A la découverte des POUILLES

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A la découverte des POUILLES
A la découverte des POUILLES
Séjour de 8 jours / 7 nuits
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Programme 8 jours / 7 nuits
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A la découverte des POUILLES
JOUR 1 : Dimanche 07 Septembre 2014 Aéroport de Mulhouse  Brindisi
Transfert en autocar de votre lieu de rendez-vous vers l’aéroport de Bâle Mulhouse
Départ à 16h45 sur vol Easy Jet direction de l’Italie – Arrivée à Brindisi à 18h40
Accueil par notre accompagnateur francophone qui restera à disposition pour tout le séjour.
Prise en charge par notre autocar qui restera à disposition pendant le séjour pour les transferts et
les excursions prévus au programme.
Diner et logement à Brindisi ou alentours.
JOUR 2 : Lundi 08 Septembre 2014 – Ostuni - Molfetta
Petit déjeuner à l'hôtel.
Départ pour la visite libre et découverte de Ostuni, bourg médiéval qui semble avoir été sculpté
dans un bloc de craie. Elle se trouve perché sur 3 collines à une hauteur de 218 mètres. Elle est à 8
km de la côte de l'Adriatique dans l'Altosalento.
La ville se situe sur les ramifications méridionales de la Murgia. Cette zone est essentiellement
constituée de calcaires argileux, donc plutôt aride et dépourvue de cours d'eau. On y trouve des
torrents saisonniers avec des sillons peu profonds et des murs raides.
D'origine messapienne, un peuple de l'Antiquité ancienne, Ostuni fut un diocèse byzantin au Xe
siècle. La ville a gardé de belles parties de ses murailles construites pas les Angevins et renforcées
par les Aragonais.
Déjeuner au restaurant.
Continuation et visite libre de Molfetta connue pour son port de pêche et son marché aux poissons,
elle a conservé son joli centre médiéval autour de la pittoresque cathédrale San Corrado qui est un
bel exemple d'architecture romano-apulienne. La ville était un port pour les pèlerins et les croisés à
destination de la Terre Sainte.
Molfetta : petite ville côtière, Molfetta a été, dans le passé, un important centre portuaire et
industriel de la côte adriatique. Son territoire jouxte à l’est celui de Giovinazzo, à l’ouest celui de
Bisceglie, au sud celui de Terlizzi et est peuplé depuis l’époque préhistorique. Le centre médiéval de
la ville, construit sur une petite péninsule entre le port et la mer, présente un plan typique en arêtes
de poisson avec des rues étroites et non rectilignes. Molfetta fait face à la mer Adriatique et est
entourée par un territoire à prédominance agricole, au moins jusqu’à la fin du 20ème siècle avant que
la nouvelle zone industrielle ne vienne changer la situation. La campagne, en effet, surtout plantée
d’oliviers souvent accompagnés d’amandiers, avec de rares parcelles de vignes, est en train de se
transformer lentement. Depuis quelques décennies, la floriculture et les cultures maraîchères sous
serre ont commencé à se développer tandis que de vastes zones côtières, spécialement vers
Bisceglie, dédiées aux jardins depuis plus d'un siècle, sont en train de se transformer
inexorablement sous l’énorme pression que l’immobilier fait peser sur la région. Les revenus de la
population proviennent, en dehors de l’activité agricole (en baisse actuellement), du secteur
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maritime et industriel et aussi de la construction immobilière : une zone industrielle se développe à
quelques kilomètres de la ville en direction de Bisceglie et propose des activités dans le secteur de
l’habillement, des chaussures, de la mécanique, de l’alimentation, des produits laitiers. La fête
patronale de la Madonna dei Martiri est très populaire à Molfetta. Elle a lieu le 8 septembre. À cette
fête s’ajoutent la fête de la Mer et les traditionnelles processions pascales. Malheureusement
Molfetta doit faire face à trois problèmes majeurs qui freinent son développement et son expansion.
Le premier, c’est l’absence de logements : en effet, durant ces dernières années, la population s’est
réduite de 10 % suite au déplacement de nombreuses familles, parties dans les villes voisines pour
s’y fixer. Un autre problème est le manque d’emplois : de nombreux jeunes sont contraints à
émigrer dans le nord de l’Italie pour trouver du travail dans le bâtiment ou l’industrie. Enfin, la
dangereuse fuite des cerveaux : beaucoup de diplômés, de chercheurs et de médecins contraints à
émigrer en Europe du Nord ou aux États-Unis, leur propre ville ne leur permettant pas de satisfaire
leurs attentes professionnelles -En fin de journée Installation dans votre hôtel - Dîner - Logement.
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JOUR 3 : Le 09 Septembre 2014 - Trani - Castel del Monte
Petit déjeuner - Départ en autocar avec votre pour la découverte de Trani, célèbre station
balnéaire : Trani continue d'honorer les Templiers lors d'une nuit de célébration organisée chaque
printemps. Au Moyen Age, l'Ordre du Temple fit de cette ville portuaire, à 42 kilomètres de Bari, une
base d'où acheminer ses ressources vers la Terre sainte. De sa présence subsiste en particulier
l'église d'Ognissanti, où est organisé l'hommage annuel. Bâti par les Templiers dans la première
moitié du 12ème siècle, ce joyau de la côte adriatique est constitué de 3 nefs séparées par une
colonnade sans transept. L'arrivée des Angevins (1269) coïncida pour Trani avec le début d'une
période de décadence qui ne prit fin qu'après la montée des Aragonais sur le trône de Naples
(1442).
