n t e a eoiit BUaiMîptiijlefi de concouiiï forl) V e n t e a u P a l a i s d e J u s t i o g à P a r i s l e «5 j u i n i g n S , hemreuaement à la décoration d'un appartement. ^^L^». 9 2 , . O n blou .• R e v e n u brut e a v i r o D : i o . o o o francs, Mîse à p r i i I I I . . ^ M O Y E N N A N T 2 f r . 7 5 Í/5.0GD fraTDs, S ' a d r e s s e r à M" Pla.wwaud a v o u é , p o u r f r a i s d i v e r s l E t r a n e e r e t 15, m e K i c h c l l e u , Deltk'on.Daljier.y cC H-ir^ui^BoÛDAiLiE, a v o u é s à P a r i s , M<" MA5Ero:i C a l n n l e s 5 t r . ) a l ' a n d e s bi". BUT • _ Q : T S Rli m I/HOm-M-TIllI JoBxFIX suivants : (Wï. Um íóHo tm)£hù òürrettí aveo parte 2 M« L o y s E A . u , n o t a i r e à B o u l o g n e - s u t - S e i n e . Mi^^ DEWotJil·LE, FAYûLr.E o t MotíT^écu, garants Hf i IÇ ftiï"^ VignoiL, 16. Cdg 3-19 m. R c v - îS.410 fr. iratíie m mec i!lAiljUilM.àp.rSa.ooo f r . A . a d j . s , iHiich.cli. a o t . 3 juiTi 1908.S. M«FLA.HAi;D-ÜDVAL,n, 34. r X á f a y e t t e . Uns mperba paire di ôirtitoïM à cumnetles, olàre et fimrs. V é a t e a u P a l a i s , à P a r í s , l e 3 j u i n 19ÜS, á a b e u r e s , Une beîîe épingle cni^ate ÎÉIe de iKieii Olí di fíhsval Uní ^îenâ^ue épingle âe (.r&vatc L e O T Í w P i í v a u t plUB ohür o u o p a r gent, pulaiïu'a est remboursé o fr. 6 0 C o n t e n a n c e 240 r o . 60. A v e c consitsuction?. Mise lo gramme, à p r i s : 1,300 f r a n c s . S ' a d r e s s e r a K" Hsiîri Danh-t, Bf.gut«, a v o u é s , PoiSEOw û o t a i r e . ' UJancourt, ppûp'iiété, r. d e T h l e , y. C c e ^ s S B m . ë t i V - L i b t e . M. à p . 4 0 . o o o f . A d j . c h . i i o t : P a r i s , l z juin; S*ad; à M" Moseau. n o t ; , r. S t - L a a a r f t V e n t e a u P a l a i s à P a r i s , l e fi j i À a ipoBi Piw missmie • *^ et Mauhice Dkma^cke, notaii'es à Paris, TEMAH I A PABTS B '??lrr 50, E l liaison D fllf I imU ifi. R e v . i S . g S t fr. M. de rapp- li« tjllârrII) à p . •- 1 8 0 . 0 0 0 fr. A d j . Ch.iiot.2 jiíÍ7i,MeGüïïi£NET,not.2.'i,bd B n e - N o u v e l l e . V e n t e a u P a l a i s , l e 3 j u i n 1998. E n 2 l o t s d e ^ ^ ¿ r o ^ í B l I U MOSCOU, I 331T3r ec T « m C o n t e n a n c e 141E m è t r e s g + e n v l r o n . R e v e n u J j l j l b r u t env. 4 3 . 5 8 2 ir. 8.1. M. à pr, 4 3 5 . 0 0 0 fr, e f n m Coiitcnanoe ! 3 9 5 m e t , 2 9 e n v i r o n . Elev, LUI b r u t envirott 4 7 - 0 7 1 fr. Co, Mise il p r i x : 4SO,.ooo f r a n c s . S ' a d r e s s e r à M " HAflUlH, Alpil. CaAKTiES, a v o u é s Í Leedy, notaire, '\rente a n P a l a i s , l e 3 juin 1 9 0 8 , à 1 h e u r e s . 2 . ÏSetue BIS A M É I S , 5 ET 7 (LE* arrondiss.). C o a t . 4 1 4 m è t r e s e n v i r o n , R o v e m i 5.2ÛO ir- e n v . Mise à p r i s i 4 0 . 0 0 0 fr. S'adresser à M« CoUROï, avoTié à P a r i s , l a , r u e G o d o t - d e * Maudoij HussENOT'DESEiioi.'GESt notaire, V e a t e a u F a l a i s à P a r i s , 3 j u i n 7 9 0 8 , à a h,, e u s l o i s . ^rpTr^ AVEIEM™! , r Oï C o n t e n a n c e : 1 . 0 0 4 îpètL'es Duvirou. b r u t ; 40.569 francs, p r ê t d u CiédiÉ Mise à p r i x : 3 5 0 . 0 0 0 francs, . t v e t l e s p r e m i è r e s jMrnies d c p r i n t e m p s o n t c o m m e n c é l e s folles r a n d o n n é e s en auiû, l e s e x c u r s i o n s , l e s v o y a g e s . Malgi-é SeB plus eages précautions, les pauvres cheveux vontiti-e m f i i m a l p a r c e t t e p o u s s i è r e i m i i a l p a b l c qui trompe m o y e n d e p é n é t r e r p a r t o u t , e t l e cuir clievelu lut-m&me s e v e r r a i n c o t u m o d è n o n .-içulement p a r l a chaleur tiède e t h u m i d e entretenue p a r l e s chapeaux o u antres eoiiïre-ehcfa é l é g a n t s , mais a u s s i p a r t o u s l e s c o r p s i t r a n g e r s q u t s'enToleut au g r i d o s v e n t s , A v e z - v o u s é g a l e m e n t s o n g S ans. contacta m u l l i p l e s d e l a t a t e so t a v e c l e s o r e i l l e r s o u l e s d r a p s d'hatcl d o n t a b l a n c h e u r e s l trop s o u v e n t t r o m p e u s e ou a v e c es p a r o i s des x v a g o n s ï C a l s u l e i l e s m u l t i p l e s a f f r o n t s rriie p e u t subir u n e clievelure e t v o u s serei: è i u n n è qu'en n o t r e société, après u n voyag» m ê m e l e plus court, il s o i t d c bon t o n d e 36 l a v e r , d e s e doucher t o u t . , sauf l a t è t e . P a u v r e s c h e v e u x qui p i r e s s i j o l i m e n t l e s t ê t e s J e u n e s on v t o l l l e s , c h a q u e Jour voua i t e s m i s i cûûîi'ïlmtloii e t l ' o n n e ae s o u c i e do v o t r e s a n t é ijue t r o p t a r d , l o r s q u e v o u s t o m b e z . C'est ici l e c a s do faJre d e l a m é d e c i n e