Cauchemar à Venise - Angers Nantes Opéra
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Cauchemar à Venise - Angers Nantes Opéra
Cauchemar à Venise de Jean-Luc Annaix et Michel Arbatz Polar musical sur des musiques d’ANTONIO VIVALDI Créé au Théâtre Graslin de Nantes, le 2 février 2011 Coproduction ThéâtreNuit, Angers Nantes Opéra NANTES Théâtre graslin Mercredi 2, jeudi 3, vendredi 4, samedi 5, dimanche 6 février 2011 ANGERS GRAND THéâTRE Jeudi 10, vendredi 11, samedi 12 février 2011 En semaine à 20h, le dimanche à 14h30 41 n° saison 2010 | 2011 la distribution direction musicale, arrangements Pascal Vandenbulcke Jean-Luc Annaix direction vocale Christine Peyssens scénographie et costumes Alain Burkarth lumière Christophe Olivier maquillage Stéphanie Orillard mise en scène avec antonio vivaldi, aldo baccardi inspecteur goldone sœur alma, la contesse ciolina frère william lucio maseratti dona priora Fabrice Redor Cyrille Duriez Christine Peyssens Michel Hermouet Maureen Diot Mickaël Chartois flûtes Pascal Vandenbulcke Solène Comsa accordéon Florian Tatard violoncelle Et les musiciennes de Stradivaria, ensemble baroque de Nantes violon Laetitia Gillardot-Ballestro Béatrice Carême contrebasse Isabelle Delapeyronnie alto Les décors et les costumes ont été réalisés par les ateliers d’Angers Nantes Opéra. cauchemar à venise 2 les personnages ANTONIO VIVALDI, compositeur, maître de musique à la Piétà Imprévisible, fantasque, obsédé par son œuvre et hanté par son succès, il évolue dans son monde. Le fait qu’il soit prêtre et qu’il vive perpétuellement entouré de femmes ne fait qu’ajouter à la complexité de son personnage. DONA PRIORA, mère supérieure, intendante de la Piétà Elle mène tout son petit monde à la baguette. Intraitable, vénale, dominatrice et d’humeur sanguine, elle fait régner la terreur au sein de son établissement. SŒUR ALMA, cantatrice Dotée d’une voix magnifique, elle irradie de sa beauté et de sa jeunesse. Victime idéale, elle devient au fil de l’intrigue l’objet de toutes les convoitises. C’est elle que poursuivent tous les personnages de Cauchemar à Venise. FRERE WILLIAM, frère portier de la Piétà Il a tout de l’étoffe du héros. Jeune amoureux fougueux, déterminé, voire intrépide, son délicieux accent britannique et ses fautes grammaticales apportent un charme indéniable à sa jeune personne. ALDO BACCARDI, malfrat, sosie parfait de Vivaldi C’est le méchant de l’histoire. Insensible, calculateur, habité par le mal, il ne semble exister que pour détruire. Il représente le double machiavélique de Vivaldi, le créateur. LUCIO MASERATTI, malfrat, associé d’Aldo Baccardi Plus stupide que méchant, il suit avec une désarmante naïveté son complice de toujours, Aldo Baccardi. Bien que mélomane et donc sensible aux magnifiques accords du maître vénitien, il tombe dans tous les pièges que lui tend son complice. CAESARE GOLDONE, inspecteur de la Prévôté de Venise Construit à partir des différents stéréotypes d’inspecteurs véhiculés par la littérature policière, le cinéma ou la bande dessinée, ce personnage serait, dans la commedia dell’arte, à la fois le docteur qui pontifie et le matamore qui se vante sans jamais obtenir de résultat. Son impéritie récurrente finit même par le rendre touchant. LA CONTESSE CIOLINA, aristocrate vénitienne Elle se dit possédée charnellement par la musique et on la croit volontiers tant le son de sa voix évoque à la fois l’érotomanie et la mélomanie. Une fervente et fougeuse admiratrice dont Vivaldi se passerait bien. Et… la ville de VENISE. cauchemar à venise 3 l’histoire Qui veut la peau d’Antonio Vivaldi, directeur musical au Pio Ospedale della Piétà et compositeur comblé ? Nous sommes à Venise au début du XVIIIe siècle. Tout à la préparation de son prochain concert des Têtes couronnées auquel assisteront rois et princes