OhOui dossier KingKong

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OhOui dossier KingKong
CINE-CONCERT
KING KONG
Sur une idée de Joachim Latarjet King Kong est un film américain de 1933, réalisé par Merian C. Cooper et Ernest B. Schoedsack. Création musicale et interprétation Nicolas Barrot batterie, guitare Joachim Latarjet trombone, guitare, basse Alexandre Meyer guitare, daxophone Vidéo Mathilde Bertrandy Son Samuel Pajand Production déléguée : Oh ! Oui… Coproduction : La Filature, scène nationale de Mulhouse Contact :
Conduite accompagnée Tél 01 47 00 02 34 www.ohoui.org Avant qu'il n'atteigne le canot de sauvetage qui ramène l'équipage au
navire, Denham parvient à l'endormir grâce à un gaz soporifique. Le
réalisateur décide alors de l'embarquer pour New York dans le but de
l'exposer comme la septième merveille du monde...
Carl Denham, réalisateur en faillite, décide de tourner un film sur la mystérieuse Île du Crâne. Il embauche la jeune et belle Ann Darrow comme actrice principale et embarque avec elle et toute son équipe sur le SS Venture. Durant le voyage, Jack Driscoll, le second du navire, et Ann tombent amoureux. Arrivés sur l'île, ils découvrent une tribu d'indigènes protégée de la jungle par un immense mur fortifié. Ces indigènes vénèrent leur dieu Kong, qui vit de l'autre côté. Ils enlèvent Ann pour l'offrir en sacrifice à Kong. Celui-­‐ci, qui se révèle être un singe géant, emporte Ann dans son repaire, en haut de la plus haute montagne de l’île et en tombe amoureux. L'équipage se lance à la poursuite de la jeune femme et doit faire face à de dangereux dinosaures. Jack parvient à arracher la jeune femme à Kong. Alors que les autres survivants reviennent au bateau, le King fait céder la porte de la muraille et, de fureur, saccage le village des indigènes. Avant qu’il n’atteigne le canot de sauvetage qui ramène l’équipage au navire, Denham parvient à l’endormir avec une bombe de gaz soporifique. Instantanément, l’idée vient au réalisateur d'emmener Kong à New York pour l'exposer comme la huitième merveille du monde. Dans une cérémonie prestigieuse, Kong est enchaîné et exhibé en public. Mais il trouve assez de force pour se libérer de ses chaînes. S'échappant, il cause la pagaille et la destruction dans la ville à la recherche d'Ann, qu’il retrouve, enlève à nouveau pour l’emmener au point le plus haut de New York : l'Empire State Building. Arrivé au sommet du gratte-­‐ciel, Kong est attaqué par des avions armés de mitrailleuses. Il résiste d'abord aux assauts, parvenant même à empoigner un avion, mais sa force a des limites. Il succombe sous les balles, chute et s’écrase au pied de l'Empire State Building. King Kong est mort. Mais « ce ne sont pas les avions mais la Belle qui a tué la Bête » dit en conclusion Carl Denham. Il est très excitant de créer un ciné-­‐concert à partir d’un film parlant tout en gardant l’esprit d’un ciné concert « traditionnel ». King-­‐Kong est en ce sens le film parfait. C’est un des premiers films parlant et l’histoire commence par le tournage d’un film muet sur une île peuplée d’étranges créatures ! C’est surtout un très beau film de cinéma. Nous nous sommes servis de la bande-­‐son, des dialogues, des sous-­‐titres pour brouiller les pistes et nous amuser avec les codes du cinéma. Trois musiciens mais beaucoup d’instruments : batterie, guitares, basse, trombone, daxophone… Il fallait au moins ça pour le Roi KONG ! Joachim Latarjet OH ! OUI…
Oh! Oui… c’est la rencontre d’une comédienne et d’un musicien ; Alexandra Fleischer et Joachim Latarjet, un des membres fondateurs de la compagnie Sentimental Bourreau et compositeur de Philippe Decouflé (Solo). La compagnie est née de l’envie de faire des spectacles musicaux à partir de textes a priori non-­‐théâtraux, d’utiliser les lumières, le son, la vidéo, pour élaborer des spectacles qui parlent de la folie, des obsessions, du travail, du secret, de la langue, de la façon dont notre cerveau crée de la fiction, des chansons qui font une vie, des morts… des thèmes qui nous habitent. La musique est omniprésente dans notre travail. Elle ne ponctue pas, elle ne décore pas, elle accompagne, elle exprime, elle raconte une histoire au même titre que le texte. Oh! Oui… est une compagnie qui regroupe des musiciens, des comédiens, des vidéastes, des danseurs… Nous