L`Union Agricole - Site en travaux, le week

Paraissai t
l e V E N D R I ;DI
L e Numéi o î
Vendredi 6 Janvier 1933.
L'Union
Il y a infiniment pen
de mauvaises chances
dans le monde,
si on fait la part
de celles
qu'on aurait po éviter.
ET MARITIME
Centimls
BEETHOVEN
Organe Républicain Démocratique et Régionaliste de l'Ouest
ANNONCES ET RÉCLAMES
Réclames (4» page), la ligne. 1 fr.
—
(3* page),
— . 1 fr.
Annonoes judic. et v o l o n t . . . 2 fr.
—
Chronique locale.. 2 fr.
»
50
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Let annonces sont reçues aux bureaux
du journal. Pour la publiciU extraRue
départementale, s'adresser, »9,
du Faubourg-Poissonnière, Parts (9"),
Tél. : Provence, 44-57.
COMMUNICATIONS
E T ANNONCES
à QUIMPEKLE, 13, quai Brizenx COMPTE COURANT POSTAL, RENNES
LA
SEMAINE
FÊTES
DS LA UtMAINK
S. Lucien.
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S. Pau).
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Bapt. de N.-S.
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Lntr CoMb. Mat. Soir
7 45
7 45
7 44
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7 43
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2 » 14 22
2 44 15 04
3 22 15 41
3 5« Iti 15
433 lost
510 17 26
A p r o p o s d u TiiMl»re
antituberculeux
Tél. 1 - 4 8
14-139
Le» abonnement» M paient «Tapant* et
partent du 1" de chaque mois.
On s'abonne an bureau du Journal, ou en
adressant un mandat-chique au C/C lt.1S9,
Rennes.
Le Nouvel An à l'Ambassade de France, à Bruxelles
<«Himt«tt»itrairaiiiitiinmimiimmwinunniiiui!iinniHiminimni!BinimBirinniiiuniiiiiuiiiiiiiiiiiiiiniiiiiiiiinviiiiimiiiuiiuiiimiiigiiiii
i
ABONNEMENTS (UN AN)
Finistère, Côtes-du-Nord, Morb. 1 2 fr.
Autres départements et colonies.
1 4 fr.
Etranger.
LES PREFETS POLITICIENS
ou « comment on case ses Amis
« Le Syndical Unitaire de VEnseignement alerte
le personnel pour que tçus. instituteurs,
institutrices,
se refusent à quêter et à faire quêter leurs élèves. »
Le 18 Décembre, une grande lin fut, pendant quatre ans, sousmanifestatiton
« républicaine » Dréfet dans le département de la
était organisée à Morlaix pour Savoie, d o n t M. Pierre Cot est le
eter le succès de M. le docteur Député » .
Le correspondant, à Château autres, subventions et allocations
|Mazé, élu député de l'arrondisse
neuf-du-Faou, du' Breton
Socia de toutes sortes. Le budget atteint
C'est, en effet, un point d'his[ment. Le nouveau préfet du Fi toire qu'il convient de rappeler,
liste a adressé la semaine dernière des chiffres astronomiques : 88
nistère, M. Larquet, y était. A u car ceci éxplique cela.
ïi son journal un article intitulé milliards de francs environ, et,
•ours du banquet, M Larquet,
« Pour combler un déficit » . Illes dépenses publiques s'accroisdans un toast vibrant, tint à ex r
Nous croyons pouvoir assurer,
reproche aux joueurs de l'Union sant t o u j o u r s : on arrive cepen• p r i m e r la sincérité de son répu- sans blasphémer contre le régime,
Sportive chàtcaimeuvicnne d'avoir dant à un déficit de 27 milliards,
. plicanisme.
"u'il faut voir dans la nomination
300 millions pour soutenir donné un match dont la recette d'après les calculs du ministre des
; I On ne peut guère se tromper e M. Moulin, beaucoup moins 1-a
devait
être
versée
intégralement
les cours du blé.
Finances lui-même, M. Chéion.
sur le sens de ce mot. Un prefet consécration de qualités particuau Bureau de Bienfaisance, qui
Il semble que, pour arriver à
La Chambre a adopté, dans la n'est, assure-t-il, « qu'un sousqui, en République, serait bona lièrement éminentes que la r é nuit de mardi ù mercredi, le proje groupement politique attaché au un équilibre budgétaire, il faille
partiste ou royaliste serait près compense de bons et loyaux serde loi n-datif à la défense <lu mar
commencer par réduire le train de
qUe « un monstre administratif » vices électoraux. L'histoire j u s q u e chariot
municipal
»
.
ohc <iu blé. Aux termes de c e projet
vie de la maison France. Les
Si M. Larquet n'est pas un nions là n'a rien que d e très normal,
le ministre des Finances sera auto
Faut-il en déduire q u e c'est ministres des Finances et du
tre il est donc républicain, au sens nous dirons presque de très moral.
risé à consentir à ln Caisse natio aussi la raison d'être du Bureau Budget o n t proclamé, les uns
, .va
^^ouvjlAn.
/« Colonie Française dr Bruxelles a été m:ué|exact du mot, et' comme il sent le C'est l'histoire d u débiteur honnale de crédit agricole, pour un an de Bienfaisance dans les villes
au maximum, des avances pouvant régies par des municipalités socia après autres, qu'il faudra d e m a n - | ^ . ™ - Corbin, ambassadeur de France. — Voici M. Corbin au milieu de ses besoin de l'affirmer et d'y insis- nête qui paie ses dettes, la parader des sacrifices à toutes I e s | " " " / M
ter, c'est qu'il doit l'être aussi, au
atteindre 300 millions et susceptible
catégories de Français. Mais, dès
de faciliter le financement de I listes.
ctiart « c m on » yjju». Isens qu'attribuent à ce mot les récompense l'économe fidèle,
Le correspondant ajoute: « Rien que l'on en parle, chacun pousse
=
=
récolte de 1932. 11 s'agit d'avance
=
'politiciens de gauche qui l'entou surtout
l'histoire du parti
.
parti ra
radicalau taux de 2 % à faire aux produc- n'empêcherait plus tard les mêmes les hauts cris. Des sacrifices, oui !
nnmnt
«n
IX
X 1
T
A
jour-là.
M.
Larquet
est socialiste depuis une cinquantaine
raient ce
teurs, par l'intermédiaire des Cais- joueurs de donner un autre match mais seulement pour les autres.
républicain, entendez: laïque inté d'années et la raison profonde de
ses régionales de crédit agricole. La pour le timbre antituberculeux
Et les instituteurs syndiqués ont
|gral.
ses succès électoraux.
Caisse des dépôts et consignations s'ils
ne connaissaient
l'usage été les premiers à se plaindre et
Il était déjà connu comme tel
procurera les fonds nécessaires.
Une seule chose pourrait surqu'on fait de cet argent ainsi à proférer des menaces. Non seuarle de nouveau. Ceux du temps qu'il était sous-préfet prendre, voire scandaliser (s'il
Faris-Saïgon
drainé dans les familles ouvrièlement ils n'acceptent pas de
Les négociations res » .
e n 1 0 j o u r s , 7 h e u r e s qui votèrent à Rauche en Mai dernier de Morlaix, et c'est pourquoi les peut encore l'être), le pauvre franréduction de salaires, mais ils
parlementaires cartellistes du Fi- çais moyen. C'est de voir un souspour qu'elle
franco-américaines
L'aviateur
René Lefèvre, pilotant tousr leurs
> Le correspondant rappelle que demandent
en outre q u e leur
vœux.
" I n i s t è r e ont tenu à le faire revenir, préfet de Châteaulin travailler
,
,
î
un
avion
muni
d'un
moteur
de
45
CV
..
Les négociations franco - ainéri l'année dernière il a été versé une
L'inflation représente, pour eux, cette fois à la tête du départe- « aux Affaires Etrangères a u x
caines sont suspendues jusqu'au 4 certaine somme au sanatorium du retraite soit accordée a 55 ans au 1U réussi ù effectuer la liaison Paris cette période de 1925-192C, où le ment.
lieu
de
(»0
ans.
—
côtés d e M. Cot, sans toutefois
Saïgon
en
10
¿outfs,
7
heures,
50
mi
Mars, date de l'entTée en fonctions clergé de Thorenc et'au sana des
I] a d'ailleurs déclaré lui-même abandonner ses fonctions de sousIl ne suffit d'ailleurs pas de mites, du 18 au 28 Décembre, soit commerce et l'industrie étaient fiode la nouvelle administration. M
parce qu'on achetait n'ira- L ; r ' J Jr, T ™ ; » i „ n J
Hoover persisterait à demander le étudiants catholiques des Petites promettre la lune ou d'y rêver ; il u n parcours de ¡13,300 kilomètres, rissants
porte quoi à n'imiporte quel prix. R J ?n e" Cr?,'t
f ° ¿ p e c / i e de préfet de Châteaulin ». Il y a làs „ o n « x P'u«t présente un gros in
règlement de l'échéance du 15 Dé Roches. Il trouve cela odieux faut parfois regarder la réalité en
pour
se
débarrasser d'une monnaie l
. '. c'ue <Ia m i t l é
Parle- dessous un mystère. De deux c h o cembre, préalablement à tout pour impardonnable.
face. Or la réalité est qu'il man,' d : u f a i t
la force motrice qui se dépréciait de jour en jour.
mentaires qu il connut dans la ré- ses l'une, ou bien M. Cot va instalparler.
Par contre, lui, qui est institu que 27 milliards d i n s lis misses ? m £ l o y é ® . " e d<Massait par 45 CV.
De là à prétendre qu'un retour à |8i° n et les démarches qu'ils ont ler à Châteaulin les services d u
teur sans doute — la plupart des
-n- .
caisses i. e fèvre devient détenteur provisoire cet état de chose remédierait à la I bien voulu faire lui ont valu de sous-secrétariat d'Etat aux A f f a i ÔV
Un nouveau modus-vlvendi correspondants du Breton Socia- de I Etat, 27 milliards qu'il fau- de la Coupe du Président de la Ré crise actúese, il n* a qu'un pas àlrevenir dans le d é p a r t e m e n t » , res Etrangères, ce qui serait une
Et il assure que leurs espéran- victoire retentissante pour les aufranco-allemand.
liste sont des instituteurs — il (ira recupérer soit par les écono- publique, laquelle* sera attribuée L taire, et certains l'ont vite franchi.
ît en est memo qui peu après les ces ne seront pas déçues et qu'ils
tonomistes, o u bien « le s y m p a Une nouvelle convention doua pii'ssc volontairement sous silence nnes massives, soit par l'emprunt!l'ayiateur qui,.airec «ji- avion léger à élect ons, misant quelque peu s-ur D 0 u r r 0 n t comnter snr lni
nière vient d'être signée entre la ce qui a été versé en faveur des (et les rentiers « convertis » sè faible puissance- aura effectué Ta liai- Herrrot, ont fait des achats considé-1 , m i n m í l t í S " r , I u l
tique et distingué » M. Moulin
. .
s
o
n
instituteurs publics et de leurs méfient), soit par des impôts n o u - l
France et l'Allemagne.
Paris-Saigon dans l e moindre rabies, moyennant des facilités de
Lar(Iuf1' écr't ^
Depeche, va s'installer à Paris et continuer,
Le nouvel accord concerne: la dé élèves.
veaux (et les contribuables, fati-1 t e m P s paiements, dans l'espoir qu'avant la v e , a s s u r e r tous les droits aux- de très loin et de très haut, ses
consolidation des droits consentis à
U n a v i a t e u r Italien
fonctions de sous-préfet breton ?
L'inspecteur
d'Académie de gués, n'en veulent plus).
fln des échéances, M. Herriot aurait Iquels peuvent prétendre les rél'Allemagne : les devises et le touTant que ce déficit ne sera pas s'adjuge le record de hauteur une fois de plus crevé le plafond et publicains. Et il entend faire de
Cette deuxième hypothèse nous
Quimper a cependant signalé que
risme.
comblé et la situation rétablie, il pour hydravions de tourisme. qu'il serait obligé de recourir à Inouvelles semailles et préparer de paraît la plus sérieuse. Tout le
En ce qui concerne les tarifs, nos l'an dernier, sur un chiffre total L ï f f
l r ° I ) e x i « c r c I e ? « c o >L'aviateur italien Furio Nielot a l'inflation. Cela leur permettrait de {nouvelles récoltes. Il espère ainsi monde sait qu'en dehors de la
négociateurs ont obtenu par des ai- de recettes de 289.669 fr. 85, le
lectivites
diverses
»
et
ce
n'est
pas
battu
à l'Aéro-Port d u Licteur le payer avec des billets de banque bien faire triompher les bleus pour le campagne électorale, ou il turbine
comité
départemental
avait
attrirangements appropriés que nos ex
naix »
une
«
malhonnêteté
»
que
de
faire
iccord
mondial de hauteur pour hy- deprecies de la marchandise excel- m-ogrès et DOUI- la P
dur, le travail d'un sous-préfet
portations en Allemagne ne soient 'jué une subvention de 3.000 f r .
lente et qui conserverait toute sa n » „ , , ï c
m t
f'
apnel
à
la
collaboration
des
partidravions
de
tourisme
qui
était,
déteplus rendues quasi impossibles.
i l'œuvre des cantines scolaires
valeur.
Depuis que M. Larquet a quitte n'est pas particulièrement haras¡nu par un autre Italien, le pilote
sant. 11 ne reste guère plus de m o Pour des devises, les importateurs des écoles primaires publiques du culiers.
Conception d'égoïstes, politique l a s o . u s "Préfecture de Morlaix, la numents à inaugurer, de toasts à
Quand un ennemi aussi redou- ^, i a , n P n i - 11 a atteint 8.200 mètres
allemands ne seront plus en butte à département et une subvention de
du
pire
qui
est
justement
à
l'origine
terminologie
politique
a
quelque
(l
des fopniwlités inextricables dans leur 1.000 francs à la Mutuelle antitu- table que la tuberculose rôde , "»'t.wle,.battant de 2.871 mètres le
de nos déboires actuels.
Ipeu changé. Il n'est plus question prononcer, la saison des banquets
autour de nos foyers, il n'y a pas , c c o r d 1 > r é c è d e n t
propre pays pour être admis à ex
berculeuse
des
membres
de
l'enL'inflation?
C'est
la
planche
à
aujourd'hui de « B l e u s » , le père semble terminée, celle de la chasse
porter des capitaux en France afin
trop des efforts de tous ; l'union
U n c h a l u t i e r a n g l a i s coule,
bilets fonctionnant sans arrêt, Ja Le Bail ayant fait triompher la également. Que faire à Châteauseignement, et que le Comité sacrée est ici plus indiquée que
de payer les marchandises.
tempête
fait
rage
sur
les
côtes
L a
chute vertigineuse du franc, l'hémor- formule « Rouges et Blancs » ; on lin, à moins que l'on ne songe,
Quant aux touristes allemands qui national a alloué tout récemment jamais, et 1 on ne comprend pas anglaises et écossaises. Le chalutier ragie de 1 or qui repasse la frontière, i t cependant aue les bleus de aurait dit La Fontaine ?
sa
:
les
subventions
ci-après
ne pouvaient avoir en franchissant
que des hommes, qui devraientI Venelia, d'Aberdeen, s'est brisé sur la confiance ru née, la hausse désor- M T ' »
.-Ir' f meus ae
Un cumul nous semble d o n c
notre frontière que 300 marks dans
Œ u v r e du sanatorium des ins- être une élite, puissent bouder les récifs, à quelques milles au large donnée des prix. L'inltation ? C'est M " Larquet ne diffèrent guere des
leur portefeuille, ils seront, à partir tituteurs et institutrices (Sainte- une œuvre aussi louable, pour ( i e ce port.
très
facile entre les fonctions sousr
l'épargne amputée des 4/5 de son ° u g e s de M. Le Bail,
du 1" Février, autorisés ù emporter Feyre), 100.000 francs ; Œ u v r e du
avoir, le contribuable surchargé! On saura aussi désormais que préfectorales et d'autres fonctions
L e s neuf hommes de son
une
question
de
salaires.
équi700 reichsmarks.
d'impôts, 'le pays en faillite.
Idans la République des camara- du même ordre. Nous avons là
sanatorium d'Odeillo (Fédération
érL
JEAN LE GALL.
I p " Dans
*e
le pport
de Holyhead, un vaII
y
a
pourtant
des
Français
qui
des on se moque de la séparation sans doute une des premières réagénérale
des
associations
départeM. Henry de Jouvenel
peur ayant chassé sur ses ancres, oublient cela ! Ils oublient aussi que Ides pouvoirs et de la neutralité lisations de la grande réforme admentales
des
pupilles
de
l^îcole
iimmiimiimmmiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
ambassadeur à Rome
s'est brisé contre une jetée.
les conditions économiques ne sont des fonctionnaires,
ministrative dont o n nous rabat
publique), 25.000 francs ; Comité
Un trois-mâts est en perdition au pas comparables aujourd'hui à ce
les oreilles. Réalisation particulièM. Henry d e Jouvenel, sénateur national des colonies de vacances,
qu'elles étaient hier : la plupart des
rement intéressante, d u moins
de la Corrèze, a été nommé ambassa- et œuvres en plein air, 25.000 fr. ; Socialiser insidieusement large de l'île de Man.
Deux canots de sauvetage irlandais monnaies étrangères sont actuelle-j D'autre part, l'Ouest - Journal pour M. Moulin, car nous espédeur de France auprès du gouver- création de dispensaires antitu.ont
dû
rentrer
après
avoir
vainement
depreciees,
une
chute
du
franc
L
Dcnêchp
nous
annrenaient
t Ia
nement italien, en remplacement de
rons que le cumul sera réalisé
berculeux dans les centres uniAgriculteurs, si vous'voulez savoir ment tenté de .l'ayirocher.
n amènerait pas, comme en 1926, un e i a u c P e c n e n o u s apprenaient, pour les traitements c o m m e pour
M. de Beaumarchais, décédé.
ou vous mènent les radicaux et rà-| La vitesse du vint dans le Pas-de- afflux de commandes sur notre mar- mercredi, que « M. _ Moulin, le
On prévoit, d'ailleurs, qu'un mou- versitaires, 10.000 francs...
sympathique et distingué sous- les charges. C'est ce qu'on appelle
Et l'Inspecteur d'Académie fai- dicaux-socialistes qui sont au pou- Calais dépasse A certains moments ché.
vement diplomatique plus large
Une grande Nation comme la p r é f e t de Châteaulin, vient d'être dans les déclarations ministérielait appel aux instituteurs et ins- voir et vous gouvernent, méditez le 90 kilomètres à l'heure,
aura lieu prochainement.
ranee ne peut vivre en état per-lappelé au ministère des Affaires les des « compressions budgétaiOn reparle à nouveau d e l'éventua- titutrices pour qu'ils intéressent passage suivant du F.-. Gaston Martin,
rapporteur
général
du
G.-.
O.-.
N
a
u
f
r
a
g
e
manent
de faillite! Quand on « é t r a n g è r e s , aux côtés de M. Pierre res » et des « suppressions d'emlité de l'envoi à Paris de l'ancien leurs élèves à la vente du timbre
de France, au Convent de 1930 suri
d'un v a p e u r chinois, démoli, iil faut reconstruire.
Cot, sous-secrétaire d'Etat, sans plois inutiles ». Tout le monde
chancelier von Papen comme ambas- ntituberculeux.
la question « Socialisme » :
,
. . . „ . . „ , _ ..
En 19¿0, nous avons eu la chance toutefois abandonner ses f o n c - sait, heureusement, que les déclasadeur d'Allemagne.
Voici la réponse du Syndicat
« Non moins féconds les principes L > vapeur chinois Shm Fuh Taii de trouver et le terrain favorable et... Lions de sous-nréfet de Châtequ- rations ministérielles, c o m m e tous
U1 i C r e n < l l n t ù
Po, a fait nau- 1-architecte ; nous avons opéré un } . l o n s a e S 0 U S - P r e t e t « e enateau- les boniments de foire et les prosL'emprunt autrichien. unitaire de l'enseignement laïque du coopératismie auxauels se ratta f?r a f î e a u c o u r s (Nmg
l u l v e ™ l c n t e temdu Finistère (Bulletin de Novem- che en bien des n o i l e svstèïnë edressement merveilleux dont nousl
„V,,^
, ,
, . ,
pectus publicitaires, ne sont pas
d.eux
rs
de'Association G n rale S e à i f '
"
La Chambre a voté l'autorisation bre 1932, page 11) :
L t 1 Ouest-Journal
payons encore le prix. Ce sont des
ajoutait: « Il écrites en français...
en France d'un emprunt autrichien
notre
.F.
-.
Deslinières.
Sans
doute.ee
„«vés
équipage
ont
ete
« Instituteurs, institutrices, ne
aventures qu'il vaut mieux ne pas | convient de rappeler que M. Mou
y
de 350 millions de francs.
n'est point encore un régime sans
'
TTrl
courir deux fois.
répondez pas ù l'invitation de la défaut; trop d e coopérateurs enviU
n
C
0
U
d
e
r
i
8
0
u
P
9
Les socialistes qui avaient tant crié
Est-ce à dire mie mous allons à m
mairie
pour
la
formation
du
1
. » » U » > W < | • * W U J JIV UV I^WUOVIii) |Jtt«>
• a
.
w-w
naguère contre les emprunts des
sagent surtout la riis.tourne annuelleI Treize mineurs ont été tués par inflation
'? Nous ne Je pensons pas !
comité
local
de
vente
du
timbre.
DOUT
K l T Ê
Etats de la Petite Entente, ont voté
et ne veulent pas de cette capitali- une explosion qui s'est produite dans Notre monnaie est actueU:«aient la L g i V l O t
Après l'auto
Ne distribuez pas à, vos élèves sation obUf/atoire qui parait la voie Une mine, près de Nagymaniok (Hon- plus solide qui soit au monde et id I
cette fois comme un seul homme. ()
*
logique t 11 est vrai qu'il s'agissait
des carnets de timbre, retournez- aisce, insidieuse et comme insensiblelW'ic)- Les mineurs travaillaient dans faudrait réaliser un certain nombre
de luxe de Compère-Morel
C'est un moyen
cette fois de soutenir le ministère de
les à la mairie. Chaque fois que pour inciter à une socialisation in/é-l'e puits Hirscli, à 150 mètres de pro- de sottises pour compromettre cette |
— Monsieur, il y a là un créanleur ami Paul-Boncour. Alors !!
fondeur, quand la déflagation s'est situation. Cependant, nous ne somsa Propriété ! ! !
vous le pourrez, .associez les firale ».
mes pas à l'abri de toute surprise. La cier qui ne veut pas partir avant
Et plein d'enthousiasme, le F.-. G. Iproduite.
municipalités à votre
geste,
situation politique reste trouble, un d'être payé!
Un complot extrémiste expliquez votre abstention aux Martin concluait :
I
état d'esprit se manifeste chez cerBien... Alors, préparez-lui un
On lit dans le « Charivari » :
«
Le
Socialisme,
n'est-ce
pas
un
Un
tremblement
de
terre
à Barcelone.
parents. Pas de front unique,
tains qui ne laisse pais d'être inquié-llit...
'mil
nécessaire,
n'est-Ll
pas
utile
que
ravage
un
village
mexicain,
IJC citoyen Compère-Morel. qui
pas de réunion intime, pas
tant. Ainsi, M. Hulin, député radiAu Jardin du Luxembourg.
La police de Barcelone a découn'avait ni sou ni maille quand, jadis,
L n ville de Matlan, qui se trouve
d'union sacrée avec nos adver- se close ce stade capitaliste qui luivert un formidable arsenal contecal-socialiste,
disait
à
la
Chambre,
le
I
r.
.
.
.
„
r
nnnrTnnLn. ^
socialise s i t u é d a n s , a p r o v i n c e de Jalisco, 22 Décembre •
'
On sonne la fermleture des grilles il arriva de Breteuil dans la Somme,
nant plus d'un millier d'engins disaires, ni avec ceux qui veulent
coordonnan
que,
le
jour
v i e n t dU. ôUt rI eC entièrement
I
_ I . . „ I , Iafin
:
"
M,"
. ve- I»IC4II
CINICI I-IIIT-IU détruite
UUIRUIIT' pa
p a r " « Je conçois la situation difficile If/; ' f . Promeneurs regagnent lente pour se présenter dans le Gard, est,
vers. Ils avaient été rassemblés en
diminuer nos traitements. »
o n , P. r o l é bienne u n v i o l e n t tremblement de terre. On
depuis quelques semaines, l'heureux
rnnW , rn^n,
vue d'un mouvement extrémiste de
»il i «n i t
La question des traitements, inrlp n n T ^ i r , f l "',',' r - ' f «n.ionce que 27 personnes sont mor du gouvernement : il aura sans doute
propriétaire d'un immense domaine
4
A
l
l
o
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A
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n
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gauche qui devait éclater prochaine- voilà en elTet la seule qui compte tache, aune
?
„ ! situé à Remoulins, sur le Gardon.
Société toute collecttvisée\i
MAplus
ni.,« ou à demander des emprunts: M devra
clit e s p
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peut-être même faire - il espère le ?, • ,
',
*?
f Seize mille pieds de pêchers, en
pour MM. les Pédagogues du Syn- dont il „y aura plus quà évincer | m o i n s ^rieusemon» MP«IA«>:
contraire
et nous
aussi, mais 111 a j o u , < ? c n bougonnant dans sa
En Irlande dicat unitaire : « Du moment s mar/nats dirigeants ».
état de production, constituent à
moust
Nous sommes prévenus que la F.-.l Sept mendiants brûlés vils sait-on jamais.? — de l'inflation. II.
?
aura certainenitent à envisager des . "T .
T . ,a . IPC ' J'J y - 0 " a eux seuls une source certaine de
La presse conservatrice britanni- qu'on veut toucher à nos traiteet e Socialisme, aujourd'hui
p r è s d ' u n e m e u l e d e p a i U e
moyens immédiats. Je lui demande toujours qui sortent les derniers».confortables revenus.
que laisse prévoir la chute, à brève ments, nous ne marchons pas. »
alliés, entendent parvenir au coMec-1
Et l'affaire réalisée par le député
échéance, du gouvernement de M. de
A u x environs
Une bonne solution, socialiste,
de Piotrkow, sept de ne pas s'écarter de ce qui est le
Et ce sont les poitrinaires, les tivismie par la voie insensible des
en cette occurence, est
Videra, dont la majorité, très faible, jeunes gens, les jeunes filles, les réformes légales et tout spécialement I vagabonds qui avaient passé la nuit fond de la politique démocratique
En wagon, Marius et Olive occu- d'autant plus avantageuse que l'acdépend du vote des sept membres
en
matière
financière
:
la
démocratie
pent
les
coins
près
de
la
vitre.
Deux
quisition de c e domaine a été faite
petits enfants qui paieront, de leur par la concentration des capitaux. H « " * une meule de paille sont morts
travaillistes.
L'énergique défense des intérêts brûlés vif«, l'un d'eux ayant laissé doit demander moins a la compres- dames occupent les coins près du sur le prix convenu de 300.000 fr.
Un regroupement de l'opposition vie, la note des revendications des privés, du droit de propriété indi- tomber sa cigarette communiquant MOU des dépenses qu'a l'augmenta- couloir
On, est, toutefois, surpris que le
lui prendrait assez de voix, qui lui instituteurs.
tion des recettes. »
Première d.amc ,) Olive. ~ Mon- vendeur
vidudllc et des biens familiaux est a i n » i le feu à 'la meule,
un ancien candidat aux
-sont favorables actuellement, poulAinsi un membre de la majorité sieur, .seriez-vons assez bon pour élections soit
plus que jamais nécessaire.
„„^i
.
législatives, qui se présenta
ie renverser.
D e s e*Pf,^er\ce.8
Mais voilà ce que cachent les belles
Pêche actue le. voit sans effroi la possibi- fermer la fenêtre? On gèle!
contre le citoyen Compère-Morel, et
a 1 etectrlclte.
kite d un retour à 'l'inflation et en Deuxième dame. — Monsieur, je l'on
On dit bien que « les collecti- phrases de ceux qui se disent les
a même remarqué que, lors des
Un bloc asiatique vités diverses devraient assumer défenseurs du peuple : la spoliation
L'Institut Océanographique russe tire d e s déductions favorables à vous en prie, ne fermez pas, on élections de Mai dernier, il ne fut
'
en face de l'Europe. la charge intégrale de l'armement et le nivellement dans la misère a procédé à des expériences de pê- (l'augmentation des dépenses publi- étouffe.
candidat qu'au 'second tour, mais
Les deux dames finissent par se qu'il assura le succès de Compèreprolétariat généralisé. Ce tra- che à l'électricité dans lefleuveVol-ques, alors qu'il faudrait réaliser des
ntituberculeux, et qu'on ne d c dun
M. Litvinof chercherait à réaliser
économies
1
dire
des
choses
un
.peu
vives.
va»l
insensible
est
plus,
dangereux
khov.
Deux
càbies
reliés
entre
eux
Morel et l'échec de M. Magne, candiune triple entente entre la Russie, rait pas faire appel à la charité que les violences des bolcheviks. |ont été installés, l'un au fond de
M. Herriot, pendant la campagne
Marins « Olive. — Bah! Ferme dat conservateur, qui avait sérieusela Chine et le Japon. Ce bloc asiati- publique » .
électorale, a mis le pays en face de cl'abord. Quand celle-ci sera étouffée, ment menacé, au premier tour, le
l'eau, l'autre à la surface
que tendrait à résister à « l'impéNous sommes tout ii fait d'acce dilemme : « Déflation budgétaire tu ouvriras pour faire geler l'autre député socialiste sortant.