venus de toute l’Europe, le prêtre roux est loin de se douter de ce qui se trame autour de sa personne. En quelques heures, sa vie va basculer et prendre l’allure d’une véritable descente aux enfers. Le nom même de Vivaldi pourrait bien tomber dans les oubliettes du temps... C’est alors qu’entre en scène Caesare Goldone, le redoutable inspecteur de la prévôté de Venise. Décidé à prendre les choses en main, il tente de débrouiller l’écheveau d’un sinistre complot ourdi par les ennemis du plus célèbre compositeur vénitien. Une course contre la montre échevelée s’engage alors pour sauver ce qui peut l’être encore… N’est-il pas trop tard au cadran de la Tour de l’Horloge de Venise ? Note du metteur en scène Voilà que l’univers quotidien du Maestro Vivaldi se détraque, se déglingue, se fissure, en un mot s’écroule. Voilà que le temps même n’obéit plus à aucune logique : les personnages sont tous emportés par une vague de démence aussi spectaculaire qu’inattendue, l’action s’emballe à tel point que les époques se confondent, que la nuit et le jour ne font plus qu’un, que le compositeur, hier adulé, se transforme en artiste maudit, que les sexes étonnamment s’inversent, que le prêtre roux - c’est un comble - se dédouble en un brigand haineux… Soit ! Nous sommes à Venise au début du XVIIIe siècle et ses habitants ne sont pas à proprement parlé des enfants de chœur. Mais, de là à imaginer que l’un des plus célèbres Ospedale de la ville de Venise, la Piétà est tombé plus bas que terre, relève de l’inconcevable. L’explication viendra en son temps pour le spectateur. Pour l’heure, contentons-nous de la garder secrète : on se doute bien que tout ceci n’est qu’un jeu. D’où le choix, pour traduire scéniquement cette histoire rocambolesque, de faire appel aux codes de la bande dessinée et du roman d’aventure. Cauchemar à Venise, une BD du dix-huitième siècle ? Oui ! Place aux jeux d’ombres et de lumières, place aux illusions d’optique. Et surtout, priorité au rythme, à l’allure débridée, aux chevauchées fantastiques, aux trépidations d’une mécanique bien huilée qui emporte tout sur son passage. Ici, on change de lieux en quelques secondes, on se coursepoursuite sur la lagune vénitienne, on tombe des nues à l’annonce d’un rebondissement, on se relève pour mieux retomber sous les combles d’un vieux théâtre. Les personnages ahanent, reprennent leur souffle, le temps d’écouter un duo ravissant pour être plongés de plus belle dans un tourbillon diabolique. Diabolique, comme l’est la musique d’Antonio Vivaldi. Sans toutefois que nous soyons dupes de toute cette effervescence. Car le second degré n’est jamais bien loin dans notre façon de mettre en scène l’humour. Il apporte avec lui le clin d’œil complice, le nécessaire recul, l’allusion comprise et partagée. Nous sommes de grands enfants mais quand même ! Sous ses allures de polar burlesque et bouffon, Cauchemar à Venise développe - l’air de rien – des sujets toujours d’actualité : les rapports entre l’art et l’argent, les démons indomptables du désir, le thème du double et d’autres encore. Cela ne nous autorise pas à gâcher la fête et à prendre des mines sérieuses et des poses inspirées. En privilégiant le rire, en favorisant la fusion du chant, de la musique et du théâtre, c’est à un divertissement noble que l’on convie tous les publics. Au fond, notre travail de création s’est donné pour but de rendre un hommage sincère à Antonio Vivaldi, compositeur toujours à redécouvrir, de retraduire théâtralement et avec espièglerie sa vitalité, son exubérance, sa générosité sans oublier sa part d’ombre. Jean-Luc Annaix cauchemar à venise 4 portraits d’artistes photos Phil Journé et DR Jean-Luc Annaix auteur et metteur en scène Le parcours de Jean-Luc Annaix se confond avec celui du ThéâtreNuit dont il est le fondateur et le directeur