prévent i v e , d e l'byci&rte b i e n e n t e n d u e . Jadis ott s e hroasait l e s denta u n e fois l ' a n , pur M q u e t t e r l e , e n c u r e Stait-ce fort m a l p o r t a , a u j o u r d ' h u i , du h a u t e a b a s de l'Échelle s o c i a l e , o n a r e c o n n u l ' i m p o r t a n c e du. rûle j o u é p a r l e s d e n t s e t o n fuit l e u r t o i l e t t e p o u r n e p a s q u e u e s t o m b a n t . A c t a e l i c m c n t . k force d'avoir v n l ' h u m a n i l è devenir chauve, o n c o m m e n c e t se laver l a tôte, Les gens prudents e t l e s f e m m e s élégantes d o n n e n t l e b o n e x e m p l e ; b i e n m i e u x . Ils n e se c o n t e n t e n t p a s (l'entretonii" s o i g n c p s e m e n t lu p r o p r e t é !l« cuir c h e v e l u , m a i s e n e o r e lia i a v o » l i s e n t l a v i t a l i t é du c l i e v e u . L e s produits iful p r é t o n d e n t r e m p l i r ce d o u b l e rôle s o n t c o m b r e u s o t l o public n o doit faim s o n c b o j ï qu'avec i a p i u s g r a n d e p r ù d o n c o . P a r m i l e s p l u s c o n n u s , j o dots s i g n a l e r l e âtii4nipoiiïg e t l a l o t i o n K o f a qui présentent des saranlie» toutes païticullùres. c e s d e u x prèp a r a f i o n s , d o n t l e c o n t r û l o m é d i c a l e s t IrrÉproc b a b l e , s o n t offertes ai p u b l i c a\'tíc u n aapeet a i s t l n p u é c t j l È c a n t , tfu n o n u i t e n l i e n ii Icuh (jualliés. B l e u d e m e i l e u r , e n cîlot, q u o l e S h n m ^ o l n H K o i a p o u r n e t t o y e r l a t ê t e , rien dc m e i l l e u r a u s s i q u e l a l o t i o n l ï o j a p o u r a u g m e n t e r l a v i t a l i t é d n c u i r c h e v e l u e t fortifier le c h e v e u . Les p r o d u i t s n o i a s e t r o u v e n t d a n s t o u t e s l e s b o n n e s m a i s o n s et. l a m a i s o n d o v e n t s e s t 33, b o u levard Slsdeslierbea. 1! e s t fort h e u r e u x p o u r l o c o r p s m é d i c a l d'avoir îi s a d i s p o s i t i o n d e s p r o d u i t s ausai efficaces ( ) u i i u l é v i t e n t î o u t e s f o r m u l e s c o m p l i m i é è s et t o u t t r a i t e m e n t e n n u y e u x . D' DÉSAKDai;, SpêfÀalisUÛU GUir cAffueÎTÎ, 61, raMioltrffSatitt-Bonori. Paris. Reveau Fonciert FHïl lïUMIieAMOSSlIU! ÏONTfflnMi. A mmm mmimnmmm C o u t e n à f t c e 5 0 0 m è t r e s e n W r o u : Rfivfinu Bfúcba Bùutoua BfDoIlfr gui b r u t Í 23.670 franos t u v l r o u ; Mise à ptÎK : barrette AQ TnïTkch<?tte9 uvcù 1 7 5 . 0 0 0 f r a n c s . S ' a d r e s s e r à M«" VaL7.eï, 'avoué, àvût à ehaînetteitt a pflrJw 4 6 , l u e d e L o n d r e s ; Mouillufahime, B E A u a i á purle Tiüo. olivt et ilcura. unes. Tiire F / a , Titre Fix. Tîtft inx, e t DtiR?TERiH, a v o u é s à Paria ; M « 9 Bûukdei, gptaiie ; MAacEttlEK.adininlstrateur. . IV. E n f i n . l e s a b á f l n f i c s i a u i s g e n i M a i s o n m T iniTllDnn'Kir i 3 > R e v . l j r . i i , 7 6 o f r . à P a r i s JE. J a U i l M i U M i f M. à p r , ! 7 0 . 0 0 0 f r . des a v a n t a e c a sulTantB i 20 j l a i s o a n . nrimilTO e u - t a y e ( S - e t ^ O . J , t u e sise à 0,TrMllfiAI[l^oItairc,ir.Rev,b,3,oco, i." n est répondu gratuïtament â t o u t reiuei' M , à p , 5 0 . 0 0 0 f r . A a d ] . 3, r e u c h . Cli. n o t . P a r i s , g n e m e n t demandfi par n o s abonnéuB (les acha3 j u i n . S ' a d , M» Geighôn, n o t . , 2 6 , l i d St-Mlciiol. tBure a u n u m é ï o doivent joindfû 0 / r . 90 à leur d f l T D a n d e ; ; 20 T o u t n u m é i o ablmÈ ou m a l p a g î a é e t t 1 4 0 . 0 0 0 ix- A a d j . 5. I c u c î i . Cil. n o t . PariSj 2 juîiu ïCiiLplaiî6 gra.tuitement à n o s aTionuées, ¿ con^ S ' a d r e s s e r M* Hutï-lieh, n o t . , bdt H a u s s m a n n dttloii nu'Uucma BOlt retouitid etqu'nnQoaj'te puatslc noua iuflïûue Io motif du retour ; V e o t c a u P a l a i s , l e 6 j u i n ï Q o S , à 2 LeureB. T o u t e a b o u n i e peut avoir l&suumicoa qui manrtuerit t cuUoqtiou d(j l'auuéc e u Cours a.VflQ uu Tul]a.is d e 6 0 0 / 0 ; 53, 4* De nomferetjx cüneoura sont réservée a u x ComprmÈmt : Maison d'habitation c t bâti, &^ NoQ a t o n u é e s lûcolveut toujours leur m e n t s d ' e x p l o i t a t í á n d ' u s l u e ert crin filé c t puWJoatlon a v a n t gu*elli)n& eoit mise e n veutfl I m m e u b l e s p a r de&tinatiou e n d é p e n d a n t Ï t o n Cbczlca libraires e t d^ine touf les Itiosquea. . Éenance ! 2.983 t u è t r e s + 4 . Mi.se à p n ' i ; i a o . 0 0 0 £r. S ' a d r e s î e i à M« Garnies, a v o u S . 't^^- m m mm :( e^rploité dans les lieux IJ, quaî d e Boulogne, e i ci-deasus "et à Paris» ATEPBT1(1TOR-H10,51. vmm m ^mrn fllïaiHTïlJt! (Somme), E n 6 lots. jlnnUlIljDa Terrains, p â t u r e , verger. priiK entre a . 