Déjeuner dans une Masseria, typique ferme auberge à base de spécialités locales
Continuation et visite libre de Castel Del Monte, où se trouve le château qui est le monument le plus
célèbre de l'Empereur Frédéric II de Souabe.Visite guidée de cette construction qui remonte au XIII
siècle et synthétise de manière admirable toutes les influences de style et de culture de l'entourage
artistique de l'Empereur. Le château est de forme octogonale, avec huit tours, octogonales elles
aussi, placées aux angles.
Entrée au château de Frederic II à Castel del Monte incluse. (gratuit pour les plus de 65 ans et les
moins de 18 ans).
le Castel del Monte est un château du 13ème siècle
construit par l'empereur du Saint Empire, Frédéric II
de Hohenstaufen, situé dans le hameau du même
nom faisant partie de la commune d'Andria. L'édifice
est inscrit à l'inventaire des monuments nationaux
italiens depuis 1936, et sur la liste du patrimoine
mondial de l'Unesco depuis 1996. Il se dresse au
sommet d'une colline qui domine la chaîne des
Murges occidentales, à 540 m au-dessus du niveau
de la mer. Dépourvu de pont-levis et de douves, il
se peut qu'il n'ait jamais eu de rôle défensif. La
naissance officielle de l'édifice intervient le 25
janvier 1240, lorsque Frédéric II ordonne que soient
prévus tous les matériaux nécessaires à l'édification
d'un château près de l'église de Santa Maria de
Monte (aujourd'hui disparue). Cette donnée,
toutefois, n'est pas acceptée de tous les spécialistes : selon certains, en effet, la construction du
château à cette époque était déjà au stade de la couverture. L'attribution des plans à un architecte
en particulier est même incertaine. Certains y voient l'œuvre de Riccardo de Lentini, tandis que la
plupart des historiens soutiennent que la construction a été imaginée par Frédéric II lui-même.
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Il semble que le château fut édifié sur les ruines d'une précédente forteresse d'abord lombarde puis
normande. Il est probable qu'à la mort de Frédéric II, survenue en 1250, l'édifice n'était pas encore
terminé. Il ne servit que rarement à des fêtes, parmi lesquelles il faut noter, en 1246, les noces de
la princesse Violante di Svevia, fille naturelle de Frédéric et Bianca Lancia avec le conte de Caserte
Riccardo Sanseverino. À partir du 17ème siècle, l'édifice connut de longues périodes d'abandon,
pendant lesquelles il se vit dépouillé de ses décorations et de ses ornements muraux en marbre
(dont les seules traces subsistantes sont derrière les chapiteaux) et devint tour à tour une prison,
puis un refuge pour les bergers, les brigands et les réfugiés politiques. En 1876, le château fut enfin
acquis (pour la somme de 25 000 £) par l'État italien, dans un état de préservation extrêmement
précaire, et les restaurations ne commencèrent qu'en 1928. En 1936 il fut déclaré monument
national. En 1996, l'UNESCO l'inscrit sur sa liste du patrimoine mondial de l'humanité pour la
perfection de ses formes et pour l'union harmonieuse d'éléments culturels de l'Europe du Nord, du
monde islamique et de l'antiquité classique, exemple typique d'architecture militaire du Moyen Âge.
L'édifice a un plan octogonal, avec à chacun des 8 angles de l'octogone une tour elle-même
octogonale. Bien qu'il soit communément appelé castel (château), la fonction exacte de cet
impressionnant édifice est encore inconnue. Privé d'éléments architecturaux typiquement requis
dans l'architecture militaire, posté sur une position non stratégique, cet édifice n'a probablement
jamais été conçu pour être une forteresse. Plusieurs éléments de la construction, de plus, font
rejeter fermement cette hypothèse : par exemple, les escaliers en colimaçon dans les tourelles
montent en sens inverse des aiguilles d'une montre, à la différence de toutes les autres
constructions défensives de l'époque, situation qui désavantage les occupants du château vis-à-vis
d'éventuels assaillants, parce qu'ils auraient été obligés de tenir leur arme de la main gauche. Les
meurtrières, en outre, sont trop étroites pour envisager de les utiliser pour tirer des flèches. Même
l'hypothèse qu'il s'agissait d'une résidence de chasse, activité que le souverain affectionnait, est
remise en doute par la présence d'ornements élaborés et l'absence d'écuries et d'autres annexes
typiques des résidences de chasse. À cause du fort symbolisme dont le lieu est imprégné, il a été
suggéré que le bâtiment pourrait être une sorte de lieu de culte, ou peut-être une sorte de « temple
du savoir », où l'on puisse se consacrer à la science sans être dérangé. Dans tous les cas, il se
présente comme une œuvre architecturale grandiose, synthèse de connaissances raffinées en
mathématique et en astronomie. Le bâtiment, en plus d'être un exemple de construction précise, est
également un bâtiment plein de symbolisme, qui a passionné de nombreux chercheurs. L'octogone,
sur lequel se fonde le plan de l'ensemble et de ses composantes, est une forme géométrique
hautement symbolique : c'est la figure géométrique intermédiaire entre le carré, symbole de la
terre, et le cercle, qui représente l'infinité du ciel, et marque le passage de l'un à l'autre. Le choix de
