en résidence du 15 au 20 janvier

Transcription

en résidence du 15 au 20 janvier
EN RÉSIDENCE DU 15 AU 20 JANVIER
Julien Lourau
saxophones
Laurent Coq
piano
Thomas Bramerie
contrebasse
Ari Hoenig
batterie
JE 18 JANV. 20H30
RÉPERTOIRE WAYNE SHORTER
L’Amphi est membre
du réseau Suivez le Jazz
VE 19, SA 20 JANV. 20H30
QUARTET JACMEL
NOUVEAU RÉPERTOIRE
En partenariat
avec le Grand Hôtel
des Terreaux
JANVIER 07
DU 15 AU 20
RÉSIDENCE JAZZ
JULIEN LOURAU
JULIEN LOURAU
NÉ EN 1970, JULIEN LOURAU
GRANDIT EN ÉCOUTANT
LES GROUPES DE FUSION
DES ANNÉES 70 ET 80. SES
PREMIÈRES EXPÉRIENCES AUX
CÔTÉS DE NOËL AKCHOTÉ
ET DU PIANISTE BOJAN ZULFIKARPASIC, DANS TRASH
CORPORATION, SONT LE
REFLET
D’UNE
FOUGUE
CRÉATRICE, D’UN REFUS DES
DOGMES.
En 1992, il remporte le premier
prix de soliste à la Défense. Il
fonde son Groove Gang qui
signe son premier album en
1995. Julien Lourau est sollicité
par Henri Texier, Marc Ducret.
Après un second volet plus
urbain des aventures de Groove
Gang (City Boom Boom en
1998) avec notamment Minino
Garay et Malik Mezzadri, Julien
Lourau s’oriente vers d’autres
expériences. Il se tourne vers les
rythmiques jungles, et emmène
en tournée Maxime Zampiéri,
Sylvain
Daniel,
Stephanus
Vivens, Tamoul Dondieu Divin,
le programmeur Jeff Sharrel,
Minino Garay et Malik Mezzadri.
L’album Gambit synthétise cette
immersion dans les sonorités
nouvelles. Il se recentre ensuite
sur la composition de thèmes
plus classiques et plus élaborés,
influencés par ses voyages
en Amérique latine (The Rise,
2002). 2005 est l’année de
Fire & Forget. Fire est le premier
volet de ce diptyque. Forget sort
quelques mois plus tard. Epaulé
des habituels Vincent Artaud
(basse), Daniel Garcia-Bruno
(batterie) et Bojan Z (claviers)
et d’Eric Lohrer (guitare),
Julien Lourau explore les terres
du free-jazz, de l’électro, de
l’urban-music ou de la musique
latino-américaine. Dans Forget,
le saxophone est beaucoup
plus en avant pour des chorus
très rythmés. Il nous donne
également à entendre les
morceaux composés pour le film
du haïtien Michelange Quay,
L’Evangile du cochon créole.
“ Julien Lourau, on aime le suivre
parce que lui n’est pas un suiveur
et sait toujours nous surprendre.“
(Le Parisien, 2002). ■
LAURENT COQ
Né à Marseille, il étudie au
Conservatoire d’Aix-en-Provence
puis s’installe à Paris pour se
consacrer au jazz. En 1994, il
part six mois à New York et étudie
notamment avec Bruce Barth, qui
devient son mentor et ami fidèle.
Il enregistre son premier disque
en 1997 à New York, Jaywalker,
et écrit la musique des films
Mauvais genre et de J’irai au
paradis car l’enfer est ici puis
de Mille Bornes en 1998. 1999
est l’année de l’enregistrement
de son album avec son quartet
et d’un album avec le sextet de
Laurence Allison. L’album Laurent
Coq Blowing Trio/ Live@the Duc
des Lombards (2001) obtient le
Grand Prix du Disque Charles
Cros. Il monte ensuite un nouveau
quartet avec Jérôme Sabbagh,
Brandon Owens et Damion
Reid. Ensemble, ils enregistrent
Like a Tree in the City. En 2004,
il signe la musique du film Qui
perd gagne. En 2005 sort
l’album Spinnin’, premier disque
en trio piano/ basse/ batterie
avec Otis Brown III et Reuben
Rogers. ■
THOMAS BRAMERIE
Thomas Bramerie grandit à
Toulon. Il étudie d’abord la
guitare. Il joue avec les frères
Belmondo et participe aux
tournées de Peter King, Ted Nash
et Bobby Porcelli. En concert, il
est également aux côtés de Chet
Baker, Toots Thielemans, Johnny
Griffin, Steve Grossman. Depuis
1991, il joue régulièrement avec
Barney Wilen, Eric Barret, Alain
Jean-Marie. Il accompagne
notamment Clifford Jordan, Philip
Catherine, Joe Lovano, Benny
Golson, Antonio Hart, Rodney
Kendrick, etc. Il est membre du
Trio Christian Escoudé (1995),
du Quartet d’André Ceccarelli
(1995-1997) et part en tournée
avec les quartets d’Ari Hoenig,
de Jérôme Sabbagh. Il a
enregistré
également
avec
Teddy
Edwards,
Karolina
Strassmayer, David Schnitter,
Elizabeth Kontomanou. En 2001,
il rejoint Dee Dee Bridgewater
et son trio et enregistre Live at
Yoshi’s. Membre de l’Ensemble
de Simon Shaheen depuis
2002, il collabore aussi avec le
saxophoniste latin-jazz David
Sanchez. Il vit à New York
depuis 1997. ■
ARI HOENIG
Né à Philadelphie de parents
musiciens, Ari Hoenig étudie
le piano et le violon puis la
batterie à 12 ans. Après ses
études, il travaille régulièrement
à New York. Il est membre des
trios de Jean-Michel Pilc et de
Kenny Werner et joue, sur la
scène internationale, aux côtés
de Joe Lovano, Pat Metheny,
Gerry Mulligan, Dave Holland,
Wynton Marsalis, Pat Martino,
Richard Bona, Chris Potter, Kurt
Rosenwinkel mais également
avec le Jazz Mandolin Project
et Mike Stern. Il met ses talents
de compositeur et d’arrangeur
au service d’autres jazzmen
et de son propre quartet
fondé en 2002 (avec Jacques
Schwarz-Bart, Jean-Michel Pilc
et Johannes Weidenmueller). Ils
enregistrent leur premier album
en 2004, The Painter. Ari Hoenig
a enregistré plus de soixante
albums en tant que sideman et
trois comme leader. Il enseigne
également à New York et écrit
dans des revues pédagogiques
pour percussionnistes. ■
AMPHI
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de l’amour courtois
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L’Opéra national de Lyon est conventionné
par le ministère de la Culture et de la
Communication, la Ville de Lyon, le conseil
régional Rhône-Alpes et le conseil général
du Rhône.

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