bienvenu a londres venez voir le big ben l`une des plus grandes

Transcription

bienvenu a londres venez voir le big ben l`une des plus grandes
BIENVENU A LONDRES
VENEZ VOIR LE BIG BEN
L'UNE DES PLUS GRANDES HORLOGES AU MONDE
VENEZ VOIR SONT CELEBRE FLEUVE : LA TAMISE
AVEC SONT BATEAU DE CROISIERE VENEZ VISITEZ ALOR LA TAMISE
VENEZ VOIR AUSSI SA GRANDE ROUE
Le palais de Buckingham (Buckingham Palace) est la résidence officielle londonienne de la
monarchie britannique. Le palais est à la fois le lieu où se produisent les événements en relation
avec la famille royale, le point de chute de beaucoup de chefs d’État en visite, et une attraction
touristique importante. C’est le point de convergence du peuple britannique lors des moments de
joie, de crise et de peine. « Buckingham Palace », ou tout simplement « le Palais », désigne la
source des déclarations de presse émanant des bureaux royaux.
Au Moyen Âge, le site du palais de Buckingham formait une partie du manoir d’Ebury. Il y eut
plusieurs occupants royaux depuis Édouard le Confesseur, et a été l’objet de nombreuses
spéculations à propos de son propriétaire : une faille dans le bail de Charles Ier d’Angleterre permit
au terrain de revenir dans le giron royal au XVIIIe siècle. Les précurseurs de Buckingham Palace
furent Blake House, Goring House et Arlington House
Palais de Westminster
Le palais de Westminster (Palace of Westminster en anglais), également désigné sous le nom de
Chambres du Parlement (Houses of Parliament), est le lieu où siègent la Chambre des communes
et la Chambre des Lords du Royaume-Uni. Le palais borde la rive nord de la Tamise et se situe dans
l’arrondissement londonien de la Cité de Westminster.
L’édifice servait à l’origine de résidence royale, mais aucun monarque anglais ou britannique n’y a
plus vécu depuis le XVIe siècle. La plus vieille section du palais, Westminster Hall, remonte à l’an
1097. Cependant, la plus grande partie du bâtiment date du XIXe siècle : l’ancien Palais de
Westminster, en effet, fut presque entièrement détruit par un incendie survenu le 16 octobre 1834.
L’architecte responsable de la reconstruction, Sir Charles Barry, inscrivit le nouveau bâtiment dans
le plus pur style néogothique, en référence à l’époque des Tudor. L’une des attractions les plus
célèbres du palais de Westminster est sa tour de l'Horloge (Clock Tower), qui abrite Big Ben.
L'église Saint-Paul-Saint-Louis, située dans le quartier du Marais à Paris, est un édifice religieux
construit au XVIIe siècle par les architectes jésuites Étienne Martellange et François Derand, sur
ordre de Louis XIII. Située rue Saint-Antoine, l'église côtoie le lycée Charlemagne, également
fondé par les Jésuites.
La première église bâtie à cet emplacement reçut le nom de saint Paul l'Ermite qui avait été inhumé
par saint Antoine au désert d'Égypte : c'était en effet l'église cimétériale du monastère Saint-Éloi,
fondé pour des moniales par saint Éloi et Dagobert Ier. Ce monastère se trouvait sur le parvis actuel
du palais de Justice. De là, on se rendait en barque au cimetière de la communauté ce qui était bien
pratique lors des obsèques monastiques. Puis le cimetière monastique fut oublié mais le patronage
de saint Paul resta jusqu'à nos jours en se déplaçant vers l'apôtre des gentils, l'un des deux princes
des apôtres.
La première pierre de l'église actuelle fut posée par le roi Louis XIII en 1627 pour les Jésuites dans
la même rue que l'ancienne église Saint-Paul. Son premier nom est « église Saint-Louis de la
maison professe des Jésuites », en référence à la Maison Professe des Jésuites qui lui était attenante.
La première messe fut célébrée par le cardinal de Richelieu en mai 1641. Bossuet y prononça des
oraisons. Le célèbre prédicateur jésuite Louis Bourdaloue y prêcha ses célèbres homélies à de
nombreuses reprises, lors du Carême et de l'Avent, entre 1670 et 1693. Madame de Sévigné assista
à tous ses sermons. Louis Bourdaloue est enterré dans la crypte de l'église.
La National Gallery (The National Gallery) fondée en 1824 et achevée en 1838 est un musée situé
à Londres et occupant le nord de Trafalgar Square. Elle détient un patrimoine artistique datant de
1250 à 1900, les œuvres plus récentes étant abritées à la Tate Modern. La collection de 2 300
peintures, datant du Moyen Âge à la fin du XIXe siècle, appartient au domaine public britannique et
l'accès à la collection principale est gratuit. Seules les expositions temporaires sont soumises à un
prix d'entrée. La Gallery est un organisme public non-départemental.
