Le Musée de Picardie Amiens Musée de Picardie
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Le Musée de Picardie Amiens Musée de Picardie
Collections archéologie, sculptures, objets d’art et peintures. Amiens Musée de Picardie Le Musée de Picardie Musée de Picardie, façade du Musée de Picardie/ I.Leulier Le Musée de Picardie est considéré depuis son ouverture en 1867, comme étant l’un des plus beaux musées de province. Conçu sur le modèle du Louvre de Napoléon III, le Musée de Picardie est un musée des Beaux-Arts réunissant de riches collections d’archéologie, de sculptures, d’objets d’art et de peintures, invitant à un voyage depuis le paléolithique jusqu’à nos jours. Par ses expositions temporaires de la période Antique au XXIe siècle, notamment d’art contemporain, et ses manifestations, conférences et événements, le Musée de Picardie s’affirme comme un pôle incontournable de la région. Comme le voulait la Société des Antiquaires de Picardie, fondatrice du Musée, ce dernier est un véritable palais des arts permettant de préserver et de transmettre l’héritage artistique picard aux habitants de la région. Créé en 1867 sous le nom «Musée Napoléon», en référence à l’empereur Napoléon 1er, considéré comme le «fondateur» du musée, après qu’il eut envoyé une série de tableaux à l’occasion de la signature de la Paix d’Amiens en avril 1802. Le bâtiment actuel du musée, construit entre 1855 et 1867, fut dès l’origine conçu comme un musée pour recevoir les collections régionales d’antiquités et des Beaux-Arts. Il est l’un des premiers établissements modernes de ce type bâti en France pour être un musée. L’édifice a été créé grâce à l’action militante de la Société des Antiquaires de Picardie, soucieuse de doter la cité d’un équipement propre à accueillir les objets récoltés depuis des décennies. Accueil, rez-de-chaussée Avant de les passer en revue, on peut noter dans le grand hall d’entrée le plafond aux armoiries de la Société des Antiquaires de Picardie (qui finança le musée), soutenu par des colonnes à chapiteaux ioniques. Sur la droite, l’ancienne fausse chapelle au style mixte, mélange de néogothique mâtiné de néo-byzantin, fut conçue à l’origine pour exposer des objets religieux. Dans l’escalier qui mène au premier étage, de larges toiles marouflées de Puvis de Chavannes évoquent le travail, le repos, la Picardie nourricière (Ave Picardia Nutrix) et les «jeux» pour la patrie (Pro Patria Ludus). Département archéologique L’archéologie, au sous-sol, est divisée en deux parties : les civilisations du Bassin méditerranéen (Égypte, Grèce, Italie) et l’archéologie régionale (préhistoire, âge des métaux, gallo-romain et mérovingien). Dans la section égyptienne se remarquent de coffres peints, des éléments funéraires et une momie. Dans la partie grecque, on trouve une remarquable tête de Kouros en marbre (VIe siècle avant J-C) et des vitrines de figurines en terre cuite polychrome et bijoux. Deux remarquables fragments de peinture murale romaine, provenant de la villa de P. Fannius Synistor, retrouvés à Boscoreale, près de Pompéi, sont à nouveau visibles. La section d’archéologie régionale se révèle d’une incroyable richesse. On y évoque évidemment largement la préhistoire avec le site de Saint-Acheul. Ce quartier à l’est d’Amiens donna son nom à une période de préhistoire, dite acheuléenne, qui concerne le région picarde entre 450 000 et 300 000 ans avant notre ère. Les passionnés pourront en faire la visite guidée. Cette période voit la naissance des premières formes et outils sculptés, notamment les bifaces, sortes de «couteaux suisses» de l’époque. De nombreux objets et collection d’armes proviennent des fouilles du site celte de Ribemont-sur-Ancre (Somme), tandis qu’une large section est consacrée à l’époque gallo-romaine