Les Hauts-de-Seine : territoire de santé - Soigner en Ile-de

Transcription

Les Hauts-de-Seine : territoire de santé - Soigner en Ile-de
Les Hauts-de-Seine
Territoire de santé
Professionnels de santé
Exercer dans les Hauts-de-Seine
16 janvier 2014
Plan de l’intervention
Les Hauts-de-Seine : caractéristiques socio-démographiques
L’état de santé des alto-séquanais
Les ressources sanitaires
- L’offre de formation
- L’offre hospitalière
- L’offre médico-sociale
Le dynamisme des acteurs du premiers recours
- Professionnels de santé
- Structures d’exercice collectif
- Réseaux de santé
- Permanence des soins ambulatoires
- Prévention
- Contrats locaux de santé
Conclusion
2
Les Hauts-de-Seine
Caractéristiques socio-démographiques
Le plus petit et le plus dense des
départements de la couronne parisienne
176 km2 soit 1,5 % de la superficie régionale
1 561 745 habitants soit 13,3 % de la
population régionale
densité 8 893 habitants/km 2
(2ème après Paris 18,9 % et 21 196 hab./km 2
IDF 977 hab./km 2 )
36 communes
Source : population INSEE 2009
3
Les Hauts-de-Seine
Caractéristiques socio-démographiques
Un département actif et jeune
20 à 64 ans : 61,4 % de la population
Cadres et professions intellectuelles :
39 % contre 27 % en IDF
ouvriers : 9,3 % contre 14,5 %
Revenus disparates : Gennevilliers 13 136 €
plus de 40 000 € à Marnes la Coquette et à Neuilly s/Seine
CMU C : 4,1 % contre 5,9 % en IDF
très variable d’une commune à l’autre
à Gennevilliers plus d’1 habitant sur 10
AME : 0,6 % (surtout au nord du département)
ZUS : réparties sur 13 communes (11 % de la population)
Part de logements sociaux dans les résidences
principales > 50 % dans 4 communes et entre 30 et 50 %
dans 7 communes
Sources : CPAM 92 février 2011
OLS IDF 2013
4
L’état de santé des alto-séquanais
Une population en bonne santé
Mortalité
Source : Profils de santé des territoires de santé ORS IDF juillet 2013
Mortalité générale : surmortalité très significative dans les communes de la boucle nord
Pour les femmes, on observe une légère sous-mortalité par tumeur (- 3 % par rapport aux
femmes françaises) mais une forte sur-mortalité par cancer du poumon (+ 23 %).
Source : ORS IDF « Profil socio-sanitaire Ile-de-France » octobre 2010
5
L’état de santé des alto-séquanais
Morbidité
Source : Profils de santé des territoires de santé ORS IDF juillet 2013
Les découvertes de séropositivité VIH au stade tardif sont plus importantes dans le
département (27,7 % contre 26,8 % en IDF et 27,6 % en métropole).
Les taux d’incidence de la maladie d’Alzheimer chez les hommes est de 42,5 pour
100 000 contre 40,7 en IDF et 36,5 en métropole.
Source : ORS IDF « Profil socio-sanitaire Ile-de-France » octobre 2010
6
L’état de santé des alto-séquanais
Conduites en lien avec la santé
Source : Profils de santé des territoires de santé ORS IDF juillet 2013
La proportion d’usagers réguliers d’alcool à 17 ans est de 11,0 % contre 7,0 % en IDF
et 12,0 % en métropole.
Le taux de suicide chez les femmes est de 5,6 / 100 000 contre 4,9 en IDF et 7,9 en
métropole.
Source : ORS IDF « Profil socio-sanitaire Ile-de-France » octobre 2010
7
L’offre de formation
Un département bien doté
146 maîtres de stage universitaires en médecine générale (avril 2012)
1 école de sages-femmes à l’hôpital Foch
34 instituts de formation paramédicaux
9 Instituts de Formation en Soins Infirmiers
13 Instituts de Formation d’Aides Soignants
10 Instituts de Formation d’Auxiliaires de Puériculture
1 Instituts de Formation de Psychomotriciens
1 Instituts de Formation d’Ambulanciers
26 places
840 places
417 places
420 places
210 places
60 places
8
L’offre hospitalière
Une offre hospitalière particulièrement dense, concurrente et évolutive dans
sa structuration
73 établissements de santé de tous statuts
EPS
ESPIC
PL
AP-HP
HIA
Total
8
25
33
6
1
73
parmi lesquels :
- 39 MCO dont le CCML, le CLCC René Huguenin et Santé Service HAD
- 14 IRC
- 36 SSR
Les établissements de santé prennent en charge 40 % de patients résidant hors
des Hauts-de-Seine. Une proportion identique d’habitants des Hauts-de-Seine
consomment des soins hospitaliers hors du département.