Les débuts de la National Gallery furent modestes, à la différence du Louvre à Paris ou du Prado à
Madrid, car la collection ne fut pas fondée par la nationalisation d'œuvres d'art appartenant à la
famille royale ou à des nobles. L'essor de la Gallery débuta avec l'achat de 36 peintures au banquier
John Julius Angerstein en 1824. La Gallery fut ensuite conçue par ses premiers directeurs, en
particulier Sir Charles Lock Eastlake, et ses collections ont été enrichies par des donataires privés
pour les deux tiers des œuvres.
Madame Tussauds est le nom du musée de cire fondé en 1835 à Londres par Marie Tussaud.
Des musées Madame Tussauds existent aussi à Berlin, Amsterdam, Hong Kong, Las Vegas,
Shanghai, New York et Washington, D.C.. Un nouveau musée ouvrira à Bangkok en 2010.[1]
Le groupe prévoit d'ouvrir d'autres sites. Hollywood ayant été ouvert en Juin 2009(Strasbourg 7
décembre 1761 – Londres 16 avril 1850) née Anne-Marie Grosholtz, suivit sa mère, devenue veuve
durant sa grossesse, à Berne où elle travailla comme femme de ménage pour Philippe Curtius, un
médecin reconverti en artiste-sculpteur. Le médecin prit la jeune fille sous son aile et la forma à la
sculpture en cire. Curtius fut appelé à la cour de France et réalisa en 1765 un portrait de MarieJeanne du Barry, maîtresse de Louis XV. Le médecin fit venir Marie avec sa mère en 1767 et
l'employa dans ses nombreuses réalisations en cire dont sa première exposition en 1770, qui en
raison de son succès déménagea en 1776 au Palais-Royal. En 1782, il ouvrit une seconde exposition
nommée la "Caverne des Grands Voleurs" sur le Boulevard du Temple, c'est le précurseur de la
chambre des horreurs.
Le British Museum (qui peut être traduit par « musée britannique » même s’il est couramment
désigné par son nom original), est un musée de l’histoire et de la culture humaine, situé à Londres,
au Royaume-Uni. Ses collections, constituées de plus de sept millions d’objets, sont parmi les plus
importantes du monde et proviennent de tous les continents. Elles illustrent l’histoire humaine de
ses débuts à aujourd’hui.
Le musée a été fondé en 1753 mais ouvert au public qu'en 1759. Son statut de non-departmental
public body lui permet d’être financé par le ministère britannique de la culture, des médias et du
sport. Comme dans tous les musées et galeries d’art nationaux du Royaume-Uni, l’entrée n’est pas
payante, à l’exception de certaines expositions temporaires ; toutefois les dons sont encouragés. Le
British Museum compte six millions de visiteurs par an et s'affiche comme le site touristique le plus
fréquenté de Grande-Bretagne.
Trafalgar Square est une place très célèbre de Westminster à Londres dont le nom commémore la
bataille de Trafalgar qui opposa les flottes franco-espagnoles et britanniques en 1805. Le lieu est
bien connu pour être un espace social et de liberté d'expression[1].
Trafalgar Square est situé à l'intersection de Charing Cross où se rejoignent : Whitehall (rejoignant
Parliament Square), The Strand, The Mall (rejoignant Buckingham Palace), de Pall Mall, de
Cockspur Street, et de Northumberland Avenue. C'est une place connue également pour être le lieu
où sont installées plusieurs ambassades, dont les haut-commissariats de l'Afrique du Sud (South
Africa House), de la Malaisie (Mayalsia House) et Maison du Canada (Canada House) une partie
du Haut-commissariat du Canada au Royaume-Uni.
On y trouve en outre la célèbre National Gallery, l'un des plus importants musées de Londres, ou
encore l'église anglicane St Martin-in-the-Fields. Il s'y trouve également une statue du roi Jacques
II, costumé en impérator, oeuvre du sculpteur Pierre van Dievoet. Au centre de la place sont placées
deux fontaines monumentales, éclairées par des LED de différentes couleurs.
Piccadilly Circus est un carrefour routier et un espace piéton situé à Londres, au croisement de
quatre grandes artères du West End : Piccadilly, Shaftesbury Avenue, The Haymarket et Regent
Street[1]. La place, autrefois considérée comme le centre de l'Empire britannique, constitue encore
de nos jours un des centres nerveux de Londres, et est réputée pour l'enchantement que procure le
scintillement de la pléthore d'enseignes lumineuses qui la recouvre, mais elle est également
entourée de plusieurs curiosités touristiques, dont une fontaine érigée en 1893 en mémoire de Lord
Shaftesbury et surplombée par un Ange de la Charité chrétienne (communément appelé Éros), ou
encore le théâtre Criterion, le London Pavilion et plusieurs magasins célèbres. Non loin se trouvent
le London Trocadero, centre commercial et de loisirs, et la statue Horses of Helios.
La place a été construite en 1819 pour relier Regent Street, alors élément majeur du projet
d'urbanisme de John Nash (l'architecte attitré de George IV), à la grande rue commerçante
Piccadilly.