lorsque Amiens s’appelait Samarobriva. Une salle présente aussi des sculptures monumentales, provenant notamment de l’ancien forum : chapiteaux, fragments de colonnes, panneaux de marbre, sarcophages (plomb et pierres). Une vitrine abrite un cocasse dieu Priape (fin Ier siècle), avec son capuchon qui cache… un phallus. On trouve également au Musée de Picardie l’une des plus grosses collections de verreries de France. On peut enfin s’attarder dans la salle de la vie quotidienne où l’on trouve bijoux, mosaïques en panneaux, ustensiles culinaires, pour la toilette, l’écriture… Dans la section mérovingienne, il faut remarquer une belle parure d’or datée du Ve siècle, d’origine balte (preuve des grands courants migratoires), et la petite boîte à hosties de Moreuil qui, même si elle n’a l’air de rien, témoigne de la christianisation des campagnes dès le VIe siècle. Département médiéval Les collections du Moyen âge sont présentées au rez-de-chaussée, à gauche de l’entrée, on y trouve de nombreux objets d’art religieux, du IXe au XVIe siècle. Dans la salle IXe-XIIIe siècles, le parcours commence avec une scène de la vie de Saint Rémi du IXe siècle, une petite plaque de reliure en ivoire incrustée de bronze représente (dans la partie basse) un rare témoignage du baptême de Clovis. En face, de nombreux chapiteaux romans proviennent des églises de Picardie, notamment celui d’Adam et Ève du XIIe siècle, déjà très élaboré. Plus loin, face aux vitrines, une section est consacrée à la cathédrale. On y voit notamment la pierre centrale originale du labyrinthe, usée par le temps, ainsi qu’une belle Marie-Madeleine du XIIIe siècle appartenant au jubé de la cathédrale (détruit en 1755), intéressante pour ses restes de polychromie. Dans les vitrines, parmi les pièces d’orfèvrerie religieuse on trouve un superbe Christ en croix du XIIIe siècle en cuivre doré ainsi que des chasses empierrées et une colombe eucharistique de Limoges, objets relativement rares. La salle du XIVe siècle présente de remarquables ivoires français, objets liturgiques en cuivre doré. Les cinq Vierges à l’Enfant en bois polychrome ou en pierre, de provenance variée (Lorraine, Bourgogne…) côtoient beaucoup de statues d’églises picardes, bien mises en valeur. La salle du XVe siècle donne à voir surtout des statues d’évêques et de saints en bois polychrome et en pierre, de même qu’une étonnante série de plaques d’albâtre provenant de Nottingham et retrouvées dans l’église de Conty. Un ensemble de pièces superbes sont presque drôles, notamment celle où le Christ en croix se voit «ponctionner» son sang ou celle du « châtiment du débiteur», où le débiteur en question est écrasé par les roues d’une charrette… Salle des sculptures des XVIe et XVIIe siècles La salle des XVIe et XVIIe siècles regroupent des sculptures provenant de la cathédrale polychrome et des églises d’Amiens et de sa région, souvent détruites au XIXe siècle. Un retable de la Passion de l’église de Méharicourt, très vivant, illustre le style du début de la Renaissance avec sa foule de personnages, dont certains sont dotés d’improbables trognes. Sont présentés en face, les cadres de quatre Puys d’Amiens (début du XVIe siècle) : les peintures, encours de rénovation, étaient placées dans ces cadres de bois d’un gothique flamboyant. Ces tableaux étaient commandés à un peintre par le vainqueur de joutes oratoires annuelles et toujours dédiés à la Vierge. On trouve ensuite plusieurs sculptures de commande du XVIIe siècle; on peut remarquer quelques artistes picards, notamment Nicolas Blasset et son remarquable Ecce Homo. Salle des sculptures des XIXe et XXe siècles La salle des sculptures du XIXe et XXe siècles est une vaste salle pensée comme un jardin invitant à la promenade. On y trouve les grandes tendances