l'octogone pourrait provenir du Dôme du Rocher à Jérusalem, que Frédéric II avait pu voir au cours
de la 6ème croisade, ou de la Chapelle Palatine à Aix-la-Chapelle. L'ensemble du bâtiment est plein de
symboles astrologiques forts, et sa position est conçue de telle sorte que le jour des équinoxes et
des solstices, les ombres portées par les murs aient un sens particulier. À midi de l'équinoxe
d'automne, par exemple, l'ombre des murs atteint très exactement la longueur de la cour intérieure,
et un mois exactement après, elle couvre la totalité de la longueur des pièces. Deux fois par an (le 8
avril et le 8 octobre, qui était à l'époque compté comme le 8ème mois de l'année), un rayon de soleil
pénètre par la fenêtre dans le mur sud-est et, en traversant la fenêtre de la cour intérieure, éclaire
une partie du mur avant, où est sculpté un bas-relief. Les deux colonnes qui encadrent le portail
d'entrée sont surmontées chacune d'un lion accroupi. Celui de droite regarde à gauche, et viceversa ; leur regard est tourné vers le point de l'horizon où le soleil se lève lors du solstice d'été, pour
celui de gauche, et lors du solstice d'hiver, pour celui de droite. On peut remarquer une autre
particularité de l'édifice : les 5 réservoirs d'eau présents dans les tours sont connectés, idéalement,
aux 5 cheminées intérieures. Certains ont mis en relation cette configuration avec les paroles de
l'Évangile selon Luc : « Moi, je vous baptise avec
l'eau; (...) lui, il vous baptisera dans l'Esprit-Saint et
le feu. », accréditant ainsi l'idée que le bâtiment a été
utilisé comme une sorte de temple. Il a été noté que
la construction, vue de loin, ressemble à une
couronne, et en particulier, à celle, également
octogonale, dont Frédéric II était couronné lui-même.
Les hautes murailles de la cour intérieure évoquent
l'idée d'être à l'intérieur d'un puits, ce qui dans la
symbolique médiévale représente la connaissance.
Retour à l’hôtel à Bisceglie ou alentours.- Dîner
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JOUR 4 : Mercredi le 10 Septembre 2014 -Monte Sant’Angelo - Manfredonia
Petit déjeuner - Départ en autocar avec votre guide en direction de Monte Sant’Angelo et du
promontoire du Gargano - Visite guidée de Monte Sant’Angelo : située à environ 800 m
d’altitude sur la côte est du Massif du Gargano, elle domine la plaine de Foggia. Ville importante du
point de vue religieux, elle s'est bâtie autour du sanctuaire de l'archange Michel qui lui donne son
nom. Monte Sant'Angelo est une ville créée au 11ème siècle. En 1042, elle devient le chef-lieu d'un
comté dirigé par le Normand Radulf fils d'Éven. De 1081 à 1103, elle devient, sous la direction du
baron italo-normand Heinricus, la capitale des possessions des Normands sur l'éperon de l'Italie que
constitue le Gargano. Selon la tradition, l'archange Michel serait apparu à l'évêque Lorenzo Maiorano
le 8 mai 490 lui ordonnant de construire un lieu de culte chrétien dans une grotte sous la ville, afin
de chasser les croyances païennes en cours. L'archange lui serait réapparu en 492 et 493. Le village
se développera autour du lieu de culte. Monte Sant'Angelo devient par la suite le point d'arrivée des
pèlerinages en partance du Mont Saint-Michel en France et traversant l'Europe par la via Sacra
Langobardorum. Au 17ème siècle la ville fait partie du Royaume de Naples avant d'intégrer l'Italie
unifiée au 19ème siècle. L'économie, longtemps basée sur la culture en terrasse des collines
environnantes et l'élevage, est maintenant largement tournée vers le tourisme généré par l'attrait
du sanctuaire - Visite guidée du sanctuaire de Saint Michel et des cryptes : le 8 mai 490,
l'Archange Saint Michel est apparu à un homme, dans une grotte du monte Gargano, promontoire
rocheux dominant l'Adriatique. Une source a jaillie lors du passage de l'ange, et bien vite, de
nombreuses personnes se sont rendues dans la grotte pour prier saint Michel. L'évêque de Siponto a
consacré ce lieu qui est devenu dès lors un lieu de dévotion et de pèlerinage. Cette région traversée
par l'antique voie Appia, un des grands itinéraires vers la Terre Sainte, était occupée par les
Byzantins. Au milieu du 7ème siècle, les Lombards devinrent maîtres de la région et firent de
l'archange leur protecteur et de sa grotte un sanctuaire national. Ils encouragèrent les pèlerinages
en organisant des lieux d'accueil pour les pèlerins tout le long de la route. Monte Sant'Angelo fut
visité par une foule venue de toute l'Europe (Francs, Germains, Saxons, Scandinaves, …), parmi elle
on compte de nombreux croisés, venus du nord, faisant escale à la grotte avant de poursuivre vers
Jérusalem, soit à pied, soit en bateau. On peut voir encore les graffiti qu'ils ont laissés. De grands
saints y ont prié : François d'Assise. Des rois, des reines, des papes y sont passé... Monte
Sant'Angelo est devenu le modèle architectural d'un grand nombre de sanctuaires dont le MontSaint-Michel en Normandie, ou la Sacra San Michele, près de Turin. Aujourd'hui encore la grotte
attire de nombreux pèlerins et constitue un très important centre de culte michaëlique –
Déjeuner au restaurant.
