Supplément de loyer de solidarité
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Supplément de loyer de solidarité
PROGRAMME LOCAL DE L’HABITAT CADRE D’APPLICATION DU SUPPLEMENT DE LOYER DE SOLIDARITE (SLS) Septembre 2010 1. Préambule : Rappel des dispositions de mise en place du Supplément de Loyer de Solidarité prévues par les lois Engagement National pour le Logement et Mobilisation pour le Logement et Lutte contre les Exclusions Les modalités d’application du Supplément de Loyer de Solidarité (SLS), qui concernent les ménages locataires de logements sociaux* dont le niveau de ressources dépasse les plafonds d’attribution de ces logements, ont évolué ces dernières années et largement accentué l’effet dissuasif de ce SLS. - - La loi portant Engagement National pour le Logement du 13 juillet 2006 impose aux organismes HLM de percevoir auprès des locataires un SLS, en sus du loyer principal et des charges locatives, dès lors qu’au cours du bail les ressources du foyer excèdent de 20 % les plafonds de ressources en vigueur pour l’attribution de ces logements. (Auparavant le seuil d’application du SLS était obligatoire à partir de 60 % du dépassement des plafonds de ressources et facultatif à partir de 20 %). Le décret du 21 août 2008, complété par celui du 30 décembre 2009 précise les dispositions relatives aux modalités et au barème national d’application du surloyer. La loi de Mobilisation pour le Logement et de Lutte contre les Exclusions du 25 mars 2009 prévoit par ailleurs un abaissement de 10,3% des plafonds de ressources pour l’attribution des logements sociaux et renforce ainsi les effets du surloyer, tant sur le montant de celui-ci que sur le nombre de locataires y étant soumis. Ces nouvelles dispositions affichent pour objectif de favoriser la mobilité au sein du parc social en libérant des logements sociaux occupés par des locataires dont les ressources leur permettraient de supporter les loyers du marché privé ou d’accéder à la propriété. Seuls les logements situés en Zone Urbaine Sensible ou en Zone de Revitalisation Rurale, ceux qui n’ont pas le caractère de logements locatifs ordinaires (logements foyers, résidences sociales…) et ceux dont certains financements sont dérogatoires (ILN, PLI, PLS de mars 1992 à mai 1993, PAP locatifs…) en sont exemptés. Le dispositif est applicable depuis le 1er janvier 2009, excepté, jusqu’au 31 décembre 2010, sur les territoires des EPCI qui ont décidé avant le 1er janvier 2009 d’élaborer un PLH et de déterminer des zones géographiques sur lesquelles le SLS ne s’applique pas ainsi que pour les organismes HLM et SEM ayant engagé également avant cette date une convention globale de patrimoine avec l’Etat. * soit ceux : appartenant aux organismes d'H.L.M ou gérés par eux, construits, améliorés ou acquis et améliorés avec le concours financier de l'Etat ou ceux qui ont été conventionnés à l'A.P.L ; appartenant aux S.E.M. et conventionnés à l'A.P.L. (art. L.481-3 du CCH) ; appartenant aux personnes morales autres que les organismes d'H.L.M. et les S.E.M., et à ceux dits I.L.M. 28, appartenant aux bailleurs non H.L.M. 2. Mise en place des nouvelles dispositions du Supplément de Loyer de Solidarité sur le territoire de Plaine Centrale dans le cadre du Programme Local d’Habitat RAPPEL DES ORIENTATIONS DU PROGRAMME LOCAL DE L’HABITAT DE PLAINE CENTRALE Le programme local de l’habitat de Plaine Centrale permet de définir les axes