artistique. Il commence par faire ses gammes en 1981 avec les Bricopathes II, Baladar, adaptation chantée du texte de Jacques Prévert et Pour en finir une fois pour toutes avec la bonne chanson française, spectacles qui rencontrent tous un vif succès en France et à l’étranger. En 1984, il écrit et met en scène sa première comédie musicale : Wouap dou wouap et ses comédiens-rockers surprennent le public nantais. Le spectacle fait mouche et, surtout, le ton est donné. Suivront, avec un constant souci de renouvellement, des créations originales : Viva je t’aime, Descente au Paradis, Et Dokk, donc, s’en vint sur Terre..., Lune de miel. Il signe également des adaptations chantées d’œuvres classiques Le Songe d’une nuit d’été de William Shakespeare, retenu pour l’opération coup de cœur de l’ADAMI et coproduit par le CRDC, scène nationale de Nantes, Il nous faut de l’amour d’après Jacques Offenbach et Antigone de Sophocle. En 2000, la Région des Pays de la Loire et le Festival Club des 5 lui confient la réalisation du Bal ailé, bal festif et interactif sur le thème du paradis. Dès sa création en 2001, sa comédie musicale Battements de cœur (pour duo de cordes) rencontre un très grand succès. Traduite en américain et en espagnol, elle dépasse le cap des 330 représentations et après les Etats-Unis, tourne toujours en France. En 2006, il rassemble au sein du projet fédérateur Printemps des auteurs, Catherine Zambon, Valérie Deronzier, Michel Arbatz, Anne Sylvestre, Nathalie Fillion et Emmanuel Darley, des compositeurs Jean-Yves Bosseur, Jean-Pierre Néel, Christine Peyssens, six comédiens-chanteurs, trois musiciens et partageant la mise en scène avec Delphine Lamand. En 2008, il conçoit et met en scène une nouvelle comédie musicale Minuit Song tout en répondant à une commande de comédiens amateurs : Ce sera Prévert en octobre qu’il cosigne avec Michel Arbatz et met en scène. Membre élu des E.A.T. Paris (Ecrivains associés du Théâtre) depuis 2009, il vient de co-écrire avec Jonathan Kerr un Manifeste pour un théâtre musical populaire - Editions l’Œil du Souffleur. Michel Arbatz auteur Michel Arbatz s’adonne très tôt à la musique à la poésie et au théâtre. Auteur, compositeur, chanteur et comédien, intéressé par la théâtralité sous toutes ses formes (chanson incluse), il crée sa propre compagnie « Zigzags » en 1989 et met en scène une douzaine de spectacles faits d’un mélange inclassable de textes, de gestes et de musiques. Parmi les plus importants : Ma nuit chez Lucy (93), A minuit au balcon (95), Cabaret Dubillard (98), Rue de la Gaîté (Une vie rêvée de Robert Desnos) (2000-2002), Retrouver le Sud (2005) et De A à Z (2008). Il a réalisé huit albums de ses chansons, ainsi que deux CD consacrés, l’un à Robert Desnos (FFFF Télérama), l’autre à Roland Dubillard (Choc du Monde de la Musique). Il a également collaboré en tant que musicien-compositeur avec Armand Gatti, Michel Rostain, Alain Timar, entre autres, et écrit des musiques de films pour Pavel Lounguine et Jean-Yves Cauchard. Parmi ses dernières collaborations dans le domaine du théâtre musical, une participation au livret de Marius et Fanny de Vladimir Cosma (d’après Pagnol, 2007, Opéra de Marseille) et Prévert en octobre, pièce de théâtre musical en coécriture avec Jean-Luc Annaix. Michel Arbatz anime régulièrement des ateliers d’écriture et d’interprétation de la chanson depuis une vingtaine d’années et impulse les activités de la Brigade d’Interventions Poétiques de Montpellier, gang mobile de diffusion orale de la poésie. Outre son manuel d’écriture de la chanson Le Moulin du Parolier (quatrième édition en cours), il a publié des recueils de chansons et poèmes, et un récit, Le Maître de l’oubli, publié fin 2008 au Temps qu’il fait. cauchemar à venise 5 portraits d’artistes Pascal Vandenbulcke directeur musical, arrangeur