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n° 016 – mars 2011
***
Site Internet : http://www.anciens-aerodromes.com
Forum (réservé aux membres) : http://www.anciens-aerodromes.org/forum/index.php
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http://www.anciens-aerodromes.com
Editorial
Le respect de la propriété :
Une valeur de notre association
Dans le cadre de nos activités nous sommes
souvent amenés à effectuer des visites d’anciens
sites aéronautiques. Ces lieux chargés de mémoire
sont pour bon nombre devenus propriétés de
particuliers ou de collectivités. Des clôtures en
empêchent parfois l’accès comme jadis, lorsqu’ils
étaient encore couverts par le secret.
Le chercheur actuel se sent alors souvent frustré,
ne pouvant circuler à sa guise sur le terrain pour
prendre des photos, ou quelques mesures.
Cette réalité des choses est pourtant à prendre en
compte : nous ne sommes pas partout chez nous.
Les domaines ne sont pas toujours publics et il
convient donc de respecter le droit de propriété.
Lors d’une recherche sur le terrain, nous invitons
toujours nos membres à prendre en premier lieu
contact avec les propriétaires, se présenter, les
rencontrer. Toute visite doit également nous être
déclarée. Il n’est nullement question de se
présenter comme mandaté par notre association
sans en avertir au préalable le CA.
Rencontrer le propriétaire des lieux pour lui
demander une autorisation de visite est aussi une
opportunité de se faire connaître, de converser
avec lui et parfois même, et dans les faits, souvent,
d’obtenir des informations inédites ou des
témoignages qui peuvent nous être très utiles pour
la suite de nos investigations. Il peut aussi s’agir
d’un moment d’échanges, qui peux permettre de
confier aux propriétaires des renseignements sur
‘’leurs biens’’, des explications sur le pourquoi de
ces constructions que certains ont parfois
sauvegardées en ignorant leur valeur historique.
Le respect de la propriété concerne également les
photographies d’époque que nous sommes
également amenés à collecter. Depuis la création
de notre association nous avons réuni plusieurs
centaines de photos parfois inédites. Celles-ci
proviennent souvent de chercheurs / historiens qui
ont souhaité les partager avec nous et de
particuliers qui nous ont contacté et confié des
albums de famille ou des collections privées. nous
ne devenons pas pour autant propriétaires de ces
documents. Nous n’en sommes que les détenteurs
pour une durée convenue : ils appartiendront
toujours à la personne qui nous les a confiés.
Anciens Aérodromes est certes une association
publique mais le caractère privé d’un bien doit
toujours être conservé, surtout en matière
d’exploitation photographique.
Tout document original qui nous est confié reste la
propriété de la personne privée ou morale qui nous
l’a confié. Toute publication se fera avec indication
de la source, et avec son accord écrit.
L’éthique d’une association publique doit être aussi
de faire profiter au plus grand nombre de ces
connaissances accumulées.
Si leurs détenteurs nous donnent leur accord alors
des contacts seront pris afin de confier ces
documents à des centres d‘archives et ainsi de
favoriser leur disponibilité pour d’autres chercheurs.
Laurent Bailleul et le conseil d‘administration de
l’association.
Autre respect : celui des autres. Dans nos différents
contacts nous sommes parfois confrontés à des
témoignages erronés, des non-sens historiques,
des confusions. Nous devons alors recueillir
simplement la parole des témoins d’un événement,
sans jugement de valeur et sans a priori. Collectons
les informations en prenant conscience qu’il s’agit
d’un témoignage personnel qui a une importance
pour celui qui nous l’apporte et qui a toujours une
valeur historique, quand bien même il s’avèrerait
douteux. L’authentification se fera ensuite mais
nous conserverons toujours cette partie de mémoire
qui est appelée à disparaître au fil du temps.
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Rapport d’activités pour janvier 2011
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1 février 2011
Plan en 3D du hangar de Bondues (dept 59)
Une modélisation réalisée par Jean Philippe Ferand
et Etienne de cet hangar. Première réalisation,
d’autres suivront. Il s’agit en fait d’un fichier Quick
Time que nous pouvons activer afin de visualiser
les contours du hangar ou sa structure interne.