Après le passage du courant, les ou inflation monétaire? Ses amis'
rialisme européen et américain » , cord, mais pour avoir un armepoissons
frappés
sont
montés
à
la
Domaine rural, hôtel (mtenblé) à
almiis politiques semblent se ral'lier
comme l'on dit ù Moscou. Mais qu'en ment antituberculeux qui réponde
surface.
Paris, rue du Banquier, automobile
< cette dernière solution sous l'in-,
pensent les Japonais ? Il semblerait idéquatement aux besoins de la
Chine et Japon
En une demi-heure on a recueilli
de luxe, grands restaurants, Compèreque devant les rêves des diplomates jnté publique, il faudrait des
• s o c i "' l l i s k ' s fini nous gou- ll f a u t choisir entre l e Cartel qui Morel est un politicien exemplaire.
plus de 10 kilos de différentes espèrouges, les Japonais ne réagissent pas
r
n Mi î T é t o n n e interposée, nous conduira à l'inflation e à la Question : d'où vient l'argent ?
La Chine envisagerait une mobi- ces.
comme on aurait pu s'y attendre, si fonds, beaucoup de fonds. La
Ces poissons placés dans un réser- n e ! ^ t t i t u d e est-elle propre à rame- faillite, et l'Union Nationale qui seule
l'on en juge par les récentes décla- démagogie parlementaire a, j u s - lisation générale contre le Japon si,
ner
la confiance plus que jamais _ comme en Australie en 1930 en
rations du président du Conseil Japo- qu'à present, donné et distribué, dan.s'les prochaines négociations in-1 voir d eau sont revenus à la vie au nécessaire ? Nous ne e croyons pas. Angleterre, en 1931 et déjà chez
ternationales,
elle
ne
récupère
pas
bout
d'environ
10
minutes,
quatre
sans compter, aux uns et aux
nais.
Le problème budgétaire n'a de solu- nous, en 1926 _ sera capable de
la Mandchourie.
Iseulement étaient morts.
tion que dans le problème politique. Isauver le pays.
capanie ae
CE OUI SE PASSE
VAIVI
taviias L'inflation
a
QVIH1PERLË
Informations
T R O U V A I L L E . — M. Charles Mau-1 A C C I D E N T S
DU
TRAVAIL. — |
D'autre part, les commerçants se
rel, entrepreneur de transports au François Cloirec, apprenti incnuilivrant sur les marchés ou foires à
Pouldu, en Clohars-Carnoët, a trou- sier, rue Doin-Morice, travaillait à
des transactions sur des denrées ali»
vé dans la rue de l'Hôpital, à proxi- une meule, dans l'atelier de M. l'ille,
uuientaires ou marchandises quelconS O I S R I E - P AR.QXJH:THÎR..tE
mité du Cinéma Honoré, une superbe lorsqu'il eut trois doigts de la main
ques doivent être munis d'un extrait
montre-bracelet de dame, qu'il s'est I droite écrasés entre la meule et un
Dans le Clergé.I d'inscription au registre du coinB A N N A L E C — Tél. 18
empressé de déposer au commissa-Ifer. 12 jours de repos sauf compliN O M I N A T I O N _ Par décision de <«erce et d'une pièce justificative de
SIÎANCE C I N E M A T O G R A P H I Q U E . riat de police.
Réunion des c h ô m e u r s
I
cations.
achâta en permanence toutes quantités de
M p m ô i u e a été nomané:
" I j e u r inscnption au dernier rôle de
— Samedi 14 Janvier, en soirée, à
I — Guillaume Faoucher, manœuda patente.
Recteur d e Saint-Coulitz, M. T h a
20 h. 1<>I
15, Cl
et UilllUUCllC
dimanche 1U,
15, CU
en iliUllmati„
il
i
j
1 « I4U
K
r n , inns
T R O U V A I L L E . — Le jeune Joseph vre au Lézardeau, travaillant dans
Des instructions dans
fonctionnai-1 Samedi soir, une,reunion de
ô - L
lamot, vicaire à Ergué-Aiimel, en
à 1 6 h e u r e s précises, à la salle
Bodren, âgé de 12 ans, de la rue La la carrière de Kergostiou s est ecraA T R È S BONS P R I X
avant été .données aux joncuonnai l n i o U r s . était organisée sous les halles L,
'•„...,.„
rn,ni,.h„,.
remplacement de M. Le Galil, démis- ••----res de police qui se transportent sur s a i n t _ M i c h t . i , ù Quimperié.
|Saint-CoIomban, séance
cinémato Tour - d'Auvergne, a trouvé p l a c e sé l e pouce gauche en soulevant une
sionnaire pour raison de santé.
Nationale, une écharpe qu'il s'est |pierre avec son levier. 12 jours de
les différents marches pour y e x e r - n A n n o n c é e pour 20 heures, elle n L .,«'">Phiquc.
Fournitures poor EHtrspraews eí EMtóstes
Ces daines aux enrpresse de déposer au conimissa- iepos.
DÉCfcS. — M. Le Roux, aumônier cer leur surveillance, les commer- ; . t f l u n u . n ç a „„>;, 2 1 ,h. 15, le coi
ponfé-l A u P r ° { ? r a n , m e
— Louis Bahuon, de Trémeven,
d u Sanatorium de Perharidy, en (,-ants qui seraient dépourvus (le P IC ;|Vencici- annoncé ayant manque j"|c/i(i/je((i).T verts, d'après le roman de riat.
:.. .1 :.... A....
„'„vimi'iiiMiKin
<i I
'
*
Santec, décédé le 23 Décembre.
ces sus-indiquées s'exposeraient â train à Quiinper.
Nos félicitations ¿1 cet honnête serrurier, a été brûlé au pied gau-l
'G. Acremant.
BANNALEC
che par une escarbille, en travaillant
M. Tromeur, recteur du Trévoux, se voir dresser contravention.
On procède à la formation d u .
- , n'a lu (l'ouvrage (le G. Acre- petit garçon pour son acte de proQui
M
E
N
D
I
C
I
T
É C H O Q U A N T E , — On
Mathurin
Guillou,
à
la
forge,
chez
M.
décédé le 30 Décembre.
1 11
R é g l e m e n t a t i o n pour 1 9 8 8 bureau. La présidence en est •donnéel!' '" ' '? La pièce et le lilm ont connu bité.
:
rue Thiers. 12 jours de repos, sauf nous écrit avec prière d'insérer
le même succès que le roman. L;
d e la pèche
fluviale.
Le droit aux secours de chômage.
complications.
Il est d'aucieunes. coutumes qui
¿ n î ' V c S m i ^ n t ' m ï S c i Î < f i Œ | > > i è < * continue à être au p r o g r n mme
uns
s (tonnent. Et e e s t u i ^ ^ ^ e . s„ . _ „théâtres
de P , a r i ^ i t ^ n
Conformément aux
engagements
ont leurs charmes, de vieiHes tradiLes époques pendant 'lesquelles l¡'.iq
, „ , „,..„„
U e peu curieux (le voix
monde
I C I N É M A P A R L A N T HONORÉ. — tions respectées parce qu'elles sont
wm,(Jr'a
11 a u l u
d
pris par lui au cours des interpella- pèche est interdite, en vue de p r o - l , j e chômeurs présidée par un f o n c - l ttiendra
à ailler à Saint Colomiban
Jeudi 5, v e n d r e d i 6, samedi 7 Jan- belles et nobles dans leur simplicité
tions sur le chômage, le ministre du léger la reproduction du p o i s * ) » , ^ o n n i u S T T . ^ ^ ^ ^
f i * * «
Pour T R I C O T E U S E S
M. Berthomieu a fait une manière
vier, soirée à 8 h. 30, dimanche 8, naïve ; elles font r e v i v r e dans nos
Travail vient de préciser dans une sont fixées ainsi qu'il suit pour les ne connaîtra jamais le chômage.
de petit chef-d'œuvre;
Iunatinée à 2 h. 30, soirée à 8 h. 30. cœurs de doux et pieux souvenirs
circulaire aux préfets que « même si différentes espèces :
il n'est lias moins curieux de voir
C'est un film français qui réunit
Programme : Les actualités
Pathé- de nos vieux pères.
la cessation du contrat de travail est
Saumon et truite, du l" r Janvier prendre place sur (l'estrade un conRue
Comic-Duchêne
\Mat(tn, sonore et parlant ; Tom et
irovoquée pur une autro cause que au 5 F é v r i e r exclusivement, et du seiller imiinvieipal, radical-socialiste, en lui-uiiiême toutes les qualités que
A Bannalec, il existe une tradition
doit avoir 1111 fiilm français digne de
Ç U I M P E R L É -Tél.49
Jerry au pôle, dessin animé sonore ; qui ne présente aucune de ces quae manque de travail, fût-elle due à 1 " Octobre au 31 Décembre.
un fonctionnaire socialiste et un
ce
nom.
Et
quel
éloge
meilleur
à
en
!
Visite
au
Zoo.
documentaire
comAnguille, alose, lamproie, mulet et orateur, communiste notoire. Etrange
lités, elle ne fait ni honneur à la mul'initiative du travailleur, celui-ci
faire ? La presse, au lendemain de
menté ; Deux bons voisins, comique nicipalité, ni plaisir à ses adminisn'est pas exclu de ce fuit de tout droit Met, du 1"' Janvier au 5 Février trinàté ! Serait-ce la réconciliation
la
présentation
de
cette
production
r
|.sonore
et
parlant.
exclusivement et du l" Octobre au des frères ennemis ?
trés : nous voulons parler de la
aux s e c o u r s » .
A COUPS I ) E T R I Q U E . — Une
,t été absolument unanime à en ehan
Faut-il les marier ? une ecwntedic tournée annuelle du tambour de
Le ministre ajoute que « quel que 31 Décembre, dans les cours d'eau.
M.
(avivez
donne
d'abord
la ter les louanges,
SM011
ixiu'ui
lui.
>
1
(esoDiianie,
avec
1
tivuuuic
«
u
u
j
.„
,
,,
discussion
éclata
rue
de
l'Abattoir,
désopilante, a v e c l'exquise
Anny
jissons, du 1"' Janvier au | p a * r c ] e à l'organisateur de 'la réunion,
Autres poissons
soit le motif qui soit à l'origine de
La séance sera complétée par un entre Mille Guyader et Mme Le Bras, ¿ n d r a , Charles Lamv, Kerny, Lucien ville, au premier de 1 an ; cette pedu l u n d i I y J e a l l p a v e r o , conseiller muiiicie
son chômage, si le chômeur recher- 5 Février exclusivement;
Au
" r oUllAi
u x , Marcellde
a travers
nos rues,
film comique : Bill
indien.
de la même
lliuiuv. rue.
1
i » u cours de la dis.1 ¿
1'jtli
.Vim 1-C1WU Praince,
X 1 (VUI^V, etc.
»-ivt Le
«•*- •tite •, , virée
i
1» 11
X »
J
.
( ) u i t . X | )0 se le but de la réunion,
che du travail et n'en trouve pas
ou 17 Avril inclusivement au dimanche
cussion, Mlle Guyader saisit une tri- L . i o m p h e d e la fantaisie la plus folle, consiste a battre trois coups de
P r i x des places : ¡premières, 4 fr
ir eni iwl jl cLUIII|IU'.
MV
rauil
I
i
i
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v
i
i
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i
l
i
i
u
»
,
s'il ne peut lui en être procuré, il est 118 Juin exclusivement, dans les cours
p
t
.
,([<.
i
intervention
om
e
Son
tambour aux portes des habitations,
troisièmes, 1 fr. 50 que qui se trouvait à sa portée et e n u l o u 1
chômeur involontaire, puisque lai d'eau.
un coup à la tête ,i„
de son |1 l k V E N T R E DE Q U I M P E R L É — ( a p r è s quoi le bon « tambourin »
m u l ^ ^
p l a c e u r les enfants qui asséna —
1
•
•
Du
lundi
17
Avril
inclusivement
cessation de son état de chômage ne
Il a été abattu à l'abattoir de Quim- attend patiemment
les généreuses
au dimanche 18 Juin e x c l u s i v e m e n t , I S e l'emplod dans les services de accompagnent leurs parents. Chauf- adversaire.
dépend pas de sa volonté. »
aumônes ou a bolée d'usage..
Battue et pas contente, Mme Le perlé, pendant l'année 1932 :
e
dans le canal de Nantes à Brest.
retraités qui touchent | ' » f f central
)l(
v [ih> l ( ] e
Bœufs : 93, pesant 47.094 kilos ;
Non, Monsieur le Senateur-Maire,
Bras prit le chemin de 'la place
Le recrutement des fonctionnaires
La divagation des oies, canards e t l ^ u l ( j e s pensions d e 10 et 12.000 fr.
iui> 64.474
ui.ni k
« i l« o si ; vruvuw,
• — - cette mendicité
,
-,\u
aureaux :. 161,
a c h e s : | n. .e. tojérez plus
de
A
. vo uuLH
uour «wivi
aller conter o..
sa mésaven- 1 taureaux
suspendu p o u r 1 9 8 8 .
autres animaux aquatiques est interLa parole est donnée ensuite à M.
t u r c
au commissaire de police, qui a 5 3 3
iso.849 k i l o s ; v e a u x : 3.678. olacee, nous dirons menie scandaG E O R G E S
..„„„A,,.
„....'»nn 1
^ns 1 « 7ZR IIpiisp
w tambour
Inmhniir de
de ville
ville fonctionfonctionleuse...
ce
Le Ministère des Finances com- dite sur tous Ise cours d'eau dul Vallière, d e Douarnenez, secrétaire
ouvert une enquête.
1206.238 kilos ; moutons : 495, I6./06
département pendant les périodes | de l'Union des Syndicats Unitaires
CHIRURGIEN-DENTISTE
munique la note suivante :
kilos ; chevreaux : 16, 85 kilos ; naire, n'est pas chômeur, il occupe
d'interdiction de la pèche.
de
la
région.
• de ln Facultó de Puri» « L e président du Conseil et le miDANS L E MONDE DES SPORTS. porcs : 1.629, 199.594 kilos ; chè- une situation convenable et ne de11 est interdit d'évacuer dans les | M. Valilière démontre que le chônistre des Finances ont soumis â
Notre compatriote, M. le docteur vres : 18, 263 kilos. — Totaux : vrait pas avoir besoin de faire appel
18, Rua Savary (Maison Rivalin)
canaux et cours d'eau navigables et mage Mn'est ^
pas un mal p r o p r-e
la signature de leurs collègues et
Cotonnec, si sympathiquement con- C.623 animaux, pesant 715.626 kilos. à l'aumône... En outre, ce brave
non navigables du département du iQuimperlé, qu'il existe dans tout le
homme ne nous fait cadeau d'aucune
QUINPERLÉ
ont fait approuver par le Président
nu dans les milieux sportifs d e la
Finistère des matières susceptibles Idépartement, en France, en Europe,
1 raison
DÉMOGRAPHIE. — Il a été enre- publicité, et il ne coKc pas ta moinde la République un décret s u s p e n -t|I c' l ' 1n"u^ Vr c' 1,11 ) 0 i s s 0 n
région,
particulièrement
en
Consultation* tout les jours, mufle lundi
,
^t provenant, l l a n s J c monde entier ; un mal moniucnirnu 31
u
Décembre 19331"°=.
iaaai .
,.'J
l
' .
du'dévouement et de (l'activité q u ' i l l u s t r é à lia mairie de Quknperlé, dre petite affiche « à l'œil »... Nous
Hnnt jusquau
h.smi'nu
Décembre
Jl uecempre
; » « l s o i t directement,
des fabriques et ,iial.
a
d é p l o y é s
pour rénover la lutte et 1)( ., u i ai nt le 4" trimestre 1932 : trans- nous garderons, d ailleurs, de lui
tout recrutement de fonctionnaires,
établissements
industriels
n j'attribue nu développement du
t
les sports athlétiques bretons, vient L r i p t i o n s ou rectifications, 2 ; maria- donner tort, étant admis que toute
I f l S r l n l !
nffl j o n q u e s .
machinisme à l'usine et aux champs,I
DANS LA MAGISTRATURE.
- d'être élu vice-présiident de ia So- ,, e S ) 10 ; décès, 54, dont 4 au-dessous oeine mérite salaire. Rendons tout
w
«Hministriitinns. services, oftl-l u ^ v o u r r a -, rt> déversé dans ces et, en d e r n i e r lieu, comme i l fallait Nous relevons au tableau d'avance
ci été Médicale de l'Education Phy- de 1 an.
¡de même cette j u s t i c e : il est une
ces et établissements publics
i
magistrature
cours d'eau et canaux que des e a u x l s ' y attendre, au régime •oapita liste.|ment 1933
sique de l'Ouest, lors de la dernière
Voici les causes des décès : tuber- publication dont nous sommes larl'Etat.
» Il ne pourra être accordé de dé
viste, si cher au cœur de M. Vallière, bunal
do première
instance
de 1 »semblée générale de cette s o c i é t é . L U l ' 0 s e d e l'appareil.-respiratoire, 7 ;|gement gratifiés : c'est celle qui nous
Nous s omîmes heui-eux d'adresser autres tuberculoses, 2 ; cancer etli'nvite à passer à la mairie pour
rogations à la règle ainsi fixée que
donnerait satisfaction à lia masse etI Çuimperlé, comme iuiie de deuxième
méningite Ipayer la taxe sur le chiffre d'affaires,
par décret contresigné par le mi
inodores et 11011 susceptibles de|| a rendrait heureuse. Il est permisIclasse, et de M. Le Deirf, ecnvme sul)s- à M. le docteur Cotonnec nos vives tumeurs malignes, 2 ;
simple, 1 ; hémorragie et ramollisse- Pour cette tournée seule, ainsi que
félicitations.
nistre des Finances et ie ministre | f c n m i e n l a l i o n ultérieure,
d'en douter quand on sait que, cha-ltltut du Procureur d e l a République
mient du cerveau, 4 ; maladie du celle du nouvel an, le tour du bourg
intéressé. En ce qui concerne les
¿ c réfrigération et de que jour, des >quantités d e gens ris-1de troisième classe. Nous leur adresLes
oaux
.VJtlli, t4 »; n
u v v n u i i u de *l'appareil
" I' I
r>
.
affections
res-1I vuv
est intégralement
r e sJ.p e c t é ;' mais
GARS DE M O R L A I X (. I.) B A T T E N T cœur,
emplois réservés îiux victimcs de
I conilcnsiilion et toutes les autres quent la mort, en franchissant la sons à tous deux, nos plus sincères
U S Q U I M P E R L O I S E (1) P A R S A 1. piratoire (phtisie exceptée), 2 ; her- quand il s'agit d'annoncer aux bonguerre, le
lé décret portera en outre | t > a u x m l i s i b l e s seuleiment par leur frontière, pour f u i r les horreurs du I compliments.
— Incontestablement les meilleurs I nie, 1 ; cirrhose du foie, 1 ; néphrite, l o e s ménagères l'arrivée, sur la place
la signature du ministre des Pen-1 tëmpéraUu'è ne îiourront être dé- « Paradis Rouge » . Et là pourtant
sions.
_
_
dans les
t.
t |versées
d'eau
,
— cours
—
----- et ,1e régime communiste lleurit dans
SYNDICAT
DES
C O N T R I B U A - ont gagné. L e résultat reilète bien la l ; .accident de la grossesse, 1 : d é b i - l publique, de poissons frais ou lanphysionomie d e la partie, les lo- lité congénitale, 3 ; sénilité, 14 ; Igoustines, notre bon tambour sim» Dans
"
la pensee du gouvernement L . a n a u x qu'après avoir été refroidiesItoute sa splendeur.
BLES. — On nous prie d'insérer :
•oaux furent surclassés p a r leurs ad- morts violentes, 5 ; autres maladies, plifie légèrement son trajet... c est du
cettee i mesure ^ doit imposer
,
.
çar
J a r - | a u 1 1 1 0 ¡ n s j US qu'ù 30 degrés centi-| Le chômage existe. Comment y j
L e Conseil d'administration
du
versaires, beaucoup plus précis dans 4 ; maladie inconnue, 2.
moins l'avis de nombreuses ménagerêt du recrutement et la réduction |yr;ules.
M. VaWière
VaWière prône
prône l'eiar e m é d i e r ? M.
l'éta- (Syndicat des Contribuables de Quini11 a été enregistré pendant l'annee r e s > éloignées du centre de la ville
progressive des effectifs, le r e c o u r s l n u 0 st interdit également : 1° de
H'ment d e la journée d e 7 heu- p e r ] é très honoré de l'intérêt que lui leur ¡eu de passes et aussi beaucoup
à de nouvelles méthodes de travail. I pêcher sur la crête ou'les passerelles res et de la semaine d e 40 heures, p o r t e n t s e s a ( i v e r s a i r e s , réuni le 28 plus vite. Les Quimperlois jouèrent 1932 : transcriptions ou rectifica-| e t aussi celui des vendeurs de poislions, 6 ; mariages, 5 6 ; naissances. sons.
. .
C'est un des premiers éléments de Ides déversoirs et les caissons des sans réduction des salaires.
Décembre 1932, en séance ordinaire au-dessous de leur forme habituelle
et seuile la défense, avec Marcel Le 185 ; mort-nés, 10 ; décès, 22â.
Si notre fonctionnaire municipal
la réorganisation administrative.
Iéchelles à saumons ainsi que sur la
Ce remède permettrait à coup sur Idécide :
Roux et CabiU'ic, fut à la hauteur de
est insuffisamment rémunéré pour
» P o u r ce qui est des cadres d e s l p i | e < i u large des pertuis de décharge le réembauchage d'un certain nomQ u . n n e s c r a répondu en aucun
non encore
ses fonctions, que nos élus y reméarmées de terre et de mer, le recru-l,| c . s barrages du canal de Nantes à bre de chômeurs. Il est cependant c a s a u x „ r t i d e s ou lettres anonymes, sa tâche. Ijet Mouroux
dient... Mais aue l'on nous fasse
tement sera limité aux chiffres tlxés|Brest, entre Pont-Trifien et Guily-|très diversement apprécié par d e s | s u r t o u t i o r s c , u e ceux-ci seront volon- •complètement reumis, ne put fournir
son jeu coutumier.
grâce de cette" mendicité déshonodans le projet de loi de finances^ d e j c i l a / ; 2" de pêcher en bateau à economistes enunents. Il risquerait,h a i r ement erronés
rante pour la commune, et que tous
A la mi-temps, les visiteurs meJ l u
l'intérieur des ouvrages d'art des en effet, d'aggraver la désertion des
1933 et qui comporteraient déjà
2 " Qu'une démarche sera faite aunaient par 3 à 0.
les habitants réprouvent. Enfin si
11
s u s - i n d i q u é e campagnes, qui, au d , r e l le M
- -- - -- Chirurgien-Dentiste
d'importantes réductions. Ces chif- l é c l u s e s d e la p a r t i e
.. •
•
. '
,
" V a l " | p r è s (le M. le Maire pour le mettre au
A la reprise, l'on crut un moment
véritablement l'on estime par trop
fres seront dès maintenant respec- I d u d i t c a n a l .
uère lui-nfeme, est une des causes £ o u r a n t d u f a i t q u c l c s m C m b r e s du
—
D. F. M. P .
—
fatigant le chemin à parcourir pour
En vertu des dispositions du dé- du chômage.
. „ S y n d i c a t se refuseront à payer tout à 1111 retour des « blancs » . Ce furent
tés. »
les .annonces, autres que celles du
Icret du 5 Juin 1926 et d e l'arrêté
D autre part si la seniiaine d e 40 L ^ .)t c m m u n n l n o u v e a u o u t o u t e les visiteurs qui marquèrent deux
Les opérations
financières
c h i f f r e d'affaires et du nouvel an,
interministériel du 10 Août 1926, les heures augmente a puissance d achat a u £ r a e n t a l i o n d'impôt sur l'exercice buts bien amenés. Enfin, c i n q mide l'Etat
nutes avant la fin, Fraval réussit à|
1
nous proposons à M. le Sénateurpersonnes qui mettent en vente, de la classe ouvrière, elle augmente-|
et la Cour des
Comptes.
sauver l'honneur.
Maire tout en or, d ' o f f r i r à son dévendent, transportent, colportent ou rait aussi, dans les mêmes propor3" Que cette décision sera portée à
L e Ministère des Finances com- exportent des poissons, grenouilles
3, Place Hervo, 3
Arbitrage impartial de M. L e Cunf.
voué serviteur une conduite intétion«, le prix d e ^ v i e n t d e s p i ^ u i t s L ° c o ^ n a i s s a n c r d e ' m . ' l e ' P r ^ f c r du
munique :
rieure à l'occasion des étrennes, cela
ou écrevisses provenant d'étangs, de français et l'ouvrier n'y g a g n e r a i t | I ? i n i s , A r n
Q U I M P E R L É th. 1.90
Finistère.
« Malgré les termes généraux de réservoirs ou d'enclos, doivent, si
U. S. Q U I M P E B L O I S E (Ib) B A T
lui permettra d'effectuer sa tournée
guère.
4° Qu'une nouvelle assemblée gé- U. S. D O U A B N E N I S T E ( I b ) P A B 3|
l'article 11 de la loi du 16 Septem- ces poissons, grenouilles ou écreviscomplète sans aucune fatigue... Nos
Enfin si la semtaine d e 40 heures nérale sera convoquée dans le début
bre 1807 chargeant la Cour des ses n'ont pas les dimiensions régleménagères
s'en réjouiront,
notre
n'était appliquée que chez nous, nos de l'année 1933 pour mettre les mem- A O. — Bonne partie des « blancs »
Comptes de juger toutes les recettes mentaires ou si la pèche en est produits ne courraient plus conquimperlois qui surent imposer leur I
brave François aussi.
E
T
A
T
C
I
V
I
L
.
—
Naissances
:
Henbres
du
Syndicat
au
courant
des
déEn
passant.
•
et toutes les dépenses
publiques,
jeu aux visiteurs. Guibourg se fit re-|
.
- , - i , . cer! . . ) ¡interdite
i m c i u u c àil ce
i l moment,
HIUIIIL-IU, justifier,
usum-r, àuicurrencer
les produits
piuuuiis étrangers
en
j c u r r e n c c r les
sur cisions du Conseil.
riette Gouin, place Jean-Jaurès ; —
marquer
au
poste
d
e
demi-centre
D
E
M
O
G
R
A
P
H
I
E
.
—
Il
a
été
enrelaines opérations du T r t s o r c aient ( o u t ç p é q u , s i t j w i
origine
Iles
marchés
mondiaux.
De
De.'nombreux
(|e
k>ur
Le
Naour,
Le Conseil
d'administration. avec lui, signalons Huon, Boraci et | F r a n c i s - P a u l - A r m a n d
isqueraient
d'être
soumises a un regime spécial 1m Çon
établissenHents
risquerai«
J a production d'une déclaration
Loge-Berthel ; — Francis-Victor-An- gistré à Bannalec, au cours de l'anN.
B.
—
Les
membres
propaganNoën.
née 1932 : 126 naissances, 65 ma-- - actuellement
_
.
-par le décret •L
de l'exl'ex-|abligés
d'où
troie
obligés d e fermier leunsi portes,
v
1 R fixé
S1
n t ,uu
d u propriétaire ou de
dré Caudan, à Coat-Déro.
distes pourront se procurer tracts et
IvC niatch ccimanencé tardivement I
riages, 64 décès, dont 6 morts-nés,
du 31 Décembre iHoi.
Iploitant de l'étang, réservoir ou I d e nouveau chômage.
de mariane : Guillau- 8 transcriptions d'actes de décès.
» L e Ministre des
J ^ » L-nclos d'où proviennent les poissons, I On nous dira bien que c'est une cartes d'adhérents chez le secrétaire ne dura qu'une heure, le résultat | Publication
me-Yves-Noël Guillou, horloger à
•était acquis à la mi-temps.
de faire approuver par le F r i L ; y " t " ; ! i renouilles ou écrevisses et certifiée ¡ l o i qui devrait être appliquée dans du Syndicat.
Quimperlé, et Suzettc-Louise MeuE T A T - C I V I L de Décembre 1932.
de la République un P ™ l c t ;>c V
I par le maire de la f o m m u n e d ' o r i - j l e monde entier, mais nous savons
nier, s. p., à Kergostiou.
Naissances
: Nicole Lavat, au
qui rétablit la règle normale et sou- gine.
trop comment sont aivpliquées chez
met les dites opérations à la Cour desMariage : Joachim Jégou, mécani- bourg ; Laurent L e Dœuff, à KerzuCes déclarations sont obligatoire- certains d e nos voisins les convenComptes comme toutes les autres ment établies sur des carnets à sou- tions internationales. La loi de 8
cien, 5, rue RpIIpviip et P h i l o m è n e - l d a l : Josenh Neveu, au b o u r g Marie-Louise
—
,
_ - „
.
dépenses p u b l i q u e s » .
ches fournis par l'Administration et heures, dans certains pays, n'existe
r
dont le p r i x est fixé à 1 fr. 25 poul- encore que sur le papier.
à Kérisole.
Louise Olli vier, a Porz-Bras ; Mon Concours général agricole de Paris. ies carnets de 5 feuilles, 2 fr. 50
Nous ne sommes pas adversaires
Décès : Charles-Pierre Salade, dit que L e Dahéron, a Pont-MoustoulLe concours générai agricole aura pour les carnets de 10 feuilles, de la réduction, des heures de traLavigne, 47 ans, pâtissier, 2, placeIgoat. _
Etienne Durand, comp6
fr.
25
pour
les
carnets
de
25
feuil-j
-LUSTRERIE
-vai'k mais nous nous demandons si
lieu en 1933, à Paris (Parc des
Lovignon
; -— Françoise
Guillou, 67 I t n h lMariages
0
i. . . . . . . ,
p !l P i l l . .