de cette période : néoclassicisme, romantisme, naturalisme… Parmi la centaine de sculptures en plâtre, bronze ou marbre, se distinguent quelques bustes napoléoniens et quelques portraits de célébrités picardes ou nationales, tel le Buste d’Anatole France par Bourdelle. Face à la vitrine de bronzes animaliers d’Antoine Barye, le relief représentant Les Arènes d’Arles de Théophile Caudron attirent immanquablement l’œil. Parmi les belles pièces de cette salle, voir aussi la Tête d’enfant d’Albert Roze (il réalisa le monument mortuaire de Jules Verne), et Jeux d’enfants de Rodin. Le regard s’attarde également sur ce remarquable Salem, nègre du Soudan, de Paul Loiseau-Rousseau, où marbre et bronze se mêlent savoureusement. Le Porteur d’eau africain de Guillet témoigne, lui aussi, de la période coloniale. Enfin quelques œuvres peuvent être rattachées à une forme de réalisme régional, dont l’un des plus beaux exemples est sans doute Le Soir d’Auguste Carvin, pesant comme le poids du labeur des champs. Nicolas Blasset Antoine Coysevox Nicolas-Sébastien Adam Charles-François Leboeuf dit Nanteuil Théophile Caudron Antoine Louis Barye Louis-léon Cugnot Aimé Millet Auguste Préault Gustave Deloye Jean-Baptiste Falguière Auguste Rodin Albert Roze Antoine Bourdelle Lucien SchneggAuguste Carvin Département Beaux-Arts La peinture : cette section occupe normalement le premier étage du musée, en travaux jusqu’en 2014. En attendant, les tableaux les plus importants ont été réunis dans le Grand Salon du rez-de-chaussée, un espace palatial monumental et richement décoré. Ils sont présentés sur le modèle de ce qu’était un salon de peintures aux XVIIIe - XIXe siècles: les tableaux couvrent les murs du sol au plafond. La partie supérieure des murs est réservée aux grands formats et, sur la partie inférieure, des accrochages thématiques, renouvelés régulièrement, permettent de montrer différents aspects de cette riche collection de peintures. Dans les grands formats, on note de spectaculaires tableaux d’histoire : œuvres de Jean-Léon Gérôme, Joseph Vien, Jean-Baptiste Regnault, Horace Vernet ou encore Jean Victor Schnetz. Jusqu’en mars 2013, les visiteurs peuvent donc toujours venir admirer 90 paysages parmi les plus beaux de la collection amiénoise. Musée de Picardie 48, rue de la République. 80000 Amiens Tèl : 03 22 97 14 00 [email protected] [email protected] www.amiens.fr/musees Relations presse : [email protected] Tarifs d’entrée 5 € tarif plein 3,50 € tarif réduit Gratuité Gratuit pour les abonnés, porteurs du laissez-passer étudiant, moins de 26 ans, chômeurs (sur présentation d’un justificatif ) Gratuit pour tous le 1er dimanche de chaque mois. Fermé le lundi Mardi : 10h à 12h - 14h à 18h Mercredi : 10h à 18h. Non stop Jeudi : 10h à 12h - 14h à 21h. Nocturne Vendredi et samedi : 10h à 12h - 14h à 18h Dimanche : 14h à 19h Fermé tous les jours fériés sauf le 15 août. LA COLLECTION BEAUX-ARTS Peinture italienne : _Guido Cagnacci _Lusa Giordano _Pietro Montanini _Giovanni Paolo Pannini _Stefano Sparano _ _Alvise Vivarini _Giuseppe Maria Crespi _Francesco Guardi _Carlo Francesco Nuvolone _Andrea Schiavone _Giovanni Battista Tiepolo Peinture espagnole : Le Greco Juan Reixach Jusepe de Ribera Peinture flamande et hollandaise : _Hendrick Bloemaert _ _Antoon van Dick _Govert Flinck _Frans Hals _Johan Barthold Jongking _Willem Kalf _Nicolaes Maes _Adam Pijnacker _Herman Saftleven _Dirck Stoop _JoachimWtewael _Adriaen Brouwer _Jan van Goyen _Jan Fyt _Melchior d’Hondecoeter _Jacob Jordaens _Gérard de Lairesse _Adriaen van Ostade _Salomon van Ruysdael _Frans Snyders _David Baptist Weenix Peinture française : _Louis Aubert _Bonaventure de Bar _Sebastien Bourdon _Jean Siméon Chardin _Gustave Courbet _Jen Honoré Fragonard _Alexis Grimou _Nicolas Lancret _Maurice Quentin de La Tour _Jean-Marc Nattier _Pierre Puvis de Chavannes _Hyacinthe Rigaud _Pierre Subleyras _Joseph Vernet _Simon Vouet _Jean-Baptiste Bachelier _François Boucher _Philippe de Champaigne _Camille Corot _Henri Fantin-Latour _Jean-Baptiste Greuze _Jacques de Lajoûe _Nicolas de Largillière _Charles André van Loo _Charles Parrocel _Jean Restout _Hubert Robert _Louis Tocqué _Joseph-Marie Vien _Edouard Vuillard Dessins des XVIIIe et XIXe Le cabinet des Arts Plastiques des Musées d’Amiens se compose de deux ensembles principaux, le premier d’entre eux rassemble des pièces d’artiste très divers et laisse une large place à quelques séries bien spécifiques: les œuvres de Puvis de Chavannes ainsi que les travaux d’atelier de Larivière et de Maignan Le second se compose d’une précieuse iconographie documentaire concernant avant tout Amiens et la Picardie, fruit notamment du labeur exceptionnel de l’infatigable «dynastie» des Duthoit: cet ensemble rare et encore trop peu exploité et doit faire l’objet d’une attention particulière. Louis-Félix Barrias Louis Léopold Boily François Boucher Jacques-Raymond Bracassat Albert-Ernest Carrier-Belleuse Lèon Cogniet Antoine Coypel Eugène Delacroix Jules-Ekie Delaunay François Dumont Charles Eisen Eugène Fromentin Paul Gaugin Auguste Hesse Louis Lafitte Nicolas Lancret Simon-Mathurin Lantara Maurice-Quentin de La Tour Jean-Baptiste Le Prince Luc-Olivier Merson Alexandre Moitte Charles Parrocel Pierre Puvis de Chavanne Charles von Steuben Louis-Roland Trinquesse François Valentin François Watteau Adolphe Yvon François-Edouard Bertin Auguste Borget Charles-Guillaume Bourgeois Eugène-Ferdinand Buttura Eugène Carrière Jacques-Louis David Sanson Edouard Detaille Julie Duvidal de Montferrier Jean-Honoré Fragonard Jacques Gamelin Jean-Léon Gérôme Jean-Baptiste Huet Charles-Philippe Larivière Louis-Félix de La Rue André Le Brun Albert Maignan Jean-François Millet Jean-Guillaume Moitte Pierre-Paul Prud’hon Jean-Victor Schnetz Pierre Thuillet Constant Troyon François-André Vincent Art moderne et contemporain Le Musée de Picardie conserve en autre une belle collection d’art moderne et contemporain, traditionnellement au premier étage du Musée. Cependant durant la période de travaux, le public peut tout de même profiter de quelques œuvres comme les sculptures et tableaux des artistes Philippe Cognée, Pierre Szekely, Etienne-Martin, Sol Le Witt ou encore Sylvie Fanchon, situées à la fois dans le Grand Salon, la Rotonde et la salle des sculptures du XIXe siècle.La politique d’acquisitions, combinée à des dépôts du Fonds Régional d’Art Contemporain de Picardie, du Fonds National d’Art Contemporain, du Musée National d’Art Moderne et du Musée Picasso, a permis de constituer un ensemble d’œuvres significatives d’art moderne (Mirô, Picabia, Manessier, Bacon, Picasso…) et contemporain (Oppenheim, Ottoniel, Poirier…) qui sera exposé au premier étage du Musée à partir de 2014. Ghada Amer Francis Bacon Enzo Cucchi Jean Dubuffet Sylvie Fanchon Valerie Favre Asger Jorn Sol Lewitt Andre Masson Yves Oppenheim Jorge Orta Pablo Picasso Philippe Ramette M. Alain Vollerin Sechas Graham Sutherland Arsene VasseurF Balthus Philipe Cognee Erik Dietman Etienne- Martin Jean Fautrier Jean Helion Eugene Leroy Alfred Manessier Joan Miro Jean-Michel Othoniel Francis Picabia Anne et Patrick Poirier Antonio Saura Pierrick Sorin Rosemarie Trockel rançoise Vergier Les travaux du Musée de Picardie Le Musée est actuellement en rénovation, le premier étage est donc fermé, à l’exception des deux petits salons l’Etude et la Contemplation où sont présentées les expositions temporaires. En attendant la réouverture du premier étage, un accrochage plus dense dans le Grand Salon du Musée permet néanmoins de présenter une centaine