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Continuation vers Manfredonia et visite libre. Après la destruction de l'antique Siponto, le roi Manfred de
Souabe, fils de Frédéric II, rebâtit une ville à proximité et lui donna son nom. Vous y verrez notamment
l'imposant château de Manfredonia, dont les origines remontent au roi Manfred et aux Angevins.
Entrée au Château Souabe à Manfredonia, gratuit pour les plus de 65 ans et les moins de 18 ans.
Manfredonia : la région de Manfredonia actuelle, a été habitée dès l'antiquité par les Grecs, et
fondée par Diomède. La colonie florissante est tombée aux mains des Samnites, a été reprise vers
335 avant JC par le roi Alexandre Ier d'Épire, oncle d'Alexandre le Grand. En 189 avant JC, Sipontum
a été conquise par les Romains et devint une colonie de citoyens. Elle était un port à la jonction de
la route qui suivait la côte adriatique avec la Via Appia. En l'an 663, elle fut prise et détruite par les
Slaves. Au 9ème siècle, Sipontum fut pour un temps aux mains des Sarrasins. En 1042, les Normands
en firent le siège d'un de leurs 12 comtés, tandis que le Monte Gargano restait byzantin. Les
Normands, y remportèrent une victoire décisive sur le général byzantin Argyrus en 1052. Siponto
était un archevêché dans le Comté d'Apulie. Devenue insalubre en raison de la stagnation de l'eau
dans les lagunes, Siponto a été abandonnée après le tremblement de terre de 1223. La ville
moderne de Manfredonia a été construite par le roi Manfred I er de Sicile entre 1256 et 1263, à
quelques kilomètres au nord des ruines de l'ancienne Sipontum. Les Angevins, qui avait battu
Manfred et lui ôtèrent le royaume de Sicile, ont baptisé la ville Sypontum Novellum, mais ce nom ne
s'est jamais imposé. En 1528, Manfredonia a résisté à une attaque française menée par le vicomte
de Lautrec. En 1620, elle fut détruite par les Turcs, qui n'ont laissé que le château et une partie des
murs - Visite guidée du Château Souabe : le château médiéval, commencé par les Hohenstaufen
et complété par les Angevins, et des parties de murs de la ville sont toujours bien conservés. Le
château a reçu une nouvelle ligne de remparts au 15ème siècle - Retour en fin de journée vers votre
hôtel - Dîner - Logement.
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JOUR 5 : Jeudi le 11 Septembre 2014
Petit déjeuner à l'hôtel.
Visite guidée en demi-journée de Bari et sa vieille ville, construite dans un petit promontoire de
calcaire qui s'allonge dans l'Adriatique: un parcours suggestif avec une belle vue sur le Vieux Port, la
Basilique de San Nicola, chef d'oeuvre de l'art Romane dans les Pouilles.
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Départ vers Alberobello
Déjeuner dans une typique "masseria" à base de spécialités du terroir
Visite guidée de Alberobello, capitale des "Trulli", curieuses maisons d'origine rurale construites
grâce à un système technique audacieux, avec un plan centrale avec des murs en pierre sèche sur
lesquels repose une petite coupole en forme de cone. Le centre historique a été déclaré monument
national et inscrit à la liste du patrimoine mondiale de l'Unesco. Les quartiers entièrement composés
de Trulli qui s'ouvrent sur des ruelles tortueuses grimpant sur les collines forment un panorama
magique.
Entrée au Trullo Sovrano à Alberobello incluse.
Alberobello, la capitale des Trulli : Alberobello possède la particularité d'avoir des trulli, c'est-àdire des maisons faites de pierres sèches (sans mortier) et au toit en forme de cône couvert de
lauses calcaires plates ramassées dans les champs voisins ou extraites lors du creusement des
citernes afférentes à chaque nouveau trullo. Elles sont appelées des trulli (au singulier trullo) en
italien mais casedde (au singulier casedda) en dialecte local. On en compte environ 1 500 dans les
quartiers Monti et Aia Piccola, tous deux classés au patrimoine mondial de l'UNESCO. Elles font la
renommée de ce centre urbain unique au monde. L'histoire d'Alberobello remonte à la seconde
moitié du 16ème siècle. Ce petit fief alors sous le contrôle de la famille Acquaviva, comtes de
Conversano, vit arriver des paysans qui cultivèrent la terre. Selon la légende, les comtes permirent
aux colons de construire des habitations en pierres sèches (sans mortier) afin de les démonter
facilement en cas d'inspection royale. En effet, Ferdinand 1er d'Aragon exigeait le paiement d'une
taxe en cas d'édification d'habitations fixes. En 1797, un groupe d'hommes courageux d'Alberobello,
lassés de cette situation précaire, se rendirent à Taranto pour demander l'aide du roi Ferdinand IV
des Bourbons qui les reçut et leur fit une promesse. Le 27 mai 1797, le roi envoya un décret
affranchissant le village.
