activités pédagogiques - Musée Anne de Beaujeu

ACTIVITÉS
PÉDAGOGIQUES
Musée Anne-de-Beaujeu & Maison Mantin
Place du colonel Laussedat
03000 MOULINS
04.70.20.48.47 ˗ www.mab.allier.fr ˗ [email protected]
PRÉSENTATION
DE L’EXPOSITION
Du 1er mars au 21 septembre 2014, le musée Anne-de-Beaujeu présente sa
nouvelle exposition Le
retour des momies.
Longtemps conservées en réserve, les collections égyptiennes du musée ont fait
l’objet d’une importante campagne de restauration menée au Centre de recherche et
de restauration des musées de France (C2RMF) à Versailles, en vue de la création
d’une salle d’archéologie classique.
Le retour de ces œuvres s’accompagne d’une exposition temporaire à l’étage du
musée, qui revient sur la question des collections égyptiennes en Auvergne et des
grands donateurs qui en sont à l’origine. Des conquêtes napoléoniennes d’Égypte en
1798 à la découverte de la tombe de Toutânkhamon par Howard Carter en 1922, un
vent d’égyptomanie n’a cessé de souffler sur l’Europe.
Artistes, voyageurs, scientifiques, curieux, ont rapporté de leurs voyages
croquis, relevés, aquarelles et parfois momies !
À travers le cinéma et grâce à la médiatisation des découvertes archéologiques,
l’égyptomanie a pénétré toutes les couches de la société jusqu’à inspirer des objets de
notre quotidien (jouets, bijoux, vêtements…) et le personnage de la momie a pris vie.
Pour parfaire l’exposition, un parcours pédagogique et des ateliers créatifs
permettent au jeune public de découvrir l’univers fascinant de l’Égypte ancienne.
Pour les plus grands, un riche programme culturel alliant visites commentées,
visite musicale et conférences est proposé.
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PARCOURS
DE L’EXPOSITION
҉ Salle archéologie classique / rez-de-chaussée :
les momies du musée Anne-de-Beaujeu
Le musée possède deux ensembles funéraires de la Basse-Époque.
L’un est composé d’un cercueil, d’une parure de cartonnage et d’une momie
datés du 4e siècle avant J.-C. ; l’autre est composé d’un cercueil, d’une momie et d’un
cartonnage datés du 8e siècle avant J.-C.
Cercueil du 4e siècle avant J.-C.
Pour le premier ensemble, le cercueil est entièrement peint et
possède quelques inscriptions hiéroglyphiques renseignant sur la
provenance et l’identité de la défunte nommée Isis la Grande. La momie
est très bien préservée, la parure de cartonnage (différentes couches de
lin ou de papyrus agglomérées et peintes) disposé sur la momie est
composé d’un masque, d’un collier, d’un plastron et d’une boîte à pieds.
Cartonnage de la momie du 8e siècle avant J.-C.
Le deuxième ensemble présente un cercueil non-peint et anépigraphe
(sans inscriptions), la momie d’une femme débandelettée et le cartonnage
entier, présenté à côté du cercueil. De nombreux motifs sont identifiables.
Deux vitrines complètent cette salle : des statuettes et ouchebtis
(serviteurs funéraires), des bijoux et un ensemble de céramiques sont
présentés.
Des dessins de divinités égyptiennes décorent la salle, permettant de
se familiariser avec la mythologie.
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҉ Salle 1 :
Les restaurations des collections égyptiennes
Dans une ambiance de laboratoire de recherche, les résultats des études
scientifiques menées sur les collections égyptiennes du musée sont présentés.
Grâce au développement de la technologie, de nouvelles méthodes sont
désormais utilisées pour étudier ces collections fragiles, sans les détériorer, et acquérir
de nouvelles connaissances.
Il est possible d’observer des radiographies et scanners ainsi que des rapports
d’analyses. Des interviews de plusieurs scientifiques sont accessibles sur des bornes
vidéo-audio reliées à un casque d’écoute. Des spécialistes du Centre de recherche et
de restauration des musées de France décrivent leur travail de recherche et de
restauration : sur les vestiges humains momifiés, les cercueils, les bandelettes de lin,
les cartonnages…
Une troisième momie de femme prêtée par le musée Bargoin de ClermontFerrand est présentée dans cet espace.
