Rapport d`activité 2012 - Université de la Polynésie Française

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Rapport d`activité 2012 - Université de la Polynésie Française
Rapport d’activité 2012
Université de la Polynésie française
www.upf.pf
AVANT-PROPOS
Le présent document rend compte de l’activité de l’Université de la
Polynésie française durant l’année 2012, période au cours de laquelle nous
eûmes à traiter deux événements majeurs. Ce fut d’abord la finalisation de
notre contrat quinquennal, signé avec notre ministère de tutelle en juillet,
et dont nous avons entrepris la mise en œuvre dès la rentrée suivante.
Simultanément, il nous fallut aussi travailler à la préparation de notre
passage aux Responsabilités et Compétences Elargies, devenu effectif le 1er
janvier 2013.
Autant dire que cette année fut d’une importance cruciale pour notre
université autant pour l’avenir proche qu’à plus long terme.
Ce rapport contient de nombreuses informations – avec des données
chiffrées précises – permettant de se rendre compte des réalisations de
l’U.P.F. dans ses grands domaines d’activité (formation initiale et continue, recherche, relations
internationales, etc.).
L’objet de cette introduction est de mettre en exergue quelques points saillants de notre activité et
d’aborder des questions – notamment le taux de réussite de nos étudiants et leur insertion
professionnelle – sur lesquelles nous avons été souvent interpellés et à propos desquelles quelques
clarifications nous semblent indispensables.
Avec ses 96 enseignants et enseignants-chercheurs, ses 80 personnels administratifs et de soutien,
et ses quelque 300 enseignants vacataires et missionnaires, l’U.P.F. est sans conteste la plus
importante structure d’enseignement supérieur et de recherche de Polynésie française.
L’une de nos missions, et peut-être la principale, est de donner à nos étudiants une formation de
qualité, nourrie des connaissances les plus actuelles et adaptée aux besoins de la Polynésie
française de demain.
Une offre de formation renouvelée et enrichie
L’université de la Polynésie française a pour vocation d’offrir aux étudiants polynésiens des
formations, de niveau licence et au-delà si possible, couvrant les grandes spécialités « classiques ».
L’étudiant qui s’inscrit à l’U.P.F. a le choix entre 15 licences (dont 2 licences professionnelles). Il
peut aussi suivre la première année commune des études de santé (PACES). Nous assurons
également la formation des professeurs des écoles grâce à notre école interne de l’IUFM et la
préparation à plusieurs CAPES. Nous proposons également trois Masters dont un nouveau cette
année, en management, depuis longtemps réclamé par les étudiants de sciences-économiques et
de gestion. Un autre Master pour lequel nous sommes habilités en collaboration avec l’Université
Pierre et Marie Curie, consacré à l’étude de l’environnement océanique, n’ouvrira que l’année
prochaine. Mais d’ores et déjà, dans la mesure où la première année de ce Master se fera à Paris,
I
nous avons signé pour nos étudiants une convention d’accueil avec la Cité Internationale
Universitaire de Paris.
Pour les juristes, nous avons organisé, pour la première fois cette année, la préparation à l’examen
d’entrée aux Centres Régionaux de Formation professionnelle des Avocats, en relation avec
l’Institut des Etudes Judiciaires de la Sorbonne. Il s’agit d’une formation avec un très faible effectif
mais qui a été profitable puisque sur 4 candidats, 2 ont été reçus, ce qui souligne la qualité des
études juridiques à l’U.P.F.
Inutile sans doute de poursuivre une énumération fastidieuse, d’autant qu’il faudrait ajouter la très
grande variété d’enseignements dispensés dans le cadre de la formation continue. Le détail en est
donné plus loin. Nous voulons seulement souligner que notre objectif est de proposer le meilleur
enseignement possible, malgré les difficultés qui seront évoquées plus loin, tout en nous efforçant,
d’assurer pour les meilleurs - même peu nombreux - des formations leur assurant un
accompagnement vers l’excellence. C’est ainsi que l’on pourra à terme attirer à l’U.P.F. une plus
grande proportion des meilleurs éléments qui, de nos jours, trop souvent la désertent.
Une évolution dans les choix des étudiants
Des tendances lourdes sont perceptibles sur les choix des filières opérés par nos étudiants. C’est,
tout d’abord, l’augmentation constante (+ 50 % en dix ans) du nombre d’étudiants dans le
département Droit, Economie-Gestion qui regroupe 1250 de nos étudiants. Cet accroissement va
de pair avec la diminution progressive des effectifs en Lettres, Langues, Sciences Humaines (tout
comme en métropole) où le nombre d’étudiants a atteint un palier qui devrait se stabiliser. On peut
penser qu’en cette période de crise économique, les étudiants estiment leurs chances d’insertion
professionnelle plus grandes en droit ou en économie-gestion qu’en Lettres, Langues, Sciences
Humaines. Filières qui n’ont trop souvent en Polynésie pour débouché que l’enseignement
primaire ou secondaire. Enfin, comme en métropole, les filières scientifiques, qui par le passé ont
connu un dynamisme certain, stagnent. Probablement pour des raisons du même ordre que celles
avancées pour les LLSH, force est de constater que les bacheliers des filières scientifiques
s’orientent moins qu’avant vers l’université et privilégient d’autres cursus qui nécessitent de partir
en métropole ou à l’étranger.
De réels efforts pour améliorer les conditions d’étude et de vie des étudiants
La qualité de la formation de nos étudiants dépend aussi des moyens que nous mettons à leur
disposition. Quelques exemples illustreront cette préoccupation constante qui s’inscrit dans la
durée.
La maîtrise du français, du tahitien, ainsi que des langues étrangères, est l’une des clés d’une
insertion professionnelle réussie. En dotant l’un de nos bâtiments d’un nouveau laboratoire de
langues numérique et en équipant 4 nouvelles salles de dispositifs multimédia, nous avons jeté les
bases de ce qui est destiné à devenir la « Maison des Langues et des Cultures » où nous
concentrerons tous les moyens humains et matériels destinés à faciliter l’apprentissage des langues
dont la maîtrise est indispensable dans le monde d’aujourd’hui. A ce titre, nous avons organisé
cette année la certification européenne CLES en anglais et en espagnol en relation avec l’université
de Strasbourg.
II
La formation et la réussite de nos étudiants - comme bien sûr nos activités de recherche s’appuient aussi sur un accès à une documentation de qualité. Notre bibliothèque, la plus grande
de Polynésie qui, rappelons-le, est ouverte à toute la population, s’enrichit en permanence. Un
effort considérable est fait sur les ressources numériques auxquelles il est à présent possible
d’accéder depuis l’extérieur du campus. Grâce au concours du personnel de la bibliothèque, un
effort particulier a été fait pour initier les étudiants à l’utilisation optimale des ressources
documentaires mises à leur disposition. L’une de nos priorités d’avenir doit être l’extension de
cette bibliothèque conçue à l’origine pour 1500 étudiants et maintenant bien exiguë.
Grâce à l’accroissement sensible, cette année, de nos capacités d’accès aux réseaux numériques,
nous avons pu mieux utiliser les techniques de l’information et de la communication pour
l’enseignement (TICE). Par exemple, des visio-conférences ont été organisées avec des étudiants et
des chercheurs de Hawaï. Mais en la matière nous n’en sommes qu’aux balbutiements et la
désignation d’un chargé de mission aux TICE et la mise en place d’un « comité de pilotage des
systèmes d’information et des TICE » devraient permettre de nous engager davantage encore dans
cette voie. L’un de nos grands défis sera, à termes, de permettre aux habitants des îles d’accéder à
des enseignements de notre université via internet.
La réussite des études passe aussi par la richesse de la vie culturelle, associative et sportive.
Nous avons apporté notre concours à toutes les initiatives culturelles (conférences « savoirs pour
tous », chorale de l’université, théâtre, expositions, etc.) dont la plupart organisées par des
associations. Quant aux associations étudiantes, elles ont connu un regain d’activité que nous ne
pouvons qu’encourager. Il en est de même pour le sport universitaire, avec une offre accrue et la
remise en service de notre mur d’escalade, le seul existant en Polynésie.
Il est aussi important qu’un nombre aussi grand que possible d’étudiants puissent bénéficier
d’échanges avec l’étranger. Grâce au dispositif Erasmus, certains ont pu partir dans des pays
européens et nous en aidons d’autres à aller passer une partie de leur année dans des universités
américaines, chinoises, canadiennes, etc. Nous souhaitons que ces échanges puissent se
généraliser, notamment avec nos voisins de la zone Pacifique.
La question de la réussite en licence
Durant cette année, une fois de plus, nos taux de réussite médiocres, autant lors du passage entre
la première et la deuxième année qu’à l’obtention de la licence en trois ans, ont fait débat et il
semble utile de revenir en détails sur cette question.
Une première remarque liminaire : privilégier la réussite aux examens comme critère déterminant
d’évaluation d’une université ne peut qu’encourager un nivellement par le bas alors que l’objectif
d’une université, même modeste comme la nôtre, doit être l’excellence.
Qui reproche aux Grandes Ecoles leur sélection drastique, qui est une sorte de mise en échec
préventive, et leur élimination des plus faibles durant le cursus ? Or, les universités n’étant
autorisées à aucune sélection – le baccalauréat (de n’importe quel type) étant le premier diplôme
universitaire – comment les juger sur la réussite des étudiants de tous niveaux qui s’y inscrivent,
souvent hélas faute d’avoir été acceptés dans des filières sélectives ?
III
C’est aussi mettre l’étudiant dans la position d’un consommateur à qui la réussite serait due.
En oubliant qu’au-delà des efforts que l’université peut déployer, la réussite est d’abord l’affaire
des étudiants : de leurs capacités et de leur motivation. Le taux d’absentéisme important durant les
cours et aux examens (autour de 50%) entraîne mécaniquement des taux d’échecs proportionnels
face auxquels nous sommes bien désarmés.
Nous pensons qu’une université a une obligation de moyens - en personnels compétents, en
qualité pédagogique, en locaux et matériels mis à disposition, en conditions d’étude et en soutien
aux étudiants, etc. – pour créer les conditions de la réussite de ceux des étudiants qui possèdent la
formation initiale et le niveau scolaire, mais aussi le goût pour des études académiques qui
réclament des efforts réguliers et un investissement sur le long terme. De ce point de vue, même si
tout est perfectible – et nous nous y efforçons chaque jour – nous estimons que notre université
remplit bien cette obligation en fonction des ressources mises à sa disposition et nous acceptons
bien volontiers d’être jugés sur notre utilisation de l’argent public au profit des étudiants.
Quant à la réussite de nos étudiants, qui bien entendu, est le but recherché par tout enseignant et
toute institution académique, elle dépend, en plus de la motivation individuelle, de nombreux
facteurs sur lesquels nous n’avons souvent aucun pouvoir d’influence. Sauf à sombrer dans la totale
démagogie qui consisterait à une baisse généralisée de nos exigences1, en fonction d’une
population donnée, les marges de progression en termes de réussite sont plutôt limitées.
Or, l’un des éléments sur lequel nous n’avons aucune prise, est le vivier initial des bacheliers de
Polynésie française.
Lorsque l’on compare la répartition par types de baccalauréat entre la métropole (et les DOM) et la
Polynésie française, on se rend compte d’une disparité flagrante.
Répartition par type
de bac
Métropole + DOM
Polynésie
Bac généraux
Bac Techno
Bac pro
53%
25%
22%
26%
29%
45%
Le premier constat est évident : les baccalauréats généraux, qui ont naturellement vocation à
poursuivre des études supérieures dans les filières académiques, sont deux fois moins nombreux en
Polynésie qu’en métropole. Ce qui réduit le vivier dans lequel notre université est susceptible de
trouver les étudiants ayant les meilleures chances de réussir.
1
Il faut bien reconnaître que toutes mes mesures préconisées par les ministères successifs nous y obligent depuis des
décennies (compensations, contrôle continu intégral…) suivant le modèle appliqué au secondaire des 80% de réussite d’une
classe d’âge au baccalauréat dont chaque jour les enseignants que nous sommes peuvent juger des effets délétères.
IV
Or, dans ce vivier déjà réduit, l’université attire seulement un peu plus de 40% des étudiants (sauf
en série littéraires où 54,9 % des bacheliers viennent à l’U.P.F.).
Notre offre de formation, certes pluridisciplinaire, demeure réduite - et non extensible à l’infini - et
il est normal que davantage encore qu’en métropole, les étudiants ne viennent pas
majoritairement à l’U.P.F.
De plus, sur ces titulaires de bacs généraux, force est de constater que les meilleurs ne viennent pas
chez nous. En dehors de la première année des études médicales (PACES) que nous proposons, les
étudiants ayant obtenu les meilleures mentions au baccalauréat s’inscrivent dans des classes
préparatoires et partent le plus souvent en métropole poursuivre leurs études. Cependant, on peut
également constater – et regretter – que certains étudiants aillent en métropole pour s’inscrire
dans les filières que nous proposons.
L’une des clés de l’amélioration de notre réussite sera de parvenir à retenir, au moins les premières
années - car nous considérons qu’il est bénéfique que des jeunes aient d’autres expériences - ces
étudiants qui, en raison de la séparation de leur famille, du mode de vie en métropole, en plus du
passage entre secondaire et supérieur, connaissent parfois de vraies difficultés en France. Cela
passe par un renforcement de la qualité des enseignements par des recrutements de haut niveau
et le développement d’une pédagogie novatrice, notamment par le recours au numérique,
l’amélioration des conditions de travail (qui sont il faut le dire déjà bien supérieures à l’U.P.F. à
celles de bien des universités métropolitaines), la mise en évidence de l’accompagnement
personnalisé qu’une petite université comme la nôtre est capable d’assurer, etc.
Des marges de progressions, certes modestes, existent quant à notre attractivité sur les
baccalauréats généraux, par exemple en offrant une sécurisation et une amélioration de notre
préparation aux métiers de l’enseignement. En effet, nos résultats au CAPES, seul concours national
auquel sont confrontés nos étudiants, sont dans la moyenne de ceux obtenus par les autres
universités. Si nous pouvions offrir à nos étudiants une préparation encore meilleure au CAPES
dans davantage de spécialités, nous accroîtrions notre attractivité auprès de ceux qui se destinent à
l’enseignement. Il en est de même dans la préparation au concours des professeurs des écoles.
C’est l’un des enjeux du projet d’Ecole Supérieure du Professorat et de l'Education (ESPE) que de
pouvoir offrir à nos étudiants des formations de bon niveau et des débouchés dans l’enseignement
primaire comme secondaire.
Gagner la confiance de ces élèves et de leurs parents prendra du temps mais nous avons
commencé à nous y investir.
L’autre caractéristique des bacheliers en Polynésie française est la proportion de bacheliers
professionnels qui est deux fois plus élevée qu’en métropole. Alors que leurs études ne les
destinent pas à suivre et encore moins à réussir un cursus universitaire, même si au final ce ne sont
que 13 % des 1200 bacheliers professionnels que la Polynésie délivre chaque année qui viennent à
l’université, cela donne quand même une proportion de bacheliers professionnels près de 7 fois
plus importante dans notre université que dans la moyenne des universités métropolitaines. Inutile
de dire que le taux de réussite en 3 ans de ces bacheliers étant chez nous de 0%, ils contribuent à
faire baisser considérablement nos taux de réussite …
En clair, l’U.P.F. est conditionnée dans la composition de ses effectifs, et à vrai dire pénalisée dans
ses résultats comparés à ceux de métropole, par des choix d’ouverture de filières, d’orientation des
V
élèves, etc., opérés dans le secondaire, bien en amont de l’université mais dont nous devons
assumer les conséquences. Si cela n’était pénalisant que pour nos statistiques, nous nous en
accommoderions en relativisant les choses ; mais il y a plus grave : ce sont ces centaines
d’étudiants, notamment ces bacheliers professionnels, à qui l’on donne l’illusion qu’ils pourront
acquérir une formation à l’université et qui perdent le plus souvent plusieurs années sans y obtenir
aucun diplôme et aucune qualification monnayable en termes d’emploi.
C’est pour répondre à ce problème, dont nous ne sommes pas responsables mais qui pose un cas
de conscience quant à l’avenir de ces jeunes, que nous avons ouvert une formation diplômante
avec le CNAM. Nous avons d’ailleurs été lauréats d’un appel d’offre du Ministère de la Jeunesse
métropolitain qui nous permet de prolonger et d’amplifier cette initiative l’année prochaine. Mais
cela ne touche que quelques dizaines d’étudiants et ne peut résoudre le problème structurel de la
venue d’un trop grand nombre de bacheliers professionnels à l’U.P.F. Cette question ne pourra être
résolue, à moyen et long terme, que par un infléchissement significatif de la politique conduite
dans le secondaire. Nous sommes bien évidemment, disposés à contribuer à ce qu’un dialogue
s’instaure sur ce thème.
Pour autant, il nous semble important de relever certains aspects plus positifs.
Certes, il est assez clair qu’en première année s’opère la sélection qui aurait pu s’effectuer à
l’entrée de l’université si la loi nous y autorisait. Si l’on regarde non pas le nombre de reçus par
rapport aux inscrits mais celui des reçus par rapport aux présents aux examens, le taux de réussite
est d’environ 50 %. Compte tenu de ce qui a été dit sur la composition de notre effectif et sur notre
volonté de maintenir un niveau académique à nos formations, ce taux de réussite en 1ère année ne
nous paraît pas scandaleux. Et lorsqu’est franchi l’obstacle de la première année, nos étudiants
réussissent bien à passer de 2ème en 3ème année (environ 60 %) et une proportion très importante
obtient sa licence (80 %).
En outre, on se rend compte qu’en fait nos étudiants prennent aussi plus de temps pour obtenir
leur licence que ceux de métropole : si sur 3 ans nos résultats ne sont guère bons pour toutes les
raisons évoquées plus haut, nos taux d’obtention de la licence en 4 ans sont meilleurs que ceux
attendus par notre ministère et meilleurs que ceux de plusieurs universités qui ne possèdent pas
les mêmes handicaps de départ que nous.
En définitive, nous souhaiterions éviter l’amalgame erroné entre mauvais taux de réussite en
première année et à la licence en 3 ans et université de mauvaise qualité. Pour ceux qui ont la
formation requise pour suivre ces cursus et qui s’en donnent les moyens, l’U.P.F. offre les mêmes
conditions d’étude et de réussite qu’une petite université métropolitaine, ce qui n’est déjà pas trop
mal pour un établissement jeune et isolé de tout tissu universitaire.
Au-delà des questions de réussite, il demeure un fait indiscutable : l’U.P.F. a produit en 2012 plus
de 380 licenciés (y compris les licences professionnelles), soit une progression de +81% en quatre
ans (+16% en un an).
Fait plus intéressant encore, le taux d’insertion professionnelle de nos licenciés est plutôt bon, ce
qui, en définitive, nous semble le critère probablement le plus pertinent pour juger la formation
dispensée par notre université. Ainsi, 6 mois après avoir obtenu leur licence, près de la moitié de
nos étudiants ayant décidé de ne pas poursuivre leurs études ont trouvé un emploi et, parmi eux,
VI
42 % bénéficient d’un CDI. Dans le contexte économique difficile que connaît la Polynésie française,
on peut estimer que ce résultat est satisfaisant. Cela signifie aussi une certaine adéquation entre
l’offre de formation proposée par l’U.P.F. et les attentes du marché du travail, même s’il faut
reconnaître que l’insertion professionnelle de nos licenciés est facilitée par la faible concurrence
dans la formation supérieure locale. Notons qu’à termes, la mise en place de plusieurs licences
professionnelles devrait accroître encore nos taux d’insertion. D’une façon plus générale, ces
résultats plutôt encourageants sont le fruit des efforts de dialogue avec le monde du travail lors de
l’élaboration de notre offre de formation, par la généralisation des stages en entreprise et, bien
sûr, par les manifestations organisées en partenariat avec les employeurs. Nous pensons que la
mise en place d’une vraie alternance, au sujet de laquelle nous avons organisé une commission de
réflexion, permettrait d’améliorer encore nos taux d’insertion professionnelle.
Une place plus affirmée dans la recherche en Polynésie française
Outre la formation des étudiants, l’une des missions des universités est la recherche. L’U.P.F., avec
ses 65 enseignants-chercheurs, a vocation à être un agent moteur de la recherche en Polynésie
française. Une recherche qui doit être autant au service de la connaissance scientifique que du
développement du Pays.
La grande nouveauté, c’est la création de l’Unité Mixe de Recherche « Ecosystèmes Insulaires
Océaniens » en partenariat avec l’IRD, l’IFREMER et l’Institut Louis Malardé. Cela revient à fédérer
les chercheurs, les techniciens et les moyens sur des thématiques relatives à l’exploitation des
ressources vivantes, à la chimiodiversité terrestre et marine et aux enjeux sanitaires. C’est un pas
en avant considérable pour le développement de la recherche sur ces thèmes car, outre
l’accroissement des connaissances scientifiques, il est évident que les travaux qui seront conduits
devront se donner aussi comme objectif d’être utiles à la Polynésie en termes de développement
économique avec, notamment, la perliculture, l’aquaculture, la mise en évidence de molécules
exploitables mais aussi pour améliorer le bien-être des populations. C’est le cas, par exemple, des
recherches conduites sur la cigüatera. Pour l’U.P.F. et ses partenaires, la création de cette U.M.R.
vient en résonance avec notre participation active à d’autres initiatives d’envergure tels le Grand
Observatoire de l’Environnement et de la biodiversité (le GOPS) ou le Laboratoire d’excellence
CORAIL dont nous sommes membres.
Grâce à ses autres équipes, l’U.P.F. s’investit également, dans un vaste champ de recherches, dans
lesquelles elle compte souvent les seuls spécialistes. Cela va de l’étude des cultures polynésiennes
à la géophysique, en passant par les mathématiques, l’informatique, le droit ou les sciences
économiques. Un indice parmi d’autres du dynamisme de notre recherche : ce sont en moyenne 8
thèses de doctorat qui, chaque année, sont soutenues à l’U.P.F. sur des thématiques intéressant la
Polynésie. On se reportera aussi à la longue liste des publications scientifiques produites par nos
enseignants-chercheurs pour juger de l’apport de notre université à la connaissance dans un large
éventail de spécialités.
Parce que, quand cela est possible, la recherche doit déboucher sur des applications, nous sommes
partenaires de la grappe d’entreprise Tahiti Faahotu à Tahiti et du Pôle de compétitivité Cosmetic
Valley, le premier centre mondial de ressources en parfumerie cosmétique. Nous avons également
signé la convention de participation au Consortium de Valorisation Thématique Sud porté par l'IRD.
VII
La recherche est faite d’échanges et, en la matière, l’isolement est souvent synonyme de
médiocrité. Il est donc évident que notre université entretient des relations suivies avec de grandes
institutions françaises (des conventions ont été signées cette année avec le CNRS et l’EPHE) et
étrangères et que chaque chercheur possède également son réseau de partenaires. Pour que ces
collaborations s’inscrivent dans la durée, il est essentiel de disposer de la possibilité d’accueillir des
collègues, des post-doctorants, etc., avec lesquels des projets sont en cours. La « Maison
internationale », financée par le Contrat de projet, dont les travaux ont débuté cette année, est
pour nous une promesse de développement de nos recherches.
Passage au régime des Responsabilités et Compétences Elargies (RCE) et gouvernance rénovée
Cette année a également été celle de la préparation du passage de l’établissement aux R.C.E.
officiellement intervenu le 1er janvier 2013. Un comité de pilotage et un comité de projet ont été
créés ainsi que quatre groupes de travail thématiques (ressources humaines, gestion financière et
comptable, patrimoine et pilotage). Ce travail transversal a très fortement mobilisé les personnels
des services (finances, agence comptable, DRH et informatique) tout au long de l’année afin de
mener à bien cette profonde réforme structurelle. L’établissement s’est doté de tous les outils
nécessaires à la gestion complète de la paye de ses agents mais aussi au suivi budgétaire et
comptable de la masse salariale qui nous a été dévolue au 1er janvier 2013 triplant le budget global
de l’établissement pour l’établir à un peu plus de trois milliards Fcp. Un travail important de
formalisation des procédures a également été engagé (sur les dépenses, les missions, les
recrutements, etc.)
Ce passage au RCE ainsi que la prise de fonction de la nouvelle direction en juin 2011 ont été les
moteurs d’une rénovation en profondeur du fonctionnement interne de l’établissement et de sa
gouvernance. En effet, la nouvelle direction a mis en place une politique basée sur l’information, la
transparence et le dialogue afin de redonner à l’établissement la cohésion qui lui faisait défaut.
Ainsi une lettre hebdomadaire d’information des personnels a vu le jour, plusieurs assemblées
générales se sont tenues et le dialogue entre la direction et les départements ou l’école interne a
été renforcé. Un bureau regroupant président, vice-présidents, DGS a été instauré et se réunit de
manière hebdomadaire. Avant chaque CA ou chaque campagne d’emplois, ce bureau se réunit en
formation élargie aux directeurs de composantes (équipes de recherche, départements, IUFM,
Bibliothèque Universitaire) afin de discuter de manière collégiale de la stratégie de l’établissement.
Si le passage aux R.C.E. a constitué un enjeu majeur de cette année écoulée, la vie de
l’établissement en « mode R.C.E. », avec ses pièges mais aussi ses potentielles marges de
manœuvre financières, sera sans nul doute l’un des nouveaux défis à relever par la direction au
cours de l’année 2013.
Pr Eric CONTE
Président de l’U.P.F.
VIII
Sommaire
I.
La Formation .......................................................................................................................................... 5
1.1
1.2
1.3
1.4
1.5
La carte des formations ................................................................................................................. 7
1.1.1
Les formations niveau licence ........................................................................................... 7
1.1.2
Les formations niveau master ........................................................................................... 8
1.1.3
Autres formations.............................................................................................................. 8
1.1.4
Les formations à l’IUFM (école interne) ............................................................................. 8
Les effectifs................................................................................................................................... 9
1.2.1
Les effectifs de l’Université de la Polynésie Française ....................................................... 9
1.2.2
Les inscriptions principales ............................................................................................. 11
1.2.3
Les inscriptions multiples ................................................................................................ 16
1.2.4
Les néo-bacheliers ......................................................................................................... 17
Données sociales des étudiants .................................................................................................. 20
1.3.1
Sexe ............................................................................................................................... 20
1.3.2
Age................................................................................................................................. 21
1.3.3
Origine socioprofessionnelle des étudiants...................................................................... 22
1.3.4
Boursiers sur critères sociaux ......................................................................................... 22
La réussite .................................................................................................................................. 24
1.4.1
L’aide à la réussite .......................................................................................................... 24
1.4.2
Réussite en L1................................................................................................................ 26
1.4.3
Evolution des taux de réussite ........................................................................................ 29
1.4.4
Suivi de cohorte .............................................................................................................. 29
1.4.5
Les diplômés .................................................................................................................. 30
1.4.6
Réussite en Première Année Commune des Etudes de Santé ........................................ 34
1.4.7
Réussite au concours de Professeur des Ecoles (PE) ..................................................... 35
L’insertion professionnelle ........................................................................................................... 36
1.5.1
1.6
II.
Données d’insertion professionnelle au niveau L ............................................................. 36
La formation continue.................................................................................................................. 38
La Recherche ....................................................................................................................................... 45
2.1
Introduction ................................................................................................................................. 47
2.2
Les structures de recherche ........................................................................................................ 49
2.3
Les enseignants-chercheurs ....................................................................................................... 52
Page 3
2.3.1
Nombre d’enseignants-chercheurs par unité de recherche .............................................. 52
2.3.2
Répartition des enseignants-chercheurs par domaine scientifique ................................... 52
2.3.3
Nombre d’enseignants-chercheurs « produisants » ......................................................... 53
2.4
Les Doctorants ............................................................................................................................ 53
2.5
Budget de la recherche ............................................................................................................... 54
III. Les activités de soutien ......................................................................................................................... 55
3.1
3.2
3.3
3.4
La documentation........................................................................................................................ 57
3.1.1
Activité des bibliothèques ................................................................................................ 58
3.1.2
Les moyens de la documentation .................................................................................... 63
L’orientation et l’insertion professionnelle..................................................................................... 64
3.2.1
Actions d’orientation ........................................................................................................ 64
3.2.2
Actions d’insertion ........................................................................................................... 66
La vie étudiante et les œuvres universitaires ............................................................................... 67
3.3.1
L’aide aux projets et initiatives étudiantes ........................................................................ 67
3.3.2
Les œuvres universitaires ............................................................................................... 67
Les relations internationales ........................................................................................................ 68
3.4.1
Les relations entre l’UPF et l'Université de Hawai'i à Manoa ............................................ 68
3.4.2
La mobilité internationale ................................................................................................ 71
3.4.3
Les rencontres internationales......................................................................................... 72
IV. Les activités support.............................................................................................................................. 75
4.1
La communication ....................................................................................................................... 77
4.1.1
Des supports de communication multiples ....................................................................... 77
4.1.2 Des actions de communications reconnues pour leur efficacité et bien
implantées dans le paysage médiatique polynésien ...................................................................................... 78
4.1.3
V.
Une politique de communication en cohérence avec le projet d’établissement ................. 80
4.2
Les ressources informatiques ...................................................................................................... 81
4.3
Le Patrimoine .............................................................................................................................. 84
4.4
Les moyens................................................................................................................................. 88
4.4.1
Budget agrégé ................................................................................................................ 88
4.4.2
Dépenses ....................................................................................................................... 89
4.4.3
Recettes ......................................................................................................................... 91
Annexes ................................................................................................................................................ 96
Page 4
I. La Formation
Page 5
Page 6
1.1 La carte des formations
La rentrée 2012 voit l’entrée en vigueur de la nouvelle carte de formation qui fait suite aux
arrêtés d’habilitations à délivrer des diplômes nationaux1 pour la période 2012-2017
1.1.1 Les formations niveau licence
A la rentrée 2012-2013, 15 licences sont proposés ainsi qu’une Première Année Communes
des Etudes de Santé (PACES), en convention avec l’université de Bordeaux.
