METHODOLOGIE PHILOSOPHIE PSYCHOLOGIE SOCIOLOGIE

Transcription

METHODOLOGIE PHILOSOPHIE PSYCHOLOGIE SOCIOLOGIE
METHODOLOGIE
PHILOSOPHIE
PSYCHOLOGIE
SOCIOLOGIE
THEOLOGIE
BJDICTONS.xls \ TEXTES
MAJ 30/05/2015 CRE 20/10/2001
DICTON DU JOUR, DE MON CRU OU D'AUTRES PERSONNES
Tout problème non résolu, reste un problème. Un problème résolu n'est plus un problème. Quand j'arrive à une solution qui me satisfait, c'est gagné !
Une chose non comprise un jour, ne le sera peut-être pas plus le lendemain. J'ose donc demander secours pour trouver une ou la solution.
Quand je ne sais pas, je ferme ma gueule. Je demande, jamais j'affabule sauf en cas de danger.
La beauté est issue du purisme, du souci de la perfection intellectuelle ou technique.
La perfectibilité est le chemin vers la satisfaction de moi-même. La perfection existe, il suffit d'être content de moi. La sagesse, c'est quand j'en sais assez.
Ma perfection n'existe que pour moi-même. Je ne dois pas mettre la barre trop haute car le perfectionnisme est dévoreur d'énergie.
Pas la peine que je vise tout le temps le 20/20 par perfectionnisme, 12/20 est déjà bien. Si mon chef me demande du 20/20, je le préviens que je vais m'y épuiser.
Si mon chef me demande du 6/20, je le préviens pour me dégager de toute responsabilité de non-qualité et le lui fait, sans plus ni moins.
Il vaut mieux avoir 16/20 à faire quelque chose de simple, plutôt que d'avoir 4/20 à quelque chose de compliqué.
Quand je ne peux pas tout faire, je délègue et encadre : compréhension du travail, distinction des cheminements possibles, résultats prioritaires attendus et budget.
Seule la vérité est compréhensible. Tout raisonnement cohérent doit s'appuyer sur de bonnes bases vérifiées exactes par plusieurs.
Tant que le raisonnement est cohérent, c'est juste et je continue de m'exprimer jusqu'à avoir tout dit.
Quand une incohérence survient dans un raisonnement, je repars alors à zéro.
Avant de chercher ce qu'il y a à trouver, il faut d'abord trouver ce qu'il y a à chercher.
Comme on lit une carte avant de s'engager dans une randonnée, toute entreprise doit d'abord être préparée.
Les gens qui n'investissent pas du temps à définir, vérifier, analyser, clarifier, simplifier et synthétiser un problème, n'arriveront pas très vite à la solution évidente.
A ne pas connaître les tenants et les aboutissants de mon entreprise, je me perds dans ce que j'apprends, fais ou cherche.
Avant de faire quoique ce soit, je vérifie les données du problème, que le problème en soit bien un, j'entrevois les résultats et réajuste mon cheminement intellectuel.
Quand je ne sais pas quelque chose, je demande à ceux qui savent pour l'avoir vécue (et non lue ou entendue).
Faire compliqué, c'est faire semblant de travailler. Faire compliqué, c'est simple; faire simple, c'est compliqué. Trop compliqué pour être honnête !
Le bien-être, c'est la simplicité !
Il n'y a pas plus stupide de remplacer un danger par un autre encore plus grand. Un danger, ça se supprime !
Où est le fondamental en toutes choses ? Quel est le véritable problème de l'entreprise ?
1000 petites raisons de ne pas faire et 1 raison fondamentale au dessus de toutes pour faire !
Quand un clou est à moitié planté, soit j'enfonce le clou, soit je le sors à la tenaille… mais je ne le laisse pas en plan !
Il faut ce qu'il faut, comme, quand et avec qui il faut. Ca prendra le temps qu'il faut.
L'intelligence est une question d'entraînement. Soigne ton QI ! Moi, je suis plus près du Q que du I ! La vraie intelligence est celle d'être heureux.
C'est inhumain de responsabiliser quelqu'un sur quelque chose pour laquelle il n'est pas d'accord.
L'émulation par l'esprit de compétition permet à l'homme de se surpasser afin d'égaler Dieu dans ses œuvres.
Il faut aussi gérer l'improbable.
Courage, persévérance, réflexions, mesures, comparaison, efficience, choix, stop ou encore.
Un raisonnement est vrai, que s'il l'est dans le cas général et aussi pour ses extrêmes dans le domaine concerné.
Un créatif est quelqu'un qui n'aime pas se répéter !
Le groupe doit s'accorder à la capacité du plus faible.
J'étaye mes propres convictions avant de les enseigner aux autres. Je vérifie de plusieurs manières, ce que j'expose:recoupement d'informations, épreuves des extrêmes.
Pour connaître : quelque chose il faut la vivre, quelqu'un il faut vivre avec lui, quelques vérités il faut les chercher, les éprouver et les énoncer.
La vraie information est la juste mesure.
Qu'est-ce qui ne tourne pas rond chez moi ? Il faut que les choses soient carrées pour qu'elles tournent rond !
Il vaut mieux construire sa maison, non sur du sable, mais sur du roc. Avant de commencer toute entreprise, mieux vaut vérifier ses bonnes, vraies et justes fondations.
Je ne me laisse pas déborder par les évènements. Je les dompte, maîtrise, gère et les commande.
Poser les vraies questions en priorité arborescente. Dire les vraies réponses. Résoudre les problèmes d'abord majeurs afin qu'ils ne réapparaissent plus.
Dans une masse d'informations, l'une d'elle est essentielle. C'est celle-ci qu'il faut distinguer, car elle seule génère les autres.
Je ne donne bien un ordre que si je peux me substituer en connaissance de cause à celui à qui je m'adresse. Je peux faire ce que j'ordonne aux autres.
Etre intelligent, c'est s'étonner de ce que l'on fait !
Vérifier 100 % des données avant d'entreprendre quoique ce soit !
Je vérifie, quand les autres m'ont dit m'avoir compris, que ce qu'ils ont compris est bien ce qu'il y a à comprendre.
Penser, c'est extrapoler illogiquement. Réfléchir, c'est déduire logiquement.
Fais en sorte que chaque chose vienne en son temps. Les choses doivent se faire dans l'ordre et non dans le désordre. N'est-ce pas le bon Dieu méchant !
Se concerter avant de décider. Je demande autour de moi avant de prendre une décision.
Commencer toujours par le commencement, A avant E pour aller jusqu'à Z.
Attention aux illogismes, comme le prix Nobel de la paix, puisque le chimiste Nobel a inventé l'explosif TNT qui a tué tant et tant de personnes pendant les guerres.
Aller doucement à l'essentiel. Arriver à parler à l'autre sans détour, éclaircit les situations et les positions de chacun, afin de mieux se corriger mutuellement.
Même les montagnes se déplacent… par la dérive des continents.
La classe est de faire juste du premier coup !