.
vraiment elle est opportune, si au
Expositions d e la ville d e Paris, les.
ans, s. p., 19. place Saint-Michel ; - I t a b l e , à Pont-l'Abbé, et Germaine Si- A P P A R E I L S -zorn, s. p. , Louis L e Moigne,.. culti
D
I AHHA Le
I r. Floc'h, r55
\r\ ans,
nfiï cnhnti
contraire elle ne serait pas désasPorte d e Versailles), du lundi 13 au
Pierre
sabotier,
valeur à Kerselippon. et Marie Petreuse dans les circonstances actueldimanche 19 Mars 1933.
19, place Saint-Michel ; — Jeannv
DE CHAUFFAGE
ron, cultivatrice à - P o z i c ; Albert
les.
U comprendra :
Cozic, épouse Jaffro, 57 ans, s. p.,
Bernard, menuisier, et Anne-Marie
Ne
soyez
pas
embarrassé
Il
y
aurait
peut-être
d'autres
remè2
7
2
7
Rue
Savary
o
MOTEURS,
etc...
19; rue du Couëdic.
I
Un concours d'animaux reproGuiffant, s. p. ; Henri Carnot, cultides moins (langereux, et tous îles
•
ducteurs des espèces bovine, ovine,
pour le choix d'un cadeau
vateur à Lanon, et Anna Navellou,
ouvriers de France pourraient sans
liorcine et caprine et d'animaux gras
Mercuriale
des
Marchés
cultivatrice à Kerguillcrme.
doute trouver du travail et gagner
des espèces bovine, o v i n e et pordu
SO
Décembre
1932
En oll'rant un billet d e «La Dette.» honorablement leur vie, si 011 n'avait
Décès : Anne Massé, 81 ans, à
PHONOS
cine, un concours de p o r c s gras vous êtes toujours sur de f a i r e plai1
.
2
0
0
Vaches laitières . . . "
Kerféron ; Marie-Louise L e Glaz, 39
ouvert toutes grandes nos frontières
Réparations en tous Genres
DISQUES
1.400
abattus, « t d e volailles M r a s s e s > un sir. Vous comblerez le»' vœux de tous à des millions d'étrangers, plus ou
Génisses e t vaches p l e i n e s
ans, au b o u r g ; Alain Le Naour, 77
6.7
concours beurrier, un concours de puisqu'on même temps vous ferez moins intéressants.
SI Porcs, Je k i l o ..".
lans, à Kerhont ; A n o n y m e L ' H e l 4
Veaux,
le
l
i
l
l
o
chiens d e berger.
une bonne action.
goualcTi, à Kériquet ; Louise GaoUn autre r e m è d e préconisé par M
103
Froment
2° Un concours de produits de
N'oubliez pas qu'avec
un billet Vallière, c'est la création
nach, 22 ans, à Kerzéniel ; Marie L e
75
d'une
Seigle
.1.,
laiterie, de produits agricoles- et acheté 5 francs, vous pouvez ga-l^aisse d e chAntoR^ Dons'sa dernière
I Dérout, 79 ans, à Kériquel-Trébalay.
70
L ' U . S. Ql'IMPERT.OISF. B A T L ' A . S. P . O. Orge
D
A
N
S
L
A
G
E
N
D
A
B
M
E
R
I
E
.
—
M.
horticoles, d e vins, cidres, poirés et «ner :
75
¡séance, Je Conseil municipal en a
Sarrazln
Sejlin, venant" d e •Bar-siir-Seine, a DIS l t O l l D E A U X par 4 buts ¡1 X — Contrui- A v o i n e s
75
eaux-de-vie.
•1 lots de 100.000 fr. ; 4 lots de adopté l e principe.
ruiui'ut ù lûules jircvislous, l ' é q u i p e preCONCARNEAU
pris
son
service
A
la
gendarmerie
30
Les déclarations des exposants, 50.000 fr.; 10 lots de 20.000 fr.; 401 L T I l e
mière de l ' U . S. Q. a battu, sur sou terrain, P o m m e s de terre, l e s 100 k i l o s .
intervention de M. Millet,
220
de
Quimperlé
où
il
remplace
M.
L
e
UN É M O U V A N T A C T E DE SAUl ' A . S. P. O." <le Bordeaux, club de d i v i s i o n Foin, les 500 k i l o s
établies sur d e s formules tenues à lots de 5.000 fr.; 400 lots d e 2.000 ancien conseiller Tnunicipa'1, crée un
120
d'honneur de la L i g u e du Sud-Oueat, vou- Puilir, les 500 kilos
V E T A G E . — Lundi matin, au lever
la disposition du public d a n s les fr.; 800 'lots d e 1.000 fr. en renies incident ou plutôt un intermède Dragon, nommé à Vannes.
50
lant sans doute se racheter de ln mauvaise |Son, les 100 k i l o s vRros)
Tous nos souhaits de bienvenue.
du jour, malgré une assez violente
bureaux du Ministère de l'Agricul- françaises, et des a v i o n s autos d e l comique. Il se lance en une diatribe
05
partie de la v e i l l e , contre Morlulx.
—
(détail)
tempête d e suroît, -alors que les chature et de toutes les Préfectures, luxe, autos, motos, vélos-moteurs, | énergique contre, les fonctionnaires
164
Les
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Jouer
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du
j>ay»
lutiers de fort tonnage restaient' à
POSTES ET TELEGRAPHES. —
0
vélos.
devront être adressées:
C'est une occasion pour le conféia science et l'ardeur nécessaires pour ob-|Heun-c salé, la l i v r e
terre pour la plupart, plusieurs équi7
1° A la Préfecture, avant le 15
L e tirage des quatre dernières sé- rencier de montrer qu'ouvriers et L e service des abonnés sera pro- t.vujr Ja victoire. Lcs visiteurs ont dominé I Beurre doux, la l i v r e . . .
pages crevett'iers, qui opèrent généJanvier 1933, pour les vins, cidres, ries II. J. K. M. aura lieu irrévoca-l fonctionnaires doivent s'entr'aider longé toute la nuit au bureau de en tactique et en vitesse, mais se sont l i e l l f - l Œ u f s , la douzaine
25
ralement à proximité d e s côtes décit é s ' a line défense Impeccable où brlltèrcut I P o u l e t s v i e u x , la couple
poirés et eaux-de-vie ;
blement le 3 Février 1933, comme | c'est-à-dire que les ouvriers de- Quimperlé à partir du 1 " Janvier.
ao
dèrent d e prendre la mer. Durant
Marcel Leroux et Huon, qui remplaça avan-1 Poulets jeunes, la couple
2° Au Ministère de l'Agriculture nous l'avons déjà annoncé.
vraient voler au secours de ces mal
250
toute la matinée, les opérations des
I Cidre pur jus
A D J U D I C A T I O N . — Deux impor- tagensement Cabllllc.
(Direction d e l'Agriculture, 3" buNous avisons tous nos généreux I heureux
200
fonctionnaires
dont' on
petits chailutiers se déroulèrent norDés le début, les Bordelais imposent leur | Cidre ordinaire
tants travaux vont être entrepris à
I souscripteurs
qu'ils
peuvent
dès | menace de réduire les traitements.
reau) :
malement et les premiers bateaux
Quimperlé: Béfection d'une école Jeu et descendent v e r s les buts de Guillou ;
a ) Avant le 25 Janvier 1933, pour maintenant, retenir leur liste de tiQuelqu'un, dans ta salle, crie : Et
plusieurs shoots sont brillamment stoppé»
amenaient une pèche meilleure que
les produits et les animaux (sauf rage, en envoyant 1 franc (le timbres I.les gros fonctionnaires qui touchent primaire supérieure et construction par ce dernier, qui potirtaul ne peut arrêter
__
T 1 , „ « . „ „ I l e s jours précédents. Encouragés, les
d'une école primaire élémentaire.
ceux du concours beurrier) ;
un
boHde
il
la
d
i
x
i
è
m
e
minute.
a « La Dette » ; elle leur sera cn : 40.000, 60.000 francs et p l u s ?
L'adjudication
'de
ces
travaux
Les visiteurs, avec l'appoint du vent,
b) Avant le 10 Février 1933, poul- v o v e c dès parution. Tous ceux qui I Ceux-là ! oui, on pourrait réduire
ies animaux d u concours hcuqrier. nous l'ont demandée la recevront en | e u r s appointements, déclare M. Val- aura lieu le 14 Janvier, à 10 heures, jouent pur passes rapides et précises et,
Place Hervo, Q U I M P E R L É
fraichir, deux bateaux seulement
par leur Inter-droit, marquent imparableà ía mairie.
temps voulu.
Ilière
Marchande de bestiaux
I restaient en pèche à ce ¡moment : le
Pour tous renseignements s'adres- nu-nt un deuxième point.
D'autre part, nos listes de tirage
Seulement, M. Va'llière oublie de
et commerçants ambulants.
Les locaux ne se découragent pas et l ' e x seront en vente dans toutes les l i i - L f i r e que les fonctionnaires se sont ser à la mairie.
cellent gonl bordelais doit parer deux balles
Le préfet rappelle aux marchands bliothèques de gare Hachette et i , é comme un seul homme pour
dangereuses de Legraïul et de Guillou.
t v s
de bestiaux qu'ils doivent, dans pourront être consultées chez tou.« protester contre les projets de MM.
L a mi-temps survient sur. ce résultat
l'exercice de leurs transactions sur nos amis qui ont bien voulu vendre Germain - Martin et Palniade, qui
B o r d e a u x , 2 ; Quimperlé, 0.
A
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Í
3
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.
J
5
E
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A
T
Dès la reprise, qui se t'ait sous une pluie
Lanriec, s'empressa d'embarquer ses
les marchés ou champs de foires, gracieusement, nos billets de sous- é g a i e n t précisément les hauts foncbattante, les Quimperlois attaquent, m a l »
TRAVAIL SOIGNÉ
CHIRURGIEN-DENTISTE
chaluts à bord. Tout à coup, alors
être porteur» :
cription.
Itionnaires surtout.
ne peuvent conclure. Au contraire, ce sont
que le canot se trouvait à proximité
de ln Fnenlté île Mëtli'cino (11- Pnris
Soit du récépissé d'immatriculaS'Y
ADRESSER
Pour souscrire il suffit d adresser
A propos d e la caisse d e chômage
les Bordelais qui, malgré un liors-jeu m a des rochers, de Le Pladen, un fort
Uon au registre du commerce de leur V„ f r - " "
P 1 ' " 1 ' .*' 1 4 0 , a v e n u e d e s |;M. Contes-.se pose une question : Où
9, Rue Lebas, QUIMPERLÉ
nifeste, marquent le troisième but.
coup de vent fit culbuter l'embarcaarrondissement et d'une pièce jus- Champs-Elysées, si vous ne trouvez prendra-t-0.1 'l'argent pour la constl
Lrs locaux reparlent de nouveau à l'attation malgré que la barre soit bien
tificative du paiement d e la patente ; »lus de billets dans les Banques, Mai-l[ U , c r 0
que. Guillou passe il Leroch, cclul-ci centre
Consultations tous los Jours à Qulmporlé
maintenue. Un paquet d e nïer suivit
Soit de la carte d'identité créée ries
^ et chez de nombreux commer- ! Un'assistant waisit l'occasion pour
et nusclo, qui a suivi, fait rentrer la sphère
ARZANO
sauf Ia mtreredi à Bannalec
et le canot coula aussitôt. Les incmdans les Mets.
par le décret du 30 Septembre 1928. ç i i n t s
intervenir.
Cinq minutes « p r è s , sur une belle passe
Cette carte doit, en principe, ê t r e '
E T A T - C I V I L DU MOIS DE D£-l l'i-e.s de l'équipage, composé de trois
Et moi aussi, dit-il, j e suis un
rie L e m o u r o u x , Leroch, de coin, a j o u t e un
An-¡hommes, essayèrent d e se cramponrenouvleée chaque année ; les intéCEMBRE 1932. —
Naissances
I vieux militant syndicaliste, et je vous
blancs » .
L E G I O N D ' H O N N E U R . — Dans le deuxième l)ut pour les
tiré-Joseph-Marie Guillemot, à Ker- ner au mat, mais leur poids fit f o r ressés ne s'y sont pas, en général,
[assure que j'ai en admiration les tableau qui vient de paraître à l'OfLes visiteurs amorcent plusieurs attaques
glati ; Thérèse-Maria Ulvé, à Ker- tement incliner la barque et f o r c e
conformés.
[fonctionnaires. Si vous n'avez lias ficiel
pour la Légion
d'honneur, dangereuses, mais 1» défense qulmperlolse
Bourdin, à leur fut, après a v o i r été précipités
Pour éviter à ces commerçants
I encore obtenu gain de cause, c'est nous sommes heureux de relever, à ne laisse rien passer. Sur dégagement du hoel ; François-Louis
à la 'mer, à plusieurs reprises risdes
mesures qu'ils considéreraient
Ibien de votre faute, vous n'êtesi pas titre de chevalier, le nom de M. le goal local, Legrund descend, Guillou prend Kerganivet ; Frédéric-François Es- quant d'être submergés, de s'accrocomme vexatoires, les cartes périlassez 'malins. » Dans lia salle, des lieutenant Jaillard, commandant la la balle, passe en retrait à Lemouroux qui, van, au Treuscoat ; Cliristianc-Mariecher , aux
• , , avirons
, „
. du bord et à tous
mées seront tolérées jusqu'à nouvel
¡hou ! hou ! retentissent ; et le mili- gendarmerie de l'arrondissement de «l'un magnifique botté A ¡10 mètres, bat I m - Yvonne Gourlay, au Mouistoir.
parahleuicnt le portier visiteur et met ainsi
Publications
de mariages:
Josephjiv\s «.bjets ltottant
avis. Néanmoins, les marchands^ de
[tant d'ajouter rapidement, pas assez Quimperlé.
les deux équipes il égalité.
P a r bonheur, le canot' Albert-Jean,
Le ltoux, d'Arzano, et Louise Picarbestiaux doivent, sous peine d'être
Icependant : « Parce que vous n'êtes
Cinq minutes après, sur coup f r a n c , L e
patron Louis Martin, d e Concarneau,
M. Jaillard, qui vient d'être promu
da,
d'Arzano
:
Yvcs-Mathurin
Le
t n contravention, y apposer chu(¡ne
|pas o r g a n i s é s » .
Gai! botte de loin et le goal visiteur, glis11e trouvant plus trace du bateau
capitaine, et affecté à la résidence de
année, le timbre fiscal de 12 francs
Mais M. Millet n'est pas converti Pont-l'Evèqué, joignait à ses états sant dans une mare de boue, ne peut em- GabeUec, de Plouay, et Bernadettepêcher
la
balle
île
rouler
doucement
dans
M
a
r
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e
C
o
r
d
r
o
c
'
h
,
d
e
Plouay
;
M
é
r
i
a
d
Auguste Ansquer, s aperçut, avec
et faire viser ce timbre soit par la
li'1 en veut toujours aux fonctionnai d'ancienneté de service des titres
ses filets. Quimperlé, t ; Bordeaux, .'I.
dec L e H é o o , d e Coudan/et P h i l o - son équipage qu il y avait danger.
Préfecture o u lu Sous-Préfecture de
1res. Et dans la salle, un loustic spéciaux pour faits de guerre.
Les d i x
minutes qui
restent
leur arrondissement, soit par le
Jol!''r mène Brislioual, d'Arzano ; Fortuné- L e matvlot de devant de 1 Albert[l'approuve : T'as raison, Millet, v i v e
des
Nous le prions d'agréer nos plus s'écoulent avec une pression sérieuse <lus
maire de leur résidence à 'la date
'
Vincent Le Boulch, d'Arzano, et \Jean remarqua aussitôt un mat qui
[¡le mortier, à nous la houe !
v i s i t e u r s qui, malgré leur ardeur,
vives félicitations.
de l'année en cours.
Des quolibets s'échangent d'un
viennent pas à égaliser, el la"nn' est siiriécIMarie-José])liine L e Lpy, de Plouay ; dépassait d un
Les! comimis des marchands de
«Eumérand Boussm, d'Arzano, et An- « c 1 eau et a proximité, accrocnts
sur ce résultat.
Ibout à l'autre de l'assistance et flna
bestiaux devront être porteurs de la
Les M é r i d i o n a u x ont fait une bonne 1m
ne-Marie L e Fouler, de P o n t - S c o r f f . aux épaves et transis d e f r o i d les
lement la séance est levée, tandis
t r 0 1 S h o n t e s d e 1 équipage du
pression avec leur jeu lin, correct et exempt I
J\¡ttrlaqe : néant.
Clair.
carte d'identité mentionnant leur
Ique M. Penvcrn essaie de constituer
,1e toute brutalité, mais ils se sont heurtés
Marie-Hélène
Courtet, J<T® voguaient au gre des tlots, come m p l o i et le nom de k u r patron,
D¿c¿¡¡ .
|un comité de chômeurs.
Un de nos lecleurs nous I n f o r m e qilMl i> une équipe courageuse, décidée h ne i " ' » | v e n v c Henrio, à Kervasquen, 8 3 ans ; jplètement extenues. Les trois naucarte timbrée dans les mêmes condifragés furent recueillis sains et isaufs
laisser l'aire.
n'Ii juinals ì-evii un cor qui, I r a l t é
por
Marie-Hélène Nestour, à Kerbonalec.
tions (pie celle des marchands de
A S AIN T-CO LOMB AN. — Le 1
T o u s l e » Joueur» de l ' U . S. Q. »ont il f é l i Iet débarqués au Passage-Lanriec par
- L e Ululile » , a disparii d e p i l i » (lonzi- lui:«.
bestiaux. Par tolérance et jusqu'à
¡vendredi 6 Janvier, à 20 h. 15, réu « L e Ululile » cnlève les c o r » en slx Jours, citer pour leur belle partie ; une mention 55 -ans.
Y Albert-Jean.
nouvel avis, une attestation de l'emrion mensuelle à la salle Saint polir loujours. M a l » attcntlon !... lùxtge/. spéciale doit être cependant accordée il MarL'eiiibarcaticn du patron Ansquer
M O U V E M E N T DE L A P O P U L A cel Leroux, qui fit une partie merveilleuse
ployeur, certifiée par le maire d e
«
L
e
Ululile
»
,
a
f
r
.
95,
tonte»
pharmucles,
Coioniban, Noël : présentation
de
T Ï O N . — 5ti naissances- d ' e n f a n t s I d o i t être considérée comme perdue
et f u i le roi du terrain.
el il F.pernuy, Phurmucle W e l n m u n n .
la commune d e celui-ci, pourra distableaux de maîtres au cinéma : Les
v i v a n t s ; 20 mariages ; 22 décès.
|avec tous ses agrès.
¡Bon arbitrage de M. Daniel.
A dépiM ituns tonte» les Plmrninctes.
penser les commis de la production
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André-Louis-Maric Salaiin, GendarPONT-AVEN
jeune Jean Le Reste, qui se trouvait
SCAER
m e r i e ; Màrie-Marguerite-Françoise
à ses côtés, fut plus grièvement
CHEZ
LES
PENSIONNÉS.
—
Les
PRESTATIONS. — Déclarations blessé, ayant d e multiples plaies à
Toupin, Moustoir ; Marie-Thérèse Le
Duigou, I.anvcur ; Emmanuel-Lucien pensionné« des Caisses des Invalides d'option. — Le Maire de Scaër porte la face et une f r a c t u r e à la mâchoire.
Laurent, Kroaz-Kerc'hornec; Yvonne- et de P r é v o y a n c e d e la »section de à la connaissance d e s p r e s t a t a i r e s d e Les deux autres petits s'en sont tirés
DOUARNENEZ
NOTRE CINÉ PARLANT. — Les
Marie-Louise Carer, Lan-Kerouac ; l'ont-Aven se sont réunis d i m a n c h e la c o m m u n e que la taxe d e s presta- avec de légères blessures. Les doc- films d'aviation exercent toujours
UN MARIN-PECHEUR EMPORTE
Henri-Christophe Bouguennec, Cleun- sous la p r é s i d e n c e de M. A. Canné- tions peut être acquittée en nature teurs Le Strat. de Rosporden, et Jiu- un gros attrait sur le public. L'aviaPAR UNE LAME. — Le bateau paBraz ; Annie-Louise-Marie Le Goff, vet, capitaine a u long c o u r s , assisté ou en argent, au gré des contribua- dicelli, de Coray,
immédiatement tion militaire a été souvent portée à langrier c o m m a n d é p a r M, Celton,
Gendarmerie ; Pierre-François-Gré- de MM. Blocb et Lamarre, c a p i t a i n e s bles.
appelés,
ont
donné
leurs
soins
aux
l'écran. Avec « Gloria », voici une de Pouldavid, est r e n t r é le 1 " JanLes contribuables qui désireraient victimes.
goire Jambon, Penn-ar-Ger ; José- a u sabotage.
œ u v r e de g r a n d e classe magnifiant vier, à 15 heures, au port, ayant à
Après avoir exposé la situation nu- s'acquitter d e leurs prestations en
phine-Marie-Rosine Le Breton, Kela vie, les périls et les exploits d e b o r d le cadavre d e H e n r i Celton, cé, TREGUNC
ramboei ; Xavier-Henri-Georges Boé- m é r i q u e et financière de la section, nature sont p r i é s d e faire leur décladec, Iveramperchec ; Louise-Made- le. président a fait connaître aux pen- ration à la m a i r i e avant 'le 1 " Février
COUPS E T BLESSURES. — Le l'aviation civile. Une intrigue pas- libataire, 29 ans, f r è r e d u p a t r o n .
Lea voire«. i¡ you« faitea entrer
Alors que le bateau se trouvait le
leine Guernalec, Poteau-Vert; Denise, s i o n n é s q u e le b u r e a u de l e u r Fédé- 1933 au plus tard, et d ' a p p o r t e r n o m m é Auguste Donal, cultivateur à sionnante qui fait revivre les périden* leur ration journalière au
poursuivra
énqrgiqucinent l e u r feuiMe d e prestations. A défaut Kerlin, en Trégunc, a la fâcheuse ré- péties d'une traversée de l'Atlanti- 31 Décembre, vers 11 heures, à
Françoise J o u r d a i n . Kistinic ; Louis- ration
moina 800 U 1.000 ^ramali Je
Etienne-André Toulgoat, Stang-Tre- l'action engagée pour la rélisation de cette déclaration, la taxe sera exi- putation d'être violent. II mène la que est i n t e r p r é t é e p a r une pléiade l'Ouest de Ouessant, il f u t balayé par
de remarquables artistes : Brigitte une forte lame, qui e m p o r t a Henri
balay : Gilbert-Jean Garo, Kroaz- immédiate des améliorations à ap- gible en argent.
vie d u r e à sa femme et à sa mère.
HeJm, André Luguet, André Roanne, Celton.
Lanveur ; Madeleine - Marie - Louise porter a la 'loi d u 1" J a n v i e r 1030,
J
e
u
d
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dernier,
ces
dernières,
deOoiucx oc ri* en flrain» cuit* «i VOUA aurci Carnot, Vuzit ; Jeanne-Joséphine- qui a créé u n e injustice à d'égard
et' Jean Gabin.
RECENSEMENT DES VÉHICULES
Le malheureux put être saisi et re(ri* rapidement de. animaux il U chair blanohc Christine Madic, Penn-ar-Pont.
de certaines catégories de pension- AUTOMOBILES. — Les p r o p r i é t a i r e s vant les menaces de Donal, se réfuEn complément, Pallié - Journal, monté à bord i n a n i m é . Des soins
gièrent
chez
un
voisin,
M.
R
i
c
h
a
r
d
.
cl tendre de qualité exceptionnelle.
nés antérieurement à cette date.
de véhicules auto mobiles', tracteurs, Rendu furieux, Donal s'empara d'une Salamanca,
documentaire,
Dessins énergiques l u i f u r e n t donnés, mais
Écrira à /'Office du Ri»,
4 mariages : Laurent Nabat et
animés. P r i x o r d i n a i r e s des places. il ne put être rappelé à la vie.
11 fera également tous ses efforts motos, etc..., sont invites à faire leur
13. m dm Richtiitm. Par t'a ( 2')
Scrapbine Guiban ; Joseph Poupon pour f a i r e aboutir le projet d e M. déclaration avant le 10 Janvier 1933. lanterne tempête et, s'étant r e n d u
et Marie Lé Beuze ; Maurice Paon et Tasso, p r é s i d e n t d e la Comjmission A cet effet, ils doivent, pour chacun chez M. R i c h a r d , la lança â la figure
SYNDICAT DE VENTE D E BÉDAOULAS
ACCIDENT. — Mardi, vers 11 heu- J o s é p h i n e Le Bihan ; Jean-Marie de la Marine imiarchande, qui a pour •de leurs véhicules, r e m p l i r un impri- de ce dernier, qui porte plusieurs TAIL. — L'assemblée générale consUNE
FEMME
A L E CRANE BROYÉ
blessures
à
la
lace
et
à
la
tête.
res 30, le c a n t o n n i e r m u n i c i p a l J o u r d a i n et E r n e s t i n e Guyader.
titutive d u Syndicat d e vente de
but de d e m a n d e r une. m a j o r a t i o n des mé d e déclaration, qui est mis à leur
F r a n ç o i s Hamon, 42 ans, a été heurté
Le docteur P o c h a r d lui a o r d o n n é bétail aura lieu samedi 7 Janvier, à PAR UN AUTO-CAR. — Lundi soir,
10 enterrements
: Louis Nicolas, taux d e s pensions à 55 ans, ainsi d i s p o s i t i o n à lia mairie.
p a r le camion de la ville. U a eu le d e Nevars, 33 ans ; F r a n ç o i s Le.Sieur, q u ' u n e pension proportionnelle aux
15 heures. A cette réunion, sont priés ù 6 heures, M. S.... 36 ans, t r a n s p o r Tout défaut d e déclaration est pas- un repos de plusieurs jours.
pied droit f r a c t u r é .
M. R i c h a r d a déposé une plainte d'assister non seulement les délégués t e u r en c o m m u n , domicilié à Plomole. m a r i est décédé sible d ' u n e amende de 75 ù 3.000 f r .
de Coat-Meur, 74 ans ; Marie Gléma- veuves dont
Le docteur Dupouy lui a o r d o n n é rec, de Kerantré, 02 ans ; Léontine avant le l" r J a n v i e r 1930 et qui avait iprévue p a r l'article 16 de la loi du à la g e n d a r m e r i e de Concarneau, qui c o m m u n a u x qui ont étudié d é j à des diern, c o n d u i s a i t son a u t o c a r c h a r g é
a ouvert une enquête.
un repos de 30 jours, sauf complica- Bris, de Reunanguip, 18 ans ; Jean- accompli au m i n i m u m 180 mois de 19 Juin 1928.
constitutions du Syndicat en forma- d e six p e r s o n n e s SUIT LA r o u t e d e
tion, miais tous les agriculteurs que Châteaulin, lorsque, à la h a u t e u r des
tions.'
Marcel Suignard, de Meil-Guilers, 7 navigation.
La déclaration faites les années
d e r n i è r e s m a i s o n s de Daouias, une
VOL. — Afin d e fêter comme il la question doit intéresser.
p r é c é d e n t e s ne d i s p e n s e pas ies pro- •convient ila Noël, M. Seïïin André,
automobile, t o u s p h a r e s allumés. Je
ETAT-CIVIL du 15 au 31 Décem- ans ; Germaine .Suni:éau, du VuzitF L E U R D'AJONC (1) BAT J. A. priétaires d'en faire une nouvelle, à domestique de ferme à Kersalomon
bre. — Naissances
: P i e r r e Cléran, Vraz, 11 ans ; Yvette Carer, de MeilDATES OFFICIELLES DES FOI- croisa. Aveuglé p a r cette l u m i è r e
r u e Vauban, 4 ; Anne-Marie Le Gall, Kerry, 10 jours ; Jean Guillou, de I)E QUIMPER (1), 4 A 2. — Le résul- moins qu'ils ne soient en possession en Lanriec, avait revêtu, pour se ren- RES POUR L'ANNÉE 1933. — Sa- intense, le t r a n s p o r t e u r n e vit plus
rue Colonel-Moll ; Odile Quiniou, rue Leinou, 00 ans ; Joseph Gochennec, tat marque bien la p h y s i o n o m i e de d ' u n certificat d ' e x e m p t i o n délivré d r e au bal chez M. Drougiazet, à Tré- m e d i s 7 et 28 J a n v i e r ; samedi 11 Fé- ¡-a route et v i n t f a u c h e r p a r le p h a r e
gunc, un beau pardessus qu'il venait v r i e r ; 'les 13 et 14 Mars (foire très droit d e son autocair u n e p a u v r e
Bayard, 20 ; • Marie-Claire Gourme- de Kistinic, 2 mois ; Jean P o u p o n , la partie. A te p r e m i è r e 'mi-temps, p a r 'l'autorité militaire.
de Kernnsker, 72 ans.
•les locaux se m o n t r è r e n t supérieurs
de 'iwyer la. coquette somme d e importante), l " jour chevaux, 2" jour, h-mrne, l a veuve Brenauit, née MarieIon.
REVISION
DES
LISTES
ELECTOà leurs visiteurs p a r leur r a p i d i t é et
400 francs.
~ Publications
de mariages : René
bétail ; samedi après P â q u e s ; same- J e a n n e Yvinec, âgée d e 57 ans, d o m i RALES.