҉ Salle 2A :
L’expédition napoléonienne en Égypte
En 1798, le chef de l’armée française, le général
Napoléon Bonaparte, se prépare à partir pour l’Égypte
avec plus de 36000 soldats. Son but : faciliter le
commerce avec l’Orient en établissant des points
d’ancrage en Égypte.
Champollion, retour d’une expédition archéologique
dans la vallée des rois, près des colosses de Memnon
Maurice Orange (1867-1916), 1828
Son autre objectif, tout aussi important, est de contrer la puissance anglaise,
concurrente de celle française dans cette course à l’enrichissement économique.
Par ailleurs, 160 savants prennent part au voyage. Historiens, scientifiques,
artistes, érudits, souhaitent « répandre les Lumières de l’Europe » et mener des
études approfondies sur ce pays. À leur retour en France, un ouvrage sera rédigé pour
compiler et présenter les nombreuses informations recueillies : la Description de
l’Égypte. Quelques-uns des 23 volumes sont présentés dans cet espace, complétés par
des ouvrages écrits par quelques savants de l’expédition.
Des portraits de soldats, explorateurs ou conquérants sont exposés,
accompagnés de peintures du 19e siècle renseignant sur des batailles marquantes ou
sur des paysages caractéristiques.
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҉ Salle 2B :
Portraits de collectionneurs-donateurs
Au 19e siècle, les voyageurs ramènent d’Égypte des « souvenirs » : amulettes,
statuettes, céramiques, papyrus et même des fragments de momie ou des momies
entières dans leur cercueil.
Les particuliers vont se muer en collectionneurs et constituer chez eux de vraies
collections d’antiquités égyptiennes. Certains d’entre eux vont faire le choix de donner
une partie, ou l’ensemble, de leur collection à des musées. C’est ainsi que vont se
créer pour les musées de province les fonds d’archéologie égyptienne.
C’est le cas pour le musée de Moulins grâce, notamment, à deux donateurs :
Pierre Grand (1841-1918), appelé aussi Grand Pacha, est né à Moulins. Ingénieur des
ponts et chaussées de la ville de Vichy, il part en 1868 pour l’Égypte et devient
responsable de l’administration de la voirie pour la ville du Caire.
Il reçoit de nombreuses distinctions et des antiquités égyptiennes en cadeau. Il
constitue une collection d’environ 250 objets.
Il donne un ensemble funéraire complet au musée de Moulins et un second au musée
Ochier de Cluny, ville d’où est originaire sa femme Camille.
Louis Batissier (1813-1892) est né à Bourbon l’Archambault. Ami avec
Achille Allier (1807-1836), il l’est également avec l’archéologue Auguste
Mariette (1821-1881) dont il a vraisemblablement été le collaborateur
lors des fouilles de la nécropole de Saqqarah dans la région de Thèbes
(aujourd’hui Louqsor). Il a lui-même collecté, entre autre, un ensemble
de céramiques qu’il a partagé entre les musées de Moulins et du
Louvre.
Petit vase en forme de cruche, terre cuite,
époque gréco-romaine (30 av. J-C. - 476)
D’autres musées auvergnats se sont enrichis grâce à la générosité de donateurs,
le musée Crozatier du Puy-en-Velay et le musée Bargoin de Clermont-Ferrand par
exemple.
Marcelle Baud (1890-1987) est née à Paris mais ses parents sont d’origine auvergnate.
Elle a choisi lors de sa retraite de s’installer à Clermont-Ferrand et a fait don de ses
dessins au musée Bargoin. Égyptologue, elle travaille en Égypte sur des dessins des
tombes et temples de la région thébaine. Elle reconstitue en 1929 pour les musées
royaux d’arts et d’histoire de Bruxelles la chapelle funéraire du jardinier du temple
d’Amon Nakht, encore visible aujourd’hui.
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҉ Salle 3 :
Egyptomania, l’influence de l’Égypte dans les arts et la popularisation des
découvertes égyptiennes
Suite à l’expédition napoléonienne, la publication d’ouvrages et la traduction
des hiéroglyphes par Champollion, un vent d’égyptomanie va souffler en Europe.
Les artistes vont s’inspirer de la civilisation égyptienne pour réaliser des objets à
destination des élites : bijoux, meubles…
Cet engouement s’étend même au théâtre où certains décors s’inspirent de
dessins réalisés dans des tombes ou des temples d’Égypte. Sarah Bernhardt va
immortaliser une célèbre reine d’Égypte dans Cléopâtre.
L’opéra n’est pas en reste, l’exemple le plus marquant est Aïda de Giuseppe
Verdi, composé en 1871 pour l’inauguration du canal de Suez.