Ces formations sont réparties dans les trois domaines suivants :
Domaine Droit, Economie, Gestion
 Licence droit, économie, gestion
o mention droit
o mention économie-gestion
o mention administration publique (Formation ouverte en formation continue)
 Licence professionnelle hôtellerie et tourisme (Formation ouverte en formation
continue)
o Spécialité management international des hôtels de loisirs
Domaine Lettres, Langues et Sciences Humaines
 Licence lettres, langues, sciences humaines
o mention environnements océaniens (Formation ouverte dans deux domaines : LLSH
et Sciences)
o mention histoire-géographie (2 parcours)
o mention langues étrangères appliquées (spécialité anglais, espagnol)
o mention langues, littératures et civilisations étrangères (spécialité anglais)
o mention langues, littératures et civilisations régionales (spécialité langues
polynésiennes)
o mention lettres et arts
Domaine Sciences, technologies et santé
 Licences sciences et technologies
o mention environnements océaniens (Formation ouverte dans deux domaines : LLSH
et Sciences)
o mention informatique
o mention mathématiques
o mention physique-chimie
o mention sciences de la vie et de la terre
1
Arrêtés 012.0292 MESR du 12 septembre 2012
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 Licences professionnelle systèmes informatiques et logiciels (Formation ouverte en
formation continue)
o Spécialité technologie de l’information et de la communication – TIC
 Première Année Commune des Etudes de Santé (PACES)
1.1.2 Les formations niveau master
Suite à la nouvelle carte de formation, un nouveau master a ouvert en droit, économie, gestion
et le master de lettres, langues, sciences humaines change de mention.
A noter que le master en sciences et technologies, co-habilité avec Paris VI, n’ouvrira qu’à la
rentrée 2013.
Domaine Droit, Economie, Gestion
 Master droit, économie, gestion (Formation ouverte en formation continue)
o mention droit des activités économiques (finalité indifférenciée)
o mention management, ouvert uniquement en M1 cette année, (finalité
indifférenciée)
Domaine Lettres, Langues et Sciences Humaines
 Master lettres, langues, sciences humaines
o mention langues, cultures et sociétés en Océanie (finalité indifférenciée)
2 parcours : recherche, recherche et enseignement.
1.1.3 Autres formations
Domaine Droit, Economie, Gestion
 Capacité en droit (niveau bac)
 DAEU (diplôme d’accès aux études universitaires)
o Spécialité, Option A
1.1.4 Les formations à l’IUFM (école interne)
 Préparations au concours de recrutement de professeur des écoles
o
o
Préparation « Professorat des écoles »
Certification « Professorat des écoles »
Page 8
1.2 Les effectifs
Les effectifs sont calculés selon les règles établies par la Direction de l’Evaluation et de la
Prospective du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche pour l’enquête Système
d’Information sur le Suivi des Etudiants (SISE).
Entrent dans le champ SISE, les étudiants inscrits à une formation donnant lieu à la délivrance
d’un diplôme national ou d’université au terme d’une formation d’une durée d’au moins un an,
ainsi que les préparations aux concours de la fonction publique et aux diplômes d’accès aux
études universitaires.
N’entrent pas dans le champ SISE, les auditeurs-libres.
1.2.1 Les effectifs de l’Université de la Polynésie Française
L’UPF enregistre, une remontée globale de ses effectifs (+3%) après deux années de
baisse (-1,2% en 2010 et -5,0% en 2011). En parallèle, après deux années de forte hausse
+3,6% en 2009 et 4,2% en 2010), les effectifs de l’ensemble des universités connaissent
une stabilisation en 2011 (+0,9%), contre une croissance de 1,2% pour l’ensemble des
effectifs inscrits dans l’enseignement supérieur. A l’Université de Nouvelle Calédonie, les
effectifs diminue de -5,3% en 2011.
Sur la période 2009-2012 (date d’intégration de l’IUFM), les effectifs de l’université ont
diminué de -3,1%.
Les barres de ce graphique représentent le nombre d’inscriptions principales en
formation initiale à l’université, par département et à l’IUFM ainsi que les effectifs de la
formation continue.
3 500
3243
3211
3050
3 000
3140
2 500
2 000
1 500
1 000
500
2002
2003
2003
2004
Droit, Economie Gestion
2004
2005
2005
2006
2006
2007
2007
2008
Lettres, Langues et Sciences Humaines
2008
2009
2009
2010
Sciences
2010
2011
2011
2012
Formation continue
2012
2013
IUFM*
* Avec l’ouverture des masters « métiers de l’enseignement » en 2010-2011, l’IUFM
n’intervient plus que dans la préparation au concours de professeur des écoles
Page 9
Evolution des effectifs par formation depuis 10 ans
FORMATIONS INITIALE ET CONTINUE
2002
2003
2003
2004
2004
2005
2005
2006
2006
2007
2007
2008
2008
2009
2009
2010
2010
2011
2011
2012
2012
2013
Evolution de
2011/12 à 2012/13
TOTAL DES EFFECTIFS
2 143 2 250 2 321 2 400 2 547 2 542 2 664 3 243 3 211 3 051
3 140
89
2,9%
Formation Initiale (hors IUFM)
Formation Initiale IUFM
Formation Continue
1 927 2 094 2 117 2 202 2 283 2 283 2 437 2 630 2 809 2 628
321
142
144
198
264
259
227
292
260
279
216
156
204
2 737
79
324
0 109
-65
45
4,1%
-45,1%
16,1%
Nombre
%
Droit Economie Gestion
736
833
751
787
761
697
940
1 253
89
7,6%
Licence Droit
290
175
84
31
431
296
70
65
15
15
314
172
95
47
477
345
66
66
21
21
322
200
62
60
373
252
75
46
11
11
322
188
94
40
418
292
66
60
337
221
54
62
376
240
79
57
311
202
72
37
370
230
88
52
377
243
82
52
528
357
104
67
35
35
394
231
118
45
634
403
129
102
58
27
31
419
231
98
90
634
344
140
150
58
33
25
360
173
109
78
745
373
191
181
59
39
20
387
240
90
57
721
344
185
192
61
29
32
84
84
27
67
-19
-21
-24
-29
-6
11
2
-10
12
84
84
7,5%
38,7%
-17,4%
-26,9%
-3,2%
-7,8%
-3,1%
6,1%
3,4%
-25,6%
60,0%
NS
Lettres, Langues et Sciences Humaines
912
886
963
957
1016
1072
957
965 1 040
854
940
86
10,1%
Licence Histoire-Géographie
135
79
26
30
250
135
59
56
120
76
17
27
137
72
35
30
156
103
22
31
276
152
78
46
124
75
29
20
137
80
26
31
170
120
20
30
285
166
38
81
155
125
12
18
161
114
22
25
80
40
9
31
178
114
40
24
238
116
60
62
170
118
37
15
133
80
29
24
66
35
14
17
193
117
45
31
259
132
63
64
209
140
45
24
142
92
22
28
62
23
16
23
207
123
43
41
277
153
64
60
243
146
59
38
168
110
25
33
60
36
12
12
155
94
38
23
215
116
54
45
254
149
67
38
177
125
35
17
57
28
15
14
152
91
26
35
244
135
62
47
262
148
67
47
156
102
30
24
46
23
8
15
145
84
36
25
227
136
48
43
264
119
105
40
149
93
25
31
54
37
7
10
136
72
33
31
145
71
44
30
259
116
95
48
163
113
21
29
47
25
16
6
104
36
68
-8
-3
-6
1
4
27
-21
-2
-13
-8
-32
27
14
-3
23
-6
4
0
1
3
47
47
38
64
-26
-5,9%
-4,2%
-18,2%
3,2%
2,8%
38,0%
-47,7%
-6,7%
-5,0%
-6,9%
-33,7%
56,3%
8,6%
-2,7%
109,5%
-20,7%
8,5%
0,0%
6,3%
50,0%
NS
117
66
51
128
69
27
32
149
98
23
28
246
108
63
75
177
110
44
23
51
25
17
9
47
47
142
100
42
Bac+1
Bac+2
Bac+3
Licence Economie-Gestion
(AES de 99/00 à 05/06)
Bac+1
Bac+2
Bac+3
Master Droit des activités économiques
Bac+4
Bac+5
1086 1 111 1 164
Master Management
Bac+4
Bac+1
Bac+2
Bac+3
Licence LLCE- Anglais
Bac+1
Bac+2
Bac+3
Licence LLCR - Langues polynésiennes
Bac+1
Bac+2
Bac+3
Licence LEA - Anglais/Espagnol
Bac+1
Bac+2
Bac+3
Licence Lettres
Licence LLF de 04/05 à 07/08
Licence Lettres de 08/09 à 11/12
Bac+1
Bac+2
Bac+3
Licence Environnements océaniens
Bac+1
Master Langues, cultures et sociètés en Océanie
Bac +4
Bac +5
Sciences, Sciences Médicales et Technologies
36,5%
177,8%
-38,2%
257
355
389
447
480
487
504
542
624
569
513
-56
-9,8%
Bac+1
0
44
54
75
87
80
104
121
151
140
139
-1
-0,7%
Bac+1
Bac+2
Bac+3
128
80
31
17
0
139
86
39
14
0
144
95
26
23
0
176
102
52
22
0
174
91
52
31
0
197
119
36
42
0
169
94
33
42
0
175
92
38
45
0
174
96
31
47
0
165
91
40
34
0
0
0
0
0
0
0
0
0
0
74
48
26
79
52
27
82
55
27
103
86
17
99
70
29
103
77
26
55
36
19
73
36
23
14
87
54
20
13
72
38
20
14
95
63
16
16
107
61
27
19
133
87
32
14
98
57
24
17
132
61
45
26
114
64
36
14
159
90
34
35
102
41
43
18
145
69
45
31
102
40
40
22
-2
-5
0
3
75
30
22
23
88
56
18
14
-31
-15
-13
-3
-5
14
-21
2
-1,2%
-5,5%
0,0%
8,8%
NS
0
163
86
40
37
75
30
22
23
88
56
18
14
114
54
32
28
97
54
19
24
-21,4%
-21,7%
-28,9%
-9,7%
-4,9%
35,0%
-52,5%
9,1%
22
20
14
11
26
27
36
37
34
41
31
-10
-24,4%
22
20
14
11
26
25
2
36
36
1
34
40
1
30
1
-10
0
-25,0%
0,0%
IUFM - Ecole interne de l'UPF
321
142
144
79
-65
-45,1%
CAPE "Professorat des écoles" 1ère année
CAPE "Professorat des écoles" 2ème année
CAPES/CAPET/CAPLP 1ère année
CAPES/CAPET/CAPLP 2ème année
89
68
141
23
93
49
109
35
57
22
-52
-13
0
0
-47,7%
-37,1%
P.A.E.S.
P.C.E.M 99/00 à 09/10
Licence Mathématiques-Informatique
Licence M.I.A.S de 99/00 à 04/05
Licence Informatique
Bac+1
Bac+2
Bac+3
Licence Mathématiques
Bac+1
Bac+2
Bac+3
Licence Sciences de la Vie et de la Terre
Bac+1
Bac+2
Bac+3
Licence Physique-chimie
Licence Sciences de la Matière
de 99/00 à 03/04 (L1&L2)
Licence SP de 03/04 à 11/12
Bac+1
Bac+2
Bac+3
Doctorat
Doctorat
H.D.R.
Bac+6 ou +
Bac+6 ou +
Formation continue
Capacité en droit
DU
DAEU
Licence Pro. hotellerie et tourisme
Licence Pro. Technicom
Licence Administration Publique
Bac+3
Bac+3
Bac+3
NS
216
156
204
198
264
259
227
292
260
279
324
45
16,1%
39
38
84
35
26
88
44
14
107
42
23
124
49
56
136
59
37
91
20
69
55
117
20
54
65
105
57
50
119
19
20
22
21
33
27
104
18
25
26
29
34
55
76
103
25
19
46
-2
26
-16
6
19
12
-3,5%
52,0%
-13,4%
31,6%
NS
35,3%
Page 10
1.2.2 Les inscriptions principales
Les inscriptions principales représentent le nombre physique d’étudiants de l’université.
Lorsqu’un étudiant est inscrit sur plusieurs années dans un même diplôme, est considérée
comme inscription principale celle effectuée dans le plus haut niveau.
Dans le cas d’inscriptions multiples dans deux diplômes nationaux, est considérée comme
inscription principale celle concernant le niveau le plus élevé.
INSCRIPTIONS 2012-2013
3 140
1.2.2.1
Les effectifs par composantes
L’UPF comprend cinq composantes d’enseignement : 3 départements de formation, une
école interne (l’IUFM) et un service de formation continue.
EFFECTIFS
DEG
1 262
Licence
1 108
Master
145
Doctorat
9
LLSH
944
Licence
798
Master
142
Doctorat
4
SCIENCES
530
PACES
139
Licence
374
Doctorat
17
IUFM
79
Préparation
57
Certification
22
FC
324
Capacité
55
D.A.E.U.
103
D.U.
76
Licence
46
Licence Professionnelle
44
Total 2012-2013
3 139
En 2011-2012
3051
3210
3243
En 2010-2011
En 2009-2010
Page 11
De 2001 à 2009, le département de lettres, langues et science humaines enregistrait le
nombre le plus important d’inscrits. Depuis 2009, c’est le département de droit,
économie, gestion qui enregistre les plus d’inscriptions.
Pour la deuxième année, le département sciences connaît une baisse sensible de ses
effectifs (-9,8%), due principalement à l’érosion des effectifs en licence SVT. Le
département de lettres, langues et sciences humaines se stabilise autour des 900
étudiants.
Concernant les effectifs de l’école interne (IUFM), la diminution du nombre de places au
concours a mécaniquement diminué les effectifs accueillis aussi bien dans l’année de
préparation que dans celle de certification.
2010
Taux de variation
2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009
2011 2012 Variation
2011
annuel moyen
2004* 2005 2006 2007 2008 2009 2010
2012 2013 annuelle
**
entre 2003 et 2012
DEG
833
751
787
7,6%
420
5,0%
LLSH
886
963
957 1016 1072
761
697
940 1086 1111 1164 1253
957
965 1040
854
940
10,1%
54
0,6%
SCIENCES
355
389
447
480
487
504
542
624
569
513
-9,8%
158
4,5%
321
142
144
79
-45,1%
79
NS
20
14
11
26
27
36
37
34
41
31
-24,4%
11
5,5%
156
204
198
564
259
227
292
260
279
324
16,1%
168
10,8%
2 250 2 321 2 400 2 847 2 542 2 664 3 243 3 211 3 051 3 140
2,9%
890
4,0%
IUFM
Ecole doctorale
FC
Total effectif
* Mise en place du PCEM1 (devenu PACES en 2010) dans le département de Sciences
** Les préparations CAPES/CAPLP dispensées à l'IUFM sont remplacées par des masters métiers de l'enseignement intégrés
dans les départements
Le taux d’augmentation annuel moyen des effectifs, calculé sur les 10 dernières années
est de 4% pour les trois départements.
En valeur relative, c’est le département de droit, économie, gestion qui enregistre la plus
forte hausse en pourcentage (5%) comme en valeur absolue (42 étudiants
supplémentaires en moyenne chaque année).
Taux de variation annuel
moyen entre 2003 et 2012
en
nombre
42
en
%
5,0%
LLSH
5
0,6%
SCIENCES
16
4,5%
Ecole doctorale
1
5,5%
FC
17
10,8%
Sur l'ensemble de l'effectif
89
4,0%
DEG
Page 12
IUFM
3%
- Les trois départements représentent
87% de l’effectif (40% pour le Droit,
Economie, Gestion, 30% pour les
Lettres,
Langues
et
Sciences
Humaines et 17% pour les Sciences).
FC
10%
- Viennent s’ajouter les étudiants de
l’IUFM (5%), école intégrée à l’UPF
depuis le 1er mai 2009, ainsi que ceux
du service de Formation continue
(10%).
1.2.2.2
DEG
40%
SCIENCES
17%
LLSH
30%
Les effectifs par diplôme
En prenant en compte les effectifs de l’IUFM et des licences de formation continue, 88%
des inscriptions principales se font en cursus Licence.
Le niveau Master, qui représente 11%, intègre les effectifs de l’IUFM, dont l’accès se fait
suite à une licence.
Le cursus Doctorat représente 1% de l’ensemble de l’effectif.
Master
11%
Licence
88%
Doctorat
1%
Comparaison de la répartition des effectifs dans les cursus LMD en 2011-12
CURSUS
En PF
En OM
En Métropole
Licence
88,0%
76,5%
60,4%
Master
10,6%
21,1%
35,2%
Doctorat
1,4%
2,4%
4,4%
Total
100,0%
100,0%
100,0%
Source : « Repères et références statistiques 2012 », DEPP, septembre 2012
Page 13
 Niveau Licence
Effectifs par filière et par année
1ère année
DOMAINES/DIPLÔMES/MENTIONS
Droit, Economie, Gestion
2ème année
3ème année
Tota l
584
275
320
1 179
DROIT
240
90
57
387
ECONOMIE-GESTION
344
185
192
721
25
25
Pro. Mention HOTELLERIE ET TOURISME
46
46
Lettres, Langues, Sciences Humaines
Mention d'administration publique
410
174
167
751
Mention HISTOIRE-GEOGRAPHIE
69
27
32
128
Mention LLCE, spécialité ANGLAIS
98
23
28
149
Mention LLCR, LANGUES POLYNESIENNES
108
63
75
246
Mention LEA, spécialité ANGLAIS-ESPAGNOL
110
44
23
177
25
17
9
51
333
91
108
532
Mention MATHEMATIQUES
30
22
23
75
Mention INFORMATIQUE
56
18
14
88
Mention PHYSIQUE-CHIMIE
54
19
24
97
Mention SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE
54
32
28
114
Mention LETTRES ET ARTS
Sciences et Santé
Première Année Commune aux Etudes de Santé
139
139
Pro. Mention TECHNICOM
19
Pluridisciplinaire
19
47
Mention ENVIRONNEMENTS OCEANIENS
47
47
Total
47
1 374
540
595
2 509
En 2011-2012
1 283
634
543
2 460
En 2010-2011
1 423
607
517
2 547
En 2009-2010
1 515
620
445
2 580
En licence, 55% des étudiants sont en
1ère année, 21% en 2ème année et 24%
en 3ème année.
En 2012-2013, les effectifs en L1 ne
représentent plus que 55% du niveau
L, alors qu’ils représentaient 59% en
2008.
A l’inverse, les L3 passent sur la même
période de 17% à 24%.
Ces variations sont dues à une baisse
des primo-entrants et à un
allongement de la durée d’obtention
des semestres.
Page 14
L3
24%
L2
21%
L1
55%
 Niveau Master
Effectifs par filière et par année
DOMAINES/DIPLÔMES/MENTIONS
Droit, Economie, Gestion
Mention DROIT DES ACTIVITES ECONOMIQUES
Mention MANAGEMENT
1ère
année
113
2ème
année
32
29
32
61
84
Tota l
145
84
Lettres, Langues, Sciences Humaines
100
42
142
Mention LANGUES, CULTURES ET SOCIETES EN OCEANIE
100
42
142
Total
213
74
287
En 2011-2012
75
105
180
En 2010-2011
166
88
254
La nouvelle carte de formation ouverte en 2012 (cf. p.2) a modifié profondément l’offre au
niveau master.
En droit, économie, gestion le nouveau master de management a ouvert en M1 en formation
continue alors que les masters « métiers de l’enseignement » n’ont pas été reconduits.
En lettres, langues, sciences humaines, il a été remplacé par le master « langues, cultures et
sociétés en Océanie » avec un parcours recherche et un parcours recherche et enseignements.
Ce dernier ouvre en principe de manière alternée dans 2 spécialités. En M1 ont été ouvertes les
spécialités langues polynésiennes et anglais et en M2 les spécialités langues polynésiennes et
histoire-géographie.
1.2.3 Les inscriptions multiples
Les inscriptions multiples ne sont pas prises en compte dans l’enquête SISE, donc
dans le système d’allocation des moyens SYMPA.
Elles ont malgré tout un impact significatif au niveau des groupes de TD a gérés.
Répartition des inscriptions multiples par département,
école ou en formation continue et par niveau d’études
2012-2013
DEG
Licence
Master
LLSH
1ère
année
2ème
année
3ème
année
Total
114
66
9
189
114
65
9
188
-
1
1
108
55
5
168
Licence
107
55
5
167
Master
1
-
SCIENCES
22
26
3
51
Licence
21
26
3
50
PACES
1
1
1
-
-
Préparation
-
-
Certification
-
-
IUFM
Formation continue
7
-
-
7
D.A.E.U.
-
-
D.U.
7
7
Total
251
147
17
415
En 2011-2012
En 2010-2011
En 2009-2010
374
371
282
149
166
139
9
6
4
532
543
425
Les inscriptions multiples sont en nette baisse en 2012-2013 du fait de l’entrée en
vigueur du nouvel arrêté licence de 2011 comprenant de nouvelles règles de
compensations entre semestres.
25 de ces inscriptions correspondent à des inscriptions secondaires.
L’UPF enregistre pour l’année universitaire 2012-2013, un total d’inscriptions
pédagogiques de 3 555 (3 140+415) contre 3 583 en 2011-2012.
C’est en 1ère année de licence Economie, gestion que les inscriptions pédagogiques
sont les plus nombreuses, 417 étudiants dont 344 inscriptions principales.
Page 16
1.2.4 Les néo-bacheliers
Il s’agit des étudiants inscrits en première année de L qui ont obtenu leur baccalauréat en
2012.
Evolution par type de bacs des néobacheliers
200
180
160
140
2008
120
2009
100
2010
2011
80
2012
60
40
20
0
ECONOMIQUE
LITTERAIRE
SCIENTIFIQUE
MEDICO-SOCIAL
TECHNOLOGIQUE
PROFESSIONNEL
A la rentrée universitaire 2012-2013, l’université compte 723 nouveaux bacheliers
contre 666 en 2011 et 794 en 2010.
Les nouveaux bacheliers ne représentent que 52,6% de l’ensemble des étudiants inscrits
en 1ère année. Parmi ces nouveaux bacheliers, 98% des étudiants ont passé leur
baccalauréat dans un des lycées situés en Polynésie française.
Attractivité de l’université auprès des néobacheliers
60,0%
54,9%
50,0%
43,0%
40,0%
41,3%
30,0%
19,7%
20,0%
13,8%
10,0%
2007
2008
L
2009
ES
S
2010
Techno
2011
2012
Pro
Lecture : en 2012, l’UPF a attiré 54,9% des néobacheliers de la section littéraire
ayant obtenu leurs bacs en Polynésie française la même année.
 Lycée d’origine des bacheliers
Page 17
o
Baccalauréats généraux
769 lycéens ont obtenu un baccalauréat général en Polynésie (-2,4% par rapport à 2011),
à la session 2012 (hors candidats individuels).
BACCALAUREAT - SESSION 2012
GENERAL
Lycée Paul Gauguin
Lycée La Mennais
L
Nbre
Nbre
entrant
d'admis
à l'UPF
37
21
24
14
ES
Nbre
Nbre
%
entrant
d'admis
à l'UPF
56,8%
48
21
58,3%
63
18
Lycée Polyvalent du Taaone
TOTAL
S
Nbre
TOTAL
Nbre
TOTAL
%
entrant
%
entrant
%
d'admis
d'admis
à l'UPF
à l'UPF
43,8%
114
54 47,4%
199
96 48,2%
28,6%
86
29 33,7%
173
61 35,3%
53
24 45,3%
53
26 49,1%
Lycée Samuel Rapooto
25
14
56,0%
27
10
2
37,0%
31
13 41,9%
83
37 44,6%
Lycée d'Uturoa (Raiatea)
20
11
55,0%
26
11
42,3%
28
12 42,9%
74
34 45,9%
Lycée polyvalent de Papara
15
7
46,7%
37
24
64,9%
38
19 50,0%
90
50 55,6%
Lycée Polyvalent Taravao
16
6
37,5%
17
3
17,6%
24
10 41,7%
57
19 33,3%
Lycée tertiaire de Pirae
TOTAL
16
153
11
84
68,8%
54,9%
24
242
11 45,8%
100 41,3%
374
161 43,0%
40
769
22 55,0%
345 44,9%
En 2011-2012
152
82
53,9%
280
105
37,5%
356
151
42,4%
788
338 42,9%
En 2010-2011
165
89
53,9%
280
120
42,9%
406
180
44,3%
851
389 45,7%
En 2009-2010
177
93
52,5%
265
114
44,2%
348
154
44,3%
790
361 45,7%
En 2008-2009
191
110
57,6%
260
130
50,0%
405
187
46,2%
856
427 49,9%
En 2007-2008
193
104
53,9%
250
122
48,8%
334
181
54,2%
777
407 52,4%
Au niveau national en 2011-20122, le taux d’inscription immédiate des bacheliers
généraux à l’université était de 52,1% se répartissant comme suit :
64,7% de la série Littéraire, 50% de la série Economique et Social et 49,5% de la série
Scientifique.
Au niveau de la Polynésie française, la répartition à la rentrée 2012 est de :
54,9% de la série Littéraire, 41,3% de la série Economique et Social et 43% de la série
Scientifique.
Entre 2007 et 2012, la part des néobacheliers de série S inscrits à l’UPF est passée de
54,2% à 49,5%.
o
Baccalauréats technologiques
843 lycéens ont obtenu un baccalauréat technologique (+1,3% par rapport à 2011) à la
session 2012 (hors candidats individuels). Parmi eux, 166 se sont inscrits à l’UPF contre
179 en 2011 et 197 en 2010. Entre 2008 et 2012, le nombre de bacheliers
technologiques s’inscrivant à l’université a baissé de 22,4%.
Alors qu’au niveau national en 2011-2012, le taux d’inscription immédiate des bacheliers
technologiques est de 17,9%, ce taux est de 19,7% en Polynésie française. Ces taux se
rapprochent depuis plusieurs années.
o Baccalauréats professionnels
2
http://www.education.gouv.fr/pid316/reperes-et-references-statistiques.html
Page 18
Sur les 1329 lycéens qui ont obtenu en Polynésie française un baccalauréat
professionnel à la session 2012, 183 se sont inscrits à l’UPF contre 109 en 2011 et 62 en
2010, ce qui représente un triplement de leur nombre en 2 ans.
Alors qu’au niveau national le taux d’inscription immédiate des bacheliers professionnels
est en progression, (7 ,8% en 2011 contre 6,9% en 2009 et 2010), il se situe en Polynésie
française à 13,8% (contre 14,3% en 2011 et 10,4% en 2010). L’UPF attire donc toujours
deux fois plus de bacheliers professionnels que la moyenne des universités françaises.
 Mention au baccalauréat
Parmi les 350 lycéens ayant obtenu un baccalauréat général avec une mention (TB, B ou
AB) à la session 2011 en Polynésie française, 32,6% d’entre eux se sont inscrits à l’UPF.
Ce ratio est proche des 42% de titulaires d’un baccalauréat général avec mention,
inscrits en premier cycle universitaire en métropole (en 2008).
La proportion est différente selon la mention :
Baccalauréat général - Session 2012
Nombre de
Nombre de néobacheliers
mentions en PF
par mention à l'UPF
%
TRES BIEN
62
10
16,1%
BIEN
95
24
25,3%
171
76
44,4%
328
110
33,5%
ASSEZ BIEN
Total
84% des titulaires d’un baccalauréat général avec mention très bien ne s’inscrivent pas à
l’UPF.
1,3% des néo-bacheliers, à l’UPF, ont une mention très bien, 4,7% une mention bien,
18,6% une mention assez bien et 75,4% n’ont aucune mention.
 Age du lycéen au baccalauréat
o
Baccalauréat général et technologique
En considérant que le baccalauréat est obtenu lors de la 18ème année, 61% des nouveaux
bacheliers ont obtenu leur baccalauréat général ou technologique à l’âge normal, voire en
avance (≤18ans) et 39% en retard (≥19ans).
o
Baccalauréat professionnel
Page 19
En considérant que le baccalauréat est obtenu lors de la 19ème année, 29% des nouveaux
bacheliers ont obtenu leur baccalauréat professionnel à l’âge normal, voire en avance (≤19ans)
et 71% en retard (≥20ans).
1.3 Données sociales des étudiants
1.3.1 Sexe
 Par département et par filière
FEMMES
Nombre
DEG
Total
Nombre
HOMMES
en %
Nombre
en %
840
66,6%
422
33,4%
1 262
Licence
743
67,1%
365
32,9%
1 108
Master
94
64,8%
51
35,2%
145
3
33,3%
6
66,7%
9
721
76,4%
223
23,6%
944
Licence
605
75,8%
193
24,2%
798
Master
114
80,3%
28
19,7%
142
2
50,0%
2
50,0%
4
267
50,3%
264
49,7%
531
Doctorat
LLSH
Doctorat
SCIENCES
PACES
96
69,1%
43
30,9%
139
162
43,3%
212
56,7%
374
9
50,0%
9
50,0%
18
66
83,5%
13
16,5%
79
Préparation
48
84,2%
9
15,8%
57
Certification
18
81,8%
4
18,2%
22
216
66,7%
108
33,3%
324
Capacité
34
61,8%
21
38,2%
55
D.U.
51
67,1%
25
32,9%
76
D.A.E.U.
71
68,9%
32
31,1%
103
Licence
36
78,3%
10
21,7%
46
Licence
Doctorat
IUFM
Formation continue
Licence Pro.
24
54,5%
20
45,5%
44
2 110
67,2%
1 030
32,8%
3 140
En 2011-2012
1 990
65,2%
1 061
34,8%
3 051
En 2010-2011
2 107
65,6%
1 104
34,4%
3 211
En 2009-2010
2 047
63,1%
1 196
36,9%
3 243
En 2008-2009
1 654
62,1%
1 010
37,9%
2 664
Total
67,2% des étudiants à l’UPF sont des femmes ; ce taux reste plus important à l’UPF
que dans l’ensemble des universités françaises (58,7% en 2011-2012).
Le pourcentage des femmes inscrites dans les universités d’Outre-mer est de 63,5%
en 2011-2012.
Dans le département de lettres, langues et sciences humaines, les femmes
représentent les trois quarts des effectifs et 83,5% à l’IUFM.
Seul le département sciences offre une égale représentation hommes-femmes.
Page 20
1.3.2 Age
Ces données ne tiennent pas compte des effectifs de la formation continue
 Répartition par âge en fonction du sexe
50 et +
45-49 ans
40-44 ans
35-39 ans
30-34 ans
29 ans
28 ans
27 ans
26 ans
25 ans
24 ans
23 ans
22 ans
21 ans
20 ans
19 ans
18 ans
16-17 ans
1880 FEMMES
400
300
932 HOMMES
200
100
0
100
200
300
 Age moyen par sexe et par niveau d’études
L
Effectifs
M
Age
moyen
20,8
Année 1
1 266
Année 2
579
22,5
Année 3
603
24,9
Année 4
2 448
22,2
Effectifs
213
74
D
Age
moyen
27,7
33,5
8
Age
moyen
28,0
11
34,5
Effectifs
-
-
9
34,0
-
-
2
27,5
30
32,1
287
28,5
Alors que les néo-bacheliers entrant à l’université n’ont majoritairement pas de retard
dans leurs études (61% des bacheliers généraux ou technologiques ont 18 ans ou moins),
la moyenne d’âge est de plus de 20 ans en L1. Cette écart entre l’âge théorique et celui
constaté s’explique en grande partie par les nombreux redoublements effectués en
cours de cursus.
