DOSSIER DE PRESSE - Generation Films

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DOSSIER DE PRESSE - Generation Films
DOSSIER DE PRESSE : Titre du film : UNE REVOLUTION AFRICAINE : LES DIX JOURS QUI ONT FAIT CHUTER BLAISE COMPAORE REALISATION : GIDEON VINK/ BOUBACAR SANGARE PRESENTATION DES INTERVENANTS : -­‐ -­‐ -­‐ -­‐ -­‐ -­‐ -­‐ -­‐ -­‐ -­‐ -­‐ -­‐ -­‐ -­‐ -­‐ -­‐ -­‐ -­‐ Newton A. Barry (Journaliste d’investigation) Maitre Guy Hervé Kam (Avocat, Porte parole du Balai Citoyen) Smockey (Artiste rappeur, Porte parole du Balai Citoyen) Sams’k le Jah (Artiste, Responsable du Balai Citoyen) Olo Mathias Kambou (Membre du Balai Citoyen) Cendrine Nama (Artiste) Adams Khaled Ouedraogo (Journaliste Canal 3) Boukaré Conombo (Président Mouvement Brassard Noir) Serge Bayala (Etudiant en Lettre Moderne à l’Université de Ouagadougou) Zéphirin Diabré (Président UPC, Chef de file de l’opposition) Maitre Bénéwendé Sankara (Président UNIR/PS) Ablassé Ouédraogo (Président de Le Faso Autrement) Hervé Ouattara (Président Collectif Anti-­‐Référendum « CAR ») Léonce Koné (Ex Député CDP) Alpha Yago (Membre bureau politique national CDP) Docteur Alain Zoubga (Ex-­‐Ministre de l’Action Sociale) Professeur Mamadou Dicko (Ex-­‐Député CDP) Boukary Kaboré dit le Lion (Compagnon de Thomas Sankara) EQUIPE DE REALISATION DU FILM : Production Exécutive : Abdoulaye DIALLO Réalisation : Gidéon VINK/Boubacar SANGARE Rédacteur en Chef : Bakary Ouattara Journalistes : Gabriel KAMBOU, Ismaël COMPAORE, Masbé NDENGAR, Boubacar SANGARE, Bakary OUATTARA. Images/Son : Tibiri KOURA, Souleymane DRABO, Gidéon VINK Montage : Ernest F. KABORE, Gidéon VINK CONTACTS : Une production de l’Association Semfilms, 09 BP 1308 Ouagadougou 09, Burkina Faso Mail : [email protected]/ www.semfilms.org/ Tél : +22670258508 Distribution internationale : Génération Films, 01 BP 2515 Ouagadougou 01, Burkina Faso Mail : [email protected]/ Tél : +22676682709 Avec l’appui financier de Diakonia CONTEXTE GENERAL : Le vent de la liberté a soufflé sur le Burkina Faso. L’année 2014 a connu de grandes mobilisations sur toute l’étendue du territoire national. Du « Oui au référendum et à la paix avec Blaise Compaoré » au « non au référendum et au pouvoir à vie », les positions étaient tranchées, la bataille entre le pouvoir en place et ses partis satellites face à l’opposition réunie au Chef de File de l’Opposition Politique (CFOP) et la majorité des structures de la société civile était enclenchée. L’article 37 sera modifié ou ne le sera pas ? Nul ne pouvait présager de la suite et chaque clan se battait pour ses convictions. La lutte sur le terrain médiatique était permanente. Par presse interposé, chacun défendait sa chapelle. Le combat pris une autre tournure et la démonstration de force se passe désormais dans la rue. Les marches –meeting étaient les activités phares. Les meeting-­‐concerts « recto verso » dans les stades prirent le relais. La tension montait au fur et à mesure que le temps passe. Le 21 Octobre 2014, le gouvernement, lors d’un conseil de ministres extraordinaire décide de soumettre le projet de loi portant modification de l’article 37 à l’assemblée. Le vote est programmé pour le 30 Octobre à 09h. Du 21 au 31 Octobre 2014, un vaste processus de désobéissance civile est enclenché par les populations. Les choses vont de mal en pire. La suite on la connait. C’est ce que retrace le tout nouveau film « Une révolution Africaine : les 10 jours qui ont fait chuter Blaise Compaoré ». SYNOPSIS DU FILM : Après 27 années de règne sans partage sur le Burkina Faso, le président Blaise Compaoré et son gouvernement annoncent officiellement le 21 Octobre 2014, leur volonté de modifier la constitution pour permettre son maintien au pouvoir. Une vague de protestations et de contestations se déclenche : blocages de rues, meetings et marches sont organisés. Les populations manifestent leurs désaccords par divers moyens durant des jours. Le 30 Octobre, jour de vote de la loi à l’hémicycle voit également la colère de la population atteindre son paroxysme. Des milliers de personnes descendent dans les rues dans tout le pays. Dans la capitale Ouagadougou, l’assemblée nationale est prise d’assaut puis incendiée. Les domiciles, les entreprises… des dignitaires les plus connus du régime en place sont mis à sac : le pouvoir est dans la rue. Le président tente désespérément de reprendre le contrôle mais se heurte à une nouvelle situation. Son départ est désormais exigé par la population ainsi qu’une parie de l’armée. Face à la foule déchainée, plus de choix. Le Vendredi 31 Octobre 2014, le régime de Blaise Compaoré chute, le président quitte le pays. lutte insurrectionnelle. Ils menaient le combat et rapportaient en même temps les images à la rédaction. Ils ont frôlés les dangers, les gaz lacrymogènes, ils les ont inhalés, bref, c’est à ce prix qu’ils rapporté les images qui ont contribué à la réalisation du film « Une Révolution Africaine : les dix jours qui ont fait chuter Blaise Compaoré ».