11 Septembre 2001 - Que s`est

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11 Septembre 2001 - Que s`est
© Août 2007 par Marcel Dehaeseleer – http://www.11septembre2001.org/
Rapports Officiels frauduleux et mensongers
Six ans après les sinistres attentats du 11 septembre 2001 - et au vu des événements qui en ont
découlés - on est légitimement en droit de se poser quelques questions quant à la version officielle des
faits présentée dans le Rapport de la Commission sur les Attentats du 11 septembre 2001. À ce
jour il est pourtant très difficile encore d’émettre des doutes à propos de la version officielle sans se faire
traiter de conspirationniste, d’illuminé ou de révisionniste.
À la lecture du fameux "THE 9/11 COMMISSION REPORT" on ne peut
que constater qu’il s’agit d’une véritable insulte à l’intelligence
humaine. Ce document "Officiel", censé représenter la réalité des
faits, est truffé d’omissions, d’inexactitudes et de mensonges éhontés.
L’avez-vous lu ? Si tel est le cas, vous n'avez sans doute pas pu vous
empêcher de faire un parallèle avec un autre rapport officiel célèbre,
le mémorable "Rapport Warren" relatif à l’assassinat de John F.
Kennedy. Points communs, tous deux présentent les faits de manière
à valider des conclusions préétablies afin d’ériger celles-ci en vérités
absolues et définitives...
Aujourd’hui, 44 ans après l’assassinat de JFK, qui croit encore aux conclusions du Rapport Warren ? Pour
mémoire, celui-ci présentait Lee Harvey Oswald comme seul et unique responsable. Il faudra attendre
1979 et la publication du Rapport du HSCA (House Select Committee on Assassinations) pour enfin
apprendre "Officiellement" que l’assassinat de JFK résultait, bel et bien, d’un complot (quel qu’ait été le
degré d’implication d’Oswald.) Plus ou moins quatorze années s’étaient écoulées entre-temps. Osons
espérer qu’il ne faille attendre aussi longtemps pour qu’une nouvelle enquête - totalement indépendante
cette fois - soit mise sur pied afin de faire toute la lumière sur cette effroyable mystification d’Etat.
Effondrements des Tours Jumelles – Version Officielle non crédible !
http://www.11septembre2001.org/Effondrements Twin Towers.htm
Selon le rapport de la FEMA (Federal Emergency Management Agency) le feu serait la cause principale
des effondrements. La structure d’acier des tours se serait, sous l’effet de la chaleur, affaiblie au point de
ne plus être à même de supporter le poids des édifices.
Les images de l’impact du deuxième avion dans la tour Sud
permettent de voir une immense boule de feu à l’extérieur du
bâtiment. Cette immense "fireball" signifie que la majorité du
kérosène a été projetée et s’est enflammée à l’extérieur de la tour.
Par ailleurs, les flammes modérées et l’important panache de fumée
noire s’échappant de la tour Nord démontrent que l’incendie était en
manque d’agent accélérateur, à savoir de kérosène. Pour information,
la chaleur dégagée par le kérosène peut dans les meilleures
conditions atteindre au maximum 900 degrés. Si les incendies
faisaient rage au point de "ramollir" l’ossature d’acier - dont la
température de fusion se situe aux alentours de 1.500 degrés – il
est peu probable que l’on ait pu apercevoir des survivants penchés au
bord du précipice de la tour Nord au niveau des étages de l’impact
(voir photo ci-dessous).
Femme au bord du précipice au point d’impact de la tour Nord
À supposer que la chaleur des incendies - en conjonction avec l’effet dynamique consécutif aux impacts
d’aéronefs - aient pu fragiliser la structure portante des édifices, il est peu probable que cela ait entraîné
un effondrement total, presque parfaitement vertical et quasi identique pour chaque tour.
Focus sur Ground Zero - Les restes des Twin Towers.
Les restes des tours jumelles représentaient une hauteur de
quelques étages tout au plus et étaient constitués de
poussière, de verre et de poutrelles d’acier dont la longueur
moyenne n’excédait pas une dizaine de mètres.
Seuls quelques pans de façades des deux tours jumelles se
dressaient encore vers le ciel, pas une seule colonne du
"cœur" – entendez les colonnes centrales des tours – n’était
visible. Sur la photo ci-contre on peut parfaitement voir le
centre d’un des deux édifices et constater l’absence de
l’imposante armature centrale. Cette absence de traces sera
habilement expliquée par la Commission sur le 9/11.
Au centre des gravas pas de trace de l’imposante
colonne centrale
Le "cœur" des Twin Towers - version de la Commission.
Selon la Commission sur les attentats du 9/11, les murs
extérieurs des tours – constitués de colonnes d’acier de
trente-cinq centimètres de large – supportaient à eux seuls
le poids des bâtiments. Toujours selon la Commission,
l’armature centrale des tours ne représentait qu’un "puits"
(sous-entendez "un vide") dans lequel se trouvaient les
cages d’escaliers et au sein duquel cheminaient les
ascenseurs. Cette assertion erronée fait partie du lot
d’affirmations mensongères qui font que je qualifie le 9/11
Commission Report d’insulte à l’intelligence humaine ! Cicontre, une des deux tours en phase de construction, la très
imposante et massive colonne centrale est parfaitement
apparente. Cet élément majeur de l’ossature est loin de
représenter ce que la Commission qualifie de simple "puits".