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5 février 2011
Vente aux enchères Drouot.
Objets aéronautiques mis en vente. On y trouve de
tout, même des hangars en jouet !
12 et 13 février 2011
Salon du livre de La Couture (dept 62)
Présence de notre association lors de cet
évènement régional. Une occasion de présenter
nos activités et de rencontrer des passionnés.
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10 février 2011
Lien de téléchargement pour un pdf sur 100 ans
d’aéronautique en région centre.
http://www.centreco.regioncentre.fr/me
diatheque/francais/filiere/Aeronautiqu
e/100ans__aero__regioncentre.pdf
Merci à François Paquet pour cette communication.
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16 février 2011
‘’Canon à poulets’’ ?
Dans le domaine aéronautique l’impact de volatiles
est excessivement dangereux. Afin de tester la
résistance des matériaux lors de ces incidents, des
essais de catapultage de "poulets" sont réalisés au
centre Onera de Lille sur les verrières d'avions ainsi
que sur les bords d'attaque des ailes et
empennages ansi que les entrées d'air des
moteurs. Vous trouverez en image jointe le canon à
"Poulets"
de
l'ONERA-Centre
de
Lille.
Précision importante le dit "Poulet" est en fait une
gélatine spécifique parfaitement étudiée pour
représenter les caractéristiques mécaniques du
poulet.
Les études numériques et expérimentales9réalisées
chez nous, dans ce domaine, ont commencé il y a
au moins 15 à 20 ans. Le terme communément et
pudiquement utilisé à Lille est "Impacts Oiseaux".
Bien d'autres études ont été menées en parallèle
sur l'amerrissage, les explosions en soute, le crash,
le tir dans les réservoirs, tout cela sur des
matériaux métalliques ou composites.
Jean Luc Charles, Membre 2A
http://www.anciens-aerodromes.com
Deux expositions consacrées au constructeur
Morane-Saulnier et à ses successeurs ont
actuellement lieu à Tarbes, organisées par
l’AAPHMSS (Association des Amis du Patrimoine
Historique Morane-Saulnier et SOCATA).
Depuis le jeudi 13 janvier, et jusqu’au jeudi 17
février 2011, se tient dans le hall de l’hôtel de ville
de Tarbes une exposition intitulée « De MoraneSaulnier à DAHER-SOCATA ». Cette exposition
reprend l’histoire de l’entreprise et détaille ses
réalisations.
La seconde exposition, intitulée « 100 ans
d’aviation », a lieu à l’office du tourisme de Tarbes
du jeudi 13 janvier au samedi 26 février 2011. Cette
seconde exposition évoque l’entreprise par le biais
de maquettes, photos et tableaux.
Pour tout renseignements contacter Daniel Bacou,
président de l’Association des Amis du Patrimoine
Historique Morane-Saulnier et SOCATA (APHMSS)
par téléphone (05 62 41 76 59) ou par email
([email protected] )
Dans le cadre des expositions tenues en l’honneur
des 100 ans du groupe DAHER-SOCATA, héritier
de Morane-Saulnier, voici une vidéo réalisé par le
groupe, qui relate les 100 ans d’histoire de
l’avionneur. (pas de limitation de durée et peut être
enregistrée avec Real Player)
http://www.lecharpeblanche.fr/2011/02/11/videodaher-socata-100-ans-daeronautique/
(information transmises par Henri Conan
l’association Mémoires de l’Hydraviation)
de
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16 février 2011
Exposition à Tarbes: de Morane-Saulnier à
Socata
21 février 2011
Lettres d’Information de l’association Mémoires
de l’Hydraviation.
Comme nos associations sont membres conjoints ,
adressons-leur nos félicitations. Envoi possible sur
demande. Contacter Henri Conan.
Emile Taddéoli devant un Morane-Saulnier type A en
1911.
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Diaporama PP disponibles également sur le
Latécoère 631 (3,43 Mo) l'hydrobase des
Hourtiquets (5,4 Mo) et Henri Fabre.