de peintures, tandis que des installations d’art moderne et contemporain ponctuent régulièrement le parcours de rez-de-chaussée. La campagne de travaux de rénovation devrait durer sept ans et sera réalisée en deux phases. La première, devant débuter au printemps 2013, vise à restituer au public les 1820 m2 du premier étage du Musée. Il s’agit pour la seconde étape de construire une extension du Musée de Picardie afin de créer un espace d’accueil agréable aussi bien pour les fonctions annexes (sanitaires, accueil des groupes, vestiaires) que pour les espaces de médiation culturelle. De plus, les jardins du Musée de Picardie et ceux de l’hôtel de Berny font aussi l’objet d’un projet de rénovation dans le but de créer un «parcours vert» allant de la Cathédrale au Cirque Jules Verne, qui contribuera à donner un nouveau visage à la ville d’Amiens. Le Musée de l’Hôtel de Berny Pour offrir une meilleure qualité d’accueil et une présentation élargie de ses collections le musée de l’Hôtel de Berny est fermé pour travaux. Un projet d’aménagement complet du site est à l’étude, il prévoit la rénovation du bâtiment du XVIIe siècle, ancien Hôtel des Trésoriers de France, ainsi que l’installation muséographique des collections d’objets et de mobilier d’art rassemblés par son dernier propriétaire. Musée de l’hôtel de Berny/ T/Rambaud Bibliographie - Noël Mahéo, Les collections archéologiques du Musée de Picardie, éditions Trois cailloux, 1990. . - Françoise Lernout, Le Moyen Age au Musée de Picardie, édition Musée de Picardie, 1992. - Viviane Huchard, Anne Stacoffe de Fancqueville, La sculpture au Musée de Picardie, édition Musée de Picardie, 1993. - Dominique Viéville, Viviane Huchard, Laurence Bouquin, La peinture du XXe siècle au Musée de Picardie, éditions Musée de Picardie, 1993. -Didier Bayard, Jean-Claude Blanchet, Jean-Pierre Fagnart, Noël Mahéo, L’archéologie à Amiens de la préhistoire à la ville gallo-romaine, édition Musée de Picardie, 1993. - Marie-Christine Boucher, Les dessins de Puvis de Chavannes du Musée de Picardie, édition Musée de Picardie, 1994. - Sylvie Couderc, le modèle - le double – l’identique, éditions Musée de Picardie, 1994. - Viviane Huchard, Noël Mahéo, Françoise Lernoux, Sylvie Couderc, Le Musée de Picardie, Amiens, fondation Paribas, Musées et monuments de France, 1995. - Monique Crampon, Claudette Joannis, Paul Fournel, Les Marionnettes Picardes des origines à 1960 – Drames et bouffonneries, éditions Martelle, Musée de Picardie, 1996 - Valéria Herchfeld, Mathieu Pinette, La Russie romantique- peintures et dessins du Musée des Beaux-Arts de Tver, coéditions Musée des Beaux-Arts et d’archéologie de Besançon et Musée de Picardie d’Amiens, 1996 - Sylvain Boyer, Dessins français des XVIIIe et XIXe siècles du Musée de Picardie, 1997 - Georges Dilly et Noël Mahéo, Verreries antiques du Musée de Picardie, éditionsSomogy, 1997 - Mathieu Pinette, Alain Jacquet – œuvres de 1951 à 1998, 1998 - Sylvie Couderc et Victoria Lynn, Bonheurs des Antipodes, suivi d’édition, Métroloisirs, 2000. - Jacqueline Bonnemains et Mathieu Pinette, Australie, le Temps du Rêve, édition Musée de Picardie, 2000. Musée de Picardie 48, rue de la République. 80000 Amiens Tèl : 03 22 97 14 00 [email protected] [email protected] www.amiens.fr/musees Relations presse : [email protected] Tarifs d’entrée 5 € tarif plein 3,50 € tarif réduit Gratuité Gratuit pour les abonnés, porteurs du laissez-passer étudiant, moins de 26 ans, chômeurs (sur présentation d’un justificatif ) Gratuit pour tous le 1er dimanche de chaque mois. Fermé le lundi Mardi : 10h à 12h - 14h à 18h Mercredi : 10h à 18h. Non stop Jeudi : 10h à 12h - 14h à 21h. Nocturne Vendredi et samedi : 10h à 12h - 14h à 18h Dimanche : 14h à 19h Fermé tous les jours fériés sauf le 15 août.