d’une politique de logement territoriale et concertée, mobilisant l’ensemble des partenaires de la Communauté d’agglomération. Il place l’impératif de mixité et de justice sociale au cœur de cette démarche. En s’appuyant sur la réalisation du diagnostic stratégique et partagé du territoire communautaire, les orientations du PLH ont été définies sur la période 2011-2016. Ainsi, Plaine Centrale s’est notamment fixé pour objectif de mieux répondre aux besoins que le territoire satisfait mal, d’élargir son offre aux populations nécessitant un soutien spécifique et d’assurer la valorisation et le développement d’un parc locatif social de qualité et ouvert au plus grand nombre. Il convient en effet de préserver la mixité sociale au sein des quartiers et d’assurer une offre de logement public de qualité et adaptée aux attentes de la population de Plaine Centrale dans un souci d’équité et de solidarité. Il faut à cet égard prendre en compte la croissance de prix du logement francilien disqualifiant de facto une grande partie de la population de l’obtention d’un logement abordable et de qualité sur le marché privé. Au regard de ces objectifs de mixité sociale et de diversification de l’offre de logement et dans la mesure où les nouvelles modalités d’application du Supplément de Loyer de Solidarité ne répondent pas aux orientations du PLH, il est décidé de définir un cadre d’application spécifique sur le territoire de Plaine Centrale. L’APPLICATION DU SLS SUR LE TERRITOIRE DE PLAINE CENTRALE : analyse du contexte urbain et social dégagé par le diagnostic du PLH et des données des bailleurs sociaux L’analyse du diagnostic de Plaine Centrale montre que la population du territoire communautaire est socialement plus fragile que la population de l’ensemble du Département et de la Région, notamment sur les communes d’Alfortville et de Créteil dont les taux de chômage sont supérieurs à la moyenne communautaire (respectivement près de 14% et 13% - département : 11,1%). Par ailleurs, Alfortville est marquée par une surreprésentation de l’emploi précaire (14% de salariés précaires), adossé à un revenu médian plus bas. Indicateurs profil socio-économique 2006 Alfortville Créteil Limeil-Brévannes CA Plaine Centrale Val-de-Marne Paris 1ère couronne 2ème couronne Ile-de-France Taux de salariés précaires* 14,2% 12,9% 9,8% 12,9% 12,0% 16,0% 12,6% 11,5% 12,8% Taux de chômage 13,6% 12,9% 8,1% 12,5% 11,1% 11,4% 12,6% 9,4% 11,0% Taux de BAC+2 / études sup. 25,0% 27,8% 25,4% 26,7% 30,0% 50,8% 30,7% 27,8% 33,4% Revenus Base 100 (Revenus % % médians 2006 cadres ouvriers en U.C agglo = 100) 15,9% 18,6% 16224 96 15,6% 16,0% 16536 98 13,9% 17,7% 18941 113 15,5% 16,9% 16827 100 21,4% 15,8% 19420 115 40,6% 8,3% 22535 134 22,5% 16,7% 19,8% 17,8% 25,0% 15,5% 19945 119 Source : RGP 2006 * Salariés précaires : salariés en CDD, intérimaires, en emploi aidé, en apprentissange / stage S’agissant des niveaux de revenus, ces derniers ont globalement diminué entre 2002 et 2006 (-0,23%/an en euros constants), tandis qu’ils se sont stabilisés à l’échelle du département et de la région. Revenu médian 2006 : 16 200 € Rapport inter-décile : 7,8 Les niveaux de revenus par unité de consommation de l’agglomération sont inférieurs à ceux du Revenu médian 2006 : 16 500 € Rapport inter-décile : 6,5 département, et ce quelque soit les déciles (fraction de 10% de la population). En d’autres termes, les ménages (pauvres et riches) de