9 1 7 francs e t Ï2.ff34 francs, ni k lïATD ^"'^ ^ P " " =5-950 francs. 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S'adresper à M*» Bilaugé avoué, r u e de l ï ô v i s e ; :Maiïttîî e t Léûer, a v o u é s ; DuïoUËt e t Chevjllakd, n o t a i r e s à Patís. * V e n t e a u P a l a i s l e 4 juin' i g a S , à heures, En v«us servant du Cttre-deats stérilisé e t e n v e l o p p é X E N E G R I v o u s conserverez v o s dents toute votre v i e . 1 EN V E N T E P A R T O U T S(Mi"El'Hïtl""LEllEBR|.PlP(IZ"12,r.iluH8ld(ir,P*BIS . 'u ¡3 FAGNIE GÉNÉRALE DE L'AMEUBLEMEN ET L A V E N T B D E T O U T CE Q.UI CONCERN.E L'AMEUBLEMENT LA PIUS IMPORTANTE SOCIHTR F R A N Ç A I S E P O U R LA FABRICATION 10 î: MAISONS A PARIS sons il PARIS Í3IÈ1GH SLIOE aOOIAL a u T A F Î S ••• r o u g e FERMIERE Li ROUGE :: ^îà.Bdde 31i3EtapurB, 54 àOo.ï. du ChàUau-il'EôU . et 6 7 , iuo d« P4iubt>iirg-Sr-Mflrtipi. — }ù, Bd li:: Stiajbojri;. àéa,r, Cliattaa-d'Eiiu i - rl à-;, RUT! ¿a p;iubí)UrE-St-NiarLÍn, • - - •- LA SOCMI, A U TAPIS î A U BOIS :: S C U L P T É [05, Büüí. d* SAhMtnpDÎ, FEabourg-Saint-Antoin* ÊHÊWISTE8 : ct ;4, Ría» RÉJuimur. 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M , [ill Cliaiicliat 1™, in?:rí,i.»t«ífl,(Jm£ motif. I r o n K rtMi HnBtn™t. o i W d m u s 1 4 S 0 frniürtiie, gtooas Ijieeautrra nu fcüiltüil et riiix portM de cÇté « 0 J^. le. T A B L E ' e n OMJon mnesif nrnie brtmass ciselés, i allongca H"SCixl"llJ) P A N E T I È R E litreeiirl»40,(lcaïuaiii6il)ts,t!liice biseautée , . -, • •. 1 2 5 fr C H A I S E acaftu mmali, slèOB e t fluí c i m m e s Un, l'une S S ft. Le ^''""teuil 185"B U F R E T , VillBS; HStels, Clialíls, tic. EXTEmTIOÜS a'emiaílage — dans tùuie cantímntaíc, ie port France FFI4JVC0 la « AUTOMOBILES MAISON SPÉCIALE POUR PRODUITS DE BEAUTÉ Lu. S O C I Ê T Ê A T H É N ' A e m p l o i e d e s m é t h o d e s s c i i û i i n q u ç S r d'uaa eificadtéabsoluPT p o u r T e n t E e t i e n e t l e d é v e l o p p e m e n t d e Ifi B e a u i é et p o u i l e t r a i t e m e n t d e t o u t û s k s ini" perfEctit>aH d u v i s a g e D U d u corps. 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Prévient et finiScit : boutoiiE, «Jartrea, coagcurfl, X e p o t franco 3 tranca. Taches de rousseur, hâlc, masque de g:rossesse^ dlspatuít^ont par l'iiûage ilu Lait Oalyjf'so, Convient ii«x épirfcrmca a n s déllcata q u i iiû p e u v e n t anpportÈi-Ice [-•rímeo. Le ftacoQ 6 fr.i irauco eolia posta,! Pfotectien d e répidermo contre les iutempi^Hes, les poussières etc.,, mmèa T^ir lit Crème écs Welkyries. Inaispcueaî)?o ûUK pcraaniiea exiiosÉca nwx^ /iiteinpéiica (eportamen, n.utoniol)LU&tC9, cyülíates, yactitsluen» etc.). Xe p o t friu«o 10 fiancs. yzgard ttacoii j^pficc, Bxpre&5ion. 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Pcoiluif; InoiTenaif, Cheveux, calvitie, pellicules^ c h e Lo flanoii franco 1 0 fmnca. veux.g^ras, etc. 'L·l Uégénéraunr Simita\ni^ U oIu.:t() dea eliovôux, lea f a i t rcpousaor, Rosée d^Orîent, hïRiâne e t bonuté de» arrête détruit le& pelUnnlea, toiilflí le uujr Chevelu» yeux. iTalt diaparaftre : }m tachca, Énies, flirta L e fliLCouS fiftnCB; franco j W í t d fr. 2 5 . i'oheeB do l'caJl; iiDii^ostlon, brûitnrcs, ïougeuzâ, Zjfsaîbine, Dépôt¡énérai:itlCIÉlÉ ATHÉHAD I, , rueduBlont-TliaborC^tít) PAi;i5 ÉLÉGANTES, SOUPLES, A G E N T S SILENCIEUSES 1 E X C L U S I F S ' JULES LEROY et 10, Boulevard Malesherbes T É L É P H O N E ' aaa.is .< <^ ' Beauté de la fmm Raffarmissemml dss Chairs CONCOURS ÊPISTüL AIB E Mentíaos. MíOE9 Et Mlle EoieseaT.1» à Troyea. — LucJe> a. RDÍiiiiE. — Tliérâse HÉroiiard, fe SùntAdrcfiàeT — Ufle provinciale. — ]?imoyBuat, a Mfl-rmande, J a n e IT., A Eorde^ins. — RiizaaQ* Moïae, 1 3 , n i » PÍKIIU+Í, Taris.—- Louise Defrance. Violctt», — j o M i n o Teaimelte. — E C g u c ï y , ù Münt-dft-Mn-raau. — Bfite A B o u P i e i i . — Thomíis da Tadíui, tl EpinaJ. — Ciiuuiiieau, ò. ilourganouí. — E a t h e r Hodaii, ft. A3nîÊTfia.—Valette, aa, rue .T,efiertdr6, Paris. — Sys.—Marie-Il.Q3e Glrarri,!! CfrüIon.—Hélène— B a b î n , ü Monaco. — Binmnin^ il Gray. — T c o y e s . — L·iiclllon,— Sorsum Corda. — AlD.'iaiitlri]:i&. — E o i m a u d , ¿ N I c c — Aüiie Li>iiilí*iiie. — L è o n t i n e p u t c u l l , à. iraiitE&. — J a i i B D u c . — Y v o n n e dc Kcrviilloii, a£, a v e n u e de Witeram, Vn^rjs.— Mtiuricette.a D u n . — V. 013 3 £ . — ajarle-Louise l^onínat, ù. Briixellfti. — o m e t t e de V a u v e m à r e s , HCalíríis. — MarieLitUJSJ C , à L i b o n r a ñ . — R f i c o u l e » , ft L e Thor, Vaucliiap.