Rapport d`activité 2012 - Université de la Polynésie Française
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Rapport d`activité 2012 - Université de la Polynésie Française
Rapport d’activité 2012 Université de la Polynésie française www.upf.pf AVANT-PROPOS Le présent document rend compte de l’activité de l’Université de la Polynésie française durant l’année 2012, période au cours de laquelle nous eûmes à traiter deux événements majeurs. Ce fut d’abord la finalisation de notre contrat quinquennal, signé avec notre ministère de tutelle en juillet, et dont nous avons entrepris la mise en œuvre dès la rentrée suivante. Simultanément, il nous fallut aussi travailler à la préparation de notre passage aux Responsabilités et Compétences Elargies, devenu effectif le 1er janvier 2013. Autant dire que cette année fut d’une importance cruciale pour notre université autant pour l’avenir proche qu’à plus long terme. Ce rapport contient de nombreuses informations – avec des données chiffrées précises – permettant de se rendre compte des réalisations de l’U.P.F. dans ses grands domaines d’activité (formation initiale et continue, recherche, relations internationales, etc.). L’objet de cette introduction est de mettre en exergue quelques points saillants de notre activité et d’aborder des questions – notamment le taux de réussite de nos étudiants et leur insertion professionnelle – sur lesquelles nous avons été souvent interpellés et à propos desquelles quelques clarifications nous semblent indispensables. Avec ses 96 enseignants et enseignants-chercheurs, ses 80 personnels administratifs et de soutien, et ses quelque 300 enseignants vacataires et missionnaires, l’U.P.F. est sans conteste la plus importante structure d’enseignement supérieur et de recherche de Polynésie française. L’une de nos missions, et peut-être la principale, est de donner à nos étudiants une formation de qualité, nourrie des connaissances les plus actuelles et adaptée aux besoins de la Polynésie française de demain. Une offre de formation renouvelée et enrichie L’université de la Polynésie française a pour vocation d’offrir aux étudiants polynésiens des formations, de niveau licence et au-delà si possible, couvrant les grandes spécialités « classiques ». L’étudiant qui s’inscrit à l’U.P.F. a le choix entre 15 licences (dont 2 licences professionnelles). Il peut aussi suivre la première année commune des études de santé (PACES). Nous assurons également la formation des professeurs des écoles grâce à notre école interne de l’IUFM et la préparation à plusieurs CAPES. Nous proposons également trois Masters dont un nouveau cette année, en management, depuis longtemps réclamé par les étudiants de sciences-économiques et de gestion. Un autre Master pour lequel nous sommes habilités en collaboration avec l’Université Pierre et Marie Curie, consacré à l’étude de l’environnement océanique, n’ouvrira que l’année prochaine. Mais d’ores et déjà, dans la mesure où la première année de ce Master se fera à Paris, I nous avons signé pour nos étudiants une convention d’accueil avec la Cité Internationale Universitaire de Paris. Pour les juristes, nous avons organisé, pour la première fois cette année, la préparation à l’examen d’entrée aux Centres Régionaux de Formation professionnelle des Avocats, en relation avec l’Institut des Etudes Judiciaires de la Sorbonne. Il s’agit d’une formation avec un très faible effectif mais qui a été profitable puisque sur 4 candidats, 2 ont été reçus, ce qui souligne la qualité des études juridiques à l’U.P.F. Inutile sans doute de poursuivre une énumération fastidieuse, d’autant qu’il faudrait ajouter la très grande variété d’enseignements dispensés dans le cadre de la formation continue. Le détail en est donné plus loin. Nous voulons seulement souligner que notre objectif est de proposer le meilleur enseignement possible, malgré les difficultés qui seront évoquées plus loin, tout en nous efforçant, d’assurer pour les meilleurs - même peu nombreux - des formations leur assurant un accompagnement vers l’excellence. C’est ainsi que l’on pourra à terme attirer à l’U.P.F. une plus grande proportion des meilleurs éléments qui, de nos jours, trop souvent la désertent. Une évolution dans les choix des étudiants Des tendances lourdes sont perceptibles sur les choix des filières opérés par nos étudiants. C’est, tout d’abord, l’augmentation constante (+ 50 % en dix ans) du nombre d’étudiants dans le département Droit, Economie-Gestion qui regroupe 1250 de nos étudiants. Cet accroissement va de pair avec la diminution progressive des effectifs en Lettres, Langues, Sciences Humaines (tout comme en métropole) où le nombre d’étudiants a atteint un palier qui devrait se stabiliser. On peut penser qu’en cette période de crise économique, les étudiants estiment leurs chances d’insertion professionnelle plus grandes en droit ou en économie-gestion qu’en Lettres, Langues, Sciences Humaines. Filières qui n’ont trop souvent en Polynésie pour débouché que l’enseignement primaire ou secondaire. Enfin, comme en métropole, les filières scientifiques, qui par le passé ont connu un dynamisme certain, stagnent. Probablement pour des raisons du même ordre que celles avancées pour les LLSH, force est de constater que les bacheliers des filières scientifiques s’orientent moins qu’avant vers l’université et privilégient d’autres cursus qui nécessitent de partir en métropole ou à l’étranger. De réels efforts pour améliorer les conditions d’étude et de vie des étudiants La qualité de la formation de nos étudiants dépend aussi des moyens que nous mettons à leur disposition. Quelques exemples illustreront cette préoccupation constante qui s’inscrit dans la durée. La maîtrise du français, du tahitien, ainsi que des langues étrangères, est l’une des clés d’une insertion professionnelle réussie. En dotant l’un de nos bâtiments d’un nouveau laboratoire de langues numérique et en équipant 4 nouvelles salles de dispositifs multimédia, nous avons jeté les bases de ce qui est destiné à devenir la « Maison des Langues et des Cultures » où nous concentrerons tous les moyens humains et matériels destinés à faciliter l’apprentissage des langues dont la maîtrise est indispensable dans le monde d’aujourd’hui. A ce titre, nous avons organisé cette année la certification européenne CLES en anglais et en espagnol en relation avec l’université de Strasbourg. II La formation et la réussite de nos étudiants - comme bien sûr nos activités de recherche s’appuient aussi sur un accès à une documentation de qualité. Notre bibliothèque, la plus grande de Polynésie qui, rappelons-le, est ouverte à toute la population, s’enrichit en permanence. Un effort considérable est fait sur les ressources numériques auxquelles il est à présent possible d’accéder depuis l’extérieur du campus. Grâce au concours du personnel de la bibliothèque, un effort particulier a été fait pour initier les étudiants à l’utilisation optimale des ressources documentaires mises à leur disposition. L’une de nos priorités d’avenir doit être l’extension de cette bibliothèque conçue à l’origine pour 1500 étudiants et maintenant bien exiguë. Grâce à l’accroissement sensible, cette année, de nos capacités d’accès aux réseaux numériques, nous avons pu mieux utiliser les techniques de l’information et de la communication pour l’enseignement (TICE). Par exemple, des visio-conférences ont été organisées avec des étudiants et des chercheurs de Hawaï. Mais en la matière nous n’en sommes qu’aux balbutiements et la désignation d’un chargé de mission aux TICE et la mise en place d’un « comité de pilotage des systèmes d’information et des TICE » devraient permettre de nous engager davantage encore dans cette voie. L’un de nos grands défis sera, à termes, de permettre aux habitants des îles d’accéder à des enseignements de notre université via internet. La réussite des études passe aussi par la richesse de la vie culturelle, associative et sportive. Nous avons apporté notre concours à toutes les initiatives culturelles (conférences « savoirs pour tous », chorale de l’université, théâtre, expositions, etc.) dont la plupart organisées par des associations. Quant aux associations étudiantes, elles ont connu un regain d’activité que nous ne pouvons qu’encourager. Il en est de même pour le sport universitaire, avec une offre accrue et la remise en service de notre mur d’escalade, le seul existant en Polynésie. Il est aussi important qu’un nombre aussi grand que possible d’étudiants puissent bénéficier d’échanges avec l’étranger. Grâce au dispositif Erasmus, certains ont pu partir dans des pays européens et nous en aidons d’autres à aller passer une partie de leur année dans des universités américaines, chinoises, canadiennes, etc. Nous souhaitons que ces échanges puissent se généraliser, notamment avec nos voisins de la zone Pacifique. La question de la réussite en licence Durant cette année, une fois de plus, nos taux de réussite médiocres, autant lors du passage entre la première et la deuxième année qu’à l’obtention de la licence en trois ans, ont fait débat et il semble utile de revenir en détails sur cette question. Une première remarque liminaire : privilégier la réussite aux examens comme critère déterminant d’évaluation d’une université ne peut qu’encourager un nivellement par le bas alors que l’objectif d’une université, même modeste comme la nôtre, doit être l’excellence. Qui reproche aux Grandes Ecoles leur sélection drastique, qui est une sorte de mise en échec préventive, et leur élimination des plus faibles durant le cursus ? Or, les universités n’étant autorisées à aucune sélection – le baccalauréat (de n’importe quel type) étant le premier diplôme universitaire – comment les juger sur la réussite des étudiants de tous niveaux qui s’y inscrivent, souvent hélas faute d’avoir été acceptés dans des filières sélectives ? III C’est aussi mettre l’étudiant dans la position d’un consommateur à qui la réussite serait due. En oubliant qu’au-delà des efforts que l’université peut déployer, la réussite est d’abord l’affaire des étudiants : de leurs capacités et de leur motivation. Le taux d’absentéisme important durant les cours et aux examens (autour de 50%) entraîne mécaniquement des taux d’échecs proportionnels face auxquels nous sommes bien désarmés. Nous pensons qu’une université a une obligation de moyens - en personnels compétents, en qualité pédagogique, en locaux et matériels mis à disposition, en conditions d’étude et en soutien aux étudiants, etc. – pour créer les conditions de la réussite de ceux des étudiants qui possèdent la formation initiale et le niveau scolaire, mais aussi le goût pour des études académiques qui réclament des efforts réguliers et un investissement sur le long terme. De ce point de vue, même si tout est perfectible – et nous nous y efforçons chaque jour – nous estimons que notre université remplit bien cette obligation en fonction des ressources mises à sa disposition et nous acceptons bien volontiers d’être jugés sur notre utilisation de l’argent public au profit des étudiants. Quant à la réussite de nos étudiants, qui bien entendu, est le but recherché par tout enseignant et toute institution académique, elle dépend, en plus de la motivation individuelle, de nombreux facteurs sur lesquels nous n’avons souvent aucun pouvoir d’influence. Sauf à sombrer dans la totale démagogie qui consisterait à une baisse généralisée de nos exigences1, en fonction d’une population donnée, les marges de progression en termes de réussite sont plutôt limitées. Or, l’un des éléments sur lequel nous n’avons aucune prise, est le vivier initial des bacheliers de Polynésie française. Lorsque l’on compare la répartition par types de baccalauréat entre la métropole (et les DOM) et la Polynésie française, on se rend compte d’une disparité flagrante. Répartition par type de bac Métropole + DOM Polynésie Bac généraux Bac Techno Bac pro 53% 25% 22% 26% 29% 45% Le premier constat est évident : les baccalauréats généraux, qui ont naturellement vocation à poursuivre des études supérieures dans les filières académiques, sont deux fois moins nombreux en Polynésie qu’en métropole. Ce qui réduit le vivier dans lequel notre université est susceptible de trouver les étudiants ayant les meilleures chances de réussir. 1 Il faut bien reconnaître que toutes mes mesures préconisées par les ministères successifs nous y obligent depuis des décennies (compensations, contrôle continu intégral…) suivant le modèle appliqué au secondaire des 80% de réussite d’une classe d’âge au baccalauréat dont chaque jour les enseignants que nous sommes peuvent juger des effets délétères. IV Or, dans ce vivier déjà réduit, l’université attire seulement un peu plus de 40% des étudiants (sauf en série littéraires où 54,9 % des bacheliers viennent à l’U.P.F.). Notre offre de formation, certes pluridisciplinaire, demeure réduite - et non extensible à l’infini - et il est normal que davantage encore qu’en métropole, les étudiants ne viennent pas majoritairement à l’U.P.F. De plus, sur ces titulaires de bacs généraux, force est de constater que les meilleurs ne viennent pas chez nous. En dehors de la première année des études médicales (PACES) que nous proposons, les étudiants ayant obtenu les meilleures mentions au baccalauréat s’inscrivent dans des classes préparatoires et partent le plus souvent en métropole poursuivre leurs études. Cependant, on peut également constater – et regretter – que certains étudiants aillent en métropole pour s’inscrire dans les filières que nous proposons. L’une des clés de l’amélioration de notre réussite sera de parvenir à retenir, au moins les premières années - car nous considérons qu’il est bénéfique que des jeunes aient d’autres expériences - ces étudiants qui, en raison de la séparation de leur famille, du mode de vie en métropole, en plus du passage entre secondaire et supérieur, connaissent parfois de vraies difficultés en France. Cela passe par un renforcement de la qualité des enseignements par des recrutements de haut niveau et le développement d’une pédagogie novatrice, notamment par le recours au numérique, l’amélioration des conditions de travail (qui sont il faut le dire déjà bien supérieures à l’U.P.F. à celles de bien des universités métropolitaines), la mise en évidence de l’accompagnement personnalisé qu’une petite université comme la nôtre est capable d’assurer, etc. Des marges de progressions, certes modestes, existent quant à notre attractivité sur les baccalauréats généraux, par exemple en offrant une sécurisation et une amélioration de notre préparation aux métiers de l’enseignement. En effet, nos résultats au CAPES, seul concours national auquel sont confrontés nos étudiants, sont dans la moyenne de ceux obtenus par les autres universités. Si nous pouvions offrir à nos étudiants une préparation encore meilleure au CAPES dans davantage de spécialités, nous accroîtrions notre attractivité auprès de ceux qui se destinent à l’enseignement. Il en est de même dans la préparation au concours des professeurs des écoles. C’est l’un des enjeux du projet d’Ecole Supérieure du Professorat et de l'Education (ESPE) que de pouvoir offrir à nos étudiants des formations de bon niveau et des débouchés dans l’enseignement primaire comme secondaire. Gagner la confiance de ces élèves et de leurs parents prendra du temps mais nous avons commencé à nous y investir. L’autre caractéristique des bacheliers en Polynésie française est la proportion de bacheliers professionnels qui est deux fois plus élevée qu’en métropole. Alors que leurs études ne les destinent pas à suivre et encore moins à réussir un cursus universitaire, même si au final ce ne sont que 13 % des 1200 bacheliers professionnels que la Polynésie délivre chaque année qui viennent à l’université, cela donne quand même une proportion de bacheliers professionnels près de 7 fois plus importante dans notre université que dans la moyenne des universités métropolitaines. Inutile de dire que le taux de réussite en 3 ans de ces bacheliers étant chez nous de 0%, ils contribuent à faire baisser considérablement nos taux de réussite … En clair, l’U.P.F. est conditionnée dans la composition de ses effectifs, et à vrai dire pénalisée dans ses résultats comparés à ceux de métropole, par des choix d’ouverture de filières, d’orientation des V élèves, etc., opérés dans le secondaire, bien en amont de l’université mais dont nous devons assumer les conséquences. Si cela n’était pénalisant que pour nos statistiques, nous nous en accommoderions en relativisant les choses ; mais il y a plus grave : ce sont ces centaines d’étudiants, notamment ces bacheliers professionnels, à qui l’on donne l’illusion qu’ils pourront acquérir une formation à l’université et qui perdent le plus souvent plusieurs années sans y obtenir aucun diplôme et aucune qualification monnayable en termes d’emploi. C’est pour répondre à ce problème, dont nous ne sommes pas responsables mais qui pose un cas de conscience quant à l’avenir de ces jeunes, que nous avons ouvert une formation diplômante avec le CNAM. Nous avons d’ailleurs été lauréats d’un appel d’offre du Ministère de la Jeunesse métropolitain qui nous permet de prolonger et d’amplifier cette initiative l’année prochaine. Mais cela ne touche que quelques dizaines d’étudiants et ne peut résoudre le problème structurel de la venue d’un trop grand nombre de bacheliers professionnels à l’U.P.F. Cette question ne pourra être résolue, à moyen et long terme, que par un infléchissement significatif de la politique conduite dans le secondaire. Nous sommes bien évidemment, disposés à contribuer à ce qu’un dialogue s’instaure sur ce thème. Pour autant, il nous semble important de relever certains aspects plus positifs. Certes, il est assez clair qu’en première année s’opère la sélection qui aurait pu s’effectuer à l’entrée de l’université si la loi nous y autorisait. Si l’on regarde non pas le nombre de reçus par rapport aux inscrits mais celui des reçus par rapport aux présents aux examens, le taux de réussite est d’environ 50 %. Compte tenu de ce qui a été dit sur la composition de notre effectif et sur notre volonté de maintenir un niveau académique à nos formations, ce taux de réussite en 1ère année ne nous paraît pas scandaleux. Et lorsqu’est franchi l’obstacle de la première année, nos étudiants réussissent bien à passer de 2ème en 3ème année (environ 60 %) et une proportion très importante obtient sa licence (80 %). En outre, on se rend compte qu’en fait nos étudiants prennent aussi plus de temps pour obtenir leur licence que ceux de métropole : si sur 3 ans nos résultats ne sont guère bons pour toutes les raisons évoquées plus haut, nos taux d’obtention de la licence en 4 ans sont meilleurs que ceux attendus par notre ministère et meilleurs que ceux de plusieurs universités qui ne possèdent pas les mêmes handicaps de départ que nous. En définitive, nous souhaiterions éviter l’amalgame erroné entre mauvais taux de réussite en première année et à la licence en 3 ans et université de mauvaise qualité. Pour ceux qui ont la formation requise pour suivre ces cursus et qui s’en donnent les moyens, l’U.P.F. offre les mêmes conditions d’étude et de réussite qu’une petite université métropolitaine, ce qui n’est déjà pas trop mal pour un établissement jeune et isolé de tout tissu universitaire. Au-delà des questions de réussite, il demeure un fait indiscutable : l’U.P.F. a produit en 2012 plus de 380 licenciés (y compris les licences professionnelles), soit une progression de +81% en quatre ans (+16% en un an). Fait plus intéressant encore, le taux d’insertion professionnelle de nos licenciés est plutôt bon, ce qui, en définitive, nous semble le critère probablement le plus pertinent pour juger la formation dispensée par notre université. Ainsi, 6 mois après avoir obtenu leur licence, près de la moitié de nos étudiants ayant décidé de ne pas poursuivre leurs études ont trouvé un emploi et, parmi eux, VI 42 % bénéficient d’un CDI. Dans le contexte économique difficile que connaît la Polynésie française, on peut estimer que ce résultat est satisfaisant. Cela signifie aussi une certaine adéquation entre l’offre de formation proposée par l’U.P.F. et les attentes du marché du travail, même s’il faut reconnaître que l’insertion professionnelle de nos licenciés est facilitée par la faible concurrence dans la formation supérieure locale. Notons qu’à termes, la mise en place de plusieurs licences professionnelles devrait accroître encore nos taux d’insertion. D’une façon plus générale, ces résultats plutôt encourageants sont le fruit des efforts de dialogue avec le monde du travail lors de l’élaboration de notre offre de formation, par la généralisation des stages en entreprise et, bien sûr, par les manifestations organisées en partenariat avec les employeurs. Nous pensons que la mise en place d’une vraie alternance, au sujet de laquelle nous avons organisé une commission de réflexion, permettrait d’améliorer encore nos taux d’insertion professionnelle. Une place plus affirmée dans la recherche en Polynésie française Outre la formation des étudiants, l’une des missions des universités est la recherche. L’U.P.F., avec ses 65 enseignants-chercheurs, a vocation à être un agent moteur de la recherche en Polynésie française. Une recherche qui doit être autant au service de la connaissance scientifique que du développement du Pays. La grande nouveauté, c’est la création de l’Unité Mixe de Recherche « Ecosystèmes Insulaires Océaniens » en partenariat avec l’IRD, l’IFREMER et l’Institut Louis Malardé. Cela revient à fédérer les chercheurs, les techniciens et les moyens sur des thématiques relatives à l’exploitation des ressources vivantes, à la chimiodiversité terrestre et marine et aux enjeux sanitaires. C’est un pas en avant considérable pour le développement de la recherche sur ces thèmes car, outre l’accroissement des connaissances scientifiques, il est évident que les travaux qui seront conduits devront se donner aussi comme objectif d’être utiles à la Polynésie en termes de développement économique avec, notamment, la perliculture, l’aquaculture, la mise en évidence de molécules exploitables mais aussi pour améliorer le bien-être des populations. C’est le cas, par exemple, des recherches conduites sur la cigüatera. Pour l’U.P.F. et ses partenaires, la création de cette U.M.R. vient en résonance avec notre participation active à d’autres initiatives d’envergure tels le Grand Observatoire de l’Environnement et de la biodiversité (le GOPS) ou le Laboratoire d’excellence CORAIL dont nous sommes membres. Grâce à ses autres équipes, l’U.P.F. s’investit également, dans un vaste champ de recherches, dans lesquelles elle compte souvent les seuls spécialistes. Cela va de l’étude des cultures polynésiennes à la géophysique, en passant par les mathématiques, l’informatique, le droit ou les sciences économiques. Un indice parmi d’autres du dynamisme de notre recherche : ce sont en moyenne 8 thèses de doctorat qui, chaque année, sont soutenues à l’U.P.F. sur des thématiques intéressant la Polynésie. On se reportera aussi à la longue liste des publications scientifiques produites par nos enseignants-chercheurs pour juger de l’apport de notre université à la connaissance dans un large éventail de spécialités. Parce que, quand cela est possible, la recherche doit déboucher sur des applications, nous sommes partenaires de la grappe d’entreprise Tahiti Faahotu à Tahiti et du Pôle de compétitivité Cosmetic Valley, le premier centre mondial de ressources en parfumerie cosmétique. Nous avons également signé la convention de participation au Consortium de Valorisation Thématique Sud porté par l'IRD. VII La recherche est faite d’échanges et, en la matière, l’isolement est souvent synonyme de médiocrité. Il est donc évident que notre université entretient des relations suivies avec de grandes institutions françaises (des conventions ont été signées cette année avec le CNRS et l’EPHE) et étrangères et que chaque chercheur possède également son réseau de partenaires. Pour que ces collaborations s’inscrivent dans la durée, il est essentiel de disposer de la possibilité d’accueillir des collègues, des post-doctorants, etc., avec lesquels des projets sont en cours. La « Maison internationale », financée par le Contrat de projet, dont les travaux ont débuté cette année, est pour nous une promesse de développement de nos recherches. Passage au régime des Responsabilités et Compétences Elargies (RCE) et gouvernance rénovée Cette année a également été celle de la préparation du passage de l’établissement aux R.C.E. officiellement intervenu le 1er janvier 2013. Un comité de pilotage et un comité de projet ont été créés ainsi que quatre groupes de travail thématiques (ressources humaines, gestion financière et comptable, patrimoine et pilotage). Ce travail transversal a très fortement mobilisé les personnels des services (finances, agence comptable, DRH et informatique) tout au long de l’année afin de mener à bien cette profonde réforme structurelle. L’établissement s’est doté de tous les outils nécessaires à la gestion complète de la paye de ses agents mais aussi au suivi budgétaire et comptable de la masse salariale qui nous a été dévolue au 1er janvier 2013 triplant le budget global de l’établissement pour l’établir à un peu plus de trois milliards Fcp. Un travail important de formalisation des procédures a également été engagé (sur les dépenses, les missions, les recrutements, etc.) Ce passage au RCE ainsi que la prise de fonction de la nouvelle direction en juin 2011 ont été les moteurs d’une rénovation en profondeur du fonctionnement interne de l’établissement et de sa gouvernance. En effet, la nouvelle direction a mis en place une politique basée sur l’information, la transparence et le dialogue afin de redonner à l’établissement la cohésion qui lui faisait défaut. Ainsi une lettre hebdomadaire d’information des personnels a vu le jour, plusieurs assemblées générales se sont tenues et le dialogue entre la direction et les départements ou l’école interne a été renforcé. Un bureau regroupant président, vice-présidents, DGS a été instauré et se réunit de manière hebdomadaire. Avant chaque CA ou chaque campagne d’emplois, ce bureau se réunit en formation élargie aux directeurs de composantes (équipes de recherche, départements, IUFM, Bibliothèque Universitaire) afin de discuter de manière collégiale de la stratégie de l’établissement. Si le passage aux R.C.E. a constitué un enjeu majeur de cette année écoulée, la vie de l’établissement en « mode R.C.E. », avec ses pièges mais aussi ses potentielles marges de manœuvre financières, sera sans nul doute l’un des nouveaux défis à relever par la direction au cours de l’année 2013. Pr Eric CONTE Président de l’U.P.F. VIII Sommaire I. La Formation .......................................................................................................................................... 5 1.1 1.2 1.3 1.4 1.5 La carte des formations ................................................................................................................. 7 1.1.1 Les formations niveau licence ........................................................................................... 7 1.1.2 Les formations niveau master ........................................................................................... 8 1.1.3 Autres formations.............................................................................................................. 8 1.1.4 Les formations à l’IUFM (école interne) ............................................................................. 8 Les effectifs................................................................................................................................... 9 1.2.1 Les effectifs de l’Université de la Polynésie Française ....................................................... 