Sur cette photo apparaît clairement l’imposante et
massive colonne centrale, le "Cœur".
Cette omission de la Commission sur le 9/11 pourrait, pour le moins, démontrer un manque de sérieux
dans ses investigations, au pire il s’agirait d’une volonté délibérée de dissimuler des éléments pouvant
invalider la version Officielle. Cette omission prouve que la Commission a menti. Si la structure en acier
des façades avait effectivement un rôle porteur, il était secondaire. La principale structure porteuse était
en réalité l’armature centrale constituée d’un enchevêtrement d’imposantes colonnes en acier massif.
La principale structure porteuse des Twin Towers.
L’armature centrale était en fait constituée de quarante-sept
(47) colonnes en acier massif au sein desquelles se
trouvaient effectivement les ascenseurs et les cages
d’escaliers. Il s’agissait d’un véritable enchevêtrement de
poutrelles robustes, pas un simple "puits".
Les
colonnes
constitutives
de
l’armature
centrale
mesuraient à la base des édifices quatre-vingt-dix
centimètres sur quarante-six (90cmX46cm) leurs parois
avaient un épaisseur de dix centimètres. L’épaisseur de ces
parois s’affinait par pas de 6mm à mesure de l’élévation des
tours dès lors que le poids à supporter diminuait. Les quatre
colonnes d’angles ont notamment servi de promontoire pour
les grues lors de l’édification des tours (photo ci-contre).
Comme évoqué plus haut, il est totalement inconcevable
que l’on ne puisse discerner une seule de ces colonnes, ou
ensemble de colonnes, au sein des gravas. Plus étrange
encore, la longueur des poutrelles retrouvées dans les
décombres n’excédait en moyenne pas plus de dix mètres.
A noter que la totalité de la charpente métallique a été
promptement évacuée et revendue à l’export. Aucune
analyse susceptible de mettre en évidence d’éventuelles
traces d’explosifs n’a été entreprise. Aujourd’hui, de telles
analyses sont définitivement impossibles.
Synthèse du rapport de la Commission sur les attentats du 9/11
Selon la Commission sur le 9/11, les attentats ont pu avoir lieu suite à une incroyable succession
d’erreurs, de manquements, d’un non-respect des procédures opérationnelles standard, etc...
Pour synthétiser, le "succès" des attentats du 11 septembre 2001 est dû à une incroyable incompétence
à divers niveaux au sein des organismes en charge d’éviter l’accomplissement de tels actes. Il est
effarant que de telles erreurs et manquements individuels et/ou collectifs n’aient pas débouché sur des
mises en cause ou engendrés des sanctions envers les responsables de ces soi-disant manquements
gravissimes et aux conséquences sans précédents.
Indices de démolition contrôlée...
Cette théorie n’est pas plus absurde que celle de la Version Officielle de la Commission sur le 9/11. De
nombreux experts en démolition commandée/contrôlée ont commenté l’effondrement des Twin Towers
(et du WTC7). Pour ces spécialistes, il y a de nombreux indices permettant de considérer cette hypothèse
avec le plus grand sérieux.
- La structure même des Twin Towers, leur armature centrale porteuse, invalide l’explication de la
Commission selon laquelle les édifices se seraient effondrés en "château de cartes" ou "pile d’assiettes".
C’est la raison pour laquelle la Commission a sciemment ignoré ce point et a qualifié l’ossature (structure
centrale) des Twin Towers de simple "puits".
- Quelques instants avant le premier impact dans la tour Nord, il y eut des explosions dans les sous-sols.
William Rodriguez, héros national, était en poste dans la tour Nord et tente aujourd’hui de faire entendre
sa voix sur ce point. Inutile de préciser que Rodriguez fût auditionné à huis clos par la Commission...
- La célérité avec laquelle les charpentes métalliques ont été évacuées, sans qu’aucune analyse sérieuse
puisse avoir été entreprise, constitue ni plus ni moins qu’une soustraction criminelle de preuve.
- Les familles des victimes, auxquelles il était impossible de restituer en tout ou en partie les corps des
disparus, ont reçu une urne funéraire censée contenir des cendres recueillies à Ground Zero. Ces urnes
ne contenaient pas des cendres prélevées sur les lieux des attentats, elles contenaient... du sable !
Cette liste, non exhaustive, est plus qu’éloquente.
Appendice
Lorsque l’on connaît le type de
dégâts qui peuvent être occasionnés
par la collision d’un oiseau avec le
bord d’attaque de l’empennage
horizontal d’un aéronef,...
Canard dans bord d’attaque d’un
empennage horizontal,...
Il ne fait aucun doute que les
fuselages et les ailes des avions
ayant percuté les Twin Towers ont
été littéralement déchiquetés lors de
la traversée des colonnes de façade.
Seuls les moteurs en acier sont
susceptibles d’avoir "relativement"
endommagé la structure centrale.
La masse de débris résultant considérablement freinés lors de
l’impact initial - a continué sur sa
lancée. Lorsque ces débris ont
heurté la colonne centrale, ils
étaient
loin
d’avoir
l’énergie
cinétique ni la masse nécessaire
pour occasionner le sectionnement
des poutrelles ci-contre.
Poutrelles constitutives de la colonne centrale (ci-dessus)
© Août 2007 par Marcel Dehaeseleer – http://www.11septembre2001.org/
Copweb Research Belgium –Marcel Dehaeseleer
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