— MIy. — Y v o n n e A l e s a n d e r , à Cal a i s . — JfJïîe-MnriejCta H a v r e . — C. l a r o c l i e , -X O r l i a i i u . — M i m i Pinsûn. — R c n é o de Veyriètea. So»pbssa ds la Peau HVeiÈKE U, Avenue d e l'Opéra. „ 37. Boul^Malesherbes. , 4, A v e n u e d e C l i c h y , 24. AvemjeidesTernes LvoN... SORuedelaRépùbiique LíLLe'Z"...!^.......32ÍRuGNalionale. CALAIS lO.Rue Royale. REIMS „ , 23.ñueCamot. ROUEN 1 ,Riie d e s C a m e s , Al·liEna 88,Rus desTroisCailloUx NAUTES 2 ,RuE d u C a l v a i r é , TOULOUSE SE.RueAlsEce-Lorraine. BoRDEiAux 23,Coi)ns de rinlendance Ho^TPEl.L^BR..£5,Rus N a t i o n a l e , — Céline B e r g o i o t . h U l l o n , — M. B o n n a m y , a, Marmnnde. — Jcûnne Eiiarteïer, 1 2 , rua SjilntÉ-AnnB, P n r i a . — PiuolEt, fl, Vannsa. — Un, gtllloû. — LijcaateL, a a , ruft de OonrcelleSi Pnris. — D u h a l n e , ii. Saint Oùln. — F . L e m bort> ù tfeuillif-gnr-Seine. — KL·s^ ni, ma Caulalncoürt,Patis-—MnrieDrûmcjfepàlîayhca. — l e o U n f i . — Dailleau-PIcrri-layû,— M:IHÎJU1, a Chaumont. —• P o i t i c t . — Barbiar, à, StûiitD i i . — Líonaríift Allecourt, li "Pilvorâe. — JMl'Moam, — GÉcard MartlRné, l Forchaud. —aias-Meiasnler, á (íenftve. — M.-L. <le Tren)blâ, à ÏTeullly-Eiuc-iielnti. — Atice K. — HélCno FaDtaine; á Hnuhanrdtn-Ie6-LUle. — M w t l i e Deapeyrnc, à C o n e t a n t í u o p l e . — Marincttj;. — Lonrionx, i F o é c y . — Q. Bróbcrn. — d'une. — Paul BïOUESe, TuQc. (A suivre.) TROIS PBDDUITS i^gS^^Mf^ÂBLES ïsÉt D'IRIS im D'APï" JOUI.!! 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COOK & c° '^¿i„r" Embauchoirs Réclame pour IndiapensabltB t r a p t c h t r l i s ehauüuris CONCOURS Mentions I S M A E L TAU T-Kli HiliEÛTHIi. Cûtlo Ceinture, contenant cicï jiiantaK aromûtlqLCfîf w pctiû p Q n t l u n t i î t n n l t f J l B û la vroiirlito iKj lyU-ftJliiilnuüf laiuljûnpQin* £ t o u s i M ilesriB, En asailliii·iint l'úMit Bíníril dnJn aiint J. Jil"< JtuniiirountoUmino i!inil«njmit Uoii l ' n n l a l o n H m portLnt lo Jour on l a n u i t . Ceintures ilo miUo, Cniannes. Dos, J n m l j l i r e i , Mentonnières, CliauBiilnis, mas, Cbu. N o : , J c u Q S , ainsi (lue le Saeliol-üomuDe- — i n i o T h . B o u r e a n , Anneau (JSurc-et-Loirl,— L î n i Itobect. — A n t o i n e t t e - L é o n a r d e ïismU OB, a v e n u o Saint'CferiDalii. — J t m c J e a n B a s o l l e o , K . Ë m l T c r c û W (Voagcs). — M l l e Marin Slalrc, 5 1 , l u e d e Berry, Le- H a v r e . — MUe F û m e s , 12, Grande'Eue, T l i o n u l · l e s - B a i n s . fA suivre.) " U E S MARGUERITES (Voif îl"* J'^'Aîafs H id MM.) 'ciirnl)PiS«ïES£T^g j F a i t disjïaríiiitú C O N C O U R S DV T Y P E I D É A L D E L·A J E U N E FILLÍE F R A N Ç A I S E fFài? îi»« de$ et ÎS Mai.} Meitiions frairej. M m e â e l a c o n i l j e , Koííyïü l ü e r e j . — i l a d e laine ï l û c h , Ûamédic-I'Tàni^e. — Mlle 'i'tiom- . larau» a i , r n e N é r i c a u l t - U e a t o i i c h i s , Tours. — A n t . V a l e t t e Rordeaiur. — a i y l a , 17i. hO\> Iñvard d c la Çare^ Parie. —^ Veuve L s r o y , D y m è v t e - a u i - V e z o n z c . — ÏÏemletto EoiHora, 23^ rue LucleQ.Paure, B o r d c a u ï i . — M m e V i c tor J a r d , L'Alguillon-aur H e r ¡Teüdée). — aroMau, 3â, t u e de la, B,a6, Angers. — ftheorgliip, Êaaaie {ïtouinîinlel. — llolîfnet d o Cléry, 2 , r u e de l ' H ô p i t a l . •— B a s s e t d'Auriae. —• Héloïse PaBtaïîanûj plftce d e la B u i c h c . ConetJ-ntbe. — D n r a n t h o n , institutrice, BaintQu.on.tin. — Amfilic S tara a t i a d e s , 38^ r u e Acharaon, AUiinea. — Cbeuîtiilfi, P.-vrja. — >EagdeltjLûgj Ma-ñceurtJ (Somme)."— BondoJot^ Pnjol. — iLondot, 7, rue Eorl iaej'^ Dijon. — ÎvonuQ J o u r n a u , Sû^ rue Mictidet, A l g e r . — Claudine, 5*rts-3oucj. — iferpier, 2 G , i u e Masséna, L i l l e , ^ — G a i n , 4 1 , iiiŒ d c a t r a 6 h o « T g , B o r d e a u x . ^ Jlile ÏTaiielly Mi'chin, rne de l a FoniiairiB, Challans ( V e n d f i ñ ) . — Simone-J:»oauetr i , r u e B i > i n i è r G j Caen ( C a l v a d o s ) . ^ Mmo ' Angele &loumoau, Bourganeuf (Creuse). •— M m e L . C i b a u d a n , 6 , û v c n u c d u Btand, H o o t PtiILer. — l £ m e Chanibouilbitj BO» avenue d a la R é p u b l i q u e , ILouen. — M m e Françoia d o . SalnVt>TQeï, T l e m t e n iAlg^e). — 3Jme I s a belle B o y e r o , 2 ô , ruo'liaap&il Tours. — Mmo ô e r m a i n e (}ùSi'Mt, SE, r u e Voiney, Angers.. PARIS... dc " déformer. POUR' PAMES POUR MESSIEURS imim, 3'-75 Mme e t M U e a J . P a l l r i e . — U n e amie d e i a p s t . — Morauerlte R . - - B a y m o n d c Chalirlcr. — T.