9 1.2.2 Les inscriptions principales ............................................................................................. 11 1.2.3 Les inscriptions multiples ................................................................................................ 16 1.2.4 Les néo-bacheliers ......................................................................................................... 17 Données sociales des étudiants .................................................................................................. 20 1.3.1 Sexe ............................................................................................................................... 20 1.3.2 Age................................................................................................................................. 21 1.3.3 Origine socioprofessionnelle des étudiants...................................................................... 22 1.3.4 Boursiers sur critères sociaux ......................................................................................... 22 La réussite .................................................................................................................................. 24 1.4.1 L’aide à la réussite .......................................................................................................... 24 1.4.2 Réussite en L1................................................................................................................ 26 1.4.3 Evolution des taux de réussite ........................................................................................ 29 1.4.4 Suivi de cohorte .............................................................................................................. 29 1.4.5 Les diplômés .................................................................................................................. 30 1.4.6 Réussite en Première Année Commune des Etudes de Santé ........................................ 34 1.4.7 Réussite au concours de Professeur des Ecoles (PE) ..................................................... 35 L’insertion professionnelle ........................................................................................................... 36 1.5.1 1.6 II. Données d’insertion professionnelle au niveau L ............................................................. 36 La formation continue.................................................................................................................. 38 La Recherche ....................................................................................................................................... 45 2.1 Introduction ................................................................................................................................. 47 2.2 Les structures de recherche ........................................................................................................ 49 2.3 Les enseignants-chercheurs ....................................................................................................... 52 Page 3 2.3.1 Nombre d’enseignants-chercheurs par unité de recherche .............................................. 52 2.3.2 Répartition des enseignants-chercheurs par domaine scientifique ................................... 52 2.3.3 Nombre d’enseignants-chercheurs « produisants » ......................................................... 53 2.4 Les Doctorants ............................................................................................................................ 53 2.5 Budget de la recherche ............................................................................................................... 54 III. Les activités de soutien ......................................................................................................................... 55 3.1 3.2 3.3 3.4 La documentation........................................................................................................................ 57 3.1.1 Activité des bibliothèques ................................................................................................ 58 3.1.2 Les moyens de la documentation .................................................................................... 63 L’orientation et l’insertion professionnelle..................................................................................... 64 3.2.1 Actions d’orientation ........................................................................................................ 64 3.2.2 Actions d’insertion ........................................................................................................... 66 La vie étudiante et les œuvres universitaires ............................................................................... 67 3.3.1 L’aide aux projets et initiatives étudiantes ........................................................................ 67 3.3.2 Les œuvres universitaires ............................................................................................... 67 Les relations internationales ........................................................................................................ 68 3.4.1 Les relations entre l’UPF et l'Université de Hawai'i à Manoa ............................................ 68 3.4.2 La mobilité internationale ................................................................................................ 71 3.4.3 Les rencontres internationales......................................................................................... 72 IV. Les activités support.............................................................................................................................. 75 4.1 La communication ....................................................................................................................... 77 4.1.1 Des supports de communication multiples ....................................................................... 77 4.1.2 Des actions de communications reconnues pour leur efficacité et bien implantées dans le paysage médiatique polynésien ...................................................................................... 78 4.1.3 V. Une politique de communication en cohérence avec le projet d’établissement ................. 80 4.2 Les ressources informatiques ...................................................................................................... 81 4.3 Le Patrimoine .............................................................................................................................. 84 4.4 Les moyens................................................................................................................................. 88 4.4.1 Budget agrégé ................................................................................................................ 88 4.4.2 Dépenses ....................................................................................................................... 89 4.4.3 Recettes ......................................................................................................................... 91 Annexes ................................................................................................................................................ 96 Page 4 I. La Formation Page 5 Page 6 1.1 La carte des formations La rentrée 2012 voit l’entrée en vigueur de la nouvelle carte de formation qui fait suite aux arrêtés d’habilitations à délivrer des diplômes nationaux1 pour la période 2012-2017 1.1.1 Les formations niveau licence A la rentrée 2012-2013, 15 licences sont proposés ainsi qu’une Première Année Communes des Etudes de Santé (PACES), en convention avec l’université de Bordeaux. Ces formations sont réparties dans les trois domaines suivants : Domaine Droit, Economie, Gestion Licence droit, économie, gestion o mention droit o mention économie-gestion o mention administration publique (Formation ouverte en formation continue) Licence professionnelle hôtellerie et tourisme (Formation ouverte en formation continue) o Spécialité management international des hôtels de loisirs Domaine Lettres, Langues et Sciences Humaines Licence lettres, langues, sciences humaines o mention environnements océaniens (Formation ouverte dans deux domaines : LLSH et Sciences) o mention histoire-géographie (2 parcours) o mention langues étrangères appliquées (spécialité anglais, espagnol) o mention langues, littératures et civilisations étrangères (spécialité anglais) o mention langues, littératures et civilisations régionales (spécialité langues polynésiennes) o mention lettres et arts Domaine Sciences, technologies et santé Licences sciences et technologies o mention environnements océaniens (Formation ouverte dans deux domaines : LLSH et Sciences) o mention informatique o mention mathématiques o mention physique-chimie o mention sciences de la vie et de la terre 1 Arrêtés 012.0292 MESR du 12 septembre 2012 Page 7 Licences professionnelle systèmes informatiques et logiciels (Formation ouverte en formation continue) o Spécialité technologie de l’information et de la communication – TIC Première Année Commune des Etudes de Santé (PACES) 1.1.2 Les formations niveau master Suite à la nouvelle carte de formation, un nouveau master a ouvert en droit, économie, gestion et le master de lettres, langues, sciences humaines change de mention. A noter que le master en sciences et technologies, co-habilité avec Paris VI, n’ouvrira qu’à la rentrée 2013. Domaine Droit, Economie, Gestion Master droit, économie, gestion (Formation ouverte en formation continue) o mention droit des activités économiques (finalité indifférenciée) o mention management, ouvert uniquement en M1 cette année, (finalité indifférenciée) Domaine Lettres, Langues et Sciences Humaines Master lettres, langues, sciences humaines o mention langues, cultures et sociétés en Océanie (finalité indifférenciée) 2 parcours : recherche, recherche et enseignement. 1.1.3 Autres formations Domaine Droit, Economie, Gestion Capacité en droit (niveau bac) DAEU (diplôme d’accès aux études universitaires) o Spécialité, Option A 1.1.4 Les formations à l’IUFM (école interne) Préparations au concours de recrutement de professeur des écoles o o Préparation « Professorat des écoles » Certification « Professorat des écoles » Page 8 1.2 Les effectifs Les effectifs sont calculés selon les règles établies par la Direction de l’Evaluation et de la Prospective du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche pour l’enquête Système d’Information sur le Suivi des Etudiants (SISE). Entrent dans le champ SISE, les étudiants inscrits à une formation donnant lieu à la délivrance d’un diplôme national ou d’université au terme d’une formation d’une durée d’au moins un an, ainsi que les préparations aux concours de la fonction publique et aux diplômes d’accès aux études universitaires. N’entrent pas dans le champ SISE, les auditeurs-libres. 1.2.1 Les effectifs de l’Université de la Polynésie Française L’UPF enregistre, une remontée globale de ses effectifs (+3%) après deux années de baisse (-1,2% en 2010 et -5,0% en 2011). En parallèle, après deux années de forte hausse +3,6% en 2009 et 4,2% en 2010), les effectifs de l’ensemble des universités connaissent une stabilisation en 2011 (+0,9%), contre une croissance de 1,2% pour l’ensemble des effectifs inscrits dans l’enseignement supérieur. A l’Université de Nouvelle Calédonie, les effectifs diminue de -5,3% en 2011. Sur la période 2009-2012 (date d’intégration de l’IUFM), les effectifs de l’université ont diminué de -3,1%. Les barres de ce graphique représentent le nombre d’inscriptions principales en formation initiale à l’université, par département et à l’IUFM ainsi que les effectifs de la formation continue. 3 500 3243 3211 3050 3 000 3140 2 500 2 000 1 500 1 000 500 2002 2003 2003 2004 Droit, Economie Gestion 2004 2005 2005 2006 2006 2007 2007 2008 Lettres, Langues et Sciences Humaines 2008 2009 2009 2010 Sciences 2010 2011 2011 2012 Formation continue 2012 2013 IUFM* * Avec l’ouverture des masters « métiers de l’enseignement » en 2010-2011, l’IUFM n’intervient plus que dans la préparation au concours de professeur des écoles Page 9 Evolution des effectifs par formation depuis 10 ans FORMATIONS INITIALE ET CONTINUE 2002 2003 2003 2004 2004 2005 2005 2006 2006 2007 2007 2008 2008 2009 2009 2010 2010 2011 2011 2012 2012 2013 Evolution de 2011/12 à 2012/13 TOTAL DES EFFECTIFS 2 143 2 250 2 321 2 400 2 547 2 542 2 664 3 243 3 211 3 051 3 140 89 2,9% Formation Initiale (hors IUFM) Formation Initiale IUFM Formation Continue 1 927 2 094 2 117 2 202 2 283 2 283 2 437 2 630 2 809 2 628 321 142 144 198 264 259 227 292 260 279 216 156 204 2 737 79 324 0 109 -65 45 4,1% -45,1% 16,1% Nombre % Droit Economie Gestion 736 833 751 787 761 697 940 1 253 89 7,6% Licence Droit 290 175 84 31 431 296 70 65 15 15 314 172 95 47 477 345 66 66 21 21 322 200 62 60 373 252 75 46 11 11 322 188 94 40 418 292 66 60 337 221 54 62 376 240 79 57 311 202 72 37 370 230 88 52 377 243 82 52 528 357 104 67 35 35 394 231 118 45 634 403 129 102 58 27 31 419 231 98 90 634 344 140 150 58 33 25 360 173 109 78 745 373 191 181 59 39 20 387 240 90 57 721 344 185 192 61 29 32 84 84 27 67 -19 -21 -24 -29 -6 11 2 -10 12 84 84 7,5% 38,7% -17,4% -26,9% -3,2% -7,8% -3,1% 6,1% 3,4% -25,6% 60,0% NS Lettres, Langues et Sciences Humaines 912 886 963 957 1016 1072 957 965 1 040 854 940 86 10,1% Licence Histoire-Géographie 135 79 26 30 250 135 59 56 120 76 17 27 137 72 35 30 156 103 22 31 276 152 78 46 124 75 29 20 137 80 26 31 170 120 20 30 285 166 38 81 155 125 12 18 161 114 22 25 80 40 9 31 178 114 40 24 238 116 60 62 170 118 37 15 133 80 29 24 66 35 14 17 193 117 45 31 259 132 63 64 209 140 45 24 142 92 22 28 62 23 16 23 207 123 43 41 277 153 64 60 243 146 59 38 168 110 25 33 60 36 12 12 155 94 38 23 215 116 54 45 254 149 67 38 177 125 35 17 57 28 15 14 152 91 26 35 244 135 62 47 262 148 67 47 156 102 30 24 46 23 8 15 145 84 36 25 227 136 48 43 264 119 105 40 149 93 25 31 54 37 7 10 136 72 33 31 145 71 44 30 259 116 95 48 163 113 21 29 47 25 16 6 104 36 68 -8 -3 -6 1 4 27 -21 -2 -13 -8 -32 27 14 -3 23 -6 4 0 1 3 47 47 38 64 -26 -5,9% -4,2% -18,2% 3,2% 2,8% 38,0% -47,7% -6,7% -5,0% -6,9% -33,7% 56,3% 8,6% -2,7% 109,5% -20,7% 8,5% 0,0% 6,3% 50,0% NS 117 66 51 128 69 27 32 149 98 23 28 246 108 63 75 177 110 44 23 51 25 17 9 47 47 142 100 42 Bac+1 Bac+2 Bac+3 Licence Economie-Gestion (AES de 99/00 à 05/06) Bac+1 Bac+2 Bac+3 Master Droit des activités économiques Bac+4 Bac+5 1086 1 111 1 164 Master Management Bac+4 Bac+1 Bac+2 Bac+3 Licence LLCE- Anglais Bac+1 Bac+2 Bac+3 Licence LLCR - Langues polynésiennes Bac+1 Bac+2 Bac+3 Licence LEA - Anglais/Espagnol Bac+1 Bac+2 Bac+3 Licence Lettres Licence LLF de 04/05 à 07/08 Licence Lettres de 08/09 à 11/12 Bac+1 Bac+2 Bac+3 Licence Environnements océaniens Bac+1 Master Langues, cultures et sociètés en Océanie Bac +4 Bac +5 Sciences, Sciences Médicales et Technologies 36,5% 177,8% -38,2% 257 355 389 447 480 487 504 542 624 569 513 -56 -9,8% Bac+1 0 44 54 75 87 80 104 121 151 140 139 -1 -0,7% Bac+1 Bac+2 Bac+3 128 80 31 17 0 139 86 39 14 0 144 95 26 23 0 176 102 52 22 0 174 91 52 31 0 197 119 36 42 0 169 94 33 42 0 175 92 38 45 0 174 96 31 47 0 165 91 40 34 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 74 48 26 79 52 27 82 55 27 103 86 17 99 70 29 103 77 26 55 36 19 73 36 23 14 87 54 20 13 72 38 20 14 95 63 16 16 107 61 27 19 133 87 32 14 98 57 24 17 132 61 45 26 114 64 36 14 159 90 34 35 102 41 43 18 145 69 45 31 102 40 40 22 -2 -5 0 3 75 30 22 23 88 56 18 14 -31 -15 -13 -3 -5 14 -21 2 -1,2% -5,5% 0,0% 8,8% NS 0 163 86 40 37 75 30 22 23 88 56 18 14 114 54 32 28 97 54 19 24 -21,4% -21,7% -28,9% -9,7% -4,9% 35,0% -52,5% 9,1% 22 20 14 11 26 27 36 37 34 41 31 -10 -24,4% 22 20 14 11 26 25 2 36 36 1 34 40 1 30 1 -10 0 -25,0% 0,0% IUFM - Ecole interne de l'UPF 321 142 144 79 -65 -45,1% CAPE "Professorat des écoles" 1ère année CAPE "Professorat des écoles" 2ème année CAPES/CAPET/CAPLP 1ère année CAPES/CAPET/CAPLP 2ème année 89 68 141 23 93 49 109 35 57 22 -52 -13 0 0 -47,7% -37,1% P.A.E.S. P.C.E.M 99/00 à 09/10 Licence Mathématiques-Informatique Licence M.I.A.S de 99/00 à 04/05 Licence Informatique Bac+1 Bac+2 Bac+3 Licence Mathématiques Bac+1 Bac+2 Bac+3 Licence Sciences de la Vie et de la Terre Bac+1 Bac+2 Bac+3 Licence Physique-chimie Licence Sciences de la Matière de 99/00 à 03/04 (L1&L2) Licence SP de 03/04 à 11/12 Bac+1 Bac+2 Bac+3 Doctorat Doctorat H.D.R. Bac+6 ou + Bac+6 ou + Formation continue Capacité en droit DU DAEU Licence Pro. hotellerie et tourisme Licence Pro. Technicom Licence Administration Publique Bac+3 Bac+3 Bac+3 NS 216 156 204 198 264 259 227 292 260 279 324 45 16,1% 39 38 84 35 26 88 44 14 107 42 23 124 49 56 136 59 37 91 20 69 55 117 20 54 65 105 57 50 119 19 20 22 21 33 27 104 18 25 26 29 34 55 76 103 25 19 46 -2 26 -16 6 19 12 -3,5% 52,0% -13,4% 31,6% NS 35,3% Page 10 1.2.2 Les inscriptions principales Les inscriptions principales représentent le nombre physique d’étudiants de l’université. Lorsqu’un étudiant est inscrit sur plusieurs années dans un même diplôme, est considérée comme inscription principale celle effectuée dans le plus haut niveau. Dans le cas d’inscriptions multiples dans deux diplômes nationaux, est considérée comme inscription principale celle concernant le niveau le plus élevé. INSCRIPTIONS 2012-2013 3 140 1.2.2.1 Les effectifs par composantes L’UPF comprend cinq composantes d’enseignement : 3 départements de formation, une école interne (l’IUFM) et un service de formation continue. EFFECTIFS DEG 1 262 Licence 1 108 Master 145 Doctorat 9 LLSH 944 Licence 798 Master 142 Doctorat 4 SCIENCES 530 PACES 139 Licence 374 Doctorat 17 IUFM 79 Préparation 57 Certification 22 FC 324 Capacité 55 D.A.E.U. 103 D.U. 76 Licence 46 Licence Professionnelle 44 Total 2012-2013 3 139 En 2011-2012 3051 3210 3243 En 2010-2011 En 2009-2010 Page 11 De 2001 à 2009, le département de lettres, langues et science humaines enregistrait le nombre le plus important d’inscrits. Depuis 2009, c’est le département de droit, économie, gestion qui enregistre les plus d’inscriptions. Pour la deuxième année, le département sciences connaît une baisse sensible de ses effectifs (-9,8%), due principalement à l’érosion des effectifs en licence SVT. Le département de lettres, langues et sciences humaines se stabilise autour des 900 étudiants. Concernant les effectifs de l’école interne (IUFM), la diminution du nombre de places au concours a mécaniquement diminué les effectifs accueillis aussi bien dans l’année de préparation que dans celle de certification. 2010 Taux de variation 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2011 2012 Variation 2011 annuel moyen 2004* 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2012 2013 annuelle ** entre 2003 et 2012 DEG 833 751 787 7,6% 420 5,0% LLSH 886 963 957 1016 1072 761 697 940 1086 1111 1164 1253 957 965 1040 854 940 10,1% 54 0,6% SCIENCES 355 389 447 480 487 504 542 624 569 513 -9,8% 158 4,5% 321 142 144 79 -45,1% 79 NS 20 14 11 26 27 36 37 34 41 31 -24,4% 11 5,5% 156 204 198 564 259 227 292 260 279 324 16,1% 168 10,8% 2 250 2 321 2 400 2 847 2 542 2 664 3 243 3 211 3 051 3 140 2,9% 890 4,0% IUFM Ecole doctorale FC Total effectif * Mise en place du PCEM1 (devenu PACES en 2010) dans le département de Sciences ** Les préparations CAPES/CAPLP dispensées à l'IUFM sont remplacées par des masters métiers de l'enseignement intégrés dans les départements Le taux d’augmentation annuel moyen des effectifs, calculé sur les 10 dernières années est de 4% pour les trois départements. En valeur relative, c’est le département de droit, économie, gestion qui enregistre la plus forte hausse en pourcentage (5%) comme en valeur absolue (42 étudiants supplémentaires en moyenne chaque année). Taux de variation annuel moyen entre 2003 et 2012 en nombre 42 en % 5,0% LLSH 5 0,6% SCIENCES 16 4,5% Ecole doctorale 1 5,5% FC 17 10,8% Sur l'ensemble de l'effectif 89 4,0% DEG Page 12 IUFM 3% - Les trois départements représentent 87% de l’effectif (40% pour le Droit, Economie, Gestion, 30% pour les Lettres, Langues et Sciences Humaines et 17% pour les Sciences). FC 10% - Viennent s’ajouter les étudiants de l’IUFM (5%), école intégrée à l’UPF depuis le 1er mai 2009, ainsi que ceux du service de Formation continue (10%). 1.2.2.2 DEG 40% SCIENCES 17% LLSH 30% Les effectifs par diplôme En prenant en compte les effectifs de l’IUFM et des licences de formation continue, 88% des inscriptions principales se font en cursus Licence. Le niveau Master, qui représente 11%, intègre les effectifs de l’IUFM, dont l’accès se fait suite à une licence. Le cursus Doctorat représente 1% de l’ensemble de l’effectif. Master 11% Licence 88% Doctorat 1% Comparaison de la répartition des effectifs dans les cursus LMD en 2011-12 CURSUS En PF En OM En Métropole Licence 88,0% 76,5% 60,4% Master 10,6% 21,1% 35,2% Doctorat 1,4% 2,4% 4,4% Total 100,0% 100,0% 100,0% Source : « Repères et références statistiques 2012 », DEPP, septembre 2012 Page 13 Niveau Licence Effectifs par filière et par année 1ère année DOMAINES/DIPLÔMES/MENTIONS Droit, Economie, Gestion 2ème année 3ème année Tota l 584 275 320 1 179 DROIT 240 90 57 387 ECONOMIE-GESTION 344 185 192 721 25 25 Pro. Mention HOTELLERIE ET TOURISME 46 46 Lettres, Langues, Sciences Humaines Mention d'administration publique 410 174 167 751 Mention HISTOIRE-GEOGRAPHIE 69 27 32 128 Mention LLCE, spécialité ANGLAIS 98 23 28 149 Mention LLCR, LANGUES POLYNESIENNES 108 63 75 246 Mention LEA, spécialité ANGLAIS-ESPAGNOL 110 44 23 177 25 17 9 51 333 91 108 532 Mention MATHEMATIQUES 30 22 23 75 Mention INFORMATIQUE 56 18 14 88 Mention PHYSIQUE-CHIMIE 54 19 24 97 Mention SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE 54 32 28 114 Mention LETTRES ET ARTS Sciences et Santé Première Année Commune aux Etudes de Santé 139 139 Pro. Mention TECHNICOM 19 Pluridisciplinaire 19 47 Mention ENVIRONNEMENTS OCEANIENS 47 47 Total 47 1 374 540 595 2 509 En 2011-2012 1 283 634 543 2 460 En 2010-2011 1 423 607 517 2 547 En 2009-2010 1 515 620 445 2 580 En licence, 55% des étudiants sont en 1ère année, 21% en 2ème année et 24% en 3ème année. En 2012-2013, les effectifs en L1 ne représentent plus que 55% du niveau L, alors qu’ils représentaient 59% en 2008. A l’inverse, les L3 passent sur la même période de 17% à 24%. Ces variations sont dues à une baisse des primo-entrants et à un allongement de la durée d’obtention des semestres. Page 14 L3 24% L2 21% L1 55% Niveau Master Effectifs par filière et par année DOMAINES/DIPLÔMES/MENTIONS Droit, Economie, Gestion Mention DROIT DES ACTIVITES ECONOMIQUES Mention MANAGEMENT 1ère année 113 2ème année 32 29 32 61 84 Tota l 145 84 Lettres, Langues, Sciences Humaines 100 42 142 Mention LANGUES, CULTURES ET SOCIETES EN OCEANIE 100 42 142 Total 213 74 287 En 2011-2012 75 105 180 En 2010-2011 166 88 254 La nouvelle carte de formation ouverte en 2012 (cf. p.2) a modifié profondément l’offre au niveau master. En droit, économie, gestion le nouveau master de management a ouvert en M1 en formation continue alors que les masters « métiers de l’enseignement » n’ont pas été reconduits. En lettres, langues, sciences humaines, il a été remplacé par le master « langues, cultures et sociétés en Océanie » avec un parcours recherche et un parcours recherche et enseignements. Ce dernier ouvre en principe de manière alternée dans 2 spécialités. En M1 ont été ouvertes les spécialités langues polynésiennes et anglais et en M2 les spécialités langues polynésiennes et histoire-géographie. 1.2.3 Les inscriptions multiples Les inscriptions multiples ne sont pas prises en compte dans l’enquête SISE, donc dans le système d’allocation des moyens SYMPA. Elles ont malgré tout un impact significatif au niveau des groupes de TD a gérés. Répartition des inscriptions multiples par département, école ou en formation continue et par niveau d’études 2012-2013 DEG Licence Master LLSH 1ère année 2ème année 3ème année Total 114 66 9 189 114 65 9 188 - 1 1 108 55 5 168 Licence 107 55 5 167 Master 1 - SCIENCES 22 26 3 51 Licence 21 26 3 50 PACES 1 1 1 - - Préparation - - Certification - - IUFM Formation continue 7 - - 7 D.A.E.U. - - D.U. 7 7 Total 251 147 17 415 En 2011-2012 En 2010-2011 En 2009-2010 374 371 282 149 166 139 9 6 4 532 543 425 Les inscriptions multiples sont en nette baisse en 2012-2013 du fait de l’entrée en vigueur du nouvel arrêté licence de 2011 comprenant de nouvelles règles de compensations entre semestres. 25 de ces inscriptions correspondent à des inscriptions secondaires. L’UPF enregistre pour l’année universitaire 2012-2013, un total d’inscriptions pédagogiques de 3 555 (3 140+415) contre 3 583 en 2011-2012. C’est en 1ère année de licence Economie, gestion que les inscriptions pédagogiques sont les plus nombreuses, 417 étudiants dont 344 inscriptions principales. Page 16 1.2.4 Les néo-bacheliers Il s’agit des étudiants inscrits en première année de L qui ont obtenu leur baccalauréat en 2012. Evolution par type de bacs des néobacheliers 200 180 160 140 2008 120 2009 100 2010 2011 80 2012 60 40 20 0 ECONOMIQUE LITTERAIRE SCIENTIFIQUE MEDICO-SOCIAL TECHNOLOGIQUE PROFESSIONNEL A la rentrée universitaire 2012-2013, l’université compte 723 nouveaux bacheliers contre 666 en 2011 et 794 en 2010. Les nouveaux bacheliers ne représentent que 52,6% de l’ensemble des étudiants inscrits en 1ère année. Parmi ces nouveaux bacheliers, 98% des étudiants ont passé leur baccalauréat dans un des lycées situés en Polynésie française. Attractivité de l’université auprès des néobacheliers 60,0% 54,9% 50,0% 43,0% 40,0% 41,3% 30,0% 19,7% 20,0% 13,8% 10,0% 2007 2008 L 2009 ES S 2010 Techno 2011 2012 Pro Lecture : en 2012, l’UPF a attiré 54,9% des néobacheliers de la section littéraire ayant obtenu leurs bacs en Polynésie française la même année. Lycée d’origine des bacheliers Page 17 o Baccalauréats généraux 769 lycéens ont obtenu un baccalauréat général en Polynésie (-2,4% par rapport à 2011), à la session 2012 (hors candidats individuels). BACCALAUREAT - SESSION 2012 GENERAL Lycée Paul Gauguin Lycée La Mennais L Nbre Nbre entrant d'admis à l'UPF 37 21 24 14 ES Nbre Nbre % entrant d'admis à l'UPF 56,8% 48 21 58,3% 63 18 Lycée Polyvalent du Taaone TOTAL S Nbre TOTAL Nbre TOTAL % entrant % entrant % d'admis d'admis à l'UPF à l'UPF 43,8% 114 54 47,4% 199 96 48,2% 28,6% 86 29 33,7% 173 61 35,3% 53 24 45,3% 53 26 49,1% Lycée Samuel Rapooto 25 14 56,0% 27 10 2 37,0% 31 13 41,9% 83 37 44,6% Lycée d'Uturoa (Raiatea) 20 11 55,0% 26 11 42,3% 28 12 42,9% 74 34 45,9% Lycée polyvalent de Papara 15 7 46,7% 37 24 64,9% 38 19 50,0% 90 50 55,6% Lycée Polyvalent Taravao 16 6 37,5% 17 3 17,6% 24 10 41,7% 57 19 33,3% Lycée tertiaire de Pirae TOTAL 16 153 11 84 68,8% 54,9% 24 242 11 45,8% 100 41,3% 374 161 43,0% 40 769 22 55,0% 345 44,9% En 2011-2012 152 82 53,9% 280 105 37,5% 356 151 42,4% 788 338 42,9% En 2010-2011 165 89 53,9% 280 120 42,9% 406 180 44,3% 851 389 45,7% En 2009-2010 177 93 52,5% 265 114 44,2% 348 154 44,3% 790 361 45,7% En 2008-2009 191 110 57,6% 260 130 50,0% 405 187 46,2% 856 427 49,9% En 2007-2008 193 104 53,9% 250 122 48,8% 334 181 54,2% 777 407 52,4% Au niveau national en 2011-20122, le taux d’inscription immédiate des bacheliers généraux à l’université était de 52,1% se répartissant comme suit : 64,7% de la série Littéraire, 50% de la série Economique et Social et 49,5% de la série Scientifique. Au niveau de la Polynésie française, la répartition à la rentrée 2012 est de : 54,9% de la série Littéraire, 41,3% de la série Economique et Social et 43% de la série Scientifique. Entre 2007 et 2012, la part des néobacheliers de série S inscrits à l’UPF est passée de 54,2% à 49,5%. o Baccalauréats technologiques 843 lycéens ont obtenu un baccalauréat technologique (+1,3% par rapport à 2011) à la session 2012 (hors candidats individuels). Parmi eux, 166 se sont inscrits à l’UPF contre 179 en 2011 et 197 en 2010. Entre 2008 et 2012, le nombre de bacheliers technologiques s’inscrivant à l’université a baissé de 22,4%. Alors qu’au niveau national en 2011-2012, le taux d’inscription immédiate des bacheliers technologiques est de 17,9%, ce taux est de 19,7% en Polynésie française. Ces taux se rapprochent depuis plusieurs années. o Baccalauréats professionnels 2 http://www.education.gouv.fr/pid316/reperes-et-references-statistiques.html Page 18 Sur les 1329 lycéens qui ont obtenu en Polynésie française un baccalauréat professionnel à la session 2012, 183 se sont inscrits à l’UPF contre 109 en 2011 et 62 en 2010, ce qui représente un triplement de leur nombre en 2 ans. Alors qu’au niveau national le taux d’inscription immédiate des bacheliers professionnels est en progression, (7 ,8% en 2011 contre 6,9% en 2009 et 2010), il se situe en Polynésie française à 13,8% (contre 14,3% en 2011 et 10,4% en 2010). L’UPF attire donc toujours deux fois plus de bacheliers professionnels que la moyenne des universités françaises. Mention au baccalauréat Parmi les 350 lycéens ayant obtenu un baccalauréat général avec une mention (TB, B ou AB) à la session 2011 en Polynésie française, 32,6% d’entre eux se sont inscrits à l’UPF. Ce ratio est proche des 42% de titulaires d’un baccalauréat général avec mention, inscrits en premier cycle universitaire en métropole (en 2008). La proportion est différente selon la mention : Baccalauréat général - Session 2012 Nombre de Nombre de néobacheliers mentions en PF par mention à l'UPF % TRES BIEN 62 10 16,1% BIEN 95 24 25,3% 171 76 44,4% 328 110 33,5% ASSEZ BIEN Total 84% des titulaires d’un baccalauréat général avec mention très bien ne s’inscrivent pas à l’UPF. 1,3% des néo-bacheliers, à l’UPF, ont une mention très bien, 4,7% une mention bien, 18,6% une mention assez bien et 75,4% n’ont aucune mention. Age du lycéen au baccalauréat o Baccalauréat général et technologique En considérant que le baccalauréat est obtenu lors de la 18ème année, 61% des nouveaux bacheliers ont obtenu leur baccalauréat général ou technologique à l’âge normal, voire en avance (≤18ans) et 39% en retard (≥19ans). o Baccalauréat professionnel Page 19 En considérant que le baccalauréat est obtenu lors de la 19ème année, 29% des nouveaux bacheliers ont obtenu leur baccalauréat professionnel à l’âge normal, voire en avance (≤19ans) et 71% en retard (≥20ans). 