—
Iil
est
rappelé
a
u
x
perla 'bonne h a r m o n i e d e leur jeu. Ils
MELLAO
A
la
fin
d
u
bal,
il
chercha
vainePenglaou, forgeron à L a n r i e c (Le
di après l'Ascension; samedi l" r Juil- ciliée au village d e Vénéhy, e n
étaient, sans doute, désireux d e répa- sonnes nouvellennient arrivées d a n s la ment ce vêtement à l'endroit où il let; samedis 5 et 20 Août; samedi Daoulas, qui ' f u t projetée e n avant
Passage), et Jeanne-Marie Cotten, ouc o m m u n e , et non inscrites sur la
MEDAILLE DE SERBIE. — Nous
vrière d'usine à Concnrneau ; Henri a p p r e n o n s avec plaisir que la Mé- rer leur d é f a i t e de Scaër, il y a •liste électorale, qu'elles doivent se l'avait accroché. Celui-ci avait dis- 23 Septembre; les 2 et 3 Novembre et traînée sur une longueur d e 70
r
Thiec, marin à Concarneau, et Lucie daille coraméniorativc serbe vient quinze jours. Ils l ' e m p o r t è r e n t par présenter à la mairie avant le 15 paru. Au lieu et place se trouvait (foire très importante), l* jour, che- mètres, p u i s l a r o u e d r o i t e d e l'autoun
trench-coat
usagé.
M.
Sellin
porta
vaux;
2"
jour,
bétail;
samedi
25 No- c a r lui s e c t i o n n a la boîte c r â n i e n n e .
J a n , cigarière à Morlaix ; Louis Hu- d'être décernée à notre compatriote 4 buts ù 0.
Janvier, pour se faire inscrire.
La mort f u t instantanée.
p
l
a
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n
t
e
à
la
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n
d
a
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de
ConcarA
la
seconde
mi-temps,
la
J.
A.
vembre.
.
c h e r , s. p., à Paris, et Marie-Emma Jean-Vincent Ropers, de Pcnlan.
Les électeurs déjà inscrits, et neau qui, a p r è s une minutieuse enfut
beaucoup
plus
active
et
fréciuenlu
Au moment du choc, l a victime
Benyï s. p., à Concarneau.
momentanément quitté la com- quête ne t a r d a pas à découvrir l'auNos félicitations.
CHATEAUNEUF-DU-FAOU
assidûment les bois adverses. Mais ayant
d o n n a i t la m a i n à son petit-fils J e a n
Mariage : Maurice Le Bris, hôtemune,
doivent
vérifier
s'ils
ne
sont
teur du larcin.
le gardien d e but Herledan, en d e s
lier à Concarneau, et Marie-Anne Le
ETAT-CIVIL. — Naissances
: Jo- Guédès, âgé d e 9 an», m a r c h a n t à
rayés d e ¡la liste, en raison d e
MOELAN-SUR-NIER
a r r ê t s intéressants, l ' e m p ê c h a de lpas
Habilement interrogé, M. Rigous seph Rannou, à Penbroës ; Annie Le droite d e s a g r a n d ' m è r e e t q u i n e
Floch, employée des postes à Paris.
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s
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qui
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être
conréaliser p l u s d e d e u x buts.
Corentin, m a r i n - p ê c h e u r à Lamballe, Flour, rue de la Gare ; Monique Le dut son salut q u ' à un saut p r é c i p i t é
Décès : Joseph Jaouen, marin, 07
sidérée c o m m e définitive.
DÉCOUVERTE MACABRE. — Mme
(lut avouer son méfait. Il sera tra- Floch, place aux Chevaux ; Roger sur la banquette d e la route.
A r e m a r q u e r , p a r m i les locaux :
ans, époux Quentrech, rue Vauban, Le Floch, de Keidoualen, en Moëlan
On d e v i n e l'effroi d u b a m b i n à la
28 ; Marie-Françoise Thiec, s. p., 70 sur-Mer, accompagnée de quelques l'arrière Morvézen et les joueurs H.
Martin (transcription) ; Jean Duigou,
DANS LES SAPEURS-POMPIERS. duit devant les t r i b u n a u x .
vue d u c a d a v r e d é c h i q u e t é d e sa
— M. Le F u r , sergent, d a n s le Corps
ans, célibataire, r u e Vauban.
à Stéraon.
amies, a trouvé, sur une petite plage Giles, A. Fauglas et J. D u r a n d .
AMUSEMENTS
STUPIDES.
—
De
En ouverture, mlatch nul e n t r e F. des s a p e u r s - p o m p i e r s à Scaër, vient
Décès : F r a n ç o i s Le Berre, 3 jours, g r a n d ' m è r e .
située, en face d e « l'Ile Percee »,
jeunes g a r n e m e n t s âgés p o u r la pluLe c o n d u c t e u r n'avait p a s vu la
d ' ê t r e n o m m é lieutenant.
CORAY
un sac contenant le cadavre d'un A. (2) et J. A. (2) p a r 3 buts à 3.
p a r t d e m o i n s d e 13 ans, ont pénétré à Lijégu ; Marie Mahé, 11 ans, route f e m m e et seule la sensation d ' u n
Nos félicitations.
petit garçon normalement constitué.
de la Gare.
d
a
n
s
l'église
paroissiale
et
n'ont
CONSEIL MUNICIPAI
Session D'où vient-il
choc suivie d e l'éclateiwent d u p h a r e
UN POIVROT. — Le 1" Janvier,
On l'ignore encore ;
LES EXTRAVAGANCES D'UN POI- trouvé rien de mieux à faire que de
o r d i n a i r e du 29 Décembre. P o u r mais la g e n d a r m e r i e de Pont-Aven après diverses libations,
Orvoën
DEMOGRAPHIE
DE
L'ANNEE d e son auto lui a p p r i r e n t qu'il avait
détériorer
la
crèche
d
e
l'Enfant-Jécette r é u n i o n les 21 conseillers procède à une enquête qui, espérons- Jean-Marie, denii-soldier à Trémolu- VROT. — Le 28 Décembre dernier,
1932. — Au cours de l'année, on a heurté u n obstacle. Il a c t i o n n a imétaient présents.
Vian, en Nizon, se trouvait, à 10 heu- la g e n d a r m e r i e passant au lieu dit sus, en mutilant plusieurs sujets.
enregistré : 85 naissances (y com- médiatement ses freins, m a i s sa voiie, d o n n e r a des résultats.•
A la suite d ' u n e plainte du Rect u r e ne «'arrêta qu'à 23 m è t r e s d u
« Pont-Lédan », r e m a r q u a sur la
Les d é c i s i o n s suivantes ont été
Le parquet d e Quiniper s'est r e n d u res, r u e de Concarneau, en état com- route un h o m m e en complet état teur de la paroisse, la gendarmerie pris 5 transcriptions) ; 03 décès lieu d u c h o c .
prises :
plet d'ivresse, gesticulant, i n t e r p o (dont 2 t r a n s c r i p t i o n s ) et 19 mariasur
les
dieux.
Tout
porte
à
croire
que
d'ivresse, qui gesticulait et pronon- de Concarneau a ouvert u n e enquête. ges (dont 1 t r a n s c r i p t i o n ) .
Toutes les demandes
d'assistance
I m m é d i a t e m e n t après, le chef de
se trouve en p r é s e n c e d'un lant et insultant les passants. Les çait des paroles incohérentes. Les
Les jeunes garnements ont été reformulées o n t été a c c o r d é e s (fem- il'on
b r i g a d e Le Ray et le g e n d a r m e Stég e n d a r m e s s u r v i n r e n t et pour mettre
n
f
a
n
t
i
c
i
d
e
commis
dnuis
la
région
mes en couclïcs, assistance aux vieil- de Moëlan-sur-Mcr. L'enquête conti- fin au scandale, le conduisirent à son gendarmes le r e c o n n u r e n t pour être mis à leurs p a r e n t s comme ayant agi
phan, a i n s i q u e l e d o c t e u r Caste!,
PLOUNEVEZEL
lard? infirmes e t tncurabikis, militai nue.
de Daoulas, se r e n d i r e n t s u r les lieux
domicile, nanti d'un procès-verbal. le nommé Le Corre Louis, journa- sans discernement.
ETAT
PAROISSIAL
DU
4'
TRIlier
au
dit
lieu
«
Pont-Lédan
».
11
fut
res).
de l'accident.
MESTRE.
—
Baptêmes
:
Jean-Marie
conduit
chez
lui,
nanti
d'un
procèsL
E
T
R
E
V
O
U
X
lie vision de la liste électorale
pour
Quant à l'automobile q u i croisa
Beaudouin, de Beg-Avel ; Simonne
ROSPORDEN
verbal pour ivresse.
l'année i933. — Après avoir déliLA MORT TRAGIQUE DE M. L E Le Guern, d e la Carrière ; Antoine l'autocar tous p h a r e s allumés elle
béré, le, conseil p r o p o s e les m e m b r e s
avait disparu.
Mais dans la maison se présente RECTEUR. — M. ,l'abbé T r o m e u r ,
A. S. n . (1) h n t ETOILE (1) p a r 3 b u t s
CULTIVATEURS
Raoul, d e Kerven-Goz ; Raymond
suivants : M. P i e r r e Séhédic, comme
à U. — Le t e r r a i n d u v é l o d r o m e , t o u t d é - Mme Eveil, née Marie Jaouen, qui dé- lecteur d u Trévoux, vient d e trouver
Marot,
de
Kergroas
;
Etienne-Marie
PLOUARZEL
qui avez du terrain à défricher t r e m p e , n u i s a i t b e a u c o u p à la b e a u t é d u clara aux gendarmes que, vers 13 la mort, v e n d r e d i d e r n i e r , d a n s un
délégué d e l'administration, MM.
Garandel, de Landrévarzec ; Claum a t c l i , n i a i s U n o u s n c e p e n d a n t été d o n n é heures, Le Corre s'était présenté chez
I.ouis Le Blhrtn, P i e r r e Le Goff et
DEUX PÊCHEURS S E NOIENT. —
malheureux
accident.
adressez-vous
à
dette
Le
Du,
de
Kergroas
;
Maried e v o i r d e t r è s j o l i e s p h a s e s d e Jeu et n o - elle, qu'il s'empara d'une soupière
Germai^ Brent, pour la révision de
Vendredi après-midi, MM. Kerrot,
M. Raymond Cadiou, cultivateur,
t a m m e n t en p r e m i è r e m i - t e m p s , p u r la l i g n e
M. C O H E N R o b e r t
la liste et pour jugeant-! nt des réel a
pleine de soupe et la lança daps sa habitant une ferme située à p r o x i - Louise Isaac, de Kergroas.
âgé d e 40 ans, et son neveu, jeune
d ' a v a n t » stelllstn.
Mariage : Joseph Le Roux, d e Kermations.
route de la gare, MOËLAN
A l'A. S. II., H e n é I n i z t m r e m p l a c e II. Cot- direction. La soupière se brisa et le mité du bourg, livrait, au presby- groas, et Léontine Le Bras, de lier- hoomme d ' u n e vingtaine d ' a n n é w , demeurant r u e Bihan, à Plouarzel, jeListe des répartiteurs
pour rannée
tère, u n e charretée de lande devant violet.
t e n , et ii l ' E t o i l e , .Miossec et D a h c r o n f o n t contenu se r é p a n d i t sur la maison.
entrrpreneur de dffrichage de terres
taient l e u r s filets, non loin d u p o r t
1933. — R é p a r t i t e u r s titulaires :
défaut.
servir
de
litière
pour
une
bête
à
Elle
a
porté
plainte
contre
son
Tracteur et charrue moderne
: J o s è p h e Baler, épouse d e de Lampaui, l o r s q u e p a r s u i t e d ' u n
Oès le d é b u t , les « r o u g e s » p a r t e n t h extravagant voisin.
Jeon B e r n a r d , Alain P é r o u , P i e r r e
cornes. En pénétrant à l'intérieur P i eDécès
r r e HénafT, d u bourg, 51 ans.
l ' a t t a q u e et, a p r è s c i n q m i n u t e s d e j e u ,
f a u x m o u v e m e n t , ils t o m b è r e n t tous
Trobois, P i e r r e Bôuguennec, F r a n de la cour, la charrette h e u r t a un
r e n t r e n t l e u r p r e m i e r b u t , p u r Goulll'ès,
les d e u x à la muer.
ETAT-CIVIL.
—
Naissances : côté d u mur, qui s'écroula sur M. le
çods Guillou, l^ouis Le Bihan, Louis
MOUVEMENT D E LA POPULAl ' E t o i l e ne j o u a n t q u ' à d i x ù ce m o m e n t . Roger Carnot, au bourg ; Irène Le
CONTRIBUTIONS
INDIRECTES.
Kéroué, Jean Jaouen.
Guillaume
•Dans la soirée, on a r e t i r é le c o r p s
Recteur. Le f e r m i e r et les voisins, TION PENDANT L'ANNÉE 1932. —
Les « b l e u s », à l e u r t o u r , v o n t r e n d r e
Lundi
-proch-n'in
i)
Janvier,
(te
9
à
12
Dez, Logc-Broutte ; Paillette Lanquc- ippelés en toute liàte, se p o r t è r e n t Naissances : 31. Mariages : 9. Décès : du- neveu, qui ¿tait e n c o r e chaud,
Mahc, Louis Kcrfiourlay.
v i s i t e il J o s e p h Ker et n o u s f o n t a s s i s t e r à
heures
et
de
11
à
16
heures,
percepRépartiteurs suppléants : Joseph
mais il n'a p u ê t r e r a p p e l é à la vie
u n Jeu m a g n i f i q u e . Le goal d e s r o u g e s est til, de K e r n a n e c ; Anne-Marie Fiche, au secours d u vénéré pasteur et le 11.
Hannou, Joseph Mévellee, H e n r i Cot- tion de ja taxe sur Je c h i f f r e d'affai- s é r i e u s e m e n t m i s à l ' o u v r a g e et s a u v e p l u - de Timoter-Vras ; Eliane Le Bris, d e transportèrent au p r e s b y t è r e .
L'autre c a d a v r e n ' a p a s été retrouvé.
POULLAOUEN
res,
et
«le
l'impôt
sur
les
autos
et
Saint-Jean ; Anne-Marie Boédec, de
ten, Jean Le Roux, Yves Michelet,
sieurs situations dllflclles.
Mandé d ' u r g e n c e , le docteur MiREPARTITEURS. — Sont propoQUIMPER
I>A. S. B. m a r q u e r a u n d e u x i è m e b u t et Kérédec ; Jean-Roger Le Goc, de Ti- roux, d e Quinvpenlé, lui prodigua les
(iréflolre P o h e r , Charles Le Simx, motos.
N
E
V
E
Z
c'est s u r le s c o r e d e a h 0 q u e s u r v i e n d r a Gloanec ;
Françoise P i c h o n , d u soin« nécessaires, en attendant l'ar- sés comme r é p a r t i t e u r s p o u r 1933 :
P i e r r e Héiuery, Michel Le Du, Jean
MORT D E
CONGESTION.
—
lu p r e m i è r e m i - t e m p s , q u i f u t c e p e n d a n t bourg ; Marie-Henriette Guiilot, du
Titulaires
: MM. Le Gac Pierre, Pierre-Marie Le Nôuy, 60 ans, ouL e Goff.
rivée d u docteur Cotonnec, c h i r u r UNE VICTIME DE LA MER. — On t o u t il l ' a v u n t u g e d e l ' E t o i l e .
bourg ; Louis Solliec, de Voden- gien. Mais hélas! il était t r o p t a r d . Liorzou ; Méoc Jean, Kermorvan ; vrier plâtrier, sans domicile fixe, a
Commissaires
répartiteurs
pour la n'a pas oublié la tragique noyade du
La s e c o n d e p u r j l u est m o i n s I n t é r e s s a n t e ,
révision du cadastre. — Ont été nom- 27 Septembre au Passage-Lanriec. p r e s q u e t o u s les j o u e u r s , c o u v e r t s d e b o u e , Vihan ; Jean-Joseph Guégan, Raden ; M. l'abbé T r o m e u r succombait peu Cousse P i e r r e , Kersach ; J a f î r e n n o u été trouvé mort de congestion, r u e
urçés {-pour l ' a n n é e 19^3-34) : F r a n - Trois matelots.dll t h o n i e r Urs-ij-Fcui, n ' o n t p l u s lu m ê m e u r d e u r q u ' a u d é b u t et Isabelle Enizan, Pontigou ; André iprès à 'des f r a c t u r e s multiples des Gilles, Guilly ; Hély Joseph, Rosqui- Froide, à Locmarla, en f a c e d u déGuillou, L o g e - C ' h a o r ; F e r n a n d e ïambes et du bassin. Le d é f u n t était jean ; Boulch Pierre, Kergadiou ; bit Riou.
çois Le Roux, maire «le Leulian, de Névez, y t r o u v è r e n t la mort; une le ¿eu se r a l e n t i t .
~ "'"
Quénet Louis, T r o h o a t ; Le Gall JeanLes « r o u g e s » p a r v i e n d r o n t e n c o r e ù Lann, Timoter-Vihan ; Louis Her- âgé de 61 ans.
P i e r r e Bouguennec, d e GuiKourien embarcation ayant chaviré.
Cet
h
o
m
m
e
avait été r e n c o n t r é la
Xlarie, Kerloaguen ; Hély Isidore,
m a r q u e r u n t r o i s i è m e b u t , t a n d i s q u e les veaut, Kleumericn ; Raymond
Ber(Trégoturez) ; H e n r i Crouan. m a i r e
Né à Lopérec, en 1871, il avait été Roscornoa ; Rivoal Pierre, Minès-Per. veille au soir en complet état d'ivresUn matelot du Dettij, M. Le Bris,
d e Coray ; Jean Ix- Roux, Laurent pris de refroidissement, fut obligé « b l e u s » n e r é u s s i r o n t p a s il s a u v e r l ' h o n - thelot, Coat-Courant.
se et il est à supposer qu'il a u r a
o r d o n n é p r ê t r e en 1890. il était recneur.
Suppléants : MM. Briand Guillau- passé la nuit dehors.
Décès : Marie Le Bihan, Keran- teur du Trévoux, depuis 1918 et
Saccada«, Jean Corler, J e a n Bernard, de s'aliter.
F é l l c l t p n s t o u s les J o u e u r s p o u r l e u r c o u me,
Kerguinen
;
Scouarnec
Jeanguen,
71
a
n
s
;
Yves
Boédec,
d
e
KerHoné Troaien, P i e r r e Calvary, Jean
marin vient de décé- rage, c a r i l s d u r e n t p a t a u g e r d u n s l ' e a u et llouz, 24 ans, d é c é d é e à P a r i s ; Marie- jouissait, dans sa paroisse et aux en- Louis, bourg ; Guillou, Pierre-Louis,
Bourhis», Yves Le Roy, Jean Le Vail- derL'infortuné
des
suites
d'une congestion pul- la b o u c , et u n e m e n t i o n s p é c i a l e à C u m p i o n , Louise Thépaut, bourg, 09 ans ; virons, d e l'estime et d e la sympa- QuéÎennec ; Postollec Yves, Toul-arlant, Alain Péron, Jean DouRuet, monaire.
H a n u o u , J . Le (i >11', I n l z a n , q u i u o u s p u r u thie générale.
Roudou ; Le Guern Yves, KerjézéMarie - F r a n ç o i s e Hervé, 63 ans,
Louis Kergourlay, Joseph Mévellec,
l e n t les m e i l l e u r s .
Nos
condoléances
à
la
famille.
quel ; Le Minez Vincent, b o u r g ; Foires et marchés de la région
bourg
;
C
a
t
h
e
r
i
n
e
L
a
n
n
u
r
i
e
n
,
88
ans,
Bon
a
r
b
i
t
r
a
g
e
d
e
M.
P
e
n
s
é
e
.
Louis Gueguen, Christophe Barré,
Jecq Yvesi Gollot ; Bellec Jean-Louis,
bourg ; Marie-Anne Le Gall, 58 ans,
Corentin Mfthé, Alain Pétition.
UN MOTOCYCLISTE HEURTE UN
REMERCIEMENTS
Cosquer ; Rivoal Hervé, Hellès ;
bourg ; Louis SolMec, Voden-Vihan,
Cession du presbytère à la société VIEILLARD. — Dimanche 1" JanSAINT-THURIEN
Quérè Hervé, Kervézennec.
PONT-AVEN. — Œufs, la douzaine,
2 jours ; Françoise Jégou, 88 ans,
diocésain«'. — Nous r a p p e l o n s «fii'à vier, vers 14 h. 30, M. Marrec, de
7 fr. ; beurre doux, la livre, 7 fr. ;
QUIMPERLÉ. — Mme Charles
bourg.
la session de Mai 1931, lie conseil Pont-Aven, quittait le bourg à niotoLES VETERANS BATTENT LES
beurre
salé, 8 fr.; poulets, la livre,
La
vigne,
Mlle
Angèle
Lavigne,
M.
POULLAOUEN
TOURC'H
avait décidé à 11 voix contre 10 <k- c v d e t t e , lorsque soudain, en face de JEUNES p a r 7 buts à 5. — Cette
jeunes, 3.50 à 4 fr.; vieux, 5 fr.; béCharles Lavigne et toute la famille
c é d e r le presbytère et ses dépendan- Kerilis, en Névez, il se trouva en partie, cjisputée sur un terrain gras,
ETAT-CIVIL d u mois de Décem- casses, Ja pièce, 10 fr.; perdrix, 7 fr.;
UNE GRAVE COLLISION D'AU- r e m e r c i e n t sincèrement toutes les
ces à la société diocésaine, au p r i x •u'ésenee de M. Burel Yves, à d e fut très animée de bout en bout et
TOS. — L u n d i 2 Janvier, vers personnes qui ont assisté aux obsè- bre. — Naissances : Charlotte Séach lapins, 3 fr. ''
d e 10.000 f r a n c s . A la suite d e l'en- 73 ans, qui se r e n d a i t paisiblement pleine de f r a n c h e gaîté.
à Goasvennou ; Aristide Postollec, à
ROSPORDEN, 29 Décembre. — Beurre
18 h. 30, le camion de M. Bertrand ques d e
quête- d e c o m m o d o - i n c o m m o d o , et a son domicile.
Toul-ar-Roudou ; Albert Jouan, à La non salé, 7.50 la livre (hausse). Œufs,
Dès le coup d'envoi, les anciens Le Dez, négociant en porcs à Ros
sur l'intervention d u sous-préfet, une
M. Charles
LAVIGNE.
Mine ; Marcel Le Goff. à Fanouillec 6 fr. la douzaine (baisse). Veaux, 2.25
Malgré tout le sang-froid d u motonouvélle réunion a eu lieu. Le p r i x cycliste, le choc se produisit et M. p r e n n e n t la direction du jeu et sur porden, et l'auto de M. Calvary, bouà 2.40 la livre (léfière hausse) ; mouont eu lieu le samedi 31 Décem- Louise Robin, à Restbian.
d e vente était fixé à 20.000 f r a n c s . Burel, blessé, fut conduit chez Mme une descente de toute beauté, ont langer à Tourch, se sont t a m p o n n é s qui
Mariage : Joseph Corre, soldat au tons, environ 2 fr. ¡la livre.
l'honneur du p r e m i e r but. Peu de à environ 250 mètres du b o u r g de bre 1932, ainsi que toutes ceililes qui
Après un vote à mains levées, le Sellin, qui lui prodigua les soins temps après, un deuxième est mar- T o u r c h .
CARHAIX, 31 Décembre.
On cote
leur ont témoigné de la sympathie 48° R. I., à Guingamp, et Denise Piaux 100 kilos. Farine, IfiO à 165; blé,
conseil d é c i d e p a r 11 voix contre 10 nécessaires en attendant l'arrivée d e qué p a r l'inter Berthelot. Les jeuchon,
p., à Poullaouen.
en cette douloureuse circonstance.
Le
camion
quatre
tonnes
de
M.
Le
75; sarrasin, 75; avoine, 75;
d e ne, pas v e n d r e le presbytère. A M. le docteur Afflchard.
Décès : F e r n a n d Le Hénaff, 15 ¡105; seiffle,
nes, piqués au vif, s'emploient à Dez t r a n s p o r t a i t des bêtes à cornes
70; son, 50. Paille, 250 à 270; foin,
l'expiration d u bail, 'le conseil décimois, à Kerriou; Marie-Jeanne Guen- orge,
Le praticien a constaté-que, par un fond et égalisent à la mi-temps.
350
les
1.000
kilos.
R
E
M
E
R
C
I
E
M
E
N
T
S
et
se
dirigeait
vers
Rosporden
;
la
dera de v e n d r e le presbytère, QU de l eureux hasard, les blessures étaient
ver, veuve Saliou, 83 ans,.ù la SalleLa deuxième partie est toute à petite 5 chevaux, conduite p a r M.
Veaux en très petit nombre, vendus
p r o c é d e r à d ' i m p o r t a n t e s r é p a r a - légères.
Poulfonnec
;
Marie-Françoise
Pril'avantage des vieux qui, décidé- Calvary et dans laquelle se trou2.25 à 2.50 la livre suc pied; taureaux
MO E L A N -S U R-M E B. — Mme et M
tions.
ment, ont retrouvé, p o u r la circons- vaient les trois fils de M, Le Reste Félix Guillou et toute ila famille re- gent, veuve Colcanap, 88 ans, à Le- et génisses, 2.50 à 3 le kilo; vaches,
M. Masseron, ingénieur du Service
tan'fce, leurs jambes de 20 ans.
tailleur à T o u r c h , Jean, 13 ans, Co- mercient sincèrement les personnes mézec - Izella ; A n n e - M a r i e Paul, quelques-unes vendues de 900 à 1.700.
vicinal à Rosporden, a été nomimé à
Animation sur le marché aux porcelets
V o u l e z - v o u s uno S I T U A T I O N ?
Remarqué chez les jeunes, le goal rentin, 10 ans, et René, 7 ans, ren- qui ont bien voulu assister aux ob- épouse Magoariec, 56 ans, au Cos- dont
;les cours «ont très ferme» variant
la fonction d'architecte-voyer de la
quer.
trait
au
bourg.
La
voiture
de
M.
CalBéatrice,
qui
sauva
son
équipe
d'une
un
emploi
assuré
on
quelques
sèques
d
e
de
180 à 320 pièce pour ceux à 6 i
c o m m u n e d e Coray.
mois? Suivez les cours pratiques écrasante défaite par ses beaux plon- vary alla heurter le camion qui était Monsieur Joseph
MOUVEMENT DE LA POPULA- U semaines; ceux de 3 mot» variant de
GUILLOU TION
complètement à droite et, après
EN 1932. — 11 a été enregis- 320 ù 380, 150 porcelets amenés presde l ' E C O L E P I G I E R , 9 , r u e des geons.
KERNEVEL
que tous vendus. Les porcs gras en
Chez les vétérans, toute l'équipe avoir sérieusement endommagé ce- ainsi que celles qui leur ont témoi- t r é p e n d a n t l'année 1932 :
Fontolnes à L O R I E N T . — D i p l ô m e s
nombre de plus en plus restreint se venest à féliciter. Une mention spéciale lui-ci, se renversa, ayant fait un tour gné d e la sympathie en cette douNaissances, 78 contre 76 en 1931 ; dent
ETAT-PAROISSIAL (4' trimestre). après examens. —
de 3.50 h 3.75 la livre:
Placement pour le doyen Pierre, qui, d'un su complet.
loureuse c i r c o n s t a n c e .
reconnaissances, 5 c o n t r e 4 ; maria— 18 baptêmes : Oorcntin-MichriBeurre doux, 14 le kilo; salé. 16 ;
assuré
dans
toute
la
France
par
perbe
botte
à
20
mètres,
logea
un
2.203
De
Profundis.
M.
Calvary
a
été
blessé
au
front
et
ges,
17
contre
31
;
décès,
43
contre
Jcan
Cotonnec, P o r z o u ; Marieîle» œufs, 7; pouJ«t», 3.50 lia livre.
bolide au fond de la cage.
porte des contusions au thorax. Le
50 ; t r a n s c r i p t i o n s , 0 contre 1.
Louise-Ernestinc Le Dez, Kistinic ; les soins des Amicales P I G I E R .
Cidre 300 la barrique plus les droits.
.des
porcs
s'engraissent'
vite!
CARHAIX
dans le Départaient
RIZ
p a r les Soviets tressaillaient, dans
l'attente toute proche, liévreuse, de
[20] la libération. Partout les comités
bretons occultes p r é p a r a i e n t les soulèvements opportuns...
Pol Salou répondit it Hervé :
« O r d r e exécuté. Escadres parties.
Dites nos vœux respectueux aux
deux malades. Gloire à vous ! Gloire
aux Trois ! Bretagne sauve le monde. »
F E U I L L E T O N DE L ' (»UNION A G R I C O L E »
du vendredi 6 Janvier 1933.
LES TROIS
CONTRE MOSCOU
par
René CARDALIAGUET
Hervé o r d o n n a aux « c a m a r a d e s »
emplovés accourus :
— Immédiatement, deux médecins
ici, deux professeurs de l'Ecole de
médecine. Portez monsieur d a n s la
c h a m b r e verte, et mademoiselle d a n s
la c h a m b r e bleue à côté. Que dem a i n soir ils soiont complètement
rétablis. Que p e r s o n n e ne s a p p r o c h e
de me« avions. Que des sentinelles
veillent.
Il prit alors possession d e s appart e m e n t s de Mouravief, ceux d'où Napoléon le Grand avait cru dicter la
loi aux Russes. Et sans d é s e m p a r e r ,
il téléphona en breton à Pol Salou :
—- De noire palais du
Kremlin.
Faites p a r t i r cinq mille avions comme convenu, p l u s cinq mille des réserves. — L E S T R O I S .
Le retentissement fut Immense
dans le monde. En Finistère, Pol
Salou avait ouvert les télécinéphones
aux anciens combattants et aux troupes i tous voyaient et entendaient
Moscou soumis aux Trois. Au Guilijjui, devant les c i d o p h o n e s qui
avaient m o n t r é le jugement et la délivrance, l'enthousiasme des mineurs,
d e s marins, des soldats, était indescriptible. Les pnys encore o c c u p é s
XXIV
LA
DÉBÂCLE
TOTALE
Les dix mille hélicoptères bretons
s'élancèrent: d e s places de Trcompan, de Lanupiuil et d e Saint-Pabu,
des camps d e Pouhulic-Lanvéoc et de
Guipavas, d e s réserves d u cap S m i n
et >de l'hippodromp d e Cuzon, (les
étendues
silencieuses d u MoriozArez, — de la Lieue-de-Grève enfin.