Je m'interdis de m'en foutre. Toute situation et décision me concernent.
Etre lucide, c'est être objectif sur les tenants, les actions et les aboutissants d'une entreprise décodée et comprise à fin d'intervention efficiente.
Derrière chaque grand homme se cache une femme encore plus grande. Un jour viendra, où les femmes comprendront qu'elles sont plus intelligentes que les hommes.
Le triomphe de l'amour !
Il fallait bien la haine des guerres pour enfin comprendre l'amour de la paix.
Rien n'est plus beau qu'un nouveau jour. Chaque matin je me lève de bonheur et remercie Dieu pour cette nouvelle journée qui m'est accordée.
Tous les jours, je souris à la vie, je suis heureux et je m'amuse ! La gaité, l'humour et le rire me font du bien. Chaque jour est un jour de fête.
Un amour terni ne peut plus briller à jamais.
La critique des autres est facile, faire mon autocritique est moins évident. L'art d'exprimer mon amour aux autres est difficile tant que je ne m'aime pas d'abord.
Ose te révéler à toi-même !
On est intelligent quand on s'aime, on est con quand on ne sème pas.
Le bonheur à deux est dans la complicité, la solidarité, la fidélité et la sublimation réciproque de l'action commune. Un couple de bons danseurs fait communion.
Je n'aime pas les autres plus que moi-même. Je ne m'attache à l'autre que de la même manière et de la même force qu'il s'attache à moi.
Je m'occupe des gens qui m'aiment pour de vrai, même à leur manière.
Je ne veux rien emporter dans ma tombe. Je dis mes vérités, mes préoccupations, mes peurs, mes malheurs et mes bonheurs afin d'être bien connu des miens.
Vous avez raison, mais je n'ai pas tort ! Acquiescer sans se détruire, refuser sans détruire l'autre.
A chacun sa philosophie ! Ecoutons la vérité des autres, leurs valeurs en points forts, leurs contre-valeurs en points faibles, avec accords, désaccords, guerres ou paix.
En général, la vérité cloue tous les becs. Elle blesse ceux qui ne veulent pas ouvrir les yeux sur leurs réalités.
Le bénévolat n'est pas assujetti à la hiérarchie. Il n'y a pas de conflit interne dans ce genre d'association d'individus. Tous s'entraident sans parler d'argent.
La vie est facile, ce sont les gens qui sont difficiles.
Les gens qui ne progressent pas, régressent.
Parle à tes ennemis, t'es toi avec tes amis et papote avec les autres.
Le faible réagit sur le tard en groupe. Le moyen négocie en temps et en heure un compromis. Le fort réagit sur le champ en solitaire.
L'homme est un prédateur pour l'homme. Soif de pouvoir et d'argent quitte à contraindre, aliéner ou tuer.
Dire ce qu'il faut faire, c'est bien. Enseigner les bras croisés comment le faire, c'est mieux ! Etre un guide pour les autres à montrer le chemin sans faire à la place.
Une génération ne détient pas la vérité d'une autre. A chacune d'elles de s'adapter aux évolutions de tous.
L'existence est comme un billet de 50 euros trouvé par terre. Soit je le mets dans ma poche pour en profiter plus tard, soit je demande qui l'a perdu : moi, moi, moi !
Je profite de ma vie sans trop me poser de questions existentielles.
L'inexistence existenciée en le Néant précède l'existence, déclic existentiel magique !
L'existence précède le temps afin que celui-ci prenne son origine. Le temps précède Dieu afin qu'Il existe. L'immanence de l'existence est d'être pérenne.
Dieu est le Fou du temps ! Dieu est trop intelligent pour que tout soit du n'importe quoi ! Le jour et la nuit, l'amour et la haine, la jouissance et la souffrance sont de Lui.
Le temps est sans importance. Courir après un maximum de choses en un minimum de temps conduit prématurément au cimetière.
Une extraordinaire force me conduit vers mon incontournable destin.
Quel est pour un sapin, son plus beau destin ? Rester longtemps en forêt avec ses copains ou finir à Noël tout enguirlandé avec les enfants ? C'est une bonne question !
La beauté c'est la différence, la force c'est la ressemblance.
L'intelligence est la compréhension du monde qui m'entoure, moi compris.
Pour être heureux, je mène ma barque dans le sens de mon destin, en y donnant de temps en temps quelques coups de rames, afin de contourner mes difficultés.
Les hommes se rendent malades d'être moins intelligents que leur Dieu créateur, au point de s'entredéchirer et s'entretuer. Leur complexe d'infériorité les mine.
Chacun voit midi ou minuit à sa porte. Attention aux décalages horaires !
Deviens ce que tu es. Ce que je dois faire, c'est ce que je sais faire.
Je travaille pour vivre mais je ne vis pas pour travailler. A moi de me tenir à équidistance des pôles santé, famille, travail, loisirs, religion et politique.
Comprendre ma vie pour lui donner un sens. Rechercher et aller dans mes facilités. Faire émerger mes dons. Vivre de mes passions. Confiance en mon destin.
Courage jusqu'au bout.
Vivre, c'est vibrer de sensations ! Rien de mieux que des vibrations résonnantes émotionnelles !
La sagesse est l'art de limiter sa propre tolérance, en se suffisant de connaissances nécessaires, et en ne trouvant non nécessaires des connaissances superflues.
Je n'attends rien des autres mais tout de moi !
J'ai tout autant le droit d'exister qu'un autre.
Je me dois d'accepter pleinement les phases de ma vie : jeunesse, âge adulte, vieillesse avec respectivement ses obligations, ses responsabilités et ses souvenirs.
Quand je pense, je dois m'écouter avant de parler pour m'éviter de dire de nombreuses conneries, des ordres injonctifs et des dénigrements négatifs.
Quelle impolitesse de parler entre les murs, d'une pièce à une autre, de dire bonjour sans regarder celui qu'on salue !
Le vrai amour est celui de sourire à la vie ! Cette leçon vaut bien un fromage sans doute ! Cheeze !
Réussir sa vie, c'est réaliser ses rêves. L'intelligence est l'art de réussir ses rêves, la connerie de les rater.
La vie , elle t'éduque. Quand je n'ai plus à apprendre de la vie, que mes connaissances me sont nécessaires et suffisantes, j'enseigne alors ce que j'ai compris et réussi.
L'instruction, c'est répéter le passé. Le discernement, c'est faire les bons choix pour être heureux au présent. L'intelligence, c'est prévoir l'avenir.
Voir du monde, des gens et des pays, pourquoi faire ? La meilleure rencontre est avec moi-même !
Il n'y a pas plus intéressant que sa propre histoire.
Réussir dans la vie comme avoir de l'argent, est relativement bien aux yeux des autres. Réussir ma vie comme être heureux, est absolument mieux à mes yeux.
Je n'ai plus peur de mon intelligence, mais je me méfie encore de mes conneries.
La vie est un combat de tous les jours.
Perdre son temps, c'est vieillir plus vite !
Plus je partage, plus la part de gâteau est petite.