1.3 Données sociales des étudiants 1.3.1 Sexe Par département et par filière FEMMES Nombre DEG Total Nombre HOMMES en % Nombre en % 840 66,6% 422 33,4% 1 262 Licence 743 67,1% 365 32,9% 1 108 Master 94 64,8% 51 35,2% 145 3 33,3% 6 66,7% 9 721 76,4% 223 23,6% 944 Licence 605 75,8% 193 24,2% 798 Master 114 80,3% 28 19,7% 142 2 50,0% 2 50,0% 4 267 50,3% 264 49,7% 531 Doctorat LLSH Doctorat SCIENCES PACES 96 69,1% 43 30,9% 139 162 43,3% 212 56,7% 374 9 50,0% 9 50,0% 18 66 83,5% 13 16,5% 79 Préparation 48 84,2% 9 15,8% 57 Certification 18 81,8% 4 18,2% 22 216 66,7% 108 33,3% 324 Capacité 34 61,8% 21 38,2% 55 D.U. 51 67,1% 25 32,9% 76 D.A.E.U. 71 68,9% 32 31,1% 103 Licence 36 78,3% 10 21,7% 46 Licence Doctorat IUFM Formation continue Licence Pro. 24 54,5% 20 45,5% 44 2 110 67,2% 1 030 32,8% 3 140 En 2011-2012 1 990 65,2% 1 061 34,8% 3 051 En 2010-2011 2 107 65,6% 1 104 34,4% 3 211 En 2009-2010 2 047 63,1% 1 196 36,9% 3 243 En 2008-2009 1 654 62,1% 1 010 37,9% 2 664 Total 67,2% des étudiants à l’UPF sont des femmes ; ce taux reste plus important à l’UPF que dans l’ensemble des universités françaises (58,7% en 2011-2012). Le pourcentage des femmes inscrites dans les universités d’Outre-mer est de 63,5% en 2011-2012. Dans le département de lettres, langues et sciences humaines, les femmes représentent les trois quarts des effectifs et 83,5% à l’IUFM. Seul le département sciences offre une égale représentation hommes-femmes. Page 20 1.3.2 Age Ces données ne tiennent pas compte des effectifs de la formation continue Répartition par âge en fonction du sexe 50 et + 45-49 ans 40-44 ans 35-39 ans 30-34 ans 29 ans 28 ans 27 ans 26 ans 25 ans 24 ans 23 ans 22 ans 21 ans 20 ans 19 ans 18 ans 16-17 ans 1880 FEMMES 400 300 932 HOMMES 200 100 0 100 200 300 Age moyen par sexe et par niveau d’études L Effectifs M Age moyen 20,8 Année 1 1 266 Année 2 579 22,5 Année 3 603 24,9 Année 4 2 448 22,2 Effectifs 213 74 D Age moyen 27,7 33,5 8 Age moyen 28,0 11 34,5 Effectifs - - 9 34,0 - - 2 27,5 30 32,1 287 28,5 Alors que les néo-bacheliers entrant à l’université n’ont majoritairement pas de retard dans leurs études (61% des bacheliers généraux ou technologiques ont 18 ans ou moins), la moyenne d’âge est de plus de 20 ans en L1. Cette écart entre l’âge théorique et celui constaté s’explique en grande partie par les nombreux redoublements effectués en cours de cursus. A noter l’âge moyen des doctorants légèrement supérieur à 32 ans contre 30,5 ans au niveau national en 20103. 3 www.ove-national.education.fr/medias/files/ove.../OVE_infos_24.pdf Page 21 1.3.3 Origine socioprofessionnelle des étudiants Cursus licence : étudiants inscrits en formation initiale La répartition des étudiants est faite d’après la profession la personne de référence du ménage. Pour l’INSEE, la personne de référence du ménage est déterminée à partir des seules 3 personnes les plus âgées du ménage. S'il y a un couple parmi elles, la personne de référence est systématiquement l'homme du couple. Si le ménage ne comporte aucun couple, la personne de référence est l'actif le plus âgé (homme ou femme), et à défaut d'actif, la personne la plus âgée4. Catégorie socioprofessionnelle du chef de famille Agriculteurs, exploitants Artisans, commerçants et assimilés Ouvriers Employés Professions intermédiaires de la fonction publique Professions intermédiaires du secteur privé Cadres de la fonction publique Cadres du secteur privé Retraités Sans activités Non renseigné Total général Licence Total Licence 1 2 3 4,37% 3,33% 4,75% 4,21% 5,59% 6,85% 6,34% 6,05% 15,30% 13,33% 12,87% 14,30% 11,34% 11,30% 14,06% 11,93% 7,37% 7,22% 9,31% 7,76% 8,99% 7,59% 6,93% 8,20% 5,10% 7,59% 4,36% 5,53% 7,13% 6,85% 8,51% 7,37% 14,49% 18,52% 19,80% 16,62% 7,13% 8,33% 3,76% 6,67% 13,20% 9,07% 9,31% 11,36% 100,00% 100,00% 100,00% 100,00% Master Total Master 1 2 3,00% 4,76% 3,52% 8,00% 2,38% 6,34% 13,00% 2,38% 9,86% 9,00% 21,43% 12,68% 7,00% 2,38% 5,63% 10,00% 2,38% 7,75% 8,00% 7,14% 7,75% 3,00% 2,38% 2,82% 23,00% 35,71% 26,76% 7,00% 9,52% 7,75% 9,00% 9,52% 9,15% 100,00% 100,00% 100,00% En France métropolitaine, les enfants de cadres représentent près du tiers des effectifs, alors qu’à l’UPF, ils ne représentent que 13%. La part d’étudiants de parents retraités et inactifs est de 24% à l’UPF, contre 13,6% en France métropolitaine. 1.3.4 Boursiers sur critères sociaux En 2012-2013, les étudiants boursiers de l’Etat et de la Polynésie française sont au nombre de 850 contre 793 l’an passé. 76% des boursiers sont des femmes. Ils représentent 28,6% de l’ensemble des inscrits en formation initiale. A titre de comparaison, le taux de boursiers de l’ensemble des universités est de 33,8% en 20102011. 4 http://www.insee.fr/fr/themes/detail.asp?ref_id=irprojmen2030&page=irweb/projmen2030/dd/doc/concepts.htm Page 22 Total L+M 4,17% 6,07% 14,04% 11,97% 7,64% 8,18% 5,66% 7,10% 17,22% 6,73% 11,23% 100,00% Répartition entre boursiers d’Etat ou de la Polynésie française et non boursiers inscrits en formation initiale par département BOURSIERS NON BOURSIERS TOTAL TOTAL TOTAL en en % en % nombre 34,0% 737 66,0% BOURSIERS ETAT BOURSIERS TERRITOIRE TOTAL en nombre DEG 245 135 380 LLSH 226 85 311 32,9% 633 67,1% SSMT 87 38 125 23,5% 406 76,5% IUFM 19 3 22 27,8% 57 72,2% Total 577 261 838 31,4% 1833 68,6% Evolution des boursiers entre 2003 et 2012 2003 2004 2004 2005 2005 2006 2006 2007 2007 2008 2008 2009 2009 2010 2010 2011 2011 2012 2012 2013 Boursiers ETAT 168 232 258 291 276 309 540 553 551 577 Boursiers TERRITOIRE 212 216 199 197 187 183 171 247 242 261 Nombre de boursiers 380 448 457 488 463 492 711 800 793 838 En dix ans (2003 et 2012), le nombre de boursiers sur critères sociaux a progressé de 124% pour une évolution des effectifs étudiants de 32% sur la même période. Les boursiers de la collectivité représentent environ un tiers des boursiers. Evolution du nombre de boursiers 40,0% 35,0% 30,0% 25,0% 20,0% 15,0% 10,0% 5,0% 0,0% 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 % de boursiers UPF % de boursiers Etat % de boursiers Territoire % de boursiers Universités 2011 2012 Même si le nombre de boursiers croit fortement depuis 2008, il reste en poids relatif inférieur à celui constaté sur la moyenne des universités métropolitaines. Page 23 1.4 La réussite 1.4.1 L’aide à la réussite L’un des objectifs majeurs de l’université est d’aider les étudiants à réussir leur parcours universitaire et à obtenir leur diplôme. L’université a donc mis en œuvre un vaste plan d’actions, qui comprend des dispositifs d’aide à la réussite et à la réorientation. Une semaine d’intégration pour les nouveaux arrivants Les nouveaux étudiants de première année ont bénéficié à la rentrée 2012 d’une semaine d’intégration à la vie universitaire, pour réussir cette transition du lycée à l’université, qui peut s’avérer déconcertante pour certains. Un dispositif d’orientation a aidé les étudiants à mieux choisir leur filière, et de nombreuses activités, académiques, associatives et sportives, ont été proposées pour découvrir toutes les potentialités offertes par l’université et mieux apprécier la vie universitaire dans son ensemble. Un suivi personnalisé par des enseignants proches Les étudiants de l’UPF bénéficient d’un avantage indéniable par rapport à la plupart de ceux des autres universités de plus grande taille : la proximité avec leurs enseignants disponibles pour leur prodiguer des conseils. Des enseignants référents et des responsables pédagogiques sont des interlocuteurs privilégiés pour chaque étudiant, particulièrement durant leur première année de licence, mais également pendant leurs années suivantes. Le soutien pédagogique Des actions de soutien pédagogique dans une discipline sont organisées par les enseignants, souvent pendant les semaines de révision, pour leurs permettre de mieux se préparer aux examens. Le tutorat Un accompagnement pédagogique en petits groupes, de la part d’étudiants volontaires de troisième année de licence, permet aux étudiants de surmonter d’éventuelles difficultés d’adaptation dans une ou des disciplines. Les possibilités de réorientation Le premier semestre de la première année de licence est en grande partie semblable pour chaque filière d’un département de sorte que chaque étudiant puisse se réorienter à la fin du semestre, soit vers une autre formation, soit vers un semestre « rebond » en cas de difficultés. Ainsi, un groupe de 24 étudiants motivés a choisi de se réorienter vers une formation professionnalisante (certificat d’assistant administratif, offert en collaboration avec le CNAM). Un autre groupe de 24 étudiants a pris la décision de renforcer ses compétences fondamentales pour augmenter ses chances de passer, à travers le dispositif du « semestre rebond » en Page 24 seconde année. Il existe également des possibilités d’obtenir des certificats et diplômes universitaires pour des étudiants inscrits en économie-gestion, mais ne désirant pas poursuivre leurs études jusqu’à la licence. Ces diverses options de réorientation contribuent non seulement à la réussite académique, mais également à une meilleure insertion professionnelle. Il est important de rappeler qu’un diplôme de l’UPF représente une forte protection contre le chômage et la pauvreté, même en temps de crise économique. Nos dispositifs d’aide à la réussite offrent à nos étudiants une chance plus grande d’obtenir un diplôme, et donc de s’insérer plus facilement dans la vie professionnelle. Page 25 1.4.2 Réussite en L1 Comme l’a préconisé le Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche, la licence doit être un diplôme de référence pour l’emploi et la poursuite d’études : « Grâce aux moyens délégués dans le cadre du plan réussite en licence, les universités doivent être en mesure d’assurer pleinement leur mission en accueillant tous les étudiants d’où qu’ils viennent, quel que soit leur niveau et leur permettre de réussir ». Réussite des néo-bacheliers Est pris en compte pour le calcul du taux de réussite en première année des néobacheliers, l’ensemble des inscriptions principales de l’année 2011-2012 des étudiants ayant eu leur baccalauréat à la session 2011. Parmi les 564 néo-bacheliers inscrits en licence, 113 ont obtenu leur première année (semestres 1 et 2) en un an. Le taux de réussite en L1 pour les néo-bacheliers est passé de 13,1% en 2010 à 18,3% en 2011 puis 20% en 2012. Analyse de la réussite en première année par type de bac : GENERAL TOTAL TECHNOLOGIQUE PROFESSIONNEL LITTERAIRE ECONOMIQUE SCIENTIFIQUE BAC GENERAL Inscrits Admis % de réussite 88 33 37,5% 103 31 30,1% 99 37 37,4% 290 101 34,8% 166 7 4,2% 108 5 4,6% TOTAL 564 113 20,0% On peut constater une amélioration du taux de réussite pour tous les types de bacs (à l’exception des bacheliers technologiques). Le pourcentage de réussite des bacs généraux est en nette progression (34,8% au lieu de 29,9%). Toutes les sections progressent même si le nombre de néo-bacheliers est en diminution (cf. diminution des inscriptions principales en 2011). L’amélioration globale du taux de réussite n’est pas impactée par la remontée du nombre de bacheliers professionnels. Réussite en licence par semestre et par origine de baccalauréat Le tableau ci-après, indique les taux de réussite en 1ère année par semestre et par origine de baccalauréat. Le taux de réussite des présents aux examens, toutes licences confondues, se maintient au dessus des 50 % sur les deux semestres. Page 26 ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 SEMESTRE 1 SEMESTRE 2 Présents % Présents % % Admis/ % Admis/ . Inscrits aux Admis Admis/ Inscrits aux Admis Admis/ Présents. Présents. BAC examens Inscrits examens Inscrits DROIT, ECONOMIE, GESTION, Mention DROIT LITTERAIRE 27 21 8 29,6% 38,1% 27 16 7 25,9% 43,8% ECONOMIQUE 36 26 17 47,2% 65,4% 36 21 9 25,0% 42,9% SCIENTIFIQUE 10 9 5 50,0% 55,6% 10 7 6 60,0% 85,7% TECHNOLOGIQUE 67 35 11 16,4% 31,4% 67 18 4 6,0% 22,2% MEDICO-SOCIAL 4 3 0 0,0% 0,0% 4 0 0 0,0% 0,0% PROFESSIONNEL 21 9 1 4,8% 11,1% 21 5 0 0,0% 0,0% DAEU CAPACITE 6 4 2 33,3% 50,0% 7 3 1 14,3% 33,3% Total 171 107 44 25,7% 41,1% 172 70 27 15,7% 38,6% DROIT, ECO, GESTION Mention ECONOMIE GESTION LITTERAIRE 5 5 4 80,0% 80,0% 5 5 4 80,0% 80,0% ECONOMIQUE 91 78 53 58,2% 67,9% 91 54 36 39,6% 66,7% SCIENTIFIQUE 23 15 14 60,9% 93,3% 23 14 13 56,5% 92,9% TECHNOLOGIQUE 149 86 35 23,5% 40,7% 149 58 15 10,1% 25,9% MEDICO-SOCIAL 4 3 2 50,0% 66,7% 4 3 2 50,0% 66,7% PROFESSIONNEL 95 55 14 14,7% 25,5% 95 27 9 9,5% 33,3% DAEU CAPACITE 3 0 0 0,0% 0,0% 3 0 0 0,0% 0,0% Total 370 242 122 33,0% 50,4% 370 161 79 21,4% 49,1% LETTRES, LANGUES, SCIENCES HUMAINES, Mention LETTRES LITTERAIRE 13 9 7 53,8% 77,8% 12 8 7 58,3% 87,5% ECONOMIQUE 3 3 2 66,7% 66,7% 3 2 2 66,7% 100,0% SCIENTIFIQUE 2 2 2 100,0% 100,0% 2 2 1 50,0% 50,0% TECHNOLOGIQUE 3 1 1 33,3% 100,0% 3 2 1 33,3% 50,0% PROFESSIONNEL 4 0 0 0,0% 0,0% 4 0 0 0,0% 0,0% Total 25 15 12 48,0% 80,0% 24 14 11 45,8% 78,6% LETTRES, LANGUES, SC. HUMAINES, Mention LLCE, Spécialité ANGLAIS LITTERAIRE 25 18 8 32,0% 44,4% 25 9 3 12,0% 33,3% ECONOMIQUE 9 3 1 11,1% 33,3% 9 1 1 11,1% 100,0% SCIENTIFIQUE 4 1 0 0,0% 0,0% 4 0 0 0,0% 0,0% TECHNOLOGIQUE 19 7 2 10,5% 28,6% 19 3 1 5,3% 33,3% MEDICO-SOCIAL 1 1 0 0,0% 0,0% 1 1 0 0,0% 0,0% PROFESSIONNEL 8 3 0 0,0% 0,0% 8 3 0 0,0% 0,0% DAEU CAPACITE 3 3 2 66,7% 66,7% 3 1 0 0,0% 0,0% Total 69 36 13 18,8% 36,1% 69 18 5 7,2% 27,8% LETTRES, LANGUES, SC. HUMAINES, Mention HISTOIRE-GEOGRAPHIE LITTERAIRE 14 11 9 64,3% 81,8% 14 11 9 64,3% 81,8% ECONOMIQUE 10 5 3 30,0% 60,0% 10 8 5 50,0% 62,5% SCIENTIFIQUE 1 0 0 0,0% 0,0% 2 0 0 0,0% 0,0% TECHNOLOGIQUE 25 8 2 8,0% 25,0% 25 8 5 20,0% 62,5% MEDICO-SOCIAL 3 2 0 0,0% 0,0% 3 1 0 0,0% 0,0% PROFESSIONNEL 8 5 1 12,5% 20,0% 8 3 2 25,0% 66,7% DAEU CAPACITE 3 1 1 33,3% 100,0% 4 2 1 25,0% 50,0% Total 64 32 16 25,0% 50,0% 66 33 22 33,3% 66,7% LETTRES, LANGUES, SC. HUMAINES, Mention LLCR, Spécialité LANGUES POLYN. LITTERAIRE 18 13 11 61,1% 84,6% 18 11 8 44,4% 72,7% ECONOMIQUE 4 4 2 50,0% 50,0% 4 3 2 50,0% 66,7% SCIENTIFIQUE 5 5 5 100,0% 100,0% 5 4 3 60,0% 75,0% TECHNOLOGIQUE 33 25 16 48,5% 64,0% 33 14 9 27,3% 64,3% MEDICO-SOCIAL 4 4 1 25,0% 25,0% 4 2 1 25,0% 50,0% PROFESSIONNEL 40 28 2 5,0% 7,1% 40 15 0 0,0% 0,0% DAEU CAPACITE 3 3 3 100,0% 100,0% 13 3 3 23,1% 100,0% Total 107 82 40 37,4% 48,8% 117 52 26 22,2% 50,0% LETTRES, LANGUES, SC. HUMAINES, Mention LEA, Spécialité ANGLAIS, ESPAGNOL LITTERAIRE 44 29 22 50,0% 75,9% 44 18 11 25,0% 61,1% ECONOMIQUE 14 9 9 64,3% 100,0% 14 4 3 21,4% 75,0% SCIENTIFIQUE 5 3 3 60,0% 100,0% 5 2 2 40,0% 100,0% TECHNOLOGIQUE 38 12 9 23,7% 75,0% 38 11 6 15,8% 54,5% MEDICO-SOCIAL 2 1 0 0,0% 0,0% 2 0 0 0,0% 0,0% PROFESSIONNEL 7 2 0 0,0% 0,0% 7 1 0 0,0% 0,0% DAEU CAPACITE 3 1 1 33,3% 100,0% 4 1 1 25,0% 100,0% Total 113 57 44 38,9% 77,2% 114 37 23 20,2% 62,2% SCIENCES ET TECHNOLOGIES, Mention PHYSIQUE SCIENTIFIQUE 32 18 14 43,8% 77,8% 32 18 13 40,6% 72,2% TECHNOLOGIQUE 3 0 0 0,0% 0,0% 4 0 0 0,0% 0,0% MEDICO-SOCIAL 1 0 0 0,0% 0,0% 1 0 0 0,0% 0,0% PROFESSIONNEL 2 1 0 0,0% 0,0% 2 0 0 0,0% 0,0% Total 38 19 14 36,8% 73,7% 39 18 13 33,3% 72,2% SCIENCES ET TECHNOLOGIES mention SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE LITTERAIRE 1 0 0 0,0% 0,0% 1 0 0 0,0% 0,0% ECONOMIQUE 2 1 1 50,0% 100,0% 2 1 0 0,0% 0,0% SCIENTIFIQUE 48 33 21 43,8% 63,6% 48 30 19 39,6% 63,3% TECHNOLOGIQUE 9 5 3 33,3% 60,0% 9 5 3 33,3% 60,0% MEDICO-SOCIAL 6 1 0 0,0% 0,0% 6 1 0 0,0% 0,0% PROFESSIONNEL 2 0 0 0,0% 0,0% 2 0 0 0,0% 0,0% DAEU CAPACITE 1 0 0 0,0% 0,0% 1 0 0 0,0% 0,0% Total 69 40 25 36,2% 62,5% 69 37 22 31,9% 59,5% SCIENCES ET TECHNOLOGIES mention MATHEMATIQUES ET INFORMATIQUE ECONOMIQUE 9 5 0 0,0% 0,0% 9 2 0 0,0% 0,0% SCIENTIFIQUE 48 39 25 52,1% 64,1% 48 33 26 54,2% 78,8% TECHNOLOGIQUE 28 5 0 0,0% 0,0% 28 4 2 7,1% 50,0% PROFESSIONNEL 5 2 0 0,0% 0,0% 5 1 0 0,0% 0,0% Total 90 51 25 27,8% 49,0% 90 40 28 31,1% 70,0% Total général 2011-2012 1116 681 355 31,8% 52,1% 1130 480 256 22,7% 53,3% Page 27 Etudiants interrompant leurs études en L1 o Taux d’absentéisme par origine de baccalauréat Comme le montre le graphique ci-dessous, le taux de présence aux examens du semestre 1 est différent selon le type de baccalauréat de l’étudiant. Globalement, les taux d’absentéisme sont moins élevés que ceux de l’année dernière. A noter que pour la première fois le taux d’absents est supérieur chez les bacheliers technologiques (47,96%) que chez les bacheliers professionnels (44,62%). 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% ECONOMIQUE LITTERAIRE SCIENTIFIQUE TECHNOLOGIQUE PROFESSIONNEL DAEU, CAPACITE ABSENT 24,31% 27,52% 18,28% 47,96% 44,62% 45,45% PRESENT 75,69% 72,48% 81,72% 52,04% 55,38% 54,55% o Taux d’absentéisme par département Alors que les taux d’absentéisme baissent en DEG et en LLSH, ils sont en augmentation en Sciences (44,86% contre 40,97% en 2010-2011). 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% DEG LLSH SCIENCES ABSENT 35,49% 39,49% 44,86% PRESENT 64,51% 60,51% 55,14% Page 28 1.4.3 Evolution des taux de réussite Le taux de réussite par semestre a été calculé en rapportant le nombre d’admis au nombre d’étudiants présents à l’examen. Seules les inscriptions principales en licence sont prises en compte. 2008 2009 2009 2010 2010 2011 2011 2012 2008 2009 SEMESTRE 1 LICENCE 1 DROIT, ECONOMIE, GESTION LETTRES, LANGUES, SCIENCES HUMAINES SCIENCES ET TECHNOLOGIES 50,4% 45,1% 57,3% 37,6% 47,9% 47,1% 53,2% 60,7% 50,0% 59,4% 50,0% 47,6% 50,7% 56,3% 58,2% 48,8% 42,7% 70,5% 86,1% 64,2% 66,1% 89,0% 61,2% 83,3% 2011 2012 46,0% 74,9% 65,1% 70,7% 72,5% 77,1% 86,5% 82,7% 84,7% 87,0% 92,2% 75,4% 44,0% 40,5% 46,7% 46,7% 53,7% 63,5% 50,8% 56,5% 66,3% SEMESTRE 4 58,1% 61,4% 53,2% SEMESTRE 5 LICENCE 3 DROIT, ECONOMIE, GESTION LETTRES, LANGUES, SCIENCES HUMAINES SCIENCES ET TECHNOLOGIES 2010 2011 SEMESTRE 2 60,8% 55,0% 50,0% SEMESTRE 3 LICENCE 2 DROIT, ECONOMIE, GESTION LETTRES, LANGUES, SCIENCES HUMAINES SCIENCES ET TECHNOLOGIES 2009 2010 66,5% 59,1% 69,8% 64,4% 61,5% 69,9% 57,8% 73,2% 72,3% SEMESTRE 6 86,3% 90,2% 75,0% 86,7% 86,4% 87,8% 82,4% 89,5% 84,1% 86,6% 86,7% 84,2% 1.4.4 Suivi de cohorte Un suivi de cohorte permet de connaitre le parcours effectué par un échantillon d’étudiants à partir d’une date, et ce, jusqu’à une année donnée. Les tableaux présentés en annexe, donnent une analyse du parcours à quatre ans des étudiants inscrits en cursus licence pour la première fois à la rentrée universitaire 2008-2009. Le suivi de cohorte a été réalisé dans chaque licence des trois départements ; les effectifs correspondent à des inscriptions principales. Récapitulatif des cohortes 2006, 2007 et 2008 par filière sur quatre ans FILIERES Primo entrants 2006-2007 Total diplômés en 3 ou 4 ans (session 2009 & 2010) En nombre en % Primo entrants 2007-2008 Total diplômés en 3 ou 4 ans (session 2010 & 2011) En nombre en % Primo entrants 2008-2009 Total diplômés en 3 ou 4 ans (session 2011 & 2012) En nombre en % DROIT 128 31 24,2% 111 18 16,2% 138 35 25,4% ECONOMIE, GESTION 136 27 19,9% 153 31 20,3% 235 41 17,4% HISTOIRE-GEOGRAPHIE 68 15 22,1% 78 15 19,2% 52 12 23,1% LEA, Spécialité Anglais, Espagnol 55 9 16,4% 77 9 11,7% 74 12 16,2% LLCE, Spécialité Anglais 97 16 16,5% 88 12 13,6% 69 11 15,9% LLCR, Spécialité Langues Polynésiennes 94 11 11,7% 90 15 16,6% 89 10 11,2% LETTRES 12 4 33,3% 31 6 19,3% 16 3 18,8% MATHEMATIQUES-INFORMATIQUE 65 5 7,7% 76 14 18,4% 66 18 27,3% SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE 45 5 11,1% 59 15 25,4% 55 12 21,8% PHYSIQUE 56 12 21,4% 41 8 19,6% 40 16 40,0% 756 135 17,9% 804 143 17,8% 834 170 20,4% Total général La faiblesse de certains effectifs ne permet pas de tirer des enseignements précis des fluctuations des ratios de diplômés par filières. Page 29 Au niveau national, les taux d’obtention d’une licence générale sont de 27% en 3 ans et 38,9% en quatre ans5. Parcours des nouveaux entrants en L1 en 2008 Rentrée 2009/2010 Rentrée 2010/2011 Année 2 Effectifs % Quittent l'UPF Année 3 Effectifs % Rentrée 2011/2012 Année 4 Effectifs % 317 38,0% 420 50,4% 405 48,6% 70 8,4% 70 8,4% 63 7,6% Sont inscrits en licence 1ère année 235 28,2% 63 7,6% 15 1,8% Sont inscrits en licence 2ème année 212 25,4% 148 17,7% 75 9,0% 133 15,9% 106 12,7% 98 11,8% 170 20,4% 834 100,0% 834 100,0% Se réorientent à l'UPF Sont inscrits en licence 3ème année Ont obtenu leurs licences Sous-total 834 100,0% Au bout de quatre ans, près de la moitié des étudiants ont quitté l’université (chiffre comparable à la métropole) et 20,4% ont obtenu une licence dans le domaine où ils s’étaient inscrits (contre 38,9% au niveau national). L’écart avec la métropole semble se jouer à l’issue de la L1. En effet, à l’UPF, seul un quart des étudiants passent en L2 contre 40,8% au niveau national. 1.4.5 Les diplômés 1.4.5.1 Evolution du nombre de diplômés entre 2008 et 2012 Niveau de Diplôm e 2007/2008 2008/2009 2009/2010 2010/2011 2011/2012 VARIATION 2011 à 2012 D.U. 62 29 67 52 51 -1 D.A.E.U. 32 27 30 36 41 5 7 13 26 35 30 CAPACITE D.E.U.G. - - - - - - - 208 192 233 312 347 35 38 19 38 13 36 23 18 55 53 -2 6 7 8 1 1 1 567 57 247 D.E.U.S.T. 16 LICENCE LICENCE PROF. MASTER 3 DOCTORAT 3 H.D.R 3 Total général -5 - 646 255 4 563 41 1 460 510 En 2012, 567 étudiants ont été diplômés à l’université. Parmi eux, 78% ont un diplôme LMD. Ces diplômes ont connu une progression de +76,2% entre 2008 et 2012. A périmètre équivalent (hors DEUG et DEUST qui ne sont plus ouverts), le nombre de diplômés a progressé de 26% sur la même période. 5 Note d’information MESR, Avril 2013 Page 30 1.4.5.2 Le niveau licence Evolution du nombre de licences entre 2009 et 2012 FILIERES 2008/2009 2009/2010 2010/2011 2011/2012 DROIT ECONOMIE, GESTION HISTOIRE-GEOGRAPHIE LEA, Spécialité Anglais, Espagnol LLCE, Spécialité Anglais LLCR, Spécialité Langues Polynésiennes LETTRES MATHEMATIQUES-INFORMATIQUE SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE PHYSIQUE 36 46 13 12 14 25 9 12 9 16 31 67 22 17 18 18 8 26 14 12 58 95 14 21 34 23 9 21 21 16 47 136 28 24 19 27 5 20 25 16 192 233 312 347 Total Licenciés Variation 2009 à 2012 11 90 15 12 5 2 -4 8 16 155 Depuis 2009, le nombre de licenciés annuels a progressé de 80% (soit +20% par an en moyenne). La plus forte progression (en nombre et en pourcentage) concerne la licence d’économie gestion (+195%). Parmi les licences avec parcours, les résultats se décomposent de la manière suivante : - Sur les 28 licenciés en Histoire-Géographie, 14 relèvent du parcours histoire et 14 du parcours géographie ; - Sur les 20 licenciés en Mathématiques-Informatique, 10 relèvent du parcours mathématiques et 10 du parcours informatique. Licences délivrées en 2012 par origine de baccalauréat BACCALAUREAT GENERAL LICENCES 2012 LITTERAIRE ECONOMIQUE SCIENTIFIQUE DROIT ECONOMIE, GESTION HISTOIRE-GEOGRAPHIE LEA, Spécialité Anglais, Espagnol LLCE, Spécialité Anglais LLCR, Spécialité Langues Polynésiennes LETTRES MATHEMATIQUES-INFORMATIQUE SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE PHYSIQUE 21 2 10 13 6 10 4 16 47 8 3 10 5 6 14 3 1 1 TOTAL LICENCIES PAR BACS 66 BACCALAUREAT TECHNOLOGIQUE 4 61 4 6 2 8 1 2 1 18 21 15 1 2 1 92 80 89 Page 31 BACCALAUREAT PROFESSIONNEL DAEU CAPACITE 10 3 2 1 3 1 16 4 TOTAL 47 136 28 24 19 27 5 20 25 16 347 Licences délivrées en 2012 par mention obtenue MENTION DE LA LICENCE Mention Mention Mention Mention Mention Droit Economie-Gestion Histoire-Géographie LEA, Spécialité Anglais, Espagnol LLCE, Spécialité Anglais TRES BIEN BIEN 2 5 2 2 Mention LLCR, Spécialité Langues polynésiennes Mention Lettres 1 Mention Mathématiques-Informatique 1 Part des mentions TB/B 4% 4% 0% 17% 0% ASSEZ BIEN SANS MENTION TOTAL 6 37 12 8 4 39 94 16 12 15 47 136 28 24 19 1 26 27 0% 1 3 5 20% 8 11 20 5% Mention Sciences de la vie et de la terre 1 6 18 25 4% Mention Physique 1 2 13 16 6% 11 85 247 347 4% TOTAL 4 La part des licenciés avec mention très bien ou mention bien est passée de 7% (23 licenciés) en 2012 à 4% (15 licenciés) en 2012. Trois diplômes n’ont eu aucune mention très bien ou mention bien : Histoire-Géographie, Anglais et Langues polynésiennes. 