A noter l’âge moyen des doctorants légèrement supérieur à 32 ans contre 30,5 ans au
niveau national en 20103.
3
www.ove-national.education.fr/medias/files/ove.../OVE_infos_24.pdf
Page 21
1.3.3 Origine socioprofessionnelle des étudiants
 Cursus licence : étudiants inscrits en formation initiale
La répartition des étudiants est faite d’après la profession la personne de référence du
ménage. Pour l’INSEE, la personne de référence du ménage est déterminée à partir des
seules 3 personnes les plus âgées du ménage. S'il y a un couple parmi elles, la personne
de référence est systématiquement l'homme du couple. Si le ménage ne comporte
aucun couple, la personne de référence est l'actif le plus âgé (homme ou femme), et à
défaut d'actif, la personne la plus âgée4.
Catégorie socioprofessionnelle du chef de famille
Agriculteurs, exploitants
Artisans, commerçants et assimilés
Ouvriers
Employés
Professions intermédiaires de la fonction publique
Professions intermédiaires du secteur privé
Cadres de la fonction publique
Cadres du secteur privé
Retraités
Sans activités
Non renseigné
Total général
Licence
Total Licence
1
2
3
4,37%
3,33%
4,75%
4,21%
5,59%
6,85%
6,34%
6,05%
15,30% 13,33% 12,87%
14,30%
11,34% 11,30% 14,06%
11,93%
7,37%
7,22%
9,31%
7,76%
8,99%
7,59%
6,93%
8,20%
5,10%
7,59%
4,36%
5,53%
7,13%
6,85%
8,51%
7,37%
14,49% 18,52% 19,80%
16,62%
7,13%
8,33%
3,76%
6,67%
13,20%
9,07%
9,31%
11,36%
100,00% 100,00% 100,00%
100,00%
Master
Total Master
1
2
3,00%
4,76%
3,52%
8,00%
2,38%
6,34%
13,00%
2,38%
9,86%
9,00% 21,43%
12,68%
7,00%
2,38%
5,63%
10,00%
2,38%
7,75%
8,00%
7,14%
7,75%
3,00%
2,38%
2,82%
23,00% 35,71%
26,76%
7,00%
9,52%
7,75%
9,00%
9,52%
9,15%
100,00% 100,00%
100,00%
En France métropolitaine, les enfants de cadres représentent près du tiers des effectifs,
alors qu’à l’UPF, ils ne représentent que 13%.
La part d’étudiants de parents retraités et inactifs est de 24% à l’UPF, contre 13,6% en
France métropolitaine.
1.3.4 Boursiers sur critères sociaux
En 2012-2013, les étudiants boursiers de l’Etat et de la Polynésie française sont au
nombre de 850 contre 793 l’an passé. 76% des boursiers sont des femmes.
Ils représentent 28,6% de l’ensemble des inscrits en formation initiale. A titre de
comparaison, le taux de boursiers de l’ensemble des universités est de 33,8% en 20102011.
4
http://www.insee.fr/fr/themes/detail.asp?ref_id=irprojmen2030&page=irweb/projmen2030/dd/doc/concepts.htm
Page 22
Total L+M
4,17%
6,07%
14,04%
11,97%
7,64%
8,18%
5,66%
7,10%
17,22%
6,73%
11,23%
100,00%
 Répartition entre boursiers d’Etat ou de la Polynésie française et non boursiers inscrits en
formation initiale par département
BOURSIERS
NON BOURSIERS
TOTAL
TOTAL
TOTAL
en
en %
en %
nombre
34,0%
737
66,0%
BOURSIERS
ETAT
BOURSIERS
TERRITOIRE
TOTAL
en nombre
DEG
245
135
380
LLSH
226
85
311
32,9%
633
67,1%
SSMT
87
38
125
23,5%
406
76,5%
IUFM
19
3
22
27,8%
57
72,2%
Total
577
261
838
31,4%
1833
68,6%
 Evolution des boursiers entre 2003 et 2012
2003
2004
2004
2005
2005
2006
2006
2007
2007
2008
2008
2009
2009
2010
2010
2011
2011
2012
2012
2013
Boursiers ETAT
168
232
258
291
276
309
540
553
551
577
Boursiers TERRITOIRE
212
216
199
197
187
183
171
247
242
261
Nombre de boursiers
380
448
457
488
463
492
711
800
793
838
En dix ans (2003 et 2012), le nombre de boursiers sur critères sociaux a progressé de 124%
pour une évolution des effectifs étudiants de 32% sur la même période.
Les boursiers de la collectivité représentent environ un tiers des boursiers.
Evolution du nombre de boursiers
40,0%
35,0%
30,0%
25,0%
20,0%
15,0%
10,0%
5,0%
0,0%
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
% de boursiers UPF
% de boursiers Etat
% de boursiers Territoire
% de boursiers Universités
2011
2012
Même si le nombre de boursiers croit fortement depuis 2008, il reste en poids relatif
inférieur à celui constaté sur la moyenne des universités métropolitaines.
Page 23
1.4 La réussite
1.4.1 L’aide à la réussite
L’un des objectifs majeurs de l’université est d’aider les étudiants à réussir leur parcours
universitaire et à obtenir leur diplôme. L’université a donc mis en œuvre un vaste plan d’actions, qui
comprend des dispositifs d’aide à la réussite et à la réorientation.
 Une semaine d’intégration pour les nouveaux arrivants
Les nouveaux étudiants de première année ont bénéficié à la rentrée 2012 d’une semaine
d’intégration à la vie universitaire, pour réussir cette transition du lycée à l’université, qui peut
s’avérer déconcertante pour certains. Un dispositif d’orientation a aidé les étudiants à mieux
choisir leur filière, et de nombreuses activités, académiques, associatives et sportives, ont été
proposées pour découvrir toutes les potentialités offertes par l’université et mieux apprécier la
vie universitaire dans son ensemble.
 Un suivi personnalisé par des enseignants proches
Les étudiants de l’UPF bénéficient d’un avantage indéniable par rapport à la plupart de ceux des
autres universités de plus grande taille : la proximité avec leurs enseignants disponibles pour
leur prodiguer des conseils. Des enseignants référents et des responsables pédagogiques sont
des interlocuteurs privilégiés pour chaque étudiant, particulièrement durant leur première
année de licence, mais également pendant leurs années suivantes.
 Le soutien pédagogique
Des actions de soutien pédagogique dans une discipline sont organisées par les enseignants,
souvent pendant les semaines de révision, pour leurs permettre de mieux se préparer aux
examens.
 Le tutorat
Un accompagnement pédagogique en petits groupes, de la part d’étudiants volontaires de
troisième année de licence, permet aux étudiants de surmonter d’éventuelles difficultés
d’adaptation dans une ou des disciplines.
 Les possibilités de réorientation
Le premier semestre de la première année de licence est en grande partie semblable pour
chaque filière d’un département de sorte que chaque étudiant puisse se réorienter à la fin du
semestre, soit vers une autre formation, soit vers un semestre « rebond » en cas de difficultés.
Ainsi, un groupe de 24 étudiants motivés a choisi de se réorienter vers une formation
professionnalisante (certificat d’assistant administratif, offert en collaboration avec le CNAM).
Un autre groupe de 24 étudiants a pris la décision de renforcer ses compétences fondamentales
pour augmenter ses chances de passer, à travers le dispositif du « semestre rebond » en
Page 24
seconde année. Il existe également des possibilités d’obtenir des certificats et diplômes
universitaires pour des étudiants inscrits en économie-gestion, mais ne désirant pas poursuivre
leurs études jusqu’à la licence. Ces diverses options de réorientation contribuent non seulement
à la réussite académique, mais également à une meilleure insertion professionnelle.
Il est important de rappeler qu’un diplôme de l’UPF représente une forte protection contre le
chômage et la pauvreté, même en temps de crise économique. Nos dispositifs d’aide à la
réussite offrent à nos étudiants une chance plus grande d’obtenir un diplôme, et donc de
s’insérer plus facilement dans la vie professionnelle.
Page 25
1.4.2 Réussite en L1
Comme l’a préconisé le Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche, la licence doit
être un diplôme de référence pour l’emploi et la poursuite d’études : « Grâce aux moyens
délégués dans le cadre du plan réussite en licence, les universités doivent être en mesure
d’assurer pleinement leur mission en accueillant tous les étudiants d’où qu’ils viennent, quel que
soit leur niveau et leur permettre de réussir ».
 Réussite des néo-bacheliers
Est pris en compte pour le calcul du taux de réussite en première année des néobacheliers, l’ensemble des inscriptions principales de l’année 2011-2012 des étudiants
ayant eu leur baccalauréat à la session 2011.
Parmi les 564 néo-bacheliers inscrits en licence, 113 ont obtenu leur première année
(semestres 1 et 2) en un an. Le taux de réussite en L1 pour les néo-bacheliers est passé
de 13,1% en 2010 à 18,3% en 2011 puis 20% en 2012.
Analyse de la réussite en première année par type de bac :
GENERAL
TOTAL
TECHNOLOGIQUE PROFESSIONNEL
LITTERAIRE ECONOMIQUE SCIENTIFIQUE BAC GENERAL
Inscrits
Admis
% de réussite
88
33
37,5%
103
31
30,1%
99
37
37,4%
290
101
34,8%
166
7
4,2%
108
5
4,6%
TOTAL
564
113
20,0%
On peut constater une amélioration du taux de réussite pour tous les types de bacs (à
l’exception des bacheliers technologiques).
Le pourcentage de réussite des bacs généraux est en nette progression (34,8% au lieu de
29,9%). Toutes les sections progressent même si le nombre de néo-bacheliers est en
diminution (cf. diminution des inscriptions principales en 2011).
L’amélioration globale du taux de réussite n’est pas impactée par la remontée du
nombre de bacheliers professionnels.
 Réussite en licence par semestre et par origine de baccalauréat
Le tableau ci-après, indique les taux de réussite en 1ère année par semestre et par origine de
baccalauréat. Le taux de réussite des présents aux examens, toutes licences confondues, se
maintient au dessus des 50 % sur les deux semestres.
Page 26
ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012
SEMESTRE 1
SEMESTRE 2
Présents
%
Présents
%
% Admis/
% Admis/
.
Inscrits
aux
Admis Admis/
Inscrits
aux
Admis
Admis/
Présents.
Présents.
BAC
examens
Inscrits
examens
Inscrits
DROIT, ECONOMIE, GESTION, Mention DROIT
LITTERAIRE
27
21
8
29,6%
38,1%
27
16
7
25,9%
43,8%
ECONOMIQUE
36
26
17
47,2%
65,4%
36
21
9
25,0%
42,9%
SCIENTIFIQUE
10
9
5
50,0%
55,6%
10
7
6
60,0%
85,7%
TECHNOLOGIQUE
67
35
11
16,4%
31,4%
67
18
4
6,0%
22,2%
MEDICO-SOCIAL
4
3
0
0,0%
0,0%
4
0
0
0,0%
0,0%
PROFESSIONNEL
21
9
1
4,8%
11,1%
21
5
0
0,0%
0,0%
DAEU CAPACITE
6
4
2
33,3%
50,0%
7
3
1
14,3%
33,3%
Total
171
107
44
25,7%
41,1%
172
70
27
15,7%
38,6%
DROIT, ECO, GESTION Mention ECONOMIE GESTION
LITTERAIRE
5
5
4
80,0%
80,0%
5
5
4
80,0%
80,0%
ECONOMIQUE
91
78
53
58,2%
67,9%
91
54
36
39,6%
66,7%
SCIENTIFIQUE
23
15
14
60,9%
93,3%
23
14
13
56,5%
92,9%
TECHNOLOGIQUE
149
86
35
23,5%
40,7%
149
58
15
10,1%
25,9%
MEDICO-SOCIAL
4
3
2
50,0%
66,7%
4
3
2
50,0%
66,7%
PROFESSIONNEL
95
55
14
14,7%
25,5%
95
27
9
9,5%
33,3%
DAEU CAPACITE
3
0
0
0,0%
0,0%
3
0
0
0,0%
0,0%
Total
370
242
122
33,0%
50,4%
370
161
79
21,4%
49,1%
LETTRES, LANGUES, SCIENCES HUMAINES, Mention LETTRES
LITTERAIRE
13
9
7
53,8%
77,8%
12
8
7
58,3%
87,5%
ECONOMIQUE
3
3
2
66,7%
66,7%
3
2
2
66,7%
100,0%
SCIENTIFIQUE
2
2
2 100,0%
100,0%
2
2
1
50,0%
50,0%
TECHNOLOGIQUE
3
1
1
33,3%
100,0%
3
2
1
33,3%
50,0%
PROFESSIONNEL
4
0
0
0,0%
0,0%
4
0
0
0,0%
0,0%
Total
25
15
12
48,0%
80,0%
24
14
11
45,8%
78,6%
LETTRES, LANGUES, SC. HUMAINES, Mention LLCE, Spécialité ANGLAIS
LITTERAIRE
25
18
8
32,0%
44,4%
25
9
3
12,0%
33,3%
ECONOMIQUE
9
3
1
11,1%
33,3%
9
1
1
11,1%
100,0%
SCIENTIFIQUE
4
1
0
0,0%
0,0%
4
0
0
0,0%
0,0%
TECHNOLOGIQUE
19
7
2
10,5%
28,6%
19
3
1
5,3%
33,3%
MEDICO-SOCIAL
1
1
0
0,0%
0,0%
1
1
0
0,0%
0,0%
PROFESSIONNEL
8
3
0
0,0%
0,0%
8
3
0
0,0%
0,0%
DAEU CAPACITE
3
3
2
66,7%
66,7%
3
1
0
0,0%
0,0%
Total
69
36
13
18,8%
36,1%
69
18
5
7,2%
27,8%
LETTRES, LANGUES, SC. HUMAINES, Mention HISTOIRE-GEOGRAPHIE
LITTERAIRE
14
11
9
64,3%
81,8%
14
11
9
64,3%
81,8%
ECONOMIQUE
10
5
3
30,0%
60,0%
10
8
5
50,0%
62,5%
SCIENTIFIQUE
1
0
0
0,0%
0,0%
2
0
0
0,0%
0,0%
TECHNOLOGIQUE
25
8
2
8,0%
25,0%
25
8
5
20,0%
62,5%
MEDICO-SOCIAL
3
2
0
0,0%
0,0%
3
1
0
0,0%
0,0%
PROFESSIONNEL
8
5
1
12,5%
20,0%
8
3
2
25,0%
66,7%
DAEU CAPACITE
3
1
1
33,3%
100,0%
4
2
1
25,0%
50,0%
Total
64
32
16
25,0%
50,0%
66
33
22
33,3%
66,7%
LETTRES, LANGUES, SC. HUMAINES, Mention LLCR, Spécialité LANGUES POLYN.
LITTERAIRE
18
13
11
61,1%
84,6%
18
11
8
44,4%
72,7%
ECONOMIQUE
4
4
2
50,0%
50,0%
4
3
2
50,0%
66,7%
SCIENTIFIQUE
5
5
5 100,0%
100,0%
5
4
3
60,0%
75,0%
TECHNOLOGIQUE
33
25
16
48,5%
64,0%
33
14
9
27,3%
64,3%
MEDICO-SOCIAL
4
4
1
25,0%
25,0%
4
2
1
25,0%
50,0%
PROFESSIONNEL
40
28
2
5,0%
7,1%
40
15
0
0,0%
0,0%
DAEU CAPACITE
3
3
3 100,0%
100,0%
13
3
3
23,1%
100,0%
Total
107
82
40
37,4%
48,8%
117
52
26
22,2%
50,0%
LETTRES, LANGUES, SC. HUMAINES, Mention LEA, Spécialité ANGLAIS, ESPAGNOL
LITTERAIRE
44
29
22
50,0%
75,9%
44
18
11
25,0%
61,1%
ECONOMIQUE
14
9
9
64,3%
100,0%
14
4
3
21,4%
75,0%
SCIENTIFIQUE
5
3
3
60,0%
100,0%
5
2
2
40,0%
100,0%
TECHNOLOGIQUE
38
12
9
23,7%
75,0%
38
11
6
15,8%
54,5%
MEDICO-SOCIAL
2
1
0
0,0%
0,0%
2
0
0
0,0%
0,0%
PROFESSIONNEL
7
2
0
0,0%
0,0%
7
1
0
0,0%
0,0%
DAEU CAPACITE
3
1
1
33,3%
100,0%
4
1
1
25,0%
100,0%
Total
113
57
44
38,9%
77,2%
114
37
23
20,2%
62,2%
SCIENCES ET TECHNOLOGIES, Mention PHYSIQUE
SCIENTIFIQUE
32
18
14
43,8%
77,8%
32
18
13
40,6%
72,2%
TECHNOLOGIQUE
3
0
0
0,0%
0,0%
4
0
0
0,0%
0,0%
MEDICO-SOCIAL
1
0
0
0,0%
0,0%
1
0
0
0,0%
0,0%
PROFESSIONNEL
2
1
0
0,0%
0,0%
2
0
0
0,0%
0,0%
Total
38
19
14
36,8%
73,7%
39
18
13
33,3%
72,2%
SCIENCES ET TECHNOLOGIES mention SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE
LITTERAIRE
1
0
0
0,0%
0,0%
1
0
0
0,0%
0,0%
ECONOMIQUE
2
1
1
50,0%
100,0%
2
1
0
0,0%
0,0%
SCIENTIFIQUE
48
33
21
43,8%
63,6%
48
30
19
39,6%
63,3%
TECHNOLOGIQUE
9
5
3
33,3%
60,0%
9
5
3
33,3%
60,0%
MEDICO-SOCIAL
6
1
0
0,0%
0,0%
6
1
0
0,0%
0,0%
PROFESSIONNEL
2
0
0
0,0%
0,0%
2
0
0
0,0%
0,0%
DAEU CAPACITE
1
0
0
0,0%
0,0%
1
0
0
0,0%
0,0%
Total
69
40
25
36,2%
62,5%
69
37
22
31,9%
59,5%
SCIENCES ET TECHNOLOGIES mention MATHEMATIQUES ET INFORMATIQUE
ECONOMIQUE
9
5
0
0,0%
0,0%
9
2
0
0,0%
0,0%
SCIENTIFIQUE
48
39
25
52,1%
64,1%
48
33
26
54,2%
78,8%
TECHNOLOGIQUE
28
5
0
0,0%
0,0%
28
4
2
7,1%
50,0%
PROFESSIONNEL
5
2
0
0,0%
0,0%
5
1
0
0,0%
0,0%
Total
90
51
25
27,8%
49,0%
90
40
28
31,1%
70,0%
Total général 2011-2012
1116
681
355
31,8%
52,1%
1130
480
256
22,7%
53,3%
Page 27
 Etudiants interrompant leurs études en L1
o
Taux d’absentéisme par origine de baccalauréat
Comme le montre le graphique ci-dessous, le taux de présence aux examens du
semestre 1 est différent selon le type de baccalauréat de l’étudiant. Globalement, les
taux d’absentéisme sont moins élevés que ceux de l’année dernière. A noter que pour
la première fois le taux d’absents est supérieur chez les bacheliers technologiques
(47,96%) que chez les bacheliers professionnels (44,62%).
100%
90%
80%
70%
60%
50%
40%
30%
20%
10%
0%
ECONOMIQUE
LITTERAIRE
SCIENTIFIQUE
TECHNOLOGIQUE
PROFESSIONNEL
DAEU, CAPACITE
ABSENT
24,31%
27,52%
18,28%
47,96%
44,62%
45,45%
PRESENT
75,69%
72,48%
81,72%
52,04%
55,38%
54,55%
o
Taux d’absentéisme par département
Alors que les taux d’absentéisme baissent en DEG et en LLSH, ils sont en augmentation
en Sciences (44,86% contre 40,97% en 2010-2011).
100%
90%
80%
70%
60%
50%
40%
30%
20%
10%
0%
DEG
LLSH
SCIENCES
ABSENT
35,49%
39,49%
44,86%
PRESENT
64,51%
60,51%
55,14%
Page 28
1.4.3 Evolution des taux de réussite
Le taux de réussite par semestre a été calculé en rapportant le nombre d’admis au nombre
d’étudiants présents à l’examen. Seules les inscriptions principales en licence sont prises en
compte.
2008
2009
2009
2010
2010
2011
2011
2012
2008
2009
SEMESTRE 1
LICENCE 1
DROIT, ECONOMIE, GESTION
LETTRES, LANGUES, SCIENCES HUMAINES
SCIENCES ET TECHNOLOGIES
50,4%
45,1%
57,3%
37,6%
47,9%
47,1%
53,2%
60,7%
50,0%
59,4%
50,0%
47,6%
50,7%
56,3%
58,2%
48,8%
42,7%
70,5%
86,1%
64,2%
66,1%
89,0%
61,2%
83,3%
2011
2012
46,0%
74,9%
65,1%
70,7%
72,5%
77,1%
86,5%
82,7%
84,7%
87,0%
92,2%
75,4%
44,0%
40,5%
46,7%
46,7%
53,7%
63,5%
50,8%
56,5%
66,3%
SEMESTRE 4
58,1%
61,4%
53,2%
SEMESTRE 5
LICENCE 3
DROIT, ECONOMIE, GESTION
LETTRES, LANGUES, SCIENCES HUMAINES
SCIENCES ET TECHNOLOGIES
2010
2011
SEMESTRE 2
60,8%
55,0%
50,0%
SEMESTRE 3
LICENCE 2
DROIT, ECONOMIE, GESTION
LETTRES, LANGUES, SCIENCES HUMAINES
SCIENCES ET TECHNOLOGIES
2009
2010
66,5%
59,1%
69,8%
64,4%
61,5%
69,9%
57,8%
73,2%
72,3%
SEMESTRE 6
86,3%
90,2%
75,0%
86,7%
86,4%
87,8%
82,4%
89,5%
84,1%
86,6%
86,7%
84,2%
1.4.4 Suivi de cohorte
Un suivi de cohorte permet de connaitre le parcours effectué par un échantillon d’étudiants à
partir d’une date, et ce, jusqu’à une année donnée.
Les tableaux présentés en annexe, donnent une analyse du parcours à quatre ans des étudiants
inscrits en cursus licence pour la première fois à la rentrée universitaire 2008-2009.
Le suivi de cohorte a été réalisé dans chaque licence des trois départements ; les effectifs
correspondent à des inscriptions principales.
 Récapitulatif des cohortes 2006, 2007 et 2008 par filière sur quatre ans
FILIERES
Primo
entrants
2006-2007
Total diplômés
en 3 ou 4 ans
(session 2009 & 2010)
En
nombre
en %
Primo
entrants
2007-2008
Total diplômés
en 3 ou 4 ans
(session 2010 & 2011)
En
nombre
en %
Primo
entrants
2008-2009
Total diplômés
en 3 ou 4 ans
(session 2011 & 2012)
En
nombre
en %
DROIT
128
31
24,2%
111
18
16,2%
138
35
25,4%
ECONOMIE, GESTION
136
27
19,9%
153
31
20,3%
235
41
17,4%
HISTOIRE-GEOGRAPHIE
68
15
22,1%
78
15
19,2%
52
12
23,1%
LEA, Spécialité Anglais, Espagnol
55
9
16,4%
77
9
11,7%
74
12
16,2%
LLCE, Spécialité Anglais
97
16
16,5%
88
12
13,6%
69
11
15,9%
LLCR, Spécialité Langues Polynésiennes
94
11
11,7%
90
15
16,6%
89
10
11,2%
LETTRES
12
4
33,3%
31
6
19,3%
16
3
18,8%
MATHEMATIQUES-INFORMATIQUE
65
5
7,7%
76
14
18,4%
66
18
27,3%
SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE
45
5
11,1%
59
15
25,4%
55
12
21,8%
PHYSIQUE
56
12
21,4%
41
8
19,6%
40
16
40,0%
756
135
17,9%
804
143
17,8%
834
170
20,4%
Total général
La faiblesse de certains effectifs ne permet pas de tirer des enseignements précis des
fluctuations des ratios de diplômés par filières.
Page 29
Au niveau national, les taux d’obtention d’une licence générale sont de 27% en 3 ans et 38,9%
en quatre ans5.
 Parcours des nouveaux entrants en L1 en 2008
Rentrée 2009/2010
Rentrée 2010/2011
Année 2
Effectifs
%
Quittent l'UPF
Année 3
Effectifs
%
Rentrée 2011/2012
Année 4
Effectifs
%
317
38,0%
420
50,4%
405
48,6%
70
8,4%
70
8,4%
63
7,6%
Sont inscrits en licence 1ère année
235
28,2%
63
7,6%
15
1,8%
Sont inscrits en licence 2ème année
212
25,4%
148
17,7%
75
9,0%
133
15,9%
106
12,7%
98
11,8%
170
20,4%
834
100,0%
834
100,0%
Se réorientent à l'UPF
Sont inscrits en licence 3ème année
Ont obtenu leurs licences
Sous-total
834
100,0%
Au bout de quatre ans, près de la moitié des étudiants ont quitté l’université (chiffre comparable
à la métropole) et 20,4% ont obtenu une licence dans le domaine où ils s’étaient inscrits (contre
38,9% au niveau national). L’écart avec la métropole semble se jouer à l’issue de la L1. En effet, à
l’UPF, seul un quart des étudiants passent en L2 contre 40,8% au niveau national.
1.4.5 Les diplômés
1.4.5.1
Evolution du nombre de diplômés entre 2008 et 2012
Niveau de Diplôm e
2007/2008 2008/2009 2009/2010 2010/2011
2011/2012
VARIATION
2011 à 2012
D.U.
62
29
67
52
51
-1
D.A.E.U.
32
27
30
36
41
5
7
13
26
35
30
CAPACITE
D.E.U.G.
-
-
-
-
-
-
-
208
192
233
312
347
35
38
19
38
13
36
23
18
55
53
-2
6
7
8
1
1
1
567
57
247
D.E.U.S.T.
16
LICENCE
LICENCE PROF.
MASTER
3
DOCTORAT
3
H.D.R
3
Total général
-5
-
646
255
4
563
41
1
460
510
En 2012, 567 étudiants ont été diplômés à l’université. Parmi eux, 78% ont un diplôme LMD. Ces
diplômes ont connu une progression de +76,2% entre 2008 et 2012.
A périmètre équivalent (hors DEUG et DEUST qui ne sont plus ouverts), le nombre de diplômés a
progressé de 26% sur la même période.
5
Note d’information MESR, Avril 2013
Page 30
1.4.5.2
Le niveau licence
 Evolution du nombre de licences entre 2009 et 2012
FILIERES
2008/2009
2009/2010
2010/2011
2011/2012
DROIT
ECONOMIE, GESTION
HISTOIRE-GEOGRAPHIE
LEA, Spécialité Anglais, Espagnol
LLCE, Spécialité Anglais
LLCR, Spécialité Langues Polynésiennes
LETTRES
MATHEMATIQUES-INFORMATIQUE
SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE
PHYSIQUE
36
46
13
12
14
25
9
12
9
16
31
67
22
17
18
18
8
26
14
12
58
95
14
21
34
23
9
21
21
16
47
136
28
24
19
27
5
20
25
16
192
233
312
347
Total Licenciés
Variation
2009 à 2012
11
90
15
12
5
2
-4
8
16
155
Depuis 2009, le nombre de licenciés annuels a progressé de 80% (soit +20% par an en moyenne).
La plus forte progression (en nombre et en pourcentage) concerne la licence d’économie gestion
(+195%).
Parmi les licences avec parcours, les résultats se décomposent de la manière suivante :
- Sur les 28 licenciés en Histoire-Géographie, 14 relèvent du parcours histoire et 14 du parcours
géographie ;
- Sur les 20 licenciés en Mathématiques-Informatique, 10 relèvent du parcours mathématiques
et 10 du parcours informatique.
 Licences délivrées en 2012 par origine de baccalauréat
BACCALAUREAT GENERAL
LICENCES 2012
LITTERAIRE
ECONOMIQUE
SCIENTIFIQUE
DROIT
ECONOMIE, GESTION
HISTOIRE-GEOGRAPHIE
LEA, Spécialité Anglais, Espagnol
LLCE, Spécialité Anglais
LLCR, Spécialité Langues Polynésiennes
LETTRES
MATHEMATIQUES-INFORMATIQUE
SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE
PHYSIQUE
21
2
10
13
6
10
4
16
47
8
3
10
5
6
14
3
1
1
TOTAL LICENCIES PAR BACS
66
BACCALAUREAT
TECHNOLOGIQUE
4
61
4
6
2
8
1
2
1
18
21
15
1
2
1
92
80
89
Page 31
BACCALAUREAT
PROFESSIONNEL
DAEU
CAPACITE
10
3
2
1
3
1
16
4
TOTAL
47
136
28
24
19
27
5
20
25
16
347
 Licences délivrées en 2012 par mention obtenue
MENTION DE LA LICENCE
Mention
Mention
Mention
Mention
Mention
Droit
Economie-Gestion
Histoire-Géographie
LEA, Spécialité Anglais, Espagnol
LLCE, Spécialité Anglais
TRES BIEN
BIEN
2
5
2
2
Mention LLCR, Spécialité Langues polynésiennes
Mention Lettres
1
Mention Mathématiques-Informatique
1
Part des
mentions
TB/B
4%
4%
0%
17%
0%
ASSEZ
BIEN
SANS
MENTION
TOTAL
6
37
12
8
4
39
94
16
12
15
47
136
28
24
19
1
26
27
0%
1
3
5
20%
8
11
20
5%
Mention Sciences de la vie et de la terre
1
6
18
25
4%
Mention Physique
1
2
13
16
6%
11
85
247
347
4%
TOTAL
4
La part des licenciés avec mention très bien ou mention bien est passée de 7% (23 licenciés) en
2012 à 4% (15 licenciés) en 2012. Trois diplômes n’ont eu aucune mention très bien ou mention
bien : Histoire-Géographie, Anglais et Langues polynésiennes.