l’agglomération ont des revenus moins élevés en moyenne que dans le département. L’écart se creuse nettement dans les déciles supérieurs. Cette situation tient aux faibles revenus sur Alfortville et Créteil dans une moindre mesure. L’analyse par unité de consommation fait apparaître des contrastes sociaux très marqués entre les communes et entre les quartiers. Revenu médian 2006 : 18 900 € Rapport inter-décile : 4,8 Ces données se retrouvent au niveau du parc locatif social où le diagnostic met en avant une fragilisation du profil des locataires : plus âgés, moins d’enfants et moins d’actifs, revenus en baisse et emplois plus précaires. L’ensemble de ces éléments témoignent d’une tendance à la précarisation des foyers sur le territoire de Plaine Centrale. Les nouvelles modalités d’application du SLS ont pour objectif de libérer les logements sociaux occupés par les catégories de ménages dont les ressources dépassent les plafonds en instaurant un surloyer dissuasif qui les pousserait à se rediriger vers l’offre locative privée. Ces mesures in fine, s’avèrent être facteurs de paupérisation supplémentaire de la population de notre territoire. D’une part la situation particulièrement tendue du marché du logement francilien ne permet pas forcément à ces ménages aux revenus intermédiaires de trouver une offre abordable de logement alternative au logement public. Le nouveau surloyer pèse alors souvent lourdement sur les ressources des locataires devant se résigner à le payer alors même que l’incidence d’un tel dispositif s’avère très limitée sur la rotation des logements. D’autre part, le départ des classes moyennes qui en ont la possibilité vers le logement privé entraine inévitablement une paupérisation des locataires des logements sociaux avec maintes conséquences sur la vie sociale de l’immeuble mais aussi sur celle du quartier et, au-delà sur celle de la ville. Certes, globalement le surloyer touche une fraction limitée des ménages du parc social conformément à sa vocation, mais les effets conjugués des nouvelles modalités de calcul du SLS et de l’abaissement des plafonds de ressources portent significativement atteintes à tout un segment du parc vecteur, de mixité social. Une enquête réalisée auprès des bailleurs sociaux a permis de quantifier les effets attendus de l’application du nouveau barème de calcul du SLS. Sur un taux de réponse portant sur 70 % des logements concernés sur le territoire, il ressort de l’enquête réalisée que la proportion de ménages soumis au SLS augmente de façon importante, hors surloyer forfaitaire, pour un montant moyen de surloyer pouvant être supérieur à 100 € dans la première tranche de dépassement. Si les Zones urbaines sensibles sont exemptées du SLS, il existe sur le territoire communautaire d’autres quartiers prioritaires (contractualisés avec l’Etat dans le cadre du Contrat urbain de cohésion sociale) connaissant des fragilités sociales et urbaines similaires qui nécessitent une attention particulière. La mixité sociale de ces périmètres doit être plus que jamais consolidée, ce qui semble incompatible avec l’application stricte des nouvelles règles du Supplément de Loyer Solidarité. Il est tout autant nécessaire d’apporter une attention particulière aux périmètres situés autour de ces zones, tendant inévitablement à se fragiliser. La minoration du barème de calcul, et la mise en place d’une géographie dérogatoire répondant aux caractéristiques