1.4.5.3 Le niveau master Suivi passage de M1 en M2 M1 2011 M2 2012 Taux de passage DROIT, ECONOMIE, GESTION mention DROIT DES ACTIVITES ECONOMIQUES 39 36 92,3% LETTRES, LANGUES, SCIENCES HUMAINES mention LANGUES, CULTURES ET SOCIETES EN OCEANIE* 36 14 38,9% Total 75 50 66,7% Effectifs des cohortes de Master 2011 * En 2011, le Master de sciences humaines avait pour mention « Sociétés traditionnelles du Pacifique » dont 2 spécialités étaient ouvertes : Histoire (16 inscrits) et Langues et civilisations polynésiennes (20 inscrits). Masters délivrées en 2012 par mention obtenue Mentions obtenues en MASTERS 2 TRES BIEN BIEN ASSEZ BIEN PASSABLE TOTAL LETTRES, LANGUES, SCIENCES HUMAINES, Mention SOCIETES TRADITIONNELLES DU PACIFIQUE: FONDEMENTS CULTURELS, HISTOIRE ET REPRESENTATIONS Spécialité LANG. ET CIVI. POLYNESIENNES 1 3 6 10 Spécialité ETUDES ANGLO-SAXONNES 1 4 2 7 Spécialité LETTRES ET LITTERATURES FRANCAISES 2 2 Spécialité HISTOIRE 1 8 2 11 SCIENCES, TECHNOLOGIES, SANTE, Mention Mathématiques, informatique, sc. Physiques : Métiers de l'enseignement 1 Spécialité Mathématiques - Informatique 2 8 3 14 DROIT, ECONOMIE, GESTION Mention DROIT DES ACTIVITES ECONOMIQUES Total 2011-12 1 Page 32 2 3 4 9 7 26 19 53 1.4.5.4 Le niveau Doctorat Thèses soutenues Laboratoire Organisme NOM, Prénom Titre Directeur Date soutenance Discipline YE Feng-Yin Contribution à l'étude de l'érosion de l'ïle de Tahiti : modèles empirique et géomorphologique avec appui de données géochimiques Jean-Pierre BARRIOT 17/01/2012 UPF SCIENCES HYDROLOGIE - HYDROGEOLOGIE GDI LALLEMANT Hervé L’assistance environnementale – Nécessité et rôle en droit international de l’environnement et pour les petits Etats insulaires du Pacifique Sud Jean-Paul PASTOREL Stéphane DOUMBEBILLE 24/02/2012 UPF DROIT DROIT PUBLIC Spécialité : Droit international de l'environnement GDI QUINQUIS Bran Les conséquences du changement climatique sur l’économie de la Polynésie française Christian MONTET 20/04/2012 UPF DROIT - ECONOMIE - GESTION ECONOMIE Spécialité : Economie de l'environnement AUBRY Maite Epidémiologie moléculaire, évolution et diversité génétique intra-hôte du virus de la dengue dans les Etats insulaires du Pacifique Sud Marcel LE PENNEC John AASKOV 31/08/2012 UPF SCIENCES BIOLOGIE Spécialité : Biologie cellulaire et moléculaire PAWLOWIEZ Ralph Développement d'outils pour une meilleure surveillance du risque lié aux intoxications par biotoxines marines en Polynésie Mireille CHINAIN Marcel LE PENNEC 28/11/2012 SCIENCES BIOLOGIE DES POPULATIONS ET ECOLOGIE Spécialité : Biologie cellulaire et moléculaire 29/11/2012 LETTRES, LANGUES ET SCIENCES HUMAINES Langues et littératures arabes, chinoises, japonaises, hébraïques et d'autres domaines linguistiques Spécialité : Civilisation polynésienne 29/11/2012 LETTRES, LANGUES ET SCIENCES HUMAINES Langues et littératures anglaises et anglo-saxonnes Spécialité : Civilisation britannique mention Pacifique anglophone 30/11/2012 LETTRES, LANGUES ET SCIENCES HUMAINES Langues et littératures anglaises et anglo-saxonnes Spécialité : Civilisation britannique mention Pacifique anglophone GEPASUD UMR-EIO UMR-EIO EASTCO EASTCO EASTCO MC KITTRICK Corine La rhétorique du discours politique en Tahitien DI GIORGIO Josiane L'Autre à la Presqu'île de Tahiti : de Samuel Wallis à Frederick O'Brien, 1767 - 1921 TEAI Gloria Tahiti entre Terre, Mer et Pouvoir Bruno SAURA Serge DUNIS Serge DUNIS Habilitation à diriger des recherches NOM, Prénom TAQUET Marc ADAM David Titre Les Dispositifs de Concentration de Poissons (DCP) Contributions aux polynômes à valeurs entières et leurs applications Directeur Jean-Claude GAERTNER Jean-Luc CHABERT (LAMFA - Amiens) Page 33 Date de soutenance Discipline SCIENCES Domaine : Biologie des populations et écologie Spécialité : Océanologie biologique et environnement marin SCIENCES 26/11/2012 Domaine : Université PJV Mathématiques 30/01/2012 UPF Amiens (80) Mention Admis Admis 1.4.6 Réussite en Première Année Commune des Etudes de Santé CONCOURS 2012 NOMBRE D'ADMIS BACCALAUREAT Inscrits MEDECINE TRIPLANTS 6 2 SCIENTIFIQUE 4 2 LITTERAIRE 1 PROFESSIONNEL ODONTOLO PHARMACIEN GIE - 1 SAGE FEMME - ERGOTHERA PSYCHOMO TOTAL MASSO-KINE PEUTE TRICIEN D'ADMIS - - 1 4 1 1 1 % ADMIS Toutes 66,7% 3 75,0% 1 100,0% 57,9% - 0,0% REDOUBLANTS 38 10 3 1 5 1 1 1 22 SCIENTIFIQUE 36 10 3 1 4 1 1 1 21 58,3% 1 100,0% 13 13,8% 13 18,1% MEDICO SOCIAL TECHNOLOGIQUE 1 1 1 - 94 7 SCIENTIFIQUE 72 7 ECONOMIQUE 3 - 0,0% LITTERAIRE 1 - 0,0% TECHNOLOGIQUE 4 - 0,0% MEDICO SOCIAL 12 - 0,0% PROFESSIONNEL 2 - Totaux 138 19 - 3 2 2 1 1 2 2 1 1 4 7 2 2 - 0,0% NON REDOUBLANTS 2 0,0% 39 28,3% Les étudiants admis dans plusieurs filières, sont comptabilisés une seule fois dans la filière qu’ils ont acceptée Sur les 138 étudiants inscrits en PACES en 2011-2012, 94 étudiants sont des primo entrants (68%), 38 sont des redoublants (27,5%) et 6 sont des triplants (4,5%). Comme les années précédentes, les étudiants qui réussissent sont en quasi totalité titulaires d’un baccalauréat scientifique (95%). Page 34 1.4.7 Réussite au concours de Professeur des Ecoles (PE) Pour le premier degré, il a été maintenu à titre dérogatoire pour la Polynésie française (par le décret en date du 28 juillet 2009), un concours de recrutement au niveau licence, pour l’accès au corps de l’Etat de professeur des écoles créé pour la Polynésie française. L’IUFM continue d’assurer la préparation au concours de recrutement des professeurs des écoles et la formation professionnelle des professeurs des écoles stagiaires lauréats du concours. L’IUFM assure donc une année de préparation pour des étudiants sélectionnés qui passent le concours à l’issue afin d’intégrer une année de certification. Evolution de la répartition des lauréats du concours de PE 60 12 50 9 3 9 40 2 5 30 48 20 1 3 39 27 10 16 0 2012-13 candidats issus IUFM (PE1) 2011-12 Instituteurs 2010-11 Autres extérieurs 2009-10 Places non pourvues Alors que le nombre de places au concours était stable depuis 2009-2010 (60 places), 26 places furent déclarée non-pourvues en 2011-2012. En 2012-2013, le nombre de places au concours est passé à 20. Cependant, parmi les lauréats du concours 2012, la part des lauréats issus de l’IUFM reste globalement stable (80% en 2012, 79% en 2011 et 65% en 2010), validant l’importance de l’année de préparation. Page 35 1.5 L’insertion professionnelle 1.5.1 Données d’insertion professionnelle au niveau L Données concernant la promotion 2011 des licences générales délivrées à l’UPF. A noter le très bon taux de retour dans les réponses aux questionnaires (84% de réponses) Suivi à 6 mois après obtention de la Licence (Décembre 2011) Effectifs diplômés Effectifs réponses % réponses Délai d'inser tion Type de contrat EN ETUDE EN INSERTION CDI CDD Stage Autres < 3mois 3 à 6mois EN RECHERCHE SANS ACTIVITE Droit Eco-Gestion Hist-Géo 57 99 14 52 85 13 91% 86% 93% Nbre % Nbre % Nbre % 48 92% 44 52% 12 92% 3 6% 19 22% 0 0% 0 0% 12 63% 0 0% 1 33% 7 37% 0 0% 0 0% 0 0% 0 0% 2 67% 0 0% 0 0% LEA 20 16 80% Nbre % 12 75% 0 0% 0 0% 0 0% 0 0% 0 0% LLCE LCR Lettres Maths Info Sc.Phys. SVT TOTAL 34 24 9 21 16 24 318 21 19 6 19 14 22 267 62% 79% 67% 90% 88% 92% 84% Nbre % Nbre % Nbre % Nbre % Nbre % Nbre % TOT % 16 76% 16 84% 3 50% 17 89% 8 57% 17 77% 193 72% 4 19% 1 5% 2 33% 1 5% 3 21% 3 14% 36 13% 1 25% 0 0% 0 0% 1 100% 1 33% 0 0% 15 42% 2 50% 0 0% 1 50% 0 0% 1 33% 2 67% 14 39% 0 0% 0 0% 0 0% 0 0% 0 0% 1 33% 1 3% 1 25% 1 100% 1 50% 0 0% 1 33% 0 0% 6 17% 2 67% 8 42% 0 0% 0 0% 3 75% 1 100% 1 50% 0 0% 3 100% 1 33% 19 53% 1 0 1 33% 0% 2% 11 20 2 58% 24% 2% 0 1 0 0% 8% 0% 0 3 1 0% 19% 6% 1 1 0 25% 5% 0% 0 2 0 0% 11% 0 1 0 1 50% 0% 17% 1 0 1 100% 0% 5% 0 2 1 0% 14% 7% 2 2 0 67% 17 47% 9% 31 12% 0% 7 3% Source : Enquête effectuée par le COSIP En termes d’insertion professionnelles, on constate que la très grande majorité (72%) des étudiants licenciés poursuit ses études. Parmi ceux ne poursuivant pas d’études, 49% sont en situation d’insertion professionnelle, dont près de la moitié avec un CDI (42%). Plus de la moitié des étudiants ayant un travail sont en CDI. Suivi 12 mois après obtention de la Licence (Juin 2012) Effectifs diplômés Effectifs réponses % réponses EN ETUDE EN INSERTION PROFESSIONNELLE CDI CDD Stage Intérim Autres Droit 57 50 88% Nbre % 48 96% Eco-Gestion Hist-Géo 99 14 83 13 84% 93% Nbre % Nbre % 44 53% 12 92% LEA 20 16 80% Nbre % 13 81% LLCE 34 28 82% Nbre % 19 68% LCR 24 18 75% Nbre % 16 89% Lettres 9 6 67% Nbre % 3 50% Maths Info 21 19 90% Nbre % 18 95% Sc.Phys. 16 13 81% Nbre % 9 69% SVT 24 21 88% Nbre % 17 81% TOTAL 318 267 84% TOT % 199 75% 2% 22 27% 1 8% 1 6% 6 21% 1 6% 2 33% 1 5% 1 8% 1 5% 37 14% 0 0 0 0 1 0% 0% 0% 0% 100% 13 7 0 0 2 59% 32% 0% 0% 9% 0 1 0 0 0 0% 100% 0% 0% 0% 0 1 0 0 0 0% 100% 0% 0% 0% 1 4 0 0 1 17% 67% 0% 0% 17% 0 0 1 0 1 0% 0% 100% 0% 0% 0 1 0 1 0 0% 50% 0% 50% 0% 1 0 0 0 0 100% 0% 0% 0% 0% 0 0 0 0 1 0% 0% 0% 0% 100% 0 0 1 0 0 0% 0% 100% 0% 0% 15 14 2 1 6 41% 38% 5% 3% 16% < 3mois 3 à 6mois 6 à 9 mois 9 à 12 mois > 12 mois EN RECHERCHE D'EMPLOI 1 0 0 0 0 100% 0% 0% 0% 0% 8 10 0 1 3 36% 45% 0% 5% 14% 0 0 0 1 0 0% 0% 0% 100% 0% 0 1 0 0 0 0% 100% 0% 0% 0% 6 0 0 0 0 100% 0% 0% 0% 0% 1 0 0 0 0 100% 0% 0% 0% 0% 1 0 0 0 1 50% 0% 0% 0% 50% 1 0 0 0 0 100% 0% 0% 0% 0% 1 0 0 0 0 100% 0% 0% 0% 0% 0 0 0 1 0 0% 0% 0% 100% 0% 19 11 0 3 4 51% 30% 0% 8% 11% 0 0% 16 19% 0 0% 2 13% 3 11% 1 6% 1 17% 0 0% 1 8% 1 5% 25 9% SANS ACTIVITE 1 2% 1 1% 0 0% 0 0% 0 0% 0 0 0 0% 0 0% 2 15% 2 10% 6 2% Délai d'insertion Type de contrat 1 Source : Enquête effectuée par le COSIP La situation à 12 mois est assez proche de celle à 6 mois. Cependant le nombre d’étudiants en recherche d’emploi a diminué de près de 20%, passant de 31 à 25. Page 36 Suivi 12 mois après obtention d’un Master (Juin 2012) Droit Hist-Géo LLCE LCR Lettres Maths Info TOTAL Effectifs diplômés 14 6 13 2 8 12 55 Effectifs réponses 7 3 7 2 5 9 33 % réponses 50% 50% 54% 100% 63% 75% 60% EN ETUDE EN INSERTION Délai d'insertion Type de contrat PROFESSIONNELLE Nbre % Nbre % Nbre % Nbre % Nbre % Nbre % TOT % 2 29% 1 33% 1 14% 0 0% 0 0% 0 0% 4 12% 4 57% 2 67% 6 86% 2 100% 5 100% 9 100% 28 85% C DI 2 50% 1 50% 5 83% 1 50% 3 60% 8 89% 20 71% C DD 1 25% 1 50% 1 17% 1 50% 2 40% 0 0% 6 21% Stage 0 0% 0 0% 0 0% 0 0% 0 0% 0 0% 0 0% Intérim 0 0% 0 0% 0 0% 0 0% 0 0% 0 0% 0 0% Autres 1 25% 0 0% 0 0% 0 0% 0 0% 1 11% 2 7% < 3mois 3 75% 1 50% 4 67% 1 50% 5 100% 7 78% 21 75% 3 à 6mois 1 25% 1 50% 1 17% 1 50% 0 0% 1 11% 5 18% 6 à 9 mois 0 0% 0 0% 1 17% 0 0% 0 0% 0 0% 1 4% 9 à 12 mois 0 0% 0 0% 0 0% 0 0% 0 0% 1 11% 1 4% > 12 mois EN RECHERCHE D'EMPLOI 0 0% 0 0% 0 0% 0 0% 0 0% 0 0% 0 0% 1 14% 0 0% 0 0% 0 0% 0 0% 0 0 1 3% 0 0% 0 0% 0 0% 0 0% 0 0% 0 0 0 0% SANS ACTIVITE Source : Enquête effectuée par le COSIP La très grande majorité (85%) des étudiants titulaires d’un master bénéficie d’une activité professionnelle 12 mois après l’obtention de leurs diplômes. Parmi ceux-ci, 71% ont été embauché en CDI et 75% d’entre eux ce sont retrouvés en insertion professionnelles moins de trois mois après avoir quitté l’université. Page 37 1.6 La formation continue Les données présentées ici, ont trait aux étudiants inscrits dans le cadre de la formation continue de l’année universitaire 2011-2012. Elles sont fournies par le service de la Formation continue. Malgré le contexte de crise économique, de réduction des budgets publics et de forte concurrence, l’activité du service de la formation continue connaît un léger rebond en 2012 avec une augmentation des recettes (+10 K xpF) et une forte croissance de ses effectifs. Dans ce contexte qui reste difficile, le service de la formation continue de l’UPF a poursuivi sa stratégie de mise en valeur de ses compétences distinctives en recentrant ses activités sur les formations longues et de haut niveau, sur les formations diplômantes (diplômes nationaux ou d’université). Il a également ouvert son activité à des formations plus courtes, non diplômantes et en accueillant un public nombreux (tel que les formations en Droit foncier constituées de groupes de 50 stagiaires). Etudiants et stagiaires Comme les années précédentes, les chiffres communiqués dans ce rapport pour les diplômes d’Etat (DAEU, capacité, licence et master) correspondent, comme en formation initiale, aux remontées annuelles de l’enquête SISE. Pour mémoire ces chiffres sont arrêtés au 15 janvier. Néanmoins, pour certaines formations, des inscriptions sont enregistrées après cette date. Un étudiant est inscrit dans une formation diplômante et/ou qualifiante. Un stagiaire est en formation non diplômante (séminaires, certificats, préparations….). En 2011-2012, les effectifs de la formation continue connaissent une forte hausse et se situent à un niveau jamais atteint jusque-là. Page 38 Si les effectifs d’étudiants (285) se maintiennent sous la barre des 300, au même niveau que l’année précédente (277), celui des stagiaires est en forte augmentation totalisant 500 stagiaires de plus que l’année précédente (704 en 2011-12 contre 205 en 2010-11). Cette augmentation conséquente s’explique par l’ouverture de plusieurs formations consacrées au droit foncier à Tahiti et dans les îles et par plusieurs formations destinées aux élus, aux cadres de la Direction du Travail et à ceux de la Direction des Affaires Foncières. Les formations Carte de Formation Pôle Volume horaire Formations diplômantes 1 Di pl ôme d'Accès a ux Etudes Uni vers i ta i res 2 Di pl ôme d'Accès a ux Etudes Uni vers i ta i res E.P.P.F.** 3 CAPACITE EN DROIT 1ère a nnée 4 CAPACITE EN DROIT E.P.P.F. 1re a nnée 5 CAPACITE EN DROIT 2ème a nnée 6 Li cence d'Admi ni s tra ti on Publ i que* 7 Li cence profes s i onnel l e "Hôtel l eri e Touri s me" 8 D.U. 1 "Médi a teur " 9 D.U. "SPA Ma na ger" 10 D.U. "Deveni r Ma na ger d'une équi pe" Educa ti on Educa ti on Droi t Ges ti on Droi t Ges ti on Droi t Ges ti on Admi ni s tra ti on Publ i que Droi t Ges ti on Droi t Ges ti on Sa nté Droi t Ges ti on 2 182 305 0 180 5 120 345 650 50 367 160 Sessions de préparation 11 Souti en DAEU 12 Pré-ca pa 13 Contrôl eurs du tra va i l 14 Ta hi ti en ni vea u 1 15 CLES Educa ti on Droi t Ges ti on Admi ni s tra ti on Publ i que Forma ti on Pers onnel l e Educa ti on 424 20 25 329 50 0 Séminaires 17 Droi t fonci er pour l a DAF - 2 forma ti ons 16 Droi t fonci er tous publ i cs - 7 forma ti ons 17 Droi t fonci er da ns l es îl es - 6 forma ti ons 18 Aroma théra pi e 15 GRH 19 Forma ti on des él us 20 Forma ti on des ma gi s tra ts Droi t Ges ti on Droi t Ges ti on Droi t Ges ti on Sa nté Droi t Ges ti on Admi ni s tra ti on Publ i que Forma ti on Pers onnel l e 486 50 182 90 18 70 56 20 TOTAL GENERAL 3092 *Diplôme en convention avec l'université de Nantes - Les inscrits ne sont pas inclus dans les données SISE ** E.P.P.F. Etablissement Pénitentiaire de Polynésie Française Page 39 Le nombre de formations dispensées est en hausse par rapport à 2010-2011, passant de 33 à 39 formations, tandis que le nombre d’heures de formation dispensées (3092 heures contre 3193 heures en 2010-2011) reste stable. Ce constat s’explique par l’ouverture cette année de plusieurs formations courtes (entre 15 et 30 heures), notamment en Droit foncier, destinées à un grand nombre (entre 40 et 50 participants). Concernant les formations diplômantes, deux nouvelles formations ont été ouvertes : le diplôme d’université « SPA Manager » (367 heures), le diplôme d’université 1er niveau « Médiateur » (50 heures). Dans le même temps, la licence professionnelle « hôtellerie-tourisme », la Licence d’Administration Publique ainsi que le DU « Devenir manager d’une équipe » ont pu être ré-ouverts. 70% des heures ont été effectuées dans le cadre de formations diplômantes (dont 21 % pour les diplômes d’université) et 30 % dans le cadre des certificats d’université, séminaires, préparations et formations du personnel. Le pôle droit/gestion reste le domaine d’activité le plus important de la formation continue avec 48% des formations. Indicateur UPF : nombre d'heures effectuées par des enseignants titulaires 2008-2009 2009-2010 2010-2011 2011-2012 Nombre d'heures de formation dispensées 3 509 4 167 3 193 3 092 Nombre d'heures effectuées par des enseignants titulaires de l'UPF 990 507 725 790,5 % de participation des enseignants titulaires 28% 12% 22% 26% Page 40 Réussites aux diplômes et certificats délivrés en formation continue RESULTATS INSCRITS PRESENTS DIPLÔMES de Formation continue % / Inscrits au diplôme % /Présents à l'examen AU DIPLOME A L'EXAMEN ADMIS 52 52 51 98,1 98,1 12 16 24 12 16 24 12 15 24 100,0 93,8 100,0 100,0 93,8 100,0 118 90 41 34,7 45,6 118 90 41 34,7 45,6 57 42 30 52,6 71,4 32 19 6 20 19 3 11 16 3 34,4 84,2 50,0 55,0 84,2 100,0 58 48 36 62,1 75,0 36 22 29 19 17 19 47,2 86,4 58,6 100,0 285 232 158 Diplôme d'Université D.U. Devenir manager d'une équipe D.U. SPA Manager D.U. 1 Médiateur Diplôme d'Accès aux Etudes Universitaires D.A.E.U. Capacité en droit CAPACITE EN DROIT 1ère année CAPACITE EN DROIT 2ème année CAPACITE EN DROIT EPPF 1ère année Licence + licence professionnelle Licence d'Administration Pub lique* Licence professionnelle "Hôtellerie Tourisme" TOTAL GENERAL *Diplôme en convention avec l'université de Nantes - Les inscrits ne sont pas inclus dans les données SISE ** E.P.P.F. Etablissement Pénitentiaire de Polynésie Française En moyenne, 20% des étudiants ne se présentent pas aux examens. Le taux de réussite moyen est de 68% des présents à l’examen ; ce taux atteint près de 100% pour les DU. Le DAEU connait un taux de réussite de 45%. Indicateur UPF : taux de réussite en formation continue 2008-2009 2009-2010 2010-2011 2011-2012 Nombre d'inscrits aux diplômes 351 374 346 285 Nombre de présents aux examens 264 282 226 232 % d'admis sur inscrits aux diplômes 55,80% 52,90% 49,70% 55,44% % d'admis sur présents aux examens 74,20% 70,20% 76,10% 68,10% Page 41 Budget En dépenses et en recettes, ne figure pas la prise en charge des salaires de deux agents payés sur le titre II de l’Etat. o En recettes Montant en € RECETTES FC Variations 2011/2012 2009 2010 2011 2012 ETAT 22 123 36 872 19 274 10 475 -46% COLLECTIVITES 81 286 74 582 77 422 83 381 8% DROITS D'INSCRIPTION 422 298 521 700 386 824 453 704 17% AUTRES RECETTES 27 116 12 730 11 020 33 761* 197% Total Recettes 552 822 645 883 494 540 581 318 18% *le montant de 33 761 € est composé de 11 975 € titrés et de 21 786 € non titrés. Les recettes du service de la formation continue sont en hausse de 18 % par rapport à l’exercice précédent (+ 86 778 €), ce qui constitue une performance dans le contexte local de crise et de forte concurrence pour un privé de chargé de mission (par manque de candidat en interne). Le financement de la formation continue provient principalement des droits d’inscription versés par les étudiants ou les stagiaires avec, pour de nombreuses formations, prise en charge par leur employeur. La contribution de la Polynésie française représente 15% de l’ensemble des recettes de la formation continue (12% en 2010 et 15% en 2009). Il s’agit d’aides financières à certaines formations répondant aux besoins de la collectivité. Le service de la formation continue de l’UPF ne reçoit aucun financement du SEFI ou du Fonds paritaire, ces deux organismes privilégiant depuis deux ans les formations professionnelles de niveau inférieur au niveau Bac, ce qui ne correspond pas à l’offre et aux compétences de l’université. La part de l’Etat correspond aux crédits du contrat quadriennal 2008-2011. Elle passe de 36 872 € en 2010 à 10 475 € en 2012. Page 42 Origine des financements de la formation continue AUTRES RECETTES 2% ETAT 2% DROITS D'INSCRIPTION 81% COLLECTIVITES 15% o En dépenses En 2012, le volume des dépenses augmente de 16 % (comme en 2011 par rapport à 2010) par rapport à l’exercice précédent, passant de 462 K€ à 538 K€. Le taux de réalisation est stable par rapport à l’année précédente, même s’il demeure inférieur à la moyenne affichée par l’université (86,5%). Montant en € 2008 2009 2010 2011 2012 Budget prévisionnel 939 817 776 928 758 047 635 345 732 458 Dépenses réalisées 726 029 519 394 590 298 462 282 538 379 % de réalisation 77,3% 66,9% Page 43 77,9% 72,8% 73,5% Page 44 II. La Recherche Page 45 Page 46 2.1 Introduction L’université de la Polynésie française, jeune université, est un pôle important de recherche dans le Pacifique. Forte de 5 laboratoires et d’intenses coopérations dans toute la zone océanienne, elle occupe un champ d’action très vaste. Ainsi, la recherche à l’UPF s’étend de l’anthropologie, l’histoire, le droit, l’économie et la sociologie, à la chimie, la biologie, la physique, l’océanographie, les mathématiques, l’informatique…. généralement associée à des thèmes propres à la Polynésie ou à l’environnement océanien. L’université contribue à la politique de développement scientifique et technologique de la France en liaison avec les organismes de recherche de l’État et de la Polynésie française. Elle participe aussi à l’étude et à la mise en valeur des éléments du patrimoine polynésien. L’année 2012, la première de notre contrat quinquennal, aura vu l’université prendre une série de mesures visant à mieux structurer la Recherche et à la dynamiser. UMR EIO Le laboratoire BIOTEM a disparu au profit de l’Unité Mixte et de Recherche Ecosystèmes Insulaires Océaniens (UMR EIO) dont la création a été officialisée le 15 juin 2012 à l’occasion de la signature d’un accord-cadre entre les institutions membres de l’UMR, à savoir l’UPF, l’ILM, l’IRD et l’IFREMER. Ce laboratoire est composé de près d’une centaine de personnes et devient donc la plus grosse structure de recherche de l’université. CVT La valorisation est une des missions de l’université. Depuis cette année, l’université dispose d’une structure en mesure de valoriser les résultats de nos chercheurs. Le Consortium de Valorisation Thématique (CVT) « Valorisation Sud » rassemble l’IRD, le CIRAD, l’Institut Pasteur et toutes les universités d’outre-mer. Ce consortium bénéficie d’un important financement ANR qui se monte à 9 M€ sur 10 ans. Labex CORAIL Les partenaires du laboratoire d’excellence CORAIL sont l’EPHE, les universités d’outre-mer, l’IFREMER, l’IRD, le CNRS et l’EHESS. Ce laboratoire organise chaque année un appel à projets en direction de ses membres. Le premier appel à projets a eu lieu en 2011. GOPS Le Grand Observatoire de l’environnement et de la biodiversité marine et terrestre du Pacifique Sud (GOPS), créé en 2009, rassemble onze universités et organismes de recherche dont l’UPF. Le GOPS est un observatoire de recherche, « un consortium d'observatoires existants ou en devenir » qui permet de renforcer la mutualisation des moyens entre ses membres en incluant l'ensemble des dispositifs existants. Le GOPS organise un appel à projets chaque année depuis 2010. Page 47 Augmentation du BQR Le montant du BQR (Bonus Qualité Recherche) de 1 million de XpF en 2011 est passé à 1,7 million de XpF en 2012 et sera de 2,3 MF en 2013. Rappelons que l’objectif du BQR est de financer des projets de recherche portés par des enseignant-chercheurs de l’UPF. Un appel à projets a lieu chaque année. La sélection des projets a lieu en Conseil Scientifique Restreint après audition des porteurs de projets. Commission des « enseignant-chercheurs produisants » Chaque année, l’université doit d’informer l’AERES de son nombre de « chercheurs produisants ». L’université a donc mis en place une commission de recensement des « enseignant-chercheurs produisants ». Cette structure, composée du Vice-Président du Conseil Scientifique et des Directeurs de laboratoire, se réunit en début d’année civile pour évaluer le nombre de chercheurs produisants à l’université selon les critères de l’AERES. Réunie début 2013 pour la première fois, cette commission a évalué à 41 le nombre d’enseignant-chercheurs produisants au titre de l’année 2012. Réseau PIURN Le 7 novembre 2012, les représentants des universités des îles du Pacifique (Polynésie française, Nouvelle Calédonie, Fidji, Samoa, Papouasie Nouvelle Guinée) ont signé un communiqué dans lequel ils signifient leur accord pour créer le réseau de recherche Pacific Islands Universities Research Network (PIURN). La feuille de route de ce réseau sera définie et signée en juilllet 2013. Le réseau PIURN bénéficie du soutien financier du CTA (Technical Centre for Agricultural and Rural Cooperation), de l’UNESCO et du projet européen PaceNet. Page 48 2.2 Les structures de recherche UNITES DE RECHERCHE Label Obtenu Domaine scientifique principal Intitulé Responsable UMR 5 - Biologie, médecine et santé Environnement insulaire océanien - EIO N. MAZOUNI EA 4238 3 - Sciences de la terre et de l'univers, espace Géosciences du Pacifique Sud - GEPASUD J-P. BARRIOT EA 3893 1 - Mathématiques et leurs interactions Géométrie algébrique et applications à la théorie de l'information - GAATI R. OYONO EA 4240 7 - Sciences de la société Gouvernance et développement insulaire - GDI S. ALWARDI EA 4241 6 - Sciences humaines et humanités Sociétés Traditionnelles et Contemporaines en Océanie - EASTCO B. SAURA STRUCTURES FEDERATIVES 6 - Sciences humaines et humanités Centre International de Recherche Archéologique sur la Polynésie - CIRAP E. CONTE 3 - Sciences de la terre et de l'univers, espace Observatoire géodésique de Tahiti - O.G.T. J.P BARRIOT Unité Mixte de Recherche en Ecosystèmes Insulaires Océanien (EIO) Créée depuis le 01.01.2012, l’UMR 241-EIO (Ecosystèmes insulaires Océaniens) réunit 4 partenaires institutionnels : l’Université de Polynésie française (UPF), l’institut Français de Recherche pour l’Exploitation de la Mer (Ifremer), l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD) et l’institut Louis Malardé (ILM). Les travaux de recherche de l’UMR sont centrés sur l’analyse des interactions entre l’homme et son environnement dans les écosystèmes insulaires océaniens. Les agents sont répartis au sein de 3 équipes : Approche systémique des lagons exploités (SYREX), Approche pluridisciplinaire des métabolites secondaires (EIMS) et Enjeux sanitaires dans les écosystèmes insulaires (ESSENTIA). Par ailleurs, un thème transversal, centré sur l’analyse de la « biodiversité », structure et renforce la complémentarité entre les 3 équipes sur cette thématique centrale pour les écosystèmes insulaires océaniens. En 2012 l’unité était composée d’un effectif de 76 personnes dont 17 chercheurs et 12 enseignants-chercheurs permanents. Equipe d’Accueil Geopôle du Pacifique Sud (GePaSud) Le laboratoire Géopôle du Pacifique Sud (GePaSUD) est un laboratoire interne de l’Université de Polynésie française, auquel est joint l’Observatoire Géodésique de Tahiti (OGT). Page 49 Il comporte huit enseignants-chercheurs physiciens et informaticiens et plusieurs doctorants répartis en plusieurs thématiques : o o o o Sciences géodésiques et géophysiques ; Risques naturels ; Télédétection, traitement d’images et apprentissage machine appliqués au contexte polynésien ; Sécurité Informatique appliquée à la protection de l’information géographique. Equipe d’Accueil Géométrie Algébrique et Applications à la Théorie de l'Information (GAATI) L'équipe « Géométrie Algébrique et Applications à la Théorie de l'Information » (GAATI, EA 3893) de l'Université de la Polynésie Française est une équipe d'accueil créée en 2004. Les thèmes de recherche de l'équipe, qui portent sur les interactions entre la géométrie algébrique et la théorie de l'information, sont des thèmes émergents dont l'expansion rapide s'explique par le développement des communications de notre société numérique. Suite aux départs en retraite de deux de ses membres en septembre 2012, le laboratoire GAATI est constitué de quatre maîtres de conférences, et recrutera un professeur et un maître de conférences au courant de l'année 2013. Equipe d’Accueil Sociétés traditionnelles et contemporaines en Océanie (EASTCO) L’équipe EA4241 EASTCO (Equipe d’Accueil Sociétés Traditionnelles et Contemporaines en Océanie) a pour principal champ d’étude les cultures et sociétés polynésiennes. Elle comprend quatre axes de recherche : 1. Fondements culturels (linguistique, langues polynésiennes, ethnologie). 2. Rencontres (contacts entre Océaniens et Occidentaux, christianisation, colonisation). 3. Écritures (littératures océaniennes et occidentales au sujet de l’Océanie). 4. Transmission (recherches sur les questions d’éducation et culture en contexte océanien). 