18-19 Un renard arctique aux Olympiques

 Un renard arctique aux Olympiques M iron, un
fabuleux renard arctique, chasse le gibier à
longueur de journées ensoleillées dans les montagnes élevées
et enneigées du Caucase. Il ne reste que quatre semaines avant
l’évènement le plus attendu du sport, les Jeux olympiques
d’hiver de 2014 à Sotchi en Russie ! Deux semaines plus tard,
Miron rencontre un des organisateurs des Jeux de février,
pour lui demander s’il peut participer aux Olympiques. Puisqu’il
est un renard arctique, le membre de l’organisation hésite et
dit finalement: « Oui, tu peux participer aux Jeux olympiques
même si tu es un renard arctique. »
Miron va visiter son ami Piko, le hérisson, pour l’inviter à la
cérémonie d’ouverture. Il accepte sur le coup. Miron s’entraine
désormais jour et nuit au biathlon, en pensant que son ami, le
hérisson, va observer ses prouesses à ce merveilleux sport
depuis les estrades. Le grand jour arrive à pas de géants. Piko
et ses compagnons sont dans les estrades, quand à Miron,
celui-ci est sur la piste de biathlon en train de regarder la
foule en délire. La flamme olympique arrive et le coup d’envoi
est donné, ce glorieux moment du sport commence. Pendant
cette distraction, un terrible orage incomparable a eu le temps
d’éteindre la torche olympique flambant neuve, c’est l’hystérie
partout dans le monde ! De Sotchi à Haïti en passant par le
Canada et Tonga. Heureusement, la torche se rallume grâce à
la foudre qui la touche aussitôt. Maintenant, la course de
biathlon commence, Miron est en retard. Mais il repart à la
vitesse d’un guépard, il s’est surpassé mais ce n’est pas assez
pour se placer en 1re place. Il est en ce moment en 3e place.
Mais, contre toutes attentes et grâce à un miracle, l’humain en
1re place se fracasse sur une roche, culbute, fait des
pirouettes puis tombe sur la tête de la personne à la 2e place,
qui se fait alors des fractures. Quand à Miron, il fait un triple
saut périlleux en ski de fond par-dessus l’amas d’humains juste
devant la ligne d’arrivée, puis,…
Il gagne !
De retour dans sa tanière, il accroche sa médai
La personne
endormie se réveille : ce n’était qu’un rêve cette histoire!
FIN
Mathias et Martin-Nicolas