9
Périnatalité
Nord 92
Centre 92
Sud 92
7
3
4
Type
3:1
2B : 1
2A : 1
1:4
2A : 2
1:1
3:1
2A : 2
1:1
Naissances
12 162
7 330
7 512
Maternité
Total
14
27 004
Taux de fécondité : 1,99
ORS 2010
Un maillage homogène en PMI
10
La permanence des soins
en établissements de santé
Réorganisation de la prise en charge chirurgicale en nuit profonde (22h30-8h)
Chirurgie orthopédique et viscérale en nuit profonde, 5 sites :
- Antoine Béclère
- Hôpital d’Instruction des Armées Percy
- Ambroise Paré
- Louis Mourier
- Beaujon
Chirurgie de spécialités :
- Marie Lannelongue, Ambroise Paré et Foch pour la chirurgie vasculaire
- Clinique La Montagne pour la chirurgie de la main
- Foch et l’Hôpital Privé d’Antony pour l’urologie
11
La santé mentale
La psychiatrie de secteurs
21 secteurs de psychiatrie générale et 7 secteurs de psychiatrie
infanto-juvénile
- 8 établissements interviennent pour la prise en charge des adultes
dont 3 extérieurs au département voire à la région
=> 9 secteurs (sur 21), couvrant 14 communes, n’ont pas
d’hospitalisation complète dans le département
=> la relocalisation de ces secteurs est une priorité de l’ARS.
- 3 établissements prennent en charge les enfants et les adolescents
dont 2 implantés en dehors du département
12
La santé mentale
L’offre de soins non sectorisée
L’offre de soins en psychiatrie générale est complétée par 8 cliniques.
Evolution de l’offre
L’offre de soins en psychiatrie infanto-juvénile a été renforcée par
la création de 2 unités d’hospitalisation pour adolescents (Antony
réalisé, Colombes en cours de construction).
Réflexion en 2014 sur l’organisation de la réponse à l’urgence en
psychiatrie
Par ailleurs, 8 conseils locaux de santé mentale fonctionnent dans
le département.
13
L’offre hospitalière dans le département
Points forts
- Un équipement hospitalier globalement important en capacités et en
diversité
- De nombreux pôles d’excellence et/ou de recours à la fois publics,
privés associatifs et privés lucratifs
Priorités
- La relocalisation des secteurs de psychiatrie
- Des coopérations à renforcer
- L’optimisation des parcours de santé, la meilleure articulation entre les
acteurs
14
L’offre médico-sociale : personnes âgées
Une offre médico-sociale quasiment homogène proche de la moyenne régionale
109 EHPAD (Etablissements d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes) :
9 972 places
6 USLD (Unités de Soins de Longue Durée) : 640 places
35 SSIAD (Services de Soins Infirmiers à Domicile) : 2 230 places
dont 5 avec ESA (Equipe Spécialisée Alzheimer),
Structures de répit : 135 places d’hébergement temporaire et 243 d’accueil de jour
et 3 plateformes de répit
3 MAIA (Maisons pour l’Accueil et l’Intégration des malades Alzheimer)
22 CLIC (Centres Locaux d’Information et de Coordination gérontologique)
et des centres de coordination gérontologique
Points forts : taux d’équipement EHPAD et développement des prises en charge pour
le maintien à domicile
Perspectives : fluidifier le parcours de santé des personnes âgées
15
L’offre médico-sociale : personnes handicapées
Une offre à développer et à restructurer
61 structures pour adultes handicapés :
− 31 ESAT (Etablissements et Services d’Aide par le Travail)
−
5 MAS (Maisons d’Accueil Spécialisées)
− 12 FAM (Foyers d’Accueil Médicalisé)
−
3 SAMSAH (Services d’Accompagnement Médico-Social Adultes
Handicapés)
−
1 CRP (Centre de Rééducation Professionnelle)
−
9 GEM (Groupements d’Entraide Mutuelle)
Points forts : insertion professionnelle et prise en charge de l’autisme en FAM
Perspectives : améliorer la prise en charge du handicap psychique, du polyhandicap
et des personnes handicapées vieillissantes
16
L’offre médico-sociale : personnes handicapées
Une offre à développer et à restructurer
71 structures pour enfants handicapés :
− 40 IME (Instituts Médico-Educatifs)
− 19 SESSAD (Services d’Education Spéciale et de Soins à Domicile)
−
9 CMPP (Centres Médico-Psycho-Pédagogiques)
−
2 CAMSP (Centres Action Médico-Sociale Précoce)
−
1 ITEP (Institut Thérapeutique Educatif et Pédagogique)