1.4.5.3
Le niveau master
 Suivi passage de M1 en M2
M1
2011
M2
2012
Taux de
passage
DROIT, ECONOMIE, GESTION mention DROIT DES ACTIVITES ECONOMIQUES
39
36
92,3%
LETTRES, LANGUES, SCIENCES HUMAINES mention LANGUES, CULTURES ET SOCIETES EN OCEANIE*
36
14
38,9%
Total
75
50
66,7%
Effectifs des cohortes de Master 2011
* En 2011, le Master de sciences humaines avait pour mention « Sociétés traditionnelles du Pacifique » dont 2
spécialités étaient ouvertes : Histoire (16 inscrits) et Langues et civilisations polynésiennes (20 inscrits).
 Masters délivrées en 2012 par mention obtenue
Mentions obtenues en MASTERS 2
TRES BIEN
BIEN ASSEZ BIEN PASSABLE TOTAL
LETTRES, LANGUES, SCIENCES HUMAINES, Mention SOCIETES TRADITIONNELLES DU PACIFIQUE: FONDEMENTS CULTURELS, HISTOIRE ET REPRESENTATIONS
Spécialité LANG. ET CIVI. POLYNESIENNES
1
3
6
10
Spécialité ETUDES ANGLO-SAXONNES
1
4
2
7
Spécialité LETTRES ET LITTERATURES FRANCAISES
2
2
Spécialité HISTOIRE
1
8
2
11
SCIENCES, TECHNOLOGIES, SANTE, Mention Mathématiques, informatique, sc. Physiques : Métiers de l'enseignement
1
Spécialité Mathématiques - Informatique
2
8
3
14
DROIT, ECONOMIE, GESTION
Mention DROIT DES ACTIVITES ECONOMIQUES
Total 2011-12
1
Page 32
2
3
4
9
7
26
19
53
1.4.5.4
Le niveau Doctorat
 Thèses soutenues
Laboratoire
Organisme
NOM, Prénom
Titre
Directeur
Date
soutenance
Discipline
YE Feng-Yin
Contribution à l'étude de l'érosion de l'ïle de Tahiti : modèles
empirique et géomorphologique avec appui de données
géochimiques
Jean-Pierre BARRIOT
17/01/2012
UPF
SCIENCES
HYDROLOGIE - HYDROGEOLOGIE
GDI
LALLEMANT Hervé
L’assistance environnementale – Nécessité et rôle en droit
international de l’environnement et pour les petits Etats
insulaires du Pacifique Sud
Jean-Paul PASTOREL
Stéphane DOUMBEBILLE
24/02/2012
UPF
DROIT
DROIT PUBLIC
Spécialité : Droit international de
l'environnement
GDI
QUINQUIS Bran
Les conséquences du changement climatique sur
l’économie de la Polynésie française
Christian MONTET
20/04/2012
UPF
DROIT - ECONOMIE - GESTION
ECONOMIE
Spécialité : Economie de
l'environnement
AUBRY Maite
Epidémiologie moléculaire, évolution et diversité génétique
intra-hôte du virus de la dengue dans les Etats insulaires
du Pacifique Sud
Marcel LE PENNEC
John AASKOV
31/08/2012
UPF
SCIENCES
BIOLOGIE
Spécialité : Biologie cellulaire et
moléculaire
PAWLOWIEZ Ralph
Développement d'outils pour une meilleure surveillance du
risque lié aux intoxications par biotoxines marines en
Polynésie
Mireille CHINAIN
Marcel LE PENNEC
28/11/2012
SCIENCES
BIOLOGIE DES POPULATIONS ET
ECOLOGIE
Spécialité : Biologie cellulaire et
moléculaire
29/11/2012
LETTRES, LANGUES ET
SCIENCES HUMAINES
Langues et littératures arabes,
chinoises, japonaises, hébraïques et
d'autres domaines linguistiques
Spécialité : Civilisation
polynésienne
29/11/2012
LETTRES, LANGUES ET
SCIENCES HUMAINES
Langues et littératures anglaises et
anglo-saxonnes
Spécialité : Civilisation britannique mention Pacifique anglophone
30/11/2012
LETTRES, LANGUES ET
SCIENCES HUMAINES
Langues et littératures anglaises et
anglo-saxonnes
Spécialité : Civilisation britannique mention Pacifique anglophone
GEPASUD
UMR-EIO
UMR-EIO
EASTCO
EASTCO
EASTCO
MC KITTRICK Corine
La rhétorique du discours politique en Tahitien
DI GIORGIO Josiane
L'Autre à la Presqu'île de Tahiti : de Samuel Wallis à
Frederick O'Brien, 1767 - 1921
TEAI Gloria
Tahiti entre Terre, Mer et Pouvoir
Bruno SAURA
Serge DUNIS
Serge DUNIS
 Habilitation à diriger des recherches
NOM, Prénom
TAQUET Marc
ADAM David
Titre
Les Dispositifs de Concentration de
Poissons (DCP)
Contributions aux polynômes à valeurs
entières et leurs applications
Directeur
Jean-Claude GAERTNER
Jean-Luc CHABERT
(LAMFA - Amiens)
Page 33
Date de
soutenance
Discipline
SCIENCES
Domaine : Biologie des
populations et écologie
Spécialité : Océanologie
biologique et
environnement marin
SCIENCES
26/11/2012
Domaine :
Université PJV
Mathématiques
30/01/2012
UPF
Amiens (80)
Mention
Admis
Admis
1.4.6 Réussite en Première Année Commune des Etudes de Santé
CONCOURS 2012
NOMBRE D'ADMIS
BACCALAUREAT
Inscrits
MEDECINE
TRIPLANTS
6
2
SCIENTIFIQUE
4
2
LITTERAIRE
1
PROFESSIONNEL
ODONTOLO
PHARMACIEN
GIE
-
1
SAGE
FEMME
-
ERGOTHERA PSYCHOMO TOTAL
MASSO-KINE
PEUTE
TRICIEN
D'ADMIS
-
-
1
4
1
1
1
%
ADMIS
Toutes
66,7%
3
75,0%
1
100,0%
57,9%
-
0,0%
REDOUBLANTS
38
10
3
1
5
1
1
1
22
SCIENTIFIQUE
36
10
3
1
4
1
1
1
21
58,3%
1
100,0%
13
13,8%
13
18,1%
MEDICO SOCIAL
TECHNOLOGIQUE
1
1
1
-
94
7
SCIENTIFIQUE
72
7
ECONOMIQUE
3
-
0,0%
LITTERAIRE
1
-
0,0%
TECHNOLOGIQUE
4
-
0,0%
MEDICO SOCIAL
12
-
0,0%
PROFESSIONNEL
2
-
Totaux
138
19
-
3
2
2
1
1
2
2
1
1
4
7
2
2
-
0,0%
NON REDOUBLANTS
2
0,0%
39
28,3%
Les étudiants admis dans plusieurs filières, sont comptabilisés une seule fois dans la filière qu’ils ont
acceptée
Sur les 138 étudiants inscrits en PACES en 2011-2012, 94 étudiants sont des primo entrants
(68%), 38 sont des redoublants (27,5%) et 6 sont des triplants (4,5%).
Comme les années précédentes, les étudiants qui réussissent sont en quasi totalité titulaires
d’un baccalauréat scientifique (95%).
Page 34
1.4.7 Réussite au concours de Professeur des Ecoles (PE)
Pour le premier degré, il a été maintenu à titre dérogatoire pour la Polynésie française (par le
décret en date du 28 juillet 2009), un concours de recrutement au niveau licence, pour l’accès au
corps de l’Etat de professeur des écoles créé pour la Polynésie française. L’IUFM continue
d’assurer la préparation au concours de recrutement des professeurs des écoles et la formation
professionnelle des professeurs des écoles stagiaires lauréats du concours.
L’IUFM assure donc une année de préparation pour des étudiants sélectionnés qui passent le
concours à l’issue afin d’intégrer une année de certification.
Evolution de la répartition des lauréats du concours de PE
60
12
50
9
3
9
40
2
5
30
48
20
1
3
39
27
10
16
0
2012-13
candidats issus IUFM (PE1)
2011-12
Instituteurs
2010-11
Autres extérieurs
2009-10
Places non pourvues
Alors que le nombre de places au concours était stable depuis 2009-2010 (60 places), 26 places
furent déclarée non-pourvues en 2011-2012. En 2012-2013, le nombre de places au concours est
passé à 20.
Cependant, parmi les lauréats du concours 2012, la part des lauréats issus de l’IUFM reste
globalement stable (80% en 2012, 79% en 2011 et 65% en 2010), validant l’importance de
l’année de préparation.
Page 35
1.5 L’insertion professionnelle
1.5.1 Données d’insertion professionnelle au niveau L
Données concernant la promotion 2011 des licences générales délivrées à l’UPF.
A noter le très bon taux de retour dans les réponses aux questionnaires (84% de réponses)
Suivi à 6 mois après obtention de la Licence (Décembre 2011)
Effectifs diplômés
Effectifs réponses
% réponses
Délai
d'inser
tion
Type de
contrat
EN ETUDE
EN INSERTION
CDI
CDD
Stage
Autres
< 3mois
3 à 6mois
EN RECHERCHE
SANS ACTIVITE
Droit
Eco-Gestion
Hist-Géo
57
99
14
52
85
13
91%
86%
93%
Nbre % Nbre
% Nbre
%
48 92% 44
52% 12
92%
3
6% 19
22%
0
0%
0
0% 12
63%
0
0%
1 33% 7
37%
0
0%
0
0%
0
0%
0
0%
2 67% 0
0%
0
0%
LEA
20
16
80%
Nbre
%
12
75%
0
0%
0
0%
0
0%
0
0%
0
0%
LLCE
LCR
Lettres Maths Info Sc.Phys.
SVT
TOTAL
34
24
9
21
16
24
318
21
19
6
19
14
22
267
62%
79%
67%
90%
88%
92%
84%
Nbre % Nbre % Nbre % Nbre % Nbre % Nbre % TOT %
16 76% 16 84%
3 50% 17 89%
8 57% 17 77% 193 72%
4 19%
1
5%
2 33% 1
5%
3 21%
3 14% 36 13%
1
25% 0
0%
0
0%
1 100% 1
33% 0
0% 15 42%
2
50% 0
0%
1 50% 0
0%
1
33% 2 67% 14 39%
0
0%
0
0%
0
0%
0
0%
0
0%
1 33% 1 3%
1
25% 1 100% 1 50% 0
0%
1
33% 0
0% 6 17%
2
67%
8
42%
0
0%
0
0%
3
75%
1
100%
1
50%
0
0%
3
100%
1
33% 19 53%
1
0
1
33%
0%
2%
11
20
2
58%
24%
2%
0
1
0
0%
8%
0%
0
3
1
0%
19%
6%
1
1
0
25%
5%
0%
0
2
0
0%
11%
0
1
0
1
50%
0%
17%
1
0
1
100%
0%
5%
0
2
1
0%
14%
7%
2
2
0
67% 17 47%
9% 31 12%
0% 7 3%
Source : Enquête effectuée par le COSIP
En termes d’insertion professionnelles, on constate que la très grande majorité (72%) des étudiants
licenciés poursuit ses études.
Parmi ceux ne poursuivant pas d’études, 49% sont en situation d’insertion professionnelle, dont
près de la moitié avec un CDI (42%). Plus de la moitié des étudiants ayant un travail sont en CDI.
Suivi 12 mois après obtention de la Licence (Juin 2012)
Effectifs diplômés
Effectifs réponses
% réponses
EN ETUDE
EN INSERTION
PROFESSIONNELLE
CDI
CDD
Stage
Intérim
Autres
Droit
57
50
88%
Nbre
%
48
96%
Eco-Gestion
Hist-Géo
99
14
83
13
84%
93%
Nbre
%
Nbre
%
44
53%
12
92%
LEA
20
16
80%
Nbre
%
13
81%
LLCE
34
28
82%
Nbre
%
19
68%
LCR
24
18
75%
Nbre
%
16
89%
Lettres
9
6
67%
Nbre
%
3
50%
Maths Info
21
19
90%
Nbre
%
18
95%
Sc.Phys.
16
13
81%
Nbre
%
9
69%
SVT
24
21
88%
Nbre
%
17
81%
TOTAL
318
267
84%
TOT
%
199 75%
2%
22
27%
1
8%
1
6%
6
21%
1
6%
2
33%
1
5%
1
8%
1
5%
37
14%
0
0
0
0
1
0%
0%
0%
0%
100%
13
7
0
0
2
59%
32%
0%
0%
9%
0
1
0
0
0
0%
100%
0%
0%
0%
0
1
0
0
0
0%
100%
0%
0%
0%
1
4
0
0
1
17%
67%
0%
0%
17%
0
0
1
0
1
0%
0%
100%
0%
0%
0
1
0
1
0
0%
50%
0%
50%
0%
1
0
0
0
0
100%
0%
0%
0%
0%
0
0
0
0
1
0%
0%
0%
0%
100%
0
0
1
0
0
0%
0%
100%
0%
0%
15
14
2
1
6
41%
38%
5%
3%
16%
< 3mois
3 à 6mois
6 à 9 mois
9 à 12 mois
> 12 mois
EN RECHERCHE
D'EMPLOI
1
0
0
0
0
100%
0%
0%
0%
0%
8
10
0
1
3
36%
45%
0%
5%
14%
0
0
0
1
0
0%
0%
0%
100%
0%
0
1
0
0
0
0%
100%
0%
0%
0%
6
0
0
0
0
100%
0%
0%
0%
0%
1
0
0
0
0
100%
0%
0%
0%
0%
1
0
0
0
1
50%
0%
0%
0%
50%
1
0
0
0
0
100%
0%
0%
0%
0%
1
0
0
0
0
100%
0%
0%
0%
0%
0
0
0
1
0
0%
0%
0%
100%
0%
19
11
0
3
4
51%
30%
0%
8%
11%
0
0%
16
19%
0
0%
2
13%
3
11%
1
6%
1
17%
0
0%
1
8%
1
5%
25
9%
SANS ACTIVITE
1
2%
1
1%
0
0%
0
0%
0
0%
0
0
0
0%
0
0%
2
15%
2
10%
6
2%
Délai
d'insertion
Type de
contrat
1
Source : Enquête effectuée par le COSIP
La situation à 12 mois est assez proche de celle à 6 mois. Cependant le nombre d’étudiants en
recherche d’emploi a diminué de près de 20%, passant de 31 à 25.
Page 36
Suivi 12 mois après obtention d’un Master (Juin 2012)
Droit
Hist-Géo
LLCE
LCR
Lettres
Maths Info
TOTAL
Effectifs diplômés
14
6
13
2
8
12
55
Effectifs réponses
7
3
7
2
5
9
33
% réponses
50%
50%
54%
100%
63%
75%
60%
EN ETUDE
EN INSERTION
Délai
d'insertion
Type de
contrat
PROFESSIONNELLE
Nbre
%
Nbre
%
Nbre
%
Nbre
%
Nbre
%
Nbre
%
TOT
%
2
29%
1
33%
1
14%
0
0%
0
0%
0
0%
4
12%
4
57%
2
67%
6
86%
2
100%
5
100%
9
100%
28
85%
C DI
2
50%
1
50%
5
83%
1
50%
3
60%
8
89%
20
71%
C DD
1
25%
1
50%
1
17%
1
50%
2
40%
0
0%
6
21%
Stage
0
0%
0
0%
0
0%
0
0%
0
0%
0
0%
0
0%
Intérim
0
0%
0
0%
0
0%
0
0%
0
0%
0
0%
0
0%
Autres
1
25%
0
0%
0
0%
0
0%
0
0%
1
11%
2
7%
< 3mois
3
75%
1
50%
4
67%
1
50%
5
100%
7
78%
21
75%
3 à 6mois
1
25%
1
50%
1
17%
1
50%
0
0%
1
11%
5
18%
6 à 9 mois
0
0%
0
0%
1
17%
0
0%
0
0%
0
0%
1
4%
9 à 12 mois
0
0%
0
0%
0
0%
0
0%
0
0%
1
11%
1
4%
> 12 mois
EN RECHERCHE
D'EMPLOI
0
0%
0
0%
0
0%
0
0%
0
0%
0
0%
0
0%
1
14%
0
0%
0
0%
0
0%
0
0%
0
0
1
3%
0
0%
0
0%
0
0%
0
0%
0
0%
0
0
0
0%
SANS ACTIVITE
Source : Enquête effectuée par le COSIP
La très grande majorité (85%) des étudiants titulaires d’un master bénéficie d’une activité
professionnelle 12 mois après l’obtention de leurs diplômes. Parmi ceux-ci, 71% ont été
embauché en CDI et 75% d’entre eux ce sont retrouvés en insertion professionnelles moins de
trois mois après avoir quitté l’université.
Page 37
1.6 La formation continue
Les données présentées ici, ont trait aux étudiants inscrits dans le cadre de la formation continue de
l’année universitaire 2011-2012.
Elles sont fournies par le service de la Formation continue.
Malgré le contexte de crise économique, de réduction des budgets publics et de forte
concurrence, l’activité du service de la formation continue connaît un léger rebond en 2012 avec
une augmentation des recettes (+10 K xpF) et une forte croissance de ses effectifs.
Dans ce contexte qui reste difficile, le service de la formation continue de l’UPF a poursuivi sa
stratégie de mise en valeur de ses compétences distinctives en recentrant ses activités sur les
formations longues et de haut niveau, sur les formations diplômantes (diplômes nationaux ou
d’université). Il a également ouvert son activité à des formations plus courtes, non diplômantes
et en accueillant un public nombreux (tel que les formations en Droit foncier constituées de
groupes de 50 stagiaires).
 Etudiants et stagiaires
Comme les années précédentes, les chiffres communiqués dans ce rapport pour les diplômes d’Etat
(DAEU, capacité, licence et master) correspondent, comme en formation initiale, aux remontées
annuelles de l’enquête SISE. Pour mémoire ces chiffres sont arrêtés au 15 janvier. Néanmoins, pour
certaines formations, des inscriptions sont enregistrées après cette date.
Un étudiant est inscrit dans une formation diplômante et/ou qualifiante.
Un stagiaire est en formation non diplômante (séminaires, certificats, préparations….).
En 2011-2012, les effectifs de la formation continue connaissent une forte hausse et se
situent à un niveau jamais atteint jusque-là.
Page 38
Si les effectifs d’étudiants (285) se maintiennent sous la barre des 300, au même niveau que
l’année précédente (277), celui des stagiaires est en forte augmentation totalisant 500
stagiaires de plus que l’année précédente (704 en 2011-12 contre 205 en 2010-11).
Cette augmentation conséquente s’explique par l’ouverture de plusieurs formations
consacrées au droit foncier à Tahiti et dans les îles et par plusieurs formations destinées aux
élus, aux cadres de la Direction du Travail et à ceux de la Direction des Affaires Foncières.
 Les formations
Carte de Formation
Pôle
Volume
horaire
Formations diplômantes
1 Di pl ôme d'Accès a ux Etudes Uni vers i ta i res
2 Di pl ôme d'Accès a ux Etudes Uni vers i ta i res E.P.P.F.**
3 CAPACITE EN DROIT 1ère a nnée
4 CAPACITE EN DROIT E.P.P.F. 1re a nnée
5 CAPACITE EN DROIT 2ème a nnée
6 Li cence d'Admi ni s tra ti on Publ i que*
7 Li cence profes s i onnel l e "Hôtel l eri e Touri s me"
8 D.U. 1 "Médi a teur "
9 D.U. "SPA Ma na ger"
10 D.U. "Deveni r Ma na ger d'une équi pe"
Educa ti on
Educa ti on
Droi t Ges ti on
Droi t Ges ti on
Droi t Ges ti on
Admi ni s tra ti on Publ i que
Droi t Ges ti on
Droi t Ges ti on
Sa nté
Droi t Ges ti on
2 182
305
0
180
5
120
345
650
50
367
160
Sessions de préparation
11
Souti en DAEU
12
Pré-ca pa
13
Contrôl eurs du tra va i l
14
Ta hi ti en ni vea u 1
15
CLES
Educa ti on
Droi t Ges ti on
Admi ni s tra ti on Publ i que
Forma ti on Pers onnel l e
Educa ti on
424
20
25
329
50
0
Séminaires
17
Droi t fonci er pour l a DAF - 2 forma ti ons
16
Droi t fonci er tous publ i cs - 7 forma ti ons
17
Droi t fonci er da ns l es îl es - 6 forma ti ons
18
Aroma théra pi e
15
GRH
19 Forma ti on des él us
20 Forma ti on des ma gi s tra ts
Droi t Ges ti on
Droi t Ges ti on
Droi t Ges ti on
Sa nté
Droi t Ges ti on
Admi ni s tra ti on Publ i que
Forma ti on Pers onnel l e
486
50
182
90
18
70
56
20
TOTAL GENERAL
3092
*Diplôme en convention avec l'université de Nantes - Les inscrits ne sont pas inclus dans les données SISE
** E.P.P.F. Etablissement Pénitentiaire de Polynésie Française
Page 39
Le nombre de formations dispensées est en hausse par rapport à 2010-2011, passant de
33 à 39 formations, tandis que le nombre d’heures de formation dispensées (3092
heures contre 3193 heures en 2010-2011) reste stable. Ce constat s’explique par
l’ouverture cette année de plusieurs formations courtes (entre 15 et 30 heures),
notamment en Droit foncier, destinées à un grand nombre (entre 40 et 50 participants).
Concernant les formations diplômantes, deux nouvelles formations ont été ouvertes :
le diplôme d’université « SPA Manager » (367 heures),
le diplôme d’université 1er niveau « Médiateur » (50 heures).
Dans le même temps, la licence professionnelle « hôtellerie-tourisme », la Licence
d’Administration Publique ainsi que le DU « Devenir manager d’une équipe » ont pu
être ré-ouverts.
70% des heures ont été effectuées dans le cadre de formations diplômantes (dont 21 %
pour les diplômes d’université) et 30 % dans le cadre des certificats d’université,
séminaires, préparations et formations du personnel.
Le pôle droit/gestion reste le domaine d’activité le plus important de la formation
continue avec 48% des formations.
Indicateur UPF : nombre d'heures effectuées par des enseignants titulaires
2008-2009
2009-2010
2010-2011
2011-2012
Nombre d'heures de
formation dispensées
3 509
4 167
3 193
3 092
Nombre d'heures effectuées
par des enseignants
titulaires de l'UPF
990
507
725
790,5
% de participation des
enseignants titulaires
28%
12%
22%
26%
Page 40
 Réussites aux diplômes et certificats délivrés en formation continue
RESULTATS
INSCRITS PRESENTS
DIPLÔMES de Formation continue
%
/ Inscrits au
diplôme
%
/Présents à
l'examen
AU
DIPLOME
A
L'EXAMEN
ADMIS
52
52
51
98,1
98,1
12
16
24
12
16
24
12
15
24
100,0
93,8
100,0
100,0
93,8
100,0
118
90
41
34,7
45,6
118
90
41
34,7
45,6
57
42
30
52,6
71,4
32
19
6
20
19
3
11
16
3
34,4
84,2
50,0
55,0
84,2
100,0
58
48
36
62,1
75,0
36
22
29
19
17
19
47,2
86,4
58,6
100,0
285
232
158
Diplôme d'Université
D.U. Devenir manager d'une équipe
D.U. SPA Manager
D.U. 1 Médiateur
Diplôme d'Accès aux Etudes Universitaires
D.A.E.U.
Capacité en droit
CAPACITE EN DROIT 1ère année
CAPACITE EN DROIT 2ème année
CAPACITE EN DROIT EPPF 1ère année
Licence + licence professionnelle
Licence d'Administration Pub lique*
Licence professionnelle "Hôtellerie Tourisme"
TOTAL GENERAL
*Diplôme en convention avec l'université de Nantes - Les inscrits ne sont pas inclus dans les données SISE
** E.P.P.F. Etablissement Pénitentiaire de Polynésie Française
En moyenne, 20% des étudiants ne se présentent pas aux examens.
Le taux de réussite moyen est de 68% des présents à l’examen ; ce taux atteint près de
100% pour les DU. Le DAEU connait un taux de réussite de 45%.
Indicateur UPF : taux de réussite en formation continue
2008-2009
2009-2010
2010-2011
2011-2012
Nombre d'inscrits aux
diplômes
351
374
346
285
Nombre de présents aux
examens
264
282
226
232
% d'admis sur inscrits aux
diplômes
55,80%
52,90%
49,70%
55,44%
% d'admis sur présents aux
examens
74,20%
70,20%
76,10%
68,10%
Page 41
 Budget
En dépenses et en recettes, ne figure pas la prise en charge des salaires de deux agents payés sur le
titre II de l’Etat.
o
En recettes
Montant en €
RECETTES FC
Variations
2011/2012
2009
2010
2011
2012
ETAT
22 123
36 872
19 274
10 475
-46%
COLLECTIVITES
81 286
74 582
77 422
83 381
8%
DROITS D'INSCRIPTION
422 298
521 700
386 824
453 704
17%
AUTRES RECETTES
27 116
12 730
11 020
33 761*
197%
Total Recettes
552 822
645 883
494 540
581 318
18%
*le montant de 33 761 € est composé de 11 975 € titrés et de 21 786 € non titrés.
Les recettes du service de la formation continue sont en hausse de 18 % par rapport à
l’exercice précédent (+ 86 778 €), ce qui constitue une performance dans le contexte local de
crise et de forte concurrence pour un privé de chargé de mission (par manque de candidat en
interne).
Le financement de la formation continue provient principalement des droits d’inscription
versés par les étudiants ou les stagiaires avec, pour de nombreuses formations, prise en
charge par leur employeur.
La contribution de la Polynésie française représente 15% de l’ensemble des recettes de la
formation continue (12% en 2010 et 15% en 2009). Il s’agit d’aides financières à certaines
formations répondant aux besoins de la collectivité.
Le service de la formation continue de l’UPF ne reçoit aucun financement du SEFI ou du
Fonds paritaire, ces deux organismes privilégiant depuis deux ans les formations
professionnelles de niveau inférieur au niveau Bac, ce qui ne correspond pas à l’offre et aux
compétences de l’université.
La part de l’Etat correspond aux crédits du contrat quadriennal 2008-2011. Elle passe de
36 872 € en 2010 à 10 475 € en 2012.
Page 42
Origine des financements de la formation continue
AUTRES
RECETTES
2%
ETAT
2%
DROITS
D'INSCRIPTION
81%
COLLECTIVITES
15%
o
En dépenses
En 2012, le volume des dépenses augmente de 16 % (comme en 2011 par rapport à
2010) par rapport à l’exercice précédent, passant de 462 K€ à 538 K€.
Le taux de réalisation est stable par rapport à l’année précédente, même s’il demeure
inférieur à la moyenne affichée par l’université (86,5%).
Montant en €
2008
2009
2010
2011
2012
Budget prévisionnel
939 817
776 928
758 047
635 345
732 458
Dépenses réalisées
726 029
519 394
590 298
462 282
538 379
% de réalisation
77,3%
66,9%
Page 43
77,9%
72,8%
73,5%
Page 44
II. La Recherche
Page 45
Page 46
2.1 Introduction
L’université de la Polynésie française, jeune université, est un pôle important de recherche dans
le Pacifique. Forte de 5 laboratoires et d’intenses coopérations dans toute la zone océanienne,
elle occupe un champ d’action très vaste. Ainsi, la recherche à l’UPF s’étend de l’anthropologie,
l’histoire, le droit, l’économie et la sociologie, à la chimie, la biologie, la physique,
l’océanographie, les mathématiques, l’informatique…. généralement associée à des thèmes
propres à la Polynésie ou à l’environnement océanien.
L’université contribue à la politique de développement scientifique et technologique de la
France en liaison avec les organismes de recherche de l’État et de la Polynésie française. Elle
participe aussi à l’étude et à la mise en valeur des éléments du patrimoine polynésien.
L’année 2012, la première de notre contrat quinquennal, aura vu l’université prendre une série
de mesures visant à mieux structurer la Recherche et à la dynamiser.
UMR EIO
Le laboratoire BIOTEM a disparu au profit de l’Unité Mixte et de Recherche Ecosystèmes
Insulaires Océaniens (UMR EIO) dont la création a été officialisée le 15 juin 2012 à l’occasion de
la signature d’un accord-cadre entre les institutions membres de l’UMR, à savoir l’UPF, l’ILM,
l’IRD et l’IFREMER. Ce laboratoire est composé de près d’une centaine de personnes et devient
donc la plus grosse structure de recherche de l’université.
CVT
La valorisation est une des missions de l’université. Depuis cette année, l’université dispose
d’une structure en mesure de valoriser les résultats de nos chercheurs. Le Consortium de
Valorisation Thématique (CVT) « Valorisation Sud » rassemble l’IRD, le CIRAD, l’Institut Pasteur
et toutes les universités d’outre-mer. Ce consortium bénéficie d’un important financement ANR
qui se monte à 9 M€ sur 10 ans.
Labex CORAIL
Les partenaires du laboratoire d’excellence CORAIL sont l’EPHE, les universités d’outre-mer,
l’IFREMER, l’IRD, le CNRS et l’EHESS. Ce laboratoire organise chaque année un appel à projets en
direction de ses membres. Le premier appel à projets a eu lieu en 2011.
GOPS
Le Grand Observatoire de l’environnement et de la biodiversité marine et terrestre du Pacifique
Sud (GOPS), créé en 2009, rassemble onze universités et organismes de recherche dont l’UPF. Le
GOPS est un observatoire de recherche, « un consortium d'observatoires existants ou en devenir
» qui permet de renforcer la mutualisation des moyens entre ses membres en incluant
l'ensemble des dispositifs existants. Le GOPS organise un appel à projets chaque année depuis
2010.
Page 47
Augmentation du BQR
Le montant du BQR (Bonus Qualité Recherche) de 1 million de XpF en 2011 est passé à 1,7
million de XpF en 2012 et sera de 2,3 MF en 2013. Rappelons que l’objectif du BQR est de
financer des projets de recherche portés par des enseignant-chercheurs de l’UPF. Un appel à
projets a lieu chaque année. La sélection des projets a lieu en Conseil Scientifique Restreint
après audition des porteurs de projets.
Commission des « enseignant-chercheurs produisants »
Chaque année, l’université doit d’informer l’AERES de son nombre de « chercheurs
produisants ». L’université a donc mis en place une commission de recensement des
« enseignant-chercheurs produisants ». Cette structure, composée du Vice-Président du Conseil
Scientifique et des Directeurs de laboratoire, se réunit en début d’année civile pour évaluer le
nombre de chercheurs produisants à l’université selon les critères de l’AERES. Réunie début
2013 pour la première fois, cette commission a évalué à 41 le nombre d’enseignant-chercheurs
produisants au titre de l’année 2012.