13 chercheurs titulaires, et 15 chercheurs associés (dont des doctorants). Equipe d’Accueil Gouvernance et Développement Insulaire (GDI) L’équipe d’accueil EA 4240 regroupe les chercheurs en sciences de la société (droit, économie, gestion) autour des notions de "gouvernance" et de "développement insulaire" en Polynésie et dans le Pacifique. Elle s’inscrit dans le cadre du projet de l’université de la Polynésie française qui tient à privilégier les thèmes de recherche concernant directement la région, notamment ceux qui contribuent à son développement économique, social et culturel. Le laboratoire comprend deux axes : « Gouvernance, normes et institutions » et « Stratégies de développement des économies insulaires ». Le laboratoire comprend 16 membres titulaires en 2012 Page 50 Structure Fédérative Centre International de Recherche en Archéologie Polynésienne (CIRAP) Créé en janvier 2007, le CIRAP associe quatre institutions partenaires : l’UPF, l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne, l’Université de Californie-Berkeley et l’Australian National University (ANU) de Canberra. Ce centre, dont les locaux sont implantés sur le campus de l’UPF, a pour objectif de fédérer les efforts de plusieurs chercheurs issus de ces institutions, travaillant sur l’archéologie polynésienne, en particulier la Polynésie française. Structure Fédérative Observatoire Géodésique de Tahiti (OGT) Tahiti est devenu en 1997 un site de référence géodésique fondamental pour la poursuite des satellites d’étude de la Terre à des fins océanographiques, géodynamiques et géophysiques grâce à l’installation d’une station de poursuite de satellites par laser sur le campus de l’UPF. Cette station MOBLAS (pour MOBile LASer Ranging System) et les systèmes de radiopositionnement installés à Papeete constituent l’Observatoire Géodésique de Tahiti (OGT), qui est un partenariat entre le Centre national d’études spatiales (CNES), le laboratoire GEPASUD de l’UPF et la NASA. Page 51 2.3 Les enseignants-chercheurs 2.3.1 Nombre d’enseignants-chercheurs par unité de recherche Ces données correspondent au stock d’emplois au 1/09/09 des enseignants-chercheurs, hors postes vacants et attachés temporaires d’enseignement et de recherche Unité de Recherche BIOTEM - 4239 EASTCO - EA 4241 GAATI - EA 3893 GDI - EA 4240 GEPASUD - EA 4238 EQUIPE EXTERIEURE SANS EQUIPE Total PR 2 3 1 5 3 3 17 CORPS MCF 8 9 5 9 5 7 3 46 Total 10 12 6 14 8 10 3 63 La mobilisation des enseignants chercheurs dans les unités de recherche de l’UPF est de 80% 2.3.2 Répartition des enseignants-chercheurs par domaine scientifique Sont inclus dans ce tableau, les 3 ATER PR 1 MCF 5 TOTAL 6 % 9% STIC 1 Physique 1 3 4 6% 1 2 3% Chimie Biologie, médecine et santé 1 3 4 6% 1 5 6 9% Sciences agronomiques et écologiques 0 0 0 0% Sciences de la Terre et de l'Univers - Espace 1 4 5 8% 30% 29% 100% Mathématiques et leurs interactions ATER Sciences Humaines et Humanités 6 13 1 20 Sciences de la Société (Droit-Eco-Gestion) TOTAL 5 17 12 46 2 3 19 Page 52 66 2.3.3 Nombre d’enseignants-chercheurs « produisants » Données retenues par la commission des enseignants-chercheurs produisants sur la base des publications des quatre dernières années Enseignants-chercheurs « produisants » Nombre 40 EC "produisant" selon l'AERES (1) EC "produisant" accueillis par l'établissement (2) EC "produisant" expatriés vers d'autres établissements (3) Solde migratoire (4=2-3) 4 1 3 EC "produisant" retenus pour l'allocation des moyens (5=1-4) 37 (1) Ce nombre inclut les EC de l’établissement qui effectuent leur activité de recherche dans les unités de recherche dont l’établissement est partenaire (support ou non). (2) Il s’agit des EC de l’établissement accueillis dans des unités de recherche dont l’établissement n’est pas partenaire Répartition des EC « produisants » selon les domaines et les cotations des unités de recherche DOMAINES Sciences exactes Sciences du vivant Sciences humaines et sociales TOTAL A+ A 0 0 1 1 B 0 1 1 C 10 9 9 28 TOTAL 10 9 22 41 0 0 11 11 2.4 Les Doctorants Au 15/01/2013, date de l’enquête SISE6, 30 doctorants se sont inscrits en 2012-2013 plus 1 HDR, contre 40 l’année précédente. 2012-2013 Dont 1ères inscriptions UNITE DE RECHERCHE Inscriptions totales HOMME FEMME HOMME FEMME Environnement insulaire océanien - EIO 3 2 4 8 Géosciences du Pacifique Sud - GEPASUD 1 0 5 1 Géométrie algébrique et applications à la théorie de l'information - GAATI 1 0 1 0 Gouvernance et développement insulaire - GDI 1 0 6 3 0 0 0 2 6 2 16 Sociétés Traditionnelles et Contemporaines en Océanie EASTCO TOTAL DES INSCRITS 14 30 6 Système d’Information sur le Suivi des Etudiants Page 53 2.5 Budget de la recherche Dépenses réalisées en 2012 par action LOLF Montant en € DEPENSES 2012 ACTION LOLF 106 107 108 110 111 112 115 Recherche universitaire en sciences de la vie, biotechnologies et santé Recherche universitaire en mathématiques, STIC, micro et nanotechnologies Recherche universitaire en physique, chimie et sciences pour l'ingénieur Recherche universitaire sciences de la terre, de l'univers et de l'environnement Recherche universitaire en sciences de l'homme et de la société Recherche universitaire interdisciplinaire et transversale Pilotage de la recherche Total Répartition par action 139 670 16 981 98 859 359 069 139 974 49 892 6 612 17,2% 2,1% 12,2% 44,3% 17,3% 6,2% 0,8% 811 057 100,0% Origine de financement des dépenses réalisées ci-dessus AUTRES 1% CNES 13% MESRAUTRES 3% ENTREPRISES IFREMER 6% 1% IRD 4% ANR 2% MESR-DGF : ministère de l’enseignement supérieur MOM 3% et de la recherche – dotation de fonctionnement MESR-autres : ministère de l’enseignement AFD 13% supérieur -Crédits spécifiques MOM : Ministère de l’outre-mer ANR : agence nationale de recherche COLLECTIVITE S LOCALES 4% MESR-DGF 50% CNES : centre national d'études spatiales AFD : Agence française pour le développement Evolution des contrats de recherche et de prestations Nombre de conventions signées par an 16 Montant global 600 000 546 532 14 466 021 480 130 440 854 419 772 12 400 000 10 8 500 000 257 359 300 000 6 200 000 4 100 000 2 - 2 007 2 008 2 009 2 010 Nombre de CONVENTIONS Page 54 2 011 Montants 2 012 III. Les activités de soutien Page 55 Page 56 3.1 La documentation Le Service Commun de la Documentation a porté, en 2012, un effort particulier sur l’enrichissement et la valorisation de l’offre documentaire électronique. Le passage en haut débit de la documentation en ligne, au mois de mai, ainsi que la mise en place, par la DSI, de l’authentification unique et d’un reverse proxy (EZ proxy, OCLC) le mois suivant, permettent dorénavant aux usagers d’accéder, dans de bonnes conditions, aux ressources documentaires électroniques de l’université. Forte de cette nouvelle architecture technique, la bibliothèque universitaire a tout d’abord développé les collections numériques. Une convention de partenariat pour l’acquisition mutualisée de ressources documentaires électroniques a été signée le 18 mai 2012 par les présidents de l’université de la Polynésie française et de l’université de la Nouvelle-Calédonie. Les négociations menées conjointement avec les éditeurs et les fournisseurs par les deux bibliothèques universitaires ont permis, à des tarifs avantageux, d’acquérir : 1) Pour la Recherche : - le bouquet de revues Springer (1500 titres, en texte intégral, de 1997 au dernier n° paru) qui complète la collection Springer d’archives et de e-books acquise par licence nationale en mai 2011 ; - la base de données de références bibliographiques Web of Science (Thomson) et le Journal of Citation report ; 2) Pour l’enseignement : - Le bouquet de livres numériques ENI. Il s’agit d’une première étape ; en 2013, l’UP accède désormais, grâce à ce partenariat, aux 36 revues de l’American Chemical Society et aux 12 000 livres numériques Cyberlibris, comme l’UPF, déjà abonnée par le passé à ces ressources. L’UPF a également acquis en 2012 trois nouveaux bouquets JStor, proposant ainsi l’accès aux archives d’environ 300 revues scientifiques de différentes disciplines. 5 tests ont été organisés pour évaluer la pertinence de nouvelles ressources à l’UPF, et, pour certaines d’entre elles, en liaison étroite avec les enseignants-chercheurs concernés : les bases de données ABI Inform Global (Proquest) et Business Source Premier (Ebsco) pour la recherche en économie-gestion ; ebooks Springer en toutes disciplines ; le portail OpenEdition Freemium en sciences humaines ; ebooks Premium en histoire. ABI a été retenue par les enseignants-chercheurs en économie-gestion. L’abonnement est supporté financièrement et à part égale par l’UPF et l’UNC. Parallèlement à cet enrichissement de l’offre électronique, il a été décidé de supprimer les doublons imprimé/électronique existants, maintenus volontairement tant que le service en ligne était de qualité insuffisante. Il a été mis fin aux abonnements de 35 revues imprimées, soit une économie de près de 6 000 euros. La mutation des supports continuera dans les années à venir. Page 57 Pour accompagner l’offre documentaire numérique, et pour la valoriser, la bibliothèque a mis en place une nouvelle gamme de services, à destination de tous les usagers, étudiants, doctorants et enseignants-chercheurs : - Définition d’un nouveau profil de personnel à la BU dédié à l’information, la formation, l’accompagnement des usagers ; - Mise en ligne de cours interactifs avec QCM en méthodologie de la recherche documentaire sur la plateforme de ressources pédagogiques ESPADON ; - Développement de l’offre de formation en présentiel . Les collections imprimées, toujours très prisées des usagers, continuent également d’être enrichies. Les deux bibliothèques de l’université ont acquis, en 2012, plus de 5000 volumes. A souligner, l’obtention d’une subvention du Centre National du Livre(CNL) pour l’enrichissement du fonds de littérature du Pacifique, de plus de 4050 euros. 398 ouvrages ont été acquis dans le cadre de ce projet. Le SCD a poursuivi son engagement dans le dispositif Marianne relatif à la qualité de l’accueil et des services au public. Des travaux d’embellissement et de signalétique ont été menés cette année. Une enquête de satisfaction portant sur l’espace, les collections, les services et le personnel a été lancée en mars, dont les résultats ont d’ores et déjà permis de mieux cibler les besoins, notamment pour l’extension des horaires d’ouverture de la BU. Signalons, enfin, qu’une inspection du Service Commun de la Documentation a été réalisée, à la demande du Président, par l’Inspection Générale des Bibliothèques du 7 au 12 juin 2012. Le rapport définitif a été remis au Président en janvier 2013. Les indicateurs soulignent une activité toujours soutenue à la bibliothèque universitaire, un ralentissement étant en revanche observé à la médiathèque de l’IUFM, qui correspond naturellement aux promotions de taille réduite accueillies à la rentrée 2012. 3.1.1 Activité des bibliothèques Activité de service public Le contrat quinquennal 2012-2016 retient 1 seul indicateur de performance de la documentation : la variation des horaires d’ouverture du SCD. Si l’année 2012 est stable, par rapport aux années précédentes, quant à l’ouverture hebdomadaire de la bibliothèque universitaire, une réflexion a été menée pendant l’année, nourrie par une enquête auprès du public, pour une extension de l’ouverture, désormais effective, de 60h30 à 65h30. La bibliothèque universitaire a ainsi, dès janvier 2013, atteint l’objectif ministériel visant à rejoindre la moyenne d’ouverture des bibliothèques européennes (65 h). Page 58 Ouverture des B.U. 2008 2009 2010 2011 2012 260 263 263 243* 258 Ouverture hebdomadaire 60h30 60h30 60h30 60h30 60h30 Moyenne nationale 58h00 n.c. n.c. n.c. n.c. 219 244 305 305 305 Nb total de jours d’ouverture Nb de places assises * Fermeture 8 semaines (au lieu de 4) pour travaux ** Source : https://www.sup.adc.education.fr/asibu/ PUBLIC INSCRIT A LA B.U. 2008/2009 2009/2010 2009/2010 2010/2011 2011/2012 LICENCE 2 026 2 408 2 408 2 570 2 376 MASTER 65 86 86 237 270 19 2 110 17 2 511 17 2 511 28 2 835 11 2 657 88 107 107 126 126 464 2 662 414 3 032 414 3 032 456 3 417 456 3 239 DOCTORAT TOTAL LECTEURS ETUDIANTS Enseignants Autres lecteurs TOTAL GENERAL LECTEURS Activité de prêt : PRETS Prêts à domicile 2008 2009 2010 22 398 52 083 51 842 57 033 22 822 30 428 34 010 42 109 44 014 21 655 17 832 14 924 11 808 1 623 512 511 495 764 24 021 52 595 52 353 57 528 56 586 dont BU dont Médiathèque IUFM Communications sur place Nombre prêts + communications 2011 2012 Source : module Administration du SIGB Horizon Rappelons que l’augmentation des droits de prêt, en juillet 2011, répondait à une demande forte du public. On ne peut que se réjouir de l’augmentation du nombre global d’emprunts à la bibliothèque universitaire, qui permet de supposer une adéquation de l’offre à la demande. Une analyse plus fine reste toutefois nécessaire, par discipline et par niveau. Cet examen plus approfondi des documents prêtés est effectué régulièrement dans le cadre de l’évaluation des collections, par les acquéreurs, afin de corriger, si nécessaire, leur politique d’acquisition. Emprunts par lecteurs 2008 2009 2010 2011 2012 Nombre d'empurnts par lecteur inscrits Nombre d'empurnts par lecteur (moyenne nationale) 9,25 19,75 17,26 19,20 21,00 13,90 n.c. n.c. n.c. n.c. Source: https://www.sup.adc.education.fr/asibu/ A cette activité de prêt des documents imprimés doit désormais être rajouté l’usage des documents électroniques. Sont indiquées dans le présent rapport, à titre d’exemples, les statistiques d’usage d’un panel représentatif de ces ressources. o Portails de revues scientifiques : Page 59 Science direct (2000 revues Elsevier). Nombre d’articles téléchargés : Année Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre 2010 2011 2012 239 165 102 262 184 240 329 373 162 434 108 272 193 155 76 196 197 51 139 55 20 162 107 15 104 76 56 144 118 75 Novembre Décembre 341 96 103 264 38 53 Total 2807 1 672 1 225 Cairn (350 revues francophones en sciences humaines). Nombre d’articles téléchargés : Année Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre 2010 2011 2012 38 18 26 28 21 40 35 68 49 25 94 63 13 47 74 6 18 26 0 9 0 10 4 32 35 52 397 52 0 118 o 2011 Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août 8 2 8 5 409 41 204 21 165 13 25 5 0 0 2 2 2012 Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Recherches Sessions 113 7 226 36 126 34 203 34 56 12 59 5 0 0 200 45 Année 2011 2012 35 54 139 12 14 23 Total 289 399 987 Une base de données : Francis Recherches Sessions o Novembre Décembre Septembre Octobre 35 10 7 4 Septembre Octobre 225 65 114 39 Novembre Décembre 88 16 3 2 Novembre Décembre 151 35 8 2 Une base juridique : Lextenso Nombre de connexions Durée de connexions 76 215 98h41 267h29 Nombre de recherches Nombre de documents effectuées consultés 268 566 300 1095 Même si la plupart de ces données sont encourageantes, l’offre numérique peine encore à s’imposer dans les usages courants des étudiants et des enseignants-chercheurs. La formation des usagers à la méthodologie documentaire : L’offre de formation de la bibliothèque universitaire s’élargit. Le SCD considère comme essentiel de développer une offre de formation en méthodologie de la recherche documentaire, la maîtrise de l’information étant reconnue comme jouant un rôle dans la réussite étudiante. Il est important également d’accompagner les enseignants pour qu’ils connaissent l’offre électronique. 1) Formations déjà existantes : - 817 étudiants de L1 ont suivi un TD d’1h30 prévu dans la semaine de pré-rentrée, afin de faire connaissance avec le lieu et l’offre documentaire. C’est insuffisant et on peut regretter que la bibliothèque ne soit pas plus présente au sein de l’UE Méthodologie du travail universitaire (MTU). - 15 étudiants de Master 1 de LLCR reo mao’hi ont suivi 9h de TD inclus dans leur cursus. Les bibliothécaires ont été associés à l’évaluation des productions rédigées à l’issue des formations. 2) Formations nouvelles : - 2 journées de formation ont été proposées aux doctorants, construites de façon à leur apporter une culture de l’information scientifique et technique, une connaissance des ressources disponibles à l’université et ailleurs et une méthodologie de recherche sur les bases de données et plateformes de ressources disciplinaires. Cette formation a été très Page 60 Total 954 121 Total 1481 314 - bien ressentie par les 12 doctorants qui l’ont suivie. On peut juste en regretter le caractère optionnel. 31 PE2 de l’IUFM et 16 Master 2 ont suivi 2 h de TD du module de recherche documentaire du C2i2E. 24 étudiants de la licence professionnelle hôtellerie-tourisme ont bénéficié d’une formation de 2h. 25 élèves de première année de BTS du lycée agricole de Moorea ont bénéficié d’une formation de 2h30. Animation et la culture : Le SCD a participé, en 2012, au Salon du Livre de Tahiti Lire en Polynésie. Comme en 2011, l’objectif visé était de promouvoir la bibliothèque et la lecture auprès d’un public non universitaire, de le rencontrer et de lui rappeler que la bibliothèque universitaire est ouverte à tous. La finalité des expositions et des animations organisées au sein de la bibliothèque relève du même esprit : amener les étudiants à la bibliothèque, par d’autres biais que celui de l’étude. Un étudiant qui connaît la bibliothèque, qui a envie d’y venir, est un étudiant qui adoptera plus facilement le réflexe de s’y rendre dans le cadre de son cursus universitaire. Le service interne Le service interne de documentation intègre les activités de constitution des collections, traitement documentaire, gestion et conservation des collections. o Entrées d’ouvrages Ouvrages 2008 2009 2010 2011 2012 Nombre de volumes acquis : BU Nombre de volumes acquis : Médiathèque IUFM Nombre de dons BU Nombre de dons Médiathèque IUFM 2 853 3 347 1 836 581 3 816 1587 397 83 4 610 704 209 85 4 833 780 308 71 Total des ouvrages entrés à la B.U. 4 689 3 928 5 883 5 608 5 992 Le ratio « nombre de livres acquis par étudiant » est excellent, comparé à l’objectif national minimum réclamé par l’ADBU (Association des Directeurs et personnels de direction des Bibliothèques Universitaires) d’un ouvrage/étudiant/an, en vue de soutenir la réussite étudiante, particulièrement en licence (Cf. Lettre à la Ministre du 14 février 2013). Page 61 o Signalement d’ouvrages Notices d'exemplaires créées, modifiées, supprimées dans le SUDoc 2008 BU 6667 Médiathèque IUFM 9411* Source : www.webstats.abes.fr 2009 5149 1697 2010 6081 2954 2011 6410 2657 2012 7803 3187 *Entrée de la médiathèque dans le réseau national, déversement automatique de 6600 notices en mars 2008. Les chiffres particulièrement élevés de 2012 s’expliquent par l’achèvement du traitement des ouvrages transférés de la médiathèque de l’IUFM à la bibliothèque universitaire, suite à la mastérisation de la formation des enseignants. Ce travail a pu être mené grâce au travail d’une contractuelle recrutée à partir du mois de mars. o Sorties des collections (ouvrages obsolètes, abîmés ou devenus inadaptés) : 2011 : 2359 2012 : 3791 Le travail d’évaluation des collections en libre-accès, démarré en 2011, s’est poursuivi en 2012, entraînant un désherbage massif dans différentes disciplines (Sciences, SVT, Economie-Gestion, Histoire-Géographie). La relégation en magasin des documents peu ou pas consultés a entraîné une saturation de cet espace, nécessitant de procéder à l’élimination ou au don de nombreux documents. Les fonctions support Il s’agit de la valorisation des collections, la conception et l’exploitation des outils de gestion documentaire informatisée, la direction et l’encadrement de l'unité, l’administration générale, les tâches d'intérêt collectif. Ces fonctions sont assurées essentiellement par les personnels d’encadrement et, pour le suivi du SIGB et du parc informatique (36 postes filaires, 40 portables prêtés à domicile, un automate de prêt), par un technicien des bibliothèques de la filière ITRF. Page 62 Répartition du temps de travail par type de fonction : Catégories d'emplois Service public Service interne fonction support Directeur SCD 5% 25% 70% Catégorie A 5% 70% 25% Catégorie B 10% 70% 20% Catégorie C 20% 90% 75% 10% 5% 0% Emplois Etudiants 3.1.2 Les moyens de la documentation Les moyens humains Ressources humaines du Service Commun de la Documentation, à la fin de l’année 2012 : Emplois affectés à la BU nombre Filière Catégorie d'emplois 7 BU A 2 B 1 C 4 Enseignant du secondaire PRCE 1 1 1 ITRF BAP F B 1 2 BIATSS C Contractuels ressources propres C Total 2 2 2 13 A ces effectifs viennent s’ajouter 2 100 heures d’emplois étudiants (1,3 ETP). Un recrutement local sans concours de magasinier a été organisé par l’université en juin 2012, permettant le recrutement d’un contractuel du SCD. Afin de renforcer les moyens du SCD dans le développement de son offre de formation, une contractuelle B a été embauchée à partir du mois de mars, sur le poste vacant de PRCE. Le SCD a accueilli deux stagiaires au cours de l’année 2012, une professeur-documentaliste stagiaire (une semaine) et une étudiante de l’IUT Métiers du Livre de Bordeaux 3 (3 semaines), ainsi qu’une bibliothécaire de l’Université de la Nouvelle-Calédonie, pour une semaine d’échanges de bonnes pratiques. Page 63 Le budget Budget du Service Commun de la Documentation (en euros) Montant en € 2008 2009 2010 2011 2012 Dépenses non documentaires 220 580 197 955 310 722 239 583 313 493* 219 130 291 766 220 552 321 941 80 868 Dépenses réalisées 418 535 550 305 532 623 512 318 402 809 52,7% 56,5% 58,9% 57,0% 79,9% Dépenses documentaires % dépenses documentaires * dont 42 561 euros d'achat exceptionnel de livres anciens. Si on corrige le chiffre en ne tenant pas compte de cet achat exceptionnel, le % de dépenses documentaires par rapport aux dépenses non documentaires baisse à 50,9 %. En 2011 il est de 57% Le budget documentaire a été réalisé à hauteur de 100 % (Cf. rapport de présentation du compte financier 2012). 3.2 L’orientation et l’insertion professionnelle 3.2.1 Actions d’orientation Forum Etudiants-Entreprises La 6ème édition du forum Etudiants/entreprises constitue une opportunité unique de rencontrer des professionnels de tous les secteurs d’activités qui informent les étudiants sur leurs métiers et leurs parcours. Pour préparer en amont cette manifestation, le COSIP aide les étudiants à la rédaction de leur CV et de leur lettre de motivation. Les étudiants ont reçu des conseils sur les entretiens d’embauche ainsi qu’une aide personnalisée pour réfléchir à leur orientation et leur insertion professionnelle. Durant les deux journées du forum, des ateliers thématiques ont eu lieu et ont permis des échanges directs avec les professionnels. Des séances de simulation d’entretien d’embauche ont été organisées et ont obtenu un grand succès. Journée de l’orientation post-bac Le Ministère de l’Education, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche de la Polynésie française et la Direction de l’Enseignement Secondaire organisaient chaque année le Forum de l’Après-Bac. Cette année, cette manifestation a fusionné avec la journée « portes ouvertes » de l’université. Cette journée vise à apporter aux lycéens une information claire et objective sur l’ensemble de l’offre de formation et des conseils sur les filières qu’ils ont l’intention de choisir. Les élèves qui souhaitent poursuivre des études dans l’enseignement supérieur doivent s’inscrire sur le portail national « admission post-bac ». L’orientation active est un des éléments essentiels du plan « Réussite en licence », dans la mesure où elle permet aux lycéens d’arrêter leur choix d’études supérieures en parfaite Page 64 connaissance de cause. L’objectif est de diminuer le taux d’échec important en 1ère année de licence grâce à une meilleure information. Les filières présentées par les professeurs dans les amphithéâtres ont permis aux lycéens de choisir la formation qui les intéresse. Le contact direct avec des enseignants est déterminant pour mieux connaître les exigences des enseignements et découvrir les débouchés professionnels. C’est la raison pour laquelle on parle d’orientation active. L'orientation active est une démarche de conseils et d'accompagnement des futurs étudiants par les enseignants. C’est aussi, pour le lycéen, anticiper ses choix pour l’avenir de façon plus progressive. L’orientation active est organisée en quatre grandes étapes : information, préinscription sur le portail national admission post-bac, conseils et admission. Elle permet aux lycéens de choisir la filière ou la voie qui correspond le mieux à leurs aptitudes et à leurs goûts. Journées d’intégration des primo-entrants Pour aider les nouveaux étudiants (néo-bacheliers) à s’intégrer et à commencer leurs études universitaires dans de bonnes conditions, une semaine d’intégration est organisé. Celle-ci permet de faire prendre conscience aux jeunes des différences qui existent entre le lycée et l’université, de les motiver en leur faisant comprendre les enjeux de la réussite universitaire. Des tests d’évaluation et d’orientation sont proposés le premier jour. A l’issue, un groupe d’une vingtaine d’étudiants a été constitué pour une réorientation vers une formation professionnalisante du CNAM « assistant administratif ». D’autres étudiants ont bénéficié d’une séance d’accompagnement psychologique de la part des dix conseillers d’orientation psychologues (COP). Le lendemain de la rentrée, le COSIP a organisé 3 séances d’information afin de sensibiliser les étudiants à leur future orientation et insertion professionnelle et de les motiver pour la réussite de leurs études. Carrefour de l’emploi public : Le carrefour de l’emploi public a pour objectif d’organiser en un lieu unique une rencontre entre les étudiants et les représentants des différentes fonctions publiques afin de faire connaître les perspectives d’emploi et les modes de recrutement des administrations. Page 65 3.2.2 Actions d’insertion Animation d’ateliers Pour préparer leur rencontre avec les entreprises, dans le cadre du forum Etudiants/Entreprises, les étudiants ont participé chaque semaine, de septembre à décembre 2012, aux ateliers suivants : « Repérer et valoriser ses ressources personnelles », « Réaliser son CV », « Rédiger des lettres de motivation efficaces » et « préparation à l’entretien ». Administration du site www.stages-emplois.upf.pf Annuaire des diplômés et suivis des diplômés Cet annuaire est une des sources d’information permettant de connaitre le devenir de nos étudiants après leur départ de l’université. Il s’agit d’un outil d’aide à la décision dans la définition d’une carte de formation adaptée au marché de l’emploi. Le COSIP utilise également ces données pour renseigner les enquêtes ministérielles relatives à la poursuite d’études et à l’insertion professionnelle des diplômés. Une des missions du bureau d’aide à l’insertion professionnelle (BAIP) est d’assurer le suivi des diplômés de l’UPF. Ce dernier conseille les étudiants sur leurs problématiques liées à l’emploi et à l’insertion professionnelle ; il explique l’importance d’effectuer un stage afin d’acquérir de l’expérience pour mieux s’insérer dans le monde du travail. Page 66 3.3 La vie étudiante et les œuvres universitaires 3.3.1 L’aide aux projets et initiatives étudiantes Cette aide se fait principalement à travers le financement des actions proposées par les associations étudiantes. Pour ce faire, l’UPF utilise deux sources de financement principales. Il s’agit tout d’abord du Fonds de Solidarité et de Développement des Initiatives Etudiantes (FSDIE). Ce fonds existe dans toutes les universités. Le budget du FSDIE est constitué par un prélèvement réglementaire effectué sur le montant des droits de scolarité de chaque étudiant (13 € pour l’année universitaire). Ces crédits servent à soutenir les projets étudiants dans les domaines culturels, humanitaires ou sportifs. La deuxième source de financement est constituée par deux subventions du CNOUS (Initiatives étudiantes et projets culturels) pour un montant total de 6 000 €. En 2012, un montant de 2 790 553 XPF a été attribué aux associations qui ont sollicité l’aide de l’UPF pour la réalisation de leurs projets : l’ASSET (journée polynésienne), l’association GeoHisles (voyage d’études), DocTa (fête de la science et doctoriales), la Chorale de l’université et l’ASCIP (association sportive). 