Points forts : prise en charge des déficiences motrice et auditive en établissement
Perspectives : améliorer le dépistage précoce du handicap, la prise en charge des
troubles du comportement, du handicap moteur et du polyhandicap en ambulatoire ;
développer les structures prenant en charge l’autisme
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L’offre médico-sociale :
personnes à difficultés spécifiques
Une offre de structures bien répartie sur le territoire mais engorgement
par manque de fluidité vers l’extérieur
14 structures pour Personnes à Difficultés Spécifiques (PDS)
- 1 CAARUD (Centre d’Accueil et d’Accompagnement à la Réduction des
risques pour Usagers de Drogue)
- 7 CSAPA (Centres de Soins d'Accompagnement et de Prévention en
Addictologie)
- 5 ACT (Appartements de Coordination Thérapeutique) soit 100 places
- 6 Consultations Jeunes Consommateurs
- 1 LHSS (Lits Halte Soins Santé) de 50 places
18
L’offre de premier recours
Une des priorités de l’ARS-IDF
19
Source : CPAM 92 février 2013
L’offre de premier recours
Les professionnels de santé libéraux
20
L’offre de premier recours
Les médecins généralistes libéraux
Relative faiblesse de l’offre de 1er recours : 1 207 omnipraticiens au 01/10/ 2012
Densité : 77/100 000 hab. dans les Hauts-de-Seine contre 83/100 000 hab. en IDF
Vieillissement des professionnels : ¾ ont 50 ans ou plus
21
L’offre de premier recours
Les médecins spécialistes libéraux
Nombre total de spécialistes : 1 758 médecins spécialistes au 01/10/2012
Densité : 115/100 000 hab. dans les Hauts-de-Seine (114/100 000 hab. en IDF)
Pédiatrie : 9,2 dans les Hauts-de-Seine contre 6,6 en IDF
Ophtalmologie : 10 dans les Hauts-de-Seine contre 9,4 en IDF
Gynécologie : 11,7 dans les Hauts-de-Seine contre 12,2 en IDF
Psychiatrie : 11,3 dans les Hauts-de-Seine contre 17,2 en IDF
La moitié des communes ayant une faible dotation de spécialistes se situent
dans le nord du département. Les communes moyennement dotées sont
principalement situées au centre.
22
1er recours : autres professionnels médicaux
et paramédicaux libéraux
Densité de sages-femmes : 5 dans le 92 et en IDF
Densité de chirurgiens-dentistes : 70 dans le 92 c/ 62 en IDF
Densité de masseurs-kinésithérapeutes : 85 dans le 92 c/ 78 en IDF
Densité d’infirmiers : 35 dans le 92 c/ 51 en IDF
Densité orthophonistes : 29 dans le 92 c/ 25 en IDF
Densité orthoptistes : 3 dans le 92 et en IDF
Densité pédicures : 21 dans le 92 c/ 19 en IDF
23
L’offre de premier recours
Une répartition géographique contrastée
Le zonage arrêté par l’ARS vise à qualifier des zones
(communes, cantons) :
- en zone dites « déficitaires », « fragiles » et « intermédiaires »,
pour les médecins généralistes (=> option démographie, contrat de
praticien territorial de médecine générale)
- en zone dites « très sous dotées » à « très sur dotées » pour les
infirmiers, masseurs-kinésithérapeutes, sages-femmes,
orthophonistes et les chirurgiens dentistes (=> aides spécifiques)
24
Définition des zones déficitaires en Ile-de-France - Petite couronne
Volet ambulatoire du SROS
PIERREFITTE
VILLETANEUSE
LA COURNEUVE
GENNEVILLIERS
SAINT-OUEN
ZUS 19ème
BOBIGNY
93
CLICHY-SOUS-BOIS
ROMAINVILLE
ZUS 18ème
NEUILLY-SUR-MARNE
BAGNOLET
92
75
CHEVILLY-LARUE
94
RUNGIS
Zone déficitaire
Zone déficitaire : Gennevilliers
25
Niveau de dotation des bassins de vie ou pseudo cantons en orthophonistes libéraux - Région Ile-de-France
Cartographie conforme à l’arrêté n°12-525 du 7 décembre 2012 relatif à la définition des zones de mise en œuvre des
mesures destinées à favoriser une meilleure répartition géographique des orthophonistes libéraux
Petite couronne
93
92
75
94
Zone très sous-dotée en orthophonistes : Puteaux
26
Source 2012 : CNAMTS
© 2012 – DOSMS-ARS Ile-de-France tous droits réservés
L’offre de premier recours
Structures d’exercice collectif
48 centres de santé
28 CDS polyvalents
12 CDS médicaux
8 CDS dentaires
1 pôle de santé universitaire de Gennevilliers – Villeneuve la Garenne
Plusieurs projets de maisons de santé pluri-professionnelles