aimons utiliser le plateau comme un lieu de liberté par excellence. C’est ce qui anime notre travail car tout commence par là: le plaisir d'être ensemble sur un plateau. Nous avons créé sept spectacles et un ciné-­‐concert… Nous préparons actuellement une nouvelle création – Le Chant de la Terre (Mulhouse 31 mai et 1er juin 2011) – et un nouveau ciné-­‐concert – King-­‐Kong (Hazebrouck septembre 2011) –. Joachim Latarjet est artiste associé à La Filature, scène nationale de Mulhouse, depuis 2008. - 2000 : Du travail bien fait d’après H. Melville, F. Pessoa, H. Müller… Maison de L’Arbre (Montreuil) - 2002 : 1er volet d’une trilogie sur la folie : F. le fou, l’assassin d’après un fait divers… 1Bis (Ivry/Seine) - 2004-­‐2006 : 2ème volet d’une trilogie sur la folie : Oh ! Oui… d’après F. Béhar, T. Irokawa… Ménagerie de Verre (Paris), TILF (Paris), Théâtre de Cayenne, Confluences (Paris) - 2006-­‐2007 : 3ème volet d’une trilogie sur la folie HOX d’après des témoignages rassemblés par J. Rapopport, F. Béhar… Etrange Cargo-­‐Ménagerie de Verre (Paris), Les Intranquilles-­‐Subsistances (Lyon), CDN de Besançon, TU Nantes, Carré des Jalles-­‐scène conventionnée, Panta Théâtre (Caen), Mont Saint Aignan-­‐scène nationale de Petit-­‐Quevilly, Fondation Cartier (Paris) -­‐ 2007-­‐2008 : Acte V, happy end La Filature-­‐scène nationale de Mulhouse, CDN & scène nationale de Besançon, Carré des Jalles-­‐scène conventionnée -­‐ 2008-­‐2012 : Ciné-­‐concert Charley Bowers Bricoleur de génie La Filature-­‐scène nationale de Mulhouse, Les Dominicains de Haute Alsace, Le Manège-­‐
scène nationale de Reims, Les Tombées de la Nuit/Rennes, Théâtre 71-­‐scène nationale de Malakoff, Festival Excentrique (Orléans), scène nationale d’Angoulême, Le Vivat scène conventionnée d’Armentières, Môm Théâtre (Rombas) -­‐ 2008-­‐2009 : Stille Nacht Subsistances (Lyon), La Filature-­‐scène nationale de Mulhouse, CDN de Besançon, l’Echangeur (Paris), Les Transversales (Verdun) -­‐ 2008-­‐2011 : There It Is Fondation Cartier (Paris), Théâtre d’Arras/Festival Plan séquence, Scène Nationale d'Angoulême, Le Carré-­‐Les Colonnes, Blanquefort scène conventionnée, La Filature-­‐scène nationale de Mulhouse/Journal L’Alsace, La Comédie de Béthune CDN. - 2009 : Ce Que Nous Vîmes La Filature-­‐scène nationale de Mulhouse, Théâtre d’Arras, Théâtre Silvia Monfort (Paris) - 2009 : My Way (à notre façon) Projet participatif avec les habitants de la Guillotière. Levers de rideaux -­‐ ça tchache Les Subsistances (Lyon) - 2010 : My Way Subsistances (Lyon), Le Carré-­‐Les Colonnes (Blanquefort), Nouveau Théâtre-­‐CDN de Besançon, La Filature-­‐scène nationale de Mulhouse - 2011-­‐2012 : Le Chant de la Terre La Filature-­‐scène nationale de Mulhouse, Théâtre de l’Oiseau-­‐Mouche (Roubaix), MC2-­‐
Maison de la Culture de Grenoble, L’Echangeur (Paris) - 2011-­‐2012 : Ciné-­‐concert King Kong Centre André Malraux (Hazebrouck), La Filature-­‐scène nationale de Mulhouse, Espace 1789 (Paris) Joachim Latarjet MUSICIEN, COMPOSITEUR, METTEUR EN SCENE Musicien tromboniste né en 1970, il fonde avec Alexandra Fleischer la compagnie Oh ! Oui…, et met en scène des spectacles de théâtre musical, Du travail bien fait, F., le fou, l’assassin, Oh ! Oui…, Hox, Acte V, Happy End, Stille Nacht, There it is, Ce Que Nous Vîmes, Le Chant de la Terre et deux ciné-­‐concerts Charley Bowers, Bricoleur de génie et King Kong. Il a été artiste associé à La Filature, scène Nationale de Mulhouse, 3 saisons, de 2008 à 2011. Il est un des membres fondateurs de la compagnie Sentimental Bourreau et a participé à toutes les créations de 1989 à 2000. Il a travaillé avec Michel Deutsch sur les Imprécations II, IV, 36. Il a composé la musique du Solo de Philippe Decouflé. Nicolas Barrot (nikko / M. Spoon) MUSICIEN Batteur du groupe rock Les Parallèles de Montségur dans les années 80 (un 33T et un 45T chez Le Silence de la Rue), Nicolas Barrot rejoint le sulfureux combo hard-­‐core théâtral Les Tétines Noires en 1991 (chez Boucherie Production) pour une longue tournée internationale. En 1994, il se consacre à une carrière solo en tant que compositeur de musiques de spectacles et de films expérimentaux sous le nom de M. Spoon. Il sort 3 albums instrumentaux sous ce nom, et se consacre également à une carrière de chanteur sous le nom de nikko. Il sort deux