Ensemble les escadrilles f r a n c h i r e n t
la f r o n t i è r e d e l'ancien Finistère ;
elles s'étendirent sur la Bretagne frémissante d'espoir; et chaque armée
cingla vers la capitale à c o n q u é r i r .
Ce fut très simple.
Autour d e chaque ville, cent avions
créaient; et maintenaient un barrage
magnétique. Puis les points essentiels étaient d'abord occupés: hôtel
di\s P.T.T.. stations d e radio, banques
principales, polices et prisons, gares,
ports et casernes, ministères et palais du gouvernement. Les comités
antisovietiques, p r é p a r é s de longue
date, s'eniparaient vigoureusement
(les administrations. Après quoi,
toute circulation était interdite sous
peine de mort, et les cours martiales
toutes composées d o membres bretons, jugeaient et c o n d a m n a i e n t les
assassins, voienrs et autre« criminels
qui avaient formé « l'élite d e la société •» rouge,
,..
Quant a u x troupes bolchevistes,
(filles étaient consignées d a n s leurs
casernes, désarmées, ¡séparées de
•leurs officiers, en a t t e n d a n t le départ pour les c a m p s de p r i s o n n i e r s .
Que tout se passAt s a n s casse, nul
ne pouvait l'espérer. Ça et là, des
résistances s'esquissèrent: à Berlin
et ii Homle, dont les gouvernements
avaient c r u bon d e flirter avec Moscou avant l'invasion, et qui étaient
gangrenés de bolchevisme jusqu'aux
moelles, — il' P a r i s où l'élément
f r a n ç a i s 'se trouvait submergé i>ar un
afflux inouï de révolutionnaires cosmopolites. La m a n i è r e forte eut rairon d e 'toutes les réactions
soviétiqueis1.
— Que voulez-vous! d i s a i t rondement ie général Lezbr'eiz, chef de
l'escadrille de P a r i s : on ne fait pas
l'omelette «ans casser les oeufs!
Un épisode, par exemple.
Pl.usieurj, régiments rouges de Paris, choisis parmi Itisi plus rouges,
furieux d'être musclés p a r un ennemi d o n t nul ne voyait un gros déploiement de iforces, avaient décidé
d e sortir bon gré mal gré de leurs
casernements. A l'Ecole militaire en
particulier, toute une expédition
s'était organisée. D e r r i è r e d e s tanks,
la musique s'il vous plaît, et les sold a i s par rangs et par files, bien ali
«nés, l'air martiwl, et gare à qui
bronche!
Les tanks s'ébranllèrent. La musique secoua les nerfs. Ives hommes
en c h a n t a n t e m b o î t è r e n t le pas.
F r a n c h i r îles porte« ne serait qu'un
pas, et 'du coup la stupide légende
des Trois tout-puissants aurait vécu:
à Moscou toujours Je sceptre du
mondïl
L e s deux p r e m i e r s .tanks, •parvenus
de front 'au seuil d e la porte monumentale, soudain se m i r e n t à se dan
dîner d e s roues droite» sur le» roues
gauches: ou aurait d i t lies h i p p o p o tames en goguette. Leur mouvement,
à la fois grotesque et tragique, s'accentua. Les t a n k s suivants entrèrent
dans la danse, devant les cosaques
médu'st». De l'intérieur, d e s cris affolés sortaient. Mais une force inconnue m a i n t e n a i t closes toutes 'les
ouvertures. Aucun moyen d e secours.
Et puis, tout d ' u n coup, toute la flle
droite fut soulevée comme d e s limailles p a r u n aim'ant. Elle, oscilla
un instant d a n s le vide, a p p u y a sur
la gauche, et, d'un bloc, tank sur
tank, elle retomba sur la file gauche
écrasée. Elle-même, tous organes
faussés, enchevêtrée dans les d é b r i s ,
elle n'avait plus qu'à flamber...
— Les avions invisibles! cria un
homme, qui se souvenait d e l'hécatombe de la grande flotte sous Ouessant.
Ce fut un isauve-qui-'peut général.
Les tiers guerriers de Moscou ne
connaissaient plus que la peur, qui
d o n n e des ailes. A toutes jambes,
ils coururent pour f r a n c h i r les grilles
à défaut des p o r t e s obstruées. I^es
'plus agiles se firent maudire par les
t r a î n a r d s . Heureux, ils s'agrippèrent
aux l o u r d e s lances .de fer qui surmontaient le m u r bas de clôture...
et d e s hurlements d e d a m n é s retent i r e n t : les grilles étaient éloctriséesI
P a r grappes, les hommes foudroyés
restaient a c c r o c h é » à l'obstacle, et
ceux qui tenaient (leurs vêtements
avaient subi la commotion, inséparables d a n s le supplice et d a n s la
mort...
Cet exemple et d'autres semblables
aussitôt radiodiffusés, avaient bien
tôt douché les têtes t r o p chaudes,
et l'ordre avait' régné à Varsovie et
aiil'lcurs.
Dans toutes les capitales délivrées,
Pol Salou avait convoqué les chofs
d'Etat d'avant l'invasion russe, ou
leurs successeurs légaux. Devant le
régent breton de c h a q u e pays, l'exroi ou président avait isiigné ie Pacte
de •Chrétienté, unissant tous les Etats
d ' E u r o p e , créant une force a r m é e
internationale, et réalisant enfin la
vraie et c h r é t i e n n e Société des Nations. Toutefois l e statu quo ante
n'était pas complètement rétabli :
ainsi le roi d'Italie aurait à s'entend r e avec le p a p e pour d e nouvelles
frontières éventuelles; la P r u s s e perdait su vieille hégémonie s u r les Allemagnes, huit Etats non fédérés se
partageant les territoires g e r m a i n s ;
la F r a n c e retrouvait sa frontière du
Rhin et demeurait' sous le gouvernement provisoire des Trois', qui lui
•donneraient, à la paix, son statut
déflnitif, etc...
teurs donnaient à plein r o n d e m e n t sur Moscou. A c h a q u e station, Je
et le t r a i n s'enfuyait à une allure t r a i n s'arrêtait un instant et le p e r vertigineuse vers les steppes immen- sonnel pouvait voir, a c c r o c h é s en
ses où les commissaires d u peuple Itonne ulace, les c a d a v r e s d u hautespéraient i e terrer, se p e r d r e p a r - -iommiissaire a u x t r a n s p o r t s m o n mi les tribus n o m a d e s e t p r é p a r e r diaux, d u chef de la T c h é k a et d u
dans l'ombre la r e v a n c h e c o n t r e ces commissaire a u ravitaillement. Et
Bretons maudits.
les copulations a c c l a m a i e n t tes Trois,
Un effort encore et Ouralsk appa- lihérateurs.
raîtrait. Ouralsk, p o r t e d e s steppes
A Moscou,
les h a u t - p a r l e u r s
où les Kirghiz e r r e n t des frontières avaient a n n o n c é , à toute la ville, la
de l'Oural aux déserts de Mongolie. c a p t u r e d e s m e m b r e s d u G r a n d ConLes commissaires ébauchaient d e seil e t leur retour forcé p o u r ê t r e
vagues sourires. L'espoir renaissait. jugés d a n s la salle iraèmo d ' o ù ils
Tout à coup, la vitesse diminua, avaient envoyé tant d ' i n n o c e n t e à !«
les roues patinèrent sur le rail, le mort. Soigneusement encadrés, ies
convoi s'immobilisa.
ex-commissaires d u p e u p l e d u r e n t
D'un bond, les vingt-quatre com- se r e n d r e , à pied, à la salle d e s jum i s s a i r e s du peuplie furent sur la gements où Marie et son p è r e avaient
voie: mais, à p e i n e sur le sol, demeu- été exposés aux i n j u r e s d e la p o p u Nul n'osa regimber. Le b o n h e u r rèrent immobiles, bouche bée, stupé- lace. Devant l e u r s juges, a u c u n e déttait t r o p grand d ' é c h a p p e r à la dic- faits. Le t r a i n repartait, seul, sans fense n'était possible. Les faits étaient
tature bolchevique, et trop vive con:tuct?i;r, cependant qu'une voix patents, indiscutables. P a t r i o t e s asétait la reconnaissance de. l ' E u r o p e leur criait : « T o u s sur le ballast, sassinés, catholique» et o r t h o d o x e s
envers les Trois, sauveurs d u monde. par r a n g de trois, à trois p a s de dis- torturés, f e m m e s et e n f a n t s égorgés,
populations d é c i m é e s , tout c r i a i t
Du reste, un radio d e Moscou faci- tance, ou vous êtes1 m o r t s . »
lita. tous les accords.
Stupides, ils se regardèrent. Quel- vengeance et r é c l a m a i t l'expiation.
« De notre palais du
Kremlin. ciues centaines de mètres plus loin, Un cri de d é l i v r a n c e retentit d a n s
Mouravief, par nos o r d r e s et en notre le train, arrête, semblait les narguer. la salde, q u a n d le p r é s i d e n t de la
présence, a été pendu. Vingt-quatre L'instinct fut le p l u s fort. Ils se cour martiale lut d ' u n e voix grave ot
commissaires d u peuple sont en mirent à c o u r i r . Quelques pas, et les sivère : « U ' t r i b u n a l c o n d a m n e les
fuite ; cette nuit ils seront p e n d u s . trois p r e m i e r s tombèrent foudroyés, ex-commissaires d u p e u n l e à être
Nous ordonnons la plus grande fer- cependant que le train «'était éloi- i/cudus sur la p r i n c i p a l e place d e
meté aux cours martiales. La r a p i d e gne d ' u n e centaine 4e imètres. Jouets Moscou, p
campagne s'achève en une victoire (l'une puissance supérieure, les chefs
T s u P a u F o u fut c h a r g é de l'exéincontestable. — LES T n o i s . »
bolchevistes s'immobilisèrent.
cution.
A Moscou, trois mille avions', siLa voix r e p r i t :•' « Que p e r s o n n e
gnalés seulement par les fanions d e s ne bouge désormais. Haspoutine.
chefs d'escadrille, veillaient. Le sur- pendez ces t r o i s cadavres à la locoplus maintenait l'ordre dans les cités motive, un à l'avant, d e u x aux lanpopuleuses de l ' I n d e et d e l'Asie, ce- ternes.
( V o i r la suit© en V page.)
pendant que quclquesi escadrilles
Passifs, anéantis, les b a n d i t s send'avions magnétiques pourchassaient t i r e n t . d e s mains invisibles l e u r lier
les commissaires en fuite. Affolés p a r les mains et les pieds, les jeter d a n s
l'exécution de Mouravief, j les mem- le fourgon. Marche arrière, 3e t r a i n
bres du Grand Conseil bolcheviste électrique r e p a r t i t à g r a n d e allure,
s'étaient rués dans le train électrique s ' a r r f t a n t à Sain a ra pour passer sur
présidentiel, ultra-rapide. Les mo- la plaque t o u r n a n t e ét r e p a r t i r , c a p
L'OFFICE OU BLE
Dans sa séance du 17 Novembre
1932, la Chambre des Députés a
pdopté l'ordre du jour commun présenté par les Radicaux et les Sociaïistes et portant création de l'Office
National des Céréales panifiables.
Après deux jours de tractations et
de marchandages, ces Messieurs se
sont mis d'accord, mais une fois de
plus le Gouvernement, pour sauver
sa tête, cédant nu chantage socialiste, s'est renié lui-même !
Pauvre M. Abel Gardey, obligé de
défendre 'le 17 ce qu'il condamnait
formellement le 15 ! Jamais réquisitoire aussi net n'avait été prononcé
contre cette mesure avant le discours du Ministre de 'l'Agriculture :
« L'Offtce d u blé a été préconisé.
Le Gouvernement ne repousse aucune idée à priori. Mais que faut-il
entendre par « office » ? Le mot
importe peu ; c'est la chose qu'il
convient de scruter.
« S'agirait-il d'un organisme comportant un monopole intégral d'achat
et de vente ? Une telle entreprise
exigerait, on en conviendra, un personnel, un outillage considérables,
un roulement d e fonds d'une telle
importance qu'il nous paraît impossible, dans l'état actuel de nos finan
ces, de l'envisager sérieusement.
« Un pareil organisme d e protection, pour ne pas être exposé à souff r i r d'une surproduction, serait, du
reste, entraîné à rechercher des
mesures de réglementation rigoureu
ses, difficiles à établir lorsqu'il
s'agit d'une culture à assolement,
mesures pénibles, d'autre part, à
supporter.
« L'individuaflisme, qui a ses faiblesses, et nous les dénonçons, a
aussi sa vertu. Il faut ne pas l'étouffer d'uno manière Complète. »
Aucune critique ne manque dans
cet exposé : au point de vue financier, l'Office d u blé constituerait
une expérience désastreuse que le
Canada et les EtatsrUuis ont déjà
faite, il exigerait une « réglementation rigoureuse » à laquelle nos cultivateurs, ja'loux à juste titre de leur
indépendance, ne voudraient se plier
économiquement et psychologiquement, la réalisation d'une telle réforme serait une faute lourde de
conséquences pour l'avenir d e notre
pays.
Dans une comédie célèbre, un
avocat est amené par le jeu des circonstances à plaider à la foi« pour
l'accusé et le plaignant. L'agriculture française saura se souvenir que
son Ministre a tenu, dans une
« comédie politique », le même
rôle bouffon !
On nous d i r a : « L'Office National
des Céréales panifiables n'est pas
l'Office que les Socialistes préconisent depuis bientôt sept ans. Il ne
comporte pas le monopole du commerce intérieur et borne son action
au contrôle d u marché, au stockage
d e la récolte et à la régularisation
des cours, rien de plus. » Certes,
son rôle actuel est limité, mais c'est
un premier pas que nous faisons
vers le monopole total. L'Etat, pour
obtenir cette régularisation ou plutôt, car c'en est une, cette taxation
des cours, devra dans une certaine
mesure et selon its circonsNnoes,
acheter, stocker, ou vendre lui-iuême
d u blé. Pour mener à bien cette
tâche, nouvelle il lui faudra avoir
une nouvelle armée de fonctionnaires. L'organisme permanent' mis sur
pied aura toujours tendance à augmenter es prérogatives, et nous nous
acheminerons rapidement vers l'Office socialiste. Ceux-ci d'ailleurs ne
manqueront pas de veiller jalousement sur leur œuvre, et c'est ainsi
que Compère Morel, après avoir
chanté victoire, écrivait dans Le
Populaire du 18 Novembre 1932 :
« Cet ordre du jour consacre avec
éclat l'incessante action menée par
notre parti à la Chambre et dans les
milieux ruraux... Il lui appartient
maintenant d'agir pour donner plus
de vie, plus de force, plus d'autorité,
à cet Office dont il a été le protagoniste, et dont la consécration, par
le parti radical et le Gouvernement,
aurait pu, à elle seule, motiver le
vote de ses élus. »
Il faut donner plus de « force »,
plus « d'autorité » à l'Office. Nous
savons ce que cela veut dire.
Voici donc une réforme qui.
d'après les estimations d e M.
Maxence Roldes, député socialiste,
devrait coûter immédiatement à
l'Etat, c'est-à-dire à tous les contribuables et aux cultivateurs bien
entendu, de 2 à 3 milliards de francs.
Ceci pour commencer, sans préjudice de l'avenir ! Quels avantages
peut-on attendre d'elle en compensation 7
Répond-elle aux aspirations légitimes des travailleurs ruraux, peutelle leur qpporter 'les satisfactions
auxquelles ils ont droit ? Nous ne le
7>ensons pas.
L'Europe respirait enfin, délivrée
de la terreur qui, si 'longtemps, si
durement, avait posé sur les consciences, mais Hervé continuait t»
veiller. Un danger subsistait : l'Asie,
•où des complot* se tramaient. I)u
Kremlin même, Hervé surveillait
tout, grâce ù un eidophone perfectionné, accouplé à un cinénoctovlseur que Hui avait fait parvenir Pol
-Salon, toujours sur la brèche, toujours infatigable. Les cours martiales, installées ù Pékin, Nankin,
Canton, Tokio et autres grandes
villes, eurent vite fait d e mettre fin
aux troubles. Quelques i>endaisons et
quelques fusillades firent voir clairemlent aux agitateurs que les Bretons
ne reculeraient pas devant la manière forte, s'il le fallait, pour maintenir l'ordre et la tranquiJlité.
Cependant, la veille de son exécution, le gouverneur de Pékin, pri«
d'une folie sa tunique, avait donné
ordre à cinq cents avions chinois de
s envoler de nuit, avec un chargement de tubes remplis ( | c microbes :
microbes d e la peste, d u choléra, de
In rage et autres maladies infectieuses
Direction: Europe. Mission: répand r e le tout sur les territoires occidentaux afin d'exterminer enfin cette
race blanche et, surtout, la nation
invincible des Bretons catholiques.
Grâce au cinénoctoviseur, Hervé
avait suivi les préparatifs et le dép a r t des avions porteurs des germes
d e mort.
Les abattre, iil n'y fallait p a s songer: tes (microbes se seraient répandus sur toute la terre; les incendier
r. était guère plus admissible. Sur les
ordres des Trois, une escadrille partit. Encadrer les avions chinois,
électrocuter à distance les conducteurs, puis conduire les avions, chargés d e microbes, au-dessus de l'océan
L'Office du blé par la taxation
lire
assure aux producteurs la fixité des Lisez et faites
cours, donc une sécurité relative ;
Assurez-vous un Placement sûr, un plamais il ne faut pas oublier que
cement qui rapporte, tic votre Argent, en
l'Etat étant aussi le représentant-de
faisant économiquement produire à votre
l'immense masse des consommateurs,
Terre, à votre Domaine, le maximum. Suidoit pour défendre leurs intérêts
•»•«•. les conseils de
faire une politique d e pain à bon
marché et fixer le prix .du blé au
V I E à la C A M P A G N E
taux le plus bas possible. Tel est
Votre intérêt et votre devoir vous la Revue pratique avant tout pur le texte
bien l'état d'esprit de M. Herriot commandent d'acheter une Ecrémeuse et par l'Image
qui disait au Conseil municipal de
pour
fres
Lyon, le 25 Janvier 1932 :
« Je sais bien que le pain est plus
P r e n e z la
cher en France que d a n s certains
seulement
pays étrangers. Cela provient de la
Etranger i 65 et 80 francs
politique gouvernementale du blé
que tout le monde connaît. On vouvous recevrez 12 numéros mensuels, véritables sources de revenus et de plaisirs.
drait', avec du blé cher, avoir du
Chacun d'eux comporte, en effet, 12 à 84
pain à bon marché. »
BOL Inoxidable pages Illustrées de 1.10 gravures traitant nvc»
Le cours sera donc fixé le plus
tout le détail pratique utile 100 sujets d'acelle est
bas possible et la loi de l'offre et de
tunllté ; élevage de petit et gros bétull, culsupérieure
la demande ne pouvant pas jouer
à la meilleure ture de rapport, horticulture, jardinage,
librement, le cultivateur ne connaîarchitecture, monographie de beaux domaid e s M a r q u e s nes et d'exploitations rurales de rapport,
tra plus jamais le blé à 150 ou 160
E t r a n g è r e s . etc., etc...
francs, cours rémunérateurs qui ont
été ceux de 1930 et 1931 quand les
Découpez cette unnonco et adressez-la, avec
républicains nationaux étaient au Société des Ecrémeuses Françaises la somme correspondante, ¿1 M. Albert
pouvoir.
MAUMENE, Librairie Hnchctte, 79, boulee
L'Office du blé a ruiné l'Australie, PAX - LAB O R, Cambrai vard Salnt-Germaln, Paris (0 ).
engendré le .marasme des marchés
au Canada et aux Etat-Unis ; il peut
nous conduire à une aventure financière dont nous n'avons pas besoin
en .ce mom'ent.
La taxation, l'Office du blé ! nous
avons connu cela pendant la guerre
et ce système a été abandonné à la
satisfaction des producteurs. Allonsnous donc revoir cela
La taxation, l'Office du blé exiayant une
gent pour leur bon fonctionnement
CLIENTÈLE P A Y S A N N E
des mesures de contrôles sévères,
déclaration des cultivateurs et des
ont intérêt à faire leur
récoltes, etc... Avec l'inquisition fiscale, ncus connaîtrons l'inquisition
p u b l i c i t é d a n s le j o u r n a l
du travail : ferons-nous bon marché
préféré à la c a m p a g n e .
de notre liberté '?
Enfin l'Office du blé doit vaincre
la spéculation. M. Tardieu l'avait
infltée avec les armes que lui donnait la loi et si le Ministre actuel
E S T CE JOURNAL
s'est montré impuissant, ce n'est' pas
que les armes aient été défaillantes,
C'est le journal local le
mais seulement lui-même. M. Bertrand de Jouvenel qui est un radiplus répandu dans
cal-socialiste bon teint, écrivait dans
l
'arrondissement.
« La République » du 18 Novembre :
« La récolte du blé de 1932 a
donné lieu à des coups de bourse
tels qu'on n'en avait point vus
depuis nombre d'années. Aucune
imiosurc préventive n'avait été prise.
Nous n'avons entendu parler d'au
cune mesure punitive. »
On n'est jamais si bien servi que
par soi-même.
LORI ENT. — LIGNES WORMS et Cie
L'Office du blé ne pourra rien
contre la puissance de certains consortiums qui font la pluie et le
Services réguliers entre LORIENT, BORDEAUX, BAY0Nbeau temps sur le marché.
NE, CAEN, ROUEN, LE HAVRE, BOULOGNE, DUNKERQUE,
Ne craint-on pas que demain leur
BREST et les ports de l'étranger. (Uu départ tous les 14
action ne s'exerce encore davantage,
jours dans chaque sens).
quand au lieu d'avoir devant eux
des milliers de vendeurs avec qui ils
Pour frôt et renseignements, s'adresser
doivent discuter aujourd'hui, ils
M. Emile SALMON, Agent Maritime
n'auront plus que l'Office National
4 0 , Quai d e R o h a n - LORIENT
où ils auront su se ménager des
« amitiés » agissantes.
WORMS & C°
On pouvait par des mesures sages
dans tous les autres ports.
comme celles préconisées p a r les
Chambres d'Agricultures qui, dans
leur immense 'majorité, ont rejeté le
principe de l'Office, vaincre la crise
que traversent nos campagnes. Le
Gouvernement de M. Herriot ne l'a
P o u r consulter les horaires des lignes d'Orient, d'Expas voulu. De ce débat économique,
trême-Orient,
de l'Afrique Occidentale, du Brésil et de la Plail a fait un débat politique. Le
ta, ainsi que pour retenir les billets de passages, s'adresser :
inonde agricole voulait des actes, on
4 0 , Quai Rohan,
lui a donné une affiche électorale,
rien de plus.
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D a n s le sens France-Algérie, il correspond à un t r a i n - p a q u e b o t p a r t a n t de
l ' n r i s - y u a i d f O r s a y les d i m a n c h e s et
j e u d i s soirs ù 17 h . 21 ( t o u t e s classes,
couchettes d e 1 " classe et wagon-rest a u r a n t ) ; l ' a r r i v é e fi Alger a lieu Je
s u r l e n d e m a i n m a t i n fi 8 h. (Durée totale d u voyage- 38 h. 30).
C'est non s e u l e m e n t la voie l a p l u s
courte, m a i s celle qui t r a v e r s e les e a u x
les m i e u x a b r i t é e s ; c ' e s t l a seule avec
t r a n s b o r d e m e n t direct d e s p a s s a g e r s et
de leurs bagages d u t r a i n a u p a q u e b o t ,
s u r le quai m ê m e d ' e m b a r q u e m e n t .
Glacial, n'avait pris qu'une heure.
Dans un trou de la banquise chaque
avion avait été précipité. Les microbes étaient désormais inofiensifs, ensevelis sous les glaces polaires.
Le monde entier, sur des écrans
tendus sur toutes leis places publiques, avait suivi les dernières péripéties d e la lutte contre le bolchevismie. Sur tous les points de (l'univers, l'humanité, frémissante, avait
acclamé les héros dont la science,
le eourage et 'la foi avaient enfin
triomphé. L'ivresse 'de la liberté cm
plissait les cœurs.
Je soussigné (1)
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qui, naguère, d'un élan unanime,
s'étaient voués au sacrifice!... C'est
difficile.... c'est nécessaire.
Silencieux, penchés s u r l'a couche
dont l'Ange de la Mort s'approchait
déjà les jeunes gens écoutaient'.
— Mas enfants, je m'en vais... reprit le grand lutteur. Jt> partirai
heureux : Bretagne est libre. Mais
donnez-moi une joie suprême. Marie
ma fille, j'avais rêvé (le vous conduire à l'autel et de vous donner à
mon fils Hervé... Mes enfants, voulez-vous?
Un. silence régna. P u i s Hervé murmura:
XXV
— Marie de Léon à Hervé Pennarun!... Maître, vous m'avez élevé; du
GLOIRE ET DEUIL
petit paysan corno.uai'l'hii's, vous avez
Au Guiligui, les Bretons pleuraient. fait votre lieutenant, votre confident;
Epuisé par les privations, les fati- jamais je ne pourrai im^acquitter engues morales et physiques endurées, vers vous. Et voici (rue vouisr avez
depuis des années, pour Dieu et songé à cette union t r o p glorieuse
pour la Patrie, le père d e Marie se pour moi ! .
mourait. Il appelait Hervé, instam— Hervé, devant toi princes et
ment, anxieusement... l'heure pres- présidents 'doivent s'incliner: tu es
sait.
plus grand qu'eux tous.
Hervé, p a r un décret dès longtemps
Les deux hommes regardèrent Mamédité, institua le général Lezbreiz rie.
gouverneur provisoire des provinces
— Père, dit-elle, à nul autre
île Russie et d'Asie, et, d'un seul vol, qu Hervé je n'aurais engagé ma foi.
il regagna la grotte qui avait été le Son âme est aussi noble crue Bohan,
laboratoire de la délivrance, l'asile que Penthièvre, que Léon. Mais mon
inviolé où le cerveau puissant du rêve est plus h a u t : je suis à Jésuspère avait créé, de toutes pièces, leis Christ. C'est au Carmdl que je déengins merveilleux, terreur des Bou- sire entrer, si vous, mon père, et
ges!
vous, Hervé, mon chef très aimé,
Le père le reçut avec un sourire m'en accordez la permission,
encore; Marie pleurait.
— On ne dispute pas son épouse
— Notre œuvre n'est pas encore au Christ, répondit le p è r e . Songez
terminée, dit de mourant. C'est ii vous seulement que le grand c œ u r d'Hervé
que Dieu réserve la lâche suprême. vous aimait bien : je croyais avoir
Battre J'opresseur, libérer la chré- compris «on secret et je l'uiyproiivais.
tienté, c'est déjà île passé. L'avenir,
— Une autre, père, ailmc Hervé,
vous le créerez, en nDaintenant l'u- notre
chef. J'ai différé de vous monnion de tous, riche® et pauvres, ter
les lettres d'Anne, votre seconde
nobles, bourgeois, ouvriers, paysans,
fille, d'Anne Lampaul, ce-mme on
^
Vente à crédit
meilleure des Marques
déclare souscrire un abonnement de
d
"
à partir
193 , au journal L ' U n i o n Agricole.
Ci-joint un mandat ou chèque postal de
le
...
*.
-
*»*•••
-
193
Signature- :
. .»
.
. -t ,-i: .-i.'*? a
(1) Nom, prénom, profession et adresse complète.
Etrangères.
B a r a t t e s et Malaxeurs
9
BARII, DOGHATEL & C' , CAMflBAl (Hord)
l'appelle, là-bas, dans cette petite île tes ces fortunes ? On est bien ccmjme
d'Amérique où vous l'avez envoyée on est ; pas vra;i, les gâs '?
pour lui éviter 'les dangers du bolLes gas, ' unanimes, approuvèrent
chevismie. Ses lettres ne parlent que Mais Alain d e Léon insista.
d'Hervé. On y sent partout le sou— Vous devez accepter, mes
venir de celui qui, jadis, en toutes enfants. Il faut que les meilleurs rescirconstances, veillait sur elle et qui, tent au premier rang et, pour cela,
depuis, s'est élevé si haut dans il faut de l'or, comme il faut de la
¡'admiration des peuples. Hervé, vertu. Acceptez donc.
voulez-vous ? Père, voulez-vous ?
— Pour que la Bretagne vive,
— Hervé, à vous de répondre, dit alors ! fit l'ouvrier.
Alain de Léon.
— Pol, dit le mourant, viens m'em— Si tel est votre bon pOaisir, maî- brasser pour tous les Bretons, outre ! et en souvenir de votre fille vriers die la délivrance. 11 faudra
Marie.
i.rier pour l'âme de Ion vieux chef
— Avertissez votre sœur, Marie. qui s'en va... Au revoir, au ciel, mes
Il est temps... Et que les hommes amis !... Postez unis... toujours.
viennent maintenant.
— Vous vous fatiguez, père... dit
En un instant, immobiles, tête nue, Marie.
attentifs, les héros furent groupés
— Hervé, Marie, reprit le père
autour du chef que la mort, loute haletant, j'aurais aimé avant d e mouproche, auréolait d'une suprême rir revoir tout notre • Guiligui. Ç'a
najesté !
tlé beau, si beau I Mais je ne peux
— .J'ai vc.tii'.u vous revoir avant de plus.
prendre la voie de toute chair, mes
— Les petits hélicoptères sont là,
amis... Obéissez à., Hervé Penmarun, père : voulez-vous ?
fiancé de ma fille Anne de IA'OII,
— Et nous, vos cinq cents, dercomme vous «n'avez toujours obéi. rière
vous ? proposèrent doucement
Vous m'avez aimé. Je vous aimUis les travai'lleunsi.
bien... Hervé, dites-fleur mes volontés.