Quand le prioritaire est rempli, le secondaire est de moindre importance.
Ni suivre, ni précéder mais accompagner.
Le bonheur est d'oublier le temps qui passe.
Halte à la haine et à l'amour. Place à la présence d'esprit(s).
Obéir est aliénant, désobéir est créatif, s'expliquer calmement avec écoute et compréhension réciproque est salutaire.
La jeunesse est source de rêves, de désirs et de défis, la vie d'adulte est là pour les réaliser et la vieillesse pour les raconter.
M'accorder des moments de solitude permet de me juger seul face à moi-même afin de me repositionner par rapport aux autres pour mieux vivre parmi eux.
Le bonheur est l'art d'être le héros de sa vie au quotidien.
Si tu veux voyager loin, ménage ta monture. Si tu veut vivre vieux, ne te fais pas de soucis outre mesure, ne t'énerve pas et économise toi.
Aux guerres de raisons unilatérales, je préfère la paix des torts partagés.
Les habitudes stabilisent et aliènent en même temps.
Mentir est interdit sauf en cas de danger. Il vaut mieux une vérité cachée que cacher une vérité.
Aimer, c'est prendre du temps pour l'autre, c'est le laisser parler, l'écouter et décider avec lui de l'amélioration de son bien-être.
M'aimer, c'est me donner du temps à m'exprimer pour mon bien-être afin de trouver petit à petit un sens à ma vie.
Je fais attention de ne pas me rendre malade de l'amour et la haine des autres et envers moi-même. Se haïr et ne pas s'aimer est la pire des situations personnelles.
M'aimer moi-même pour ne plus haïr les autres. Un beau jour, je décide que la haine ne passera plus par moi. Magique !
Qui es-tu ? Raconte-moi ta vie de ta naissance à ce jour. En te connaissant entièrement, je peux alors te juger ami, indifférent ou ennemi.
Ce n'est pas bien de cataloguer les gens sans bien les connaître. Ils peuvent aussi changer de catégorie gentil - méchant - indifférent dans le temps. A surveiller.
Je suis heureux dans ma vie lorsque j'ai fait plus de bons choix que de mauvais. Inversement, je suis malheureux quand j'ai fait plus de mauvais choix que de bons.
A ne pas savoir choisir, je me retrouve le cul entre deux chaises, avec le choix des autres qui ont décidé pour moi et qui a de grandes chances de ne pas me convenir.
L'infernal, c'est faire deux choses à la fois ! Une chose compliquée par jour !
Si je ne dis pas, ça me rend malade. Parler soulage. Je m'autorise à dire ce que je ressens pour trouver un réconfort, une aide, un conseil ou une écoute.
Je ne crie pas contre toi, mais contre la situation.
Plus je laisse traîner les choses, plus elles s'enveniment. Il faut battre le fer quand il est chaud.
La fidélité à l'autre est directement proportionnelle à la fidélité que je peux avoir à l'égard de moi-même.
Qu'est-ce qui m'empêche d'être moi-même ? Quand je ne suis pas reconnu et qu'on me traite de con. Mensonge ou vérité, c'est un long travail de clarification.
Ranger chez moi, c'est ranger dans ma tête. Ma maison en désordre est synonyme d'embrouilles dans ma personnalité.
Tout individu est unique, toute intelligence est personnelle, toute bêtise est humaine. Chacun peut s'exprimer sauf en cas de danger pour lui ou les autres.
Chaque personne a une individualité propre, qu'elle doit aller chercher, découvrir et exprimer pour révéler le génie, l'indifférence ou l'ignorance en la matière.
J'arrête d'être dans les constats, les suppositions, les échecs, les préoccupations, le doute.
Plus tu auras peur de me perdre, plus je serai près de toi.
Plus tu me diras tes vérités, quand je peux t'écouter quitte à être blessé, plus je désembrouillerai les miennes, et plus je t'écouterai, t'entendrai et t'aimerai.
Il est néfaste de s'attarder inutilement aux conséquences, plutôt analyser convenablement les faits afin d' agir sur les causes.
S'occuper des conséquences est bien, des faits est mieux, des causes est salutaire.
La peur du mensonge, de mes vérités, de mon ennui. La peur d'exister, d'être malade, de souffrir, de mourir, de partir dans l'au-delà immaculé de reprogrammation.
La peur de l'inutilité sociale, de la solitude, d'être minable, de ne pas s'aimer et de ne pas être aimé.
Je ne suis bien qu'à mon rythme, dans un espace de liberté nécessaire et suffisant que je crée, entretien et défends avec des barbelés.
A moi d'être vigilant à tout ce qui se passe en moi et autour de moi afin de réagir promptement avec intelligence et efficience. Anticiper, prévoir, construire ou détruire.
Ecarter tout danger en étant vigilant et interventionniste.
Qui m'aime me suive, même dans mes erreurs afin de me protéger, de m'expliquer et de me corriger.
Mieux me séparer du passé afin de mieux me retrouver au présent pour mieux s'entraider dans le futur.
Je me dois d'être clair dans ma tête afin de bien réagir à ce qui se passe en moi et autour de moi.
Rien de plus éprouvant que de chercher quelque chose qu'on ignore. Persévérance, aide et clairvoyance.
Bienvenue dans la jungle familiale, sociale, industrielle, religieuse et politique. A moi de me battre chaque jour pour ne pas être dévorer par plus fort ou malin que moi.
Il n'y a pas plus dur que son propre jugement. Le coupable doit décider lui-même de sa punition. Soit indulgent avec toi-même, moins exigeant, moins dénigrant.
Une relation doit être agréable, solidaire et sublime. Chacun doit partager ses progrès de compréhension afin d'avancer tous dans l'assimilation de ce qui se passe.
Qui me trompe une fois, me trompe deux fois.
Se conformer, c'est annihiler sa personnalité ! Choisir la prostitution intellectuelle à être la pute de son patron est plus simple, mais on ne vaut pas mieux qu'une catin.
Les gens sont des complexités de contradictions enchevêtrées. A démêler !
Panser mes pensées. Attention aux pensées nuisibles. A moi de me discipliner dans mes pensées sans prise de tête. J'ai l'esprit clair et non encombré.
Rire me redonne de l'énergie. Prendre un fou rire avec quelqu'un est un moment intense de joie partagée.
Bien dans ma tête + bien dans mon corps = bien dans ma vie.
Comme la nature adopte un comportement de moindre énergie pour sa pérennité, l'homme doit faire de même, au lieu de grimacer, il vaut mieux sourire à la vie.
Ce que vous faites aux autres, vous le faites à vous-même. Si vous émettez de l'amour, de la haine ou de l'indifférence, vous recevrez idem en retour.
Pardonner ? Oui. Oublier ? Non.
Me discipliner, c'est devenir raisonnable pour moi-même.
On ne peut pas être ami avec tout le monde. Cela dépend du niveau de communication qui passe entre nous, de nos valeurs et contre-valeurs du moment.