urbaines et sociales du territoire 1- Un cadre réglementaire qui permet d’adapter les modalités du SLS au territoire La définition d’un cadre spécifique d’application du Supplément de Loyer de Solidarité est prévu par l’article 71 de la loi ENL du 13 juillet 2006 modifiant le code de la construction et de l’habitation, stipulant « qu’après avis conforme du représentant de l’Etat dans le département, le programme local de l’habitat, lorsque les organismes HLM et les sociétés d’économie mixte gérant des logements sociaux ont été associés à son élaboration, peut déterminer les zones géographiques ou les quartiers dans lesquels le Supplément de Loyer de Solidarité ne s’applique pas et fixer les orientations relatives à sa mise en œuvre » (CCH, art. L441-3-1). Dés lors que le PLH permet de fixer les orientations relatives à la mise en œuvre du Supplément de Loyer de Solidarité, et en particulier, de déterminer des zones d’exemption du SLS, il apparait pertinent de définir un cadre d’application spécifique à la Communauté d’agglomération de Plaine Centrale. 2- Une géographie dérogatoire d’application du SLS, et la minoration du barème de calcul Afin de prendre en compte les réalités territoriales de Plaine Centrale, il est donc souhaitable d’adopter un cadre d’application spécifique au SLS, en influant sur ses zones d’application et sur le barème de calcul : Géographie dérogatoire : La définition de zones d’exclusion du SLS est possible dans le PLH, après concertation avec les bailleurs présents sur le territoire. Les territoires exemptés doivent être ceux dans lesquels les effets du SLS ont un impact négatif sur la cohésion et la mixité sociale des ensembles résidentiels. Il s’agit d’éviter une accélération du processus de fragilisation déjà existant sur le territoire en grevant parfois lourdement le budget des ménages qui n’ont pas les ressources suffisantes pour accéder au parc privé mais aussi d’éviter, par le départ de classes moyennes, une paupérisation plus grande du quartier. Les ZUS étant exemptées du surloyer, il est proposé d’étendre ce dispositif aux autres quartiers fragilisés que sont les zones prioritaires de la politique de la ville et de l’élargir au périmètre retenu par l’Etat autour des quartiers de rénovation urbaine pour abaisser le taux de TVA à 5,5 % sur les constructions neuves en accession afin de favoriser la mixité sociale, soit dans un rayon de 500 mètres alentour. Hors géographie dérogatoire : Le décret du 30 décembre 2009 prévoit la possibilité de minorer le barème de calcul de référence du surloyer. Suite aux rencontres avec les bailleurs, et afin de limiter les effets préjudiciables à l’équilibre social de l’Habitat, il apparait opportun d’établir le barème de calcul du SLS hors zones d’exemption dans sa modulation la plus basse prévue par le décret du 30 décembre 2009. ANNEXE Résultat de l’enquête réalisée auprès des quatre principaux bailleurs des trois communes de Plaine Centrale (soit 70 % des logements situés hors zones urbaines sensibles) LOGIAL-OPH Nombre de logements : Localisation Alfortville Limeil-Brévannes En ZUS hors ZUS 2111 0 3818 236 Total Logements 5929 236 SLS appliqué au 30/06/2010 (soit barème antérieur à la loi ENL appliqué à partir de 60 % du seuil de dépassement des plafonds de ressources) : SLS Forfaitaire Nb logements TOTAL 4054 SLS Calculé Nb % assujettis Nb % assujettis 131 3,20% 48 1,20% Montant moyen mensuel 86 € Nb SLS Total % total assujettis 179 4,4 Projection de l'application du nouveau barème sur le SLS CALCULE 2011 par tranche de dépassement (sur la base d’une modulation de - 50 % et déclenchement à 120 % des plafonds) Programme hors ZUS DOLET VERON BERTHELOT VAILLANT 1 LOUIS BLANC BOURDARIAS 1 EUDES MICOLON I.L.M. UNION BOURDARIAS 2 BOURDARIAS 3 VAILLANT 2 VERON 2 VAILLANT 3 MALLERET JOINVILLE EMILE ZOLA 102 GRENOBLE A. FRANCE SARTORI B1 & C1 SOLADIER TONY GARNIER CHOISY GOUJON 52 RUE DE SEINE JEAN ALBERT VEFA DOLET 33 BLANQUI 55 CHARENTON ZAC TOULON BLANQUI BLANQUI HUGO ZAC ALLENDE total ménages Alfortville ANATOLE France VERDUN ZAC Léon BERNARD LOT 1 ZAC Léon BERNARD LOT ROUSSEL total ménages Limeil Brévannes Nbre de 20-40% logements 133 161 191 248 67 84 155 117 148 41 103 163 31 36 24 20 13 102 6 69 7 101 66 13 3 68 24 18 400 489 291 426 3818 68 64 80 24 236 40- 60- 80100150% Total 60% 80% 100% 150% et + 4 1 1 6 1 2 3 2 2 1 4 1 6 6 1 7 6 1 7 2 2 4 2 1 1 4 6 3 1 1 2 13 1 1 1 3 2 1 3 11 2 1 1 15 3 1 4 1 1 1 3 0 1 1 1 1 4 1 1 6 0 2 1 1 4 0 2 2 1 5 2 1 3 0 1 2 1 4 1 1 2 0 0 16 6 2 24 15 5 3 23 6 7 1 1 1 16 21 9 5 5 5 1 46 114 55 20 10 12 4 215 1 1 0 1 1 1 3 0 2 1 1 0 0 0 4 % assujettis 5% 2% 1% 2% 10% 8% 3% 3% 9% 7% 3% 9% 13% 8% 0% 5% 8% 6% 0% 6% 0% 5% 5% 0% 133% 3% 0% 0% 6% 5% 5% 11% 6% 1% 0% 4% 0% 2% Sur cette base, 219 ménages seraient désormais soumis au SLS au lieu de 48, hors application du SLS forfaitaire, soit 5,4 % des ménages occupant un logement social géré par Logial OPH et dont les revenus 2008 ont été renseignés. VALOPHIS HABITAT Nombre de logements : Localisation Alfortville Créteil Limeil-Brévannes ZUS Hors ZUS Nb logements 298 208 247 839 195 545 1047 195 SLS appliqué au 30/06/2010 (soit barème antérieur à la loi ENL appliqué à partir de 40 % du seuil de dépassement des plafonds de ressources) : Alfortville Créteil Limeil-Brévannes Nb logement s hors ZUS 247 839 195 SLS Forfaitaire SLS Calculé Nb % assujettis Nb % assujettis 7 32 2 3% 4% 1% 4 5 4 2% 1% 2% Montant moyen mensuel 93 € 75 € 99 € Nb SLS Total % assujettis 11 37 6 5% 5% 3% Projection de l'application du nouveau barème sur le SLS CALCULE 2011 par tranche de dépassement (sur la base d’une modulation de - 50 % et déclenchement à 120 % des plafonds) : Programme ALFORTVILLE RUE DU PARC ALFORTVILLE Anatole France ALFORTVILLE Quai Blanqui ALFORTVILLE Rue Traversière ALFORTVILLE Rue Colly/Seine ALFORTVILLE ZAC du Marché TOTAL ALFORTVILLE CRETEIL GROUPE 1 RACHAT ICADE CRETEIL GROUPE 2 RACHAT ICADE CRETEIL PLACE ALIZES CRETEIL RUE JULIETTE SAVAR CRETEIL ZAC des Sarazins TOTAL CRETEIL LIMEIL-BREVANNES 57 AV DE VALENTON LIMEIL-BREVANNES LES GRANDS CHAMPS LIMEIL-BREVANNES MI 2e tranche LIMEIL-BREVANNES Rue Herbages de Seze LIMEIL-BREVANNES (collectifs) LIMEIL-BREVANNES (individuel) LIMEIL-BREVANNES Centre ville LIMEIL-BREVANNES Rue Pasteur LIMEIL-BREVANNES Rue Prugnot TOTAL LIMEIL-BREVANNES TOTAL Total ménages 19 16 87 7 19 119 247 373 280 65 60 61 839 5 62 5 3 23 36 44 1 16 195 1281 20- 3030% 40% 4050% 5060% 6070% 70- 8090- 100- 120%et Total 80% 90% 100% 120% + 1 6 1 1 1 5 11 1 3 5 1 1 1 2 1 1 3 1 2 2 1 1 6 18 2 3 11 0 1 1 1 1 2 1 1 0 0 1 1 1 2 1 1 0 0 1 0 1 2 1 2 0 0 0 1 0 2 0 1 0 0 1 1 0 2 2 5 1 0 8 1 0 11 21 0 0 6 3 0 9 0 3 0 0 2 4 1 0 3 13 43 Sur cette base, 43 ménages seraient désormais soumis au SLS au lieu de 13, hors application du SLS forfaitaire, soit 4 % des ménages occupant un logement social géré