éontinû d e Kergarto-u. — J f i a n n c de Sexvièrea— Yvoniie Bodellee d'Estience. — Jeanne L e a u r q u e s . ^ Marguerite L c o m b e . — , . E e l n e H a u r l m a i . - Lfllth de M e r e ù s . — L u û i i V é rone. — MaTyKersaint. — I r o n i e Maquen, ^ P i e i c e t t e A t a M o . — BliaabetH Cornu, — Aip h o n s i n e Lecleioq. — J e a n n e ïïirígoyeu. — Bertîie Tciborne. — Tullo do l o m m e r e u . R e n é e LaloL — rjtri3tia.ïíc Cralicra. • Pour r o w ï o i f franco, juindre o i r . B5 p o u r rolie postal(3oni:cjlLi, i u d i q u e r i a p o i n t u r e d û s c l i a u s s u r e s , —CataioRui g i n i n i iUustrd f m n c o aur dcmaiid e. — PHOTOÛKAPHIETAULBOTER DOULEURS BON DE'RÉDLICTIÙNDESN/OSURLESTAÎIFS- II Euffit de pfésenfef es bon 9 0 , a v . desChamps-Etysées.poocbénificîer — de cette remise . Les abonnées antdroità 1 U'It, XSl PÉRIODIQUES ' IRRÉGULARITÉS Q u e l q u e s e o u t f e s d e R I C Q L E S d a n s u n Tetrire d'eau s u c f ée.c'est le r e m è d e souverain cotilre l e s m a l a i s e s c a u s é s p a r l a Î a t ï g u e e t la c h a l e u r ; c ' e s t a u s s i 1A b o i s s o n h y g i é n i q u e e t d é â a l t â r a n t e p a t e x c e l l e n c e . Sporlatnen, n e partes pas sans vous m u n i r d'un flacon dc poche d e RJCQLÊS. î ' prompteraent soulagées et supprimées par V APIOLINE CHAPOTEAUniT Ph«iù VIAL, 2 0 , r u e (ïe ChÎLteaudun, et t o n t e s FtiarmaciûB Paris Î: XXII 1 l Cíiemine d efe*"d e Paris-Lyon-MèiHterranée. — M.^difiruiinus à la manke des i^ainsàpartirdu i " mai lyaS. P a r a ú j t e '''' ^ l i g u e u r , a u i"r m a i -ochaLn, d u S i : r v i c t d.'í'.i aur l e s C h e m i u s d e les u i o d i l i c a t i u n s i í i d i q u ò e s ci-après sciout spp'orlóes, i c e t t e d a t e , d a u s l'iioraire des trains siiivantd : amie-MilM! s::ra a v a . i i c è d e 15 m i n u t e s a u d é ngxt d e P a r i s a i n s i c^u'à l ' a r r i v é e á P o u t a i ' P a r i s , d é p - 2 i l , i ; ,K(iiri:;ni l i e u :1e 2 U. 3 0 ) ; P o n t a r i i e r , a r r . g li. aO soir l a u iii.™ d e e h, 2 1 ) , roflinie o o n s i i i n o i t t î l e c e t t e m o d i f i c a t i o n , l e train 5 Faris-lirJimilic sera i g a l c r a c n t a v a n c é rie i ¡ r a î n u t s s a u í l ò p ü i l d e P a r i s ; i l q u i t t e r a c e l t e a a r e à 2 li- .'S suii- a r . l i e u d e 2 u . 4<^. Jl L e traiir l'anliii-liey-Paris s u i v r a l ' h o r a i r e ci-cU^ssous : l ' ù n t a r l i r r . rir-p, 4 h , 2 i soir ( a u l i e u d e 3 liDijon, d é p . 6 h. 53 salr ( a u l i e u d e 6 h. : ! 4 l ; P a r i a , a r r . 1 0 h , 5 5 . (au i l ™ d e l a li. l u ) . VINCENT Fils Le " M a l o l i n " invite toujours i un eximen attentif TéUJiicae : IJI-^o Che'mlitË iia Î S i - d e l ' O u e s t — D a n s l e b u i d e faoilit.'^r l e s r e l a t i o n s e n t r e Zi" Ua-i^ve, la Anciîn' ; Î9, r, du Chélesu-d'Eau Sesss-^Cfii':'¡,i¡ic c l /(! BrHofüi:, il s e r a d é l i v r é , , AclMlHinail : ¿y jcr a v r i l 5,11 o c t o b r e igtiS, p a r t o u t e s l e s 14,rue d e l à Banque, 14 ïores d u riiseau ck l ' O u e s t ot a u x ( j u i e h o t s d e fa C o m p a g n i e N u r m a u d e d e u a v i f ; a t i o u à VaPARIS peur, d e s b i l l e t s d i r e c t s c o m p o r t a n t l e p a r c o u r s , Maison Je at-dfi uar ruer d u l^nvrc à 'írmívílie, e t p a r v o i e f e r r é e d e l a g a r e d e Tfdu-jilk-Dcawiilk s » pmni ie df.stiwitionfiti i i v e r s c m e i i t . _ , , , ,^ . L e p r i x d e c e s b j U e t s [ e s t ainsi^ c a l c u l é :^ i r a iet e u c l i e m i n d e f e r , p r i x d u t a r i f o r d i n a i r e , — ' N o u s Í1Ç saurions trop l e c o r a m a n d e c a u x m a m a n s Trajet e n b a t e a u : j fr. 7 0 p o u r l e s b i l l e t s d é [IS e t 2* ol. ( C h e m i n d e f e r ) e t i " c i , ( b a t e a u ) soucieuses d e l a s a n t é û e l e u r s b é b é s , Ja . d o u c e u r d e et Ü i r . p o u r l e s b i l l e t s d e 3^ c l . ( C h e m i n de suspension d e n o s r e s s o r t s (triple acier ñ n ) , q u i é v i t e fer) e t . i ' c l . ( b a t e a u ) . t o u t e s s e c o u s s e s s o u v e n t n é f a s t e s àuî: j e u n e s c e r v e a u x et pecmettCAt à l'enfant d e reposer d a n s s a v o i t u r e nllirtn, liilDlnlfélrI,M comme dans s o u berceau. l9«lllBdu[tBi,!i3tgfirtÎ!îjia' clindiiiiiMir, ts|o«i!,!ri|iloiil«îon,ti'ii'i<«ri. frâ+'BO dc Modèles luxueux et .Pilules TuptiuesîSâ^iS'Îiîîï'iïK'iî Royal EFilatoipe..3î;SS!aaiii& 1res avanfaâeux _ L,a Vie au Grand Air MODÈLES Matolln Brciarieur t on U vend pMi:>ut tí •íoUEjesdicciaieuTs repipToîent; Jl a i a gi-anííe qualité de:.ne pas. s a n t i f ' l a «iésagrêable odeur qtfon, reproche fmtil-Ciiití!. i~ O H Ê n e , imiiiH..