A se foutre de tout et du monde, on se retrouve tout seul et dans l'ennui.
Suis-je moins con qu'avant ? Ai-je bien évolué, grandi, gagné en sagesse ?
On s'habitue à tout, même à toujours faire ce qu'on n'aime pas faire, même à être con. J'suis con mais j'me soigne !
La jalousie amène la haine et rend malheureux. Le non-désir du superflu rend sage.
Mon bonheur s'acquiert par la réussite du puzzle de ma personnalité. Quand j' aime alors ma propre image, je peux aider les autres à réaliser leur propre puzzle.
La dépression me guette quand je ne m'aime plus, quand je ne suis pas moi-même, quand les évènements prennent le pas sur ma réactivité.
Discrétion est mère de sûreté. Pour vivre heureux, vivons cachés.
Consolider ses fondements, valeurs et croyances comme une pyramide, du bas vers le haut, du sûr à l'incertain. Ne pas construire de pyramide à l'envers !
A moi d'équilibrer mes dépendances et mes indépendances, d'être tantôt mené, tantôt meneur.
Il est très difficile de ressusciter d'un suicide psychologique, lorsque l'on a dédoublé son être pur en un être intérieur et un paraître extérieur lors d'un choc émotionnel.
Tu peux penser ce que tu veux, pourvu que tu ne m'obliges pas à penser comme toi.
A force d'en prendre plein la gueule comme victime, à mon tour, j'en deviens bourreau.
La pire aberration humaine est de voir les choses et les gens comme on voudrait qu'ils soient, au lieu de les prendre comme ils sont dans leur réalité intrinsèque.
Avant toute communication, il faut bien en définir les règles du Jeu.
Les relations humaines sont des jeux de rapports de forces philosophiques, voire physiques si elles dégénèrent. Mieux vaut être chat botté qu'ogre !
Le chat botté et l'ogre communiquent à mort. L'un pour voler le château par la ruse, l'autre pour jouer de sa puissance.
Laisser du temps aux autres pour choisir ou ne pas choisir. Une amitié, un flirt, une adversité se négocie à deux.
Les dévoreurs de temps sont souvent impitoyables pour eux-mêmes … et pour les autres.
Je ralentis, arrête ou fuis les gens qui vont plus vite que moi, sous peine qu'ils se moquent de moi, me mystifient ou m'égarent.
Je ne réponds à un mensonge que par un plus gros mensonge. Les menteurs doivent être punis de mensonges plus gros que les leurres.
Communiquer, c'est être présents à s'écouter. C'est s'interposer ou être solidaires. C'est se haïr ou s'aimer. C'est tout sauf d'être indifférent.
Si nous respectons nos vérités, c'est bien; si nous nous les expliquons, c'est mieux; si nous nous les échangeons, c'est génial !
Communiquer, c'est s'expliquer le passé pour comprendre notre présent afin de prévoir ensemble l'avenir.
L'exigence, c'est soumettre l'autre au choix qu'on impose. Etre exigeant, c'est être emmerdant.
Le conflit pervers est une réalité d'incommunicabilité, nécessaire à gérer ou à fuir.
Le monde est fondamentalement agressif pour que chacun survive, les animaux pour manger, les hommes pour se faire valoir. A chacun de défendre son ego.
Je me donne des objectifs réalisables, sinon je m'y épuise, je m'y écroule, je m'y dégoûte jusqu'à l'indifférence puis l'oubli de moi-même jusqu'à la folie.
Les vertus de l'étonnement. S'étonner, c'est s'intéresser déjà à un problème.
Marre des gens qui se plaignent !
Grâce à l'ex-pression, la pression psychologique s'en va et la dépression aussi. S'exprimer, c'est s'exorciser.
Chasser le naturel, il revient au galop. Vouloir aller contre nature est épuisant.
J'ai beau essayer de changer ma personnalité, mes instincts primaires refont toujours surface. Tailler un arbre en cube demande beaucoup plus d'entretien.
Il ne faut jamais dire jamais. Il est prudent de laisser une porte de sortie dans toutes altercations à fin de réconciliation. Je n'enferme pas l'autre dans mes principes.
Dévoiler l'implicite pour le clarifier en explicite. Quels sont les secrets des projections familiales, conjugales et professionnelles ? Quelles sont les règles du jeu ?
Sous les placards des non-dit, j'y mets des explosifs ! Expliciter l'implicite est mère de vérités.
Comme un tank dans un magasin de porcelaine, l'incommunicabilité réciproque fait des ravages dans le monde fragile du relationnel.
L'incommunicabilité est le fardeau des générations dans l'antagonisme de l'éducation, entre l'amour et la punition, l'écoute et l'autorité, le laisser-faire et la remontrance.
Couper la parole pour faire des remontrances en donnant des ordres est aux antipodes de toute communication, encouragement, réconfort et écoute.
Mettre les bons mots à la bonne place, pour une explication saine, claire, nécessaire et suffisante, compréhensible dans son essence et sans danger pour son écoute.
Mettre les bonnes choses à la bonne place. Mettre les bonnes gens à la bonne place dans la hiérarchisation de mes relations.
Avant de donner ou recevoir, je m'assure que la personne complice est en état de recevoir ou donner.
Le meilleur cadeau que je puisse faire à quelqu'un est décidé à l'avance par nous deux.
Le meilleur enseignement qu'un maître puisse faire à un élève est celui qui est demandé par ce dernier.
Un maître peut demander à un élève d'être toujours premier, mais pas d'avoir 20 / 20 à chaque devoir.
Je ne peux pas discuter avec une personne qui a toujours raison.
J'équilibre mes oui et mes non. 5 oui pour 5 non = entente. 10 oui pour 0 non = esclavagisme. 0 oui pour 10 non = totalitarisme.
Questions pour un contrat relationnel : A quel jeu jouons-nous ? Pour quelles règles ? Pour quel but ? Quelles tricheries sont possibles ? Pour combien de temps ?
A qui ai-je affaire ? Combien ça me coûte ? Combien ça me rapporte ?
La communication est l'art de partager le temps. Tout seul, 1/2 selon moi et 1/2 à faire place au silence. A deux, 1/3 selon moi, 1/3 selon toi et 1/3 de silence.
A trois, 1/4 au premier, 1/4 au deuxième, 1/4 au troisième et 1/4 au silence. Le silence est fait pour réfléchir, se reposer et prier.
Sinon, on est un voleur de temps qui énerve, épuise et désintéresse les autres. On n'a le droit de le voler que s'il y a danger physique, psychologique ou financier.
Connais-toi toi-même pour connaitre les autres !
Il faut cultiver son jardin. Comme on élague un arbre pour sa santé, je fais le tri de mes connaissances fondamentales et superflues afin de me recentrer sur l'essentiel.
Je ne m'intéresse à toi, pas plus que tu ne t'intéresses à moi, selon l'essence de notre relation.
Communiquer, c'est oser dire, partager, échanger de façon satisfaisante pour tous les partis.