Un sourire d e l'au-delà éclaira les
— Mes amis, dit Hervé, notre chef, traits jaunis et tirés du héros. Il posa
Alain de Léon, a constitué pour vous son regard très doux sur la grande
des majorais héréditaires, incessibles famille de Bretons indonVptables,
et insaisissables. Pal Salou, un mil- qu'il avait su élever et maintenir au
lion de rentes; chacun des cent pre- niveau d e son âme, plus haut que le
miers mineurs du Guiligui, deux devoir.
cent mille francs de rentes ; les cents
— Allons, mes flte, dit-il. On peut
qui vinrent îles aider, chacun cent toujours
un peu plus qu'on n'imagine,
mille francs 'de rentes ; chacun des je vous l'ai
dit si souvent !... Essutrois cents qui prirent la croix à yons.
Bu mongol, cinquante mille francs de
Avec des sollicitudes de mère,
rentes; les autres, qui vinrent après
la première victoire, seront toujours Marie porta le mourant, son modèle,
dans la carlingue au drapeau tricoà l'abri du besoin.
lore henni né. Sans bruit, sans trou— Notre chef, dit un vieil ouvrier, ble, tellement habitués depuis des
ce n'est pas pour l'argent qu'on ser- mois et des années aux manœuvres
vait, vous savez bien. Pourquoi tou- presque ' impossibles et pourtant
Détacher ce bulletin et l'adresser à M. l ' A d m i n i s t r a t e u r de
l'Union Agricole, 13, quai Brizeux, Quimperlé (Finistère).
silencieuses, les Bretons montèrent
dans les appareils, suivant les Trois,
filant dans l'air souterrain, dans la
splendeur des mille lumières soudain éclatantes, et revivant avec le
Chef agonisant l'épopée des jours
anciens.
— Et cette fois, avait dit Marie,
pas d'invisibiliseur, n'est-ce pas ?
Il, fallait que la suprênVe vision
restât sur les rétines à jamais, et
dans les cœurs : Alain de Léon ne
•disparaîtrait que trop tôt aux yeux
de ses fidèles ! Une à une, les ¿»lies
furent parcourues avec lenteur ;
Hervé guidait l'escadrille ; Marie
surveillait, anxieuse, le souffle du
vieillard épuisé... U voulait remplir
sa mémoire du spectacle des lieux
aimés, comme pour l'emporter plus
sûrement dans l«i Bretagne d u ciel...
Hélas ! si imperceptible que fût le
'.mouvement, l'agonie n'en serait-elle
pas plus douloureuse et plus brève 1
— Je verrai tout... Ne crains 1 pas,
Marie, fille d e peu de foi... Le Seigneur est ma force... Avance, Hervé !
Tous sentaient bien, dans l'étrange
cortège, que le libérateur continuait
son entretien, sans arrêt, avec l'Hôte
divin des âmes. Souffrait-il d'avoir à
se détacher enfin des instruments de
l'entreprise surhumaine accomplie ?
De voir sombrer dans la mort son
génie et sa puissance ? De sentir
s'arrêter le rythme de son cœur, toujours strictement accordé à celui des
coeurs vaillants qui avaient battu
pour Q'œuvre commune
Et l'avenir"?... Et le mystère sans nom de
l'éternel jugement ?... Alain de Léon,
paisible, remettait son esprit aux
mains fortes et tendres de son Sauveur, et, doucement, vers la lumière
indéfectible, son âme montait.
Ii voulut respirer une dernière
fois l'air salubre du large.
— Sur le Guiligui ! dit-il.
M contempla- la Croix relevée... II
prolongea son rêve, face à la mer
sans bornes.
— Hervé, dit-il, c'est là-has, au.
delà d u chenal du Four, tu te rap-1
pelles ? l'invincible armada des Bou- ;
ges ? C'était ta première victoire
navale...
— Après la Penfeld, où Marie
travaillait aussi...
'{
— Pauvres enfants' !... Votre vie a
été rude...
— Evit Doue hag ar Vro (1), dit
Marie. Tout est bien !
Tous retournèrent au souterrain.
Une dernière fois, Alain de Léon
lénit les ouvriers de la délivrance.
Ces hommes rudes pleuraient, contemplant la scène auguste.
Puis, quand- l'évêque entra, porteur des dernières consolations, tous
se retirèrent pour un long instant.
Sous la bénédiction du prélat, son
ami, son compagnon de travail et
de lutte, — entouré des cinq cents '
en prière, — soigné p a r Marie et
par Hervé, — Alain de Léon livra '
son dernier combat. Haletant, il murmurait :
— La uaix bretonne règne sur le
monde... La paix du Christ.. Je vois;.. Je vois... Le ciel «'ouvre... ils viennent... Nos vieux saints... La Breta- ,
gne du Ciel...
Et, d a n s cette- fête de son âme, le
grand libérateur mourut.
-—ftr
- -
|
(1) P o u r Dieu e t : ln P a t r i e .
(A
*
suivre.)
Le gérant : D. PLOUZENNEC.
Quimper, Imprimerie Cornouaillaiie.
Vcnuicui
t o
janvier
itfos
Paraissai i
l e V E N D R I
DI
L E NUMÉÏ o
CENTIMI S
E T
M I R I T I I H E
ane Républicain Démocratique et Régionaliste de V
ANNONCES ET. RÉCLAMES
Réclames (4» page), la ligne. 1 fr.
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de la part de la Libre Pensée
Elle est l'œnvre d'un religieux français
Mgr Euch
membre de l'institut.
Samedi dernier, Mgr Rueh a été
élu membre de l'Académie des
Sciences morale« et politiques: tous
les autres candidats se sont courtoisement retirés devant lui, malgré
leurs titres éminents. Us ont voulu
ainsi rendre hommage il l'évoque de
la frontière, qui a tant travaillé et
tant souffert pour la cause française,
comme au philosophe, dont le talent,
l'information, la pensée claire et
ferme font honneur «tu pays.
sénatoriales.
A u x frais des contribuables.
En Saône-et-Loire, M. Cochard,
radical-socialiste, est élu, en remplacement de M. Petitjean, radical-socialiste, décédé.
— Dans le Puy-de-Dôme, le I)'
Malsang, radical-socifliste, est élu
par 659 voix contre 3G9 à M.
Alexandre Varenne, député S. F. I.
0 . Il s'agissait de remplacer un socialiste, le D r Darteyre, décédé.-
Elections
Nous avons signalé les scandales
de deux nominations comme fonctionnaires de deux anciens députés,
blackboulés aux dernières élections:
M. Picquemal, communiste, nommé
percepteur hors classe: M. Antonelli,
socialiste, nommé professeur aux
Arts et Métiers, avec 1111 poste créé
exprès pour lui.
En voici un troisième: M. Richard
Georges, ancien député socialiste S.
F. I. O., vjen! d'être nommé trésorier-payeur général de la colonie de
la Côte des Somalis. Bien entendu,
c'est à Paris qu'il passera' le plus
clair de son temps, et les contribuables l'entretiendront
dans
cette
grasse sinécure.
Une émeute
échoue en
anarchiste
Catalogne.
Dans la nuit du 8 au 9 Janvier,
hne émeute anarchiste a éclaté sur
différents points de la Catalogne,
en particulier à Barcelone, à Tanisu,
à Saint-Vincent de Gastelle, à
1,érida, i Sardanyole et à Ripoilct.,
L a ' t r o u p e et la police sôrft intervenues et les révolutionnaires ont été
chassés. Malheureusement, on compte
une quinzaine de morts et de nombreux blessés.
Des troubles ont éclaté également
^ e u c c a ï a s t r o p n e a j e t é la consà Cadix et à Pédralba (province de t e r n a t i o n d a n s toute' la p o p u l a Valence). Dix manifestants et trois tion f r a n ç a i s e , et l'opinion publigardes civils ont été tués.
q u e - veut c o n n a î t r e la cause du
Toujours la question sinistre ; elle veut !a l u m i è r e et
elle la veut complète, totale.
des dettes.
D a n s les s p h è r e s officielles, on
Au Sénat américain, M. Borah a
reconnu que, en vertu des accords veut croire à u n c o n c o u r s m o n s Koover-Laval, la France était justi- t r u e u x de c i r c o n s t a n c e s m a l h e u fiée à demander une revision de sa reuses. Reste à savoir si u n e m a i n
<iette de guerre.
criminelle n':i p a s aidé la N a t u r e
Les Etats-Unis
veulent et le H a s a r d , si ces c i r c o n s t a n c e s
a l h e u r e u s e s n ' o n t pas été voula maîtrise des mers. m
lues et créées.
Il ressort des discours prononcés
I m p r u d e n c e de f u m e u r , supà la sixième session annuelle de la
Conférence <le la Marine marchande pose-t-on. Mais le p a q u e b o t n'avait
à Washington, que les Etats-Unis as- à bord a u c u n passager, et le feu
pirent maintenant à la maîtrise des a pris d a n s une cabine de luxe,
mers.
inoccupée d e p u i s le d é p a r t de
Plusieurs des orateurs se sont éle- Saint-Nazaire.
>és contre la campagne faite en cerOn p a r l e a u s s i d u luxe exagéré,
tains txi.vs étrangers contre l'octroi réalisé a u d é t r i m e n t de la sécude subsides gouvernementaux aux rité : t r o p de bois, t r o p de décodifférentes compagnies de navigation
et M. O'Ctfnnor, président du « Uni- rations, de tapis et de t e n t u r e s .
ted States. Shioping Boa rai », a re- Mais d ' a u t r e s navires sont aussi
commandé de ne rien négliger pour l u x u e u x et aussi combustibles.
faciliter l'exécution des plans qui P o u r q u o i faut-il q u e ce soit les
•doivent rendre les Etats-Unis maîtres b a t e a u x f r a n ç a i s , et t o u j o u r s les
des mers.
plus beaux, qui soient les victiM. Calvin Coolidge est mort. mes d u H a s a r d aveugle ? E t r a n g e
h a s a r d , à la vérité, qui sait si
M. Calvin Coolidge, ancien président des Etats-Unis, est mort jeudi bien choisir ses victimes !
D'ailleurs, c h a q u e fois q u ' u n
d'une embolie.
Il avait été élu vice-président des n o u v e a u navire est l.mcé, on n o u s
Etats-Unis en 1920, et succéda en a n n o n c e que les m e s u r e s de sécu1923, au président Harding, puis fut rité o n t été poussées à l'extrême,
réélu en 1924. En 1928, il ne se re- q u e v r a i m e n t on peut s ' e m b a r présenta pas et fit campagne pour q u e r s a n s a u c u n e crainte. E t on
M. Hoover.
doit pouvoir le croire.
La balance
commerciale S u r Y Atlantique,
ces m e s u r e s
allemande.
de sécurité a v a i e n t été prévues et
Le bilan du commerce extérieur installées, et l'équipage était parallemand pour 1932 présente un ex- f a i t e m e n t exerce ; a j o u t o n s q u e
cédent des exportations sur les im- p e n d a n t les d e u x h e u r e s et d e m i e
portations >de 1 milliard 100 millions qu'il put tenir à bord a p r è s le déde marks, soit G milliards et demi but d u sinistre, il a f a i t son dede francs.
voir, plus q u e son devoir. E t qui
L'Allemagne ne paiera pas s a u r a j a m a i s les actes de b r a voure accomplis p a r les dix-neuf
les
Etats-Unis.
manquants,
avant
En raison des difficultés de sa si- m a l h e u r e u x
tuation financière, l'Allemagne sem- qu'ils soient t o m b e s victimes de
ble décidée à ajourner le paiement leur d é v o u e m e n t ? Ils a u r o n t emdes sommes qu'elle doit verser aux porté leur s e r r e t d a n s la tombe.
Etats-Unis le 31 Mars prochain. Ces
sommes se montent à 33 millions de
marks et représentent la réparation
M. Mcycr, m i n i s t r e de la Made certains dommages et 'le remboursement des frais d'occupation de rine M a r c h a n d e , déclare d ' u n e
façon catégorique « qu'il f a u t
l'armée américaine en Allemagne.
a b s o l u m e n t écarter toute idée de
Des troubles aux Indes. malveillance ». Déclaration bien
puisque
l'enquête
/ Î î e s tribus de Musulmans se sont p r é m a t u r é e ,
révoltées dans l'Etat d'Alwar. Des n ' é t a i t pas encore c o m m e n c é e .
troupes britanniques ont été envoL'on c o m p r e n d fort bien q u ' a u
yées pour aider le maharadjah fi maî- m i n i s t è r e 011 veuille c a l m e r les
triser la rebellion.
esprits, en é c a r t a n t <i priori toute
La situation s'aggrave d'heure en idée de sabotage ou d ' a t t e n t a t et
heure. Le nombre des rebelles est en m e t t a n t la c a t a s t r o p h e s u r le
maintenant d'environ 90.000. Les c o m p t e d ' u n accident f o r t u i t .
révoltés travaillent activement à
Mais l'on c o m p r e n d aussi bien
creuser des tranchées sur les routes,
qu'Us encombrent avec des troncs l ' i n q u i é t u d e de l'opinion publid'arbres pour entraver la marche que, a p r è s t a n t de sinistres m a r i des troupes de d'Etat d'Alwar.
times dont ont été victimes les
Des camions automobiles, remplis plus belles u n i t é s de n o t r e Hotte
de rebelles blessés, arrivent conti- m a r c h a n d e .
nuellement dans la ville d'Alwar, ce
E n 1928, le Paul-Lecat,
courqui indique que des combats sérieux rier du Pacifique, b r û l e ¿1 Mar-ont commencé. On apprend en outri
que les insurgés se livrent un peu seille.
E n 1929, le Paris b r û l e a u Hapartout au pillage.
I
i
j
L a crise en
Allemagne
Une anomalie.
Les Missions laïques à l'étranger
comptent : 10.000 élèves. Les Missions catholiques, 05.000 élèves.
L'Etat donne aux premiers 34 millions ; il veut bien donner aux seconds 7 millions ! Donc, chaque
élève des premiers coûte 3.400 fr.;
chaque élève des seconds, coûte
14 fr. !
Conclusion : 011 bien on donne
trop aux Missions laïques, économie
à faire ; ou bien on 11e donne pas
assez aux Missions catholiques :
injustice à réparer.
Une ville espagnole
menacée d'être engloutie.
Un étrange phénomène affecte en
ce moment la partie de la côte de
l'ile Majorque, connue sous le nom
de Gala de Cerda.
De grandes masses de terre glissent au liane des montagnes détruisant dans leur chute des forêts de
pins, ainsi que les plantations d'oliviers et d'amandiers.
On entend des grondements souterrains accompagnés d'explosions
que suivent des projections de rocs
et de boues à des distances considérables. Au bord de la côte, la mer
est tumultueuse •' et offre l'aspect
d'une eau boueuse en ébullition. La
ville de la -zone affectée par ces
ébranlements souterrains est Estallenclies, non loin de Palma.
M. Schrameck, Viellard
et Péchin, ont été inculpés
de fraudes fiscales.
Un autre incendie sur la «France»
Un autre incendie a éclaté dimanche matin, à 3 heures, à bord du
transatlantique
France,
désarmé
depuis plusieurs mois au Havre.
C'est encore dans une cabine de
luxe, non occupée, que le feu s'est
déclaré. Fort heureusement, le sinistre a pu être maîtrisé après deux
heures d'efforts.
JiCAN L E
GALL.
MM. Schrameck, sénateur des
Bouches-du-Rhône ; Viellard, sénateur du Territoire de Belfort, et le
docteur Péchin, député du 12' arrondissement de Paris, ont été inculpés
de fraudes fiscales pour n'avoir pas
payé l'impôt sur les coupons des valeurs étrangères et n'avoir pas déclaré leurs avoirs à l'étranger.
Un savant britannique
invente un appareil produisant des rayons a n a l o g i e s
a u x rayons solaires.
Un savant britannique, M. Batchelor, vient de faire une découverte d'un grand intérêt scientillque.
Ce savant aurait trouvé un appareil permettant d'émettre des rayons
lumineux pratiquement identiques
aux rayons solaires, dont ils n'auraient cependant pas certaines propriétés nocives.
; Des expériences concluantes auraient été faites. Des fleurs en cours
d'éclosion, soumises aux nouveaux
rayons, se seraient épanouies en
quelques instants.
478 g u e r r e s civiles
en 22 ans.
On mande de Shanghaï que 30.000
soldats et 3.000 civils ont été tués au
cours de la guerre civile qui continue à faire rage d a n s le Se-Tchouan.
Depuis la fondation de la République Chinoise, il y a 22 ans, c'est
la quatre cent soixante-dix-huitièine
guerre civile qui éclate dans cette
province.
Record peu enviable !
» C
Le conflit sino japonais.
Les troupes japonaises ont pris et
occupé, en Mandchourie, la ville de
Chnn-Haï-Kouan, après de violents
M. Leygues passe en revue, à Toulon, l'équipage du cuirassé « Lorraine », combats qui ont fait de nombreuses
après les manœuvres navales.
CLICH* < CNTON » r a i i , victimes et de considérables dégâts.
Ce que les ingénieurs cherchaient
en vain depuis des années a enfin
été réalisé.
Et le savant à qui 011 le doit est
un modeste religieux français, le
Frère Cyro, un de ces « Frères ignorantins », à qui le gouvernement
français refuse le droit d'enseigner,
pour ce seul motif qu'ils appartiennent à un Ordre religieux.
Les religieux sont des hommes
diminués, prétendent certains politiciens de gauche ; la religion déforme les cerveaux, affirment d'autres.
La sensationnelle découverte du
Frère Cyro semble prouver au contraire que ceux qui tiennent ce langage veulent déformer les cerveaux
et bourrer les crânes de ceux qui
les écoutent.
Si le Frère Cyro et ses confrères
n'ont pas en France le droit d'enseigner, ce n'est pas parce qu'ils manquent du civisme, de l'honnêteté ou
de la compétence nécessaires, mais
parce qu'en les chassant, la FrancMaçonnerie, qui, depuis près de
trente ans, préside aux destinées de
la France, sait fort bien qu'elle
atteint la religion honnie, et qu'elle
supprime une concurrence inquiétante pour ses pédagogues.
Malheureusement, c'est la France
tout entière qui en pâtit, car le nombre des illettrés 11e cesse de croître
d'année en année.
Pneumonie et grippe à New-York
Les épidémies de pneumonie et de
grippe prennent à New-York des
proportions inquiétante. Ix? total des
victimes de ces deux maladies pour
!a semaine dernière se monte respectivement à 502 et 215.
Contraste frappant
it En Vendée, un cheminot, père de trois enfants,
dit
M. de Monzie, minisire de l'Instruction
Publique,
ayant
excipé de ses droits de père de famille, pour avoir le profit
de l'instruction
gratuite et obligatoire, j'ai, par
décision
du 30 Septembre dernier, ouvert l'école pour trois élèves. »
Que l'Etat respecte les droits d'un père de famille
librepenseur, nous n'y trouverons rien à redire. Qu'il ne tienne
aucun compte des droits de plusieurs millions de pères de
familles catholiques, on avouera que c'est m o n s t r u e u x .
Il y a aujourd'hui,
dans les écoles chrétiennes,
800 000
enfants.
Ces enfants doivent avoir des pères, qui sont
vraisemblablement
aussi citoyens français, au môme titre
que le cheminot de M. de Monzie.
— Pourquoi leur refuse-l-on tout secours, pour l'école ? —
Il y a lii une véritable guerre de religion sournoise,
et
d'autant plus honteuse quelle s'attaque à l'enfance.
Informations
ASSISES 00 FINISTÈRE
QVIMPERLË
RESULTATS DE LA V E N T E
DU
TIMBRE ANTITUBERCULEUX.
—
T i m b r e s autes el v i t r i n e s à 5 f r . :
1.245 f r . ; <"i 10 f r . : 290 f r . ; c o m m e r c e ,
i n d u s t r i e et p a r t i c u l i e r s : 1.001 f r . ;
é c o l e s p u b l i q u e » : 1.713 f r . 00 ; écoles
p r i v é e s : 400 f r . ; m a i r i e : 191 f r . 70;
salle d e s p e c t a c l e s : 106 f r . ; d o n s : Association d e s p o m p o n s r o u g e s : 463 f r .
U n i o n N a t i o n a l e des Combattants :
127 fr. 70 ;
médaillés militaires :
160 fr. T o t a l : 6.298 fr.
A R R E S T A T I O N D ' U N J E U N E VOL E U R A P O N T - S C O R F F . — M. Y v e s
Guéguen, 30 ans, débitant au T e m plo, à P o n t - S c o r f f , se t r o u v a i t au prem i e r étage d e son établissement, dim a n c h e l " r J a n v i e r , v e r s 14 h. 30,
quand sa f e m m e le p r é v e n a i t «pie
lu t i r o i r - c a i s s e avait été c a m b r i o l é .
Dans le c a f é , au m ê m e m o m e n t , se
trouvait
un j e u n e
consommateur,
G é r a r d TréeHnt, o u v r i e r c h a r r o n à
Q u i m p e r l é , o r g i n a i r e de Pont-Scorfl'.
CAMAUUT. — Infanticide.
— Eugé:ie C a p i t a i n e , 22 ans, c u l t i v a t r i c e à
K e r m u e r , e n Cammret, accusée d ' a v o i r
Sous les auspices de l;i C o n f é d é r a - é t o u f f é de petit g a r ç o n q u ' e l l e venait
CERCLE D'ÉTUDES D'HOMMES.
UNE
FOIRE-EXPOSITION
A
t i o n G é n é r a l e de la P r o d u c t i o n F r a n - d e mettre au m o n d e et d ' a v o i r dis• N o u s a v o n s d é j à a n n o n c é qu'un Q U I M P E R L E . —
Nous
apprenons
çaise,
les
g r a n d s g r o u p e m e n t s de simulé son e a « l a v r e dans une c r è c h e , c e r c l e d ' é t u d e s d ' h o m m e s d e v a i t se «lue M. P e r s o n n e , de Brest, est à
['industrie, d u
commerce
et
d e est a c q u i t t é e .
foncier à Q u i m p e r l é , c o m p o r t a n t une Q u i m p e r l é en vue d ' o r g a n i s e r une
l ' a g r i c u l t u r e 3 t . sont
réunis jeudi,
réunion par mois, d o n n é e alterna- f o i r e - e x p o s i t i o n qui se t i e n d r a très
MOUI.AN.
—
/
,
'
i
n
c
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n
d
i
e
de
Kcrsel.
sous la p r é s i d e n c e d e M. D u c h e i u i n .
tivement d a n s l e s deux salles p a r o i s p r o b a b l e m e n t
dans
les
premiers
l.'Union
Agricole
a
relaté
en
son
L e résultat d e 1931 était d e 5.300
Le jeune h o m m e prenait
innop r é s i d e n t d e la C o n f é d é r a t i o n Génés ¡aies.
jours d'avril.
t
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s
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q
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se
déclara
à
francs.
c e m m e n t une c o n s o m m a t i o n . M. Guériil de la P r o d u c t i o n
Française,
el
La p r e m i è r e r é u n i o n aura dieu le
N o u s en r e p a r l e r o n s .
K
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,
en
Moëlan-sur-Mer,
au
mois
L
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adresse
guen, à <|ui la tète de l ' i n d i v i d u ne
ont a d o p t é le vœu s u i v a n t :
m e r c r e d i 25 J a n v i e r , à 20 h. 15, salle
d'Août d e r n i e r .
ses chaleureux r e m e r c i e m e n t s à tous r e v e n a i t pas, le saisit b r u s q u e m e n t
Saiut-Colomban, a v e c le c o n c o u r s d e
Les présidents
rt
délégués
des
P O U R L E D I S P E N S A I R E . — L o r s ceux qui ont c o n t r i b u é à c e brillant au collet. Il n'en fallut pas plus p o u r
L e 27 Août 1932, vers 2t heures,
M. de c h a n o i n e L e Goasguen, d i r e c g r o u p e m e n t s de l ' i n d u s t r i e , du comdo la f ê l e d e s m é d a i l l é s m i l i t a i r e s
les n o m m é s P i e r r e Hasle, F r a n ç o i s
uoçès, qui c o n s e r v e à notre g r a n d que T r é c a n t avouât son v o l . Quand
teur des Œ u v r e s d i o c é s a i n e s .
m e r c e et île l ' a g r i c u l t u r e soussignés,
une quête faite par Mlle L. L e Gali d i s p e n s a i r e sa p l a c e p r é p o n d é r a n t e il vait p é n é t r é dans le c a f é , en l'abHasle et l.e G o l f , revenant
de
la
r e p r é s e n t a n t plus d e 3.000 c h a m b r e s
N o u s en
reparlerons,
j»
et
M.
Paul
H
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la
sompèche,
s'arrêtaient pour b o i r e du
dans le d é p a r t e m e n t .
sence de M m e Guéguen, il s'était ems y n d i c a l e s ou o r g a n i s a t i o n s
profesme d e 100 f r a n c s , qui a été v e r s é e
Cidre au débit Salin, à Kcrsel, eu
paré «le 200 f r a n c s , puis, au lieu d e
s i o n n e l l e s dont les m e m b r e s o c c u «
C
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Moëlan-sur-Mer.
Peu
après, L o u i s
f u i r , c o m m a n d a i t une c o n s o m m a t i o n
pent 7 m i l l i o n s d ' o u v r i e r s
ou
emV
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.
»
—
Samedi
14
J
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en
culeux.
Au
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,
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Baccon, qui était a r r i v é de Qitimpour d é t o u r n e r les soupçons. Il o f f r i t
ployés;
ux g é n é r e u x d o n a t e u r s .
per, où il travaillait, pour aller por- soirée, à 20 h. 15, et d i m a n c h e 15
de r e n d r e l'argent et m ê m e de p a y e r
R é u n i s le 5 J a n v i e r 1933. en vue
en
matinée,
<i
l(i
heures
précises,
à
ter son l i n g e à sa m è r e , entra daim
le s i l e n c e de M. Guéguen qui, au lieu
de
' d é l i b é r e r sur l e s c o n s é q u e n c e s
la
salle
Saint-Colom'ban,
s
é
a
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c
e
c
i
n
é
le débit et but un v e r r e à la table,où
« l ' a c c e p t e r , alerta les gendarm.es.
A M E L I O R A T I O N D A N S L E SERC h i r u r g i e n " Dentiste
q u ' a u r a i t , sur l ' é c o n o m i e
française,
se trouvait P i e r r e Hasle. 'le s e c o n d m a t o g r a p h i q u e .
V I C E T É L É P H O N I Q U E . • - L e Maire
'l'adoption des p r o j e t s d e
semaine
La prise était b o n n e .
Au
p
r
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a
m
m
e
:
Ces
dames
aux
mari «le sa m è r e ; ' mais bientôt tous
—
D. F. M. P .
—
de Q u i m p e r l é a reçu d e M. le D i r e c d e 40 h e u r e s dont le P a r l e m e n t franT r é c a n t avait é g a l e m e n t sur lui
chapeaux
verts, d ' a p r è s le roma.; d e
les deux se d i s p u t è r e n t .
teur
des
Postes
et
T
é
l
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g
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a
p
h
e
s
du
ç a i s et l ' o r g a n i s a t i o n i n t e r n a t i o n a l e
deux p o r t e f e u i l l e s v o l é s à M. BraG. A c r e m a n t .
d é p a r t e m e n t du F i n i s t è r e la lettre
L e t e n a n c i e r du débit mit tout le
•du t r a v a i l o n t été saisis ;
bant, m a r c h a n d de b i è r e , et un p o r t e C'est un film f r a n ç a i s qui réunit
suivante :
m o n d e à la p o r t e el la discussion rem o n n a i e a p p a r t e n a n t à M. D o n i a s ,
Considérant qu'une telle r é f o r m e
en l u i - m ê m e toutes des q u a l i t é s que
prit dehors. P e u après, Husllc rentre
« M o n s i e u r le M a i r e ,
maréehal-ferrant.
r é c l a m é e par les o r g a n i s a t i o n s
oudoit a v o i r un -film f r a n ç a i s «ligne «le
chez lui, tandis que Baccon, a p r è s
3, Place Hervo, 3
» J'ai l ' h o n n e u r de v o u s
faire
v r i è r e s coirume le m e i l l e u r m o y e n de
ce n o m . Et quel é l o g e m e i l l e u r à en
L e s p o r t e f e u i l l e s ne c o n t e n a i e n t
a v o i r v a i n e m e n t essayé d e se f a i r e
r é d u i r e le c h ô m a g e , de »développer
f a i r e '? La presse, au l e n d e m a i n d e c o n n a î t r e que mon a d m i n i s t r a t i o n ,
que des p a p i e r s .
Q U I M P E R L É Tél. I M
s e r v i r i'i b o i r e chez un autre débitant
p
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le p o u v o i r «l'achat .des s a l a r i é s el
la présentation de c e t t e p r o d u c t i o n ,
L e jeune voleur
avoua
encore
revenait au d é b i t Salin, achetait une
d ' a t t é n u e r la crise é c o n o m i q u e , aua été absolument u n a n i m e à en chan- ration du s e r v i c e t é l é p h o n i q u e , ors'être l i v r é à d i v e r s l a r c i n s dans la
b o i t e d ' a l l u m e t t e s et |>artait «m diganise, à p a r t i r «lu 1 " j a n v i e r , une
rait en r é a l i t é pour p r e m i e r el iné
ter les louanges.
région.
sant; « Je vais m e t t r e le feu au vil
v i t a b l e résultat de m a j o r * r le p r i x
I l a été m i s en état d'arrestation
C'est une amusante et très
fine p e r m a n e n c e du s e r v i c e t é l é p h o n i q u e
U. S. 0 . ( 1 ) E T G A S D E M O R L A I X
lage. » Il se d i r i g e a a l o r s v e r s la
de r e v i e n t , f r a p p e r a i t ainsi par h>
de nuit au bureau d e Q u i m p e r l é .