Nouvelles adhésions
Aero club de la Lys ,( siége social sur l’aérodrome
de Merville-Calonne) en la personne d’ André
Jonghmans, son président.
Anecdote historique
« MORO et TATSI »
Terrains avancés de la Luftwaffe dans la
poche de Stalingrad
Tous les récits sur la bataille de Stalingrad sont
unanimes pour accabler la Luftwaffe incapable de
ravitailler la VI°armée de Von PAULUS ; ce n’est
qu’au détail cependant que l’on trouve des
renseignements concernant les unités, les appareils
et les terrains de cette tragédie.
STALINGRAD : Les Allemands voient les chars
Russes refermer le cercle autour d’eux. La VI°
armée, la plus puissante de la Heer, commandée
par le Général Von PAULUS est prise au piège.
Trois mille canons et orgues de Staline écrasent les
lignes ennemies. Les ordres
http://www.anciens-aerodromes.com
sont clairs : « Vaincre sur place ou mourir». La
Luftwaffe est incapable de ravitailler les troupes
enclavées.
Peut-on ravitailler Stalingrad par les airs ?
Tous ont encore à l’esprit l’exploit de
DEMYANSK… Le 21 novembre 1942 Adolf HITLER
tranche la question : Sa Luftwaffe sauvera
Stalingrad ! Mais là il ne s’agit pas d’un corps
d’armée, mais une armée toute entière nécessitant
quelque cinq cent tonnes de ravitaillement par jour.
La Luftwaffe dès le départ n’en promet que trois
cent par condition de météo favorable. La Luftwaffe
manque de Ju 52 et Rommel en réclame en appui
pour la campagne de Tunisie qui s’engage. Alors à
Stalingrad on s’organise. Tatsinskaya, Sverovo,
Salk,
Stalino-nord,
Novocherkask,
Lugansk,
Gorlavska, Makeevka, Nostiantynika, Rostov, et
Morozovskaya seront les bases principales qui
alimenteront les sept bases avancées de la poche
de Stalingrad : Pitomnik, Gumrak, BolshaiaRososhka, Stalingradski, Basargino, Voroponovo,
et Karpovka.
Pitomnik (48°44’33" N 44°15’ 00" E) et Gumrak
(48°47’08" N 44°22’26" E) seront les deux terrains
les plus utilisés, on les surnomme « Moro » et
« Tatsi ». Ces terrains de secours pour chasseurs
en difficulté ne sont pas vraiment aptes à recevoir
un pont aérien sur leur petit bout de steppe enneigé
mal aménagé, seul Pitomnik possède un
radiophare. La Luftflotte IV répartit les tâches à ses
unités et toutes devront dans la mesure du possible
adapter leurs appareils au transport du
ravitaillement : il en va ainsi de la JG 3 du Hptm
Wolf Dietrich Wilke avec ses Bf 109 G2, de la KG55
du Obst Ernst Kühl et ses He 111, de la I./St G2 du
Mjr Bruno Dilley avec des Ju 87 « Stuka », de la II./
SG1 équipée de Hs 123, Hs 129 et Bf 109 et de la
I./KG 51 avec ses Ju 88.
Au début, les « Stuka » opèrent à partir de la poche
de Stalingrad elle-même, menant dix missions par
jour, mais les violentes tempêtes de neige limiteront
les sorties. Ces conditions épouvantables ne
permettront pas d’aligner comme espéré les 320
appareils tous modèles confondus rassemblés par
onze unités de transport, dont trois spécialement
créées.
Les complices d’Adolf
« Le Führer mécontent dit que la Luftwaffe n’a tenu
aucune de ses promesses. Pourtant elle fonctionne
mieux depuis que Milch a pris en main
l’organisation des transports vers Stalingrad ; mais
cela reste insuffisant. Ce que reçoit Stalingrad est
tout juste suffisant pour mourir ; trop peu pour vivre.