Visite guidée du trullo Sovrano qui est le plus grand trullo d’Alborello : il est à 2 étages et ne
comporte pas moins de 12 cônes … les quelques meubles qu’il conserve permettent d’imaginer
l’affectation des différentes pièces. Le trullo se trouve principalement en zone rurale.
Poursuite vers Martina Franca et installation à votre hôtel – dîner et nuit à Martina Franca.
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JOUR 6 : Vendredi le 12 Septembre 2014 Martina -Taronto
Petit déjeuner à l'hôtel.
Visite libre de Martina Franca, ville célèbre pour son centre
historique où l'on respire l'esprit des styles Baroque et Rococo :
façades blanches, volutes en pierres blondes des entrées
seigneuriales, etc.
Déjeuner au restaurant.
Visite guidée en demi journée de Taranto ; promenade à pied dans la vieille ville, au bord de la mer
Ionienne. Elle fut une puissant colonie de la Grande Grèce et elle garde des témoignages de cet
illustre passé. Découverte de la ville avec le château caractéristique fondé par Ferdinand d'Aragon à
la fin du XVème siècle (extérieur), la rue del Duomo et ses ruelles tortueuses, la Duomo roman
(actuellement en travaux), l'église Saint Dominique et son cloître….
Continuation de la visite avec le Musée Archéologique de Taranto.
Entrée au museé archeologique National de Taranto incluse (gratuit + de 65 ans).
Retour à l’hôtel dîner et NuitMartina Franca.
Taranto : Tarente est un port du sud de l'Italie construit sur le golfe de Tarente. La vieille ville, la
città Vecchia, ou encore Borgo Antico, héritière de la colonie spartiate qui fut dans l'Antiquité l’une
des cités les plus riches de la Grande Grèce, a été établie sur une île rectangulaire qui commande le
chenal d'accès à la rade, appelée Mare Piccolo. Un pont tournant métallique à deux volées, appelé
Ponte Girevole, inauguré en 1887, livre passage à la navigation entre le golfe de Tarente et la rade.
Ce pont est très semblable à l'ancien pont tournant nommé pont National (1861) de Brest, ville avec
laquelle Tarente se trouve jumelée. La ville est fondée par les Parthénies, des exilés spartiates, en
706 avant JC menés par Phalantos choisi par l'oracle de Delphes. Néanmoins, il est assez probable
qu'à Tarente une colonie grecque mycénienne ait été fondée dès la fin du 15ème siècle avant JC. Le
site est avantageux, et ce pour deux raisons : sa position stratégique sur la mer avec un port
naturel déjà réputé depuis une Antiquité plus lointaine et sa position dominante sur les plaines de
l'arrière-pays. Par contre, celui-ci est peuplé par des communautés denses et hostiles, empêchant
l'extension du domaine agricole. Des luttes incessantes l’opposent aux populations d’Apulie. Tarente
atteint son apogée au 4ème siècle avant JC et exerce alors une véritable hégémonie sur la Grande
Grèce, aussi bien sur le plan politique, qu'économique et culturel. Sa situation maritime favorable
contribue à faire de la cité un centre important de commerce maritime et de pêche. En 212 avant
JC, Tarente passe sous l’autorité d’Hannibal, ce qui lui vaut, une fois reprise, d’être mise à sac par
les troupes de Fabius Cunctator. Les Romains en font la conquête définitive en 209 avant JC, mais la
paix avec la ville n'est faite qu'à partir de 123 avant JC. Après la conquête romaine, son importance
décroît, les Romains lui préférant Brindisi. Suites aux guerres avec les Goths, l'Empire byzantin la
reconquiert en 540. Elle est successivement conquise en 661 par les Lombards, les Sarrasins, et
enfin par le normand Robert Guiscard, en 1063. Plus tard, elle partage le sort du royaume de
Naples. De 1806 à 1815, Tarente, dont les travaux de fortifications ont été confiés au général Soult,
est une base navale française très importante dans la guerre contre les Anglais et les Russes. Le
titre de duc de Tarente est donné par Napoléon au maréchal Macdonald (1765-1840). En 1940, lors
de la Seconde Guerre mondiale, la flotte de la Regia Marina italienne, mouillée dans le port de
Taranto, subit de grosses pertes suite à un bombardement massif de la flotte aérienne de la Royal
Navy britannique (Bataille de Tarente (1940)).
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JOUR 7 : Samedi 13 Septembre 2014 Matera
Petit déjeuner à l'hôtel
Départ vers Matera.
Visite guidée en demi journée de Matera; à partir de 1993 est insérée dans la liste du Patrimoine
mondial de l’Unesco. Elle est bâtie aux pieds des montagnes et ses maisons sont creusées dans le
tufo (tuffeau), roche calcaire, blanche, de porosité élevée et donc facile à travailler. Ces
témoignages de grottes-habitations sont appellées les Sassi et résultent à première vue d’un
labyrinthe de grottes, maisons, caves et ruelles qui se perdent les unes dans les autres.