Réseau PIURN
Le 7 novembre 2012, les représentants des universités des îles du Pacifique (Polynésie française,
Nouvelle Calédonie, Fidji, Samoa, Papouasie Nouvelle Guinée) ont signé un communiqué dans
lequel ils signifient leur accord pour créer le réseau de recherche Pacific Islands Universities
Research Network (PIURN). La feuille de route de ce réseau sera définie et signée en juilllet
2013. Le réseau PIURN bénéficie du soutien financier du CTA (Technical Centre for Agricultural
and Rural Cooperation), de l’UNESCO et du projet européen PaceNet.
Page 48
2.2 Les structures de recherche
UNITES DE RECHERCHE
Label
Obtenu
Domaine scientifique
principal
Intitulé
Responsable
UMR
5 - Biologie, médecine et santé
Environnement insulaire océanien - EIO
N. MAZOUNI
EA 4238
3 - Sciences de la terre et de
l'univers, espace
Géosciences du Pacifique Sud - GEPASUD
J-P. BARRIOT
EA 3893
1 - Mathématiques et leurs
interactions
Géométrie algébrique et applications à la théorie
de l'information - GAATI
R. OYONO
EA 4240
7 - Sciences de la société
Gouvernance et développement insulaire - GDI
S. ALWARDI
EA 4241
6 - Sciences humaines et
humanités
Sociétés Traditionnelles et Contemporaines en
Océanie - EASTCO
B. SAURA
STRUCTURES FEDERATIVES
6 - Sciences humaines et
humanités
Centre International de Recherche Archéologique
sur la Polynésie - CIRAP
E. CONTE
3 - Sciences de la terre et de
l'univers, espace
Observatoire géodésique de Tahiti - O.G.T.
J.P BARRIOT
Unité Mixte de Recherche en Ecosystèmes Insulaires Océanien (EIO)
Créée depuis le 01.01.2012, l’UMR 241-EIO (Ecosystèmes insulaires Océaniens) réunit 4
partenaires institutionnels : l’Université de Polynésie française (UPF), l’institut Français de
Recherche pour l’Exploitation de la Mer (Ifremer), l’Institut de Recherche pour le
Développement (IRD) et l’institut Louis Malardé (ILM).
Les travaux de recherche de l’UMR sont centrés sur l’analyse des interactions entre l’homme et
son environnement dans les écosystèmes insulaires océaniens.
Les agents sont répartis au sein de 3 équipes : Approche systémique des lagons exploités
(SYREX), Approche pluridisciplinaire des métabolites secondaires (EIMS) et Enjeux sanitaires
dans les écosystèmes insulaires (ESSENTIA). Par ailleurs, un thème transversal, centré sur
l’analyse de la « biodiversité », structure et renforce la complémentarité entre les 3 équipes sur
cette thématique centrale pour les écosystèmes insulaires océaniens. En 2012 l’unité était
composée d’un effectif de 76 personnes dont 17 chercheurs et 12 enseignants-chercheurs
permanents.
Equipe d’Accueil Geopôle du Pacifique Sud (GePaSud)
Le laboratoire Géopôle du Pacifique Sud (GePaSUD) est un laboratoire interne de l’Université de
Polynésie française, auquel est joint l’Observatoire Géodésique de Tahiti (OGT).
Page 49
Il comporte huit enseignants-chercheurs physiciens et informaticiens et plusieurs doctorants
répartis en plusieurs thématiques :
o
o
o
o
Sciences géodésiques et géophysiques ;
Risques naturels ;
Télédétection, traitement d’images et apprentissage machine appliqués au contexte
polynésien ;
Sécurité Informatique appliquée à la protection de l’information géographique.
Equipe d’Accueil Géométrie Algébrique et Applications à la Théorie de l'Information (GAATI)
L'équipe « Géométrie Algébrique et Applications à la Théorie de l'Information » (GAATI, EA 3893)
de l'Université de la Polynésie Française est une équipe d'accueil créée en 2004.
Les thèmes de recherche de l'équipe, qui portent sur les interactions entre la géométrie
algébrique et la théorie de l'information, sont des thèmes émergents dont l'expansion rapide
s'explique par le développement des communications de notre société numérique.
Suite aux départs en retraite de deux de ses membres en septembre 2012, le laboratoire GAATI
est constitué de quatre maîtres de conférences, et recrutera un professeur et un maître de
conférences au courant de l'année 2013.
Equipe d’Accueil Sociétés traditionnelles et contemporaines en Océanie (EASTCO)
L’équipe EA4241 EASTCO (Equipe d’Accueil Sociétés Traditionnelles et Contemporaines en
Océanie) a pour principal champ d’étude les cultures et sociétés polynésiennes.
Elle comprend quatre axes de recherche :
1. Fondements culturels (linguistique, langues polynésiennes, ethnologie).
2. Rencontres (contacts entre Océaniens et Occidentaux, christianisation, colonisation).
3. Écritures (littératures océaniennes et occidentales au sujet de l’Océanie).
4. Transmission (recherches sur les questions d’éducation et culture en contexte océanien).
13 chercheurs titulaires, et 15 chercheurs associés (dont des doctorants).
Equipe d’Accueil Gouvernance et Développement Insulaire (GDI)
L’équipe d’accueil EA 4240 regroupe les chercheurs en sciences de la société (droit, économie,
gestion) autour des notions de "gouvernance" et de "développement insulaire" en Polynésie et
dans le Pacifique.
Elle s’inscrit dans le cadre du projet de l’université de la Polynésie française qui tient à privilégier
les thèmes de recherche concernant directement la région, notamment ceux qui contribuent à
son développement économique, social et culturel. Le laboratoire comprend deux axes : «
Gouvernance, normes et institutions » et « Stratégies de développement des économies
insulaires ».
Le laboratoire comprend 16 membres titulaires en 2012
Page 50
Structure Fédérative Centre International de Recherche en Archéologie Polynésienne (CIRAP)
Créé en janvier 2007, le CIRAP associe quatre institutions partenaires : l’UPF, l’Université Paris I
Panthéon-Sorbonne, l’Université de Californie-Berkeley et l’Australian National University (ANU)
de Canberra.
Ce centre, dont les locaux sont implantés sur le campus de l’UPF, a pour objectif de fédérer les
efforts de plusieurs chercheurs issus de ces institutions, travaillant sur l’archéologie
polynésienne, en particulier la Polynésie française.
Structure Fédérative Observatoire Géodésique de Tahiti (OGT)
Tahiti est devenu en 1997 un site de référence géodésique fondamental pour la poursuite des
satellites d’étude de la Terre à des fins océanographiques, géodynamiques et géophysiques
grâce à l’installation d’une station de poursuite de satellites par laser sur le campus de l’UPF.
Cette station MOBLAS (pour MOBile LASer Ranging System) et les systèmes de radiopositionnement installés à Papeete constituent l’Observatoire Géodésique de Tahiti (OGT), qui
est un partenariat entre le Centre national d’études spatiales (CNES), le laboratoire GEPASUD de
l’UPF et la NASA.
Page 51
2.3 Les enseignants-chercheurs
2.3.1 Nombre d’enseignants-chercheurs par unité de recherche
Ces données correspondent au stock d’emplois au 1/09/09 des enseignants-chercheurs, hors postes
vacants et attachés temporaires d’enseignement et de recherche
Unité de Recherche
BIOTEM - 4239
EASTCO - EA 4241
GAATI - EA 3893
GDI - EA 4240
GEPASUD - EA 4238
EQUIPE EXTERIEURE
SANS EQUIPE
Total
PR
2
3
1
5
3
3
17
CORPS
MCF
8
9
5
9
5
7
3
46
Total
10
12
6
14
8
10
3
63
La mobilisation des enseignants chercheurs dans les unités de recherche de l’UPF est de 80%
2.3.2 Répartition des enseignants-chercheurs par domaine
scientifique
Sont inclus dans ce tableau, les 3 ATER
PR
1
MCF
5
TOTAL
6
%
9%
STIC
1
Physique
1
3
4
6%
1
2
3%
Chimie
Biologie, médecine et santé
1
3
4
6%
1
5
6
9%
Sciences agronomiques et écologiques
0
0
0
0%
Sciences de la Terre et de l'Univers - Espace
1
4
5
8%
30%
29%
100%
Mathématiques et leurs interactions
ATER
Sciences Humaines et Humanités
6
13
1
20
Sciences de la Société (Droit-Eco-Gestion)
TOTAL
5
17
12
46
2
3
19
Page 52
66
2.3.3 Nombre d’enseignants-chercheurs « produisants »
Données retenues par la commission des enseignants-chercheurs produisants sur la base des
publications des quatre dernières années
 Enseignants-chercheurs « produisants »
Nombre
40
EC "produisant" selon l'AERES (1)
EC "produisant" accueillis par l'établissement (2)
EC "produisant" expatriés vers d'autres établissements (3)
Solde migratoire (4=2-3)
4
1
3
EC "produisant" retenus pour l'allocation des moyens (5=1-4)
37
(1) Ce nombre inclut les EC de l’établissement qui effectuent leur activité de recherche dans les
unités de recherche dont l’établissement est partenaire (support ou non).
(2) Il s’agit des EC de l’établissement accueillis dans des unités de recherche dont l’établissement
n’est pas partenaire
 Répartition des EC « produisants » selon les domaines et les cotations des unités
de recherche
DOMAINES
Sciences exactes
Sciences du vivant
Sciences humaines et sociales
TOTAL
A+
A
0
0
1
1
B
0
1
1
C
10
9
9
28
TOTAL
10
9
22
41
0
0
11
11
2.4 Les Doctorants
Au 15/01/2013, date de l’enquête SISE6, 30 doctorants se sont inscrits en 2012-2013 plus 1 HDR,
contre 40 l’année précédente.
2012-2013
Dont 1ères inscriptions
UNITE DE RECHERCHE
Inscriptions totales
HOMME
FEMME
HOMME
FEMME
Environnement insulaire océanien - EIO
3
2
4
8
Géosciences du Pacifique Sud - GEPASUD
1
0
5
1
Géométrie algébrique et applications à la théorie de
l'information - GAATI
1
0
1
0
Gouvernance et développement insulaire - GDI
1
0
6
3
0
0
0
2
6
2
16
Sociétés Traditionnelles et Contemporaines en Océanie EASTCO
TOTAL DES INSCRITS
14
30
6
Système d’Information sur le Suivi des Etudiants
Page 53
2.5 Budget de la recherche
 Dépenses réalisées en 2012 par action LOLF
Montant en €
DEPENSES
2012
ACTION LOLF
106
107
108
110
111
112
115
Recherche universitaire en sciences de la vie, biotechnologies et santé
Recherche universitaire en mathématiques, STIC, micro et nanotechnologies
Recherche universitaire en physique, chimie et sciences pour l'ingénieur
Recherche universitaire sciences de la terre, de l'univers et de l'environnement
Recherche universitaire en sciences de l'homme et de la société
Recherche universitaire interdisciplinaire et transversale
Pilotage de la recherche
Total
Répartition
par action
139 670
16 981
98 859
359 069
139 974
49 892
6 612
17,2%
2,1%
12,2%
44,3%
17,3%
6,2%
0,8%
811 057
100,0%
 Origine de financement des dépenses réalisées ci-dessus
AUTRES
1%
CNES
13%
MESRAUTRES
3%
ENTREPRISES
IFREMER
6%
1% IRD
4% ANR
2%
MESR-DGF : ministère de l’enseignement supérieur
MOM
3%
et de la recherche – dotation de fonctionnement
MESR-autres : ministère de l’enseignement
AFD
13%
supérieur -Crédits spécifiques
MOM : Ministère de l’outre-mer
ANR : agence nationale de recherche
COLLECTIVITE
S LOCALES
4%
MESR-DGF
50%
CNES : centre national d'études spatiales
AFD : Agence française pour le développement
 Evolution des contrats de recherche et de prestations
Nombre de conventions
signées par an
16
Montant global
600 000
546 532
14
466 021
480 130
440 854
419 772
12
400 000
10
8
500 000
257 359
300 000
6
200 000
4
100 000
2
-
2 007
2 008
2 009
2 010
Nombre de CONVENTIONS
Page 54
2 011
Montants
2 012
III. Les activités de soutien
Page 55
Page 56
3.1 La documentation
Le Service Commun de la Documentation a porté, en 2012, un effort particulier sur
l’enrichissement et la valorisation de l’offre documentaire électronique. Le passage en haut
débit de la documentation en ligne, au mois de mai, ainsi que la mise en place, par la DSI, de
l’authentification unique et d’un reverse proxy (EZ proxy, OCLC) le mois suivant, permettent
dorénavant aux usagers d’accéder, dans de bonnes conditions, aux ressources documentaires
électroniques de l’université.
Forte de cette nouvelle architecture technique, la bibliothèque universitaire a tout
d’abord développé les collections numériques. Une convention de partenariat pour l’acquisition
mutualisée de ressources documentaires électroniques a été signée le 18 mai 2012 par les
présidents de l’université de la Polynésie française et de l’université de la Nouvelle-Calédonie.
Les négociations menées conjointement avec les éditeurs et les fournisseurs par les deux
bibliothèques universitaires ont permis, à des tarifs avantageux, d’acquérir :
1) Pour la Recherche :
- le bouquet de revues Springer (1500 titres, en texte intégral, de 1997 au dernier n° paru)
qui complète la collection Springer d’archives et de e-books acquise par licence
nationale en mai 2011 ;
- la base de données de références bibliographiques Web of Science (Thomson) et le
Journal of Citation report ;
2) Pour l’enseignement :
- Le bouquet de livres numériques ENI.
Il s’agit d’une première étape ; en 2013, l’UP accède désormais, grâce à ce partenariat,
aux 36 revues de l’American Chemical Society et aux 12 000 livres numériques Cyberlibris,
comme l’UPF, déjà abonnée par le passé à ces ressources.
L’UPF a également acquis en 2012 trois nouveaux bouquets JStor, proposant ainsi
l’accès aux archives d’environ 300 revues scientifiques de différentes disciplines.
5 tests ont été organisés pour évaluer la pertinence de nouvelles ressources à l’UPF, et,
pour certaines d’entre elles, en liaison étroite avec les enseignants-chercheurs concernés : les
bases de données ABI Inform Global (Proquest) et Business Source Premier (Ebsco) pour la
recherche en économie-gestion ; ebooks Springer en toutes disciplines ; le portail OpenEdition
Freemium en sciences humaines ; ebooks Premium en histoire. ABI a été retenue par les
enseignants-chercheurs en économie-gestion. L’abonnement est supporté financièrement et à
part égale par l’UPF et l’UNC.
Parallèlement à cet enrichissement de l’offre électronique, il a été décidé de supprimer
les doublons imprimé/électronique existants, maintenus volontairement tant que le service en
ligne était de qualité insuffisante. Il a été mis fin aux abonnements de 35 revues imprimées, soit
une économie de près de 6 000 euros. La mutation des supports continuera dans les années à
venir.
Page 57
Pour accompagner l’offre documentaire numérique, et pour la valoriser, la bibliothèque
a mis en place une nouvelle gamme de services, à destination de tous les usagers, étudiants,
doctorants et enseignants-chercheurs :
- Définition d’un nouveau profil de personnel à la BU dédié à l’information, la formation,
l’accompagnement des usagers ;
- Mise en ligne de cours interactifs avec QCM en méthodologie de la recherche
documentaire sur la plateforme de ressources pédagogiques ESPADON ;
- Développement de l’offre de formation en présentiel .
Les collections imprimées, toujours très prisées des usagers, continuent également
d’être enrichies. Les deux bibliothèques de l’université ont acquis, en 2012, plus de 5000
volumes. A souligner, l’obtention d’une subvention du Centre National du Livre(CNL) pour
l’enrichissement du fonds de littérature du Pacifique, de plus de 4050 euros. 398 ouvrages ont
été acquis dans le cadre de ce projet.
Le SCD a poursuivi son engagement dans le dispositif Marianne relatif à la qualité de
l’accueil et des services au public. Des travaux d’embellissement et de signalétique ont été
menés cette année. Une enquête de satisfaction portant sur l’espace, les collections, les services
et le personnel a été lancée en mars, dont les résultats ont d’ores et déjà permis de mieux cibler
les besoins, notamment pour l’extension des horaires d’ouverture de la BU.
Signalons, enfin, qu’une inspection du Service Commun de la Documentation a été
réalisée, à la demande du Président, par l’Inspection Générale des Bibliothèques du 7 au 12 juin
2012. Le rapport définitif a été remis au Président en janvier 2013.
Les indicateurs soulignent une activité toujours soutenue à la bibliothèque universitaire,
un ralentissement étant en revanche observé à la médiathèque de l’IUFM, qui correspond
naturellement aux promotions de taille réduite accueillies à la rentrée 2012.
3.1.1 Activité des bibliothèques
 Activité de service public
Le contrat quinquennal 2012-2016 retient 1 seul indicateur de performance de la
documentation : la variation des horaires d’ouverture du SCD. Si l’année 2012 est stable, par
rapport aux années précédentes, quant à l’ouverture hebdomadaire de la bibliothèque
universitaire, une réflexion a été menée pendant l’année, nourrie par une enquête auprès du
public, pour une extension de l’ouverture, désormais effective, de 60h30 à 65h30. La
bibliothèque universitaire a ainsi, dès janvier 2013, atteint l’objectif ministériel visant à rejoindre
la moyenne d’ouverture des bibliothèques européennes (65 h).
Page 58
Ouverture des B.U.
2008
2009
2010
2011
2012
260
263
263
243*
258
Ouverture hebdomadaire
60h30
60h30
60h30
60h30
60h30
Moyenne nationale
58h00
n.c.
n.c.
n.c.
n.c.
219
244
305
305
305
Nb total de jours d’ouverture
Nb de places assises
* Fermeture 8 semaines (au lieu de 4) pour travaux
** Source : https://www.sup.adc.education.fr/asibu/
PUBLIC INSCRIT A LA B.U.
2008/2009 2009/2010 2009/2010 2010/2011
2011/2012
LICENCE
2 026
2 408
2 408
2 570
2 376
MASTER
65
86
86
237
270
19
2 110
17
2 511
17
2 511
28
2 835
11
2 657
88
107
107
126
126
464
2 662
414
3 032
414
3 032
456
3 417
456
3 239
DOCTORAT
TOTAL LECTEURS ETUDIANTS
Enseignants
Autres lecteurs
TOTAL GENERAL LECTEURS
Activité de prêt :
PRETS
Prêts à domicile
2008
2009
2010
22 398
52 083
51 842
57 033
22 822
30 428
34 010
42 109
44 014
21 655
17 832
14 924
11 808
1 623
512
511
495
764
24 021
52 595
52 353
57 528
56 586
dont BU
dont Médiathèque IUFM
Communications sur place
Nombre prêts + communications
2011
2012
Source : module Administration du SIGB Horizon
Rappelons que l’augmentation des droits de prêt, en juillet 2011, répondait à une demande forte
du public.
On ne peut que se réjouir de l’augmentation du nombre global d’emprunts à la bibliothèque
universitaire, qui permet de supposer une adéquation de l’offre à la demande. Une analyse plus
fine reste toutefois nécessaire, par discipline et par niveau. Cet examen plus approfondi des
documents prêtés est effectué régulièrement dans le cadre de l’évaluation des collections, par
les acquéreurs, afin de corriger, si nécessaire, leur politique d’acquisition.
Emprunts par lecteurs
2008
2009
2010
2011
2012
Nombre d'empurnts par lecteur inscrits
Nombre
d'empurnts
par
lecteur
(moyenne nationale)
9,25
19,75
17,26
19,20
21,00
13,90
n.c.
n.c.
n.c.
n.c.
Source: https://www.sup.adc.education.fr/asibu/
A cette activité de prêt des documents imprimés doit désormais être rajouté l’usage des
documents électroniques. Sont indiquées dans le présent rapport, à titre d’exemples, les
statistiques d’usage d’un panel représentatif de ces ressources.
o
Portails de revues scientifiques :
Page 59
Science direct (2000 revues Elsevier). Nombre d’articles téléchargés :
Année
Janvier
Février
Mars
Avril
Mai
Juin
Juillet
Août
Septembre
Octobre
2010
2011
2012
239
165
102
262
184
240
329
373
162
434
108
272
193
155
76
196
197
51
139
55
20
162
107
15
104
76
56
144
118
75
Novembre Décembre
341
96
103
264
38
53
Total
2807
1 672
1 225
Cairn (350 revues francophones en sciences humaines). Nombre d’articles téléchargés :
Année
Janvier
Février
Mars
Avril
Mai
Juin
Juillet
Août
Septembre
Octobre
2010
2011
2012
38
18
26
28
21
40
35
68
49
25
94
63
13
47
74
6
18
26
0
9
0
10
4
32
35
52
397
52
0
118
o
2011
Janvier
Février
Mars
Avril
Mai
Juin
Juillet
Août
8
2
8
5
409
41
204
21
165
13
25
5
0
0
2
2
2012
Janvier
Février
Mars
Avril
Mai
Juin
Juillet
Août
Recherches
Sessions
113
7
226
36
126
34
203
34
56
12
59
5
0
0
200
45
Année
2011
2012
35
54
139
12
14
23
Total
289
399
987
Une base de données : Francis
Recherches
Sessions
o
Novembre Décembre
Septembre Octobre
35
10
7
4
Septembre Octobre
225
65
114
39
Novembre Décembre
88
16
3
2
Novembre Décembre
151
35
8
2
Une base juridique : Lextenso
Nombre de connexions Durée de connexions
76
215
98h41
267h29
Nombre de recherches Nombre de documents
effectuées
consultés
268
566
300
1095
Même si la plupart de ces données sont encourageantes, l’offre numérique peine encore à
s’imposer dans les usages courants des étudiants et des enseignants-chercheurs.
La formation des usagers à la méthodologie documentaire :
L’offre de formation de la bibliothèque universitaire s’élargit. Le SCD considère comme essentiel
de développer une offre de formation en méthodologie de la recherche documentaire, la
maîtrise de l’information étant reconnue comme jouant un rôle dans la réussite étudiante. Il est
important également d’accompagner les enseignants pour qu’ils connaissent l’offre
électronique.
1) Formations déjà existantes :
- 817 étudiants de L1 ont suivi un TD d’1h30 prévu dans la semaine de pré-rentrée, afin de
faire connaissance avec le lieu et l’offre documentaire. C’est insuffisant et on peut
regretter que la bibliothèque ne soit pas plus présente au sein de l’UE Méthodologie du
travail universitaire (MTU).
- 15 étudiants de Master 1 de LLCR reo mao’hi ont suivi 9h de TD inclus dans leur cursus.
Les bibliothécaires ont été associés à l’évaluation des productions rédigées à l’issue des
formations.
2) Formations nouvelles :
- 2 journées de formation ont été proposées aux doctorants, construites de façon à leur
apporter une culture de l’information scientifique et technique, une connaissance des
ressources disponibles à l’université et ailleurs et une méthodologie de recherche sur les
bases de données et plateformes de ressources disciplinaires. Cette formation a été très
Page 60
Total
954
121
Total
1481
314
-
bien ressentie par les 12 doctorants qui l’ont suivie. On peut juste en regretter le
caractère optionnel.
31 PE2 de l’IUFM et 16 Master 2 ont suivi 2 h de TD du module de recherche
documentaire du C2i2E.
24 étudiants de la licence professionnelle hôtellerie-tourisme ont bénéficié d’une
formation de 2h.
25 élèves de première année de BTS du lycée agricole de Moorea ont bénéficié d’une
formation de 2h30.
Animation et la culture :
Le SCD a participé, en 2012, au Salon du Livre de Tahiti Lire en Polynésie. Comme en
2011, l’objectif visé était de promouvoir la bibliothèque et la lecture auprès d’un public non
universitaire, de le rencontrer et de lui rappeler que la bibliothèque universitaire est ouverte à
tous.
La finalité des expositions et des animations organisées au sein de la bibliothèque relève du
même esprit : amener les étudiants à la bibliothèque, par d’autres biais que celui de l’étude. Un
étudiant qui connaît la bibliothèque, qui a envie d’y venir, est un étudiant qui adoptera plus
facilement le réflexe de s’y rendre dans le cadre de son cursus universitaire.
 Le service interne
Le service interne de documentation intègre les activités de constitution des collections, traitement
documentaire, gestion et conservation des collections.
o
Entrées d’ouvrages
Ouvrages
2008
2009
2010
2011
2012
Nombre de volumes acquis : BU
Nombre de volumes acquis : Médiathèque IUFM
Nombre de dons BU
Nombre de dons Médiathèque IUFM
2 853
3 347
1 836
581
3 816
1587
397
83
4 610
704
209
85
4 833
780
308
71
Total des ouvrages entrés à la B.U.
4 689
3 928
5 883
5 608
5 992
Le ratio « nombre de livres acquis par étudiant » est excellent, comparé à l’objectif national
minimum réclamé par l’ADBU (Association des Directeurs et personnels de direction des
Bibliothèques Universitaires) d’un ouvrage/étudiant/an, en vue de soutenir la réussite étudiante,
particulièrement en licence (Cf. Lettre à la Ministre du 14 février 2013).
Page 61
o
Signalement d’ouvrages
Notices d'exemplaires créées, modifiées, supprimées dans le SUDoc
2008
BU
6667
Médiathèque IUFM
9411*
Source : www.webstats.abes.fr
2009
5149
1697
2010
6081
2954
2011
6410
2657
2012
7803
3187
*Entrée de la médiathèque dans le réseau national, déversement automatique de 6600 notices en mars
2008.
Les chiffres particulièrement élevés de 2012 s’expliquent par l’achèvement du traitement des
ouvrages transférés de la médiathèque de l’IUFM à la bibliothèque universitaire, suite à la
mastérisation de la formation des enseignants. Ce travail a pu être mené grâce au travail d’une
contractuelle recrutée à partir du mois de mars.
o
Sorties des collections (ouvrages obsolètes, abîmés ou devenus inadaptés) :
2011 : 2359
2012 : 3791
Le travail d’évaluation des collections en libre-accès, démarré en 2011, s’est poursuivi en 2012,
entraînant un désherbage massif dans différentes disciplines (Sciences, SVT, Economie-Gestion,
Histoire-Géographie). La relégation en magasin des documents peu ou pas consultés a
entraîné une saturation de cet espace, nécessitant de procéder à l’élimination ou au don de
nombreux documents.
 Les fonctions support
Il s’agit de la valorisation des collections, la conception et l’exploitation des outils de gestion
documentaire informatisée, la direction et l’encadrement de l'unité, l’administration générale, les tâches
d'intérêt collectif.
Ces fonctions sont assurées essentiellement par les personnels d’encadrement et, pour le suivi
du SIGB et du parc informatique (36 postes filaires, 40 portables prêtés à domicile, un automate
de prêt), par un technicien des bibliothèques de la filière ITRF.
Page 62
Répartition du temps de travail par type de fonction :
Catégories d'emplois
Service public
Service interne
fonction support
Directeur SCD
5%
25%
70%
Catégorie A
5%
70%
25%
Catégorie B
10%
70%
20%
Catégorie C
20%
90%
75%
10%
5%
0%
Emplois Etudiants
3.1.2 Les moyens de la documentation
 Les moyens humains
Ressources humaines du Service Commun de la Documentation, à la fin de l’année 2012 :
Emplois affectés à la BU
nombre
Filière
Catégorie
d'emplois
7
BU
A
2
B
1
C
4
Enseignant du secondaire
PRCE
1
1
1
ITRF BAP F
B
1
2
BIATSS
C
Contractuels ressources propres
C
Total
2
2
2
13
A ces effectifs viennent s’ajouter 2 100 heures d’emplois étudiants (1,3 ETP).
Un recrutement local sans concours de magasinier a été organisé par l’université en juin 2012,
permettant le recrutement d’un contractuel du SCD. Afin de renforcer les moyens du SCD dans
le développement de son offre de formation, une contractuelle B a été embauchée à partir du
mois de mars, sur le poste vacant de PRCE.
Le SCD a accueilli deux stagiaires au cours de l’année 2012, une professeur-documentaliste
stagiaire (une semaine) et une étudiante de l’IUT Métiers du Livre de Bordeaux 3 (3 semaines),
ainsi qu’une bibliothécaire de l’Université de la Nouvelle-Calédonie, pour une semaine
d’échanges de bonnes pratiques.
Page 63
 Le budget
Budget du Service Commun de la Documentation (en euros)
Montant en €
2008
2009
2010
2011
2012
Dépenses non documentaires
220 580
197 955
310 722
239 583
313 493*
219 130
291 766
220 552
321 941
80 868
Dépenses réalisées
418 535
550 305
532 623
512 318
402 809
52,7%
56,5%
58,9%
57,0%
79,9%
Dépenses documentaires
% dépenses documentaires
* dont 42 561 euros d'achat exceptionnel de livres anciens. Si on corrige le chiffre en ne tenant pas compte de cet
achat exceptionnel, le % de dépenses documentaires par rapport aux dépenses non documentaires baisse à 50,9 %.
En 2011 il est de 57%
Le budget documentaire a été réalisé à hauteur de 100 % (Cf. rapport de présentation du
compte financier 2012).
3.2 L’orientation et l’insertion professionnelle
3.2.1 Actions d’orientation
 Forum Etudiants-Entreprises
La 6ème édition du forum Etudiants/entreprises constitue une opportunité unique de rencontrer
des professionnels de tous les secteurs d’activités qui informent les étudiants sur leurs métiers
et leurs parcours. Pour préparer en amont cette manifestation, le COSIP aide les étudiants à la
rédaction de leur CV et de leur lettre de motivation. Les étudiants ont reçu des conseils sur les
entretiens d’embauche ainsi qu’une aide personnalisée pour réfléchir à leur orientation et leur
insertion professionnelle. Durant les deux journées du forum, des ateliers thématiques ont eu
lieu et ont permis des échanges directs avec les professionnels. Des séances de simulation
d’entretien d’embauche ont été organisées et ont obtenu un grand succès.
 Journée de l’orientation post-bac
Le Ministère de l’Education, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche de la Polynésie
française et la Direction de l’Enseignement Secondaire organisaient chaque année le Forum de
l’Après-Bac. Cette année, cette manifestation a fusionné avec la journée « portes ouvertes » de
l’université.