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L’offre de premier recours
Les réseaux de santé
Les réseaux de santé « ont pour objet de favoriser l’accès aux soins, la
coordination, la continuité ou l'interdisciplinarité des prises en charge
sanitaires (…). Ils assurent une prise en charge adaptée aux besoins
de la personne tant sur le plan de l'éducation à la santé, de la
prévention, du diagnostic que des soins. »
Dans les Hauts-de-Seine :
12 réseaux territoriaux
et des réseaux régionaux
Projets de coordination territoriale : « cancérologie, gérontologie,
soins palliatifs et accès aux soins » en réflexion
28
29
L’offre de premier recours
La permanence des soins ambulatoires
6 territoires de permanence des soins ambulatoires (PDSA) en MG
11 points fixes de garde dont :
6 maisons médicales de garde (MMG)
1 centre municipal de santé
4 cabinets libéraux (tour de rôle)
1 association mobile « SOS 92 Garde et urgences médicales » sur
l’ensemble du département
Régulation par le 15 (conseil médical téléphonique dans près de 40 %
des affaires de PDSA)
Par ailleurs :
PDS dentaire à la MMG de Clamart dimanche et JF (9-12h et 14-18h)
502 officines de pharmacie
30
La permanence des soins ambulatoires dans les Hauts-de-Seine
Territoire 92-01 : Asnières-sur-Seine, Bois-Colombes, Colombes,
Gennevilliers, Villeneuve-la-Garenne
CMS de Gennevilliers « Consultations non programmées » de
soirée du lundi au vendredi ouvrés de 20h à 24h
Territoire 92-02 : Clichy-la-Garenne, Courbevoie,
Colombes, Levallois-Perret, Neuilly-sur-Seine
MMG de Clichy samedi 14h-19h – dimanche 9h-19h
La-Garenne-
Territoire 92-03 : Nanterre, Puteaux, Rueil-Malmaison, Suresnes
MMG de Suresnes dimanche/fériés 9h-20h
Territoire 92-04 : Boulogne-Billancourt, Chaville, Garches, Marnes-laCoquette, Saint-Cloud, Sèvres, Vaucresson, Ville-d’Avray
MMG de Boulogne-Billancourt soir (du lundi au dimanche) 20h-24h
dimanche/fériés 8h-20h [et 20h-24h]
Territoire 92-05 : Châtillon, Clamart, Issy-les-Moulineaux, Malakoff,
Meudon, Montrouge, Vanves
MMG d’Issy-les-Moulineaux samedi 14h-20h – dimanche/fériés
9h-14h et 16h-20h
MMG de Clamart soir (du lundi au dimanche) 20h-24h
dimanche/fériés 9h-20h [et 20h-24h]
Territoire 92-06 : Antony, Bagneux, Bourg-la-Reine, Châtenay-Malabry,
Fontenay-aux-Roses, Le-Plessis-Robinson, Sceaux
MMG d’Antony samedi 14h-20h et 20h-24h – dimanche/fériés
8h-20h et 20h-24h
31
Les actions de prévention
Une offre de prévention et promotion de la santé diversifiée mais
souffrant d’un manque de coordination entre les acteurs
Des actions de santé recentralisées :
dépistage organisé des cancers, dépistage des IST, vaccination et lutte
contre la tuberculose
21 structures :
- 1 structure de gestion des Dépistages Organisés des cancers (ADK92)
- 9 Centres d'Information, de Dépistage et de Diagnostic des Infections
Sexuellement Transmissibles (CIDDIST)
- 10 Centres de Dépistages Anonymes et Gratuits (CDAG)
- 1 Centre de Lutte Anti Tuberculose (CLAT)
32
Les actions de prévention
Répartition des subventions attribuées aux associations et aux collectivités territoriales
Total des subventions 2013 : 1 005 540 €
Dont 625 950 € aux associations et 379 590 € aux collectivités
33
Les actions de prévention
2
1
1
1
1
1
1
1
1
10
L’éducation thérapeutique du patient
1
1
3
2
1
77 Programmes autorisés sur le département
1
2
1
1**
1
Types de
promoteurs
Nombre de
programmes
APHP
39
ES-MCO
21
ES-SSR
5
HAD
4
RESEAU
4
ES-PSY
2
CMS
2
77
1
1
1
1
3
1
1
2
3
Diabète
Maladies respiratoires
Maladies cardio vasculaires (sauf AVC)
AVC
VIH/SIDA
Hépatites
Insuffisance rénale
Psychiatrie
Maladies du système digestif (hors cancers)
Cancers
Obésité
Maladies neurologiques
Maladies rhumatologiques
Autres (*lombalgies, **néonatalogie, *** allergie
alimentre)
Maladies rares (drépanocytose, mucovisidose)
1***
8
2
1
1
1
1
1*
2
2
1
1
1
1
1
1
1
1
34
Les Contrats Locaux de Santé
Les Contrats Locaux de Santé (CLS) visent à mettre en cohérence la politique
régionale de santé en permettant une meilleure articulation du Projet Régional
de Santé et des démarches locales de santé existantes.