Entrée à la maison-grotte Sasso Caveoso à Matera incluse.
Déjeuner au restaurant.
Continuation de la visite guidée avec les églises rupestres.
Entrée à 3 églises rupestres à Matera incluses.
Retour à l’hôtel dîner et Nuit Martina Franca.
Matera qui est célèbre pour ses habitats troglodytiques, les « Sassi di Matera », classés sur la liste
du Patrimoine mondial de l'humanité établie par l'Unesco. La Gravina a creusé le calcaire du plateau
des Murge, où s'étale Matera. De nombreuses grottes naturelles ont ainsi été creusées et ont servi
de refuge aux hommes depuis le paléolithique ; ce serait l'un des plus anciens sites préhistoriques.
Grecs et Romains ont à leur tour occupé les lieux, à la croisée des routes commerciales (Matera était
l'une des étapes de la Via Appia). Le calcaire ne permettant pas de retenir les eaux pluviales dans
une nappe phréatique, l'eau de pluie est recueilli dans des citernes. Au cours de l'histoire de
nombreuses grottes ont abrité des églises rupestres. Aux 7ème et 8ème siècles, les grottes devinrent
le refuge de moines byzantins, qui transformèrent leurs murs en chapelles. On peut ainsi y admirer
des fresques à forte influence byzantine. Pendant la domination normande, la ville connaît une
période de prospérité, on y construit le château et les remparts. La population s'accroit, elle est
contrainte d'occuper les grottes situées en dehors de la protection des remparts. Elle occupe alors
deux amphithéâtres naturels, le Sasso Caveoso et le Sasso Barisano. Jusqu'au 16ème siècle, la vie
s'organise avec et autour du relief. Pendant la période d'occupation espagnole, la ville ne possède
plus le même rayonnement. Les priorités artistiques de l'époque dénigrent les Sassi, qui deviennent
méprisés et abritent une population de plus en plus démunie et qui occupe les lieux par défaut. La
pièce principale sur le devant était occupée par la famille et les animaux domestiques étaient rentrés
le soir dans la pièce du fond. La natalité était élevée dans ces quartiers : jusqu'à 6 enfants vivants,
et tout le monde s'entassait dans une seule pièce qui servait de salle à manger, de chambre à
coucher et d'atelier ; le bébé dormait souvent dans le dernier tiroir de la commode. Même au 20ème
siècle, ni l'eau courante, ni l'évacuation des eaux usées n'avaient été installées. C'est seulement en
1953 que le dernier habitant est parti, à la suite d'une décision politique, en raison des conditions de
salubrité précaires de ces quartiers. C'est la loi De Gasperi, qui, en 1952, imposa l'évacuation des
sassi et le relogement de leur population. À cette époque, 15 000 personnes vivent là dans des
conditions sanitaires inhumaines. Depuis, un énorme projet d'aménagement s'est mis en place,
confié aux meilleurs urbanistes du pays, pour créer de nouveaux quartiers, tout en essayant de
préserver la sociabilité particulière des sassi. Dans les parties récentes les façades des maisons sont
construites et certains toits servent de rues aux étages supérieurs - Visite guidée de la maisongrotte Sasso Caveoso qui vous permettra de mieux connaître cette habitation typique, en partie
creusée et construite et meublée et équipée comme autrefois -
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JOUR 8 : Dimanche 14 Septembre 2014 Lecce
Petit déjeuner à l'hotel.
Visite guidée en demi-journée de Lecce qui, avec sa pierre tendre et blonde, docile sous les
instruments des sculpteurs, est l'expression la plus réussie de l'art baroque aux Pouilles. La cité,
véritable joyau, offre au regard la belle homogénéité baroque de ses édifices et un raffinement
quasi-aristocratique. Vous visiterez la Piazza San Oronzo, l'amphithéâtre, le Castello, la basilique de
Santa Croce qui est sans doute le monument le plus fameux de Lecce, le Palazzo del Governo, la
Piazza del Duomo, la cathédrale, ... (extérieurs)
Déjeuner au restaurant.
Après-midi libre à Lecce pour des visites personnelles ou pour du shopping
Départ en direction de l'aéroport de Brindisi pour le décollage à 19h15
Arrivée à l’aéroport de Bâme Mulhouset – Transfert en autocar vers votre point de départ
Fin de nos prestations.
Lecce : ville importante du sud-est des Pouilles, située au centre du Salento (la péninsule qui forme
le « talon » de la « botte » italienne), Lecce a été, pendant des siècles, un centre culturel, religieux
et commercial prospère et l'une des villes les plus peuplées du Royaume de Naples. Aujourd'hui, elle
reste active dans les secteurs de l'industrie agricole, des services et de la céramique. Elle est le
siège d'un archevêché, de l'université du Salento et est un haut-lieu touristique et artistique.
