Le besoin fondamental de l`homme de garder une température

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Le besoin fondamental de l`homme de garder une température
Lycée Technique pour Professions de Santé
Année scolaire 2009-2010
N°7
Le besoin fondamental de
l’homme de garder une
température corporelle
normale
Rédaction: DOURSON Anne-Marie 2007-2008
Adaptation: HAMEN Brigitte, KLEIN Nicole 2008-2009
KLEIN Nicole 2009-2010
COSPI 12e SI 2008-2009
– BF garder une température corporelle normale
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Table des matières
7.1.
Définition du besoin
7.2.
Importance du besoin
7.3.
Physiologie de la thermorégulation
7.4.
Température corporelle normale et écarts
Hypothermie
Hyperthermie/fièvre
7.5.
Satisfaction/ insatisfaction du besoin//facteurs favorisant:
document de synthèse
7.6.
Recueil d’informations : questionnaire/exemples
7.7.
Vocabulaire: A/F/L
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– BF garder une température corporelle normale
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7.1. DEFINITION
Il s’agit du besoin de l’homme de maintenir la température du corps dans les limites
normales, à l’aide des mécanismes de thermorégulation, afin de régler le métabolisme et de
garder un état de bien-être.
7.2. IMPORTANCE DU BESOIN
Le métabolisme corporel et la température corporelle sont en interdépendance. En effet,
l’ensemble des transformations chimiques qui se font dans tous les tissus de l’organisme
favorise la production de chaleur. D’un autre côté, ces réactions métaboliques ne peuvent
avoir lieu que lorsque la température corporelle atteint les 36 °C. Si la température
corporelle baisse, le métabolisme diminue. Si la température corporelle monte jusqu’à
42,6 °C, il y a coagulation des protéines corporell es, donc c’est un état non compatible avec
la vie.
Il est donc primordial de maintenir une température corporelle constante.
En plus,la sensation de chaleur ou de froid est perçue par chaque individu de manière
différente. On parle de tolérance individuelle à la température. De celle-ci vont découler des
habitudes vestimentaires différentes, une adaptation de la température environnante....
7.3. PHYSIOLOGIE DE LA THERMORÉGULATION
La température corporelle normale est l’équilibre entre la production et la perte de chaleur
par l’organisme. Le maintien de cet équilibre est assuré par le fonctionnement de centres
thermorégulateurs situés dans l’hypothalamus.


Transmission des impulsions ----------------
à l’hypothalamus
↑
THERMORECEPTEURS
(captent la chaleur et le froid)
↑
Récepteurs internes
(Cœur, Reins, centres
médullaires)
= Température
centrale
↑
Récepteurs cutanés
= Température
périphérique
CENTRES THERMORÉGULATEURS
(Hypothalamus)
(établissent une valeur seuil constante = 37°C)
↓
La température corporelle est comparée
avec la valeur seuil
↓
Production ou déperdition de chaleur
↓
Régularisation de la température
corporelle


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
La chaleur provient des réactions chimiques du métabolisme. Celle-ci sont augmentées par :
 Combustion des aliments qui libèrent de l’énergie (accélération des oxydations
cellulaires).
 Contractions musculaires : augmentent la production de chaleur. Le frisson, la chair de
poule, les contractions involontaires des muscles vont aussi augmenter la température
corporelle.
 Influence hormonale : thyroxine, adrénaline, progestérone chez la femme
 fortes émotions
Afin de maintenir la température corporelle,
 les vaisseaux sanguins se rétrécissent = VASOCONSTRICTION
 la transpiration est inhibée
DEPERDITION DE CHALEUR : thermolyse
La majeure partie (90%) de la déperdition de chaleur s’effectue par la peau. En outre, le
corps perd de la chaleur par la respiration, l’élimination d’urines et de selles.
Les réactions suivantes permettent d’éliminer de la chaleur excédentaire :
 relaxation musculaire
 élargissement du diamètre des vaisseaux sanguins : VASODILATATION
 stimulation des glandes sudoripares : transpiration
 respiration rapide = polypnée
4 mécanismes permettent au corps d’éliminer de la chaleur :
 Evaporation de l’humidité de la peau (transpirer induit une froideur d’évaporation)
 Irradiation : le corps chauffe l’air ambiant, un peu comme un radiateur
 Convection : l’air en contact immédiat avec la peau est réchauffé par celle-ci. Il y a perte
de chaleur par une circulation d’air autour du corps (éventail, vent frais).