A une insulte, je renvoie une autre insulte et ainsi de suite, ou de l'humour pour un stop ou encore, ou de l'amour pour désarçonner l'adversaire.
Que se cache-t'il derrière les mots et les maux ?? En lisant en dehors des lignes, je décode les messages.
Je suis souple, ouvert, prudent et circonspect ! Je remue sept fois ma langue dans ma bouche avant de parler !
Dire explicitement " Je t'aime !" Tout me dit que tu m'aimes sauf toi.
Je ne peux pas donner ce que je n'ai pas reçu : amour, affection, écoute…
On ne sait pas se dire les choses. Je n'ose pas parler de moi. Est-ce si vrai que tout va bien ?
Plus je démerde les gens, plus ils m'emmerdent !
Si tu exiges de moi, me contrains, projettes sur moi tes peurs, tes angoisses, tes desseins, alors je ne joue pas avec toi !
Des fois, il est impératif, salutaire et nécessaire malgré tout, de tourner la page afin de passer au chapitre suivant.
Toute hiérarchie est source de conflits. Des ordres, ça fait désordre !
Si chacun s'occupait de soi-même au lieu de s'immiscer dans les affaires des autres, tout irait mieux dans le meilleur des mondes, le mien.
Communiquer, c'est séduire, convaincre et rassurer.
Les échanges non clarifiés en tenants et aboutissants sont sources d'entourloupes et d'hypocrisie.
Les vraies questions pour les vraies réponses. Parler non de la forme mais du fond des choses. S'accorder un rendez-vous pour prendre le temps de mieux se connaître.
Il est plus heureux d'être écouté dans une cabane de pêcheurs, que d'être débouté dans le palais d'un roi !
Dans une communication, il est bien de respecter les réalités de chacun. Si l'échange est mauvais, ce ne sont pas les gens qui sont en cause mais c'est la relation.
Je veille à ne pas faire peur aux autres et à ne parler qu'aux gens qui peuvent entendre mon discours.
Toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire, mais nécessaires à entendre.
Gonfler encore les conneries des autres par miroir amplificateur. "Ton vélo pèse bien 100 kg !?" "Non, il est bien à 300 kg !"
Ne pas rester avec des épées de Damoclès au-dessus de la tête. Me sortir des dangers dans lesquels je me suis empêtré.
Chaque individu est unique. Ce qui est vrai pour moi, ne l'est pas nécessairement pour les autres et réciproquement.
Aller au-delà des apparences. Tu m'embêtes : 1er degré, je fais la gueule. 2ème, je te demande pourquoi tu m'embêtes. 3ème, j'ai compris que tu m'appelles au secours.
Les gens sont comme des boîtes de conserves. Ce n'est pas à la belle étiquette qu'on reconnait un bon produit. Entre le paraître et l'être, que de différences !
Concerter avec plus petit que moi, négocier avec égal à moi, composer avec plus fort que moi.
Rien ne m'oblige à répondre aux questions qui me dérangent, de tout dire à tout le monde. J'ai et sauvegarde ma vie privée et mes secrets. En quoi ça te concerne ?
Je peux aider quelqu'un à faire du vélo, mais à un moment ou à un autre, quand il y aura moindre danger, il faudra bien que je le lâche pour son indépendance.
A nous de respecter nos différences et vivre ensemble de nos ressemblances.
Je ne deviens vraiment adulte que lorsque je suis l'idole de moi-même, dans la pleine acceptation de mon destin avec mes bonheurs et mes malheurs.
Je suis malheureux quand je me compare aux autres et à celui que je devrais être, pour les autres et pour moi-même.
Je suis adulte lorsque je ris de mes malheurs !
Le relationnel conflictuel est comme un jeu de bras de fer. Plus je laisse d'avantages à l'adversaire, plus il m'est difficile voire impossible de reprendre le dessus.
Personne ne m'écoute, ne me laisse m'exprimer, ne m'aime, donc je n'écoute, ne laisse exprimer et n'aime personne.
S'entraider l'un l'autre pour avoir de plus en plus confiance et mieux se connaître afin de se sublimer mutuellement.
Respecter la liberté de chacun. Ne pas envahir l'autre par de l'amour possessif en s'immisçant sans permission dans ses secrets. Vérifier si on ne fait pas de bêtises.
Aimer, c'est accorder réciproquement à l'unisson nos libertés d'expression.
Pour anéantir mon complexe de minabilité, je m'autorise enfin à avoir réussi ma vie.
Les hommes comprennent les mathématiques, les sciences et les techniques pour envoyer des cosmonautes dans la lune, mais ne comprennent pas les femmes.
En amour, il est bien de tout (se) dire, tout (s') expliquer pour (se) comprendre et se repérer l'un par rapport à l'autre.
Avant tout être honnête, parler vrai sans mensonge, sauf en cas de danger.
Fidélité de l'un envers l'autre. L'infidélité est euphorique à court terme mais la fidélité est seule constructive d'un bonheur à long terme.
Solidarité dans la réussite et dans l'échec. Proposer sans imposer. Questionner sans harceler. Changer sans déranger.
Sécurités : physique avec le sport pour avoir de l'énergie en réserve, psychologique en évinçant les gens qui me stressent et financière par le travail et l'argent gagné.
Je suis puni par là où j'ai péché. De la manière que je juge, je serai jugé en retour.
Il faut arrêter d'être cons ! Les cons ne viennent pas dans les domaines des autres pour leur demander s'ils ont besoin de secours.
La connerie est la manière insolente de passer de l'ordre au désordre. L'intelligence est l'art de ramener le désordre à l'ordre. La communication est la réconciliation.
Les cons vont de paire : ceux qui incitent d'être con, et ceux qui s'y laissent prendre. Au dîner de cons, quel est le plus con ? L'hôte ou l'invité ?
Etre con, c'est être fermé sur moi-même et aux autres. Tout en me protégeant par l'épée de mes vérités et le bouclier de mes mensonges, je m'ouvre aux autres.
Quand je ne sais pas ce que je veux, je ne peux pas être heureux. Quand je veux, je peux !
Nous sommes tous des écorchés vifs de nos incompréhensions mutuelles, en nous, entre nous, entre générations et avec Dieu.
Réfléchir, m'expliquer et me vérifier est la méthode cognitive pour mes soins psychiques et spirituels.
Soit brave, appliqué, droit et enjoué.
Rien ne sert de ressasser ce que j'aurais pu faire, car la machine à remonter le temps n'existe (encore) pas ! Le passé est révolu.
Mon plus grand ennemi est moi-même, dans mes habitudes, mes projections, possessions, dualités et conformités, indifférences et je m'en-foutisme envers moi-même.
Ne plus dire : "Je m'en fouts". Toujours prendre position avec un oui, un non ou sans opinion pour le moment.
Je te hais me ! Amour et haine sont souvent mêlées.
J'arrête de porter mes souffrances et celle de l'humanité. Je m'en décharge en les résolvant psychanalytiquement, socialement ou physiquement par la paix ou la guerre.