Cette journée vise à apporter aux lycéens une information claire et objective sur l’ensemble de
l’offre de formation et des conseils sur les filières qu’ils ont l’intention de choisir.
Les élèves qui souhaitent poursuivre des études dans l’enseignement supérieur doivent s’inscrire
sur le portail national « admission post-bac ».
L’orientation active est un des éléments essentiels du plan « Réussite en licence », dans la
mesure où elle permet aux lycéens d’arrêter leur choix d’études supérieures en parfaite
Page 64
connaissance de cause. L’objectif est de diminuer le taux d’échec important en 1ère année de
licence grâce à une meilleure information.
Les filières présentées par les professeurs dans les amphithéâtres ont permis aux lycéens de
choisir la formation qui les intéresse. Le contact direct avec des enseignants est déterminant
pour mieux connaître les exigences des enseignements et découvrir les débouchés
professionnels. C’est la raison pour laquelle on parle d’orientation active.
L'orientation active est une démarche de conseils et d'accompagnement des futurs étudiants par
les enseignants. C’est aussi, pour le lycéen, anticiper ses choix pour l’avenir de façon plus
progressive. L’orientation active est organisée en quatre grandes étapes : information,
préinscription sur le portail national admission post-bac, conseils et admission. Elle permet aux
lycéens de choisir la filière ou la voie qui correspond le mieux à leurs aptitudes et à leurs goûts.
 Journées d’intégration des primo-entrants
Pour aider les nouveaux étudiants (néo-bacheliers) à s’intégrer et à commencer leurs études
universitaires dans de bonnes conditions, une semaine d’intégration est organisé. Celle-ci
permet de faire prendre conscience aux jeunes des différences qui existent entre le lycée et
l’université, de les motiver en leur faisant comprendre les enjeux de la réussite universitaire.
Des tests d’évaluation et d’orientation sont proposés le premier jour. A l’issue, un groupe d’une
vingtaine d’étudiants a été constitué pour une réorientation vers une formation
professionnalisante du CNAM « assistant administratif ».
D’autres étudiants ont bénéficié d’une séance d’accompagnement psychologique de la part des
dix conseillers d’orientation psychologues (COP).
Le lendemain de la rentrée, le COSIP a organisé 3 séances d’information afin de sensibiliser les
étudiants à leur future orientation et insertion professionnelle et de les motiver pour la réussite
de leurs études.
 Carrefour de l’emploi public :
Le carrefour de l’emploi public a pour objectif d’organiser en un lieu unique une rencontre entre
les étudiants et les représentants des différentes fonctions publiques afin de faire connaître les
perspectives d’emploi et les modes de recrutement des administrations.
Page 65
3.2.2 Actions d’insertion
 Animation d’ateliers
Pour préparer leur rencontre avec les entreprises, dans le cadre du forum Etudiants/Entreprises,
les étudiants ont participé chaque semaine, de septembre à décembre 2012, aux ateliers
suivants : « Repérer et valoriser ses ressources personnelles », « Réaliser son CV », « Rédiger des
lettres de motivation efficaces » et « préparation à l’entretien ».
 Administration du site www.stages-emplois.upf.pf
 Annuaire des diplômés et suivis des diplômés
Cet annuaire est une des sources d’information permettant de connaitre le devenir de nos
étudiants après leur départ de l’université. Il s’agit d’un outil d’aide à la décision dans la
définition d’une carte de formation adaptée au marché de l’emploi. Le COSIP utilise également
ces données pour renseigner les enquêtes ministérielles relatives à la poursuite d’études et à
l’insertion professionnelle des diplômés.
Une des missions du bureau d’aide à l’insertion professionnelle (BAIP) est d’assurer le suivi des
diplômés de l’UPF. Ce dernier conseille les étudiants sur leurs problématiques liées à l’emploi et
à l’insertion professionnelle ; il explique l’importance d’effectuer un stage afin d’acquérir de
l’expérience pour mieux s’insérer dans le monde du travail.
Page 66
3.3 La vie étudiante et les œuvres universitaires
3.3.1 L’aide aux projets et initiatives étudiantes
Cette aide se fait principalement à travers le financement des actions proposées par les
associations étudiantes. Pour ce faire, l’UPF utilise deux sources de financement
principales.
Il s’agit tout d’abord du Fonds de Solidarité et de Développement des Initiatives
Etudiantes (FSDIE). Ce fonds existe dans toutes les universités. Le budget du FSDIE est
constitué par un prélèvement réglementaire effectué sur le montant des droits de
scolarité de chaque étudiant (13 € pour l’année universitaire). Ces crédits servent à
soutenir les projets étudiants dans les domaines culturels, humanitaires ou sportifs.
La deuxième source de financement est constituée par deux subventions du CNOUS
(Initiatives étudiantes et projets culturels) pour un montant total de 6 000 €.
En 2012, un montant de 2 790 553 XPF a été attribué aux associations qui ont sollicité
l’aide de l’UPF pour la réalisation de leurs projets : l’ASSET (journée polynésienne),
l’association GeoHisles (voyage d’études), DocTa (fête de la science et doctoriales), la
Chorale de l’université et l’ASCIP (association sportive).
3.3.2 Les œuvres universitaires
 La cité université propose 72 chambres.
Indicateur UPF : Taux de satisfaction - Demande de logement
2007-2008
Non
boursier
2008 - 2009
2009 - 2010
Non
Non
Boursier
boursier
boursier
Boursier
Nombre de demandes
2010-2011
Non
boursier
Boursier
2011-2012
Boursier
Non boursier
234
168
236
134
304
110
287
118
294
72
-
72
-
71
-
72
-
72
23,4%
0,0%
Nombre de chambres attribuées
Taux de satisfaction
Boursier
30,8%
0,0%
30,5%
17,9%
0,0%
19,5%
17,1%
25,1%
0,0%
93
-
24,5%
17,8%
0,0%
18,6%
 Le restaurant universitaire
Indicateur UPF : Restaurant universitaire - nombre de repas servis aux étudiants
Nombre de jours d'ouverture
Nombre de repas servis
Nombre de repas servis par jour
2007
2008
2009
2010
2011
212
209
183
187
194
2012
182
32 378
33 049
25 849
24 990
21 720
20 957
153
158
141
134
112
115
On peut constater que sur les quatre dernières années, le nombre de repas servis a baissé de plus du
tiers (-34,2% entre 2008 et 2011) alors que le nombre de jours d’ouverture n’a diminué que de 7,1%.
Page 67
3.4 Les relations internationales
3.4.1 Les relations entre l’UPF et l'Université de Hawai'i à Manoa
 Des relations traditionnelles avec un fort potentiel
Liés de longue date par une convention générale (le premier accord remontant à l'époque de
l'Université Française du Pacifique), les deux établissements ont essayé, bon an, mal an, pendant
une longue période, de pérenniser des échanges d'étudiants et d'enseignants.
Pour le premier type d'échanges universitaires, la balance a toujours été largement positive
pour les étudiants polynésiens. Il faut dire aussi que l'Université de Hawai'i, avec l'appui du EastWest Center, a fait bénéficier toute une cohorte d'étudiants de l'UPF de bourses de séjour ou de
conditions d'accueil privilégiées sur le campus de Manoa, notamment pour y suivre des cours
d'été ou effectuer des recherches pour les étudiants parvenus au niveau du second cycle
d'études. Beaucoup d'étudiants anglicistes, inscrits en Maîtrise dans le système existant alors,
ont pu en profiter.
En ce qui concerne les échanges d'enseignants-chercheurs, en revanche, le solde aura plutôt
été en faveur des collègues hawaïens, ce pour deux raisons. D'abord, pour lancer la filière
d'études anglicistes en 1992, il avait été fait appel plusieurs années de suite à des enseignants
missionnaires venant de Honolulu. Ensuite, la filière Langues et Civilisations Régionales a
régulièrement utilisé jusqu'à aujourd'hui les compétences de quelques spécialistes de langue
tahitienne ou hawaïenne, rattachés au Département des langues et littératures de l'IndoPacifique. Mais la mobilité enseignante dans le sens inverse a été plutôt ponctuelle, avec
notamment la filière LCR. La volonté de pérenniser une réciprocité dans de tels échanges, ou de
les étendre éventuellement à d'autres filières d'études, n'a peut-être pas été exprimée
suffisamment. Il est possible également que les responsables de UHM aient compté seulement
sur la disponibilité et la bonne volonté d'une poignée d'enseignants-chercheurs du campus de
Manoa pour entretenir un programme de partenariat.
L'accord-cadre régissant les collaborations entre les deux universités a été néanmoins
renouvelé périodiquement par leurs directions successives comme allant de soit, du fait de leur
proximité géographique et culturelle. Le choix de l'UPF de décerner le deuxième titre de docteur
honoris causa de son histoire au professeur d'anthropologie Ben Finney a institutionnalisé en
quelque sorte ces rapports amicaux traditionnels mais encore virtuels à d'autres égards. Il
manquait en particulier la dimension de la recherche et de l'enseignement intégré et des projets
communs concrets susceptibles de mobiliser les énergies.
C'est en 2010-2011 que sont lancées de part et d'autre les premières initiatives pour tracer de
nouvelles perspectives. En accueillant à Honolulu le chargé de mission des relations
internationales de l'UPF, le professeur Jack Ward et ses collègues Puakea Nogelmaier, John
Meyer, Kathryn Hoffmann et Terence Wesley-Smith l'informent d'une initiative pluridisciplinaire
(French-speaking Oceania and Asia) rassemblant le Département Indo-Pacifique, la Division de
Page 68
français et d'italien, le Centre d'études du Pacifique insulaire, et le Centre d'études du Sud-Est
asiatique. Entre autres, il est proposé de créer deux postes budgétaires pour assurer des
enseignements de français et de langue tahitienne. Mais il revenait à l'UPF de susciter des
candidatures locales valables venant en compétition avec des candidatures d'autres pays et de
Hawai'i même. A la suite d'une procédure rigoureuse de sélection, les deux postes ont bien été
pourvus par deux Polynésiens formés à l'UPF, dont l'une des missions explicites était de
contribuer par leurs enseignements et leurs travaux scientifiques à étoffer les liens unissant les
deux universités.
 Une stratégie commune pour passer du virtuel au concret
La sollicitation de candidatures polynésiennes, suivie en juin 2011 par l'offre de l'East-West
Center de deux bourses de séjour d'étude à Manoa durant l'été, était en fait le premier signe
fort d'un désir de renouer avec la dynamique des toutes premières collaborations. La direction
de l'UPF a été d'ailleurs réactive en invitant le professeur Terence Wesley-Smith et le Dr. Jerry
Finin, directeur de programme à EWC, à séjourner à Tahiti pour y rencontrer leurs collègues des
trois départements de l'UPF.
Les réunions approfondies ont porté leurs fruits. Aujourd'hui, des membres de l'équipe de
recherche EASTCO, avec quelques contributeurs extérieurs, sont engagés dans la préparation
d'un numéro spécial de la revue-phare de UHM Contemporary Pacific consacré à la Polynésie
Française, sous la direction du professeur Bruno Saura. Ce dernier a pu entamer des recherches
et animer des séminaires à Manoa en 2102 dans le cadre d'une mission des Relations
Internationales et sera amené à y effectuer, en septembre 2013, un plus long séjour financé sur
des crédits de recherche. Il bénéficiera d'un statut de chercheur en résidence à l'East-West
Center. La visite à Honolulu d'un deuxième enseignant-chercheur, Taivini Teai, est prévue pour
mai 2013, financée sur le budget des R.I. Le Dr. Teai, avec le soutien de la directrice de l'UMR
Environnements Insulaires Océaniens, compte bien pouvoir initier un projet scientifique avec un
des départements de sciences de l’UHM. Le Dr. Jerry Finin lui a déjà donné des contacts, bien
qu'il se reposera aussi sur l'appui d'un collègue biologiste de Brigham Young University à Laie (la
deuxième université hawaïenne partenaire de l'UPF) - David Bybee - qui collabore activement
depuis longtemps avec des scientifiques de Manoa.
Mais l'UPF n'a pas été en reste pour l'accueil de collègues hawaïens. Ainsi, depuis un an, la
doctorante en linguistique Mary Walworth, précédemment monitrice de langues à UHM, mène
ses recherches dans les locaux du Centre International de Recherche Archéologique sur la
Polynésie, quand elle ne travaille pas sur le terrain sur l'île de Rapa. Elle a pu d'ailleurs obtenir la
prestigieuse bourse Chateaubriand grâce à la recommandation du président Eric Conte. Pour
accueillir des enseignants-chercheurs de l’UHM et de l'UPF sur une plus longue période, diverses
pistes sont en cours d'exploration, avec le souci toutefois de se conformer aux règles
administratives des deux établissements.
Un autre type de collaboration, sur le plan de la formation universitaire, a vu le jour. Les
séminaires de recherche entre enseignants et les échanges culturels entre étudiants en visioconférence ont pu être menés à bien durant l'année 2012-2013, avec un total de sept séances (y
Page 69
compris un séminaire sur le thème des changements climatiques en février 2013, animé entre
autres par le Dr. Keitapu Maamaatuiahutapu). C'était une autre des priorités fixées durant la
visite de Jerry Finin et Terence Wesley-Smith en novembre 2011. L'une des questions posées
était de savoir si l'UPF irait aussi loin que l'université partenaire pour faire valider sous une
forme ou sous une autre la participation des étudiants aux différentes sessions. Ce serait une
façon de les motiver davantage et d'arriver peu à peu à la conception d'enseignements intégrés.
Les réflexions à ce sujet se poursuivent. En tout cas, certains des intervenants de ces séminaires
en visio-conférence ont pu prolonger leurs échanges dans leur domaine de spécialité et même
esquisser des thèmes de recherche en commun. Ici encore, il faudra savoir convertir le virtuel en
réalité concrète.
Cette démarche a été prise en compte par les responsables des bibliothèques universitaires
de l'UPF et de l’UHM. Jerry Finin et Terence Wesle-Smith avaient eu l'occasion de rencontrer la
directrice de la B.U., Isabelle Heutte, et son adjointe, Danielle Niquet. Et tous les quatre avaient
convenu alors d'engager des relations suivies avec le personnel de la Bibliothèque Hamilton, et
deux de ses animateurs notamment : Eleanor Kleiber et Stuart Dawrs. Aujourd'hui, des liens
solides sont établis entre les deux entités. Danielle Niquet en particulier a pu voir sur place le
fonctionnement de la grande référence documentaire du Pacifique et tracer les contours d'une
collaboration directe et permanente en termes d'accès aux informations ou de catalogage
d'ouvrages en langues polynésiennes. Un de ses collègues hawaïens a prévu d'ores et déjà de se
déplacer en Polynésie française à la fin de l'année 2013 pour continuer ce dialogue fructueux.
Au vu de tous ces éléments, il serait souhaitable de soutenir et de prolonger toutes les actions
mettant en oeuvre le partenariat privilégié entre l'UPF et UHM ou du moins certaines des
composantes de cet établissement. La cohérence de cet axe de collaboration apparaît à
plusieurs niveaux : pédagogique, scientifique, administratif. De façon plus informelle enfin, les
liens créés entre enseignants-chercheurs ont permis d'ores et déjà de s'ouvrir à d'autres
partenariats internationaux. En juin 2014, se tiendra à l'UPF un colloque sur la gouvernance
politique, juridique et économique dans les îles du Pacifique, avec en parallèle la conférence biannuelle du PIPSA (Pacific Islands Political Association). Le projet est déjà lancé au niveau de
cette association de politistes bien en vue, dirigée actuellement par Steven Ratuva, professeur à
l'Université d'Auckland. Mais il n'a pu être monté qu'avec l'active collaboration du professeur de
l’UHM Wesley-Smith et de Jerry Finin au nom de l'East-West Center.
Page 70
3.4.2 La mobilité internationale
 La mobilité entrante
Pays/université d’origine
CHINE
China Foreign Affairs University
ETATS-UNIS
Simpson College
HAWAII
University of Hawai’i at Manoa
SAMOA
The National University of Samoa
Mobilité étudiante
Mobilité enseignante
1 (janvier - mai 2012)
/
9 (janvier - avril 2012)
1 (septembre - décembre 2012)
1 (janvier - avril 2012)
Pr Ron WARNET,
enseignant de Biologie
/
2 (14 janvier -11 février 2012)
/
Mobilité étudiante
Niveau d’études
 La mobilité sortante
Pays/université d’accueil
CANADA
Université de Montréal
Université Laval
CHINE
China Foreign Affairs University
ETATS-UNIS
Simpson College
2
2
3
HAWAII
Brigham Young University
4
University of Hawai’i at Manoa
L2 Eco-Gestion
L3 Hist.-Géo
M1 Droit
M2 Droit
L3 LEA
L3 Eco-Gestion
L3 Eco-Gestion
L2 SVT
L3 Eco-Gestion
L3 Eco-Gestion
L3 Anglais
 La mobilité Erasmus
Pays/université d’accueil
ESPAGNE
Mobilité sortante
IRLANDE
ROYAUME-UNI
Pays/université d’origine
ESPAGNE
Mobilité entrante
IRLANDE
ROYAUME-UNI
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Mobilité étudiante Mobilité enseignante
6
1
1
6
Mobilité étudiante Mobilité enseignante
1
1
2
2
4
1
 La mobilité dans le cadre du programme d’assistants de langue à l’étranger
En 2012, un étudiant de LEA est parti 4 mois en Espagne et cinq sont partis au Royaume Unis (3
en licence d’anglais et 2 en M2 Société traditionnelle du Pacifique).
3.4.3 Les rencontres internationales
 Offres de séjour à l’UPF pour une collaboration scientifique
Pour l’année 2012, deux bourses étaient proposées par l’UPF pour accueillir des enseignantschercheurs d’universités étrangères désireux d’initier ou de renforcer une collaboration étroite
avec l’un ou l’autre de nos cinq laboratoires. Le Conseil scientifique de février 2012 a retenu
deux dossiers :
o Le mathématicien de renom Florian LUCA a pu passer de longues journées de travail
avec les membres du laboratoire GAATI, avec pour point d’orgue un exposé sur les
nombres elliptiques de Carmichael. Les contours d’un axe de recherche sur la théorie
des nombres sont désormais bien fixés.
o
Natacha GAGNE souhaite poursuivre une collaboration scientifique avec plusieurs
enseignants-chercheurs de l’UPF, en particulier ceux de l’équipe de recherche EASTCO
(Équipe d’Accueil Sociétés traditionnelles et contemporaines en Océanie).Elle a pu
échanger sur ses recherches en cours : « Comment les Tahitiens de Polynésie française
et les Māori de Nouvelle-Zélande s’instituent-ils comme sujets politiques et quelles
formes prennent l’action et la parole citoyennes ? »
 Rencontres internationales
o Dr Yves-Louis SAGE à l’Université de Hawai’i à Manoa. Echanges approfondis notamment
avec les doyens de la Faculté de droit et des études Asie-Pacifique et avec le directeur de
la bibliothèque Hamilton. Animation d’un séminaire, projet ITLCPS (Institute of
Transnational Legal Culture and Pacific Studies).
o Pr Christian JOST à l’Université Laval au Canada. Sa mission était de réactiver l’accordcadre liant l’UPF à l’Université Laval : il a été convenu que la convention générale soit
renouvelée en 2013 et qu’un accord spécifique impliquant les géographes des deux
établissements soit mis en œuvre dès la rentrée 2012, avec la mise en place de cours par
visio-conférence au niveau du Master 2 sur le thème Environnement, Risques et
Migrations. Outre l’accès gratuit à certains cours en ligne, ils ont évoqué la faisabilité de
voyages d’étudiants de niveau L3, incluant des stages de terrain. Entretien avec les
responsables des relations internationales.
o Pr Bruno SAURA à l’Université de Hawai’i à Manoa et à l’Université de Brigham Young.
Rencontres avec M. Darrell KICKER et M. Arapata MEHA, respectivement Coordinateur
Page 72
des échanges d’étudiants à UHM et Responsable des admissions à BYUH.L’un des
objectifs de sa mission était de relancer les séminaires par visio-conférence initiés au
premier semestre 2012. Animation également d’un cours de Tahitien et d’un cours de la
filière French Studies : « Invitation aux voyages » à l’UHM. Deux conférences publiques
ont été données à l’UHM et à BYUH. Un autre objectif important était la mise en place
du numéro spécial de revue-phare de UHM,the Contemporary Pacific consacré au
Pacifique francophone.
Invités
Objet de la visite
Thématique
. Pr Eugène NALIVAIKO, du laboratoire de
neurocardiologie de l’université australienne
de Newcastle
Prise de contact
sciences biomédicales.
. Pr Léo DAMROSCH,Directeur de recherche à
l’Université de Harvard
Invitation à l’UPF dans le cadre de la
francophonie.
. M. Paolo OREFICE, Titulaire d’une chaire
UNESCO à l’Université de Florence
Echanges avec le Pr Bruno SAURA
La protection des patrimoines
immatériels et la conservation
des savoirs traditionnels
. Mme Rachel DUIGOUet M. Adrien LE LEON,de
l’Agence Europe-Education-Formation France
Rencontre avec la Directrice de la
Formation Continue et du Chargé de
Mission aux R.I.
Programmes européens
Comeniuset Léonard de Vinci.
Cours dispensés dans la filièreReo
Ma’ohi
Dialectologie
Prise de contact
Le secteur des énergies
renouvelables.
Rencontre avec Dr Lydie SICHOIX et le
Pr Pascal ORTEGA.
Le secteur des énergies
renouvelables.
Rencontre avec le Pr Phila
RAHARIVELOMANANA.
Mieux connaître l’UPF,
établissement partenaire
depuispeu pour les échanges
Echanges avec le Pr Bruno SAURA
Les enjeux de l’enseignement
supérieur en Océanie.
Rencontre avec Dr Yann RIVAL et Dr
Vincent DROPSY.
Perspectives de
développement économique
et social et d'intégration
. Pr Poia REWI, enseignant de langue Maorià
l’Université d’Otago(Dunedin, NouvelleZélande)
. M. Denis DECRAENE, Conseillerpour la
coopération et l’action culturelle à
l’Ambassade de France à Suva
. MM. Frantz SINAMA,Eric MONCEYRON et
Franck LUCASenseignants-chercheurs à
l’Université de la Réunion
. Pr Louis DUMONT,Enseignant en
pharmacologieà l’Université de Montréal
. Dr Nicolas GARNIER,Directeur du Centre
d’études mélanésiennes à l’Université de
Papouasie-Nouvelle Guinée
. Pr Terence WESLEY-SMITH (UHM), Pr Alfred
OEHLERS (Asia Pacific Center for Defence
Studies) et Pr Cary WASDEN (BYUH)
. Pr Tarcisius KABUTAULAKA, Pr Terence
WESLEY-SMITH (UHM) et M. John Kalani
ENGLISH, Sénateur de l’Etat de Hawaii
. M. Arapata MEHA, Responsable des
admissions à l’Université Brigham Young de
Laie
. Pr Liangwen KUO et Pr Wei-An CHANG,
Doyen de la faculté des études hakka,de
l’Université Nationale de Chiao Tung à Taïwan
Echanges avec le Pr Bruno SAURA
Prendre connaissance des nouvelles
candidatures à la mobilité étudiante
Mobilité étudiante
Recherche d’un partenariat éventuel
La langue et de la culture
hakka.a.
. Pr Michael TARRANTde la Warnell
SchoolUniversité de Géorgie
Mise en place d’une journée d’études
et de rencontres avec des étudiants
anglicistes
. Pr Mohammed CHAREFUniversité Ibnou Zohr
Mission d'enseignement
Page 73
Géographie
Page 74
IV. Les activités support
Page 75
Page 76
4.1 La communication
4.1.1 Des supports de communication multiples
Pour mener efficacement la politique de valorisation de son image, l’université dispose
d’outils de communication qui, du point de vue de la cible, du contenu et de la méthode,
remplissent leur rôle de vecteurs d’identité.
Créé en 2001, le site institutionnel de l’université (www.upf.pf) a été complètement refondu en
mars 2008 dans un souci de cohérence éditoriale et visuelle avec les autres supports de
communication de l’établissement. Son architecture offre une meilleure navigation intuitive,
notamment grâce à une double entrée pour les usagers, par thématique et par profil. Véritable
vitrine institutionnelle de l’université, ce site contient l’ensemble des informations utiles pour
une bonne connaissance de l’établissement, sa carte de formations, les programmes de
recherche, les événements scientifiques, culturels et associatifs organisés sur le campus… Une
actualisation permanente est opérée par le service de la communication pour apporter des
informations renouvelées.
Ce site a obtenu le 5e prix du meilleur site internet des organismes nationaux, décerné en
novembre 2010 lors de la 9e édition des Trophées de la communication ; il est consulté
quotidiennement par plus de 1500 internautes, en progression de 40% sur la période 20112013.
Face à l’engouement des étudiants pour le web 2.0 et en particulier les réseaux sociaux,
l’université
a
décidé,
en
janvier
2010,
d’ouvrir
une
page
Facebook
(http://www.facebook.com/univpf). En 2013, l’UPF compte plus de 3400 « fans » sur sa page
institutionnelle, soit une progression de plus de 80% sur deux ans, abonnés qui suivent
l’actualité de l’université et la « share » vers leurs autres contacts, contribuant à la
communication virale propre aux réseaux sociaux.
En termes de supports éditoriaux, l’université offre également chaque année un Guide de
l’étudiant à chacun des inscrits. Ce guide, édité à 4 000 exemplaires, permet aux étudiants de
connaître leur université et les règles de vie sur le campus.
L’université propose aussi de nombreuses brochures et dépliants mettant en avant l’expertise de
ses services : dépliants sur la bibliothèque universitaire, sur l’offre de la formation continue, le
Guide de recherche de stage et d’emploi, Les cinq bonne raisons de choisir l’UPF, Come and study
at the UPF, La restauration sur le campus, Guide de la location des espaces de l’UPF, la Recherche
à l’UPF,ect.
Pour pouvoir communiquer encore plus directement avec les étudiants, l’UPF a déployé, depuis
la rentrée 2010, sept écrans plats à des endroits stratégiques sur le campus afin d’apporter des
informations aux étudiants en temps réel, sur leur lieu de travail. Mis en place avec l’appui de la
cellule des ressources informatiques, cet outil est alimenté par le service de la communication.
Page 77
4.1.2
Des actions de communications reconnues pour leur efficacité et bien implantées
dans le paysage médiatique polynésien
 L’UPF organise des évènements mensuels, destinés aux étudiants et au grand public
Des matinées « Santé et prévention » sont organisées chaque mois sur le campus à destination
des étudiants, en collaboration des associations et des organismes œuvrant dans le domaine de
la prévention. Les thèmes abordés sont le dépistage du diabète, la sécurité routière, la
prévention du suicide, les addictions, la prévention de la filariose, le VIH et les MST.
Un cycle de conférences intitulé « Savoirs pour Tous » a lieu sur le campus deux fois par mois.
Destiné à offrir à un large public un accès aisé à des débats portant sur tous les domaines de la
connaissance, ces évènements participent à la diffusion de la culture et de l’information
scientifique. Près de 500 personnes sont « abonnées » à la liste de diffusion pour ces
conférences, qui trouvent un écho important dans la presse locale, grâce au service de la
communication.
Enfin, la bibliothèque universitaire accueille régulièrement des expositions et des évènements,
qui permettent à la fois de mettre en avant un thème spécifique mais aussi de rappeler que la
BU est la plus importante bibliothèque de Polynésie française et qu’elle est ouverte à tous. En
2012-2013 par exemple, des expositions de plusieurs artistes se sont tenues sur le campus, une
sur la culture polynésienne (organisée par la filière de reo ma’ohi de l’université), une sur les
doctorants de l’UPF, une présentées par les personnels-artistes de l’UPF…
 L’université organise des évènements annuels, qui constituent des repères importants
dans le calendrier polynésien
Septembre : Rentrée Solennelle et Parrainage des majors de promotion
Grand moment de rappel de l’importance fondamentale de l’enseignement supérieur dans le
paysage polynésien, la Rentrée Solennelle de l’UPF est aussi le temps de la cérémonie du
parrainage des majors de promotion, évènement unique dans les universités françaises, qui voit
les étudiants majors de licence se faire parrainer par une entreprise, qui pourra, en plus d’une
aide financière, les suivre dans leur insertion professionnelle.
Octobre : Salon du livre
Pour la 12ème année consécutive, l’université et ses étudiants ont participé au salon Lire en
Polynésie qui se déroule annuellement à la Maison de la Culture. L’université avait donc un stand
sur le salon, mettant en avant la bibliothèque universitaire, les publications des enseignants de
l’UPF, mais aussi les étudiants, qui participent chaque année au concours de nouvelles en
français et en reo ma’ohi.
Novembre : Carrefour de l’Emploi Public
Pour sa deuxième édition, le Carrefour de l’emploi public a confirmé son succès et rassemblé
plus d’un millier de personne. Sous forme de stands et « d’ateliers métiers », les étudiants ont
pu entrer en contact avec les principaux acteurs de la fonction publique en Polynésie française :
le Haut-commissariat et tous les services de l’Etat présents sur le territoire, les services
administratifs des communes, du Pays et de l’Assemblée de la Polynésie française.
Page 78
Novembre : Journée des langues et cultures polynésiennes
Pour la 5e année consécutive, l’évènement a été organisé par les étudiants de la filière de reo
ma’ohi. Cette journée constitue une occasion privilégiée pour promouvoir et partager le
patrimoine culturel et linguistique polynésien sur le campus. Danses, chants, discours
traditionnels et autres activités culturelles sont ainsi proposés toute la journée.
Décembre : les Journée d’Orientations Post-Bac
Enorme évènement de la vie polynésienne, les Journées d’Orientation Post-Bac réunissent sur le
campus sur deux jours tous les lycéens de Terminale et Première, soit près de 4000 élèves. En
présence de tous les organismes de formation post-bac du territoire ou de l’étranger, ils peuvent
choisir de la façon la plus rationnelle possible leur orientation, celle-ci étant déterminante dans
la réussite de leurs études et de leur future insertion professionnelle.
Janvier : FIFO sur le campus
Le Festival international du film océanien (FIFO) est un évènement culturel fondamental en
Polynésie ; l’UPF y participe par des projections et des débats sur le campus.