 Conduction : échange de chaleur par le contact de 2 éléments de température différente
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Réaction à la chaleur
Réaction au froid
1. ↑ Déperdition de chaleur :
- ↑ de la transpiration
- Vasodilatation
- Polypnée
1. ↓ Production de chaleur :
- ↓ de la transpiration
- Vasoconstriction
- Environnement : ↑ de la T° ambiante
+ ↑ des vêtements
- position accroupie
2. ↓ de la production de chaleur :
- ↓ des activités physiques
- Environnement : ↓ T° de l’air
ambiant + ↓ des vêtements
- ↑ boissons + repas froids
2. ↑de la production de chaleur :
- ↑ des activités physiques : tremblements
↑ augmentation
- ↑ de l’apport calorique + repas chauds
↓ diminution
7.4. TEMPERARTURE CORPORELLE NORMALE ET ECARTS
La température corporelle normale est de
36,3-37,4 °C mesure rectale
35,8-37,5 °C mesure tympanique
Les caractéristiques suivantes de la peau témoignent d’une circulation sanguine normale:
peau tiède, sèche et rosée. La tête et le tronc ont une température légèrement plus élevée
que les extrémités. La position du corps est décontractée et l’état psychique est détendu.
La norme varie en fonction de l’endroit où la température est mesurée.
La température de la peau = température de l’enveloppe est 0.5°C moins élevée qu’une
mesure centrale, p.ex. rectale = température du noyau.
La température corporelle varie au cours de la journée : elle est au plus bas le matin entre 5
et 6 heures et au maximum entre 17 et 18h.
Il existe aussi des variations dues à l’âge :
 nouveau-nés : le centre de thermorégulation n’est pas encore mature, la
température est facilement influençable par les conditions externes
 les personnes âgées : la température est plus basse en raison du changement de
la thermorégulation et de la diminution de la fonction nerveuse autonome.
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Hypothermie
 On parle d’hypothermie si la température corporelle est en dessous de 35 °C.
Le pronostic vital est en jeu à partir d’une température de < 30°C.
Causes physiologiques de l’hypothermie:
 chute de température extérieure : exposition au froid (gelures) ou à l’humidité,
immersion dans l’eau froide
Causes pathologiques de l’hypothermie :
 altération du système nerveux central : traumatismes crâniens...
 brûlures ouvertes étendues, choc (centralisation)
Hypothermie volontaire faisant partie d’un traitement :
-
chirurgie cardiaque, ...
Hyperthermie
 L’hyperthermie est une élévation progressive de la température corporelle due au
fait que l’élimination de la chaleur par évaporation ne se fait plus. Le bilan thermique
va devenir positif : gains > à pertes. La valeur seuil au niveau de l’hypothalamus est
normal.
Causes :
trop forte chaleur (p.ex. fort rayonnement thermique) ou diminution de la déperdition (p.ex.
en cas de brûlures du 3e degré - nécrose)
2 exemples
Le coup de chaleur ou insolation (Le corps chauffe à cause d’une exposition trop forte au soleil
et une déperdition insuffisante de chaleur.)
Surtout les nourrissons et les petits enfants sont exposés à ce risque parce que leurs
glandes sudoripares n’ont pas encore atteint un degré de fonctionnement suffisant pour
contrecarrer un réchauffement excessif.
(cas du nourrisson laissé dans une voiture exposée au soleil)
Signes d’une insolation :
- céphalées
- vertiges
- tachycardie et tachypnée
- perte de conscience allant jusqu’au décès.
Hyperthermie du nourrisson (déperdition insuffisante de chaleur)
Augmentation de la température secondaire à une hydratation insuffisante en cas de forte
chaleur. Le nourrisson montre une réduction du turgor de la peau, un affaissement de la
fontanelle et éventuellement des troubles de la conscience.
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Fièvre
 La fièvre est une élévation de la température corporelle au-dessus de 38,0°C
secondaire à une augmentation de la valeur seuil au niveau de l’hypothalamus, due à
l’action de substances pyrogènes.
La fièvre est donc due à l’action des pyrogènes =éléments provoquant une élévation de la
température corporelle.
Les pyrogènes exogènes sont p.ex. des toxines produites par des bactéries et composants
de virus ou de champignons.
Les pyrogènes endogènes sont produits dans le corps lui-même et sont p.ex. des produits
de déchets provenant de la dégradation des protéines, les prostaglandines produites lors
d’une inflammation.
Si les pyrogènes atteignent le sang, ils produisent de la fièvre.
La fièvre doit être considérée comme une réaction de défense de l’organisme contre une
agression. La température élevée va accélérer l’activation de certains mécanismes
immunitaires et certains agents pathogènes sont gênés dans leur multiplication.
