La caravane «Kan ya Makan» arrive à Khénifra
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La caravane «Kan ya Makan» arrive à Khénifra
La caravane «<I>Kan ya Makan</I>» arrive à Khénifra ‘’Moi aussi je veux un livre de lecture ou un conte, même si je ne suis qu’en CP, moi aussi je veux me rendre à la ‘’voiture banqua’’ quand elle passera par notre école pour avoir un nouveau livre’’. C’est en ces termes et dans un déchirant sanglot que s’exprimait un élève de CP de l’école Chtaouna dans la province de Sidi Kacem, lors du lancement de l’opération ‘’Kan ya Makan’ ’ par le Groupe Banque Populaire à travers sa Fondation. C’est aussi avec une entière adhésion des autorités locales et des représentants de l’Education Nationale et dans une euphorie générale des élèves, du corps enseignant et aussi de la population locale qu’est reçue la caravane ‘’Kan ya Makan’’ de la Fondation Banque Populaire dans les régions du Maroc où elle est lancée. Une opération inédite. ‘’Kan ya Makan’’ est une opération inédite consistant en une bibliothèque mobile qui sillonne les 1/4 La caravane «<I>Kan ya Makan</I>» arrive à Khénifra régions rurales reculées et enclavées du Maroc pour rapprocher le livre des élèves des classes CE4, CE5 et CE6 de ces régions et les initier au plaisir de la lecture. La locomotive de cette caravane n’est autre que la ‘ ’Souk Bank ‘’, la banque mobile et insolite mise en place par le Groupe Banque Populaire au service des populations rurales et les activités commerciales des souks. Ce Groupe même dont la vocation première est le développement économique des différentes régions du Maroc mais aussi le développement humain et le développement durable à travers les actions citoyennes menées par ses différentes entités et Fondations. La Fondation Banque Populaire, en accord avec l’objet de sa genèse, a fait de l’éducation l’un de ses principaux axes d’intérêt. Depuis sa création en 1984, elle est venue répondre à la vocation citoyenne d'une institution bancaire qui a toujours placé l'individu au cœur de ses préoccupations. En effet, elle a été créée pour répondre aux demandes des marocains résidents à l’étranger MRE aspirant à faire étudier leurs enfants au Maroc dans une école conçue spécialement pour eux. C’est ainsi que naquissent ses deux unités scolaires à Agadir en 1984 puis à Tanger en 1997, qui aujourd’hui, avec plus de 1400 élèves dont 900 enfants Marocains du Monde représentent des fleurons de l’éducation dans leurs régions. 2/4 La caravane «<I>Kan ya Makan</I>» arrive à Khénifra La Fondation Banque Populaire qui œuvre depuis plus de trente ans en faveur de l’amélioration du système éducatif national en général, n’a cessé de développer ses vocations et diversifier ses actions citoyennes. En adéquation avec sa stratégie, elle s’investie actuellement, dans le cadre d’une approche intégrée, en faveur de la scolarité d’excellence à travers l’équipement en connectiques et internet des classes préparatoires aux grandes écoles et l’amélioration des conditions de la scolarité dans le monde rural par la réhabilitation des écoles enclavées. Initier au plaisir du conte. La caravane ‘’Kan ya Makan’’ vient compléter cette vision du Groupe en direction des générations futures et réconforter sa politique de proximité envers les différentes composantes et forces vives de son environnement. Cette bibliothèque mobile qui distribue des livres aux élèves des classes CE4, CE5 et CE6 des écoles se trouvant dans la trajectoire de la Souk Bank, est aussi ponctuée par des séances animées par un conteur professionnel abordant des thèmes liés à l’histoire du Maroc et à l’éducation civique pour l’ensemble des élèves de ces écoles. 3/4 La caravane «<I>Kan ya Makan</I>» arrive à Khénifra Avec cette caravane ‘’Kan ya Makan’’, le Groupe Banque Populaire, à travers sa Fondation, ambitionne aussi d’atteindre la dimension culturelle et patrimoniale. L’objectif n’étant pas seulement de rapprocher le livre des élèves des zones rurales et enclavées qui souffrent déjà de l’éloignement de l’école et encore plus d’une bibliothèque, mais aussi de les initier au plaisir du conte en tant que patrimoine immatériel national. Alors quoi de mieux que de faire du passage de la Souk Bank dans ces zones reculées du pays, un rendez-vous culturel des élèves et leurs familles au moment où les nouvelles technologies envahissent tous les foyers et tous les milieux et tant que la demande du livre est toujours exprimée à en juger par la sollicitation du petit garçon de l’école Chtaouna qui n’ayant encore pas acquis la capacité de lire ?!. 4/4