Février : Forum Etudiants/Entreprises
L’université accueille en février de très nombreuses entreprises, permettant un échange direct
avec les étudiants. Ceux-ci se familiarisent ainsi avec le monde de la vie active de manière
concrète et sont ainsi amenés à réfléchir à leur future insertion au regard de la réalité du marché
du travail local. Organisé conjointement avec le Medef Polynésie et la ville de Papeete,
l’évènement a rassemblé en 2013 plus de 50 entreprises implantées localement et a accueilli
près de 2000 visiteurs. Organisé sous forme de stands d’entreprises, « d’ateliers métiers » pour
décrire les différentes branches d’activité et de simulations d’entretiens d’embauche (cette
année filmés), le Forum Etudiants/Entreprises est chaque année un évènement d’insertion
incontournable en Polynésie.
Mars : Tota Tour
L’université organise tous les ans lors de la journée mondiale de la trisomie 21 une action
caritative et citoyenne, avec l’association Fare Heimanava.
Avril : Doctoriales
Les Doctoriales ont pour objectif de valoriser auprès du grand public la qualité et le dynamisme
de la recherche menée à l’université, mais aussi de mettre en contact les jeunes chercheurs avec
le monde de l’entreprise, employeurs potentiels des futurs docteurs. La valorisation de leurs
travaux se manifeste de deux manières : une présentation à partir de posters et des
communications orales ouvertes à tout public. Un jury remet en fin de doctoriales des prix,
offert par les entreprises partenaires de l’évènement.
Page 79
4.1.3
Une politique de communication en cohérence avec le projet d’établissement
 Une communication au service de l’insertion
Depuis 2005, l’UPF a fait de l’insertion professionnelle un de ses axes stratégiques. Pour
atteindre cet objectif, des manifestations nombreuses et complémentaires, en collaboration
avec de multiples partenaires publics comme privés ont été mises en place ; le service de la
communication y joue un rôle majeur :
- Le Forum Etudiants/Entreprises (depuis 2007)
- Le parrainage des majors de promotion (2007)
- L’annuaire des diplômés (2007)
- La création d’un bureau de l’insertion (2008)
- Les Doctoriales de l’université (2009)
- La création du site www.stages-emplois.upf.pf (2010)
- La réalisation d’une brochure de recherche de stage et d’emploi (2010)
- Des entretiens d’embauche avec des professionnels du recrutement (2011)
- Un partenariat avec les communes des Iles de la Société pour l’accueil de stagiaires
(2011)
- Le Carrefour de l’emploi public (première édition le 23 novembre 2011)
- La Journée d’Orientation Post-Bac (première édition le 2 février 2012)
 Une communication au service du pilotage et de la gouvernance
Depuis septembre 2011, le service de la communication propose une newsletter interne,
intitulée Parau ’Api (« les nouvelles », en tahitien), envoyée par voie dématérialisée à tous les
personnels, sur un rythme hebdomadaire. Cette lettre interne contient des informations
regroupées par grandes thématiques : informations générales (pour relayer les informations de
nature administrative et sur la vie institutionnelle de l’établissement notamment), formations,
recherche, vie étudiante... Ainsi, l’ensemble de la communauté universitaire est associée à
toutes les actions et réflexions menées par les instances de l’université, qui participent
activement à l’élaboration du projet d’établissement
Preuve que la communication est jugée stratégique, le chargé de communication est désormais
directement rattaché au président. L’université entend ainsi poursuivre une politique de
communication structurée, qui conforte une image positive auprès de la population mais aussi
auprès des autorités du Pays comme de l’Etat.
Page 80
4.2 Les ressources informatiques
En 2012 : nouveau nom et nouvelle organisation
La Cellule des Ressources Informatiques (CRI) n'est plus. La Direction des Systèmes d'Information
(DSI) est née. Au delà d'un simple changement de nom, c'est aussi une nouvelle organisation qui
s'est mise en place avec la création d'un COPIL SI-TICE et la nomination de plusieurs chargés de
missions : TICE, C2I et maison des langues et des cultures.
Le COPIL-SI-TICE a pour objectif d’être :
une instance de concertation et de définition des orientations pour la modernisation de
l’établissement ;
une instance d’analyse, de structuration et d’urbanisation du système d’information ;
une instance de définition et de validation des priorités en matière de modernisation du
S.I. ;
un organe de concertation et d’organisation des travaux ;
une instance de conseil et d’arbitrage en matière d’acquisition et d’utilisation de
logiciels.
Il est constitué du président, VP-CA, VP-CS, VP-CEVE, DGS, directeur des SI, chargé de mission
TICE, chargé de mission C2I, directeur du SCD.
Il se réunit au minimum quatre fois par an (en début et fin de semestre universitaire).
Un site web a été créé : http://dsi.upf.pf
Connexions internet
Fin 2011, des contacts avaient été pris avec RENATER concernant les problèmes de liaisons
internet. Cela s'est traduit par la mise en place en fin de premier semestre 2012 d'un appel
d'offres pour une nouvelle connexion à Internet. En décembre 2012, l'université a pu être
raccordée à RENATER par une liaison 10 Mb/s au lieu des 128kb/s précédent.
Parallèlement, les accès ADSL ont été modifiés afin d'augmenter le débit de certaines liaisons (de
2 à 8 Mb/s) et de réduire le nombre de lignes (de 5 à 4) pour un coût constant.
Infrastructure système, réseau et stockage
Le projet du contrat quinquennal de création d'une nouvelle infrastructure informatique s'est
poursuivi en 2012. Les contacts pris avec DELL en fin 2011 se sont traduits par l'achat de
nouveaux matériels en fin d'année 2012 : baies de stockage, matériels réseaux, nouveaux
serveurs (environ 11 MFCP au total).
Du point de vue logiciel, la DSI a déployé en 2012 l'authentification unique pour l'ensemble des
services en place
Virtualisation des serveurs et du poste de travail
Près de 120 clients légers ont été déployés en 2012 dans les salles de TP informatique. Cela
apporte économies d'énergie (consommation du poste divisée par 10), simplification de
l'administration des machines et souplesse dans leur utilisation. Les étudiants sont les premiers
à bénéficier de cette technologie. Selon leur formation, il dispositif d'une ou plusieurs machines
virtuelles avec différentes caractéristiques : machine bureautique, machine orientée
développement, etc.
Page 81
Les postes classiques récupérés ont permis de doubler le nombre de postes dans une salle de TP
(passage de 20 à 40 postes). Certains postes récents ont été redistribués vers les personnels
pour remplacer d'anciens matériels ou répondre à des nouveaux besoins.
La chaîne d'inscription a également bénéficié de l'infrastructure virtuelle, permettant ainsi de
déployer très rapidement une dizaine de clients légers
Le coût pour l'année 2012 du matériel et des licences est d'environ 6 MFCP.
Maison des langues et des cultures
Parmi les projets du contrat quinquennal, « la maison des langues et des cultures » tient une
place importante. Il s'agit de développer à l'UPF l'apprentissage des langues et devenir pour cela
le centre de référence en Polynésie. Cela s'accompagne par l'équipement d'un bâtiment dédié à
ce projet. C'est naturellement le bâtiment E qui a été choisi (préexistence d'un laboratoire de
langues dans celui-ci). En 2012, quatre salles ont été équipées en audio-vidéo pour la projection.
Le laboratoire de langues a été complètement rénové en laboratoire numérique de 29 postes
étudiants. Le coût total des investissements en de 10 MFCP.
Outils et applicatifs déployés
La mise en place de l'authentification unique et la disponibilité de liens permanents à internet à
un débit conséquent a permis d'ouvrir à l'extérieur et de déployer plus facilement des services :
Le premier d'entre eux a été l'accès à la documentation électronique depuis l'extérieur
de l'établissement;
la plate-forme de certification du C2i niveau 2 : EMAEVAL(https://emaeval.upf.pf) ;
l'accès aux demandes de travaux et aux planning personnels ;
un nouveau webmail moderne pour les étudiants (Zimbra)(https://webmail-etu.upf.pf) ;
un outil de prise de rendez-vous (une sorte de Doodle like) (http://rendezvous.upf.pf) ;
un outil de partage de fichiers(http://partage.upf.pf) ;
un campus numérique rénové avec la création automatique des maquettes
d'enseignement (mais par leur contenu ;-) (http://www.espadon.pf)
Une application de rendez-vous pour les inscriptions administratives a été créée afin de fluidifier
la chaîne d'inscription. Le résultat a été très positif.
Un lecteur optique et un logiciel d'analyse de QCM a été acquis afin d'évaluer le niveau des
étudiants primo-entrants et de proposer des réorientations pour les plus en difficultés. L'idée est
également de généraliser cette méthode d'évaluation dans le contrôle continu intégral et de
disposer d'un outil simple pour l'évaluation des enseignements (~ 250 000 CFP).
En fin d'année, des nouveaux logiciels ont été acquis pour les étudiants : SPSS pour
l'économie/gestion et ArcGis pour la géographie (~2,1 MCFP).
Passage aux RCE : logiciel de paye
Le choix a été fait d'utiliser une version adaptée du logiciel de paye du Haut-Commissariat :
FENUA. Il a été nécessaire d'acquérir des licences de développement et d'utilisation du logiciel
PROGRESS (850 000 FCP). Des développements ont été faits par la DSI pour réintégrer les
informations de paye dans la comptabilité de l'établissement.
Virtualisation du serveur de téléphonie
Le serveur de téléphonie a été virtualisé et mis à jour. Un second serveur minimum qui gère
uniquement l'interconnexion avec l'OPT a été installé. Cela permettra des évolutions plus
Page 82
simples du serveur. Une nouvelle interface web a été développée. Celle-ci s'intégrera à terme à
l'ENT, et permettra à chacun de gérer son poste téléphonique depuis le web (1,5 MCFP).
Relations extérieures
La DSI a organisé en 2012 la venue d'un formateur de métropole pour un stage sur Windows
2008 Serveur. Le séjour a été pris en charge par la Cellule Nationale Logicielle (CNL), seule la
formation (formation CUME) a été à la charge de l'établissement. Cette formation, destinée
avant tout aux techniciens de la DSI a été ouverte aux autres organismes de l'Etat : le Hautcommissariat et l'aviation civile ont répondu positivement et ont donc formé leurs personnels
pour un coût très réduit.
La DSI a participé au groupe de travail organisé par le Haut-commissariat sur le marché
mutualisé pour l'achat de consommables et matériel/équipement informatiques.
Page 83
4.3 Le Patrimoine
Le service de la logistique et du patrimoine a amorcé en 2012 une évolution qui devrait lui
permettre à l’horizon 2016 d’être un partenaire efficace pour la présidence de l’Université de la
Polynésie Française dans sa politique d’amélioration du taux de réussite des étudiants, de
développement de la recherche, du rayonnement international et de valorisation de l’image
auprès de ses partenaires publics et privés.
Cette évolution a pris la forme de quatre axes majeurs de développement que sont :
-
L’élargissement des compétences individuelles des agents et plus généralement du
champ de compétence du service.
La création, la fiabilisation, la conservation et la transmission d’une base de données
exhaustive sur le patrimoine immobilier de l’UPF
La maîtrise des coûts de fonctionnement des bâtiments et l’anticipation des besoins à
venir
L’amélioration des conditions de travail et la valorisation des espaces
La première étape du travail a été de définir le domaine de compétence du service. Il a donc été
décidé que la DLP interviendrait sur les travaux de maintenance des bâtis, l’entretien des locaux,
les travaux de manutention, l’entretien des équipements audiovisuels (anciennement géré par la
DSI), la location des espaces (anciennement assurée par la DGS) et le suivi des opérations de
construction ou de réhabilitation.
Pour pouvoir assurer la maintenance des équipements audiovisuels qui était jusqu’alors dévolue
à la DSI, un personnel supplémentaire compétent a été recruté sur ressources propres. Le but de
ce recrutement est de fournir, en plus d’un entretien du matériel, une prestation d’aide et de
conseil aux utilisateurs sur ce domaine. Le financement de ce poste est assuré par les
économies réalisées grâce à la modification des contrats d’énergie et la renégociation de
certains contrats d’entretiens.
Sur le volet location des espaces, qui était jusqu’alors dévolue à la DGS, il est apparu lors des
premiers entretiens individuels réalisés fin 2011, que le personnel assigné aux travaux de
reprographie souhaitait se diversifier et accroitre ses compétences dans le domaine du
secrétariat administratif. Nous lui avons donc permis de participer à des formations en
bureautique et après avoir formalisé une procédure ainsi qu’une convention type de location,
nous lui avons confié cette tâche.
Les entretiens individuels et la mise au point sur le fonctionnement du service ont également eu
un impact positif sur l’absentéisme dans le service si on compare sur les 4 dernières années.
D’autant qu’il faut prendre en compte un personnel ayant pris 28 jours d’arrêt maladie après
l’annonce de sa fin de contrat.
Page 84
Nombre de jours d'arrêts maladie ou accident de
travail au sein du service logistique
60
40
20
0
2009
2010
2011
2012
Une fois les missions et les compétences de chacun identifiées, nous avons cherché à améliorer
l’efficacité de l’action de la DLP. Pour ce faire, nous nous sommes inspirés des recommandations
issues des rapports IGAENER de 2010 et Hygiène et Sécurité de 2011.
Dans un premier temps nous avons, en collaboration avec la direction des systèmes
d’information, créé une application informatique permettant aux usagers d’effectuer leurs
demandes de travaux en ligne. Cette procédure, même si sa généralisation devrait prendre
plusieurs années, nous permet d’une part d’avoir un suivi écrit des demandes qui nous sont
faites et, d’autre part, automatise la communication avec le demandeur qui est désormais
informé de toute évolution concernant son problème. Cette démarche a aussi pour but d’inciter
les agents à utiliser l’outil informatique qu’ils maîtrisent mal.
En ce qui concerne les procédures, il est également important de souligner que nous avons mis
en place des plans de prévention pour les prestataires extérieurs conformément aux
préconisations des inspecteurs HS.
Malheureusement, pour continuer dans cette démarche d’amélioration de l’efficacité nous
devons désormais consolider nos connaissances sur les différents bâtiments pour pouvoir
ensuite inverser notre action actuelle essentiellement curative. La forte mobilité des personnels
et l’absence de plan de stockage des archives a, au fil des ans, dispersé les dossiers sur
l’ensemble du site de l’UPF. Nous avons donc entrepris de rassembler la totalité des documents
sur un lieu unique et de créer un espace partagé sur le serveur de l’Université pour stocker les
éléments qui pouvaient l’être. Conformément aux préconisations du rapport IGAENER, nous
nous sommes dotés fin 2012 d’un logiciel de gestion du patrimoine (Abyla) qui sera installé en
2013. Finalement, nous avons inclus dans le nouveau contrat d’entretien des matériels de
climatisation un état des lieux précis qui sera fourni après la première année d’entretien des
installations.
Dépense électricité (en MFCP)
58
56
54
52
50
48
46
44
42
2009
2010
Page 85
2011
2012
Nous avons ensuite entrepris une démarche de réduction des consommations basée dans un
premier temps sur la maîtrise et l’amélioration des éclairages avec l’achat de luminaires LED et la
mise en place de minuteurs et de programmateurs.
Une attention particulière a également été portée aux réseaux d’eau dont les consommations
excessives par rapport à la fréquentation découlant de nombreuses fuites.
Dépenses en eau usées
6000000
4000000
2000000
0
2011
2012
Toujours dans l’optique de rationaliser les coûts de fonctionnement, le service a entrepris la
mise en place de marchés publics pour les contrats de maintenance de l’établissement. Pour
l’année 2012 l’entretien des locaux est passé d’un contrat à un marché ce qui nous a permis de
réduire les frais liés à ce poste de dépense de 3 953 101 CFP.
Cette démarche de généralisation de cette procédure s’accompagne également d’une
participation à différents groupes de travail sur la mutualisation interministérielle des achats
publics qui devrait permettre pour les années à venir de réaliser des économies non négligeable
sur l’achat de papier, fournitures de bureau, mobilier de bureau, essence ou véhicules.
L’ensemble de ces mesures a permis de réduire significativement le budget hors personnel
alloué au service ainsi que le montre le diagramme suivant alors que comme nous l’évoquions
dans la première partie de ce bilan le champ de compétence a été augmenté:
Budget réalisé
600000000
400000000
200000000
0
2009
2010
2011
2012
Cependant, la recherche d’optimisation des coûts ne doit pas se faire au détriment des
conditions de travail des usagers ou de l’image de l’établissement. Plus les bâtiments sont
beaux, fonctionnels et agréables, plus le présentéisme est important. De la même manière,
l’image transmise par nos locaux nous permet de valoriser et d’optimiser l’occupation des
espaces en développant notre activité de mise à disposition payante. Cette activité a également
Page 86
pour but de faire entrer l’entreprise dans l’Université et de permettre à terme de créer un
réseau de contacts potentiels pour de futurs partenariats sur des projets de recherche ou de
formation.
Le graphique suivant montre l’évolution de ce domaine d’activité sur les 4 dernières années.
Recettes liées aux locations des espaces
15 000 000
10 000 000
5 000 000
2009
2010
2011
2012
De ce fait nous avons entièrement rénové en 2012 700 m2 de bâtiments.
Nous avons également fait l’acquisition de nombreux matériels modulables qui nous permettent
de répondre aux attentes des organisateurs de manifestations en termes de mobilier et
d’affichage sans avoir à pénaliser les locaux d’enseignement comme c’était le cas par le passé.
Ces matériels sont également plus légers et facilement transportables de manière à faciliter et à
accélérer leur mise en place.
Finalement, nous avons commencé à nouer un lien entre les entrepreneurs travaillant en
collaboration avec l’université et les usagers par le biais des cadeaux fournisseurs. Ces
traditionnels présents jusqu’alors perçus par les responsables de la logistique et du patrimoine
ont été remplacé par une participation en nature au repas de fin d’année et l’achat d’un
aquarium de 200L avec son système de filtration pour le laboratoire BIOTEM. Nous espérons par
cette action favoriser les dons et les financements externes puisque nous ne pouvons pas
bénéficier, comme en métropole, de la partie enseignement supérieur de la taxe
d’apprentissage.
Page 87
4.4 Les moyens
4.4.1 Budget agrégé
Les données présentées ici, sont extraites du compte financier 2012 et comprennent le budget de
l’université avec celui des œuvres universitaires.
4.4.1.1 Augmentation du budget par DBM
Budget primitif
DBM cumulées
TOTAL BUDGET
% de varioation du
budget primitif par an
2009
9 890 549
263 195
10 153 744
-4,1%
2010
9 036 154
1 188 413
10 224 567
0,7%
2011
8 913 927
847 603
9 761 530
-4,5%
Montant en €
2012
7 387 930
1 809 057
9 196 987
-5,8%
En 2012, la Décision Budgétaire Modificative adoptées par le conseil d’administration a
augmenté le budget initial de 24,5% résultant de l’intégration de notre contrat
quinquennal signé en juillet.
4.4.1.2 Taux annuel de consommation des crédits par section
 En dépense
Fonctionnement - Section 1
Investissement - Section 2
TOTAL DEPENSES
Budget
8 193 617
1 003 370
9 196 987
DEPENSES 2012
Mandat net
Non employé
7 602 596
591 021
978 291
25 078
8 580 888
616 099
Taux
92,8%
97,5%
93,3%
2 007
77,4%
65,8%
72,5%
Montant en €
Pour rappel
2 008
2 009
2 010
2 011
91,1% 87,5% 88,2%
89,8%
60,7% 97,4% 88,4%
76,7%
75,3% 90,4% 88,3%
86,5%
 En recette
Fonctionnement - Section 1
Investissement - Section 2
TOTAL RECETTES
Budget
8 467 915
47 106
8 515 021
RECETTES 2012
Titre net
Non employé
8 087 464
380 452
43 846
8 131 310
383 712
Page 88
Taux
95,5%
93,1%
95,5%
Montant en €
Pour rappel
2 007
2 008
2 009
2 010
2 011
103,5% 93,7% 89,3% 96,2%
91,3%
131,5% 100,0% 131,2% 113,0% 102,9%
113,9%
95,3% 92,8% 98,8%
91,8%
4.4.2 Dépenses
4.4.2.1 Evolution des dépenses entre 2009 et 2012
Ce tableau montre l’évolution des dépenses de fonctionnement entre 2009 et 2012
(hors charges exceptionnelles et dotations aux amortissements/provisions).
Les dépenses ont augmenté de 9,1% par rapport à l’année précédente. Cette
augmentation est due principalement à l’augmentation de nos abonnements
électroniques (+11,7% intégré dans les comptes 61). Celles concernant les frais de
personnels (+4,52%) sont dues a des recrutements dans le secteur de la recherche.
2010
842 564
893 423
1 018 816
3 063
1 948 522
440 997
2 816
1 003 600
972 260
1 092 694
1 548
2 071 168
437 481
370
945 933
823 057
972 321
3 449
2 037 943
400 055
187
18,3%
15,9%
18,8%
0,1%
39,3%
7,7%
0,0%
941 503
851 450
965 048
2 189
2 130 335
762 318
281
18,2%
16,4%
18,6%
0,0%
41,1%
14,7%
0,0%
-4 430
28 393
-7 273
-1 260
92 392
362 263
94
Total dépenses - fonctionnement
5 150 201
(hors charges exceptionnelles et dotation aux amort./provi.)
67 Charges exceptionnelles
29 935
68 Dotations aux amortiss. et aux provis.
1 057 592
5 579 122
5 182 946
100,0%
5 653 125
109,1%
29 464
972 936
145 384
1 208 297
607 817
1 341 654
Total dépenses - fonctionnement
6 581 521
6 536 627
7 602 596
60 Achats
61 Services extérieurs
62 Autres services extérieurs
63 Impôts, taxes et versements assimilés
64 Charges de personnel
65 Autres charges de gestion courante
66 Charges financières
6 237 729
2011
Montant en €
Evolution
de 2011 à 2012
2009
2012
Evolution de 2009 à 2012
-0,5%
3,3%
-0,8%
-57,5%
4,3%
47,5%
33,4%
98 939
-41 973
-53 768
-874
181 813
321 321
-2 534
470 179
9,1%
1 131 803
27,9%
462 434
133 357
76,1%
9,9%
577 882
284 062
1930,4%
26,9%
1 065 970
16,3%
1 898 468
40,9%
60 - Achats : électricité, gaz, eau, fournitures administratives et produits d’entretien, petits matériels
(<800€)
61 - Services extérieurs : locations immobilières et mobilières, entretien et réparations
immobilières, maintenance, assurances, documentation, reprographie .
62 - Autres services extérieurs : frais de transport, déplacements et réceptions, contrats de
nettoyage, honoraires, frais postaux et télécommunications, formation du personnel, autres
prestations extérieures
63 - Impôts et taxes : sur les placements financiers
64 - Charges de personnel : rémunérations des contractuels, vacations administratives, heures
complémentaires, charges patronales
65 - Charges de gestion courante : redevance de logiciels, bourses, subventions versées, autres
charges de gestion courante
66 - Charges financières
Page 89
11,7%
-4,7%
-5,3%
-28,5%
9,3%
72,9%
-90,0%
Evolution des dépenses par masse de crédits
10 000 000 €
9 000 000 €
8 000 000 €
7 000 000 €
24,8%
6 000 000 €
5 000 000 €
4 000 000 €
3 000 000 €
2 000 000 €
1 000 000 €
0€
2 009
2 010
DEPENSES DE FONCTIONNEMENT
2 011
DEPENSES DE PERSONNEL
2 012
DEPENSES D'INVESTISSEMENT
4.4.2.2 Dépenses 2011 par action LOLF
Ne sont pas inclus dans cette répartition, les crédits liés à l’extension du campus ni les charges
dites “non décaissables” (prestations internes, dotations aux amortissements ou provisions).
DIFFUSION DES
DOCUMENTATION
SAVOIRS
8%
1%
RECHERCHE
16%
FORMATION
28%
PILOTAGE
11%
IMMOBILIER
30%
VIE ETUDIANTE
6%
Sont incluses dans la part « immobilier » les dépenses d’électricité et de maintenance courante
ainsi que celles liées à des travaux destinés à l’amélioration de la qualité de la vie sur le campus.
Page 90
4.4.3 Recettes
Les financements en provenance du Ministère de l’enseignement supérieur et de la
recherche constituent la principale source de financement de l’université, avec 63,2% du
total des ressources (contre 78,2% en 2011).
Subventions
Collectivités
6,3%
Autres
produits
15,8%
Subventions
Etat
63,2%
Prestations
11,9%
Activités
annexes
2,8%
706
708
741
744
75 à 77
TOTAL
Prestations
Activités annexes
Subventions Etat
Subventions Collectivités
Autres produits
Recettes de fonctionnement
131
Subvention d'investissement
165
Dépôts et cautionnements
TOTAL Recettes d'investissement
Page 91
Montant en €
2012
959 657
229 924
5 080 466
508 120
1 270 338
8 048 505
29 573
11 497
41 070
Page 92
Page 93
V. Annexes
Page 94
Page 95
Sommaire des annexes
A
B
Bilan des activités de recherche par laboratoire........................................................................................................ 98
A.1
UMR EIO........................................................................................................................................................ 100
A.2
Laboratoire GEPASUD ................................................................................................................................... 114
A.3
Laboratoire GAATI......................................................................................................................................... 116
A.4
Laboratoire EASTCO ...................................................................................................................................... 117
A.5
Laboratoire GDI............................................................................................................................................. 121
A.6
CIRAP............................................................................................................................................................. 125
A.7
Chercheurs appartenant à des laboratoires extérieurs ................................................................................ 128
Les cohortes de licences des bacheliers 2008 .......................................................................................................... 130
Page 96
Page 97
Bilan des activités
de recherche
par laboratoire
Page 98
Page 99
4.5 UMR EIO
ACL :
Articles dans des revues internationales ou nationales avec comité de lecture
répertoriées par l’AERES ou dans les bases de données internationales (ISI Web
of Knowledge, Pub Med…).
4.5.1.1
Note : IF = Facteur d’impact
EQUIPE SYREX
Andrefouet, S., Charpy L., Lo-Yat A., Lo C. (2012). Recent research for pearl
oyster aquaculture management in French Polynesia.Marine Pollution Bulletin,
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Aragón-Axomulco H., Chiappa-Carrara X., Soto L., Cuzon G., Arena L., Maldonado
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Bijoux J.P., Dagorn L., Berke G., Cowley P.D., Soria, M., Gaertner J.-C., Robinson J.
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Bonilla-Gomez, JL., Chiappa-Carrara,X., Galindo, C., Jeronimo, G., Gaxiola, G. and
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C., Galzin R., Gervain P., Gougon M., Guillotreau P., Guyader O., Hall M., Holland
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Ecosystems : A Critical Analysis of Factors Driving Effectiveness. PLoS ONE 7(7):
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Page 103
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Gouvernement
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Contribution à l’encart : Des bases de données pour comprendre la bio-chimiodiversité
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Taquet M., Dugornay O., 2012 - Le Centre Ifremer du Pacifique en Polynésie
française. Film vidéo (5 mn) de présentation des activités scientifiques de
l’Ifremer. Réalisation Olivier Dugornay – Service Audiovisuel de l’Ifremer – Brest.
Taquet M., Dugornay O., Gueguen Y, Cabral P., 2012 – Une ferme perlière aux
Tuamotu. Film vidéo (15 mn) de présentation du métier de perliculteur et des
travaux scientifiques de l’Ifremer en perliculture. Réalisation Olivier Dugornay –
Service Audiovisuel de l’Ifremer – Brest.
Taquet M., Dugornay O., 2012 – Le Centre Ifremer du Pacifique en Polynésie
française. DVD de présentation des activités scientifiques et des partenariats de
l’Ifremer en Polynésie française. Réalisation Olivier Dugornay – Service
Audiovisuel de l’Ifremer – Brest.
PAT:
Productions
artistiques
théorisées
(compositions
cinématographiques, expositions, installations…).
musicales,
Suhas E, Dewailly E. 2012. Ressources Alimentaires et Santé aux Australes. ILMCHUQ Laval, Documentaire de 26 mn
AP:
Autres productions : bases de données, logiciels enregistrés, rapports de
fouilles, guides techniques, catalogues d’exposition, rapports intermédiaires de
grands projets internationaux, etc.
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Demoy-Schneider M., Schmitt N. Rapport final d’activités concernant le GDR
ADEQUA (2006-2012) : « Amélioration de la qualité de la perle ». Participation
dans le cadre de l’action 2 : « Amélioration de la qualité du nucléus »
Demoy-Schneider M. - Rapport final d’activités concernant le programme SEOM
(Secrétariat d’Etat à l’Outremer) 2010-2012 : « La cryoconservation des
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Moretti C. Patrimoine biologique des Marquises, rapport de plan état territoire,
Petek S. Collectif. Prospective Ecologie Chimique. CNRS, Paris 2012, 44p.
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http://www.thefishsite.com/fishnews/18974/oie-outbreak-of-infection-withperkinsus-olseni
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4.6 Laboratoire GEPASUD
ACL : Articles dans des revues internationales ou nationales avec comité de lecture
répertoriées par l’AERES ou dans les bases de données internationales (ISI Web of
Knowledge, Pub Med…).
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Applied Earth Observations and Remote Sensing 5(4): 1203-1212, 2012 (rang A).
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4.8 Laboratoire EASTCO
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DO :
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Armand Colin, 2012 (co-direction avec Laurence Badel, Gilles Ferragu et Stanislas
Jeannesson).
OS :
Ouvrages scientifiques (y compris les éditions critiques et les traductions
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Papeete, Au Vent des îles, édition augmentée 2012, 472 p., p. 431-447.
B. Saura. Traduction du rapport annuel ‘’Aotearoa Nouvelle-Zélande’’ (8 p.),
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International de Ttravail pour les Peuples Autochtones/IWGIA).
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diplomates. Armand Colin, 2012, ainsi que l’introduction (collective) et la
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4.9 Laboratoire GDI
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Venayre F., 2012, " 'Nous, au village, aussi, l'on a, De beaux assassinats'... Ou
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comparatiste et père du droit japonais moderne, in « L’école de droit de la
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2012, nº 503, RG 558/COM/10 : JCP G 2012, n° 43.
Yann Rival. « Air Tahiti Nui : les risques d’un développement accéléré non maîtrisé », in
Management, Cas & application 3ème édition, sous la direction de M.KALIKA, J-P. HELFER, J. ORSONI,
Vuibert, sept 2010, p. 247-251.
AP:
Autres productions : bases de données, logiciels enregistrés, rapports de
fouilles, guides techniques, catalogues d’exposition, rapports intermédiaires de grands
projets internationaux, etc.
Venayre F., 2012, "Interventionnisme public et handicaps de compétitivité :
analyse du cas polynésien", Document de travail, n° 121, Agence française de
développement, Département de la recherche, Mars.