flûtes Formé au Conservatoire de musique de Nantes puis à la Sorbonne, il obtient un prix de soliste au 10e concours National de Jazz de la Défense. Multi-instrumentiste, il compose pour le théâtre, rejoint des ensembles de jazz comme le groupe Mukta, travaille à la mise en musique de soirées événements, répond à des commandes de l’ADDM 44, de la Maison de la Culture de Loire-Atlantique, du Conseil Général de la Manche. Il a signé l’habillage sonore de TéléNantes. Complice artistique de Jean-Luc Annaix, il assure depuis 1986 la direction musicale de tous les spectacles de la compagnie ThéâtreNuit. Christine Peyssens directrice vocale, comédienne-chanteuse Après de solides études musicales à la Maîtrise de Radio France (1968–1975) et une formation théâtrale au cours René Simon à Paris, elle devient comédienne-chanteuse capable de se confronter aux genres artistiques les plus variés, passant de l’opéra dans Bastien et Bastienne (Mozart) sous la direction d’Eric Krugger aux cabarets parisiens où elle crée le duo Chris et Laure. Après un détour par le one woman show, elle s’installe à Nantes et travaille pour le théâtre sous la direction de Jean-Luc Tardieu et de Michel Liard. Elle collabore à plusieurs reprises avec la compagnie chorégraphique NGC 25 notamment dans Messe basse et Droit devant jusqu’au matin. Depuis 1986, Christine Peyssens est de toutes les aventures du ThéâtreNuit comme artiste-interprète mais également en tant que pédagogue et arrangeur musical. Alain Burkarth scénographe, costumier Implanté à Rennes, il collabore avec de nombreuses compagnies de théâtre comme le Théâtre de l’Arpenteur ou Légitime Folie mais aussi avec Jacques Gamblin pour la scénographie des spectacles Le toucher de la hanche, Entre courir et voler, Tout est normal mon cœur scintille. En tant que costumier et accessoiriste, il a participé aux créations du Centre Chorégraphique National de Rennes Les Mariés de la Tour Eiffel, Rue de la Bastille mises en scène par Gigi Caciuleanu ainsi qu’au spectacle Le Château mis en scène par G.B. Corsetti au Théâtre National de Bretagne. Pour le ThéâtreNuit, il a réalisé les scénographies de Battements de cœur (pour duo de cordes), Printemps et Minuit Song. cauchemar à venise 6 concepteur lumière De nature pluridisciplinaire, il travaille aussi bien pour le monde de la danse comme la compagnie Myriam Naisy ou le Ballet Royal du Cambodge que pour celui du théâtre et de l’événementiel avec la mise en valeur de monuments historiques. Il a conçu les lumières pour de nombreux festivals ainsi que pour des chanteurs comme Yann Tiersen, Brigitte Fontaine et Alain Bashung. Pour le ThéâtreNuit, il a imaginé les lumières des spectacles Il nous faut de l’amour, Antigone, Battements de cœur (pour duo de cordes), Printemps et Minuit Song. Il vient de réaliser la création des lumières du dernier spectacle de Jacques Higelin. Stéphanie Orillard maquilleuse Après un premier prix en école de maquillage à Paris, elle entre à la SFP (Société Française de Production). De la TV, elle passe au cinéma auprès de réalisateurs tels que Philippe de Broca, Jean-Loup Hubert ou Claude Chabrol. Parallèlement, elle collabore avec des chorégraphes comme Claude Brumachon ou Hervé Maigret (NGC 25). Pour le ThéâtreNuit, elle a réalisé les maquillages des spectacles Antigone, Lune de Miel, Le Songe d’une nuit d’été, Il nous faut de l’amour, Battements de cœur (pour duo de cordes), Minuit Song. Elle vient de concevoir la création maquillage du dernier spectacle de Matthieu Chedid. Fabrice Redor comédien-chanteur Il se forme à l’Institut des comédiens de la faculté d’Aix-en-Provence et parfait sa formation auprès de Christian Rist, Hélène Vincent et le chorégraphe Claude Brumachon. Il collabore avec la plupart des compagnies nantaises : la compagnie CRAC dans La Double Inconstance