&a,r. s t - t t u m i n B . ' p s i - j s Lire — plus pfopte q u e ' l e - çapkepéaU tout en étant .plus artistique [HÂTOLIN] et s^applîquatit p l u s vite.' T^'^^rT Le ** Matelin*' s*appiique avec une bfossc pUte dite *^ Queue de nioi'ofiî" il^désÎafsctËi ii déïïuit t o n s Îss microbes; Il s è d i È t r è s vita et devient duï oomnie du clmentr II ne coiitient pfts da plomb st par conséq-irejit ne chaoffc pas d e couJeut et ne üoírcit p a s ; ÍÍ ne crevasse i a m a i S i ne cloqtîe ai az s'ÉcajlU. DÉPOSÉS JliWûi fraileo du ciiiáUgue J K f detnande. Le plus grand Magazine spOítií íllustfé dílBSíide A(itesae2-Y0C5 à M. UU»!, i, b i M a l c s h a b e S CATALOGUE GSATUIT POUR MAIGRIR WOUVELLE M E T H O D E R. E i j i d s t - C l i e d l e í í , POÜRMAIGRIR Ii O U R Blendas personnes voudraient maigrir,mals b ò a i t e n i k le f^lre. d e v a n t l ' i n s u c c a s n u , m ê m e , los d a n c e r a doa traltemenis v a n î i s . j e d i a iL c e s p o r s a ù n e s ! N e r n U e s n e n , s i v o u s l e n e a à v o t r o s a n l ô , » a ' j - a q i i ' n n seioJ v r a i m o y e n sfir o t rapide pour uiolgrlr s a n s d a n irer. s i v o n 3 l e d é s l r e ï , J e v o u s J ' I n d i q u e r a i gratts, n a r i e t l r o f e r m é e o t s a n s e n - l è t e . C e T u n é e l s u e m u i i t n e c o û t e n o n , Eci'lveïm o l e l J ô m e oïiarKe d e v o u a r e n d r e m l n o e e . CHARDON) IO, rue Saint-Lazare, PaHa. P/LULES dn D' avantagEE Pour ie t o n goût, le faon effet, l'Iiyfiriène e t récofjojnie, o n n ' e n connaît a w cuû q u t vaille SiiprtoE Royal Frisure ;fLiti,SS lUlli, limm arjfiiaiil!. Prii ¿ I r , î t r a m i r î fr, ses qui permettra de !e dáclarer le plus é l é g a n t , le p l u s artistique et le plus p r a t l q t i s ïcvlte.ment des tttlifs. Ift C i t í M a è e n t a , ' ainsi 411= Pai·ls. BtTirMÇMU, pur s a r a d i o - o c i l v i l t _ " • oúo-iltciroïdo, le dyriijnism' Hamim, ÜMOnrerií scliailtiiii.: Cmlr. allmtlil; l·iilsiínçs m.iiiiéUqw • -m Toi.i.<.i.-i""tp.. t=fMOTi iwg. S A N T E . B O N H E U R rinfluïftCÉ Pirsonrdîc : — ™ ^ —' : .- . WUS:¡'¡^^ll'Z.Tté .cn„,a,ata,.é™.,|,a^.en,,e™H^ D i s b B r i ( i o B i î o l'ESSOUFFLElWEMToldtliLASSlTUOB D o n n e n t d û l'òücrgia. LbI'Iacom : Francfl S'3E (ETiuneBR : 6ic.> Ulit If .LENE16RE, f l ~ i ( l''[l..li·h(.ÍMKp.,flB,Fl il HautetMe,Par1fc , -. AHIEHICAIHE Sï? ^í;ÍI?s!SlrvTs'ï,lf.S 'â^iiTAi . e vos « p é r . a c » s . 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INiaeilller. ^ G , X S L - l i s î Leièvre, à Marseille; Manou"laapiias. — H . Lcnoblc. — Abd-J31- , v d e s , à P a r i s , Wour. ^ Ode pkiJant,. — D'Aiibyii. — itéau- — C h . Caml>Ay. — A . d e CaiB3r.iTd-MjiTtiïï, - r C. Cliniia. TVianCL — A . T ü y í l , — VerneniL. — — i l . \ T e m . — A . M.d'AtbfivIllB.,—A. UlTicli — A , a n a d a i i i , — De V i l i e r s . — Tinud. & . Mûiason. — J . Ta ton. — — Ketty. — Sclilcoaing. — Gflvmiat. ^ VilbEsaeli, J, Atlfiud. — Saleh-Bcy. P. 3aïiot. ^ \ d u TrflA . J^uanvina. — C, B i u o t . — 3\idre. m o D t - — J. H. Tum^ — — " i l u t e L i a e " . — H e i i n . — J. AnA . TJliroiu — J . ïraiipukeii. — t o n l T i t . ^ E . DeiriiuvOi — J . R o n a y l t . ï u t l i : i u . — B o y . — " 3lo«^ir n T, — G. Kontlfiny. — M, Dlyus. — M. I t n a a l n . — H-übcrtot. — Kcjuliold. ~ Mftife.— 3 - AiboTt. — A,-L. ô i u n d . — Cil. X û s e n t l i u l , — ü . toieueux. ^ Ytíuàand. — ITabía. — . r . Leeraiiií. — 3 , E ü u ï í i a ï i - - G. 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O i M l l ; m, íaiiícurf El-Somrí, MfípSoio « i ) 4 l « í l i t u u MUtí* lest" u-<f«liiuMHalMli PirtietTOitn» erm: m e Hg Oreniîle, FitJi. » ! . 7 M . f ï U O M B / V R T B O N B O N S B A P T É l ^ E S 3;b*".= I D E 1-A M A O e t - E - l N E . PAR-IS V I L A Q U I N Z A I N E C O M I Q U E , p a r H E N R I O T tUA.£ ,.1. ÍÍ — O'Est effriyRiti 08 (iu.'U faut ilomier de grutlfiCûtloDH quand o u ee marie. ~ .TustBiaent, m o n gendre 1 Vora avez i>uMi l o fliiiEwe I — Dites-lui n u e j e l o i (loaMrni la, i r o c l w i n e fois I , , . B » ^ personnes dQnt la taiîle ^ 3*épaiss)t, q u i p r e a n e n t d e l ' e m ' . b o n p o i m , ' a o û t l e s traits s'emîtâtent, peuvent redevenir svâltes e t le rester,Milis l a g u é r i s o n del'obés i t é n c p c u t á r e o b t e n u e que, p a r u n e m é d i c a t i o n sérieuse e t vrai- . meiitscientifiqiie ; û n d û i t s e g a r der d e s préparatitîns empiriques» • LE TRAITEMENT FARDEN est le seul, d'une appticatioa f a cile, q u i , s a n s ' n n i r e à l a santé, ait u n e efficacité certaine. ' Brochure rcíiseí^nèrneata'* . * r i . t u l î s s u r d e m a n d e . Ptf^ B f i U H E T j . . r u e Sch'çffor, Í ARIS. ^ LA P L U S G R A N D P R O G R È S d u S I È C L E — — Mmliinto 110 roçrilt r m