Vraisemblablement, les vingt deux divisions sont
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perdues. Au téléphone, Zeitzler informe le Führer
que la situation à Stalingrad est désespérée, les
Russes ont enfoncé six kilomètres des lignes
allemandes incapables de se battre à cause de la
faim et du froid. La nouvelle atteint profondément le
Führer qui espérait conserver une force à
Stalingrad qu’il aurait ensuite libéré……. »
Extrait du journal de Goebbels
- 50° Fahrenheit
« Moro » et « Tatsi » sont maintenus hors d’atteinte
ème
grâce à la 3
armée Roumaine soutenue par les
avions du II./SG1. Quand le temps le permet, les Ju
52 livrent de l’essence et des munitions sur les
terrains avancés. On fait flèche de tout bois, par un
froid de moins trente degrés, les cent vingt He 111
transformés en avions de transport livrent du
ravitaillement accompagnés d’une escorte de
chasseurs du III./JG3 et du I./ZG1. Les « Stuka » de
Rudel effectuent jusqu’à dix sept sorties par jour.
http://www.anciens-aerodromes.com
provisoires efficaces sur le front ouest mais
nettement insuffisants dans les steppes de Russie.
Le personnel au sol raconte qu’il leur fallait chauffer
les outils. 2 Ju 290, énormes quadrimoteurs, 1 Ju
252 du L.T.S.290, des He177 de la I./KG 50 venus
en renfort auront les mêmes problèmes de fiabilité.
Privés de terrain, les équipages en sont réduits à
larguer les conteneurs dans le « chaudron » : tous
ne seront pas forcément récupérés par leurs
destinataires ; certains contenaient des médailles et
autres décorations dont le Führer aimait à inonder
ses troupes pour les motiver, une façon de leur
demander de ne pas déserter, ne pas se rendre,
tenir coûte que coûte. Le sacrifice des héros !
Les terrains tomberont tous un par un sous le
contrôle des chars soviétiques dont la devise était
« Ni chagou nazad » ( Pas un pas en arrière).
Les quelques terrains encore abordables ne sont
pas entretenus, et sont encombrés d’avions
accidentés, de débris et de congères ; cinq Bf 109
en difficulté en font la triste expérience en tentant
un atterrissage forcé ; ils capoteront les uns après
les autres.
Seuls des pilotes expérimentés réussiront, de nuit.
A partir du 16 janvier les Russes reprendront tous
les terrains de la poche. Le 18, 2 Ju 52 tomberont
dans le piège d’un faux guidage et se poseront à
Pitomnik repris avec leur précieux chargement au
bénéfice de l’ennemi.
En décembre, le front élastique oblige la Luftwaffe à
renoncer à plusieurs de ses terrains de la poche,
seuls « Moro » et « Tatsi »sont préservés. Pitomnik
est constamment sur la brèche, le 4 janvier, 608
tonnes y sont déchargées ; c’est un exploit mais
nettement insuffisant. Le 9 janvier on racle les fonds
de tiroir. Les Fw 200* du KG 40 arrivent de
Bordeaux-Mérignac via la Norvège et forment une
unité spéciale le K.Gr.Z.b.v. 200; ils transporteront,
eux aussi, 36 t de fret dans la poche de Stalingrad,
emportant des conteneurs dans leur soute à
bombes. Ces avions, parfaits pour leurs missions
d’origine sur les autres fronts révèleront leur fragilité
par température négative extrême ; les incidents
sont nombreux, ces avions surchargés devant se
poser sur des pistes enneigées déformées par des
congères et trous d’obus sont souvent victimes
d’avaries difficiles à réparer dans des abris
Le Ju 52 du 23 janvier 1943
« Le dernier vol »
Le 23, un Ju 52 décolle de Gumrak, il emmène 18
blessés. Il est convenu de dire que c’est le dernier
avion allemand à décoller de l’enfer de Stalingrad.
Les « rampants » et les autres blessés qui à
Gumrak avaient l’espoir de quitter par les airs cet
effroyable champ de bataille rejoindront les 91 000
prisonniers dont 5 000 seulement survivront et
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rentreront en Allemagne jusqu’en 1954. 209 de ces
prisonniers faisaient partie du personnel technique
de la Luftwaffe, et seuls deux d’entre eux rentreront
de captivité.