Même le cinéma va s’inspirer des découvertes
archéologiques dès le début des années 1920, avec la réalisation
de films sur les momies et sur leur malédiction, comme Le retour
de la momie avec Boris Karloff. Ce sujet connaît un énorme succès
encore aujourd’hui (La nuit au musée, Le retour de la momie…).
Ciné-Miroir, Le Petit Parisien
Présentation du film Cléopâtre de Cecil B. de Mille
sorti en 1934
Un évènement particulier va permettre la popularisation des découvertes
égyptiennes. En 1922, Howard Carter découvre la tombe quasiment intacte de
Toutankhamon. Cette découverte va être relayée par les médias et des photos de la
tombe vont être publiées dans de nombreux journaux.
L’égyptomanie ne connaît alors plus de limite et concerne toutes les couches de
la population : création de cartes postales, de bandes-dessinées, d’objets décoratifs,
de jouets thématiques pour enfants, d’automates de voyance…
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OFFRES
PÉDAGOGIQUES
VISITE COMMENTÉE
Suivez un parcours guidé au fil des salles pour tout découvrir des collections
égyptiennes du musée Anne-de-Beaujeu et comprendre l’engouement autour de cette
civilisation fascinante.
Le médiateur peut s’adapter à une demande spécifique, choisissant de développer
certaines sections plutôt que d’autres, n’hésitez à orienter la visite lors de votre
réservation.
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ATELIERS DE PRATIQUE ARTISTIQUE
Parure antique en toc
Maternelle / CP / CE / CM
Œuvres exploitées : décors des sarcophages et des cartonnages, bijoux
Au fil d’un parcours choisi dans les salles, les enfants étudient la mode égyptienne
antique des bijoux (colliers, plastrons…). Ils se familiarisent alors avec des termes
spécifiques, décrivant les éléments de la parure. En atelier, les enfants créent un
collier égyptien traditionnel, en utilisant crayon et peinture pour parer un patron de
collier fourni. En insérant un fil, chaque enfant peut fixer le collier autour de son cou !
Pour les plus grands, les perles sont fabriquées en pâte de différentes couleurs et
assemblées pour former le collier.
Objectifs pédagogiques :
expression orale : décrire une œuvre selon la forme, les couleurs et les sujets
s’approprier un vocabulaire spécifique
travailler sur les formes géométriques
découvrir les couleurs primaires et secondaires en testant les mélanges
découverte d’une civilisation ancienne
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Amulette magique
CP / CE / CM / 6e
Œuvres exploitées : ouchebtis et amulettes
Dans l’exposition, les élèves observent les ouchebtis, compagnons des défunts dans
l’au-delà, et les amulettes que les Égyptiens aiment porter sur eux en guise de portebonheur. Ils découvrent leurs significations. Les amulettes prennent souvent la forme
d’animaux ou de figurines représentant des divinités. Elles apportent protection à celui
qui les porte. Par le modelage, chaque élève crée des amulettes « œil d’Horus »,
« scarabée » et « croix Ankh ».
Objectifs pédagogiques :
découvrir différentes formes d’expression artistique (matériaux, outils,
techniques) et un vocabulaire spécifique
développer la curiosité et la créativité
découverte d’une civilisation ancienne
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Pinceau et papyrus
CE CM / Collège / Lycée
Œuvres exploitées : décors des sarcophages et des cartonnages, papyrus
Après avoir observé et décrit les motifs présents sur les sarcophages et les
cartonnages (animaux, formes classiques et originales, représentations des divinités),
les élèves s’initient à l’art égyptien et à la mythologie. Ils découvrent également des
fragments de papyrus. Les élèves réalisent ensuite leur peinture en utilisant une
recette antique (pigments et gomme arabique), les teintes permettront de colorer des
silhouettes de déesses et dieux égyptiens sur une feuille de papyrus.
Pour les plus jeunes, la silhouette est déjà tracée sur le papyrus, chaque élève choisit
sa divinité. Pour les plus aguerris, la silhouette est à reproduire (calque) avant
peinture. Le nom de la divinité peut être ajouté en hiéroglyphes.