( I ) F O N T M A T C H N U L . — L e s é<iui- et d é f é r é nu P a r q u e t de L o r i e n t .
petite maison h a b i t é e par sa mère, analyse p s y c h o l o g i e j u e q u i p l a i r a à
hausse «les iwùx «le v e n t e la totalité
» A p a r t i r d e cette date, des c o m - p i o r s p r e m i e r s de l ' U . S. Q., netteson beau-père et sa sœur, la f e m m e tous.
des consommateurs;
Ariette, jeune Parisienne
o r p h e m u n i c a t i o n s t é l é p h o n i q u e s de nuit ment
battus sur
leur t e r r a i n
le
ETAT-CIVIL. —
Naissances.
—
Costaouee, mais ne pouvant mettre
D i m i n u e r a i t e n c o r e nos possibili- le feu il la toiture de c h a u m e qui line et ruinée, é c h o u e e n p r o v i n c e , p o u r r o n t être obtenues d e tous les d i m a n c h e p r é c é d e n t , par les Gâs de F r a n c i s - L é o n - Y v e s G a r n i e r , q u a r t i e r
tés ' d ' e x p o r t a t i o n , a c c r o î t r a i t le désé- était tr. p é l e v é e , il c o n t o u r n a une chez ses t r o i s cousines, t r o i s v i e i l l e s postes d ' a b o n n e m e n t du réseau avec M c r i a i x , se sont rendus à M o r l a i x , S a i n t - Y v e s .
q u i l i b r e des budgets p u b l i c s et p r i - grosse m e u l e de paille et v plaça une (11ks aux habitudes m é t i c u l e u s e s et plus de trois cents bureaux f r a n ç a i s , Dimanche d e r n i e r , a v e c la f e r m e
Publications
de mariar/es. — Mauvés et causerait un n o u v e l
appau allumette. En quelques minutes, les d'un c a r a c t è r e bien r e n d u à l'écran, n o t a m m e n t
avec
les bureaux
ci- intention d e p r e n d r e leur r e v a n c h e , r i c e - F r a n ç o i s - R e n é L e Quéré, huisv r i s s e m e n t g é n é r a l du p a y s ;
li n'en fut rien, la p a r t i e se termina
(¡animes
j a i l l i r e n t et, deux heures et A r i e t t e d e v i e n t « a p p r e n t i e v i e i l l e après de la r é g i o n :
s i e r à Q u i m p e r l é , e t Marcedde-JoséConsidérant
qu'on
ne
saurait après, la meule «lui mesurait
» Brest, Q u i m p e r , M o r l a i x , Guin- | ar un s c o r e nul, aucune d e s é q u i p e s p h i n e R i c o r d e l , m o d i s t e , r u e Saintehuit fille » ,
é c h a p p e r à ces c o n s é q u e n c e s «lésas mètres d e l o n g sur quatre mètres de
L ' i n t r i g u e , s e m é e d ' i n c i d e n t s p r i s g a m p , Saint-Brieuc, D i n a n , Rennes, r 'a.yant réussi à mlarauer un seul Catherine, à P o n t c h â t e a u .
treuses par des a c c o r d s internat Lo large, fut e n t i è r e m e n t c o n s u m é e .
sur le v i f , aboutit enfin au « v r a i Saint-Malo, F o u g è r e s , D i n a r d , L a v a i . p o i n t .
R o b e r t - Ixuiis - M a r i e
Cabidoche,
r.aux
d'autant
plus
improbables
b o n h e u r » d e tous.
Les
Morlaisiens
semblèrent
les c o m m e r ç a n t route
L e Mans, Nantes, S a i n t - N a z a i r c , L a
de
Q u i m p e r , et
Celle-ci,
située
à
quatre
mètres
di
d'ailleurs,
«pie la
(kinvention
de
La s é a n c e sera c o m p l é t é e p a r un Baule, L o r i e n t , V a n n e s , D o u a r n e n e z , m e i l l e u r s sur le t e r r a i n , m a i s leurs L o u i s c - M a r i e - R e i n e H e r v é , s. p., au
"Washington sur l e s 8 h e u r e s n'est In m a i s o n , aurait i n é v i t a b l e m e n t pro- f i n i ! c o m i q u e : Bill
indien.
attaques é c h o u è r e n t toutes devant L e u r h , A u r a y .
etc... >
pas e n c o r e
r a t i f i é e p a r les p r i n c i - pagé l ' i n c e n d i e à cette d e m e u r e d'où
P r i x d e s pinces : p r e m i è r e s , 4 tr.
l ' a r d e u r d e la d é f e n s e q u i i n p e r l o i s e ,
Vincent-Jean L e M o i g n e ,
retraité,
aucun
des
habitants
n'aurait
pu
sorpaux p a y s i n d u s t r i e l s du m o n d e ;
secondes, 3 fr., t r o i s i è m e s , 1 f r . 50
S E R V I C E D E S P O S T E S . — N o u s et en particuilier d e v a n t le b r i o du 10, rue d u C o u é d i c
et
Françoisetir, si Je vent (t'avait .soufflé d a n s le
C o n s i d é r a n t qu'en ell'et, la F r a n c e
D e m i p l a c e p o u r l e s e n f a n t s q u i a p p r e n o n s q u ' à la suite d e l ' a d j u d i - goal, Jean Guillou.
L o u i s e L a u d r e n , s. p., 9, quai d e Corsens o p p o s é .
serait la plus r a p i d e m e n t et la p l u
a c c o m p a g n e n t leurs parents. C h a u f - cation du s e r v i c e tic la P o s t e
de
nouaille, L a n d e r n e a u .
A r r ê t é le l e n d e m a i n , Baccon ne fil f a g e c e n t r a l .
p r o f o n d é m e n t atteinte (Je toutes les
Q u i m p e r l é à la gftrc du P . O., q u i a . U. S. Q. (1 b ) B A T U. S. G U Ê M É Mariaqes.
—
Alfred-Joseph-Marie
nations
p r o d u c t r i c e s , car la réduc- incline d i f f i c u l t é pour r e c o n n a î t r e le
eu lieu m e r c r e d i
J a n v i e r 1933, M. N É (1) p a r 2 à 0. — S u p é r i o r i t é
Jéhanno, industriel, à L i m e r z e l ( M o r t i o n des heures d e t r a v a i l y e n t r a i n e c r i m e , se bornant à i n d i q u e r qu'il
L o c h o u a r n , d e da r u e du C o u o d i c , en i n c o n t e s t a b l e des l o c a u x . L e s visibihan)
et
Anne-Madèleine-Jeanne
rait. d è s à présent et « a f o r t i o r i » l'avait c o m m i s p o u r se v e n g e r de son
Q u i m p e r l é , a été d é c l a r é a d j u d i c a teurs m é r i t a i e n t c e p e n d a n t d e sauGuerlesquin, s. p. à K e r a n i p o i x .
au m o m e n t d'une r e p r i s e é c o n o m i beau-père.
A l e x a n d r e G U Z I A T taire à partir du m o i s d ' A v r i l pro- ver l'honneur.
— René-Jean-Marje-Joseph P e y r o n ,
Bien q u ' a y a n t été é l e v é p a r 'le ma
que, un n o u v e l e x o d e d e la mainP a r t i e intéressante, e x c e l l e m m e n t
chain.
CHIRURGIEN-DENTISTE
e m p l o y é de b a n q u e
au
Havre
et
d ' œ u v r e a g r i c o l e et, pour c e r t a i n e * ri, q u i l'a traité c o m m e son p r o p r e
a r b i t r é e p a r M. L e C u n f f , et pendant
(le In Kuculté de Médecine de Paris
Paule-Anne-Marie-Françoise-Thérèse
branches
d'activité,
l ' i n t r o d u c t i o n fils, B a c c o n a t o u j o u r s m a n i f e s t é d e
laquelle
les
j
o
u
e
u
r
s
firent
p
r
e
u
v
e
de
REVISION DE LA L I S T E ELECs. p., 12, quai B r i z e u x .
la h a i n e c o n t r e P i e r r e Hasle,
pré
9, Rue Lebas, QUIMPERLÉ
massive d'ouvriers étrangers;
T O R A L E . — L e m a i r e d e la corn la plus g r a n d e c o r r e c t i o n .
E n t e n d e n t , d è s à présent, «lénou tendant a v o i r été lésé' lors d'une doDécès.
—
Emilienne-Marie-Fran
m u n e de Q u i m p e r l é a d'honneur d'in
Consultations
tous les Jours à
Quimperlé
FOOTBALL - CLUB
L O R I E N T A I S ç o i s e J a f f r é z i c , 19 ams, o u v r i è r e d'uc e r le p é r i l que ferait c o u r i r à toute nation p a r t a g e f a i t e p a r les époux
f o r m e r les c i t o y e n s qui ont accjuis
Hasle
à
l
e
u
r
s
enfants.
Baccon
avait
la nation l ' a d o p t i o n
d'une
mesure
saul la mercredi
4 Bennateo
d e p u i s da d e r n i è r e r é v i s i o n d e la liste ( J u n i o r s ) B A T U. S. Q. ( J u n i o r s ) pur sine, 8, rue C o r n i c - D u c h ê n e ; M a r i e
fois,
m a n i f e s t é ses
aussi c o n t r a i r e à l ' i n t é r ê t des con- déjà, niaiiUeis
20 ans. f e m m e de
é
lectorale, l'aptitude
à
figurer
sur 6 à 1. — L e s j e u n e s de l'U.S. de Quim- A n n e R i c h a r d ,
de
nufeltre le feu à la
s o m m a t e u r s q u ' à c e l u i des produc- sentiments
p e r l é avaient été v a i n q u e u r s à L o - c h a m b r e ,
19, p l a c e Saint-Michel ;
cotte
liste,
c
o
m
m
e
possédant
d
a
n
s
la
teurs patrons, o u v r i e r s et e m p l o y é s ; f e r m e d e K c r s e l .
M A R I A G E . — M a r d i à 11 heures c o m m u n e l e u r d o m i c i l e légal <JU la rient. Ils a v a i e n t battu le F o o t b a l l - A n n e - M a r i e Bouézet, épouse I>e PosBaccon a déjà subi Irois c o n d a m Demandent
i n s t a m m e n t au Goup r e s c r i t e p a r la l o i , ou Club L o r i c n t a i s p a r 3 à 1, et L o r i e n t - tée, 49 ans, 24, rue d u C o u é d i c ;
les c l o c h e s d e S a i n t e - C r o i x sonnaient r é s i d e n c e
E x a m i n é au point d e vue
Jean-Louis Mélo, 81 ans, c u l t i v a t e u r
v e r n e m e n t , p o u r le succès d e l ' œ u v r e nations.
à toute v o l é e p o u r a n n o n c e r le ma- c o m m e y f i g u r a n t p o u r la c i n q u i è m e Sports par 4 à 1.
mental,
il
a
été
r
e
c
o
n
n
u
responsable
de r e d r e s s e m e n t qu'il a e n t r e p r i s e
Sur leur t e r r a i n , ils ont été beau- A C i n q - C r o i x .
r i a g e de M. R e n é P e y r o n , d o c t e u r en f o i s au r ô l e d'une d e s c o n t r i b u t i o n s
de
ses
actes.
d e s ' o p p o s e r à toute p r o p o s i t i o n naqu'ils n'y seront i n s c r i t s c o u p m o i n s heureux, et ont été netd r o i t , fils d e M m e et d e M. P e y r o n , d i r e c t e s ,
En
conséquence,
Louis
Baccon c h e v a l i e r «le la L é g i o n
t i o n a l e o u i n t e r n a t i o n a l e tendant il
tement surclassés.
d ' H o n n e u r , q u e sur l e u r d e m a n d e .
c o m - industriel à K e r j o u a n o ,
i n s t a u r e r , sous q u e l q u e
forme
que est accusé d'avoir,- à K c r s e l ,
A la d i x i è m e minute, sur passe
avec
Mlle
A
l
'
a
p
p
u
i
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c
e
t
t
e
d
e
m
a
n
d
e
,
ils
tlcGEORGES L G
G U E T
ce soit, u n e r é d u c t i o n
générale
et mune d e Moëlan-sur-Mer, le 27 Août Paille Roussel, fille d e M" Roussel,
p r é c i s e du « l e m i - c e n l r e , un avant
v
r
o
n
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1932, v o l o n t a i r e m e n t m i s le f e u à le « y m p a h t i q u e n o t a i r e d u quai Brio b l i g a t o i r e des heures d e t r a v a i l .
CIIIIil'ItGIEN-DESTISTE
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but.
Peu
cile é l e c t o r a l et p r o d u i r e
une
deune meule d e paille a p p a r t e n a n t aux zeux et de M a d a m e .
m a n d e en r a d i a t i o n de la liste sur de t e m p s après, un c o r n e r est s i f f l é
- de la Faculté de Paris U n a p p e l d u C o m i t é P o m o l o g l q u r époux Costaouee.
A u c h œ u r a v a i t p r i s p l a c e : un la «ruelle. i'I'S sont actuellement p o r t é s . c o n t r e Q u i m p e r l é et c'est un a r r i è r e
de Bretagne.
1 8 , R u e S a v a r y (Maison R i v a l i n )
Baccon a été c o n d a m n é d é j à t r o i ï
n o m b r e u x c l e r g é , M. l e c h a n o i n e GaL e s i n s c r i p t i o n s seront c l o s e s l e 4 l o c a l qui m a r q u e c o n t r e son p r o p r e
Le Comité Pamologique
de
Bre- f o i s p o u r vol, ivresse et v a g a b o n d a g e , llon,
QUIMPERLÉ
camp.
curé-archiprètre
de
Sainte- F é v r i e r inclus.
à
«les
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sérieuses
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t a g n e constitué en A v r i l d e r n i e r sous
C r o i x , ' M. le c h a n o i n e T a n g u y , recL e s Q u i m p e r l o i s se r e p r e n n e n t et
Consultations
tous les jours, sauf le lundi
C'est
un
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peut
l ' i n i t i a t i v e d e M. Bahon-Rault, présiteur d e N o t r e - D a m e , M. le c h a n o i n e
T R O U V A I L L E . — M m e L e R o u x , réussissent à t r o m p e r la v i g i l a n c e
dent d e la C h a m b r e d e C o m m e r c e «le rester en p l a c e et qui, à c h a q u e re- S a l o m o n ,
inspecteur
d i o c é s a i n d e «le la p l a c e d e s écoles, en Q u i m p e r - du p o r t i e r ¡ o r i e n t a i s ; m a i s b i e n t ô t ,
tour au pays, m e n a c e son beau-père. l ' e n s e i g n e m e n t libre, M. l ' a b b é Grall.
R e n n e s , a p o u r but :
lé, a t r o u v é sur le m a r c h é un p o r t e - sur faute du goal, les v i s i t e u r s p o r On e n t e n d les d é p o s i t i o n s de :
1° D e m e t t r e en v a l e u r d e la f a ç o n
a u m ô n i e r d e K e r b e r t r a n d , M. l ' a b b é f e u i l l e c o n t e n a n t
une
assez
f o r t e tent leur m a r q u e à 3.
BANNALEO
M. R e n é M a d e c , g e n d a r m e à Pont- .e L a y , a u m ô n i e r d e l ' H o s p i c e , M.
la plus i n t e n s i v e tout ce q u i touche
C'est sur ce s c o r e «le 3 à 1 en fas
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<léà l a |K>mme, au c i d r e et à ses sous- \ v e n , «pii fait le r é c i t d e son en- l'abbé L e Ster, s u p é r i e u r d e l ' E c o l e
L'EGLISE
PAROISSIALE
CAMposcr au c o m m i s s a r i a t d e p o l i c e où veur de L o r i e n t , que la m i - t e m p s est
p r o d u i t s et d é r i v é s et d e r é a l i s e r un quête.
S a i n t e - C r o i x , les v i c a i r e s d e Sainte- la p r o p r i é t a i r e a p u r e n t r e r en pos- s i f f l é e .
B R I O L E E . — L e s a m e d i 31 D é c e m M m e Castouec. née Elisa Baccon C r o i x et d e N o t r e - D a m e , etc...
a c c o r d é t r o i t e n t r e les intérêts comA la r e p r i s e , les L o r i e n t a i s mè- b r e d e r n i e r , e n visitant d'église, le
session d e sen b i e n .
29 ans, c u l t i v a t r i c e , sœur d e l ' a c c u m e r c i a u x et a g r i c o l e s .
Sur la p l a t e - f o r m e et d a n s des basM.
Guillou Jean-Marie, 40
N o s f é l i c i t a t i o n s à M m e L e R o u x . nent la danse, les l o c a u x semblent matin,
2 ° De r e n s e i g n e r l e s cultivateurs sé.
côtés, une f o u l e d e parents et d ' a m i s ,
complètement
démoralisés
et
ne ans, sacristain, constata qu'un t r o n c
M. P i e r r e Haslé, 50 ans, marin-pêsur les souns et t r a i t e m e n t s à a p p o r qui a v a i e n t tenu à assister à la c é r é C O U R S D E P E R F E C T I O N N E M E N T peuvent r i e n c o n t r e t r o i s autres buts p l a c e à c ô t é d e la c r è c h e «1e l ' E n f a n t t. heur, beau-père de l'accusé, qui déter aux pomlmiicrs.
m o n i e et à t é m o i g n e r ainsi leur s y m - D E S S O U S - O F F I C I E R S . — Jeudi 26 dont deux sont r e n t r é s e n c o r e p a r Jésus avait d i s p a r u .
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qu'il
3° D e
propager
les
meilleures
p a t h i e aux d e u x f a m i l l e s .
A p r è s a v o i r i n s p e c t é minutieuseJ a n v i e r , à 20 heures, à la g e n d a r m e - faute du goal. La fin est sifTlée sur
fait p o u r les autres e n f a n t s .
v a r i é t é s d e p o m m e s à couteaux,
La b é n é d i c t i o n nuptiale fut d o n - r i e : c o m b a t o f f e n s i f d u g r o u p e .
l e s résultats : F.-C. L . : 6 ; U. S. Q . : 1. ment l'é'glise, id alla r e n d r e c o m p t e
— M. Y v e s Salin, 31 ans, d é b i t a n t née aux jeunes é p o u x p a r M. le cha4" D e r e c h e r c h e r t e s meilleurs
à M. l ' a b b é G u i r r i e c , c u r é d o y e n d e
m o d e s - d e f a b r i c a t i o n s et d e conser qui r e c o n n a î t qu'au soir qui p r é c é d a n o i n e K e r i n o , s u p é r i e u r du c o l l è g e
la paroisse. L a g e n d a r m e r i e avisée,
incendie,
l'accusé et le beau-père S a i n t - L o u i s d e L o r i e n t , où M. R e n é
v a t i o n d e s c i d r e s , et d e r e n s e i g n e r
o u v r i t une e n q u ê t e qui, jusqu'à p r é les cultivateurs, n é g o c i a n t s et intlus- avaient bu, l'un et l'autre copieuse- P e y r o n fit ses études; en une d é l i
sent, n'a d o n n é aucun résultat.
trieLs, f a i s a n t p a r t i e d u C o m i t é , sur ment.
cate a l l o c u t i o n , M. l e c h a n o i n e K e Les meilleurs Prix
TOUS Styles
]_es meilleurs Prix
la c o m p o s i t i o n essentielle et c o m p l è t e
— M. F r a n ç o i s D r é n o u , E m i l e L e r i n o fit r e s s o r t i r les b r i l l a n t e s quaCOURS DE P E R F E C T I O N N E M E N T
d e leurs c i d r e s ainsi a u e sur l e ren- D o z e , Jean B a c c o n , dont la déposi- lités et les vertus c h r é t i e n n e s
D E S S O U S - O F F I C I E R S . — S a m e d i 14
des
d e m e n t a n a l y t i q u e d e leurs f r u i t s à tion est sans g r a n d intérêt.
J a n v i e r , à 20. h e u r e s , à l a m a i r i e :
deux familles q u e ce mariage
unit
cidre.
— Et enfin, M. le d o c t e u r L a g r i f f e . a u j o u r d ' h u i ; p u i s il r a p p e l a la granmarches, armement.
qui
déclare
qui d e u r «lu m a r i a g e c h r é t i e n et les «le
5° D e d o n n e r des c o u r s et des e x p e r t a l i é n k t e ,
S a m e d i 28 J a n v i e r , à 20 heures à
12,
Place
Saint-Michel,
QUIMPERLÉ
B
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«l'esprit,
n'est
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s
foi:
c o n f é r e n c e s sur la v a l e u r et la qua
la m a i r i e : combat o f f e n s i f du g r o u p e .
v o i r s qu'il i m p o s e aux é p o u x .
et
que
sa
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est
entière.
lité d e s p o m m e s ou de leur m é l a n g e
Puis, a p r è s le chant du Veni
CreaR I X E . — Jeudi soir, en r e v e n a n t
Tonte la Literie - Sommiers - Matelas - Fauteuils
A p r è s un v i o l e n t r é q u i s i t o i r e
de
destinées à la f a b r i c a t i o n d e s c i d r e s ,
tor, la messe fut c é l é b r é e
par
M
le
ehas'.ic, M. M o r v é z e n , c o m m e r ou à la v e n t e , c o m m e f r u i t s d e table. M. l.e D e u f f , substitut et une élo- l'abbé T c h o f f c n , un a m i «le c o l l è g e
Carpettes - Lits f e r •• Glaces
çant à B a n n a l e c e n t r a i t
au
débit
6° D ' o r g a n i s e r d e s c o n c o u r s spé- quente d é f e n s e «le M" l.e Coz, l'ac- du n o u v e a u m a r i é .
T r é g o u r e z , p r è s de l'a gare, sur la
cusé est c o n d a m n é à deux ans d e
ciaux et e x p o s i t i o n s .
Au c o u r s d e la c é r é m o n i e , M. l ' a b b é
route de P o n t - A v e n , et se faisait ser
Notre Comité
a «léjà su
faire prison.
Mélanson,
vicaire
à
Sainte-Croix,
v i r une c o n s o m m a t i o n .
œ u v r e utile ; après avoir organisé
PLOUniN - Pl.OUDAI.MÉZKAU. —
A Ï - chanta un Ave Maris
Stellu
d e La
M E D A I L L E M I L I T A I R E . — Nous
S o u d a i n il fut p r i s à p a r t i e par
ACCIDENT DE BICYCLETTE.
a v e c le c o n c o u r s .de la F o i r e - E x p o - sassinut.
— N o u s a v o n s relaté en T o m b e l l c ; et M. Potet, g a r ç o n « l ' h o n Elle, deux autres c o n s o m m a t e u r s MM. D e r sition d e Rennes, une m a n i f e s t a t i o n son teinips, l ' h o r r i b l e assassinat per- neur entonna, «l'une v o i x m é l o d i e u s e , v e n o n s d ' a p p r e n d r e que t r o i s de nos M. M i c h e l L é o n , 54 ans, rue
comprenant
400
exposants,
nous pétré en O c t o b r e d e r n i e r à P l o u r i n - un imotet de c i r c o n s t a n c e Homo
Qui- c o m p a t r i o t e s se sont v u d é c e r n e r la e m p l o y é c h e z M. P a u l L e Grand, est ven- et L e Brun, qui lui p o r t è r e n t
'médaille m i l i t a i r e : ce sont MM. Jean- t o m b é d e b i c y c l e t t e , près de la g a r e fe rcc h o r i o n s .
avons obtenu :
Ploudalmézeau.
dam.
M a r i e Scélo, d e K e r m e c , P i e r r e L e de la F o r ê t , route d e Moelan, et s'est
L e s g e n d a r m e s , avisés, eurent tôt
1° La c l a s s i f i c a t i o n d e v a r i é t é s de
U n e brute a l c o o l i q u e ,
Benjamin
Enfin, les a m i s des jeunes é p o u x
fait d e r a m e n e r Je c a l m e .
p o m m e s à couteau au C o m i t é de Cal va ri il, dit « Jim » , o r i g i n a i r e de e n t o n n è r e n t a v e c c œ u r de c h a n t d e Dù, d e K e r j o u a n o , et Jacques Gué- fait une e n t o r s e dù g e n o u gauche.
gan, 10, rue T h i e r s .
S t a n d a r d i s a t i o n d e Strasbourg.
Landéda,
tua
son
ami
F r a n ç o i s - louanges à Dieu, l e Te Deum,
auquel
A tous troiis Ul flrius" iidre>saons nos
U N C U L T I V A T E U R SE B L E S S E
2 " La r é d u c t i o n des d r o i t s d e sta- Augustin Jacob, d ' u n c o u p de fusil le nouveau m a r i é l u i - m ê m e
s'asisovives félicitations.
D ' U N COUP DE SERPE. — Lundi
t i s t i q u e p o u r l ' e x p o r t a t i o n «les pom- de chasse tiré à bout p o r t a n t .
c i a d e sa v o i x s o n o r e et n u a n c é e .
matin, M. G u e n n c c , du v i l l a g e d e
în es à cidrcis.
A p r è s un r é q u i s i t o i r e s é v è r e de
A l'issue «te ta messe, un r i c h e et
A U T O C O N T R E MOTO. —
Deux K é r o z e c , en O u i n i p e i i é , s'est c o m
3 " L e tarage d e s w a g o n s v i d e s des- M. C é n i c o n , et une b r i l l a n t e p l a i d o i - élégant
c o r t è g e où se d é t a c h a i e n t
tinés au c h a r g e m e n t des p o m m e s à rie de M" d e K e r a i v a l , J i m Oalvarin p a r t i c u l i è r e m e n t les t o i l e t t e s
blan- blessés. — L u n d i m a t i n , v e r s 1 h. 15, plètemient s e c t i o n n é le piouce d e da
BCIERIE.PARQUETHRiœ
près
d e main g a u c h e d'un c o u p de serpe.
couteau.
est c o n d a m n é à 10 ams de travaux ches d e s filles d ' h o n n e u r et la b r i l un a c c i d e n t s'est p r o d u i t
N o u s c o n t i n u o n s n o t r e action ten f o r c é s et 20 ans d ' i n t e r d i c t i o n de jante
11 a été c o n d u i t à l ' h ô p i t a l , où il
tenue,
chamarrée
d'or,
d e P e n l a n , à p r o x i m i t é du Z a b r e n n .
B A N N A L E C — Tél. 18
U n e a u t o m o b i l e a p p a r t e n a n t à M. a r e ç u des soins de M. le d o c t e u r
dant à la d i m i n u t i o n d e s transports s é j o u r .
jeunes o f f i c i e r s d e m a r i n e se. r e n d i t
achète en permanence toutes quantités da
p o u r les p o m m e s et les c i d r e s .
à la sacristie, où les assistants d é f i - Jasseron, a r c h i t e c t e à L o r i e n t , r e v e C o t o n n e c .
N o u s v o u l o n s une r é g l e m e n t a t i o n
lèrent en fonde p o u r l e s c o m p l i m e n t s nait d e Q u i m p e r , c o n d u i t e p a r M.
La p ê c h e a u s a u m o n
M a u r i c e Roussel, 19 ans, 'horloger à
d'usage.
du c i d r e et la s u p p r e s s i o n d e la v e n t e
CINEMA P A R L A N T HONORÉ. —
A TRÈS BONS PRIX
d a n s les e s t u a i r e s d u Finistère.
L o r i e n t , a c c o m p a g n é « l e M . Jasseron
d u petit c i d r e .
Jeudi 12, V e n d r e d i 13, S a m e d i 14
P u i s les f a m i l l e s P e y r o n et Rousfils.
N o u s d i s t r i b u e r o n s des g r e f f e s d e s
J a n v i e r , s o i r é e à 8 h. 30; D i m a n c h e
N o u s r e l e v o n s dans l'arrêté minis- sel r e ç u r e n t leurs i n v i t é s d a n s les
S o u d a i n , près d e P e n l a n , une m o t o 15, m a t i n é e à 2 h. 30, s o i r é e à
m e i l l e u r e s v a r i é t é s d e p o m m e s aux tériel s p é c i a l , c o n c e r n a n t la p è c h e vastes salons de l ' H ô t e l de l ' E u r o p e
non é c l a i r é e , et t e n a n t da g a u c h e de 8 h. 30.
a d h é r e n t s qui nous en f e r o n t la au saumjon d a n s la p a r t i e m a r i t i m e b o u l e v a r d 'de la Gare.
'la route, v i n t se j e t e r assez v i o l e m
demande.
d e s e s t u a i r e s «les rivières du FinisProgramme
:
Actualités
PathèCe m a r i a g e unit deux f a m i l l e s très
ment c o n t r e d'auto.
N o t r e d i s t i n g u é p r é s i d e n t , M. le tère, que la p ê c h e de. c e poisson,
Nataii, s o n o r e et p a r l a n t ; Le Bal de
honorablement connues à QuimperDANS LES C O N T R I B U T I O N S INp r o f e s s e u r L e n o r m a n d . met à la «lis- jusqu'à
L e s o c c u p a n t s d e la ¡moto furent la Comédie
la
l i m i t e de la salure des lé et «lails foute la r é g i o n . En cette
Française
(en exclusi- D I R E C T E S . — M. L e Bras, r e c e v e u r
p o s i t i o n «les c u l t i v a t e u r s toute sa eaux, s ' o u v r e le p r e m i e r
p r o j e t é s sur la chaussée.
d i m a n c h e heureuse c i r c o n s t a n c e l'Union
v
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)
;
Tom
et
Jerri/
chasseurs,
desAgridos- C o n t r i b u t i o n s i n d i r e c t e s , à Quimcompétence.