Dans l’enfer blanc
http://www.anciens-aerodromes.com
réservoirs pour les véhicules à sec du terrain de
Stalingradsky. Comme son appareil n’était pas un
avion de transport, il n’a ramené que neuf blessés à
Novotcherkassk (12 h20), et parmi eux le Général
Erwin JANECKE.
Durant la WWII, Alfred DEIML a effectué 387
missions : 20 en France, 9 en Angleterre et 358 en
Russie. 200 He 111 ont alimenté le « Chaudron »
de la poche de Stalingrad dans les unités KG 27 et
55, I./KG 100 et KGr.Z.b.v. 5 et 20.
*Les Fw 200 retrouveront un temps leur rôle de
bombardier avec quelques raids bien inutiles, puis
ils quittent Zoporozhye pour Berlin avant de
regagner la Norvège.
Sur 850 avions en octobre 1942, la Luftwaffe a
perdu en deux mois 488 avions de transport ; (sans
compter les pertes de la chasse): 266 Ju 52, 165
He 111, 42 Ju 86, 9 Fw 200, 5 He 177, 1 Ju 29. La
Luftwaffe ne s’en remettra pas, d’autant moins
qu’une autre corvée l’attend en Méditerranée.
- « Quand je me suis posé à Pitomnik, la vue de ces
pauvres types ensanglantés, hâves et émaciés,
hirsutes, crevant de faim et de froid, les yeux
hagards attendant patiemment qu’un Junkers les
sorte de cet enfer ; m’a littéralement cloué sur
place. La piste de Pitomnik avait été transformée en
une sorte de cour des miracles, peuplée de mortvivants. » Aéro-journal N°17 Pilote de Ju 52 Kurt
DASSMANN.
Jean Claude Carpentier (Membre 2A)
Sources :
http://www.lepoint.fr/archives/artcle.php/115087
http://www.forum.axishistory.com/viewtopic.php%3
http://www.hsgm.free.fr/stalingrad.htm
http://www.cieldegloire.com/bataille_stalingrad.php
http://www.fandavion.free.fr/stalingrad2.jpg
DVD / Livre
De la naissance à la renaissance
DVD de la DGAC
STALINGRADSKAYA
Alfred DEIML de la 3./KG 55, avec le He111 G1 +
CR , dit, lui, que Gumrak était tombé le 21. Il ajoute
avoir effectué une rotation entre Novotcherkassk
(7h25) et Stalingradsky (9h20) le 23 01 1943. Il a vu
de nombreux blessés, il a livré du pain, des
munitions et a même donné de l’essence de ses
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http://www.anciens-aerodromes.com
Documentaire d’une durée de 20mn avec la
participation de Patrick Gandil, André Turcat,
Gérard David et Gérard Feldzer.
L’histoire de l’hydraviation en France, de ses débuts
jusqu'à ses projets d’avenir.
Nous contacter pour en obtenir un exemplaire.
Emprunt disponible auprès de notre association.
L’aérodrome du mois
Rubrique ouverte à tous afin d’y présenter un
aérodrome en service ou abandonné.
Aérodrome de Peleliu
15 sept – 25 nov 1944
Notre association est-elle uniquement ‘’nationale’’
ou sommes nous en train de nous intéresser aux
aérodromes ‘’ européens’’ ?
L’étude de notre ami Jean Claude Carpentier sur
les terrains avancés de la poche de Stalingrad nous
ouvre de nouveaux horizons. Elargissons encore un
peu plus en présentant dans cette rubrique un
aérodrome situé bien loin de nos régions !
Il se trouve dans l’archipel des Palaus sur l’île de
Peleliu (NdR « Palau », de nos jours) dans le Sud Ouest
du Pacifique. Cet île fortifiée par les Japonais
durant la seconde guerre mondiale disposait d’un
petit aérodrome et d’un fantastique réseau de
défense.
Du 15 septembre au 25 novembre 1944, les
Marines vont y réaliser un débarquement et inscrire
le nom de cette île dans l’histoire de la bataille du
Pacifique. L’opération Stalemate II allait durer 2
mois et demi et coûter la vie à 2336 marines et
10695 japonais.