Objectifs pédagogiques :
expression orale : décrire une œuvre selon la forme, les couleurs et les sujets
s’approprier un vocabulaire spécifique
réaliser un travail créatif personnalisé
découverte d’une civilisation ancienne
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Égyptomaniac
Collège / Lycée
Œuvres exploitées : objets décoratifs, affiches
Au 19e siècle, l’Égypte passionne les Européens. Émerveillés par les pyramides,
intrigués par les momies et les trésors, beaucoup d’objets à motifs égyptiens sont
produits pour être vendus en Europe. L’influence égyptienne se lit aussi au théâtre, à
l’opéra, dans la littérature… L’engouement est tel qu’on parle d’« égyptomanie ».
Après une courte visite, les élèves réalisent le décor d’une assiette en porcelaine sur ce
thème.
Objectifs pédagogiques :
avoir des repères historiques
découvrir différentes formes d’expression artistique (matériaux, outils,
techniques) et un vocabulaire spécifique
développer la curiosité et la créativité
découverte d’une civilisation ancienne
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Toutencarton
CM / Collège / Lycée
Œuvres exploitées : masques funéraires, cartonnages et sarcophages
Les élèves observent les éléments en bois peint qui décorent les momies égyptiennes
ou qui leur servent d’écrin. Les cercueils et cartonnages sont étudiés ainsi que les
motifs : formes, représentation des divinités et des symboles mythologiques, couleurs.
En atelier, en binôme ou en petits groupes, les élèves réalisent un masque funéraire
coloré grâce à un support en plastique, des bandes de plâtre et de la peinture.
Objectifs pédagogiques :
découvrir différentes formes d’expression artistique (matériaux, outils,
techniques) et un vocabulaire spécifique
comprendre la diversité culturelle des arts et des hommes
découverte d’une civilisation ancienne
-
Cet atelier impose un temps de séchage. Il vous sera donc demandé de revenir
quelques jours après, pour récupérer les créations des élèves.
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FORMULES ET TARIFS
Formule 1
séance découverte VISITE GUIDÉE
La visite guidée est menée par un médiateur. Elle est l’occasion d’un éclairage
approfondi sur les œuvres et d’une discussion avec les élèves. Elle s’organise selon un
parcours choisi et adapté en fonction du public. Des thèmes précis peuvent être
développés sur demande des enseignants.
Sur réservation / durée : environ 1h15 / tarif : 45 € par classe (jusqu’à 30 élèves, audelà application de deux forfaits).
Formule 2
séance pratique ATELIER
L’atelier est l’occasion de s’inspirer des œuvres présentées dans l’exposition et de
réaliser une création originale, individuellement ou en petits groupes. C’est un
moment de manipulation et d’expérimentation qui aide à la compréhension.
Sur réservation / durée : environ 1h30 / tarif : 60 € par classe (jusqu’à 30 élèves, audelà application de deux forfaits).
Formule 3
séance couplée VISITE GUIDÉE + ATELIER
Cette formule permet de découvrir les œuvres de l’exposition et d’approfondir un
sujet en particulier selon le thème d’atelier choisi. Les deux temps se font à la suite ; il
est cependant possible de mener la visite guidée le matin et l’atelier l’après-midi.
Sur réservation / durée : environ 2h30 / tarif : 80 € par classe (jusqu’à 30 élèves, audelà application de deux forfaits).
Formule 4
séance liberté VISITE EN AUTONOMIE
Sous l’encadrement de l’enseignant.
Sur réservation / tarif : 20 € par classe.
PROJETS PÉDAGOGIQUES « SUR MESURE »
Le service médiation est à la disposition des enseignants et éducateurs qui souhaitent bâtir un projet
spécifique pour leur classe ou leur groupe.
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MUSÉE MODE D’EMPLOI
Contacts
Musée Anne-de-Beaujeu & Maison Mantin
Place du colonel Laussedat
03 000 Moulins
Service médiation 04.70.34.16.21
04.70.20.48.47 / [email protected]
Émilie BOUDET [email protected]
www.mab.allier.fr
Julie COURTINAT [email protected]
Le musée est ouvert toute l’année.
De septembre à juin : du mardi au samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h, dimanche et
jour férié de 14h à 18h.
En juillet et août : du lundi au samedi de 10h à 12h30 et de 14h à 18h30, dimanche et
jour férié de 14h à 18h30.
Fermé le lundi, 1er janvier, 1er mai et 25 décembre.
Pavillon du musée Anne-de-Beaujeu
© musée Anne-de-Beaujeu / Christian Parisey (CG03)
Maison Mantin © musée Anne-de-Beaujeu
Le
musée
Anne-de-Beaujeu
propose aux groupes des visites
(guidées ou libres) et des ateliers
pédagogiques en lien avec ses
collections :
histoire des ducs de Bourbon,
ensemble de sculptures religieuses,
faïences de Moulins du 18e siècle,
peinture du 19e siècle (portraits,
paysages…).