par VALOPHIS et dont les revenus 2008 ont été renseignés. SLS moyen simulation barème 2011 : Simulation sls 2011 avec modulation du coefficient de dépassement mini -montant moyen par tranche de dépassement et par ville 20-40% commune 40-60% ALFORTVILLE montant TOTAL Nbre de locataires montant moyen /locataires 2 064 € 16 129 € 393 € 3 131 € CRETEIL montant TOTAL Nbre de locataires montant moyen /locataires 307 € 4 77 € 193 € 2 96 € LIMEIL BREVANNES montant TOTAL Nbre de locataires montant moyen /locataires 334 € 9 37 € 303 € 2 152 € 60-80% 80-100% 297 € 1 297 € 882 € 1 882 € 907 € 3 302 € 519 € 2 260 € 100-120% total montant 3 637 € 21 173 € 1 407 € 9 156 € 1 156 € 13 89 € CRETEIL HABITAT : OPH CRETEIL/ SEMIC Nombre de Logements : ZUS Hors ZUS OPH Créteil SEMIC 420 1360 1257 1822 Total Logements 1677 3182 SLS appliqué au barème actuel (soit barème antérieur à la loi ENL appliqué à partir de 60 % du seuil de dépassement des plafonds de ressources) : OPH SEMIC Nb logements hors ZUS 1257 1822 SLS Forfaitaire SLS Calculé Nb % assujettis Nb % assujettis 99 118 8% 6% 25 17 2% 1% Montant moyen mensuel 52 € 50 € Nb SLS Total % assujettis 124 135 10 % 7% Projection de l'application du nouveau barème sur le SLS CALCULE 2011 par tranche de dépassement (sur la base d’une modulation de - 50 % et déclenchement à 120 % des plafonds) : Patrimoine SEMIC Estimation SLS normal avec barème 2011 par tranche de dépassement Programme CHAMPEVAL CHAMPEVAL 2 DUPEYROUX ELIADE FALKIRK G SAND LE CHOU MOTTEAUX NYMPHEAS ORMETTEAU PORT J PORT M SARDANE SEMEUR UNIVERSITE Total SEMIC 20-30% 30-40% 40-50% 50-60% 60-70% 70-80% 80-90% 90-100% 1 3 1 1 1 2 1 1 2 1 2 16 100-120% 120% et + 2 2 1 2 1 1 6 2 3 2 1 1 1 3 2 15 1 14 1 1 1 1 1 1 1 2 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 9 6 2 2 1 1 1 4 2 Total 3 5 3 2 7 1 2 13 8 2 10 1 4 4 5 70 Patrim oine OPH Estim ation SLS normal avec barème 2011 par tranche de dépassement Programme CASCADES COLOMBIER CROIX DES MECHE S EAU VIVE ESSILOR JEAN MATHEY LACHARRIERE LES ABYMES ORBIGNY PAUL AVET SARMENTS VERDUN TOTAL 20-30% 30-40% 40-50% 50-60% 60-70% 70-80% 80-90% 90-100% 100-120% 120% et + Total 3 3 11 2 5 2 3 1 2 2 1 1 36 1 5 1 4 3 3 1 2 3 1 1 1 1 1 1 1 1 1 3 1 1 3 1 1 3 1 1 1 1 1 1 2 4 4 1 1 2 1 19 1 1 11 2 12 1 1 4 1 3 2 1 7 4 9 23 6 17 3 11 5 8 3 5 8 102 Pour la SEMIC : L’application du SLS selon le nouveau barème national, prévoyant une application à partir de 20% de dépassement des plafonds, concernerait, sur le seul SLS calculé, 70 familles, soit 4 % des ménages. Pour l’OPH Créteil : L’application du SLS le nouveau barème national, prévoyant une application à partir de 20% de dépassement des plafonds, concernerait, également sur le seul SLS, calculé 102 familles, soit 8.1% des ménages. SLS moyen simulation barème 2011 : Simulation SLS 2011 avec modulation du coefficient de dépassement mini-montant moyen par tranche de dépassement Bailleur OPH Créteil Montant total Nbre moyen de locataires Montant moyen/locataire Bailleur SEMIC Montant total Nbre moyen de locataires Montant moyen/locataire 20-40% 40-60% 60-80% 80-100% 100-120% 2 737,06 54 50,69 3 188,76 22 144,94 2 123,24 9 235,92 29,82 7 426,05 871,00 2 435,50 20-40% 40-60% 60-80% 80-100% 100-120% 1 686,47 31 54,40 2 677,24 22 121,69 2 135,01 8 266,88 810,96 2 405,48 2 638,36 4 659,59 120% et plus 7 600,76 7 1 085,82 120% et plus 1 815,42 3 605,14 Total 19 503,14 101 193,10 Total 11 763,46 70 168,05