Une action jugée inutile car le terrain ne sera pas
remis en service par les Américains. Il reste
toutefois beaucoup de vestiges que je vous invite à
découvrir via Google Earth.
(indiquer ‘’ Peleliu Airport ‘’ dans le champ de
recherche.)
Chaque petit carré vous donnera une vue de l’île
avec très souvent … une petite surprise.
Laurent Bailleul
Sources :
- http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Peleliu
- Magazine 39/45 n°286 février 2011
Liens web à consulter - Revues
1
Des "rushes" de films tournés par le génie
de l'US Army lors des travaux de remise en
état de Villacoublay.
Fin de l'été ou automne 1944 ? (vidéo en deux
parties)
http://www.youtube.com/watch?v=sFKcOXgWj2A
http://www.youtube.com/watch?v=uE5vCIriP_E&fea
ture=related
1
Siteweb du « fnar.be » de Jean-Pierre
Decock sur les avions construits en
Belgique.
http://www.fnar.be/avionsjpdecocq/AvionsJPDecocq
.htm
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Nouvelle fiche le Lacab T7
Agenda
Meetings, conférences et expositions
26-27 mars 2011 Carrefour de l’Air Musée de
l’Air et de l’Espace du Bourget
1
Romilly sur Seine
http://www.romilly-
aviation.fr
Histoire de cet aérodrome.
1
Thèse sur HISTOIRE AÉROSPATIALE
DES ALPES MARITIMES ET DE MONACO
en préparation
1
RAF durant la Bataille de France 19391940
http://www.fct.abes.fr/FCTAPP/visualiserpub.do?code_these=J0024438
http://ww2total.com/WW2/History/Orders-ofBattle/Great-Britain/Squadrons-RAF-May-1940.htm
Présence d’un stand Anciens Aérodromes. Avec
Jean Michel Borde, Nicolas Grebert, ….
9ème édition de ‘’20000 lieues dans les airs’’
8-9 et 10 avril 2011 sur l’aérodrome d’Amiens-Glisy.
Le 15 mai 2011, Meeting à Cambrai-Niergnies à
l’issue du « Tiger meet » sur la BA de CambraiEpinoy. Préparation de cette rencontre. Nous en
rediscuterons sous cette rubrique.
Courant novembre 2011 (date à déterminer)
Conférence sur l’aérodrome de Saran ( dept 45,
Loiret) organisée par le Groupe d’Histoire Locale de
saran (membre 2A).
Sorties de terrains
http://www.militaryart.com/mall/more.php?ProdID=7180
Voici plusieurs sorties prévues pour ce premier
semestre 2011 :
http://www.ejectionhistory.org.uk/Bailouts/bailout_1940-01.htm
Le Samedi 16 avril 2011 :
Sortie en Belgique, Visite du Musée de nos amis
belges (l’amicale des Forces Alliées à Malèves
Sainte-Marie). Puis visite du musée de Chièvres
l’après-midi.
Contacter Nicolas Grebert pour votre présence.
Le Samedi 21 mai 2011 :
Visite du terrain du Desvres, rendez vous à 09H30
sur la place de Desvres.
Contacter Nicolas Grebert pour votre présence.
Une autre visite en projet (date à définir):
Visite du dernier hangar datant de la Luftwaffe,
utilisé aujourd’hui par le club de planeur.
Contacter Laurent Bailleul pour votre présence.
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Rédaction
Bulletin mensuel de l’association Anciens
Aérodromes. Rédigé avec la participation de nos
membres. Destiné aux membres de l’association
mais également aux abonnés. Inscription possible
sur notre liste d’envoi après simple demande.
Comité de rédaction : Laurent Bailleul, François
Paquet, Alain Graton, Jean Valéry Masset, Jean
Claude Carpentier.
Version anglaise : Robert Copson
Les articles et photos sont propriété de l’association
ou des auteurs ayant accepté une publication.
Toute reproduction même partielle est possible
après demande écrite et accord des auteurs.
Lettre disponible en consultation sur le site :
http://www.anciens-aerodromes.com
Comité de rédaction 2A – mars 2011
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