Attenante au musée, la Maison
Mantin est une villa du 19e siècle
ayant appartenue à Louis Mantin.
Après un long sommeil et une
campagne de restauration, elle a
ouvert ses portes aux visiteurs en
2010 pour des visites générales
ou thématiques, permettant de
découvrir la vie d’un bourgeois et
les collections éclectiques que le
propriétaire a accumulées au fil
de sa vie.
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Accueil du groupe
☺
Les groupes venant au musée en visite guidée ou en autonomie doivent
obligatoirement effectuer une réservation auprès du service médiation.
Les visites et ateliers sont conçus pour des tranches d’âge spécifiques, il est
important de mentionner le niveau ou classe d’âge des enfants. Si des enfants entrent
dans le cadre d’un dispositif d’accompagnement particulier, il est indispensable de le
signaler au service médiation afin que la prestation choisie leur soit adaptée.
Le responsable du groupe est prié de se présenter à l’accueil du musée pour
enregistrer son arrivée. Le groupe est ensuite pris en charge par un médiateur.
► en cas de retard sur l’horaire prévu, il vous est demandé de prévenir le musée.
L’animation ne pourra se prolonger au-delà de l’horaire prévu.
► en cas de désistement, nous vous prions de prévenir rapidement le service
médiation (72h à l’avance).
Possibilités pour le repas :
- pique-nique dans le parc entourant le musée Anne-de-Beaujeu
- déjeuner au self-service du lycée Banville (à 5 minutes à pied)
Réservation obligatoire, à l’avance, auprès de madame Burtin, intendante.
Lycée Théodore de Banville
12 cours Vincent d’Indy
03 000 Moulins / 04.70.44.26.42
Accès
Bus urbain ligne D / arrêt Palais de justice, rue des Fausses Braies, juste derrière le
musée.
La gare de Moulins est située à 20 minutes à pied du musée.
Les cars peuvent déposer les groupes sur l’arrêt de bus urbain Palais de justice, et
stationner sur le cours Anatole France ou sur le cours Jean Jaurès (parkings payants).
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LE RETOUR DES MOMIES
Exposition présentée par le Conseil Général de l’Allier
au musée départemental Anne-de-Beaujeu
du 1er mars au 21 septembre 2014.
Commissariat : Judith Hénon, conservatrice du patrimoine, directrice du musée Anne-de-Beaujeu et
du musée de l’Illustration Jeunesse.
Marie Bèche, attachée de conservation du patrimoine, responsable des collections
archéologiques.
Jean-Michel Sablon, certifié de langue égyptienne de l’université libre de Bruxelles.
Assistante d’exposition stagiaire : Zelda Puyfoulhoux
Scénographie : Jean-Michel Fiori
Illustrations : Benjamin Blasco, Esther Puyfoulhoux
Films : Philippe Szymanski, Simon Cannamela
Eclairage : Christophe Caccioppoli, Jean-Michel Fiori
Conception graphique : C-toucom, JC Design, Coralie Durye (minuit moins Huit)
Régie des oeuvres : Jérôme Jaillet
Communication / Presse : Delphine Charret, Priscilla Guerrier, Cyrille Darrigade
Coordination technique : Dominique Lefebvre, Thierry Faure
Réalisation technique : Alain Baudin, Christophe Caccioppoli, Thierry Faure, Jean Ferreira, Gilles
Muller
Avec l’aide de Jacky Raboutot et de l’équipe technique du Conseil Général de l’Allier
Médiation : Marie Bèche, Emilie Boudet, Julie Courtinat, Maud Leriche, Marc Poligny
Convoiement : Alain Baudin, Jérôme Jaillet, Marc Jeandel, Maud Leriche, Maud Leyoudec, Zelda
Puyfoulhoux
Administration : Marie Dubost
Secrétariat : Viviane Evelette-Kothe, Christine Lamouche
Accueil : Alain Baudin, Hervé Bruyère, Jeannine Bouyou, Maud Cabanne, Marc Jeandel, Cindy
Labonne, Bruno Marsura, Sandrine Martin, Maryline Monin, Alexis Raynaud, Caroline Rémond
Avec l’aide de : Prescilla Neveu, Vincent Rousseau
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