Les gens sont porteurs de traumatismes qu'ils n'arrivent pas à dépasser. S'ils le veulent bien, iIs doivent se faire aider, à surmonter leurs peurs et leurs déchirements.
Que de temps perdu à croire que l'on est malheureux ! Le bonheur se prépare et se gagne comme une bataille de chaque jour. Prévoir pour maîtriser et réaliser.
Ce que l'on n'ose pas être, on ne l'est pas. C'est l'éternelle volonté du dépassement de soi qui fait avancer le monde.
La gravité des cons est toujours plus prise au sérieux que le rire suspect des comiques. Comme la connerie est apatride, tous les pays se ressemblent.
Je refuse de rentrer dans des règles qui n'existent que dans la tête de leurs inventeurs.
Je préfère vivre moi, ma propre vie, plutôt qu'écrire un roman, rêver à être un autre ou penser aux autres.
Mon pire ennemi est moi-même. Je n'ai peur de personne, sauf peut-être de moi-même, et de Dieu en même temps.
Me discipliner à réduire mes excès positifs et négatifs, est la tâche la plus difficile qui soit. Pour être serein et réactif, je dois me situer dans le juste milieu des choses.
Le plus dur est de parler à des gens qui n'écoutent pas, d'être silencieux face au mutisme, de tarir une logorrhée.
Souvent, on ne parle pas le même langage, alors personne n'écoute, nul n'est ouvert aux vérités des autres. Chacun rumine à s'affirmer ou infirmer, rarement confirmer.
L'erreur est humaine, persévérer dans l'erreur est inhumain. Il faut y arrêter !
Je prends d'autant plus vite de mauvaises habitudes, qu'il me sera long de les éradiquer. Je prends l'habitude de tout, même d'être con.
Tout comportement excessif est issu d'un traumatisme ou d'une névrose. Toute réussite sensationnelle est la récompense d'une facilité entraînée.
Tout échec est la conséquence de préoccupations morales égarantes car sans réponses explicatives.
A moi de reprendre, m'accorder et défendre mon droit au bonheur et à l'amour. Je ne me laisse plus minabiliser mais je grandis. Hauts les cœurs !
Il ne faut pas cracher dans la soupe. Il n'est pas bien de critiquer un service rendu par un autre.
Je veille aux lames de fond des gentils - méchants et des méchants - gentils et aux tsunamis des gens dangereux qui s'amusent de moi, avant de leur faire confiance.
Attention aux gens dangereux qui me déglinguent ! Je les remets à leur place ou je fuis.
Il est bien de s'avouer nos vérités: "Je suis jaloux de toi parce que…"; Voici mes doutes, mes peurs, mes angoisses, mes douleurs, mes joies et mes prières.
Vérifie d'abord, fais confiance ensuite.
Réaction, présence d'esprit(s), attentions, lucidité, bon sens, sagesse, courage, calme, discernement, préparations, actions, secours, vérifications, confiance et paix.
Comme un programme informatique, je me dois d'être ouvert à l'imprévu.
Avant d'être la victime des autres, je suis d'abord mon propre bourreau !
Je ne me laisse pas massacrer par une personne en colère ou pleine d'amour en sens unique. Sinon j'en suis malade et mets très longtemps à m'en remettre.
Au-delà d'une discipline saine pour mes santés physique, psychologique et financière, je suis doux avec moi-même.
Si je ne peux rien dire sans jamais pouvoir en placer une, et si je ne peux rien faire sans être toujours critiqué, il ne me reste plus qu'à penser jusqu'à en devenir fou.
L'indifférence des autres augmente ma solitude. Ma solitude insupportable me vient d'une haine envers moi-même.
J'arrête de me plaindre et je m'occupe d'abord de moi.
Bouffe les autres, sinon ce seront eux qui te boufferont.
Un intelligent parmi les cons, est traité de con.
Terminé la pollution mentale ! Je résous mes problèmes un à un afin d'être libre dans ma tête pour mieux profiter de ma vie. Clairvoyance.
Y'a-t-il quelqu'un pour m'arrêter dans ma folie ? Y'a-t-il un volontaire pour être le dernier de la classe ?
Le pire dans la vie est de se sentir inutile. Penser au suicide, oui, passer à l'acte, non !
Plus de rentre-dedans, de haine et de guerres de raisons. Des fois, ma raison me donne tort.
Je ne traîne plus mes boulets solitaires, vains et pas marrants.
Si mon cœur est blessé, je le guéris en me laissant aimer. Avec précaution, je m'ouvre au bonheur des autres.
Je retire mon masque de haine et retrouve mon sourire à la vie ! Je suis mon bonheur.
A moi de laisser parler mon tempérament ! Un homme s'accomplit en toute autonomie par ses défis réussis.
Nous souffrons de ce que nous nous disons et faisons. La parole est-elle d'une grande utilité par rapport aux actes de tous les jours. Place souvent aux silences.
Tu as toujours raison, j'ai toujours raison; à partir de là, nous n'avons plus rien à nous dire. Tu dis les mêmes critiques que moi à ton égard. Bizarre !
Ce que je dis aux autres, il serait bien que je me le dise aussi à moi-même.
Devoir se conformer amène la haine. Elle est une ogresse d'énergie.
Où ai-je relégué mes instincts natifs ?
Décodages de l'univers intérieur du comportement de ma famille : Qui est mon père, ma mère, mon frère, ma sœur, mon enfant ? Qui suis-je ?
Je vis dans la contradiction : je suis attiré par les gens que je devrais fuir, je fuis les gens qui m'attirent. L'adrénaline du danger relationnel me fait faire des bêtises.
Taire l'expression de quelqu'un, c'est le réduire à moins que rien. Il sera minable à ses yeux et s'enfermera dans sa tête.
J'arrête le monologue de mon cirque mental du jamais content ! Je réfléchis avec d'autres et travaille à être heureux pour moi et les miens.
Une brèche apparait, y poser de la dynamite pour exploser les clivages latents et trouver les trésors cachés au sein des pierres comme les améthystes.
Je n'aime pas qu'on m'abandonne.
J'attends, je ne fais qu'attendre !? Quoi ? Je ne sais pas. Peut-être qu'on s'occupe de moi à faire ce que je ne veux pas faire tout seul, comme m'occuper de moi.
J'en ai marre de dériver de mon paraître à mon être. A moi de travailler à la superposition de mon être et mon paraître, sauf en cas de danger à sortir de mes gonds.
Il n'y a pas plus grand fourvoiement que celui de me mentir à moi-même ! Attention au faire plaisir pour les autres sans plaisir pour moi. Faire plaisir, c'est s'oublier !
Arrête de parler, j'ai des choses à te dire.
Ma propre abnégation face aux autres ou devant les faits, est l'effacement de toute personnalité et individualité qui empêche d'entreprendre et de se réaliser.
Faire semblant d'être heureux est perturbant ! M'essayer à être quelqu'un d'autre que moi-même me rend fou ! Mieux vaut découvrir et assumer ma vraie personnalité.