de Marivaux, mise en scène Hélène Vincent, la compagnie Michel Liard dans Les Titchs de Calaferte et Croisades de Michel Azama, La Chamaille dans Othello, mise en scène Hervé Tougeron. En 2004, il cosigne la mise en scène de Don Juan - autopsie d’un mythe avec Georges Richardeau créé par le Théâtre de l’Ultime qu’il rejoint en 2009 dans Beaucoup de bruit pour rien. Comédien, chanteur et danseur, son parcours artistique est lié à celui du ThéâtreNuit depuis la comédie musicale Descente au Paradis, mise en scène par Jean-Luc Annaix en 1991. cauchemar à venise 7 portraits d’artistes Christophe Olivier portraits d’artistes Michel Hermouet comédien-chanteur Formé au Conservatoire National de Région d’Angers puis à l’Ensatt - Ecole de la rue Blanche à Paris, il entame un long compagnonnage avec le Théâtre Régional des Pays de la Loire, dirigé par Jean Guichard, puis par Patrick Pelloquet : Le Barbier de Séville, la Condition Humaine, Tartuffe, L’Avare. De 1989 à 2002, tout en mettant en scène Guitry et Courteline, il joue successivement sous la direction de Mehmet Ulusoy et le Théâtre de la Liberté dans le Pilier, une saison au Congo, Coulisse, d’Hervé Lelardoux et le Théâtre de l’Arpenteur Ubu Roi et Dimanche 14h15, enfin de Didier Guyon et la compagnie Fiat Lux Don Quichotte, Nouvelles folies, A la Bastille. Le metteur en scène Alexis Chevalier - Théâtre Messidor - fait appel à lui pour son adaptation de Candide de Voltaire. Il rejoint le ThéâtreNuit en 2008 dans la comédie musicale Minuit song de Jean-Luc Annaix. Mickaël Chartois comédien-chanteur Après une formation au Conservatoire National de Région d’Angers puis, en chant au Conservatoire National de Région de Nantes, il co-fonde le Théâtre Logline tourné vers les arts du cirque et de la rue : Face à Farces, Le Dompteur et le garçon de piste. Il rejoint à Saint-Barthélémy d’Anjou l’équipe du Bibliothéâtre : Fair Play, Vestiaires, Mon amour et joue sous la direction de Philippe Mathé. En 2009, il participe en tant que comédien-chanteur à la fresque historique théâtralisée du Château de Langeais, mise en scène par Eric Manini. En 2008, Il crée la Compagnie du Nid de Pie qui propose des spectacles musicaux de lecture à voix haute : Au cœur de Maupassant, La Tête en friche, Ode à la femme. Maureen Diot comédienne-chanteuse Formée à la comédie musicale au Conservatoire du 9e arrondissement de Paris, elle y pratique toutes les disciplines : chant, théâtre, danse jazz et danse classique. Auteur, compositrice et interprète, elle crée le groupe Maureen & the Suricat’s band. Elle est choriste pour Anne Franck Le Musical, sous la direction de PierreYves Duchesne. Au cinéma, elle tourne dans Gazon Maudit de Josiane Balasko, Frères ou la Roulette rouge d’Olivier Dahan ou Le Piranha andalou de Delphine Gleize. Au théâtre, elle joue dans Maître Puntilla et son valet Matti pour le Théâtre de la Jacquerie et Inventaires pour la Compagnie du Bastringue du Parvis. cauchemar à venise 8 comédien - chanteur Etudiant au cours Simon puis à l’Ecole Supérieure d’Art Dramatique de Pierre Debauche, il joue dans plusieurs mises en scène de Pierre Debauche : Le Cid, Cyrano de Bergerac, le Sourire d’Averroes et de Robert Angebaud : Capitaine Fracasse, La Punaise. Avec la Compagnie Plein Vent, il participe à plusieurs projets : Hommage à Gérard Philipe, On ne badine pas avec l’amour, Feu la mère de Madame, Mais n’te promène donc pas toute nue. Il joue dans la comédie musicale Le petit manège de Nicolo, mise en scène par Patrick Halluin. Ancien membre des Petits Chanteurs à la Croix de Bois et parallèlement à sa carrière de comédien-chanteur, il est devenu auteur, compositeur, interprète et prépare son premier album. Solène Comsa violoncelle Après une formation au Conservatoire National de Région de Nantes et l’obtention de ses diplômes