tnH) î . . . Mnilamü n' pîiii îto clilunri. do (lluita, d'wiïaiitH.,, — Non. • Madoinc n m i tnori 'i — Uul,.. iiiiUft iceilti'iî.., lu piiioi) iiy smiiftlt vou convoiiit... J'!il aussi düiis oonariH. CHOCOtAT SUCHARD POUR IWAI • C A M U S ' f!P W «An T FûtP D«lu V iE llL d û SA t'L cou. S A N S S e fait éeaicment L E C E S' N O U V E A U sur bandes. R F - V J E U A O L L A D A N G E R r^oTue,v™J^SÎÏ==i.H?!E S E U U E . . FlaadeohBveuïblaiics \EXPRESS WiLSOfI JALONS,=K»00D-MILNE F;ECûlQrant t n a ï a u t a n â * ohevcuïjde i3.tiaff>9, sans Li _ teindre, les cùtiafirve fli^iis Jjlaneh£r,liqi]ldcoiipoiTiiTi!i,[îe, .... \M\O 6 P.ii- WTXO 6Tr, ¡tíroíftüM liainolTAVKKTÎIIîR, GhEjnLsie-Piiarmftcitn ührjnhte-Píiarm Sy^.Qüai [i>,|c|.i,í,il,Ljciii, Dôpôt ; F E R E t , Parfumeui* A R i g , S 7 . r u e d u FauEiQTirg"Fola5onjii.ére. I*ATîïS C ~ EïplKHiar-tiioi îb„ , q u s n d Kft toman! e s t Wnn portjnfe, J'ui uno turlBuse eùviis do divorcer n i d i s flu'eDs oal> Bouttranlo Je m o déieapiro d e pour do l a pordm i LE GOÛTER, C'EST L'ADOPTER. WAÎG^ ^ — U n d s s avantas^B (ie n o e cltapcaiil, puiaone voua i l l o i dans l e ïTuli, c'est nu'ila o n t u n poids tcllemont conaldêraiiio que In mlotral c e t inoipaiiio de Ica cmporteP. PARFUM NOUVEAU BOUQUET • - SALUMÁ J^AJfJV'JJB.BJñUjyg, FARIA t S o n t Ics p l u s í u r a b l c s parco qu'ils s o n t fabriques avea l o m e i l l e u r eaoutehoiM13TOnoi]iils.ent.(ili. rois leur prix, m cliaussBres - R e n i e n t l a marotie silcnoieSsa 5îiÊ.''i£.:::ii£!l'''!™L!ïiît'£H2JÎ.''™*™' '-SO- B i m e s , ( . S B , i a paire, EXIAOX T J Ï T ' i S C i X a - a V C X X . K r E s a p «HAGUS IALON POUR A U I I ' 1& v r s i e U I B . R Q I I 3 S T L B I P R E I Î I Î À R E a u a i i t ó . S e laÈtter c e s i m i t a t i o n s i n t é r i e u r e s . Si v o u s n e pouyea p a s v o u s procurer cbí t a l o n s cliez votre f o u r n i s n e i i r l i n i l i a é l . adressez-TOos : E a ™ 2b, H . S k e p p e r , M , rue Î U 0¿lei^,PAm.)¿i^i m a n d a t o u t i m b r e s e l d o n n e r l e ttacS d e votre t a l o n pour indiquer la e r a n d e m . CONFORT, ECONOMIE L'ANOIBIT J E UD E GEACES T1EKDT¡_ IXVl .3CX C k ÉBBUSSEiEI^T THEliSL Orfèvrerie "DHRISTOFLE m Une S e u l o ©t U n i q u e La APRÈS QUE MASSAGES, CREMES ET SPECIALISTES FAILLIHENT Harriett M E T A ^ I T H , do NKW-YORK VÍCPfY Q u a l i t é MeiUeure Le Le et le Nom "CHRISTOFLE" Afin de l'obtenir E X I G E Z cette Marque sur chaque pièce. sagB des plis prsfonds; je aie rendis bientôt compte que noiL Beuieils altéT weat rcront ma pliysionomie et me firent paraître plus âgée; mais encore entravèrent nies olianceiî de réufiKiie. Les siieeès d'iiuel'etnine jépeildent beaucoup de son aspect et, ridée ou marquée par les ans, elle a une lulto bien inégale i soutenir a v e c sa sœur pins jenne et plus jolie. .l'acJietai alors divers ¿enees de cold-cream et proiluitd similaires, sautncttant mon visage i un traitement régulier et. constant, dans l'espoir de retrouver ma première fraîclieur. Mes rides, non seulement ne disparurent point, raaís, au conIraliT, s e j n b l è r c T i t s*nccftntuer dravanUige. J'allai trrtiver ensuite un spécialiste qui m'assura pouvoir m'en débarrasser facilciiicnt. Je s u i v i s son t r a i t e m e n t oonsciencimaemeat, m'îmag'in.-tnt parfois qu'elles diminuaient, mais après avoir dépensé tout l'argent dont je pouvais disposer, je oonsiûtai, à mon grand désespoir, que Je les avais toujours. Complètement décourag^ée, je conclus alors que je devais ¡es con.'ieíver toute ma vie.Acetto époque, u n e personne de connaissance, chimiste distingué, me sugj^éra une idée. Je me mis iminédiai c m e n c à l'œuvre, compulsant tona los documents q;iia je pus trouver sur la matière. Après plusieurs mois d ' e s s a i s e t d'expériences, je découvris finaJement un procédé par lequel j ' o b t i n s les résultats les plus étonnants e n une s i f u l e nuit. Ma joie fut sans bornes. .l'essayai mon Iraiiement ii nouveau et toujours avec le wièmo succès. Après un troisièine traitement (trois nnits en tojjt) jo découvris, à ma ¿grande aatist'action, <|ue mou teint ét.iit¡)Ius brillant que j a u i a i s . J'offris ensuite mon iraltemeüt à plusieurs de mes aiïiies, [jui l'eniployèront avec le même S D c c è s , et je résolus alors do faire bénéficier le public de ma merveilleuse découverte. A N Q 4-7. P^UTES^MARQUES du monde entier SPLENDIDE CASINO VOYAGES EN SUISSE GOLF - TÉÑÑÍSTCOURSES Hitéis et pensions fi it 3 0 francs par jour. Siüelí dlvËEs i Fiii rednila, ¿llcr ot tlctsnr, CironLútOl· ABONNEMENTS q^NËRAUX Viinbla* iiir iflH chnininfl do Far * t Bateaux^ Pûiii*ïoiK HstiHÈisntments et Urookitris, s'adi-esfer à Vmm OFFICIELLEd» CHEMINS do FER FÉDÉRAUX SS, Soulevârd Haussmann, PAñlS. DJkllCU''^^^^i'1^-^^<'"" Ib»t33.lej S'jlIJIttlUÏ ni4IDElriU Trajet C i M O M l L L E E T DONNEIÎ L A TEINTE MOIRÉE Envoi contre T t i a n d a l j Flacon, 1,0 if.; d / S l l o c o i i , 5 f r . Porteii suai Franoe.O.eO.Etrauseï,O.PO, PllbUl'ftCI -loi-Biiiis, pits lirii.llibl,l"'oraii. hutti UUnRIUCLi<llae<>i>.lltit.tli'Sii.T>itHi:irllidtiiplgi, ILCOQÚfKHt l U T C D l poar A i r E U ^ t = ' t ' ' > a clluialirloue alpostre. IH I C K L A I V E n Kur«al:(«»r<ll»lll.lllril<'.ki:.ColF, RIGHl,PILfiTE,STANSE<ÎH01!N, BURDEH5T0CK, ËNQELBEIIG, U C des QUATBt-WMONS. 