Je ne m'avilis pas à m'abaisser devant les autres jusqu'à me rendre méprisable. Je garde mon honneur tout en me préservant des dangers.
J'ose, je n'ai pas peur de moi, je repousse les autres pour faire ma place au soleil en leur donnant des limites afin de me constituer un champ d'action.
Les gens qui m'entourent me font faire du mimétisme. Imperceptiblement, je leur ressemble de plus en plus. A moi de me repersonnaliser quand je rentre chez moi.
Au-delà des apparences, vérifier l'être.
Je suis réactif, extraverti et avenant. Je règle mes problèmes sur-le-champ.
Assumer ses erreurs en les comprenant puis en demandant pardon.
Bon et bête commencent par la même lettre. Les mystificateurs profitent des gens gentils et crédules.
Demander, c'est se rendre esclave. S'assumer, c'est s'affranchir des autres. Vive la liberté d'exister comme je veux pour être heureux seul parmi les autres.
Je décide toujours pour moi, sinon je ne serais jamais content.
Ne pas accepter l'inacceptable ! Se résigner est le début de l'aliénation.
Toute secte familiale, philosophique ou religieuse, laborieuse ou politique, est d'un prosélytisme aliénant.
La liberté de vivre, de penser, de comparer, de s'exprimer et d'agir doit plus que tout être inaliénable.
Me changer est très difficile, vouloir changer les autres est peine perdue !
Suis-je heureux ? Ai-je besoin de secours ? Quels sont mes traumatismes d'enfance, d'adolescence et d'adulte ? Mon inconscient me fait-il souffrir?Je m'occupe de moi.
Es-tu heureux ? As-tu besoin de secours ? Quels sont tes traumatismes d'enfance, d'adolescence et d'adulte ? Ton inconscient te fait-il souffrir? Resaisis-toi,change-toi !
La source de toute peur est l'incompréhension. M'expliquer mes peurs m'en préviendra ou les annihilera. C'est la raison d'être de la psychologie.
Mon inconscient me fait souffrir psychiquement. Mon inconscient est une partie de mon conscient qui est morte.
L'inconscient se construit sur des difficultés non surmontées, sur des tourments non aplanis et sur de l'incommunicabilité persistante. Il perturbe et voile la personnalité.
Il m'est salutaire de déjouer les manœuvres secrètes de mon inconscient qui me clone petit à petit en un autre que moi-même. Qui suis-je?
La psychologie est un outil pour combattre, réduire puis anéantir mon inconscient. M'intéresser à la psychologie, c'est vouloir arrêter de faire semblant avec moi-même.
Me dire enfin mes vérités profondes retrouvées, me pardonner mes erreurs d'interprétations, accepter quand même mes choix du moment, avouer mes incompréhensions
Pour cela, je travaille dur à la remémoration de mes échecs, à mettre des mots sur mes maux, à écrire sur un carton chaque problème puis les classer en arborescence
Les cartons mis les uns sous les autres en dépendance, mettent en évidence mes premiers problèmes sources indépendants.
Place alors au travail fastidieux de la résolution de mes problèmes psychiques sources indépendants. Leurs problèmes dépendants se résoudront d'eux-mêmes.
Avec intelligence, il m'est nécessaire de régurgiter mes couleuvres avalées en lavant les affronts subis sans réagir par crédulité en m'adressant à la personne concernée.
Il s'agit alors de s'expliquer, de demander des comptes pour comprendre, afin de me venger ou pardonner par des paroles ou des actes et être rétabli dans mon honneur.
Place aux changements ! Je me donne délicatement un objectif de changement sur une période déterminée (une seconde comme un an) afin de corriger mes habitudes.
Par une guerre intellectuelle, l'inconscient est conscientisé et je redeviens pleinement moi-même ! Sans tourments, je me sens plus léger, calme et serein.
Guérir de mon inconscient amène à parler vrai, entre vérités et mensonges pour me protéger, et à être pleinement heureux.
Quand je suis arrivé enfin à vraiment m'aimer, je peux alors pleinement aimer les autres, dans un contexte oblatif, à faire passer les besoins d'autrui avant les miens.
Quelqu'un qui s'aime et aime, a les yeux qui brillent de jovialité en manifestant une gaité simple, attractive et communicative.
J'en ai assez de passer ma vie à la regretter. Vivement ma prochaine réincarnation !
Je ne dois pas raisonner dans l'absolu, l'idéal, l'utopisme, le conditionnel, le futur antérieur et le passé mais au présent. Je dois me tenir dans la vérité de la réalité.
Pas de place pour les anachronismes comme les phrases commençant par Si… ou J'aurais du…
L'argent, c'est la liberté. L'argent n'est un souci que pour ceux qui n'en n'ont pas suffisamment. L'argent ne fait pas le bonheur mais y contribue fortement.
L'argent, crée comme moyen d'échange, est devenu un pouvoir d'aliénation.
Tous les enfants sont intelligents. Mais passés au rouleau compresseur des éducations parentale, professorale, religieuse et professionnelle, ils deviennent des robots.
Ils s'éloignent de leurs dispositions naturelles, de leurs dons, de leurs rêves pour des comportements artificiels de sociétés malades par l'ignorance, le pouvoir et l'argent.
Il leur est alors nécessaire de se sortir de cet inconscient collectif perturbant, pour retrouver leurs instincts et vivre par eux-mêmes parmi les autres.
Dans la vie, je fais ce que j'aime et je suis heureux ou j'aime ce que je fais et je suis mal heureux.
Un oiseau apprivoisé sera toujours en manque de liberté. Place à nouveau à l'état sauvage, inné et instinctif.
Faire clair et net dérange toujours les autres car cela rend l'intelligence à la vérité accessible à tous. La transparence des informations malmènent les autorités.
Avec des bêtises, le monde est plus marrant !
Un ami est quelqu'un que je ne dérange jamais et qui m'empêche de dériver. Qui es-tu toi, pour entrer dans ma vie ? Je sors avec toi, car tu es pour moi une présence.
Un ami est quelqu'un qui ne trahit jamais.
Il existe des princes charmants qui épousent des roturières en les sublimant en reines.
Il n'existe pas des princesses charmantes qui invitent des chômeurs chez elles pour les sublimer en des nouveaux maris fidèles.
Il est bien d'être conscient de ce qui se passe, trame et décide. La critique est facile, l'art d'intervenir en actions concrètes, mesurées et efficientes est plus difficile.
L'essentiel est de participer, tantôt en meneur, tantôt en mené, dans un groupe de travail, sportif ou intellectuel.
L'homme qui sait, protège, exploite ou assassine l'homme qui ignore.
Parents, devenons heureux nous-mêmes, c'est le plus beau cadeau que nous puissions faire à nos enfants.
Quand je suis fatigué, je fais tout de travers. Il m'est nécessaire de bien vivre selon mon biorythme, en respectant mes heures de sommeil et de veille.
Au royaume des crédules, les menteurs sont rois !