de solfège et de violoncelle, elle se tourne vers différentes disciplines (chanson, théâtre, marionnettes, jazz manouche, jazz rock, musique népalaise…) qui l’amènent à se diversifier autant dans l’écriture que sur scène. Depuis six ans, elle collabore avec différents artistes et compagnies tel que Ty Zef, la compagnie Piment Langue d’Oiseau, le chanteur nantais Grigri Blue, Drolatic Industry, le Théâtre de l’Echappée, Complexion Quartet. En 2010, elle réalise et produit avec le guitariste Daniel Givone un album franco-népalais autour des compositions de Bharat Nepali, joueur de sarangi (violon népalais). Avec la compagnie ThéâtreNuit, elle participe à l’aventure Printemps en tant que violoncelliste. Florian Tatard accordéon Musicien surdoué, Florian débute l’accordéon à l’âge de 7 ans, aux cotés de Daniel Louër à Cordemais. Ce dernier lui fait découvrir le jazz et l’intègre 3 ans plus tard dans son big band. Florian rentre ensuite au Conservatoire National de Région de Nantes où il étudie le jazz, l’écriture et l’accordéon classique avec Jean-François Daussy. Aussitôt il se révèle en tant qu’improvisateur et travaille avec des personnalités telles que Claude Tchamitchian, Joëlle Léandre, Jean-Luc Cappozzo, Daunik Lazro, ainsi que de nombreux musiciens nantais comme François Ripoche, Dominique Levoadec, Pascal Vandenbulcke, Frédéric Chiffoleau, Armel Dupas… Aujourd’hui, ses projets varient entre musiques improvisées (quartet avec Jean-Luc Cappozzo, Daunik Lazro et Yann Théophage), jazz (trio avec Toma Gouband et Ivan Brault), musette (avec Ivan Brault et Jimmy Fétiveau) et classique (duo avec Jean-François Daussy). Il rejoint le ThéâtreNuit en 2006 en tant qu’accordéoniste dans Printemps. cauchemar à venise 9 portraits d’artistes Cyrille Duriez portraits d’artistes Isabelle Delapeyronnie contrebasse Elle est actuellement professeur de contrebasse au C.R.R d’Angers et membre de l’Ensemble Baroque de Toulouse. Son parcours musical s’est organisé autour de la musique classique et l’interprétation de la musique baroque sur instrument ancien. Elle fut membre de l’Ensemble Baroque « A Cinque » et aussi membre du quintette « Hora Cero » spécialisé dans la musique d’Astor Piazzolla et du nuevo tango. Ces diverses expériences l’ont conduite à travailler avec les formations symphoniques de Montpellier, le Capitole de Toulouse, l’orchestre Bayonne Côte Basque et des chefs tels que JJ Kantorov, E Krivine, A Lombard, JC Malgoire, M Radulescu, J Suhubiette et l’ensemble « Les Eléments », Hugo Reyne et « La symphonie du marais », Daniel Cuiller et Stradivaria, la Maîtrise de Versailles. Elle participe à certains projets culturels menés par l’ensemble « Galatée » en Vendée. Isabelle Delapeyronnie fait partie de Stradivaria / ensemble baroque de Nantes. Laetitia Gillardot-Balestro violon Violoniste et altiste, elle est diplômée du Conservatoire à Rayonnement Départemental d’Orléans, de celui de Blois, de celui de Villeurbanne et du Conservatoire à Rayonnement Régional de Paris, dans la classe de Daniel Cuiller en violon baroque . Elle joue avec les orchestres d’Orléans et de Tours et dans diverses formations de musique ancienne, notamment Stradivaria. Elle pratique la musique de chambre avec l’Ensemble Kaléidoson et en sonate avec Ludmil Raytchev. Elle enseigne le violon au Conservatoire à Rayonnement Communal d’Olivet depuis 1987. Laetitia Gillardot-Balestro fait partie de Stradivaria / ensemble baroque de Nantes. Béatrice Careme alto Après avoir étudié le violon et le piano pendant dix ans en Normandie, Béatrice Carème se tourne vers l’alto et travaille avec Serge Collot. Titulaire du C.A de professeur d’alto, elle enseigne au Conservatoire de musique de Vannes depuis 1997 et participe à la diffusion musicale de sa région. Depuis 2003, Béatrice Carème participe régulièrement