Réputée pour son patrimoine artistique particulièrement bien conservé, la ville est considérée
comme l'une des capitales de l'architecture baroque de par l'originalité et la richesse du style
architectural qui y a été développé à partir de la fin du 16ème siècle, rendu possible par la
malléabilité exceptionnelle de la pierre calcaire locale, appelée « Pierre de Lecce ». À cet égard, l'on
parle même d'un « barocco leccese », un « baroque de Lecce », qui possède des caractéristiques et
un vocabulaire architectural qui lui sont propres. Lecce a, pour ces raisons, reçu des surnoms
flatteurs tels que la « Florence baroque », la « Florence du Sud » ou encore l'« Athènes des
Pouilles » et est considérée comme l'un des fleurons de l'Italie méridionale. De fondation grecque,
elle fut autrefois surnommée l' « Athènes des Pouilles », Lecce a dû faire face, au cours de sa longue
histoire, à un certain nombre d'invasions. La fondation de la ville de Lecce remonterait au moins au
4ème siècle avant JC. Mais selon la légende, Lecce existait déjà avant la Guerre de Troie et portait
alors le nom de Sybar. Entre 269 et 267 avant JC, les Romains, qui étendent leur domination vers le
sud de la péninsule italienne, font la conquête du Salento et de la ville, qu'ils baptisent alors Lupiae.
Beaucoup plus tard, la ville n'échappe pas à diverses invasions, pillages et destructions : les
Ostrogoths du roi Totila s'en emparent. Reprise par les Byzantins, elle est atteinte par des
Lombards, puis par des bandes de pillards slaves et magyares. La ville n'échappe pas non plus aux
pirates sarrasins qui menacent la ville depuis la fin du 9ème siècle. Entre 1055 et 1069, les Byzantins
doivent lutter contre des Normands, de plus en plus pressants et cherchant à étendre leur
domination sur tout le sud de l'Italie. Lecce tombe aux mains de ces derniers et devient un comté
appartenant à un membre de la famille Hauteville. La ville est ensuite le fief du roi Tancrède de
Sicile (avant 1180), qui a hérité du comté par sa mère Emma de Lecce, fille du comte Achard II de
Lecce. La dynastie normande règne sur le comté jusqu'en 1210. Lecce passe ensuite aux mains de
la maison de Souabe, à partir du règne de Frédéric II du Saint-Empire, puis à celles de la maison
d'Anjou. En 1463 Lecce est rattachée au royaume de Naples sous le règne du roi Ferdinand Ier de
Naples. Celui-ci accorde des privilèges favorisant le développement de la ville, qui devient alors un
centre commercial d'importance majeure dans le sud-est de l'Italie. Les 15ème et 16ème siècles voient
de nombreuses incursions dévastatrices des Ottomans survenir dans le Salento et donc à Lecce. Ceci
force le roi Charles Quint à entamer la construction d'un château encore existant (appelé d'ailleurs
château Charles Quint) et d'une nouvelle enceinte défensive qui comprend l'imposante Porta Napoli
encore existante de nos jours. La victoire de la ligue chrétienne à la bataille de Lépante en 1571 met
définitivement fin à la menace des incursions turques sur les côtes du Salento et à partir de la fin du
16ème siècle commence pour Lecce une période de prospérité et de croissance qui correspond à
l'essor du style baroque dans la ville. Au 17ème et 18ème siècle presque tous les édifices de la cité
sont reconstruits dans le style baroque particulier développé dans la ville par les architectes Gabriele
Riccardi, Giuseppe Cino, Cesare Penna et surtout Giuseppe Zimbalo, auteur du Duomo et la basilique
Santa Croce, qui peuvent exprimer toute leur verve créatrice dans la réalisation de décors sculptés
grâce à la malléabilité remarquable de la pierre locale, la pierre de Lecce (pietra leccese). Sous la
domination espagnole, Lecce se transforme donc en véritable chantier à ciel ouvert et de
nombreuses nouvelles églises, palais et couvents voient le jour alors que la ville s'agrandit.
