La véritable histoire de Christophe Colomb
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La véritable histoire de Christophe Colomb
1° La véritable histoire de Christophe Colomb KHALIFA Noé Sous la direction de Mme Bordes Année scolaire 2010~2011 La véritable histoire de Christophe Colomb Moi ambassadeur de France, devais aller voir le gouverneur d'Espagne pour l'affaire d'un certain Christophe Colomb qui voulait faire le tour de la terre en bateau et arriver en Inde (alors que tout le monde sait que quand on arrive au bout de la terre, on tombe). En me rendant chez le gouverneur, je croisai un enfant près de sa mère qui criait, pleurait. Un homme que je présumais être son père, essayait de le calmer. En passant à côté de ce drôle de groupe, j'entendis l'homme dire ceci : « Mais enfin Alberto, tu sais bien que M. Colomb m'a engagé et je dois partir pour faire le tour du monde et revenir aux Indes. De là-bas, je rentrerai par la terre jusqu’ ici. Tu verras quand je reviendrai, je serai couvert de gloire et nous ne serons plus jamais dans la misère. -Fais attention quand même, lui dit sa femme. » Puis l'homme prit son baluchon et partit. Quand il arriva à ma hauteur, je décidai d'engager la conversation : « Alors comme ça, vous aussi, , vous partez avec M. Christophe Colomb ? -Oui ma famille n'a plus d'argent et nous devons bien nous nourrir. Et quand j'ai vu que M. Colomb engageait tout les matelots qui le voulaient, j'ai sauté sur l'occasion. Et vous, que venez-vous faire ici ? -Le roi de France m'a envoyé faire l'expédition de M. Christophe Colomb. -Vous êtes français ! Mais vous parlez espagnol pourtant ! -Oui, je suis ambassadeur et j'ai étudié l'espagnol en France. -Bon alors on se retrouve sur le bateau. A tout à l'heure alors. » C'est ce moment- là que je vis quelque chose bouger dans son baluchon. Je crus à une hallucination. Sorti de chez le gouverneur, j'allai directement sur les quais pour avoir le temps de prendre mes aises dans ma cabine avant le départ. Quand tout le monde fut sur le bateau, nous partîmes. Le lendemain, je me réveillai en sursaut ; le bateau tanguait, nous étions pris dans une tempête. Je montai précipitamment sur le pont et je vis tous les matelots attachés chacun à une corde courant sur le pont pour exécuter les ordres du capitaine. Parmi eux, un seul attira mon attention : c'était le seul qui n'était pas attaché. Ni une, ni deux, je pris une corde, je m'attachai puis j'en pris une autre et je courus attacher le matelots détaché. Je me rendis alors compte que ce matelot n'était personne d'autre que l'homme que j'avais rencontré en arrivant. Après l'avoir attaché, je lui demandai ce qu'il faisait : « Mais que faites vous détaché par ce temps ? lui criai-je à cause du bruit de la tempête. -J'essayai de rattraper ma lettre, me cria-t-il à son tour. -Votre lettre ? -Oui, j'écrivais à ma femme mais quand la tempête s'est levée, ma lettre s'est envolée. -Ah ! D'accord ! Mais ne commettez plus d'imprudence, hein ! -Oui monsieur, me répondit-il. -Ce n'est pas le moment de rire, maintenant rentrons. » Une fois arrivé à l'intérieur, je lui demandai : « Si ce n'est pas trop indiscret, il y avait quoi de si important dans cette lettre ? -Rien de très spécial, j'écrivais à ma femme qu'elle me manquait et que j'avais trouvé le petit pantin de bois de mon fils dans mon balluchon. -Que faisait-il dans votre balluchon ? -Ah ! ça, je n'en sais rien. -Serait-il arrivé tout seul, en marchant ? dis-je en plaisantant . -Peut-être, qui sait ? me répondit-il en rigolant à son tour. » Quand la tempête fut calmée, nous sortîmes marcher sur le pont. Nous remarquâmes alors qu'il manquait un des canots de sauvetage. Nous en informâmes le capitaine qui nous répondit qu'il avait dû se décrocher pendant la tempête. Plus tard, en plein milieu du repas, un des marins arriva à la table en courant, il avait repêché une bouteille avec un message à moitié effacé, mais on pouvait encore lire « SOS, p tin n boi nou attaque, pirates sont là, SOS » et tout le message était moucheté de sang. » « Des pirates ! Il faut faire demi-tour ! s'exclamaient certains matelots. Inachevé