3.3.2 Les œuvres universitaires La cité université propose 72 chambres. Indicateur UPF : Taux de satisfaction - Demande de logement 2007-2008 Non boursier 2008 - 2009 2009 - 2010 Non Non Boursier boursier boursier Boursier Nombre de demandes 2010-2011 Non boursier Boursier 2011-2012 Boursier Non boursier 234 168 236 134 304 110 287 118 294 72 - 72 - 71 - 72 - 72 23,4% 0,0% Nombre de chambres attribuées Taux de satisfaction Boursier 30,8% 0,0% 30,5% 17,9% 0,0% 19,5% 17,1% 25,1% 0,0% 93 - 24,5% 17,8% 0,0% 18,6% Le restaurant universitaire Indicateur UPF : Restaurant universitaire - nombre de repas servis aux étudiants Nombre de jours d'ouverture Nombre de repas servis Nombre de repas servis par jour 2007 2008 2009 2010 2011 212 209 183 187 194 2012 182 32 378 33 049 25 849 24 990 21 720 20 957 153 158 141 134 112 115 On peut constater que sur les quatre dernières années, le nombre de repas servis a baissé de plus du tiers (-34,2% entre 2008 et 2011) alors que le nombre de jours d’ouverture n’a diminué que de 7,1%. Page 67 3.4 Les relations internationales 3.4.1 Les relations entre l’UPF et l'Université de Hawai'i à Manoa Des relations traditionnelles avec un fort potentiel Liés de longue date par une convention générale (le premier accord remontant à l'époque de l'Université Française du Pacifique), les deux établissements ont essayé, bon an, mal an, pendant une longue période, de pérenniser des échanges d'étudiants et d'enseignants. Pour le premier type d'échanges universitaires, la balance a toujours été largement positive pour les étudiants polynésiens. Il faut dire aussi que l'Université de Hawai'i, avec l'appui du EastWest Center, a fait bénéficier toute une cohorte d'étudiants de l'UPF de bourses de séjour ou de conditions d'accueil privilégiées sur le campus de Manoa, notamment pour y suivre des cours d'été ou effectuer des recherches pour les étudiants parvenus au niveau du second cycle d'études. Beaucoup d'étudiants anglicistes, inscrits en Maîtrise dans le système existant alors, ont pu en profiter. En ce qui concerne les échanges d'enseignants-chercheurs, en revanche, le solde aura plutôt été en faveur des collègues hawaïens, ce pour deux raisons. D'abord, pour lancer la filière d'études anglicistes en 1992, il avait été fait appel plusieurs années de suite à des enseignants missionnaires venant de Honolulu. Ensuite, la filière Langues et Civilisations Régionales a régulièrement utilisé jusqu'à aujourd'hui les compétences de quelques spécialistes de langue tahitienne ou hawaïenne, rattachés au Département des langues et littératures de l'IndoPacifique. Mais la mobilité enseignante dans le sens inverse a été plutôt ponctuelle, avec notamment la filière LCR. La volonté de pérenniser une réciprocité dans de tels échanges, ou de les étendre éventuellement à d'autres filières d'études, n'a peut-être pas été exprimée suffisamment. Il est possible également que les responsables de UHM aient compté seulement sur la disponibilité et la bonne volonté d'une poignée d'enseignants-chercheurs du campus de Manoa pour entretenir un programme de partenariat. L'accord-cadre régissant les collaborations entre les deux universités a été néanmoins renouvelé périodiquement par leurs directions successives comme allant de soit, du fait de leur proximité géographique et culturelle. Le choix de l'UPF de décerner le deuxième titre de docteur honoris causa de son histoire au professeur d'anthropologie Ben Finney a institutionnalisé en quelque sorte ces rapports amicaux traditionnels mais encore virtuels à d'autres égards. Il manquait en particulier la dimension de la recherche et de l'enseignement intégré et des projets communs concrets susceptibles de mobiliser les énergies. C'est en 2010-2011 que sont lancées de part et d'autre les premières initiatives pour tracer de nouvelles perspectives. En accueillant à Honolulu le chargé de mission des relations internationales de l'UPF, le professeur Jack Ward et ses collègues Puakea Nogelmaier, John Meyer, Kathryn Hoffmann et Terence Wesley-Smith l'informent d'une initiative pluridisciplinaire (French-speaking Oceania and Asia) rassemblant le Département Indo-Pacifique, la Division de Page 68 français et d'italien, le Centre d'études du Pacifique insulaire, et le Centre d'études du Sud-Est asiatique. Entre autres, il est proposé de créer deux postes budgétaires pour assurer des enseignements de français et de langue tahitienne. Mais il revenait à l'UPF de susciter des candidatures locales valables venant en compétition avec des candidatures d'autres pays et de Hawai'i même. A la suite d'une procédure rigoureuse de sélection, les deux postes ont bien été pourvus par deux Polynésiens formés à l'UPF, dont l'une des missions explicites était de contribuer par leurs enseignements et leurs travaux scientifiques à étoffer les liens unissant les deux universités. Une stratégie commune pour passer du virtuel au concret La sollicitation de candidatures polynésiennes, suivie en juin 2011 par l'offre de l'East-West Center de deux bourses de séjour d'étude à Manoa durant l'été, était en fait le premier signe fort d'un désir de renouer avec la dynamique des toutes premières collaborations. La direction de l'UPF a été d'ailleurs réactive en invitant le professeur Terence Wesley-Smith et le Dr. Jerry Finin, directeur de programme à EWC, à séjourner à Tahiti pour y rencontrer leurs collègues des trois départements de l'UPF. Les réunions approfondies ont porté leurs fruits. Aujourd'hui, des membres de l'équipe de recherche EASTCO, avec quelques contributeurs extérieurs, sont engagés dans la préparation d'un numéro spécial de la revue-phare de UHM Contemporary Pacific consacré à la Polynésie Française, sous la direction du professeur Bruno Saura. Ce dernier a pu entamer des recherches et animer des séminaires à Manoa en 2102 dans le cadre d'une mission des Relations Internationales et sera amené à y effectuer, en septembre 2013, un plus long séjour financé sur des crédits de recherche. Il bénéficiera d'un statut de chercheur en résidence à l'East-West Center. La visite à Honolulu d'un deuxième enseignant-chercheur, Taivini Teai, est prévue pour mai 2013, financée sur le budget des R.I. Le Dr. Teai, avec le soutien de la directrice de l'UMR Environnements Insulaires Océaniens, compte bien pouvoir initier un projet scientifique avec un des départements de sciences de l’UHM. Le Dr. Jerry Finin lui a déjà donné des contacts, bien qu'il se reposera aussi sur l'appui d'un collègue biologiste de Brigham Young University à Laie (la deuxième université hawaïenne partenaire de l'UPF) - David Bybee - qui collabore activement depuis longtemps avec des scientifiques de Manoa. Mais l'UPF n'a pas été en reste pour l'accueil de collègues hawaïens. Ainsi, depuis un an, la doctorante en linguistique Mary Walworth, précédemment monitrice de langues à UHM, mène ses recherches dans les locaux du Centre International de Recherche Archéologique sur la Polynésie, quand elle ne travaille pas sur le terrain sur l'île de Rapa. Elle a pu d'ailleurs obtenir la prestigieuse bourse Chateaubriand grâce à la recommandation du président Eric Conte. Pour accueillir des enseignants-chercheurs de l’UHM et de l'UPF sur une plus longue période, diverses pistes sont en cours d'exploration, avec le souci toutefois de se conformer aux règles administratives des deux établissements. Un autre type de collaboration, sur le plan de la formation universitaire, a vu le jour. Les séminaires de recherche entre enseignants et les échanges culturels entre étudiants en visioconférence ont pu être menés à bien durant l'année 2012-2013, avec un total de sept séances (y Page 69 compris un séminaire sur le thème des changements climatiques en février 2013, animé entre autres par le Dr. Keitapu Maamaatuiahutapu). C'était une autre des priorités fixées durant la visite de Jerry Finin et Terence Wesley-Smith en novembre 2011. L'une des questions posées était de savoir si l'UPF irait aussi loin que l'université partenaire pour faire valider sous une forme ou sous une autre la participation des étudiants aux différentes sessions. Ce serait une façon de les motiver davantage et d'arriver peu à peu à la conception d'enseignements intégrés. Les réflexions à ce sujet se poursuivent. En tout cas, certains des intervenants de ces séminaires en visio-conférence ont pu prolonger leurs échanges dans leur domaine de spécialité et même esquisser des thèmes de recherche en commun. Ici encore, il faudra savoir convertir le virtuel en réalité concrète. Cette démarche a été prise en compte par les responsables des bibliothèques universitaires de l'UPF et de l’UHM. Jerry Finin et Terence Wesle-Smith avaient eu l'occasion de rencontrer la directrice de la B.U., Isabelle Heutte, et son adjointe, Danielle Niquet. Et tous les quatre avaient convenu alors d'engager des relations suivies avec le personnel de la Bibliothèque Hamilton, et deux de ses animateurs notamment : Eleanor Kleiber et Stuart Dawrs. Aujourd'hui, des liens solides sont établis entre les deux entités. Danielle Niquet en particulier a pu voir sur place le fonctionnement de la grande référence documentaire du Pacifique et tracer les contours d'une collaboration directe et permanente en termes d'accès aux informations ou de catalogage d'ouvrages en langues polynésiennes. Un de ses collègues hawaïens a prévu d'ores et déjà de se déplacer en Polynésie française à la fin de l'année 2013 pour continuer ce dialogue fructueux. Au vu de tous ces éléments, il serait souhaitable de soutenir et de prolonger toutes les actions mettant en oeuvre le partenariat privilégié entre l'UPF et UHM ou du moins certaines des composantes de cet établissement. La cohérence de cet axe de collaboration apparaît à plusieurs niveaux : pédagogique, scientifique, administratif. De façon plus informelle enfin, les liens créés entre enseignants-chercheurs ont permis d'ores et déjà de s'ouvrir à d'autres partenariats internationaux. En juin 2014, se tiendra à l'UPF un colloque sur la gouvernance politique, juridique et économique dans les îles du Pacifique, avec en parallèle la conférence biannuelle du PIPSA (Pacific Islands Political Association). Le projet est déjà lancé au niveau de cette association de politistes bien en vue, dirigée actuellement par Steven Ratuva, professeur à l'Université d'Auckland. Mais il n'a pu être monté qu'avec l'active collaboration du professeur de l’UHM Wesley-Smith et de Jerry Finin au nom de l'East-West Center. Page 70 3.4.2 La mobilité internationale La mobilité entrante Pays/université d’origine CHINE China Foreign Affairs University ETATS-UNIS Simpson College HAWAII University of Hawai’i at Manoa SAMOA The National University of Samoa Mobilité étudiante Mobilité enseignante 1 (janvier - mai 2012) / 9 (janvier - avril 2012) 1 (septembre - décembre 2012) 1 (janvier - avril 2012) Pr Ron WARNET, enseignant de Biologie / 2 (14 janvier -11 février 2012) / Mobilité étudiante Niveau d’études La mobilité sortante Pays/université d’accueil CANADA Université de Montréal Université Laval CHINE China Foreign Affairs University ETATS-UNIS Simpson College 2 2 3 HAWAII Brigham Young University 4 University of Hawai’i at Manoa L2 Eco-Gestion L3 Hist.-Géo M1 Droit M2 Droit L3 LEA L3 Eco-Gestion L3 Eco-Gestion L2 SVT L3 Eco-Gestion L3 Eco-Gestion L3 Anglais La mobilité Erasmus Pays/université d’accueil ESPAGNE Mobilité sortante IRLANDE ROYAUME-UNI Pays/université d’origine ESPAGNE Mobilité entrante IRLANDE ROYAUME-UNI Page 71 Mobilité étudiante Mobilité enseignante 6 1 1 6 Mobilité étudiante Mobilité enseignante 1 1 2 2 4 1 La mobilité dans le cadre du programme d’assistants de langue à l’étranger En 2012, un étudiant de LEA est parti 4 mois en Espagne et cinq sont partis au Royaume Unis (3 en licence d’anglais et 2 en M2 Société traditionnelle du Pacifique). 3.4.3 Les rencontres internationales Offres de séjour à l’UPF pour une collaboration scientifique Pour l’année 2012, deux bourses étaient proposées par l’UPF pour accueillir des enseignantschercheurs d’universités étrangères désireux d’initier ou de renforcer une collaboration étroite avec l’un ou l’autre de nos cinq laboratoires. Le Conseil scientifique de février 2012 a retenu deux dossiers : o Le mathématicien de renom Florian LUCA a pu passer de longues journées de travail avec les membres du laboratoire GAATI, avec pour point d’orgue un exposé sur les nombres elliptiques de Carmichael. Les contours d’un axe de recherche sur la théorie des nombres sont désormais bien fixés. o Natacha GAGNE souhaite poursuivre une collaboration scientifique avec plusieurs enseignants-chercheurs de l’UPF, en particulier ceux de l’équipe de recherche EASTCO (Équipe d’Accueil Sociétés traditionnelles et contemporaines en Océanie).Elle a pu échanger sur ses recherches en cours : « Comment les Tahitiens de Polynésie française et les Māori de Nouvelle-Zélande s’instituent-ils comme sujets politiques et quelles formes prennent l’action et la parole citoyennes ? » Rencontres internationales o Dr Yves-Louis SAGE à l’Université de Hawai’i à Manoa. Echanges approfondis notamment avec les doyens de la Faculté de droit et des études Asie-Pacifique et avec le directeur de la bibliothèque Hamilton. Animation d’un séminaire, projet ITLCPS (Institute of Transnational Legal Culture and Pacific Studies). o Pr Christian JOST à l’Université Laval au Canada. Sa mission était de réactiver l’accordcadre liant l’UPF à l’Université Laval : il a été convenu que la convention générale soit renouvelée en 2013 et qu’un accord spécifique impliquant les géographes des deux établissements soit mis en œuvre dès la rentrée 2012, avec la mise en place de cours par visio-conférence au niveau du Master 2 sur le thème Environnement, Risques et Migrations. Outre l’accès gratuit à certains cours en ligne, ils ont évoqué la faisabilité de voyages d’étudiants de niveau L3, incluant des stages de terrain. Entretien avec les responsables des relations internationales. o Pr Bruno SAURA à l’Université de Hawai’i à Manoa et à l’Université de Brigham Young. Rencontres avec M. Darrell KICKER et M. Arapata MEHA, respectivement Coordinateur Page 72 des échanges d’étudiants à UHM et Responsable des admissions à BYUH.L’un des objectifs de sa mission était de relancer les séminaires par visio-conférence initiés au premier semestre 2012. Animation également d’un cours de Tahitien et d’un cours de la filière French Studies : « Invitation aux voyages » à l’UHM. Deux conférences publiques ont été données à l’UHM et à BYUH. Un autre objectif important était la mise en place du numéro spécial de revue-phare de UHM,the Contemporary Pacific consacré au Pacifique francophone. Invités Objet de la visite Thématique . Pr Eugène NALIVAIKO, du laboratoire de neurocardiologie de l’université australienne de Newcastle Prise de contact sciences biomédicales. . Pr Léo DAMROSCH,Directeur de recherche à l’Université de Harvard Invitation à l’UPF dans le cadre de la francophonie. . M. Paolo OREFICE, Titulaire d’une chaire UNESCO à l’Université de Florence Echanges avec le Pr Bruno SAURA La protection des patrimoines immatériels et la conservation des savoirs traditionnels . Mme Rachel DUIGOUet M. Adrien LE LEON,de l’Agence Europe-Education-Formation France Rencontre avec la Directrice de la Formation Continue et du Chargé de Mission aux R.I. Programmes européens Comeniuset Léonard de Vinci. Cours dispensés dans la filièreReo Ma’ohi Dialectologie Prise de contact Le secteur des énergies renouvelables. Rencontre avec Dr Lydie SICHOIX et le Pr Pascal ORTEGA. Le secteur des énergies renouvelables. Rencontre avec le Pr Phila RAHARIVELOMANANA. Mieux connaître l’UPF, établissement partenaire depuispeu pour les échanges Echanges avec le Pr Bruno SAURA Les enjeux de l’enseignement supérieur en Océanie. Rencontre avec Dr Yann RIVAL et Dr Vincent DROPSY. Perspectives de développement économique et social et d'intégration . Pr Poia REWI, enseignant de langue Maorià l’Université d’Otago(Dunedin, NouvelleZélande) . M. Denis DECRAENE, Conseillerpour la coopération et l’action culturelle à l’Ambassade de France à Suva . MM. Frantz SINAMA,Eric MONCEYRON et Franck LUCASenseignants-chercheurs à l’Université de la Réunion . Pr Louis DUMONT,Enseignant en pharmacologieà l’Université de Montréal . Dr Nicolas GARNIER,Directeur du Centre d’études mélanésiennes à l’Université de Papouasie-Nouvelle Guinée . Pr Terence WESLEY-SMITH (UHM), Pr Alfred OEHLERS (Asia Pacific Center for Defence Studies) et Pr Cary WASDEN (BYUH) . Pr Tarcisius KABUTAULAKA, Pr Terence WESLEY-SMITH (UHM) et M. John Kalani ENGLISH, Sénateur de l’Etat de Hawaii . M. Arapata MEHA, Responsable des admissions à l’Université Brigham Young de Laie . Pr Liangwen KUO et Pr Wei-An CHANG, Doyen de la faculté des études hakka,de l’Université Nationale de Chiao Tung à Taïwan Echanges avec le Pr Bruno SAURA Prendre connaissance des nouvelles candidatures à la mobilité étudiante Mobilité étudiante Recherche d’un partenariat éventuel La langue et de la culture hakka.a. . Pr Michael TARRANTde la Warnell SchoolUniversité de Géorgie Mise en place d’une journée d’études et de rencontres avec des étudiants anglicistes . Pr Mohammed CHAREFUniversité Ibnou Zohr Mission d'enseignement Page 73 Géographie Page 74 IV. Les activités support Page 75 Page 76 4.1 La communication 4.1.1 Des supports de communication multiples Pour mener efficacement la politique de valorisation de son image, l’université dispose d’outils de communication qui, du point de vue de la cible, du contenu et de la méthode, remplissent leur rôle de vecteurs d’identité. Créé en 2001, le site institutionnel de l’université (www.upf.pf) a été complètement refondu en mars 2008 dans un souci de cohérence éditoriale et visuelle avec les autres supports de communication de l’établissement. Son architecture offre une meilleure navigation intuitive, notamment grâce à une double entrée pour les usagers, par thématique et par profil. Véritable vitrine institutionnelle de l’université, ce site contient l’ensemble des informations utiles pour une bonne connaissance de l’établissement, sa carte de formations, les programmes de recherche, les événements scientifiques, culturels et associatifs organisés sur le campus… Une actualisation permanente est opérée par le service de la communication pour apporter des informations renouvelées. Ce site a obtenu le 5e prix du meilleur site internet des organismes nationaux, décerné en novembre 2010 lors de la 9e édition des Trophées de la communication ; il est consulté quotidiennement par plus de 1500 internautes, en progression de 40% sur la période 20112013. Face à l’engouement des étudiants pour le web 2.0 et en particulier les réseaux sociaux, l’université a décidé, en janvier 2010, d’ouvrir une page Facebook (http://www.facebook.com/univpf). En 2013, l’UPF compte plus de 3400 « fans » sur sa page institutionnelle, soit une progression de plus de 80% sur deux ans, abonnés qui suivent l’actualité de l’université et la « share » vers leurs autres contacts, contribuant à la communication virale propre aux réseaux sociaux. En termes de supports éditoriaux, l’université offre également chaque année un Guide de l’étudiant à chacun des inscrits. Ce guide, édité à 4 000 exemplaires, permet aux étudiants de connaître leur université et les règles de vie sur le campus. L’université propose aussi de nombreuses brochures et dépliants mettant en avant l’expertise de ses services : dépliants sur la bibliothèque universitaire, sur l’offre de la formation continue, le Guide de recherche de stage et d’emploi, Les cinq bonne raisons de choisir l’UPF, Come and study at the UPF, La restauration sur le campus, Guide de la location des espaces de l’UPF, la Recherche à l’UPF,ect. Pour pouvoir communiquer encore plus directement avec les étudiants, l’UPF a déployé, depuis la rentrée 2010, sept écrans plats à des endroits stratégiques sur le campus afin d’apporter des informations aux étudiants en temps réel, sur leur lieu de travail. Mis en place avec l’appui de la cellule des ressources informatiques, cet outil est alimenté par le service de la communication. Page 77 4.1.2 Des actions de communications reconnues pour leur efficacité et bien implantées dans le paysage médiatique polynésien L’UPF organise des évènements mensuels, destinés aux étudiants et au grand public Des matinées « Santé et prévention » sont organisées chaque mois sur le campus à destination des étudiants, en collaboration des associations et des organismes œuvrant dans le domaine de la prévention. Les thèmes abordés sont le dépistage du diabète, la sécurité routière, la prévention du suicide, les addictions, la prévention de la filariose, le VIH et les MST. Un cycle de conférences intitulé « Savoirs pour Tous » a lieu sur le campus deux fois par mois. Destiné à offrir à un large public un accès aisé à des débats portant sur tous les domaines de la connaissance, ces évènements participent à la diffusion de la culture et de l’information scientifique. Près de 500 personnes sont « abonnées » à la liste de diffusion pour ces conférences, qui trouvent un écho important dans la presse locale, grâce au service de la communication. Enfin, la bibliothèque universitaire accueille régulièrement des expositions et des évènements, qui permettent à la fois de mettre en avant un thème spécifique mais aussi de rappeler que la BU est la plus importante bibliothèque de Polynésie française et qu’elle est ouverte à tous. En 2012-2013 par exemple, des expositions de plusieurs artistes se sont tenues sur le campus, une sur la culture polynésienne (organisée par la filière de reo ma’ohi de l’université), une sur les doctorants de l’UPF, une présentées par les personnels-artistes de l’UPF… L’université organise des évènements annuels, qui constituent des repères importants dans le calendrier polynésien Septembre : Rentrée Solennelle et Parrainage des majors de promotion Grand moment de rappel de l’importance fondamentale de l’enseignement supérieur dans le paysage polynésien, la Rentrée Solennelle de l’UPF est aussi le temps de la cérémonie du parrainage des majors de promotion, évènement unique dans les universités françaises, qui voit les étudiants majors de licence se faire parrainer par une entreprise, qui pourra, en plus d’une aide financière, les suivre dans leur insertion professionnelle. Octobre : Salon du livre Pour la 12ème année consécutive, l’université et ses étudiants ont participé au salon Lire en Polynésie qui se déroule annuellement à la Maison de la Culture. L’université avait donc un stand sur le salon, mettant en avant la bibliothèque universitaire, les publications des enseignants de l’UPF, mais aussi les étudiants, qui participent chaque année au concours de nouvelles en français et en reo ma’ohi. Novembre : Carrefour de l’Emploi Public Pour sa deuxième édition, le Carrefour de l’emploi public a confirmé son succès et rassemblé plus d’un millier de personne. Sous forme de stands et « d’ateliers métiers », les étudiants ont pu entrer en contact avec les principaux acteurs de la fonction publique en Polynésie française : le Haut-commissariat et tous les services de l’Etat présents sur le territoire, les services administratifs des communes, du Pays et de l’Assemblée de la Polynésie française. Page 78 Novembre : Journée des langues et cultures polynésiennes Pour la 5e année consécutive, l’évènement a été organisé par les étudiants de la filière de reo ma’ohi. Cette journée constitue une occasion privilégiée pour promouvoir et partager le patrimoine culturel et linguistique polynésien sur le campus. Danses, chants, discours traditionnels et autres activités culturelles sont ainsi proposés toute la journée. Décembre : les Journée d’Orientations Post-Bac Enorme évènement de la vie polynésienne, les Journées d’Orientation Post-Bac réunissent sur le campus sur deux jours tous les lycéens de Terminale et Première, soit près de 4000 élèves. En présence de tous les organismes de formation post-bac du territoire ou de l’étranger, ils peuvent choisir de la façon la plus rationnelle possible leur orientation, celle-ci étant déterminante dans la réussite de leurs études et de leur future insertion professionnelle. Janvier : FIFO sur le campus Le Festival international du film océanien (FIFO) est un évènement culturel fondamental en Polynésie ; l’UPF y participe par des projections et des débats sur le campus. Février : Forum Etudiants/Entreprises L’université accueille en février de très nombreuses entreprises, permettant un échange direct avec les étudiants. Ceux-ci se familiarisent ainsi avec le monde de la vie active de manière concrète et sont ainsi amenés à réfléchir à leur future insertion au regard de la réalité du marché du travail local. Organisé conjointement avec le Medef Polynésie et la ville de Papeete, l’évènement a rassemblé en 2013 plus de 50 entreprises implantées localement et a accueilli près de 2000 visiteurs. Organisé sous forme de stands d’entreprises, « d’ateliers métiers » pour décrire les différentes branches d’activité et de simulations d’entretiens d’embauche (cette année filmés), le Forum Etudiants/Entreprises est chaque année un évènement d’insertion incontournable en Polynésie. Mars : Tota Tour L’université organise tous les ans lors de la journée mondiale de la trisomie 21 une action caritative et citoyenne, avec l’association Fare Heimanava. Avril : Doctoriales Les Doctoriales ont pour objectif de valoriser auprès du grand public la qualité et le dynamisme de la recherche menée à l’université, mais aussi de mettre en contact les jeunes chercheurs avec le monde de l’entreprise, employeurs potentiels des futurs docteurs. La valorisation de leurs travaux se manifeste de deux manières : une présentation à partir de posters et des communications orales ouvertes à tout public. Un jury remet en fin de doctoriales des prix, offert par les entreprises partenaires de l’évènement. Page 79 4.1.3 Une politique de communication en cohérence avec le projet d’établissement Une communication au service de l’insertion Depuis 2005, l’UPF a fait de l’insertion professionnelle un de ses axes stratégiques. Pour atteindre cet objectif, des manifestations nombreuses et complémentaires, en collaboration avec de multiples partenaires publics comme privés ont été mises en place ; le service de la communication y joue un rôle majeur : - Le Forum Etudiants/Entreprises (depuis 2007) - Le parrainage des majors de promotion (2007) - L’annuaire des diplômés (2007) - La création d’un bureau de l’insertion (2008) - Les Doctoriales de l’université (2009) - La création du site www.stages-emplois.upf.pf (2010) - La réalisation d’une brochure de recherche de stage et d’emploi (2010) - Des entretiens d’embauche avec des professionnels du recrutement (2011) - Un partenariat avec les communes des Iles de la Société pour l’accueil de stagiaires (2011) - Le Carrefour de l’emploi public (première édition le 23 novembre 2011) - La Journée d’Orientation Post-Bac (première édition le 2 février 2012) Une communication au service du pilotage et de la gouvernance Depuis septembre 2011, le service de la communication propose une newsletter interne, intitulée Parau ’Api (« les nouvelles », en tahitien), envoyée par voie dématérialisée à tous les personnels, sur un rythme hebdomadaire. Cette lettre interne contient des informations regroupées par grandes thématiques : informations générales (pour relayer les informations de nature administrative et sur la vie institutionnelle de l’établissement notamment), formations, recherche, vie étudiante... Ainsi, l’ensemble de la communauté universitaire est associée à toutes les actions et réflexions menées par les instances de l’université, qui participent activement à l’élaboration du projet d’établissement Preuve que la communication est jugée stratégique, le chargé de communication est désormais directement rattaché au président. L’université entend ainsi poursuivre une politique de communication structurée, qui conforte une image positive auprès de la population mais aussi auprès des autorités du Pays comme de l’Etat. Page 80 4.2 Les ressources informatiques En 2012 : nouveau nom et nouvelle organisation La Cellule des Ressources Informatiques (CRI) n'est plus. La Direction des Systèmes d'Information (DSI) est née. Au delà d'un simple changement de nom, c'est aussi une nouvelle organisation qui s'est mise en place avec la création d'un COPIL SI-TICE et la nomination de plusieurs chargés de missions : TICE, C2I et maison des langues et des cultures. Le COPIL-SI-TICE a pour objectif d’être : une instance