aux productions de Stradivaria, Ensemble Baroque de Nantes. Béatrice Careme fait partie de Stradivaria / ensemble baroque de Nantes. Le ThéâtreNuit Le ThéâtreNuit est une compagnie professionnelle implantée à Nantes. Spécialisé dans le théâtre chanté et la comédie musicale, il produit et diffuse ses spectacles en région des Pays-de-la-Loire mais aussi dans toute la France et à l’étranger (Etats-Unis, Belgique, Afrique de l’Ouest, Afrique Centrale, Afrique de l’Est, Suisse). Il pilote des projets de création au sein d’établissements scolaires et propose régulièrement des stages de sensibilisation à la comédie musicale. Le ThéâtreNuit est conventionné par la Ville de Nantes, la Région des Pays-de-la-Loire et le Conseil Général de Loire-Atlantique. Le ThéâtreNuit a été nommé à deux reprises aux Molières - Prix Adami pour l’ensemble de sa démarche artistique. cauchemar à venise 10 Angers Nantes Opéra est un syndicat mixte Présidente Vice-Président Directeur général Monique Ramognino Yannick Guin Jean-Paul Davois Angers Nantes Opéra est financé par Réalisation programme : MCO (02 40 47 74 75) Les villes de Nantes et d’Angers, L’État / Préfecture des Pays de la Loire / Direction Régionale des Affaires Culturelles des Pays de la Loire, Le conseil régional des Pays de la Loire, Les conseils généraux de Loire-Atlantique et de Maine-et-Loire Le ThéâtreNuit reçoit le soutien de La ville de Nantes, Le conseil régional des Pays de la Loire, Le conseil général de Loire-Atlantique, L’ADAMI La SPEDIDAM Accueil en résidence de la création au Théâtre de Verre de Châteaubriant cauchemar à venise 11 Prochains rendez-vous Falstaff de Giuseppe Verdi Direction musicale Mise en scène Mark Shanahan Patrice Caurier et Moshe Leiser A soixante-dix neuf ans, délaissant les fresques historiques que sa musique avait si bien servies, c’est vers le Shakespeare des comédies que Giuseppe Verdi se tourne pour lui emprunter son Falstaff, truculent personnage dont la rondeur bouscule Henri IV et Les Joyeuses Commères de Windsor. Comme pressé par l’urgence de l’âge, Verdi ne s’encombre ici d’aucune ornementation, dévore l’abondance des mots et l’accumulation des scènes avec un sens consommé du théâtre, fond les airs en un arc-en-ciel de nuances et, plutôt que de céder à la tristesse d’une œuvre testamentaire, fait de son Falstaff un magnifique festin musical, un chatoyant hommage à la vie. Coproduction Angers Nantes Opéra, Opéra de Rennes NANTES THEATRE GRASLIN : Dimanche 13, mardi 15, vendredi 18, dimanche 20, mardi 22 mars 2011 ANGERS LE QUAI : Jeudi 31 mars, dimanche 3 avril 2011 En semaine à 20h, le dimanche à 14h30 RENNES - OPERA : Vendredi 15, mardi 19, jeudi 21 avril à 20h - Dimanche 17 avril à 16h L’Elixir d’Amour de Gaetano Donizetti Direction musicale Thomas Rösner Mise en scène Richard Brunel L’Élixir d’amour distille habilement tous ces ingrédients pour que les quiproquos se multiplient, que l’on ruse et s’amuse, que l’amour aille et vienne au fil des airs. Et que tout finisse bien. Nouvelle production - Coproduction Opéra de Lille, Opéra de Rouen Haute Normandie, Opéra-Théâtre de Saint-Etienne, Opéra-Théâtre de Limoges, Angers Nantes Opéra. ANGERS LE QUAI : Lundi 9, mercredi 11 mai 2011. NANTES THEATRE GRASLIN : Vendredi 20, dimanche 22, jeudi 26, samedi 28, mardi 31 mai 2011. A l’occasion de la journée européenne « TOUS A L’OPERA » – samedi 7 mai 2011 Angers Nantes Opéra invite le public à assister une répétition de l’Elixir d’Amour. samedi 7 mai 2011 à 20H au Théâtre Le Quai à Angers Places limitées - Modalités des réservations communiquées ultérieurement. ET POUR EN SAVOIR PLUS SUR VIVALDI Le ThéâtreNuit vous recommande La Venise de Vivaldi (Grasset) par Patrick Barbier. Billetteries Nantes : 02 40 69 77 18 - www.angers-nantes-opera.com Angers : 02 41 22 20 20 Rennes : 02 99 78 48 78