Ils visent à améliorer l’organisation de la santé à l’échelle d’un territoire de
proximité.
Dans le département, 9 CLS ont été signés entre l’ARS, les communes et la
Préfecture.
1
ARS
Objectifs de l’ARS
2
CLS
Zone de
contractualisation
Collectivité
territoriales
En lien avec
l’Etat
Objectifs des collectivités territoriales
35
Les Contrats Locaux de Santé
Une implication des collectivités locales
9 CLS dans les
Hauts-de-Seine
- Asnières
- Bagneux
- Clichy
- Colombes
- Fontenay aux Roses
- Nanterre
- Gennevilliers
- Rueil Malmaison
- Villeneuve la Garenne
36
L’offre ambulatoire dans le département
Points forts
- des indicateurs économiques et de santé supérieurs aux indicateurs régionaux
- une bonne couverture de l’ensemble du département par des centres de santé
et des réseaux de santé
- la participation des médecins libéraux à la permanence des soins ambulatoires
- un dispositif de formation médicale et paramédicale dynamique
Points de vigilance :
- des zones géographiques à renforcer : offre de soins libérale fragilisée par une
démographie médicale vieillissante
- une offre libérale encore importante, notamment en spécialistes, mais avec une
problématique d’accessibilité financière
- une densité d’infirmiers libéraux très inférieure aux densités régionale et nationale
- une lisibilité de l’offre des réseaux de santé insuffisante pour les professionnels
37
Conclusion
Depuis la loi HPST et la mise en place des ARS
Dans le Plan Régional de Santé (PRS) volonté de renforcer l’offre de 1er recours en
ambulatoire et la lutte contre les inégalités sociales et territoriales d’accès aux soins.
38
Conclusion
Depuis la loi HPST et la mise en place des ARS
Des outils :
- Conventions avec l’Assurance Maladie soutenant les PS dans des zones déficitaires
- Soutien à l’installation des jeunes médecins en « zones déficitaires » par un contrat de
Praticien Territorial de Médecine Générale
- Pacte Territoire Santé pour lutter contre les déserts médicaux :
1 pacte - 3 objectifs - 12 engagements
Soutien des centres de santé existant dans le département : accompagnement des
CDS par l’amélioration de leur organisation et leur viabilité économique
Promotion de nouveaux modes d’exercice professionnel :
- Les pôles de santé ou maisons de santé pluriprofessionnelles (MSP)
- La possibilité grâce aux nouveaux modes de rémunération (eNMR) de pouvoir
pratiquer un exercice coordonné alliant le curatif au préventif avec éducation
thérapeutique que ce soit en exercice libéral ou salarié
39
Conclusion
Un département dense, diversifié, actif et innovant avec des
professionnels de santé engagés
-
Une dynamique de développement encore renforcée par les
travaux conduits dans le cadre du projet du Grand Paris
-
Prêt à accueillir de jeunes professionnels de santé en leur offrant
des services à la hauteur de leurs attentes
40
Conclusion
Pour compléter votre information :

La PAPS (Plate-forme d'Appui aux Professionnels de Santé) :
www.iledefrance.paps.sante.fr

ARSIDF : www.ars.iledefrance.sante.fr
(pour CartoSanté, Contact…)
Pour nous joindre :

à la DT 92 : [email protected]
41
MERCI POUR VOTRE ATTENTION
42