de concertation et de définition des orientations pour la modernisation de l’établissement ; une instance d’analyse, de structuration et d’urbanisation du système d’information ; une instance de définition et de validation des priorités en matière de modernisation du S.I. ; un organe de concertation et d’organisation des travaux ; une instance de conseil et d’arbitrage en matière d’acquisition et d’utilisation de logiciels. Il est constitué du président, VP-CA, VP-CS, VP-CEVE, DGS, directeur des SI, chargé de mission TICE, chargé de mission C2I, directeur du SCD. Il se réunit au minimum quatre fois par an (en début et fin de semestre universitaire). Un site web a été créé : http://dsi.upf.pf Connexions internet Fin 2011, des contacts avaient été pris avec RENATER concernant les problèmes de liaisons internet. Cela s'est traduit par la mise en place en fin de premier semestre 2012 d'un appel d'offres pour une nouvelle connexion à Internet. En décembre 2012, l'université a pu être raccordée à RENATER par une liaison 10 Mb/s au lieu des 128kb/s précédent. Parallèlement, les accès ADSL ont été modifiés afin d'augmenter le débit de certaines liaisons (de 2 à 8 Mb/s) et de réduire le nombre de lignes (de 5 à 4) pour un coût constant. Infrastructure système, réseau et stockage Le projet du contrat quinquennal de création d'une nouvelle infrastructure informatique s'est poursuivi en 2012. Les contacts pris avec DELL en fin 2011 se sont traduits par l'achat de nouveaux matériels en fin d'année 2012 : baies de stockage, matériels réseaux, nouveaux serveurs (environ 11 MFCP au total). Du point de vue logiciel, la DSI a déployé en 2012 l'authentification unique pour l'ensemble des services en place Virtualisation des serveurs et du poste de travail Près de 120 clients légers ont été déployés en 2012 dans les salles de TP informatique. Cela apporte économies d'énergie (consommation du poste divisée par 10), simplification de l'administration des machines et souplesse dans leur utilisation. Les étudiants sont les premiers à bénéficier de cette technologie. Selon leur formation, il dispositif d'une ou plusieurs machines virtuelles avec différentes caractéristiques : machine bureautique, machine orientée développement, etc. Page 81 Les postes classiques récupérés ont permis de doubler le nombre de postes dans une salle de TP (passage de 20 à 40 postes). Certains postes récents ont été redistribués vers les personnels pour remplacer d'anciens matériels ou répondre à des nouveaux besoins. La chaîne d'inscription a également bénéficié de l'infrastructure virtuelle, permettant ainsi de déployer très rapidement une dizaine de clients légers Le coût pour l'année 2012 du matériel et des licences est d'environ 6 MFCP. Maison des langues et des cultures Parmi les projets du contrat quinquennal, « la maison des langues et des cultures » tient une place importante. Il s'agit de développer à l'UPF l'apprentissage des langues et devenir pour cela le centre de référence en Polynésie. Cela s'accompagne par l'équipement d'un bâtiment dédié à ce projet. C'est naturellement le bâtiment E qui a été choisi (préexistence d'un laboratoire de langues dans celui-ci). En 2012, quatre salles ont été équipées en audio-vidéo pour la projection. Le laboratoire de langues a été complètement rénové en laboratoire numérique de 29 postes étudiants. Le coût total des investissements en de 10 MFCP. Outils et applicatifs déployés La mise en place de l'authentification unique et la disponibilité de liens permanents à internet à un débit conséquent a permis d'ouvrir à l'extérieur et de déployer plus facilement des services : Le premier d'entre eux a été l'accès à la documentation électronique depuis l'extérieur de l'établissement; la plate-forme de certification du C2i niveau 2 : EMAEVAL(https://emaeval.upf.pf) ; l'accès aux demandes de travaux et aux planning personnels ; un nouveau webmail moderne pour les étudiants (Zimbra)(https://webmail-etu.upf.pf) ; un outil de prise de rendez-vous (une sorte de Doodle like) (http://rendezvous.upf.pf) ; un outil de partage de fichiers(http://partage.upf.pf) ; un campus numérique rénové avec la création automatique des maquettes d'enseignement (mais par leur contenu ;-) (http://www.espadon.pf) Une application de rendez-vous pour les inscriptions administratives a été créée afin de fluidifier la chaîne d'inscription. Le résultat a été très positif. Un lecteur optique et un logiciel d'analyse de QCM a été acquis afin d'évaluer le niveau des étudiants primo-entrants et de proposer des réorientations pour les plus en difficultés. L'idée est également de généraliser cette méthode d'évaluation dans le contrôle continu intégral et de disposer d'un outil simple pour l'évaluation des enseignements (~ 250 000 CFP). En fin d'année, des nouveaux logiciels ont été acquis pour les étudiants : SPSS pour l'économie/gestion et ArcGis pour la géographie (~2,1 MCFP). Passage aux RCE : logiciel de paye Le choix a été fait d'utiliser une version adaptée du logiciel de paye du Haut-Commissariat : FENUA. Il a été nécessaire d'acquérir des licences de développement et d'utilisation du logiciel PROGRESS (850 000 FCP). Des développements ont été faits par la DSI pour réintégrer les informations de paye dans la comptabilité de l'établissement. Virtualisation du serveur de téléphonie Le serveur de téléphonie a été virtualisé et mis à jour. Un second serveur minimum qui gère uniquement l'interconnexion avec l'OPT a été installé. Cela permettra des évolutions plus Page 82 simples du serveur. Une nouvelle interface web a été développée. Celle-ci s'intégrera à terme à l'ENT, et permettra à chacun de gérer son poste téléphonique depuis le web (1,5 MCFP). Relations extérieures La DSI a organisé en 2012 la venue d'un formateur de métropole pour un stage sur Windows 2008 Serveur. Le séjour a été pris en charge par la Cellule Nationale Logicielle (CNL), seule la formation (formation CUME) a été à la charge de l'établissement. Cette formation, destinée avant tout aux techniciens de la DSI a été ouverte aux autres organismes de l'Etat : le Hautcommissariat et l'aviation civile ont répondu positivement et ont donc formé leurs personnels pour un coût très réduit. La DSI a participé au groupe de travail organisé par le Haut-commissariat sur le marché mutualisé pour l'achat de consommables et matériel/équipement informatiques. Page 83 4.3 Le Patrimoine Le service de la logistique et du patrimoine a amorcé en 2012 une évolution qui devrait lui permettre à l’horizon 2016 d’être un partenaire efficace pour la présidence de l’Université de la Polynésie Française dans sa politique d’amélioration du taux de réussite des étudiants, de développement de la recherche, du rayonnement international et de valorisation de l’image auprès de ses partenaires publics et privés. Cette évolution a pris la forme de quatre axes majeurs de développement que sont : - L’élargissement des compétences individuelles des agents et plus généralement du champ de compétence du service. La création, la fiabilisation, la conservation et la transmission d’une base de données exhaustive sur le patrimoine immobilier de l’UPF La maîtrise des coûts de fonctionnement des bâtiments et l’anticipation des besoins à venir L’amélioration des conditions de travail et la valorisation des espaces La première étape du travail a été de définir le domaine de compétence du service. Il a donc été décidé que la DLP interviendrait sur les travaux de maintenance des bâtis, l’entretien des locaux, les travaux de manutention, l’entretien des équipements audiovisuels (anciennement géré par la DSI), la location des espaces (anciennement assurée par la DGS) et le suivi des opérations de construction ou de réhabilitation. Pour pouvoir assurer la maintenance des équipements audiovisuels qui était jusqu’alors dévolue à la DSI, un personnel supplémentaire compétent a été recruté sur ressources propres. Le but de ce recrutement est de fournir, en plus d’un entretien du matériel, une prestation d’aide et de conseil aux utilisateurs sur ce domaine. Le financement de ce poste est assuré par les économies réalisées grâce à la modification des contrats d’énergie et la renégociation de certains contrats d’entretiens. Sur le volet location des espaces, qui était jusqu’alors dévolue à la DGS, il est apparu lors des premiers entretiens individuels réalisés fin 2011, que le personnel assigné aux travaux de reprographie souhaitait se diversifier et accroitre ses compétences dans le domaine du secrétariat administratif. Nous lui avons donc permis de participer à des formations en bureautique et après avoir formalisé une procédure ainsi qu’une convention type de location, nous lui avons confié cette tâche. Les entretiens individuels et la mise au point sur le fonctionnement du service ont également eu un impact positif sur l’absentéisme dans le service si on compare sur les 4 dernières années. D’autant qu’il faut prendre en compte un personnel ayant pris 28 jours d’arrêt maladie après l’annonce de sa fin de contrat. Page 84 Nombre de jours d'arrêts maladie ou accident de travail au sein du service logistique 60 40 20 0 2009 2010 2011 2012 Une fois les missions et les compétences de chacun identifiées, nous avons cherché à améliorer l’efficacité de l’action de la DLP. Pour ce faire, nous nous sommes inspirés des recommandations issues des rapports IGAENER de 2010 et Hygiène et Sécurité de 2011. Dans un premier temps nous avons, en collaboration avec la direction des systèmes d’information, créé une application informatique permettant aux usagers d’effectuer leurs demandes de travaux en ligne. Cette procédure, même si sa généralisation devrait prendre plusieurs années, nous permet d’une part d’avoir un suivi écrit des demandes qui nous sont faites et, d’autre part, automatise la communication avec le demandeur qui est désormais informé de toute évolution concernant son problème. Cette démarche a aussi pour but d’inciter les agents à utiliser l’outil informatique qu’ils maîtrisent mal. En ce qui concerne les procédures, il est également important de souligner que nous avons mis en place des plans de prévention pour les prestataires extérieurs conformément aux préconisations des inspecteurs HS. Malheureusement, pour continuer dans cette démarche d’amélioration de l’efficacité nous devons désormais consolider nos connaissances sur les différents bâtiments pour pouvoir ensuite inverser notre action actuelle essentiellement curative. La forte mobilité des personnels et l’absence de plan de stockage des archives a, au fil des ans, dispersé les dossiers sur l’ensemble du site de l’UPF. Nous avons donc entrepris de rassembler la totalité des documents sur un lieu unique et de créer un espace partagé sur le serveur de l’Université pour stocker les éléments qui pouvaient l’être. Conformément aux préconisations du rapport IGAENER, nous nous sommes dotés fin 2012 d’un logiciel de gestion du patrimoine (Abyla) qui sera installé en 2013. Finalement, nous avons inclus dans le nouveau contrat d’entretien des matériels de climatisation un état des lieux précis qui sera fourni après la première année d’entretien des installations. Dépense électricité (en MFCP) 58 56 54 52 50 48 46 44 42 2009 2010 Page 85 2011 2012 Nous avons ensuite entrepris une démarche de réduction des consommations basée dans un premier temps sur la maîtrise et l’amélioration des éclairages avec l’achat de luminaires LED et la mise en place de minuteurs et de programmateurs. Une attention particulière a également été portée aux réseaux d’eau dont les consommations excessives par rapport à la fréquentation découlant de nombreuses fuites. Dépenses en eau usées 6000000 4000000 2000000 0 2011 2012 Toujours dans l’optique de rationaliser les coûts de fonctionnement, le service a entrepris la mise en place de marchés publics pour les contrats de maintenance de l’établissement. Pour l’année 2012 l’entretien des locaux est passé d’un contrat à un marché ce qui nous a permis de réduire les frais liés à ce poste de dépense de 3 953 101 CFP. Cette démarche de généralisation de cette procédure s’accompagne également d’une participation à différents groupes de travail sur la mutualisation interministérielle des achats publics qui devrait permettre pour les années à venir de réaliser des économies non négligeable sur l’achat de papier, fournitures de bureau, mobilier de bureau, essence ou véhicules. L’ensemble de ces mesures a permis de réduire significativement le budget hors personnel alloué au service ainsi que le montre le diagramme suivant alors que comme nous l’évoquions dans la première partie de ce bilan le champ de compétence a été augmenté: Budget réalisé 600000000 400000000 200000000 0 2009 2010 2011 2012 Cependant, la recherche d’optimisation des coûts ne doit pas se faire au détriment des conditions de travail des usagers ou de l’image de l’établissement. Plus les bâtiments sont beaux, fonctionnels et agréables, plus le présentéisme est important. De la même manière, l’image transmise par nos locaux nous permet de valoriser et d’optimiser l’occupation des espaces en développant notre activité de mise à disposition payante. Cette activité a également Page 86 pour but de faire entrer l’entreprise dans l’Université et de permettre à terme de créer un réseau de contacts potentiels pour de futurs partenariats sur des projets de recherche ou de formation. Le graphique suivant montre l’évolution de ce domaine d’activité sur les 4 dernières années. Recettes liées aux locations des espaces 15 000 000 10 000 000 5 000 000 2009 2010 2011 2012 De ce fait nous avons entièrement rénové en 2012 700 m2 de bâtiments. Nous avons également fait l’acquisition de nombreux matériels modulables qui nous permettent de répondre aux attentes des organisateurs de manifestations en termes de mobilier et d’affichage sans avoir à pénaliser les locaux d’enseignement comme c’était le cas par le passé. Ces matériels sont également plus légers et facilement transportables de manière à faciliter et à accélérer leur mise en place. Finalement, nous avons commencé à nouer un lien entre les entrepreneurs travaillant en collaboration avec l’université et les usagers par le biais des cadeaux fournisseurs. Ces traditionnels présents jusqu’alors perçus par les responsables de la logistique et du patrimoine ont été remplacé par une participation en nature au repas de fin d’année et l’achat d’un aquarium de 200L avec son système de filtration pour le laboratoire BIOTEM. Nous espérons par cette action favoriser les dons et les financements externes puisque nous ne pouvons pas bénéficier, comme en métropole, de la partie enseignement supérieur de la taxe d’apprentissage. Page 87 4.4 Les moyens 4.4.1 Budget agrégé Les données présentées ici, sont extraites du compte financier 2012 et comprennent le budget de l’université avec celui des œuvres universitaires. 4.4.1.1 Augmentation du budget par DBM Budget primitif DBM cumulées TOTAL BUDGET % de varioation du budget primitif par an 2009 9 890 549 263 195 10 153 744 -4,1% 2010 9 036 154 1 188 413 10 224 567 0,7% 2011 8 913 927 847 603 9 761 530 -4,5% Montant en € 2012 7 387 930 1 809 057 9 196 987 -5,8% En 2012, la Décision Budgétaire Modificative adoptées par le conseil d’administration a augmenté le budget initial de 24,5% résultant de l’intégration de notre contrat quinquennal signé en juillet. 4.4.1.2 Taux annuel de consommation des crédits par section En dépense Fonctionnement - Section 1 Investissement - Section 2 TOTAL DEPENSES Budget 8 193 617 1 003 370 9 196 987 DEPENSES 2012 Mandat net Non employé 7 602 596 591 021 978 291 25 078 8 580 888 616 099 Taux 92,8% 97,5% 93,3% 2 007 77,4% 65,8% 72,5% Montant en € Pour rappel 2 008 2 009 2 010 2 011 91,1% 87,5% 88,2% 89,8% 60,7% 97,4% 88,4% 76,7% 75,3% 90,4% 88,3% 86,5% En recette Fonctionnement - Section 1 Investissement - Section 2 TOTAL RECETTES Budget 8 467 915 47 106 8 515 021 RECETTES 2012 Titre net Non employé 8 087 464 380 452 43 846 8 131 310 383 712 Page 88 Taux 95,5% 93,1% 95,5% Montant en € Pour rappel 2 007 2 008 2 009 2 010 2 011 103,5% 93,7% 89,3% 96,2% 91,3% 131,5% 100,0% 131,2% 113,0% 102,9% 113,9% 95,3% 92,8% 98,8% 91,8% 4.4.2 Dépenses 4.4.2.1 Evolution des dépenses entre 2009 et 2012 Ce tableau montre l’évolution des dépenses de fonctionnement entre 2009 et 2012 (hors charges exceptionnelles et dotations aux amortissements/provisions). Les dépenses ont augmenté de 9,1% par rapport à l’année précédente. Cette augmentation est due principalement à l’augmentation de nos abonnements électroniques (+11,7% intégré dans les comptes 61). Celles concernant les frais de personnels (+4,52%) sont dues a des recrutements dans le secteur de la recherche. 2010 842 564 893 423 1 018 816 3 063 1 948 522 440 997 2 816 1 003 600 972 260 1 092 694 1 548 2 071 168 437 481 370 945 933 823 057 972 321 3 449 2 037 943 400 055 187 18,3% 15,9% 18,8% 0,1% 39,3% 7,7% 0,0% 941 503 851 450 965 048 2 189 2 130 335 762 318 281 18,2% 16,4% 18,6% 0,0% 41,1% 14,7% 0,0% -4 430 28 393 -7 273 -1 260 92 392 362 263 94 Total dépenses - fonctionnement 5 150 201 (hors charges exceptionnelles et dotation aux amort./provi.) 67 Charges exceptionnelles 29 935 68 Dotations aux amortiss. et aux provis. 1 057 592 5 579 122 5 182 946 100,0% 5 653 125 109,1% 29 464 972 936 145 384 1 208 297 607 817 1 341 654 Total dépenses - fonctionnement 6 581 521 6 536 627 7 602 596 60 Achats 61 Services extérieurs 62 Autres services extérieurs 63 Impôts, taxes et versements assimilés 64 Charges de personnel 65 Autres charges de gestion courante 66 Charges financières 6 237 729 2011 Montant en € Evolution de 2011 à 2012 2009 2012 Evolution de 2009 à 2012 -0,5% 3,3% -0,8% -57,5% 4,3% 47,5% 33,4% 98 939 -41 973 -53 768 -874 181 813 321 321 -2 534 470 179 9,1% 1 131 803 27,9% 462 434 133 357 76,1% 9,9% 577 882 284 062 1930,4% 26,9% 1 065 970 16,3% 1 898 468 40,9% 60 - Achats : électricité, gaz, eau, fournitures administratives et produits d’entretien, petits matériels (<800€) 61 - Services extérieurs : locations immobilières et mobilières, entretien et réparations immobilières, maintenance, assurances, documentation, reprographie . 62 - Autres services extérieurs : frais de transport, déplacements et réceptions, contrats de nettoyage, honoraires, frais postaux et télécommunications, formation du personnel, autres prestations extérieures 63 - Impôts et taxes : sur les placements financiers 64 - Charges de personnel : rémunérations des contractuels, vacations administratives, heures complémentaires, charges patronales 65 - Charges de gestion courante : redevance de logiciels, bourses, subventions versées, autres charges de gestion courante 66 - Charges financières Page 89 11,7% -4,7% -5,3% -28,5% 9,3% 72,9% -90,0% Evolution des dépenses par masse de crédits 10 000 000 € 9 000 000 € 8 000 000 € 7 000 000 € 24,8% 6 000 000 € 5 000 000 € 4 000 000 € 3 000 000 € 2 000 000 € 1 000 000 € 0€ 2 009 2 010 DEPENSES DE FONCTIONNEMENT 2 011 DEPENSES DE PERSONNEL 2 012 DEPENSES D'INVESTISSEMENT 4.4.2.2 Dépenses 2011 par action LOLF Ne sont pas inclus dans cette répartition, les crédits liés à l’extension du campus ni les charges dites “non décaissables” (prestations internes, dotations aux amortissements ou provisions). DIFFUSION DES DOCUMENTATION SAVOIRS 8% 1% RECHERCHE 16% FORMATION 28% PILOTAGE 11% IMMOBILIER 30% VIE ETUDIANTE 6% Sont incluses dans la part « immobilier » les dépenses d’électricité et de maintenance courante ainsi que celles liées à des travaux destinés à l’amélioration de la qualité de la vie sur le campus. Page 90 4.4.3 Recettes Les financements en provenance du Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche constituent la principale source de financement de l’université, avec 63,2% du total des ressources (contre 78,2% en 2011). Subventions Collectivités 6,3% Autres produits 15,8% Subventions Etat 63,2% Prestations 11,9% Activités annexes 2,8% 706 708 741 744 75 à 77 TOTAL Prestations Activités annexes Subventions Etat Subventions Collectivités Autres produits Recettes de fonctionnement 131 Subvention d'investissement 165 Dépôts et cautionnements TOTAL Recettes d'investissement Page 91 Montant en € 2012 959 657 229 924 5 080 466 508 120 1 270 338 8 048 505 29 573 11 497 41 070 Page 92 Page 93 V. Annexes Page 94 Page 95 Sommaire des annexes A B Bilan des activités de recherche par laboratoire........................................................................................................ 98 A.1 UMR EIO........................................................................................................................................................ 100 A.2 Laboratoire GEPASUD ................................................................................................................................... 114 A.3 Laboratoire GAATI......................................................................................................................................... 116 A.4 Laboratoire EASTCO ...................................................................................................................................... 117 A.5 Laboratoire GDI............................................................................................................................................. 121 A.6 CIRAP............................................................................................................................................................. 125 A.7 Chercheurs appartenant à des laboratoires extérieurs ................................................................................ 128 Les cohortes de licences des bacheliers 2008 .......................................................................................................... 130 Page 96 Page 97 Bilan des activités de recherche par laboratoire Page 98 Page 99 4.5 UMR EIO ACL : Articles dans des revues internationales ou nationales avec comité de lecture répertoriées par l’AERES ou dans les bases de données internationales (ISI Web of Knowledge, Pub Med…). 4.5.1.1 Note : IF = Facteur d’impact EQUIPE SYREX Andrefouet, S., Charpy L., Lo-Yat A., Lo C. (2012). Recent research for pearl oyster aquaculture management in French Polynesia.Marine Pollution Bulletin, 65, 407-414 IF 2.5 Aragón-Axomulco H., Chiappa-Carrara X., Soto L., Cuzon G., Arena L., Maldonado C., Cárdenas R., and Gaxiola G. Seasonal variability in trypsin and α-amylase activities caused by the molting cycle and feeding habits of juvenile pink shrimp Farfantepenaeus duorarum (Burkenroad, 1939). Journal of Crustacean Biology, 32(1), 89-99. IF 1.1 Bijoux J.P., Dagorn L., Berke G., Cowley P.D., Soria, M., Gaertner J.-C., Robinson J. Temporal dynamics, residency and site fidelity of spawning aggregations by an herbivorous tropical reef fish Siganus sutor. Marine Ecology Progress Series (doi 10.3354/meps10113). IF 2.7 Bonilla-Gomez, JL., Chiappa-Carrara,X., Galindo, C., Jeronimo, G., Gaxiola, G. and Cuzon G. Physiological and biochemical changes of wild and cultivated pink shrimp Farfantepenaeus duorarum (Crustacea:peneidae) during molt cycle. Journal of Crustacean Biology 32(4), 597-606. IF 1.1 Bouvy M, Combe M, Bettarel Y, Dupuy C, Rochelle-Newall E, Charpy L. (2012) Uncoupled viral and bacterial distributions in coral reef waters of Tuamotu Archipelago (French Polynesia) Marine Pollution Bulletin 65: 506-515. IF 2.5 Bouvy M, Dupuy C, Pagano M, Barani A, Charpy L. (2012) Do human activities affect the picoplankton structure of the Ahe atoll lagoon (Tuamotu Archipelago, French Polynesia)? Marine Pollution Bulletin. 65: 516-524. IF 2.5 Chabanet P., Loiseau N. ., Join J - L., Ponton D. (2012). A new moored video system to analyze the temporal variability of fish populations on coral reefs. Journal of Experimental Biology Ecology. doi:10.1111/j.1095 - 8649.2012.03221 IF 1.87 Charpy L., Palinska K.A., Abed R.M., Langlade M-J., Golubic S. (2012) Factors influencing microbial mat composition, distribution and dinitrogen fixation in three western Indian Ocean coral reefs. European Journal of Phycology 47, 1: 5166. IF 1.83 Page 100 Charpy L., Rodier M., Fournier J., Langlade M-J., Gaertner-Mazouni N. (2012), Physical and chemical control of the phytoplankton of Ahe lagoon, French Polynesia. Marine Pollution Bulletin, 65, 471-477. IF 2.5 De Wit R., Mazouni N., Viaroli P. (2012). Research and Management for the Conservation of Coastal Lagoon Ecosystems, South - North comparisons. Hydrobiologia (2012) 699:1–4. IF 1.78 Emerenciano M., Cuzon G., Arévalo M., Mascaró Miquelajauregui M., Gaxiola G. Effect of short-term fresh food supplementation on reproductive performance, biochemical composition, and fatty acid profile of Litopenaeus vannamei (Boone) reared under biofloc conditions. Aquaculture International DOI 10.1007/s10499012-9607-4. IF 0.91 Emerenciano M., Cuzon G., Mascaro M., Arevalo M., Norena-Barroso E., Jeronimo G., Racotta I., Gaxiola G. (2012) Reproductive performance, biochemical composition and fatty acid profile of wild-caught and 2nd generation domesticated Farfantepenaeus duorarum (Burkenroad, 1939) broodstock. Aquaculture, 344, 194-204. IF 2.0 Fournier J, Dupuy C., Bouvy M., Courrodon-Real M., Charpy L., Pouvreau S., Le Moullac G., Le Pennec M., Cochard J.C (2012).Pearl oysters Pinctada margaritifera grazing on natural plankton in Ahe atoll lagoon (Tuamotu archipelago, French Polynesia). Marine Pollution Bulletin. 65, 490-499. IF 2.5 Fournier J., Levesque E., Pouvreau S., Le Pennec M., Le Moullac G. (2012). Influence of plankton concentration on gametogenesis and spawning of the black lip pearl oyster Pinctada margaritifera in Ahe atoll lagoon (Tuamotu archipelago, French Polynesia). Marine Pollution Bulletin, 65, 463-470. IF 2.5 Gaertner-Mazouni N., De Wit R. (2012). Exploring new issues for coastal lagoons monitoring and management. Estuarine, Coastal and Shelf science, 114: 1-6. IF 2.25 Gaertner-Mazouni N. , Lacoste E., Bodoy A., Peacock L., Rodier M, Langlade M-J, Orempuller J, Charpy L. (2012) Nutrient fluxes between water column and sediments: Potential influence of the pearl oyster culture. Marine Pollution Bulletin., 65, 500-505.IF 2.5 Gallardo, P., Gaxiola G., Soberano S., Taboada G J, Pérez, M. Rosas C., Cuzon G., Espinosa G.L. and Sotelo A. (2012) Nutritive value of diets containing fish silage for juvenile Litopenaeus vannamei (Bonne, 1931). J. Sci. Food Agric. Vol 92, n° 11, p 2320-2325. IF 1.3 Ky CL, A Vergnet, N Molinari, C Fauvel, F Bonhomme (2012) Fitness of early life stages in F1 interspecific hybrids between Dicentrarchus labrax and D. punctatus. Aquat. Living Resour. 25, 67–75. IF 1.15 Le Moullac G, Soyez C, Sham-Koua M, Levy P, Moriceau J ,Vonau V, Maihota M, Cochard JC (2012) Feeding the pearl oyster Pinctada margaritifera during reproductive conditioning. Aquaculture Research, sous presse. IF 1.2 Le Moullac G, Tiapari J, Tessier H, Martinez E, Cochard JC (2012) Growth and gonad development of the tropical blacklip pearl oyster, Pinctada margaritifera Page 101 (L.), in the Gambier archipelago (French Polynesia). Aquaculture International, 20, 305-315. IF 0.91 Lefebvre S, Claquin P, Orvain F, Véron B, Charpy L (2012) Spatial and temporal dynamics of size-structured photosynthetic parameters (PAM) and primary production (13C) of pico- and nano-phytoplankton in an atoll lagoon. Marine Pollution Bulletin. 65: 478-489. IF 2.5 Maldonado C., Guillen S., Pantoja O., Arena L., Ezquerra-Bauer M., AlvarezGonzález C.A., Cuzon G., Gaxiola G. (2012) Effect of plant protein concentrates on nutritional physiology of Litopenaeusvannamei (Boone, 1883) juveniles. Aquaculture Research 43(8): 1209-1222. IF 1.2 Marie B., Joubert C., Tayalé A., Zanella-Cléon I., Belliard C., Piquemal D., Cochennec-Laureau N., Marin F., Gueguen Y., Montagnani C. (2012) Different secretory repertoires control the biomineralization processes of prism and nacre deposition of the pearl oyster shell" PNAS, in press. IF 9.6 Michotey V, Guasco S, Boeuf D, Morezzi N , Durieux B, Charpy L , Bonin P (2012) Spatio-temporal diversity of free-living and particle-attached prokaryotes in the tropical lagoon of Ahe atoll (Tumotu Archipelago) and its surrounding oceanic waters. Marine Pollution Bulletin. 