Les gens intelligents incorruptibles ne font pas long feu : Socrate, Jésus, John Fitzgerald Kennedy…
L'espèce humaine n'est plus naturelle, instinctive, solidaire, logique et appliquée. Elle se régit selon des intérêts croisés de hiérarchies financières internationales.
Il vaut mieux avoir à faire au dernier des cons qu'au premier des mystificateurs.
Je suis à l'image des gens que je fréquente. J'ai besoin d'avoir plusieurs amis pour m'exprimer pleinement pour chacune de mes préoccupations.
L'humour sain est l'art de rire des faits sans se moquer des gens.
Mon meilleur juge est moi-même. L'entourage n'est pas le public.
Au lieu de s'affronter entre nous en des jeux de massacres physiques, psychologiques et financiers, vaut mieux résoudre ensemble nos problèmes !
La majorité n'a pas toujours raison. Place à la proportionnelle !
Moi d'abord, les miens ensuite, les autres bien après.
Toute société intéressée avilit ses membres par la corruption, la soumission ou la violence.
L'histoire recommence, car nous recommençons les mêmes erreurs. La nature humaine ne change pas : aliénation, griserie du pouvoir, guerres relationnelles…
Le genre humain : les bons, les brutes et les truands.
Le pouvoir appartient à ceux qui manipulent l'information. A moi de les recouper pour les vérifier. L'homme est crédule ou corruptible, donc manipulable.
Il y a le conflit perpétuel des générations : Sur l'autel du faire-plaisir, les parents se sacrifient pour leurs enfants et les enfants se sacrifient pour leurs parents.
Les bons parents se contentent d'éduquer leurs enfants dans leurs demandes, explications et décisions sans donner d'ordres, hiérarchiser et décider à leurs places.
Les parents se doivent de communiquer petit à petit de parents à enfants puis d'adultes à adultes. Et ce jusqu'à leur majorité. Après libres aux jeunes.
Si les enfants majeurs sont encore dépendants de leurs parents dans leurs choix professionnels, conjugaux et d'appréciation, c'est que les parents ont raté leurs rôles.
Que la fête commence !
Il ne faut pas mentir aux enfants, sauf quand on commence par : " Il était une fois…"
A force de m'occuper des autres, je ne m'occupe plus de moi. Aider, c'est s'oublier. Moi d'abord !
Pendant que je viens en aide aux autres, je ne prends pas ce temps à me réaliser. Je me sers, non pas en dernier, mais en premier.
Les gens qui lisent, répètent. Les gens qui écrivent veulent avoir raison. Les gens qui comptent font des affaires. Les gens qui prient n'ont pas confiance en Dieu.
Comment taire les commentaires ? Il vaut mieux parler des causes que des faits et de leurs conséquences.
Les gens ne sont pas solidaires entre eux : délation, chacun pour soi, bâtons dans les roues. Ils rient avec toi par devant et te massacrent par derrière.
Petit à petit et délicatement, je prends ma place dans ma famille, un groupe sportif, une entreprise afin d'y être reconnu et choyé.
Chacun contribue à la réussite du groupe tout en étant porté par celui-ci.
Il y a toutes sortes de microsociétés : un état, une entreprise, une classe d'élèves, une famille, un couple… avec ses meneurs, chefs, caïds, intelligents et ses menés.
C'est face aux dangers qu'on se reconnait et que chacun se révèle. C'est pourquoi les hommes aiment tant faire la guerre. L'adrénaline est enivrante.
Il vaut mieux venir cinq minutes au travail avec une bonne idée, que de rester 8 heures à faire toujours la même chose.
Tout enfantement se fait dans la douleur. Un enfant pour une femme, un rêve, projet et réalisation pour un homme.
Le rôle des notes à l'école n'est pas de sanctionner mais de mesurer.
A l'école, nous apprenons à bien travailler en ayant de bonnes notes. A l'armée puis au travail, il faut avant tout obéir aux ordres de son supérieur .
A qui profite le crime ?
Dépenser l'argent des autres est facile comme le font les politiciens. Gagner son propre argent en créant une entreprise est plus difficile comme le font les industriels.
Etre prolétaire à l'usine, c'est comme être locataire d'un appartement. Etre patron, c'est comme être propriétaire de sa maison. On s'exprime davantage avec plaisir.
Tant que je ne suis pas moi-même patron, je ne mets pas ma passion dans mon travail et garde une certaine distance au cas où le relationnel viendrai à s'envenimer.
J'ai invité Dieu en moi, et je ne suis plus jamais seul. J'ai fait de Lui mon complice. Je suis de connivence avec Lui en une mélodie secrète.
Je suis Dieu. Nous sommes Dieu. Tout est Dieu. Dieu, lors du big-bang s'est incarné en sa Création. Tout le monde Le cherche dehors alors qu'Il est en nous.
L' Homme tend vers Dieu. Rien n'est plus important que moi-même, même Dieu, puisque Dieu, c'est moi !
Le monde va tout de travers. Il serait bien que Dieu daigne venir y faire un tour pour nous l'expliquer !
Nous sommes tous des anges tombés du Ciel, avec un rôle prédestiné à jouer sur terre. Puis nous nous retrouverons tous au Paradis pour échanger nos impressions.
L'abandonnique divine, la complication, l'incompréhension et l'isolement rendent l'homme souffrant dans son âme. Dieu est responsable de la folie des hommes.
Pour raison existentielle, il est salutaire de pardonner à Dieu, la souffrance des hommes. Celle-ci créée par Lui, doit bien servir à l'entretien vibratoire de l'existence.
La mort physique n'est qu'un passage à la vie spirituelle jouée dans une autre dimension, celle de l'immortalité des Esprits. L'âme de l'homme est éternelle car en Dieu.
De quoi Dieu me jugerait, puisqu'Il me donne à penser ce que je pense, dis et fais ?! Le jugement dernier, le karma, et l'enfer n'existent pas. Seul le paradis nous attend.
Aide - toi et le ciel t'aidera.
Dieu, comme matrice de toute la Création, est sûrement une femme !
Ne pas avoir peur du temps qui passe. Faire confiance un peu à Dieu.
Les prémonitions sont des clins d'œil, des chuchotements de Dieu, terriblement inéluctables.
Dieu s'amuse des hommes, comme les hommes s'amusent de Lui ou entre eux : guerres, sexe et mensonges.
Dieu est un poisson d'avril. Il s'amuse de et avec nous. Je n'ai plus peur de Lui. Je l'observe et communique avec Lui dans la nature et en moi. J'ai la foi de vivre ici.
J'arrête de vivre dans la crainte de Dieu, des hommes, du stress et de la maladie. Prévention et sécurité.
Le tragi-comique de la vie est un peu plus comique que tragique pour la pérennité de la race humaine. Profitons de nos bonheurs, protégeons-nous de nos malheurs.
Je ne suis ni fou, ni con, ni intelligent mais tourmenté par la raison existentielle. A quoi jouons-nous? A exister pour le meilleur ou le pire afin de passer le temps.