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Cependant Lecce ne traverse pas cette époque sans connaître quelques malheurs. En 1656
notamment, une terrible épidémie de peste ravage la ville. On a parlé à l'époque de plusieurs
milliers de victimes, soit une très grande partie de la population. Selon la légende, la fin de la peste
fut le fait d'un miracle de Saint Oronce qui, pour cet acte, fut nommé saint patron de Lecce, en lieu
et place de Sainte Irène. La colonne de Sant'Oronzo, qui se dresse encore aujourd'hui sur la place
homonyme, fut érigée par Giuseppe Zimbalo à la demande des autorités de la ville en signe de
reconnaissance pour le geste du saint et à la mémoire de la fin de la peste. En 1734, après une
brève période de domination autrichienne, le royaume de Naples revient à nouveau à la couronne
espagnole, avec cette fois les Bourbons à sa tête. Craignant le retour des espagnols, Lecce se
rebelle et la noblesse prend le pouvoir. Le 19ème siècle marque également, même si dans une moins
grande ampleur, une période d'effervescence artistique : la ville s'étend hors de ses murs, de
nouveaux quartiers sont bâtis. Ce sont surtout les villas aux styles architecturaux audacieux et
éclectiques (néoclassique, néo-moresque ou néogothique), construites par les riches familles de la
ville le long des nouveaux boulevards, qui retiennent aujourd'hui l'attention. Ce siècle marque
néanmoins un déclin de la position de Lecce comme centre culturel majeur du sud de l'Italie à cause
la dissolution des ordres religieux voulue par le régime napoléonien dans les années 1800. Lecce se
rallie à l'unité italienne en 1861 et son histoire suit alors celle du Royaume d'Italie. Elle traverse les
guerres mondiales sans trop de difficultés. Cependant le pouvoir fasciste mussolinien des années
1920-1930 entreprend de grands travaux, notamment sur la place Sant'Oronzo, qui mènent au
déblaiement de l'amphithéâtre romain mais aussi à la destruction de palais anciens et à la
construction d'édifices modernes dans le style fasciste sur cette place en plein cœur du centre
historique. Mais, à part cette dénaturation, le reste du noyau historique de Lecce est aujourd'hui
pratiquement intact, notamment grâce aux efforts importants de restaurations entrepris dans la ville
à partir des années 1970 et qui se poursuivent encore aujourd'hui contrairement à ce qui est fait
dans la plupart des autres grandes villes du sud de l'Italie où des quartiers anciens entiers sont
souvent laissés à un état de presque abandon - La visite vous permettra de découvrir la Piazza San
Oronzo, l'amphithéâtre, le Castello, la basilique de Santa Croce qui est sans doute le monument le
plus fameux de Lecce, le Palazzo del Governo, la Piazza del Duomo, la cathédrale, ... ( extérieurs) -
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Précisions :
 Certaines entrées aux musées sont gratuites pour les plus de 65 ans
 Selon la date du séjour, l’ordre des visites pourra être modifié selon les journées de fermeture de
certains sites
 En Italie, les chambres individuelles disposent en général d’un lit 1 personne. Si vous souhaitez
un lit plus grand, il faut prévoir une chambre double avec donc un supplément plus élevé.
Attention le nombre de chambre individuelle est limité
Les vols :
Date 2014 :
• compagnie : Easy Jet
- parcours ALLER : Mulhouse 16h45 / Brindisi 18h40
- parcours RETOUR : Brindisi 19h15 / Mulhouse 21h20
Du 07 au 14 Septembre
(sous réserve de disponibilité lors du versement d’acompte)
Prix par participants :
Base 10 à 14 personnes :
1 625 €
Base 15 à 19 personnes :
1 395 €
Base 20 personnes :
1 335 €
Base 25 personnes :
1 275 €
Base 30 personnes :
1 225 €
Ce prix comprend :
le vol Mulhouse / Brindisi / Mulhouse sur vol Easy Jet
les taxes aéroports
Préacheminement en bus jusqu’à l’aéroport de Mulhouse
7 nuits hôtel ***/* base chambre double
Boissons incluses = 1/2 d'eau + 1/4 de vin+ 1 café
3 Demi Pension En Hotel 3* A Bisceglie, Boissons Incluses
1 Demi Pension En Hotel 3* A Brindisi , Boissons Incluses
3 Demi Pension En Hotel 3* A Martina Franca, Boissons Incluses
1 Dejeuner A Lecce, Boissons Incluses
1 Dejeuner A Taranto, Boissons Incluses
1 Dejeuner A Matera, Boissons Incluses
1 Dejeuner A Ostuni, Boissons Incluses
1 Dejeuner A Monte Sant'Angelo, Boissons Incluses
1 Dejeuner A Alberobello, Boissons Incluses
1 Dejeuner A Castel Del Monte, Boissons Incluses
1 Entree A Castel Del Monte
1 Entree Aux " Chiese Rupestri" A Matera
1 Entree Au Sanctuaire De San Michele A Monte Sant'Angelo
1 Entree Au Chateau Souabe A Manfredonia
1 Entree Au Trullo Sovrano
1 Entree Dans La Maison Grotte A Matera
1 Entree Au Musee Archeologique De Taranto
1 Visite Guidee De Lecce Demi Journee En Français
1 Visite Guidee De Alberobello Demi Journee En Français
1 Visite Guidee De Monte Sant'Angelo Demi Journee En Français
1 Visite Guidee De Bari Demi Journee En Français
2 Visite Guidee De Taranto Demi Journee En Français
2 Visite Guidee De Matera Demi Journee En Français
1 Autocar A Disposition 8 Jours En Italie
l’assistance francophone de notre bureau italien
la garantie APST
Les assurances Multirisques
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Ce prix ne comprend pas :
le supplément chambre individuelle : 163 €
les prestations non mentionnées au programme
la hausse éventuelle du carburant et/ou des taxes aéroports
Le pourboire, la taxe de séjour, les entrées aux musées/monuments non mentionnées dans "le prix comprend",
les extra
Réduction pour les plus de 65 ans: € -10,50
cette réduction est appliquée par les musées d'Etat (Dans notre cas Castel del Monte, Château Souabe à
Manfredonia, musée archéologique de Taranto) . Merci de prendre bonne note que pour bénéficier de l'entrée
gratuite les clients devront avoir 65 ans accomplis et présenter une pièce d'identité au guichet du musée
concerné.
HOTELS TYPE:
Alentours de Brindisi : Hotel Nicotel Ostuni http://www.nicotelhotels.com/ostuni/index.html
Bisceglie : Hotel 4* nicotel Bisceglie http://www.nicotelhotels.com/bisceglie/index.html
Martina Franca : Hotel Villa Rosa www.ramahotels.it
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