C-COM : Communications orales sans actes dans un congrès international ou national
L. Mu Si Yan. « Conservative Legal Advocacy Organizations : The Pacific Legal
Foundation », communication au colloque international Qui gouverne dans les
Amériques et en Europe ?, Université de Poitiers, 15-17 novembre 2012
Alain Moyrand « La Polynésie française : une collectivité d’outre-mer singulière »,
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4.10 CIRAP
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agriculture. In A.J. Anderson & D.J. Kennett (eds) Taking the High Ground: The
archaeology of Rapa, a fortified island in remote East Polynesia. Terra Australis 37,
ANU E-Press, Canberra
Kennett, D., Culleton, B., Anderson, A. & Southon, J. A Bayesian AMS 14C Chronology
for the Colonization and Fortification of Rapa. In A.J. Anderson & D.J. Kennett (eds)
Taking the High Ground: The archaeology of Rapa, a fortified island in remote East
Polynesia. Terra Australis 37, ANU E-Press, Canberra
P. Kirch. Building and testing models of long-term agricultural intensification and
population dynamics: A case study from the Leeward Kohala Field System,
Hawai'i. Ecological Modeling 227:12-28. (with G. Asner, O. Chadwick, J. Field, T.
Ladefoged, C. Puleston, S. Tuljapurkar, and P. Vitousek)
P. Kirch. Review of A. Andersson, A Hero for the Atomic Age, Thor Heyerdahl and
the Kon-Tiki Expedition. Fornvännen, Journal of Swedish Antiquarian Research
107:147-149.
P. Kirch. Investigating the global dispersal of chickens in prehistory using ancient
mitochondrial DNA signatures. PLos One 7(7):1-11. (A. Story lead author, 18 coauthors)
C-ACTI : Communications avec actes dans un congrès international
CHABRIER S., G. MOLLE, E. CONTE et C. CARLIER, 2012. Automation of Fishhooks
Objective Measures. International Conference on Machine Vision, Image
Processing, and Patter Analysis – Bangkok, Thailand, 22-23 décembre 2012.
ASCL: Articles dans des revues sans comité de lecture
CONTE E. et G. MOLLE (eds), 2012. Vestiges d’une histoire marquisienne.
Contribution à l’archéologie de Ua Huka. Tahiti, Cahiers du CIRAP, vol.2, 108 p.
A. Hermann. Une vengeance légendaire: structure et sémantique de cinq
variantes de la version marquisienne de la légende d’Apakura, Bulletin de la
Société des Etudes Océaniennes, 325 : 23-37.
A. Hermann. Traçabilité des matières premières lithiques dans les assemblages
archéologiques polynésiens: le cas de Tubuai (Archipel des Australes, Polynésie
française), Géologue, 172 : 80-83
Page 126
Charleux, M., 2012, « Les grands voyageurs de Eiao, la diffusion régionale des
lames d’herminette de Eiao »,pp.4-17, (Bulletin de la Société des Etudes
Océaniennes n°326/327 Août/Décembre 2012).ISSSN 0373-8957
AP:
Autres productions : bases de données, logiciels enregistrés, rapports de
fouilles, guides techniques, catalogues d’exposition, rapports intermédiaires de grands
projets internationaux, etc.
A. Hermann. 2012, Dynamique de production des industries lithiques en Polynésie
centrale, Travaux entrepris dans l’île de Tubuai (Archipel des Australes, Polynésie
française), Rapport final relatif au contrat de projet du CIRAP (financement EtatPays), 103 p.
A. Hermann. 2012, Bilan des opérations archéologiques menées sur le site
d’Atiahara (parcelle commune de Mata’ura, Tubuai) d’après les données de
terrain des fouilles entreprises en 1995-1996, 1999 et 2007, Rapport de mission
pour le Service de la Culture et du Patrimoine, 15 p.
MOLLE G. et P. MURAIL, 2012. Recherches archéologiques et anthropologiques sur
l’atoll de Temoe, Gambier (Polynésie française) – Campagne 2010. Rapport final,
CIRAP-UPF, 78 p.
C-COM : Communications orales sans actes dans un congrès international ou national
T. Maric (avec Henri Marchesi) « Pierres dressées et tiki de Polynésie », 3e
Colloque International sur la statuaire mégalithique, « Pierres levées du
Néolithique à l’âge du Fer », Saint-Pons de Thomières, 13-16 septembre 2012.
Page 127
4.11 Chercheurs appartenant à des laboratoires extérieurs
OS :
Ouvrages scientifiques (y compris les éditions critiques et les traductions
scientifiques)
Sylvie André. «Le Récit, Perspectives anthropologique et littéraire », collection
« Unichamp Essentiel », Editions Honoré Champion, 308 pages, ISBN : 978-27453-2293-7, PARIS, 2012.
Page 128
Page 129
Les cohortes de licences
des bacheliers 2008
Page 130
Page 131
 Licence Droit, Economie, Gestion mention Droit
En 2008/2009, 243 étudiants sont inscrits en 1 ère année de licence droit, économie,
gestion, mention droit dont 139 étaient des primo entrants.
Parmi ces primo entrants, 67% ont un baccalauréat général (27% Littéraire, 8% ES,
32% Scientifique), 25% un baccalauréat Technologique et 8% Professionnel.
.
Rentrée 2009/2010
Rentrée 2010/2011
Année 2
Effectifs
%
Année 3
Effectifs
%
Rentrée 2011/2012
Année 4
Effectifs
%
Quittent l'UPF
41
29,7%
57
41,3%
73
52,9%
Se réorientent à l'UPF
17
12,3%
15
10,9%
11
8,0%
Sont inscrits en licence 1ère année
39
28,3%
11
8,0%
2
1,4%
Sont inscrits en licence 2ème année
41
29,7%
25
18,1%
12
8,7%
30
21,7%
13
9,4%
138
100,0%
111
80,4%
27
19,6%
138
100,0%
Sont inscrits en licence 3ème année
Sous-total
138
100,0%
Diplômés 2009/2010 - LICENCE Droit en 3 ans
Diplômés 2010/2011 - LICENCE Droit en 4 ans
Total de la cohorte "Primo
entrants" inscrits en L1 Licence
Mention Droit année 2008/2009
138
100,0%
138
100,0%
Note de lecture du tableau :
- Au terme de la première année, 47 des 138 primo entrants de 2008/2009 ont
quitté l’université, 17 se sont réorientés dans une autre filière proposée par l’UPF,
39 ont redoublé et 41 sont passés en deuxième année.
- Au terme de la deuxième année, 10 étudiants supplémentaires ont quitté
l’université soit un total d’abandon de 57 étudiants.
- Au terme de la troisième année, 73 étudiants ont quitté l’université, 2 étudiants
sont toujours en L1, 12 en L2 et 13 en L3.
27 étudiants ont réussi leur licence en trois ans, ce qui représente 19,6% de la
cohorte 2008/2009. 8 autres l’ont obtenu en quatre ans. 25,4% de la cohorte a donc
obtenu sa licence en 3 ou 4 ans contre 16,2% de la cohorte 2007/2008 (Rapport
d’activité 2011 –page 25).
89% des diplômés en trois ans sont titulaires d’un baccalauréat général. 3 sont
titulaires d’un bac technologique.
Page 132
 Licence Droit, Economie, Gestion mention économie-gestion
En 2008/2008, 357 étudiants sont inscrits en 1 ère année de licence droit, économie,
gestion, mention économie-gestion dont 235 sont des primo entrants.
Parmi ces primo entrants, 34% ont un baccalauréat général (27% ES, 6%
Scientifique, 1% Littéraire,), 46% un baccalauréat Technologique et 20% un
baccalauréat Professionnel.
Rentrée 2009/2010
Rentrée 2010/2011
Année 2
Effectifs
%
Année 3
Effectifs
%
Rentrée 2011/2012
Année 4
Effectifs
%
Rentrée 2012/2013
Année 5
Effectifs
%
Quittent l'UPF
78
33,2%
122
51,9%
137
58,3%
151
64,3%
Se réorientent à l'UPF
16
6,8%
16
6,8%
15
6,4%
11
4,7%
Sont inscrits en licence 1ère année
94
40,0%
31
13,2%
8
3,4%
4
1,7%
Sont inscrits en licence 2ème année
47
20,0%
35
14,9%
25
10,6%
12
5,1%
31
13,2%
26
11,1%
16
6,8%
235
100,0%
211
89,8%
194
82,6%
24
10,2%
24
10,2%
17
7,2%
235
100,0%
Sont inscrits en licence 3ème année
Sous-total
235
100,0%
Diplômés 2010/2011 - LICENCE Economie-gestion en 3 ans
Diplômés 201/2012 - LICENCE Economie-gestion en 4 ans
Total de la cohorte "Primoentrants" inscrits en L1 Licence
Economie-gestion année 2008/2009"
235
100,0%
235
100,0%
235
100,0%
Note de lecture du tableau :
- Au terme de la première année, 78 des 235 primo entrants de 2008/2009 ont
quitté l’université, 16 se sont réorientés dans une autre filière proposée par l’UPF,
94 ont redoublé et 47 sont passés en deuxième année.
- Au terme de la deuxième année, 44 étudiants supplémentaires ont quitté
l’université soit un total d’abandon de 122 étudiants.
- Au terme de la troisième année, 137 étudiants ont quitté l’université, 8 étudiants
sont toujours en L1, 25 en L2 et 26 en L3.
- Au terme de la quatrième année, 151 étudiants de la cohorte ont quitté
l’université soit un taux d’évaporation de 64,4%, 4 étudiants sont en L1, 12 en L2 et
16 en L3.
24 étudiants ont réussi leur licence en trois ans, ce qui représente 10,2% de la
cohorte 2008/2009, 17 l’ont obtenu en quatre ans.
Au total, 17,4% de la cohorte a donc obtenu sa licence en 3 ou 4 ans contre 20,3%
de la cohorte 2007/2008 (Rapport d’activité 2011 –page 25).
62,5% des diplômés sont titulaires d’un baccalauréat général (33,3% en ES et 25%
en S).
Page 133
Page 134
 Licence LLSH - mention histoire-géographie
En 2008/2009, 94 étudiants sont inscrits en 1 ère année de licence LLSH, mention histoiregéographie dont 52 sont des primo entrants.
Parmi ces primo entrants, 48,1% ont un baccalauréat général (31% L, 4% S, 13,5% ES), 40%
un baccalauréat technologique et 11,5% un baccalauréat professionnel.
Rentrée 2009/2010
Rentrée 2010/2011
Année 2
Effectifs
%
Quittent l'UPF
Se réorientent à l'UPF
Sont inscrits en licence 1ère année
Sont inscrits en licence 2ème année
Année 3
Effectifs
%
Année 4
Effectifs
%
Rentrée 2012/2013
Année 5
Effectifs
%
18
34,6%
25
48,1%
27
51,9%
27
51,9%
5
9,6%
5
9,6%
5
9,6%
5
9,6%
20
38,5%
4
7,7%
1
1,9%
1
1,9%
9
17,3%
13
25,0%
5
9,6%
1
1,9%
5
9,6%
10
19,2%
6
11,5%
52
100,0%
48
92,3%
40
76,9%
4
7,7%
4
7,7%
8
15,4%
52
100,0%
Sont inscrits en licence 3ème année
Sous-total
Rentrée 2011/2012
52
100,0%
Diplômés 2010/2011 - LICENCE histoire-géographie en 3 ans
Diplômés 2011/2012- LICENCE histoire-géographie en 4 ans
Total de la cohorte "Primo-entrants"
inscrits en L1 Licence histoiregéographie année 2008/2009"
52
100,0%
52
100,0%
52
100,0%
Note de lecture du tableau :
- Au terme de la première année, 18 des 52 primo entrants de 2008/2009 ont quitté
l’université, 5 se sont réorientés dans une autre filière proposée par l’UPF, 20 ont
redoublé et 9 sont passés en deuxième année.
- Au terme de la deuxième année, 7 étudiants supplémentaires se sont réorientés.
- Au terme de la troisième année, 27 étudiants ont quitté l’université, 1 étudiant est
toujours en L1, 5 en L2 et 10 en L3.
- Au terme de la quatrième année, 27 étudiants de la cohorte ont quitté l’université soit
un taux d’évaporation de 52%, 1 étudiant est en L1, 1 étudiant est en L2 et 6 en L3.
4 étudiants ont réussi leur licence en trois ans, et 8 l’ont obtenu en quatre ans.
Au total, 23,1% de la cohorte a donc obtenu sa licence en 3 ou 4 ans contre 19,2% de la
cohorte 2007/2008 (Rapport d’activité 2011 –page 25).
100% des diplômés sont titulaires d’un baccalauréat général.
Page 135
 Licence LLSH - mention Langues, Littératures et Civilisations Régionales
(LLCR)
En 2008/2009, 147 étudiants sont inscrits en 1 ère année de licence LLSH, mention langues,
littératures et civilisations régionales dont 89 sont des primo entrants.
Parmi ces primo entrants, 22,5% ont un baccalauréat général (13,5% littéraire, 1% ES, 8%
scientifique), 41,6% un baccalauréat technologique et 36% un baccalauréat professionnel.
Quittent l'UPF
Rentrée 2009/2010
Rentrée 2010/2011
Année 2
Effectifs
%
Année 3
Effectifs
%
Rentrée 2011/2012
Année 4
Effectifs
%
Rentrée 2012/2013
Année 5
Effectifs
%
38
42,7%
43
48,3%
54
60,7%
58
65,2%
6
6,7%
5
5,6%
3
3,4%
3
3,4%
Sont inscrits en licence 1ère année
21
23,6%
5
5,6%
2
2,2%
1
1,1%
Sont inscrits en licence 2ème année
24
27,0%
29
32,6%
14
15,7%
3
3,4%
7
7,9%
11
12,4%
14
15,7%
89
100,0%
84
94,4%
79
88,8%
5
5,6%
5
5,6%
5
5,6%
89
100,0%
Se réorientent à l'UPF
Sont inscrits en licence 3ème année
Sous-total
89
100,0%
Diplômés 2008/2009 - LICENCE LLCR en 3 ans
Diplômés 2008/209- LICENCE LLCR en 4 ans
Total de la cohorte "Primoentrants" inscrits en L1 Licence
LLCR année 2008/2009"
89
100,0%
89
100,0%
89
100,0%
Note de lecture du tableau :
- Au terme de la première année, 38 des 147 primo entrants de 2008/2009 ont quitté
l’université, 6 se sont réorientés dans une autre filière proposée par l’UPF, 21 ont
redoublé et 24 sont passés en deuxième année.
- Au terme de la deuxième année, 5 étudiants supplémentaires ont quitté l’université
soit un total d’abandon de 43 étudiants.
- Au terme de la troisième année, 54 étudiants ont quitté l’université, 2 étudiant est
toujours en L1, 14 en L2 et 11 en L3.
- Au terme de la quatrième année, 58 étudiants de la cohorte ont quitté l’université soit
un taux d’évaporation de 65,2%, 1 étudiant est en L1, 3 en L2 et 14 en L3.
5 étudiants ont réussi leur licence en trois ans, et 5 l’ont obtenu en quatre ans.
Au total, 11,2% de la cohorte a donc obtenu sa licence en 3 ou 4 ans contre 16,6% de la
cohorte 2007/2008 (Rapport d’activité 2011 –page 25).
80% des diplômés sont titulaires d’un baccalauréat général (touts titulaires d’un bac L) et
20% sont titulaires d’un baccalauréat professionnel.
Page 136
 Licence LLSH - mention langues étrangères appliquées, spécialité anglaisespagnol (LEA)
En 2008/2009, 125 étudiants sont inscrits en 1 ère année de licence LLSH, mention langues
étrangères appliquées dont 74 sont des primo entrants.
Parmi ces primo entrants, 51,4% ont un baccalauréat général (34% littéraire, 11% ES, 7%
scientifique), 43% un baccalauréat technologique et 5% un baccalauréat professionnel.
Rentrée 2009/2010
Année 2
Effectifs
%
Quittent l'UPF
Rentrée 2010/2011
Année 3
Effectifs
%
Rentrée 2011/2012
Année 4
Effectifs
%
Rentrée 2012/2013
Année 5
Effectifs
%
40
54,1%
50
67,6%
54
73,0%
55
74,3%
9
12,2%
8
10,8%
6
8,1%
6
8,1%
Sont inscrits en licence 1ère année
14
18,9%
2
2,7%
1
1,4%
-
0,0%
Sont inscrits en licence 2ème année
11
14,9%
4
5,4%
1
1,4%
-
0,0%
10
13,5%
7
9,5%
1
1,4%
74
100,0%
69
93,2%
62
83,8%
5
6,8%
5
6,8%
7
9,5%
74
100,0%
Se réorientent à l'UPF
Sont inscrits en licence 3ème année
Sous-total
74
100,0%
Diplômés 2010/2011- LICENCE LEA en 3 ans
Diplômés 2011/2012- LICENCE LEA en 4 ans
Total de la cohorte "Primoentrants" inscrits en L1 Licence LEA
année 2008/2009"
74
100,0%
74
100,0%
74
100,0%
Note de lecture du tableau :
- Au terme de la première année, 40 des 74 primo entrants de 2008/2009 ont quitté
l’université, 9 se sont réorientés dans une autre filière proposée par l’UPF, 14 ont
redoublé et 11 sont passés en deuxième année.
- Au terme de la deuxième année, 10 étudiants supplémentaires ont quitté l’université
soit un total d’abandon de 50 étudiants.
- Au terme de la troisième année, 54 étudiants ont quitté l’université, 1 étudiants sont
toujours en L1, 1 en L2 et 7 en L3.
- Au terme de la quatrième année, 55 étudiants de la cohorte ont quitté l’université soit
un taux d’évaporation de 74,3%, 1 étudiant est en L3.
5 étudiants ont réussi leur licence en trois ans, et 7 en quatre ans.
Au total, 16,3% de la cohorte a donc obtenu sa licence en 3 ou 4 ans contre 11,7% de la
cohorte 2007/2008 (Rapport d’activité 2011 –page 25).
100% des diplômés sont titulaires d’un baccalauréat général L.
Page 137
Page 138
 Licence LLSH - mention lettres
En 2008/2009, 28 étudiants sont inscrits en 1 ère année de licence LLSH, mention lettres
dont 16 sont des primo entrants.
Parmi ces primo entrants, 93,8% ont un baccalauréat général (81% littéraire, 6% ES, 6%
scientifique), et 6,3% un baccalauréat professionnel.
Rentrée 2009/2010
Année 2
Effectifs
%
Quittent l'UPF
Se réorientent à l'UPF
9
-
Rentrée 2010/2011
56,3%
0,0%
Rentrée 2011/2012
Année 3
Effectifs
%
9
-
Année 4
Effectifs
%
Rentrée 2012/2013
Année 5
Effectifs
%
56,3%
9
56,3%
0,0%
1
6,3%
-
0,0%
0,0%
-
0,0%
68,8%
Sont inscrits en licence 1ère année
2
12,5%
2
12,5%
Sont inscrits en licence 2ème année
5
31,3%
2
12,5%
2
12,5%
1
6,3%
3
18,8%
1
6,3%
1
6,3%
16
100,0%
13
81,3%
13
81,3%
3
18,8%
3
18,8%
Sont inscrits en licence 3ème année
Sous-total
16
100,0%
Diplômés 2010/2011 - LICENCE Lettres en 3 ans
-
11
Diplômés 2011/2012 - LICENCE Lettres en 4 ans
Total de la cohorte "Primo-entrants"
inscrits en L1 Licence lettres année
2008/2009"
16
100,0%
16
100,0%
16
100,0%
16
0,0%
100,0%
Note de lecture du tableau :
- Au terme de la première année, 9 des 16 primo entrants de 2008/2009 ont quitté
l’université, 4 ont redoublé et 5 sont passés en deuxième année.
- Au terme de la quatrième année, 11 étudiants de la cohorte ont quitté l’université soit
un taux d’évaporation de 68,75%, 1 étudiant est en L2 et 1 est en L2.
3 étudiants ont réussi leur licence en trois ans
Au total, 18,8% de la cohorte a donc obtenu sa licence en 3 ou 4 ans contre 19,3% de la
cohorte 2007/2008 (Rapport d’activité 2011 –page 25).
100% des diplômés sont titulaires d’un baccalauréat général L.
Page 139
 Licence LLSH - mention langues, littératures et civilisations étrangères,
spécialité anglais
En 2008/2009, 116 étudiants sont inscrits en 1 ère année de licence LLSH, mention langues,
littératures et civilisations étrangères dont 69 sont des primo entrants.
Parmi ces primo entrants, 58% ont un baccalauréat général (36% littéraire, 12% ES, 10%
scientifique), 32% un baccalauréat technologique et 10% un baccalauréat professionnel.
Rentrée 2009/2010
Année 2
Effectifs
%
Quittent l'UPF
Rentrée 2010/2011
Année 3
Effectifs
%
Rentrée 2011/2012
Année 4
Effectifs
%
Rentrée 2012/2013
Année 5
Effectifs
%
33
47,8%
40
58,0%
44
63,8%
49
71,0%
4
5,8%
7
10,1%
8
11,6%
4
5,8%
Sont inscrits en licence 1ère année
17
24,6%
2
2,9%
0,0%
2
2,9%
Sont inscrits en licence 2ème année
15
21,7%
12
17,4%
4
5,8%
8
11,6%
7
10,1%
3
4,3%
69
100,0%
63
91,3%
58
84,1%
6
8,7%
6
8,7%
5
7,2%
69
100,0%
Se réorientent à l'UPF
Sont inscrits en licence 3ème année
Sous-total
69
100,0%
Diplômés 2010/2011 - LICENCE LLCE en 3 ans
-
Diplômés 2011/2012- LICENCE LLCE en 4 ans
Total de la cohorte "Primo-entrants"
inscrits en L1 Licence LLCE année
2008/2009"
69
100,0%
69
100,0%
69
100,0%
-
0,0%
Note de lecture du tableau :
- Au terme de la première année, 33 des 75 primo entrants de 2008/2009 ont quitté
l’université, 4 se sont réorientés dans une autre filière proposée par l’UPF, 17 ont
redoublé et 15 sont passés en deuxième année.
- Au terme de la deuxième année, 7 étudiants supplémentaires se sont réorientés.
- Au terme de la troisième année, 44 étudiants ont quitté l’université, 4 étudiants sont
en L2 et 7 en L3.
- Au terme de la quatrième année, 49 étudiants de la cohorte ont quitté l’université soit
un taux d’évaporation de 71%, 2 étudiant est en L1, et 3 en L3.
6 étudiants ont réussi leur licence en trois ans, et 5 l’ont obtenu en quatre ans.
Au total, 15,9% de la cohorte a donc obtenu sa licence en 3 ou 4 ans contre 13,6% de la
cohorte 2007/2008 (Rapport d’activité 2011 –page 25).
100% des diplômés sont titulaires d’un baccalauréat général.
Page 140
Page 141
 Licence Sciences et technologies - mention mathématiques-informatique
En 2008/2009, 94 étudiants sont inscrits en 1 ère année de licence sciences et technologies,
mention mathématiques-informatique dont 66 sont des primo entrants.
Parmi ces primo entrants, 66,7% ont un baccalauréat général (62% scientifique, 4,5% ES),
25,8% un baccalauréat technologique et 7,6% un baccalauréat professionnel.
Rentrée 2009/2010
Année 2
Effectifs
%
Quittent l'UPF
Rentrée 2010/2011
Année 3
Effectifs
%
Rentrée 2011/2012
Année 4
Effectifs
%
Rentrée 2012/2013
Année 5
Effectifs
%
24
36,4%
29
43,9%
33
50,0%
37
56,1%
8
12,1%
7
10,6%
7
10,6%
4
6,1%
Sont inscrits en licence 1ère année
15
22,7%
5
7,6%
1
1,5%
Sont inscrits en licence 2ème année
19
28,8%
10
15,2%
4
6,1%
3
4,5%
15
22,7%
13
19,7%
4
6,1%
66
100,0%
58
87,9%
48
72,7%
8
12,1%
Se réorientent à l'UPF
Sont inscrits en licence 3ème année
Sous-total
66
100,0%
Diplômés 2010/2011 - LICENCE Maths-Info en 3 ans
Diplômés 2011/2012 - LICENCE Maths-Info en 4 ans
Total de la cohorte "Primo-entrants"
inscrits en L1 Licence Maths-Info
année 2008/2009"
66
100,0%
66
100,0%
66
100,0%
-
0,0%
8
12,1%
10
15,2%
66
100,0%
Note de lecture du tableau :
- Au terme de la première année, 24 des 66 primo entrants de 2008/2009 ont quitté
l’université, 8 se sont réorientés dans une autre filière proposée par l’UPF, 15 ont
redoublé et 19 sont passés en deuxième année.
- Au terme de la deuxième année, 5 étudiants supplémentaires se sont réorientés.
- Au terme de la troisième année, 4 étudiants supplémentaires ont quitté l’université,
soit un total d’abandon de 33 étudiants, 1 étudiant est en L1, 4 en 2 et 13 en L3.
- Au terme de la quatrième année, 37 étudiants de la cohorte ont quitté l’université soit
un taux d’évaporation de 56%, 3 étudiants sont en L2 et 4 en L3.
8 étudiants ont réussi leur licence en trois ans, et 10 en quarte ans.
Au total, 27,3% de la cohorte a donc obtenu sa licence en 3 ou 4 ans contre 18,4% de la
cohorte 2008/2009 (Rapport d’activité 2011 –page 25).
87,5% des diplômés sont titulaires d’un baccalauréat général.
Page 142
 Licence Sciences et technologies - mention Physique
En 2008/2009, 57 étudiants sont inscrits en 1 ère année de licence sciences et technologies
- mention physique dont 40 sont des primo entrants.
Parmi ces primo entrants, 83% ont un baccalauréat scientifique, 15% un baccalauréat
technologique et 2,5% un baccalauréat professionnel.
Quittent l'UPF
Se réorientent à l'UPF
Rentrée 2009/2010
Rentrée 2010/2011
Rentrée 2011/2012
Rentrée 2012/2013
Année 2
Effectifs
%
Année 3
Effectifs
%
Année 4
Effectifs
%
Année 5
Effectifs
%
12
30,0%
17
42,5%
18
45,0%
19
47,5%
0,0%
2
5,0%
1
2,5%
2
5,0%
-
Sont inscrits en licence 1ère année
7
17,5%
Sont inscrits en licence 2ème année
21
52,5%
Sont inscrits en licence 3ème année
Sous-total
40
100,0%
-
0,0%
-
0,0%
30,0%
6
15,0%
2
5,0%
9
22,5%
7
17,5%
5
12,5%
40
100,0%
32
80,0%
28
70,0%
8
20,0%
8
20,0%
4
10,0%
40
100,0%
Diplômés 2011/2012 - LICENCE PHYSIQUE en 4 ans
40
100,0%
0,0%
12
Diplômés 2010/2011 - LICENCE PHYSIQUE en 3 ans
Total de la cohorte "Primoentrants" inscrits en L1 Licence
PHYSIQUE année 2008/2009"
-
40
100,0%
40
100,0%
Note de lecture du tableau :
- Au terme de la première année, 12 des 40 primo entrants de 2008/2009 ont quitté
l’université, 7 ont redoublé et 21 sont passés en deuxième année.
- Au terme de la deuxième année, 5 étudiants supplémentaires ont quitté l’université
soit un total d’abandon de 17 étudiants.
- Au terme de la troisième année, 18 étudiants ont quitté l’université, 6 étudiant est en
L2 et 7 en L3.
- Au terme de la quatrième année, 19 étudiants de la cohorte ont quitté l’université soit
un taux d’évaporation de 47,5%, 2 étudiants sont en L2 et 5 en L3.
8 étudiants ont réussi leur licence en trois ans, et 4 en quatre ans.
Au total, 30% de la cohorte a donc obtenu sa licence en 3 ou 4 ans contre 19,6% de la
cohorte 2008/2009 (Rapport d’activité 2011 –page 25).
Tous les diplômés sont titulaires d’un baccalauréat scientifique.
Page 143
 Licence Sciences et technologies - mention sciences de la vie et de la terre
En 2008/2009, 87 étudiants sont inscrits en 1 ère année de licence sciences et technologies,
mention mathématiques-informatique dont 55 sont des primo entrants.
Parmi ces primo entrants, 72,7% ont un baccalauréat général (71% scientifique, 1,8% ES),
et 27,3% un baccalauréat technologique.
Rentrée 2009/2010
Année 2
Effectifs
%
Quittent l'UPF
Rentrée 2010/2011
Année 3
Effectifs
%
Rentrée 2011/2012
Année 4
Effectifs
%
Rentrée 2012/2013
Année 5
Effectifs
%
24
43,6%
28
50,9%
28
50,9%
27
49,1%
Se réorientent à l'UPF
5
9,1%
5
9,1%
6
10,9%
6
10,9%
Sont inscrits en licence 1ère année
6
10,9%
1
1,8%
20
36,4%
6
10,9%
2
3,6%
1
1,8%
15
27,3%
11
20,0%
1
1,8%
55
100,0%
47
85,5%
35
63,6%
8
14,5%
8
15,7%
8
15,7%
Sont inscrits en licence 2ème année
Sont inscrits en licence 3ème année
Sous-total
55
100,0%
Diplômés 2007/2008 - LICENCE Maths-Info en 3 ans
-
0,0%
Diplômés 2008/2009 - LICENCE Maths-Info en 4 ans
-
0,0%
Note de lecture du tableau :
- Au terme de la première année, 24 des 55 primo entrants de 2008/2009 ont quitté
l’université, 5 se sont réorientés dans une autre filière proposée par l’UPF, 6 ont
redoublé et 20 sont passés en deuxième année.
- Au terme de la deuxième année, 4 étudiants supplémentaires se sont réorientés.
- Au terme de la quatrième année, 27 étudiants de la cohorte ont quitté l’université soit
un taux d’évaporation de 49%, 1 étudiants sont en L2 et 1 en L3.
8 étudiants ont réussi leur licence en trois ans, et 8 en quarte ans.
Au total, 31,4% de la cohorte a donc obtenu sa licence en 3 ou 4 ans contre 25,4% de la
cohorte 2008/2009 (Rapport d’activité 2011 –page 25).
100% des diplômés sont titulaires d’un baccalauréat général S.
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Université de la Polynésie française
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Directeur de la publication : Pr Eric Conte, président de l’UPF
Photographies : Tatiana Salmon
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