65: 525-537.IF 2.5 Pagano M, Sagarra PB, Champalbert G, Bouvy M, Dupuy C, Thomas Y, Charpy L (2012) Metazooplankton communities in the Ahe atoll lagoon (Tuamotu Archipelago, French Polynesia). Spatiotemporal variations and trophic relationships. Marine Pollution Bulletin. 65: 538-548. IF 2.5 Palińska KA, Abed RM, Wendt K, Charpy L, Łotocka M, Golubic S (2012) Opportunistic Cyanobacteria in benthic microbial mats of a tropical lagoon, Tikehau Atoll, Tuamotu Archipelago: minor in natural populations, major in cultures. Fottea 12(1): 127–140 IF 1.32 Pinaul M., Loiseau N., Chabanet P, Durville P., Quod J.P. Influence des facteurs mésologiques sur la structure spatiale des peuplements ichtyologiques marins non récifaux de l’île de La Réunion. Cybium (in press) IF 0.4 Ponton D., Loiseau N., Chabanet P. (2012). What makes damselfish (Chromis viridis) swim up and down in the water column? A long-term study with a moored video system. Journal of fish biology: doi: 10.1016 IF 1.7 Schmitt P, Lorgeril JD, Gueguen Y, Destoumieux-Garzón D, Bachère E (2012) Expression, tissue localization and synergy of antimicrobial peptides and proteins in the immune response of the oyster Crassostrea gigas. Dev Comp Immunol.37, 363-370. IF 3.4 Taquet M., Blanc M., Dagorn L., Filmalter J., Fonteneau A., Forget F., Gaertner J. C., Galzin R., Gervain P., Gougon M., Guillotreau P., Guyader O., Hall M., Holland K., Itano D., Monteagudo J. P., Morales-Nin B., Reynal L., Sharp M, Sokimi W., Tanetoa M., Yen Kai Sun S. (2012). Artisanal and industrial FADs: A question of scale. Tahiti conference reviews current FAD use and technology. SPC Fisheries Newsletter 136, 35-45. Page 102 Tayale A., Gueguen Y, Treguier C, Le Grand J, Cochennec-Laureau N, Montagnani C., Ky CL (2012) Evidence of donor effect on cultured pearl quality from a duplicated grafting experiment on Pinctada margaritifera using wild donors. Aquatic Living Resources, in press. IF 1.15 Thomas, Y., Garen P., Bennett A., Le Pennec M., Clavier J. (2012) Multi-scale distribution and dynamics of bivalve larvae in a deep atoll lagoon (Ahe, French Polynesia). Marine Pollution Bulletin., 65, 453-462 IF 2.5 Thomas, Y., Le Gendre R., Garen P., Dumas F., Andréfouët S. (2012) Bivalve larvae transport and connectivity within the Ahe atoll lagoon (Tuamotu Archipelago), with application to pearl oyster aquaculture management. Marine Pollution Bulletin., 65, 441-452. IF 2.5 Trinkler N, Le Moullac G, Cuif JP, Cochennec-Laureau N, Dauphin Y (2012) Colour or no colour in the juvenile shell of the black lip pearl oyster, Pinctada margaritifera ? Aquat. Living Resources, 25, 83-91. IF 1.15 Van Wynsberge S., Andréfouët S., Hamel M.A., Kulbicki M. (2012) Habitats as Surrogates of Taxonomic and Functional Fish Assemblages in Coral Reef Ecosystems : A Critical Analysis of Factors Driving Effectiveness. PLoS ONE 7(7): e40997. doi: 10.1371/journal.pone.0040997. IF 4.0 Page 103 EQUIPE EIMS Basli A., Soulet S., Chaher N., Mérillon J.M., Chibane M., Monti J.P. and Richard T. (2012) Wine polyphenols : potential agents in neuroprotection. Oxidative Medicine and Cellular Longevity, doi : 10.1155/ 805762, 2012, 14 pages. IF 2.84 Brunschwig C., Senger-Emonnot P., Aubanel M.-L., Pierrat A., George G., Rochard S., Raharivelomanana P. (2012). “Odor-active compounds of Tahitian vanilla flavor”. Food Res. Int., 46 : 148-157 IF 3.15 De Marino S., Ummarino R., D'Auria M. V., Chini M. G., Bifulco G., D'amore C., Renga B., Mencarelli A., Petek S., Fiorucci S., Zampella A.(2012) 4Methylenesterols from Theonella swinhoei sponge are natural pregnane-Xreceptor agonists and farnesoid-X-receptor antagonists that modulate innate immunity. Steroids, 77:484-495 IF 2.83 Demoy-Schneider M., Levêque A., Schmitt N., Le Pennec M., Cosson J. (2012).Motility activation and metabolism characteristics of spermatozoa of the black-lip-pearl oyster Pinctada margaritifera. Theriogenology, 77, 53-64 IF 1.963 Erpenbeck D., Hooper J.N.A., Bonnard I., Sutcliffe P., Chandra M., Perio P., Wolff C., Banaigs B., Wörheide G., Debitus C., Petek S (2012) Evolution, radiation and chemotaxonomy of Lamellodysidea, a demosponge genus with anti-plasmodial metabolites,Mar. Biol. 159:1119-1127 IF2.1 Farokhi F., Wielgosz-Collin G., Robic A., Debitus C., Malleter M., Roussakis C., Kornprobst J.M., Barnathan G. (2012) Antiproliferative activity against non-small cell lung cancer of two O-alkyl-diglycosylglycerols from the marine sponges Myrmekioderma dendyi and Trikentrion laeve, Eur. J. Med. Chem. 49:406-410 IF 5.925 Festa C., De Marino S., D'auria M. V., Deharo E., Gonzalez G., Deyssard C., Petek S., Bifulco G., Zampella A. Gracilioethers E-J (2012) New oxygenated polyketides from the marine sponge Plakinastrella mamillaris. Tetrahedron 68:10157-10163. IF 3.0 Festa C., Lauro G., De Marino S., D'auria M. V., Monti M. C., Casapullo A., D'amore C., Renga B., Mencarelli A., Petek S., Bifulco G., Fiorucci S., Zampella A. (2012) Plakilactones from the marine sponge Plakinastrella mamillaris. Discovery of a new class of marine ligands of peroxisome proliferator-activated receptor. J. Med.Chem 55:8303-8317 IF 5.248 Ho R., Girault J.P., Raharivelomanana P. and Lafont R. 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(2012). “Insecticidal activity of Derris malaccensis from French Polynesia”, Pharmaceutical Biology, 50 (5): 537 IF 0.9 Sorres J., Martin M. T., Petek S., Levaique H., Cresteil T., Ramos S., Thoison O., Debitus C., Al-Mourabit A. Pipestelides (2012) A-C: Cyclodepsipeptides from the Pacific marine sponge Pipestela candelabra. J. Nat. Prod. 75:759-763 IF 3.13 Page 105 EQUIPE ESSENTIA Darius HT, Drescher O, Ponton D, Pawlowiez R, Laurent D, Dewailly E, Chinain M. (2012). The use of folk tests to detect ciguateric fish : a scientific evaluation of their effectiveness in Raivavae Island (Australes, French Polynesia). Food Additives and Contaminants, doi:10.1080/19440049.2012.752581. IF 1.76 Darmon A, Piton, J, Roué M, Petrella S, Aubry A, Mayer C. (2012). Purification, crystallization and preliminary X-ray crystallographic studies of the Mycobacterium tuberculosis DNA gyrase CTD - Acta Crystallographica F, 68: 178180.IF 0.51 Jost C. (2012). 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Séminaire Atelier « Aménagement et développement durable » 14-15 mars 2012, Nouvelle-Calédonie 2025, Gouvernement de la Nouvelle-Calédonie. htttp://www.nouvellecaledonie2025.gouv.nc/portal/page/portal/sap/librairie/fic hiers/18984003.PDF Lacoste E, Gaertner-Mazouni N, Gueguen Y,Le Moullac G, Charpy L. 2012) Interactions between pearl-oyster culture and water-column in French Polynesia lagoons.12th International CoralReef Symposium, 9-13 July 2012 • Cairns • Queensland • Australia Lauffer M., Santini A., Fievet J., Belliard C., Levy P., Gueguen Y., Ropers S., Margueron S., Bartasyte A., Saulnier D. 2012. Étude des biominéraux formés par l'huître perlière Pinctadamargaritifera sur des substrats de silicium. XVIIIème journées du Groupe Français de Spectroscopie Vibrationnelle des 6-8 Juin 2012 à Bordeaux. Petek S. Cantharella : Base de données pharmacochimique des substances naturelles. 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Page 127 4.11 Chercheurs appartenant à des laboratoires extérieurs OS : Ouvrages scientifiques (y compris les éditions critiques et les traductions scientifiques) Sylvie André. «Le Récit, Perspectives anthropologique et littéraire », collection « Unichamp Essentiel », Editions Honoré Champion, 308 pages, ISBN : 978-27453-2293-7, PARIS, 2012. Page 128 Page 129 Les cohortes de licences des bacheliers 2008 Page 130 Page 131 Licence Droit, Economie, Gestion mention Droit En 2008/2009, 243 étudiants sont inscrits en 1 ère année de licence droit, économie, gestion, mention droit dont 139 étaient des primo entrants. Parmi ces primo entrants, 67% ont un baccalauréat général (27% Littéraire, 8% ES, 32% Scientifique), 25% un baccalauréat Technologique et 8% Professionnel. . Rentrée 2009/2010 Rentrée 2010/2011 Année 2 Effectifs % Année 3 Effectifs % Rentrée 2011/2012 Année 4 Effectifs % Quittent l'UPF 41 29,7% 57 41,3% 73 52,9% Se réorientent à l'UPF 17 12,3% 15 10,9% 11 8,0% Sont inscrits en licence 1ère année 39 28,3% 11 8,0% 2 1,4% Sont inscrits en licence 2ème année 41 29,7% 25 18,1% 12 8,7% 30 21,7% 13 9,4% 138 100,0% 111 80,4% 27 19,6% 138 100,0% Sont inscrits en licence 3ème année Sous-total 138 100,0% Diplômés 2009/2010 - LICENCE Droit en 3 ans Diplômés 2010/2011 - LICENCE Droit en 4 ans Total de la cohorte "Primo entrants" inscrits en L1 Licence Mention Droit année 2008/2009 138 100,0% 138 100,0% Note de lecture du tableau : - Au terme de la première année, 47 des 138 primo entrants de 2008/2009 ont quitté l’université, 17 se sont réorientés dans une autre filière proposée par l’UPF, 39 ont redoublé et 41 sont passés en deuxième année. - Au terme de la deuxième année, 10 étudiants supplémentaires ont quitté l’université soit un total d’abandon de 57 étudiants. - Au terme de la troisième année, 73 étudiants ont quitté l’université, 2 étudiants sont toujours en L1, 12 en L2 et 13 en L3. 27 étudiants ont réussi leur licence en trois ans, ce qui représente 19,6% de la cohorte 2008/2009. 8 autres l’ont obtenu en quatre ans. 25,4% de la cohorte a donc obtenu sa licence en 3 ou 4 ans contre 16,2% de la cohorte 2007/2008 (Rapport d’activité 2011 –page 25). 89% des diplômés en trois ans sont titulaires d’un baccalauréat général. 3 sont titulaires d’un bac technologique. Page 132 Licence Droit, Economie, Gestion mention économie-gestion En 2008/2008, 357 étudiants sont inscrits en 1 ère année de licence droit, économie, gestion, mention économie-gestion dont 235 sont des primo entrants. Parmi ces primo entrants, 34% ont un baccalauréat général (27% ES, 6% Scientifique, 1% Littéraire,), 46% un baccalauréat Technologique et 20% un baccalauréat Professionnel. Rentrée 2009/2010 Rentrée 2010/2011 Année 2 Effectifs % Année 3 Effectifs % Rentrée 2011/2012 Année 4 Effectifs % Rentrée 2012/2013 Année 5 Effectifs % Quittent l'UPF 78 33,2% 122 51,9% 137 58,3% 151 64,3% Se réorientent à l'UPF 16 6,8% 16 6,8% 15 6,4% 11 4,7% Sont inscrits en licence 1ère année 94 40,0% 31 13,2% 8 3,4% 4 1,7% Sont inscrits en licence 2ème année 47 20,0% 35 14,9% 25 10,6% 12 5,1% 31 13,2% 26 11,1% 16 6,8% 235 100,0% 211 89,8% 194 82,6% 24 10,2% 24 10,2% 17 7,2% 235 100,0% Sont inscrits en licence 3ème année Sous-total 235 100,0% Diplômés 2010/2011 - LICENCE Economie-gestion en 3 ans Diplômés 201/2012 - LICENCE Economie-gestion en 4 ans Total de la cohorte "Primoentrants" inscrits en L1 Licence Economie-gestion année 2008/2009" 235 100,0% 235 100,0% 235 100,0% Note de lecture du tableau : - Au terme de la première année, 78 des 235 primo entrants de 2008/2009 ont quitté l’université, 16 se sont réorientés dans une autre filière proposée par l’UPF, 94 ont redoublé et 47 sont passés en deuxième année. - Au terme de la deuxième année, 44 étudiants supplémentaires ont quitté l’université soit un total d’abandon de 122 étudiants. - Au terme de la troisième année, 137 étudiants ont quitté l’université, 8 étudiants sont toujours en L1, 25 en L2 et 26 en L3. - Au terme de la quatrième année, 151 étudiants de la cohorte ont quitté l’université soit un taux d’évaporation de 64,4%, 4 étudiants sont en L1, 12 en L2 et 16 en L3. 24 étudiants ont réussi leur licence en trois ans, ce qui représente 10,2% de la cohorte 2008/2009, 17 l’ont obtenu en quatre ans. Au total, 17,4% de la cohorte a donc obtenu sa licence en 3 ou 4 ans contre 20,3% de la cohorte 2007/2008 (Rapport d’activité 2011 –page 25). 62,5% des diplômés sont titulaires d’un baccalauréat général (33,3% en ES et 25% en S). Page 133 Page 134 Licence LLSH - mention histoire-géographie En 2008/2009, 94 étudiants sont inscrits en 1 ère année de licence LLSH, mention histoiregéographie dont 52 sont des primo entrants. Parmi ces primo entrants, 48,1% ont un baccalauréat général (31% L, 4% S, 13,5% ES), 40% un baccalauréat technologique et 11,5% un baccalauréat professionnel. Rentrée 2009/2010 Rentrée 2010/2011 Année 2 Effectifs % Quittent l'UPF Se réorientent à l'UPF Sont inscrits en licence 1ère année Sont inscrits en licence 2ème année Année 3 Effectifs % Année 4 Effectifs % Rentrée 2012/2013 Année 5 Effectifs % 18 34,6% 25 48,1% 27 51,9% 27 51,9% 5 9,6% 5 9,6% 5 9,6% 5 9,6% 20 38,5% 4 7,7% 1 1,9% 1 1,9% 9 17,3% 13 25,0% 5 9,6% 1 1,9% 5 9,6% 10 19,2% 6 11,5% 52 100,0% 48 92,3% 40 76,9% 4 7,7% 4 7,7% 8 15,4% 52 100,0% Sont inscrits en licence 3ème année Sous-total Rentrée 2011/2012 52 100,0% Diplômés 2010/2011 - LICENCE histoire-géographie en 3 ans Diplômés 2011/2012- LICENCE histoire-géographie en 4 ans Total de la cohorte "Primo-entrants" inscrits en L1 Licence histoiregéographie année 2008/2009" 52 100,0% 52 100,0% 52 100,0% Note de lecture du tableau : - Au terme de la première année, 18 des 52 primo entrants de 2008/2009 ont quitté l’université, 5 se sont réorientés dans une autre filière proposée par l’UPF, 20 ont redoublé et 9 sont passés en deuxième année. - Au terme de la deuxième année, 7 étudiants supplémentaires se sont réorientés. - Au terme de la troisième année, 27 étudiants ont quitté l’université, 1 étudiant est toujours en L1, 5 en L2 et 10 en L3. - Au terme de la quatrième année, 27 étudiants de la cohorte ont quitté l’université soit un taux d’évaporation de 52%, 1 étudiant est en L1, 1 étudiant est en L2 et 6 en L3. 4 étudiants ont réussi leur licence en trois ans, et 8 l’ont obtenu en quatre ans. Au total, 23,1% de la cohorte a donc obtenu sa licence en 3 ou 4 ans contre 19,2% de la cohorte 2007/2008 (Rapport d’activité 2011 –page 25). 100% des diplômés sont titulaires d’un baccalauréat général. Page 135 Licence LLSH - mention Langues, Littératures et Civilisations Régionales (LLCR) En 2008/2009, 147 étudiants sont inscrits en 1 ère année de licence LLSH, mention langues, littératures et civilisations régionales dont 89 sont des primo entrants. Parmi ces primo entrants, 22,5% ont un baccalauréat général (13,5% littéraire, 1% ES, 8% scientifique), 41,6% un baccalauréat technologique et 36% un baccalauréat professionnel. Quittent l'UPF Rentrée 2009/2010 Rentrée 2010/2011 Année 2 Effectifs % Année 3 Effectifs % Rentrée 2011/2012 Année 4 Effectifs % Rentrée 2012/2013 Année 5 Effectifs % 38 42,7% 43 48,3% 54 60,7% 58 65,2% 6 6,7% 5 5,6% 3 3,4% 3 3,4% Sont inscrits en licence 1ère année 21 23,6% 5 5,6% 2 2,2% 1 1,1% Sont inscrits en licence 2ème année 24 27,0% 29 32,6% 14 15,7% 3 3,4% 7 7,9% 11 12,4% 14 15,7% 89 100,0% 84 94,4% 79 88,8% 5 5,6% 5 5,6% 5 5,6% 89 100,0% Se réorientent à l'UPF Sont inscrits en licence 3ème année Sous-total 89 100,0% Diplômés 2008/2009 - LICENCE LLCR en 3 ans Diplômés 2008/209- LICENCE LLCR en 4 ans Total de la cohorte "Primoentrants" inscrits en L1 Licence LLCR année 2008/2009" 89 100,0% 89 100,0% 89 100,0% Note de lecture du tableau : - Au terme de la première année, 38 des 147 primo entrants de 2008/2009 ont quitté l’université, 6 se sont réorientés dans une autre filière proposée par l’UPF, 21 ont redoublé et 24 sont passés en deuxième année. - Au terme de la deuxième année, 5 étudiants supplémentaires ont quitté l’université soit un total d’abandon de 43 étudiants. - Au terme de la troisième année, 54 étudiants ont quitté l’université, 2 étudiant est toujours en L1, 14 en L2 et 11 en L3. - Au terme de la quatrième année, 58 étudiants de la cohorte ont quitté l’université soit un taux d’évaporation de 65,2%, 1 étudiant est en L1, 3 en L2 et 14 en L3. 5 étudiants ont réussi leur licence en trois ans, et 5 l’ont obtenu en quatre ans. Au total, 11,2% de la cohorte a donc obtenu sa licence en 3 ou 4 ans contre 16,6% de la cohorte 2007/2008 (Rapport d’activité 2011 –page 25). 80% des diplômés sont titulaires d’un baccalauréat général (touts titulaires d’un bac L) et 20% sont titulaires d’un baccalauréat professionnel. Page 136 Licence LLSH - mention langues étrangères appliquées, spécialité anglaisespagnol (LEA) En 2008/2009, 125 étudiants sont inscrits en 1 ère année de licence LLSH, mention langues étrangères appliquées dont 74 sont des primo entrants. Parmi ces primo entrants, 51,4% ont un baccalauréat général (34% littéraire, 11% ES, 7% scientifique), 43% un baccalauréat technologique et 5% un baccalauréat professionnel. Rentrée 2009/2010 Année 2 Effectifs % Quittent l'UPF Rentrée 2010/2011 Année 3 Effectifs % Rentrée 2011/2012 Année 4 Effectifs % Rentrée 2012/2013 Année 5 Effectifs % 40 54,1% 50 67,6% 54 73,0% 55 74,3% 9 12,2% 8 10,8% 6 8,1% 6 8,1% Sont inscrits en licence 1ère année 14 18,9% 2 2,7% 1 1,4% - 0,0% Sont inscrits en licence 2ème année 11 14,9% 4 5,4% 1 1,4% - 0,0% 10 13,5% 7 9,5% 1 1,4% 74 100,0% 69 93,2% 62 83,8% 5 6,8% 5 6,8% 7 9,5% 74 100,0% Se réorientent à l'UPF Sont inscrits en licence 3ème année Sous-total 74 100,0% Diplômés 2010/2011- LICENCE LEA en 3 ans Diplômés 2011/2012- LICENCE LEA en 4 ans Total de la cohorte "Primoentrants" inscrits en L1 Licence LEA année 2008/2009" 74 100,0% 74 100,0% 74 100,0% Note de lecture du tableau : - Au terme de la première année, 40 des 74 primo entrants de 2008/2009 ont quitté l’université, 9 se sont réorientés dans une autre filière proposée par l’UPF, 14 ont redoublé et 11 sont passés en deuxième année. - Au terme de la deuxième année, 10 étudiants supplémentaires ont quitté l’université soit un total d’abandon de 50 étudiants. - Au terme de la troisième année, 54 étudiants ont quitté l’université, 1 étudiants sont toujours en L1, 1 en L2 et 7 en L3. - Au terme de la quatrième année, 55 étudiants de la cohorte ont quitté l’université soit un taux d’évaporation de 74,3%, 1 étudiant est en L3. 5 étudiants ont réussi leur licence en trois ans, et 7 en quatre ans. Au total, 16,3% de la cohorte a donc obtenu sa licence en 3 ou 4 ans contre 11,7% de la cohorte 2007/2008 (Rapport d’activité 2011 –page 25). 100% des diplômés sont titulaires d’un baccalauréat général L. Page 137 Page 138 Licence LLSH - mention lettres En 2008/2009, 28 étudiants sont inscrits en 1 ère année de licence LLSH, mention lettres dont 16 sont des primo entrants. Parmi ces primo entrants, 93,8% ont un baccalauréat général (81% littéraire, 6% ES, 6% scientifique), et 6,3% un baccalauréat professionnel. Rentrée 2009/2010 Année 2 Effectifs % Quittent l'UPF Se réorientent à l'UPF 9 - Rentrée 2010/2011 56,3% 0,0% Rentrée 2011/2012 Année 3 Effectifs % 9 - Année 4 Effectifs % Rentrée 2012/2013 Année 5 Effectifs % 56,3% 9 56,3% 0,0% 1 6,3% - 0,0% 0,0% - 0,0% 68,8% Sont inscrits en licence 1ère année 2 12,5% 2 12,5% Sont inscrits en licence 2ème année 5 31,3% 2 12,5% 2 12,5% 1 6,3% 3 18,8% 1 6,3% 1 6,3% 16 100,0% 13 81,3% 13 81,3% 3 18,8% 3 18,8% Sont inscrits en licence 3ème année Sous-total 16 100,0% Diplômés 2010/2011 - LICENCE Lettres en 3 ans - 11 Diplômés 2011/2012 - LICENCE Lettres en 4 ans Total de la cohorte "Primo-entrants" inscrits en L1 Licence lettres année 2008/2009" 16 100,0% 16 100,0% 16 100,0% 16 0,0% 100,0% Note de lecture du tableau : - Au terme de la première année, 9 des 16 primo entrants de 2008/2009 ont quitté l’université, 4 ont redoublé et 5 sont passés en deuxième année. - Au terme de la quatrième année, 11 étudiants de la cohorte ont quitté l’université soit un taux d’évaporation de 68,75%, 1 étudiant est en L2 et 1 est en L2. 3 étudiants ont réussi leur licence en trois ans Au total, 18,8% de la cohorte a donc obtenu sa licence en 3 ou 4 ans contre 19,3% de la cohorte 2007/2008 (Rapport d’activité 2011 –page 25). 100% des diplômés sont titulaires d’un baccalauréat général L. Page 139 Licence LLSH - mention langues, littératures et civilisations étrangères, spécialité anglais En 2008/2009, 116 étudiants sont inscrits en 1 ère année de licence LLSH, mention langues, littératures et civilisations étrangères dont 69 sont des primo entrants. Parmi ces primo entrants, 58% ont un baccalauréat général (36% littéraire, 12% ES, 10% scientifique), 32% un baccalauréat technologique et 10% un baccalauréat professionnel. Rentrée 2009/2010 Année 2 Effectifs % Quittent l'UPF Rentrée 2010/2011 Année 3 Effectifs % Rentrée 2011/2012 Année 4 Effectifs % Rentrée 2012/2013 Année 5 Effectifs % 33 47,8% 40 58,0% 44 63,8% 49 71,0% 4 5,8% 7 10,1% 8 11,6% 4 5,8% Sont inscrits en licence 1ère année 17 24,6% 2 2,9% 0,0% 2 2,9% Sont inscrits en licence 2ème année 15 21,7% 12 17,4% 4 5,8% 8 11,6% 7 10,1% 3 4,3% 69 100,0% 63 91,3% 58 84,1% 6 8,7% 6 8,7% 5 7,2% 69 100,0% Se réorientent à l'UPF Sont inscrits en licence 3ème année Sous-total 69 100,0% Diplômés 2010/2011 - LICENCE LLCE en 3 ans - Diplômés 2011/2012- LICENCE LLCE en 4 ans Total de la cohorte "Primo-entrants" inscrits en L1 Licence LLCE année 2008/2009" 69 100,0% 69 100,0% 69 100,0% - 0,0% Note de lecture du tableau : - Au terme de la première année, 33 des 75 primo entrants de 2008/2009 ont quitté l’université, 4 se sont réorientés dans une autre filière proposée par l’UPF, 17 ont redoublé et 15 sont passés en deuxième année. - Au terme de la deuxième année, 7 étudiants supplémentaires se sont réorientés. - Au terme de la troisième année, 44 étudiants ont quitté l’université, 4 étudiants sont en L2 et 7 en L3. - Au terme de la quatrième année, 49 étudiants de la cohorte ont quitté l’université soit un taux d’évaporation de 71%, 2 étudiant est en L1, et 3 en L3. 6 étudiants ont réussi leur licence en trois ans, et 5 l’ont obtenu en quatre ans. Au total, 15,9% de la cohorte a donc obtenu sa licence en 3 ou 4 ans contre 13,6% de la cohorte 2007/2008 (Rapport d’activité 2011 –page 25). 100% des diplômés sont titulaires d’un baccalauréat général. Page 140 Page 141 Licence Sciences et technologies - mention mathématiques-informatique En 2008/2009, 94 étudiants sont inscrits en 1 ère année de licence sciences et technologies, mention mathématiques-informatique dont 66 sont des primo entrants. Parmi ces primo entrants, 66,7% ont un baccalauréat général (62% scientifique, 4,5% ES), 25,8% un baccalauréat technologique et 7,6% un baccalauréat professionnel. Rentrée 2009/2010 Année 2 Effectifs % Quittent l'UPF Rentrée 2010/2011 Année 3 Effectifs % Rentrée 2011/2012 Année 4 Effectifs % Rentrée 2012/2013 Année 5 Effectifs % 24 36,4% 29 43,9% 33 50,0% 37 56,1% 8 12,1% 7 10,6% 7 10,6% 4 6,1% Sont inscrits en licence 1ère année 15 22,7% 5 7,6% 1 1,5% Sont inscrits en licence 2ème année 19 28,8% 10 15,2% 4 6,1% 3 4,5% 15 22,7% 13 19,7% 4 6,1% 66 100,0% 58 87,9% 48 72,7% 8 12,1% Se réorientent à l'UPF Sont inscrits en licence 3ème année Sous-total 66 100,0% Diplômés 2010/2011 - LICENCE Maths-Info en 3 ans Diplômés 2011/2012 - LICENCE Maths-Info en 4 ans Total de la cohorte "Primo-entrants" inscrits en L1 Licence Maths-Info année 2008/2009" 66 100,0% 66 100,0% 66 100,0% - 0,0% 8 12,1% 10 15,2% 66 100,0% Note de lecture du tableau : - Au terme de la première année, 24 des 66 primo entrants de 2008/2009 ont quitté l’université, 8 se sont réorientés dans une autre filière proposée par l’UPF, 15 ont redoublé et 19 sont passés en deuxième année. - Au terme de la deuxième année, 5 étudiants supplémentaires se sont réorientés. - Au terme de la troisième année, 4 étudiants supplémentaires ont quitté l’université, soit un total d’abandon de 33 étudiants, 1 étudiant est en L1, 4 en 2 et 13 en L3. - Au terme de la quatrième année, 37 étudiants de la cohorte ont quitté l’université soit un taux d’évaporation de 56%, 3 étudiants sont en L2 et 4 en L3. 8 étudiants ont réussi leur licence en trois ans, et 10 en quarte ans. Au total, 27,3% de la cohorte a donc obtenu sa licence en 3 ou 4 ans contre 18,4% de la cohorte 2008/2009 (Rapport d’activité 2011 –page 25). 87,5% des diplômés sont titulaires d’un baccalauréat général. Page 142 Licence Sciences et technologies - mention Physique En 2008/2009, 57 étudiants sont inscrits en 1 ère année de licence sciences et technologies - mention physique dont 40 sont des primo entrants. Parmi ces primo entrants, 83% ont un baccalauréat scientifique, 15% un baccalauréat technologique et 2,5% un baccalauréat professionnel. Quittent l'UPF Se réorientent à l'UPF Rentrée 2009/2010 Rentrée 2010/2011 Rentrée 2011/2012 Rentrée 2012/2013 Année 2 Effectifs % Année 3 Effectifs % Année 4 Effectifs % Année 5 Effectifs % 12 30,0% 17 42,5% 18 45,0% 19 47,5% 0,0% 2 5,0% 1 2,5% 2 5,0% - Sont inscrits en licence 1ère année 7 17,5% Sont inscrits en licence 2ème année 21 52,5% Sont inscrits en licence 3ème année Sous-total 40 100,0% - 0,0% - 0,0% 30,0% 6 15,0% 2 5,0% 9 22,5% 7 17,5% 5 12,5% 40 100,0% 32 80,0% 28 70,0% 8 20,0% 8 20,0% 4 10,0% 40 100,0% Diplômés 2011/2012 - LICENCE PHYSIQUE en 4 ans 40 100,0% 0,0% 12 Diplômés 2010/2011 - LICENCE PHYSIQUE en 3 ans Total de la cohorte "Primoentrants" inscrits en L1 Licence PHYSIQUE année 2008/2009" - 40 100,0% 40 100,0% Note de lecture du tableau : - Au terme de la première année, 12 des 40 primo entrants de 2008/2009 ont quitté l’université, 7 ont redoublé et 21 sont passés en deuxième année. - Au terme de la deuxième année, 5 étudiants supplémentaires ont quitté l’université soit un total d’abandon de 17 étudiants. - Au terme de la troisième année, 18 étudiants ont quitté l’université, 6 étudiant est en L2 et 7 en L3. - Au terme de la quatrième année, 19 étudiants de la cohorte ont quitté l’université soit un taux d’évaporation de 47,5%, 2 étudiants sont en L2 et 5 en L3. 8 étudiants ont réussi leur licence en trois ans, et 4 en quatre ans. Au total, 30% de la cohorte a donc obtenu sa licence en 3 ou 4 ans contre 19,6% de la cohorte 2008/2009 (Rapport d’activité 2011 –page 25). Tous les diplômés sont titulaires d’un baccalauréat scientifique. Page 143 Licence Sciences et technologies - mention sciences de la vie et de la terre En 2008/2009, 87 étudiants sont inscrits en 1 ère année de licence sciences et technologies, mention mathématiques-informatique dont 55 sont des primo entrants. Parmi ces primo entrants, 72,7% ont un baccalauréat général (71% scientifique, 1,8% ES), et 27,3% un baccalauréat technologique. Rentrée 2009/2010 Année 2 Effectifs % Quittent l'UPF Rentrée 2010/2011 Année 3 Effectifs % Rentrée 2011/2012 Année 4 Effectifs % Rentrée 2012/2013 Année 5 Effectifs % 24 43,6% 28 50,9% 28 50,9% 27 49,1% Se réorientent à l'UPF 5 9,1% 5 9,1% 6 10,9% 6 10,9% Sont inscrits en licence 1ère année 6 10,9% 1 1,8% 20 36,4% 6 10,9% 2 3,6% 1 1,8% 15 27,3% 11 20,0% 1 1,8% 55 100,0% 47 85,5% 35 63,6% 8 14,5% 8 15,7% 8 15,7% Sont inscrits en licence 2ème année Sont inscrits en licence 3ème année Sous-total 55 100,0% Diplômés 2007/2008 - LICENCE Maths-Info en 3 ans - 0,0% Diplômés 2008/2009 - LICENCE Maths-Info en 4 ans - 0,0% Note de lecture du tableau : - Au terme de la première année, 24 des 55 primo entrants de 2008/2009 ont quitté l’université, 5 se sont réorientés dans une autre filière proposée par l’UPF, 6 ont redoublé et 20 sont passés en deuxième année. - Au terme de la deuxième année, 4 étudiants supplémentaires se sont réorientés. - Au terme de la quatrième année, 27 étudiants de la cohorte ont quitté l’université soit un taux d’évaporation de 49%, 1 étudiants sont en L2 et 1 en L3. 8 étudiants ont réussi leur licence en trois ans, et 8 en quarte ans. Au total, 31,4% de la cohorte a donc obtenu sa licence en 3 ou 4 ans contre 25,4% de la cohorte 2008/2009 (Rapport d’activité 2011 –page 25). 100% des diplômés sont titulaires d’un baccalauréat général S. Page 144 Université de la Polynésie française BP 6570 – 98702 Faa’a – Tahiti Tél. : (00689) 803.803 / Fax : (00689) 803.804 www.upf.pf / [email protected] Directeur de la publication : Pr Eric Conte, président de l’UPF Photographies : Tatiana Salmon © Université de la Polynésie française Page 145