Evaluation de l’élévation de la température corporelle
Il y a différents niveaux à distinguer
Point de repère = mesure rectale de la température corporelle
=> 36,3°C - 37,4°C = température normale
=> 37,5°C - 38,0°C = température subfébrile
=> 38,1°C - 38,5 °C = fièvre légère
=> 38,6°C - 39,0°C = fièvre modérée
=> 39,1°C - 39,9°C = fièvre élevée
=> 40,0°C - 42,0°C = fièvre très élevée
Certains points de repère peuvent être retenus, indépendamment si la température est
rectale ou tympanique :
T° > 37,5°C
 T° à surveiller
T° > 38°C
 = fièvre
T° > 38,5°C
 nécessite un traitement par le médecin
Types de fièvre et leurs causes
On distingue
 Fièvre septique = due à une maladie infectieuse
En cas de maladies infectieuses, la fièvre est provoquée par des endotoxines provenant du
métabolisme de germes pathogènes ou la destruction de ceux-ci.
Exemple typique : la septicémie => les toxines envahissant le sang provoquent fièvre et
frisson.
 Fièvre aseptique = fièvre de résorption
Cette fièvre est liée à la résorption d’hématomes ou de tissus nécrotiques secondaires à des
traumatismes, des interventions chirurgicales ou de grosses brûlures (présence de
pyrogènes endogènes). L’augmentation maximale de la température corporelle est de
38,5°C, au cours des 2 e à 3e jours post-traumatisme.
 Fièvre d’origine centrale
L’atteinte du centre thermorégulateur par des pathologies atteignant le cerveau (tumeurs,
encéphalite, accidents vasculaires cérébraux) entraîne une forte augmentation de la
température centrale, souvent supérieure à 40 °C av ec résistance aux antipyrétiques.
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Symptômes accompagnateurs de la fièvre
-
Malaise, lassitude
sentiment manifeste d’être malade
Céphalées, courbatures
Troubles de la conscience, photophobie, phobie des bruits
Faciès rouge et chaud, yeux brillants
Lors de fortes fièvres, confusion mentale avec divagations ou délire
Polypnée + tachycardie (augmentation de 8 à 10 pulsations par degré thermique)
Interventions générales visant l’abaissement de la T° corporelle à la normale
Interventions physiques
- enveloppements froids (voir chapitre 4 : activités de soins)
- toilette corporelle : on peut rajouter à l’eau (T° +/_ 10 °C en dessous de celle du corps) du
thé à la menthe (1litre de thé pour 4 litres d’eau), laver à l’aide d’un gant bien essoré dans le
sens inverse de poils, laisser sécher au contact de l’air, couvrir d’un drap, protéger des
courants d’air, veiller à maintenir les extrémités chaudes à l’aide p. ex. de chaussettes
- La toilette corporelle : Bain, commencer le bain à 1°C au-dessus de la température
corporelle du bénéficiaire de soins et diminuer progressivement jusqu’à 30°C.
- boissons froides
- recouvrement ou vêtements légers
- diminution de la T° ambiante
Les antipyrétiques
Ils agissent sur les centres thermorégulateurs hypothalamiques en bloquant la synthèse des
prostaglandines et permettent à l’organisme d’augmenter la déperdition de chaleur par
vasodilatation et transpiration.
Les médicaments les plus communément utilisés sont le Paracétamol (Benuron, Dafalgan)
et l’acide acétylsalicylique (Aspirine). Ils sont bien tolérés et ils ont l’avantage d’agir aussi
sur les douleurs symptomatiques accompagnant la fièvre (céphalées, courbatures).
Surveillance de la T° corporelle/mesure
-
pour constater une T° corporelle normale ou détec ter une valeur anormale
pour suivre l’évolution de la courbe de T°
pour contrôler l’effet des interventions mise en route pour diminuer la fièvre.
(voir chapitre 4 : activités de soin)
-
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Problèmes potentiels et actions
Fièvre
Problèmes découlant de la fièvre
- Fatigue, troubles du sommeil
Interventions infirmières
- favoriser le repos
- regrouper les soins, diminuer les
activités, laisser le bénéficiaire de soins
se reposer
- Déficit de soins personnels
- réagir aux déficits qui se présentent,
soutenir l’autonomie
- sécheresse buccale
- soins de bouche
- faire boire
- Troubles de la conscience, délire
- surveiller l’état de conscience
- sur pm : antipyrétiques,
enveloppements froids
- manque d’appétit
- régime léger
- petites portions
- risque de déshydratation
- surveillance des signes de
déshydratation
- stimuler à boire
- établir un bilan hydrique
- Déséquilibre hydro-électrolytique
- Boissons fraîches (eaux minérales ou
thés)
- sur pm : contrôle de l’ionogramme +
installation d’une perfusion
Lorsque la température perdure
plusieurs jours ou lors de maladies
infectieuses avec diarrhées et
vomissements :
- Risque de pneumonie
- position assise adéquate
- stimuler à boire
- réduire les efforts
- sur pm : administration d’O2
- Risque de constipation
- stimuler à boire
- évaluer et inscrire la fréquence
d’élimination des selles
- Risque de thrombose
- faire boire
- surveiller les signes de thrombose
- favoriser le retour veineux
- Risque d’atteinte à l’intégrité de la
peau
- changement de literie/pyjama
- friction de la peau
- observer l’état de la peau
- Déficit nutritionnel
- régime riche en protéines
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Les stades d’évolution de la fièvre et les interventions infirmières
1. La phase d’ascension
Le centre thermorégulateur est stimulé par les pyrogènes présents dans la circulation
sanguine, la valeur seuil de la température augmente. Les prostaglandines sont libérées ce
qui entraine:
=> des tremblements/frisson thermiques = augmentation de la production de chaleur
=> une vasoconstriction = rétention de la chaleur
Pour couvrir les besoins en énergie et en oxygène, le corps va augmenter son métabolisme
et provoquer une polypnée et une tachycardie
=> Interventions infirmières
Il s’agit de favoriser la thermogénèse et la rétention de la chaleur :
 couvrir le bénéficiaire de soins (sensation de froid !)