albums sous ce nom, et se voit invité par le Festival International de Montpellier Danse 99 à mettre en scène pour l'Opéra de Montpellier son premier album (une adaptation de L'Écume des jours de Boris Vian). En 1999 il est lauréat des Pépinières Européennes pour Jeunes Artistes et est invité en résidence d'artiste au Luxembourg. En 2000, Béatrice Ardisson l'invite à être sur sa compilation « Les musiques de Paris Dernière vol.2 » (près de 80’000 ex vendus) pour sa fameuse reprise de Stand by me. En 2004, il invente le concept de Plus grand petit Live du monde, et tourne pendant 18 mois avec une vieille Mercedes et son spectacle l'Automusique-­‐taxi (près de cent représentations au total, dans les plus gros festivals et scènes françaises). Parallèlement à cette carrière de musicien, il a été directeur du Festival OFF de Danse de Montpellier et de la Kopé, et travaille actuellement avec différentes compagnies de danse contemporaine (Alain Buffart, Martine Pisani, Grand Magasin, Fanny de Chaillé, Anne Collod). Il accompagne les spectacles de Joachim Latarjet (Cie Oh ! Oui…) depuis les débuts. Alexandre Meyer COMPOSITEUR, INTERPRETE Né en 1962 Membre de divers groupes depuis 1982 : Loupideloupe, les Trois 8, Sentimental Trois 8. Travaille avec Marc Citti, Fred Costa, Frédéric Minière, Xavier Garcia, Heiner Goebbels, les metteurs en scène Clémentine Baert, Maurice Bénichou, Patrick Bouchain, Robert Cantarella, Véronique Caye, Jean-­‐Paul Delore, Michel Deutsch, Nasser Djemaï, Daniel Janneteau, Philippe Minyana, Pascal Rambert, Jacques Vincey, Marie-­‐Christine Soma, les chorégraphes Odile Duboc, Fabrice Lambert, Mathilde Monnier, Julie Nioche, Rachid Ouramdane, le sculpteur Daniel Buren, la conteuse Muriel Bloch, pour France-­‐Culture avec Blandine Masson et Jacques Taroni. www.lalsace.fr
MERCREDI 19 OCTOBRE 2011
Ciné-concert Un King-Kong prodigieusement revisité
La carte blanche confiée par Joël Gunzburger à Joachim Latarjet (lire cicontre) a commencé en beauté jeudi soir, avec un ciné-concert original et
une sacrée performance.
L’artiste associé depuis plusieurs années à la Filature a eu la riche idée
de déterrer, plutôt qu’un Chaplin ou qu’un Keaton, le tout premier King
Kong de l’histoire du cinéma, réalisé par Merian C. Cooper et Ernest B.
Schoedack en 1933. Il fallait y penser puisque ce chef-d’œuvre du
cinéma d’épouvante (à ses tout débuts !) est un film parlant, tout en
racontant le tournage d’un film… muet.
Latarjet a donc redécoupé les séquences pour en réinventer la bande
son, y déceler les passages où la musique « live » peut occuper tout
l’espace sonore, ceux où il est impératif de laisser les voix des
comédiens émerger. Il nous propose une recréation, totalement inédite et
foisonnante, aux côtés de ses deux complices et excellents musiciens
Nicolas Barrot et Alexandre Meyer.
Il y a les scènes spectaculaires du film, d’une dramaturgie intense,
comme celle de la capture de la malheureuse Ann Darrow par les
redoutables indigènes qui l’offrent en sacrifice à leur dieu Kong, la
poursuite de l’équipage dans la jungle par d’affreuses créatures
préhistoriques ou la célébrissime ascension de l’Empire State Buliding,
autant d’occasions pour les musiciens de mettre toute leur énergie
créatrice ancrée dans le rock au service de ces images terrifiantes…
Il y a aussi le décalage, l’extravagance de ce genre cinématographique
revisité en 2011. Un cinéma qui garde toute sa force picturale mais qui
invite forcément au sourire. Le trio puissant formé par Latarjet et ses amis
s’empare subtilement de tous ces niveaux de lecture, portant à la fois un
regard tendre, inventif et fidèle au film.
Ils nous transportent littéralement jusqu’au bout, nous rapprochant au
plus près des événements, une immersion prenante et divertissante dont
on ressort de très bonne humeur.
Frédérique Meichler
Contacts Conduite accompagnée Tél 01 47 00 02 34 15 passage de la main d’or 75011 Paris Direction
Christine Tournecuillert [email protected] 06 62 60 96 36
Diffusion, communication, relations publiques, logistique de tournées
Mina de Suremain [email protected] 06 60 20 77 26
Comptabilité
Liliane Péan [email protected]
Technique
Contact Nicolas Barrot [email protected] 06 86 96 77 44.
Fiche technique http://db.tt/K68rqtLJ
www.ohoui.org 

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