3i iTia tío IL i [I com pa m IJ Le. 0 anti-e d.6'J lac& Kuissea-i tallen s. Mtn Siiai-tcltarJ li Sippka. l E t. daihn^ i^la rlvàsdiLac Liman, CantiD d'ûKcursIons. Cli-'dûforJ&montagne.; Caslnn.Hanaal LUCERNE LUGANO MONTREUÎ U n U T c m Cll i'Sl.lnilar,]Du,l:sg>.Miglilik IWUHI aULtlLSliilrdl>iUi[t.c-iltll.FDrIliuplll. S V Il heures La Chevelure «tliMONT-BLANC C U A C DE G E N È V E Cïlltrti ïtallDii tlbCLlfr. tl bilEíalr&i, CHEIi)INdii|:£RfiHETIQUË'l.igne I de l'AIbnU, i l t . II!] m.!, davert toute 1 année. Billili it i i n ^ i l r i m i i iliim dt <i jmt lu friDiIiilK fans it l'iailpi. — COIGE, Csiitale, SÉ¡our sgréaMe. - DAÏOS, Curo d'air. Centre H'CKCiirsIons, Sports dliiver e t ilÈto. r- (ïîldjuus-flsms, ForCts Mperlie3,Eains.-P0NTRESIHfl,p'iaiiiUles c l toiirtsle5,_ n a A K fl!• en s A L L E M A N D E C U C I l C f f de Paris BLONDIR, DORER BEX-GRyON-VILlflRSafai'or'd!^: r C M C I f direct POUR DA^Cl1F'Gwî^^^^|II>ltiíllc,SIillLqilï.?:ííp.:Dj^Et.dïïB¿ill. ïft reODlofation d e s olievBUx, gris ou blancs, e n toutes n u a t i o e s , du t i l o n d a u cíiltnialc p l u s í o n c i . T s l i i Í U I ' O narantíl! 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Envoi contre 2 5 c. m r .83 B'Hlocealann.PARIS. l'AiDncednCli. ileter F4[lériaii,l GUIDEoesHOTELSI J'enverrai gi:atis à toute personne que la question de beauté intéresse des roiisoigneicents çoiiiplémeaiaires. J e n'emploie ni crème,ai massn^e, ni courroies on fumijaiions : i l n'y a rien à injecter sous lit peau et rien pour Tabîmcr,' c'est uae toute nouvelle découverte et si simple que vous pouvez f employer sans que vos ajuies les plus intiiues s'en aperçoivent. 'Vous appliquez le traitement le soir; fe matin suivant, une merveilleuse transformution s'est opérée. Beaucoup ru'éci'Lvent : « Cela ost trop beau pour être vrai I s Un essai est plus convaincant que des paroles. Vous pouvea obtenir tous les i-ensei^aemonts iléslrahlc.9 en écrivunt à Harriett Meta Smith, division5-'i, 7 , rue Auber, Paris, B grand aménagé T h é â t r e , Opéra, C o m é d i e , V a u d e v i l l e Ballets. 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Sidits, T^lianis Mali tas, Oreillcre, ÏÏouïes d'eau chauiie et tous NATUREL (îi&ni *t de voyapo eu En vante ilajis toutes les uomissPlariiiacIas, ParMtrios, HcrùDilstsrles •. Louvre, Bni Martiis, Galeries Lifaysite Caautchaucs QUINZAINE COMIQUE, — Quand tn Berni; erande, il te f a u d m devenir jolie» artiBtc, c h a î n a n t e , óJÉgmite, apirltucllc... — Oui, Tiaaîniiii... alors S'aiirai aiiBsi mon porÉraib dans Femina. en OUVET de JAVA E y g i é n i q i i e — Economique Le Trust — Il îa.\it, Euivre IBI;flTcigsnMsd « tompa oncore ptiiB ifiiecellos rte In, mode. Jtvdifi on portait dos roijag d e TnoiiseelltLe a Paquea. En lOOa o u a poit6 la zibellae«4> d u rcnaid. b l e u i des 1362 -0 par HENRIOT (Suite) POUR VIVRE ETERNELLEMENT MMfus"TOURING" PAIN GRILLÉ JACQUE 92, Rue de Richelieu, Paria. Téléph. LA C O U C H B Z Sui> l e maudlUl , . :î'jauijfci| vous aoxnmence^ à ^rosai^^ et ffxDSBfr, figillir. f r o D M ^oJ¡a Èoiis, J e s J o u r s * d » " ( i r n g - s a s t í o T H V R o m i c i E S o u T Y i c i v o i r e tAiii r a s e a i - a o u rcdev-ieadi-a BTsLie. — i c /ÎB;;,,, j á/íTíiííJ íStenpedU franco par ls L A B O R Í T O I ^ 1 . ïtuB d a G b a t e a u d u u . P a r l a , contre mandal-jiosla ¿i in TEMTEMEMT IMOFFEÏaslF B I T aBSOUTMEKT OEWiN Américaine Franco Soties saf la Dtéthnde MONO — Qu'eat-c« qu'elle a, t a m a m a n î — Elle LL Berdii l e gotïiineil.t. aiitsÈî je fliü "cli&aaa m a t i n u n « patnr = á saint Antoino pour g a ' i l l e l u i , ifiBSB retrouver, ; m PRENEI •=-"= 376t rue cras EU MnHn.ismr°BËLic>Ts R o s t e .R A O H E L T EN VENTE DANS TOUTES LES BONNES PHARMACliS KAU u U d I j K I Chtite des CH^eixK IMaison BLANOHE, DEMTF IR C lE S'»ail'flNI0O0L,32.Ruc< I! »la1lmrin3,PABIS..iiii[L295,g|j | ——«üO^üOtrí^vOT* (Anelcierre.] n é p S t : P a r f - F é r e t , 3 7 , V&uljg- PolMoniiietfû, Parxff. 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