 couverture chauffante/poche chaude (« Hot/Cold Pack »)
 proposer des boissons chaudes
Soins en cas de frissons :
 réchauffer le bénéficiaire de soins et son environnement
 contrôler le risque de blessures
 rester auprès du bénéficiaire de soins
 surveiller les paramètres (T°, pouls, TA), sauf pe ndant les frissons trop
forts
 signaler les résultats au médecin (diverses analyses pourront être
demandées sur prescription médicale : hémocultures, coprocultures,
urocultures, frottis de plaies, Rx thorax).
Les convulsions fébriles
Crise convulsive provoquée exclusivement par la fièvre chez les nourrissons et les petits
enfants entre 1 an et 4 ans, d’origine encore inconnue. Elle concerne 5% des enfants
Déclenchement spontané avec secousses musculaires avec révulsion oculaire. Souvent les
convulsions sont déjà terminées quand le médecin arrive sur place.
Lorsqu’un épisode est déjà apparu, le médecin prévoit en prévention à domicile des
antipyrétiques à utiliser dès que l’enfant est fébrile.
Un traitement anticonvulsivant préventif est parfois prescrit (par ex. Diazepam). Les soins
antipyrétiques cités ci-dessus sont à mettre en œuvre.
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2. La phase de plateau ou de pic maximal
La production de chaleur ainsi que le métabolisme restent élevés : tachycardie,
augmentation de la TA et polypnée, augmentation du besoin calorique. Plus le corps est
chaud, plus le bénéficiaire va subir des pertes hydriques (respiration, sueurs profuses).
=> Interventions infirmières
L’enveloppement froid : (voir annexe)
L’enveloppement froid est pratiqué lors de températures supérieures à 39°C. Ce procédé est
contre-indiqué lors de troubles de la circulation au niveau des extrémités.
Autre intervention : voire page 8
3. La phase de défervescence
La valeur seuil diminue, mais la valeur réelle est encore élevée, donc le corps doit encore
perdre de la chaleur.
Le corps met en œuvre 2 différents procédés pour atteindre une température normale :
* une chute de température lente, répartie sur quelques jours, bien supportée par le
bénéficiaire de soins = LYSE
* une chute de température brutale endéans quelques heures : transpiration accrue,
entraînant une chute brusque du débit circulatoire = CRISE ou risque de collapsus.
=> Interventions infirmières
Une transpiration accrue favorise le développement d’escarres et d’intertrigo. Voilà pourquoi
il est nécessaire que les infirmières entreprennent scrupuleusement des interventions
préventives en vue d’éviter la formation d’une atteinte à la peau et d’intertrigo. Il s’agit de
changer les lits et les vêtements des bénéficiaires de soins dès qu’ils sont humides.
Durant la phase de défervescence, une observation continue est exigée. Les soignants
mesurent régulièrement le pouls, la tension artérielle ainsi que la température corporelle du
bénéficiaire de soins afin de surveiller la chute brutale et dangereuse de la température.
A l’issue de cette phase, le bénéficiaire de soins est fatigué et aspire au repos. Il faut veiller à
ce qu’il récupère et ainsi lui accorder du calme en limitant par exemple les visites.
Une surveillance est à apporter lors du lever : les bénéficiaires de soins ont subi une forte
perte de liquidité et un effort surajouté pourrait provoquer un collapsus (chute de la tension
artérielle liée à une hypotonie vasculaire).
Le déroulement classique (ascension, plateau, défervescence) peut être influencé par
l’administration précoce d’antibiotiques ou d’antipyrétiques.
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7.5.1.
Satisfaction/ insatisfaction du besoin//facteurs favorisant:
document de synthèse
Annexe
7.6.
Recueil d’informations : questionnaire/exemples
Annexe
7.7.
Vocabulaire: A/F/L
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