M. Joseph B c r l h e l o t , s a b o t i e r au sin a n i m é s o n o r e ; Juiujle,
d e F é v r i e r , p o u r se c l o r e le 31 Juil- cole adresse à M. et M m e R e n é P c y
d o c u m e n - p e r i é - V i l l e , est a d m i s à f a i r e v a l o i r
T r é v o u x se releva sans mal ; m a i s taire c o m m e n t é ; Marie', l é g e n d e honN o t r e C o m i t é ré|H>ndait à un réel let.
ron ses m e i l l e u r s v œ u x d e bonheii.
ses d r o i t s à la r e t r a i t e .
besoin.
vedette
T o u t e p è c h e au filet autre
q u e et à . l e u r s f a m i l l e s ses plus s i n c è r e s id n'en fut m a l h e u r e u s e m e n t p a s de g r o i s e , a v e c la d é l i c i e u s e
D e p u i s 20 ans, à Q u i m p e r l é , M. L e
m ê m e d e son c a m a r a d e
Yves
L e A n n a b e l l a , etc..., du chant, de la
P o u r être écouté, il faut ê t r e f o r t c e l l e d e la senne m o b i l e , t o u j o u r s c o m p l i m e n t s .
Bras, par son tact et son a m é n i t é ,
Poudiehet, 24 ans, g a r ç o n b o u l a n g e r t r a g é d i e , du r ê v e , de la cruauté, tel
et n o m b r e u x , c'est p o u r q u o i nous en m o u v e m e n t , ou «le la «lemi-lunc.
avait réussi, m a l g r é d ' i n g r a t i t u d e d e
c h e z M. N'abat, au T r é v o u x , qui fut est ce film.
v o u s ' d e m a n d o n s d ' ê t r e des nôtres.
est i n t e r d i t e d a n s 'les p a r t i e s de*s esses f o n c t i o n s , à a c q u é r i r l ' e s t i m e et
blessé à la tète et aux g e n o u x et qui
La cotisation annuelle est de 20 tuaires des r i v i è r e s 'suivantes :
la s y m p a t h i e des redevables 1 .
A L'ECOLE PIQIER, 9, r u e des
dut être
transporté à l'hôpital d e
f r a n c s . L ' a b o n n e m e n t au journal Le
I l reste p a r m i nous à Q u i m p e r l é
QVAKT1ER
1)E
CONCARNEAU
F o n t a i n e s L O R I E N T , l'étude du o o m Q u i m p e r l é , o ù . i l r e ç u t les s o i n s .du
Bon Cidre,
5 francs.
où nous lui souhaitons d e j o u i r de
Aven. — A m o n t : d i g u e d é v e r s o i r m e r c e e s t e s s e n t i e l l e m e n t p r a t i q u e d o c t e u r C o f o n n e c .
L e C o m i t é serait heureux d e receplus l o n g t e m p s p o s s i b l e d e cette reu d e r n i e r moulin au bout d u p o r t et r a p i d e , cette é t u d e é t a n t f a i t e
L ' u n des deux a u t o m o b i l i s t e s , M.
v o i r l ' a d h é s i o n d e toutes les persont r a i t e qu'il a si bien g a g n é e .
(le P o n t - A v e n ; a v a l ; e n t r é e d e l'anse a v e c les D O O U M E N T 8 R E E L 8 e m Pour T R I C O T E U S E S
Roussel,
fut
é g a l e m e n t blessé à la
n e s qui s'intéressent à i a p o m m e ou
Il est r e m p l a c é p a r M. P i r i o u , r e le K e r v i l é g u é e .
p l o y é s d a n s le C o m m e r c e , l ' I n d u s - f a c e et dut s u b i r un p o i n t «1e suture
au c i d r e .
ceveur des Contributions indirectes
L a ï t u . — Amont-, (tolère «le la fo- trie et la B a n q u e .
Chez
au-dessous d u n e z . .
S'adresser o u é c r i r e au S e c r é t a i r e
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g é n é r a l <111 C o m i t é , 47, rue Salnt- rêt «le CariTOët du c ô t é du bois d e
La g e n d a r m e r i e ! ' a v i s é e p a r M. CoRue Cornlc-Duchëne
bienvenue.
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Saint-Maurice, à 7 k i l o m è t r e s d e l'emHélier, à Rennes.
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s'est r e n d u e sur ) e s lieux p o u r enLe
Comité.
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d e la c h a u s s é e du moul'in Gndic, un
quête.
Avis aux contribuables
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p e u en ainuont d e Saint-Maurice, au
L'état
d
u
blessé
se
s
e
m
b
l
e
p
a
s
insadressez-vous
retardataires .
Mercuriale des Marchés
point où le lit d e cette r i v i è r e p r e n d réunion des c h ô m e u r s d e Q u i m p e r l é p i r e r d ' i n q u i é t u d e .
' eu lieu m a r d i s o i r , salle Quentel,
L e M i n i s t è r e d e s F i n a n c e s signale un brusque d é v e l o p p e m e n t .
Imprimerie LE GALL Frères
du 6 Janvier 1933
Sont aussi p a r t i c u l i è r e m e n t Inter- dans le but de f o r m e r un C o m i t é
qu'en v e r t u d u d é c r e t du 30 D é c e m ACCIDENT DE LA ROUTE.
— Vaches laitières
1.200. »
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its dans ces m ê m e s parties d e s es- qui aura p o u r tâche de d é f e n d r e les
b r e 1931, la meijoration d e 10% p o u r
Au p a s s a g e du pont «le B o u r g n c u f , Génisses et vaches p l e i n e s . . . . 1.400. »
p a i e m e n t s t a r d i f s , p r é v u e p a r la 'loi tuaires, les filets fixes et la p ê c h e d r o i t s des c h ô m e u r s .
Vcanx (lo kilo)
4.50
E T A T C I V I L . — Xnlssntlee.i : N i c o l e I.a250 p e r s o n n e s e n v i r o n assistaient 'a v o i t u r e a u t o m o b i l e d e M. C o l t e n ,
du 22 Mars 1924, sera a p p l i q u é e le a v e c une o u plusieurs sennes élon105. » vut, 11(1 lmnrK ; I.imrenl L e Doenff, licr. o u c h e r à Q u i m p e r l é , a été m a l a d r o i - Froment
m e r c r e d i 1"' F é v r i e r p r o c h a i n
aux gées p o u r f o r m e r b a r r a g e . Il est éga- à cette r é u n i o n .
Seigle
75.
»
zmlnl ; Joseph Neveu, au liotu-R ; Fcrnnmlc
tement a c c r o c h é e par un autre autoL e C o m i t é a été f o r m é de la f a ç o n
iimpots « l i r e c t s d e s années 1931 et an- lement i n t e r d i t d ' e m p l o y e r pour ta
Grj(e
70. » Juillet, Iverjamet . Marie O l l t v l e r , P o r z - B r a s ;
m o b i l i s t e se d i r i g e a n t sur L o r i e n t .
sur s u i v a n t e : p r é s i d e n t : M. L a n d u r a n t ;
Surrnzin
75. » Monique l.e Dah.iiron, Poiit-Moustoiilgout.
t é r i e u r e s qui, m i s en r e c o u v r e m e n t p ê c h e deux demi-dunes tenues
Dégâts p u r e m e n t matériclis.
Avoines
75. »
Mariages
: Etienne
Durand,
comptable
avant 1 le- 1 " A v r i l 1932, n ' o n t pas lieux r i v e s o p p o s é e « el se joignant s e c r é t a i r e : B u t i n ; m e m b r e s : D a v i d ,
Pommes de terre (les 100 kilos)
30. » A l ' o n t - l ' A b M , et Germaine Slzorn. s. p.,
par leur e x t r é m i t é «le m a n i è r e à f o r - Rouat, N i c o l a s , Burel, G o ë l o , L o «'.éjà subi la d i t e m a j o r a t i o n .
Foin (les 500 kilos)
220. » f) llannalec ; L o u i s Le Molgn, cultivateur
zachrneur, L o Gull, L a m a r r e .
I l est r a p p e l é que les i m p ô t s de mer b a r r a g e .
Paille (les 500 k i l o s ) . .
120. » i» K c r s i l l l p o n , et M a r i e Pérou, cultivatrice,
Au c o u r s de cette r é u n i o n , 50 clu>1929 et d e 1930 a v a i e n t été m a j o r é s
Voilà de bien ¡ o f f i c i e u s e s m e s u r e s
Son (les 100 kilos, gros)
50. » A Ilozic ; A l b e r t Rernard, menuisier, et Anne
r e s p e c t i v e m e n t les 10 Août 1930 et I-rises g r â c e
aux
d é m a r c h e s f a i t « » nicurs se sont f a i t i n s c r i r e . P o u r les
Son (les 100 kilos, détail)
65. » (ïuliraut, s. p., A nannalcc ; Henri Cnrnot,
Q u n i u l le temps est Iiumlde, les douleurs l'usine du pays . .
1*5 O c t o b r e 1931. En reculant jus- p r è s
des autorités
m a r i t i m e s p a r c h ô m e u r s qui n'ont pu se f a i r e ins105. » cultivateur il Lu.ion, et A n n e N a v e t l o u , culqu'au 1 " F é v r i e r 1933, -lu d a t e d ' a p - ' i m p o r t a n t e
9.50 tivatrice ii Kergtilllerme.
Fédération
F i n i s t é - c r i r e ou qui d é s i r e r a i e n t des rensei- ocenslomx'es pur les eoi-s aux pieds d e v i e n - Beurre salé (la livre)
nent
intolérables.
«
L
e
D
i
a
b
l
e
»
enlève
les
Décès : Anne Masse1, 81 ans, K e r f é r o n ;
Beurre doux (In livre)
6. »
p l i c a t i o n d e la m a j o r a t i o n aux im- rienne des P ê c h e u r s à In L i g n e , qui g n e m e n t s , d e u x p e r m a n e n c e s f o n c eor* en six Jours, pour toujours. Mais Œufs (la douzaine)
7. J> Marie Le ( i l a z . Ht» ans, au bourg ; A l a i n L e
p ô t s <le-1931, l ' A d m i n i s t r a t i o n a tenu g r o u p e plus «le 3.001k adhérents, e< t i o n n e r o n t tous les jours, à p a r t i r
attention 1... E x l « « * « L e Diable » , 3 f r . 05,
25. » Nnour, 7" ans, ¡1 Krrbont ; A n o n y m e Helc o m p t e , d a n s toute la m e s u r e du pos- g r â c e aussi aux r é c l a m a t i o n s nonv- de 5 heures, c h e z M. L a n d u r a n t , toutes pharmacies, et h K p e r n a y , P h a r m a c i e [»nulcts vieux (la. couple)
l'oudcts jeunes (lu couple)
:io. » gouacli, il Kérlquel ; Louise Gironacli, Ti
sible, «les d i f f i c u l t é s i n h é r e n t e s aux breuses adressées par les S y n d i c a t s p l a c e S a i n t - M i c h e l , et chez M. Butin, Wrtnmnnm
Ciifnc pur jus
270. » ans, il KcrxCnlel : Marie L? lieront, 70 ans,
circonstances é c o n o m i q u e s actuelles. des P ê c h e u r s à la L i g n e ,
rue du C o u ë d i c .
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M E D A I L L E M I L I T A I R E . - , Nous
v e n o n s d ' a p p r e n d r e que MM. Garnie! . k a n - M a m \ ancien sergent, demeurant au Château du P e t i t Gurlouët, et G u e n n e c J e a n - L o u i s , a n c i e n
sergent, à K e r h a r o , v i e n n e n t d e se
v o i r d é c e r n e r la M é d a i l l e m i l i t a i r e
p o u r f a i t s de g u e r r e .
N o u s leur adressons nos f é l i c i t a tions les plus v i v e s .
CARNET DE MARIAGE. —
Le
m a r d i 17 J a n v i e r 1933, à 10 heures,
en l'église p a r o i s s i a l e «le CloharsCarnoët, sera b é n i l e m a r i a g e de Mlle
A l b e r t i n e Goalen, d u Buzut, a v e c
M. Marcel L e D e l l i o u , du Buzut.
L e s r e p a s d e noces seront servis*
le m ê m e j o u r c h e z M. A u d r e n , c h a r ron au b o u r g .
N o s m e i l l e u r s v œ u x d e bonlïCur.
E T A T - C I V I L . — Naissances
: Le
N o c Juliette, à T y - R o s e m b e l l e c ; L e
G a r r e c M a r i e , à K e r a n n a ; Gautier
P i e r r e , au b o u r g ; ^"iot E l i a n e , à
K e r d r o ; L e G o u i c A n n i c k , à SaintG e r m a i n ; C o l i n P i e r r e , à Beg-arRoz.
Publications
de mariage : L e GoiT
Joseph, m a r i n - p ê c h e u r , ' à M o ë l a n sur-Mer, et Guellec M a d e l e i n e , s. p.,
à Kernabec ; Orvoën Maxime, marin
de l'Etat, à M o ë l a n , et A u d r e n C l é m e n c e , s. p., à K e r g r i s a l ; L e D e l liou M a r c e l , c u l t i v a t e u r au Buzut, et
Goalen
Albertine,
cultivatrice
au
Buzut ; M a l c o s t e R e n é , c u l t i v a t e u r à
P o r s g u e r n , et T o u l l i o u H é l è n e , cult i v a t r i c e à G a l l o r c ' h ; L e Guennou
Joseph, c o m m i s du T r é s o r , à Q u i m p e r l é , et M e u r l a y E r n e s t i n e , s. p., à
K e r a n n a ; Jean Conseil, c u l t i v a t e u r
à Garlouet, et T o u l l i o u Jeanne, cult i v a t r i c e à G a î l e r c ' h ; G l o a n e c Jean,
retraité, à Q u i m p e r l e , et
Guillou
P h i l o m è n e , s. p., à K e r h é r o u .
Décès : L e M o i n g Augustin, 64 ans,
Doëlan ;
Kervarrec
Anonvme,
à
Quelvez.
Démographie
de l'année
1932. —
102 naissances, 2 r e c o n n a i s s a n c e s ,
83 décès, 35 m a r i a g e s , 1 d i v o r c e .
CONCARNEAU
ET AT-CIVIL.
—
Naissances.
—
P i e r r e G l é r a n , rue Vau'ban, 4; A n n e M a r i e L e Gall, rué Cclonel-Mo'ld ;
O d i l e Quiniou, rue B a y a r d , 20; M a r i e C/aire G o u r m e l o n .
Publications
de mariages.
— René
Penglaou, forgeron, d o m i c i l i é à Lann e c ( L e P a s s a g e ) , et J e a n n e - M a r i e
Cottcn, o u v r i è r e d ' u s i n e , d o m i c i l i é e
à Concarneau ; Henri T h i e c , marin,
d o m i c i l i é à C o n c a r n e a u et L u c i e Jan
cigarière,
domiciliée
à Morlaix ;
L o u i s H u c h e r , s. p., d o m i c i l i é à
P a r i s , et M a r i e - E m m a B e n v , s. p.,
domiciliée à Concarneau.
Décès.
—
Joseph Jaouen, m a r i n ,
G7 ans, é p o u x Quentrach, rue V a u an,28; M a r i e - F r a n ç o i s e T h i e c , s. p.,
" 6 ans, c é l i b a t a i r e , rue V a u b a n .
LOCUNOLE
APRES LA FETE; —
François
P i c h o n , 45 ans, c u l t i v a t e u r à Meng a r i o u , en L o c u n o l é , a v a i t f ê t é le
P r e m i e r de l ' A n en c o m p a g n i e d e
Melephan F r a n ç o i s , son v o i s i n . A p r è s
a v o i r bu de n o m b r e u s e s bolées, ils
se r e n d i r e n t v e r s le lieu dit V o n neur. L à , M. P i c h o n p r é t e n d a v o i r
été f r a p p é sans m o t i f p a r son c o m p a g n o n . II a p o r t é p l a i n t e c o n t r e lui.
Il a été f r a p p é à la j a m b e . En r a i s o n
de ses v a r i c e s , la p l a i e peut ê t r e
g r a v e , et il s'est fait d é l i v r e r un c e r tificat p a r le d o c t e u r D e n o ë l . L a g e n d a r m e r i e enquête.
A M A T E U R S D E P O U L E T S . — M.
Moru L o u i s , 49 ans,
forgeron
au
ï-ourg d e L o c u n o l é ,
en
pénétrant
da us son p o u l a i l l e r , s'est
aperçu
«lue t r o i s g a l l i n a c é e s m a n q u a i e n t à
l ' a p p e l . I l s'en f u t r a c o n t e r sa m é saventure à la g e n d a r m e r i e , qui enquête.
NIELGVEN
E T A T C I V I L du m o i s de Décembre. —
Naissances : Marcel Calvez, au bourg ; R a y monde Le Guiban, à Kerancalloc'h ; Marcel
Le F l o c h . au bourg.
Publications
;/<•
mariages
: Pierre Hervé '
(mécanicien à Nolsy-le-See, et M a r i e Rouat!
s. p., à Melgven ,- A n d r é 0 ' l : v l e r , cultivateur,
et Marie L e Bris, cultivatrice à Melgven ;
Robert L e Gall, cultivateur, et Marguerite
M o n f o r t , cultlvati ice il
Melgven ; ' Y v o n
Quentrec, meunier, et Mélanle L e Gall, c u l tivatrice à Melgven ; Jean L e Goc, c u l t i v a teur, et Félicité H e r v é , cultivatrice à Melgven ; Jean Cadiou, maçon, et L u c i e l l e Bcuzc,
s p., à Melgven.
: Néant.
Mariages
Décès : A l b e r t R i v a , 3 m o i s , au P o t e a u Vert ; Murle-Josi-phe P l c c a r d , 75 ans, v e u v e
L e Poulet, s. p., au bols de Kerumbcux ;
P i e r r e Guillou, 2 mois, à Kerambastard.
D E M O G R A P H I E . — I I a été enregistré
il la mairie de Melgven pendant l'année
1932 : 70 naissances, (i reconnaissances, 23
mariages, 34 d é i è s , «lont 4 mort - nés et 3
transcriptions de décès.
II a v a i t été enregistré au cours de l ' a n née 11)31 : « y naissances, « reconnaissances,
27 mariages, 37 décès, dont 2 mort-nés.
RflOELAN-SUR-MER
CARNET DE MARIAGE. —
Le
m a r d i 17 J a n v i e r 1933, à 10 heures,
en l'église p a r o i s s i a l e d e
Moëlan,
sera b é n i le m a r i a g e do Mlle A n g è l e
G o d e c , d e S a i n t - T h a m e c , a v e c M.
L o u i s Guillet, de K e r c a d o r e t .
Les r e p a s d e n o c e s s e r o n t s e r v i s l e
m m e j o u r c h e z M. Joseph Guidlou,
b o u l a n g e r , au b o u r g .
Nos'ineildeuns v œ u x ele b o n h e u r .
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UNE VICTIME DE * L ' A T L A N T I Q U E » . — 19 h o m m e s ont p é r i d a n s
la c a t a s t r o p h e du p a q u e b o t
l'Atlantique,
d é t r u i t , en M a n c h e , p a r un
terrible incendie.
P a r m i ces v i c t i m e s , se t r o u v e M.
P h i l i b e r t D a n i é l o u , de K e r a n d r è g e ,
en M o ë l a n .
M. D a n i é l o u d i s p a r a i t à l ' â g e d e
38 ans, laissant une j e u n e v e u v e «le
23 ans et un b é b é de d e u x m o i s et
demi.
II s'était m a r i é il y a q u i n z e m o i s
e n v i r o n a v e c Mlle L e Bourhis, «le
Kerandrège. •
A v a n t son d é p a r t d e B o r d e a u x ,
M. D a n i é l o u avait a n n o n c é à sa f a m i l l e qu'il c o m p t a i t o b t e n i r une p e r mission d e 15 j o u r s dès son a r r i v é e
au H a v r e . H é l a s I la .nort est v e n u e
le s u r p r e n d r e à la fleur d e l ' â g e ,
dans les c i r c o n s t a n c e s t r a g i q u e s q u e
l'on sait.
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N o u s adressons à sa f a m i l l e é p l o r é e nos c o n d o l é a n c e s émues.
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ne, nu bnufK ; Le Meur Joseph, h Crousallaitement, qui peut avoir sa raiQutau ; Le Giiiiid .Trniincttc, A Mcimeur- son d'être dans les villes, n'est nulHuclln. .
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aves signalés ci-dessus. Il demande, huile nécessaire au graissage des
Séarli Minie, Hl nns, il Kerlez-Vrii» ; Toutn conséquence, que ce contrôle tri- moteurs de vos voitures ou de vos
bout r.ntlieiine, 18 un», mi bourg.
DKMOfìItAl'IlIK.
— Naissances, Olì ; ìiiu- mestriel
soit supprimé à Scaër, tracteurs agricoles.
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DEPARTEMENTALE ourses ayant été contrariées par un
rliigos, 20 ; <lilcès, 57.
comme le fut, en 1928, la consultaEvitez les ennuis que vous pourAGRICULTURE DU FINISTERE. bien vilain temps ; celui de 1932, lui,
lion des nourrissons, qui offrait les iez avoir si vous manquiez d huile
MOUVEMENT IIB LA POPULATION EN
Elections de 1933. — U ' Préfet 1 »résente un boni d e 200 fr., bien que
mémos inconvénients. En cas d'im- JU moment de partir,
l*j;ta. — Il a ri,1 enregistré mi cours <le
1 Finistère, chevalier de la Légion ces dernières n'aient pas non plus
possibilité
absolue
d
e
suppression,
de
l'huile
D.
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vendue
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l'uinn'e IIKI2 : 0.1 nalssaiu'os ; 42 mariages ;
honneur, vient de prendre l'arrêté été favorisées à c e point d e vue. Le
mais en ce cas seulement, il sera p r o . en bidons de 20 litres ou en tonne10 décès.
édé au dit contrôle par l'infirmière lets de 50 litres, par les Etablisse- suivant relatif aux élections de la ecord des entrées a été battu et, c e
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visiteuse au domicile des assistées. ments DESMAHAIS FRÈRES, 42, rue ha'inbrc d'agriculture du départe- lui n'est pas moins appréciable, 011
•ourrluant I « vtaux aveo du luit tori'a jamais enregistré autant d e clieeut du Finistère :
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Les élections pour le renouvelle- aux partants.
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Chambre
'départementale semblée au courant d e l'intention du
¡le
mariage.
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eille de terrain 'située devant sa
I C « . *aaux à la chair tendra et paragriculture du Finistère auront lieu comité de donner, à la demande du TIQUE SANS RESSORT, dont la
faitement blanche obtiendront I « plu» Sellin, couvreur,
à Coat-Culorden- maison, en bordure du V. (). 3, d'une liée, 2 jours, de Voden; Françoise
docteur Andrieux, le nom d e M. Hen- création a révolutionné l'Art h e r dimanche 5 Février 1933.
.f haut» oourt tout en vou» coûtant beau- vian, en Melgven, et Louise Rannou,
ontcnance de 16 m2 05. Il ilxc le ,1'gou, 88 ans, veuve Salaiin, du
Marchais à l'une des courses de niaire, n'est appliqué q u e par les
^ellc SI'ric comprend les arrondis^
coup moin« cher.
s. p., Stang-Keranibroc, en Rospor- prix du m2 il 24 francs, suivant éva- Bourg.
ments de Brest, Châtcaulin et trot. La crise économique actuelle Spécialistes éminents d e s EtablisÉcrire
à l ' O f f i c i du Riz.
luation faite par tiers-expert, soit
den.
Quimper, tels qu'ils existaient avant sévissant aussi dans les sociétés hip93. Rue de Richelieu.
Parie ( 3 ' )
DEMOGRAPHIE. — Naissances n réforme administrative du 10 Se]), piques, il se déclare heureux d e pou- sements A . C L A V E R I E , de
Décès.
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185; reconnaissances 8; mariages 69;
vo.r compter à l'avenir sur les Paris, la plus importante maison d u
journalier, Pont Verserez; Marie Rannbre 1926...
Demande d'inscription
au promonde entier.
pou, veuve Madiec, 03 ans, s. p., rue gramme du V. O. 18 dit de A'crbré- éeès 97 ; morts-nés 8 ; transcripL'élection aura lieu au scrutin de nêmes subventions que par Je passé.
VOI. D E I.ANTEIîN'K. — Nous Nationale.
Dans l'intérêt de votre santé et de
tion 1.
Le
docteur
Andrieux
donne
alors
ste, à raison d e quatre membres
élire. — Le Conseil demande la
fi vous relaté en temps voulu le vol
compte rendu d e s 'commissaires otre bourse, défiez-vous d e s
TREQUNO
élus
par
arrondissement
(011
circonson'struction
sur
un
programme
de<le lanterne effectif^ le 12 Décembre
DEMOGRAPHIE. — Il a été enre. iption électorale sur les listes élec- •sur l'activité «lu comité et les résul- imitations.
1932, nu préjudice (tu conducteur du istré à la mairie d e Rosporden, pen- là loi d u 12 Mars 1880 du chemin vit a s obtenus en 1932, C'est pour lui
SUITES D'UN ACCIDENT I)E torales arrêtées le l " Juii'llet 1932
inal
ordinaire
11°
18.
dit
d
e
KerbréLe seul Spécialiste des Etacylindre, travaillant fi la réfection dant l'année 1932: 52 naissances, 1
lotit d'abord un devoir d'adresser
CHASSE. — M. Jean Rolland, cultiSeront
proclamés
élus,
les
candid
u
G.
C.
50
il
la
route
nationale
zellec
blissements C L A V E R I E , q u i
de la route qui comfuit de Quimper- reconnaissance, 21 mariages, 30 dé1
1
1
souvenir
ému
a
l
a
mémoire
du
ateur à Trégunc, qui en tirant un dats ayant obtenu la majorité relalé à Moëlan-sur-Mer. Deux charre- cès, 2 mort-nés, 1 transcription de sur (oute sa longueur de 2.700 mètres
dans
o d e u r Marchais, un animateur du reste continuellement
t prend l'engagement d e voter, à canard, avait blessé un enfant à tive à la condition qu'un quart au •omité, faisant chaque année le rap- votre région, vous donnera gratiers signalés à la gendarmerie, nient décès.
l'œil,
a
comparu
devant
le
Tribunal
moins
des
électeurs
inscrits
aient
première
réquisition,
les
ressources
d'une façon formelle être les aupert moral, assidu aux réunions et tuitement ses conseils dans les villes
8AINT-THURIEN
nécessaires pour couvrir la part de correctionnel de Quimper. 25 fr. ris part au scrutin.
teurs: de ce rapt. L'enquête se pourcui a rempli avec tant d e dévoue- suivantes, de 9 h. à 4 h. à :
d'amende.
Au
cas
où
un
second
tour
serait
la
dépense
qui
reviendrait
à
la
comsuit.
AVIS. — Les assurés d e la Mutuelle
éccssaire, il aurait lieu le dimanche ment les fonctions de secrétaire, star- QUIMPERLÉ, Vendr. 20 Janvier, Hôtel
agricole locale (incendie et acci- mune, ainsi que celle qui reviendrait
NEVEZ
2
Février 1933, aux mêmes heures, ci- et commissaire des courses.
'
l'Etat.
du Lion d'Or.
dents) sont priés d e passer le plus
Il adresse des félicitations à M. Brest, tous les jours, sauf le Dimanche,
le
résultat sera acquis à la majoINAUGURATION
DU CINEMA tôt possible chez le trésorier, afin de
.e
Bihan
qui,
au
pied
levé,
a
pu
rité
relative,
quel
que
soit
le
nombre
A LA MUTUELLE AGRICOLE. —
G r a n d e P h a r m a c i e FOCCHER, 7 5 , r u e d e
d'assurances
PARLANT. — Samedi en soirée à régler .leurs primes
•s'sumer les fonctions délicates d e
des votants...
Les assurés de la Mutuelle agricole
Siam.
19 h. 30, en dimanche en matinée, pour l'année 1933.
secrétaire,
le
jour
des
courses;
à
M.
Sont éligibles, tous les électeurs délocale (incendie et accidents) sont
à 15 heures, inauguration du cinémaLe secrétaire-trésorier attire l'at- priés d e passer le ipluis; tôt possible
voullec,
pour
l'adresse,
la
souplesse,
Traités de la Hernie», des «Varices»,
signés à l'article 5 d e la loi du 3
tention des agriculteurs et des arti- liez le trésorier, afin de régler leurs
parlant, satle Le Gac.
et des « Affections abdominales »
BREST
anvier 1924, âgés de 30 ans révolus a 'diplomatie dont il a fait preuve
Au programme: Les Trois Masques sans ruraux sur le gros intérêt qu'ils primes d'assurances pour l'année
ne figurant sur aucune liste élec- dans 'la recherche et la répartition
Conseils et renseignements gratis et
Désormais les séances auront lieu trouvent dans les assurances mu- 1933.
UN OUVRIER TOMBE D'UN TOIT
(les boxes ; aux contrôleurs pour le discrètement A . CLAVERIE, 234, Faurale professionnelle.
tous les 15 jours, les jeudi, vendredi tuelles agricoles. Il se tient à leur
ET
SE
TUE.
—
Mercredi,
un
jeune
Les listes des candidats seront travail ingrat qu'est le leur.
Le secrétaire-trésorier attire l'atbourg Saint-Martin, PARIS.
en soirée et dinwinehe en matinée.
disposition pour leur donner tous
lectricicn, Michel Bellec, 19 ans, de déposées à 'la Préfecture douze jours,
Il expose que les travaux imporPrix des places 3 fr. Enfants, 1.50. les renseignements désirables à ce tention des agriculteurs et des arti Brest, installait une antenne d e T. S. au plus tard, avant celui du scrutin. tants réalisés à l'hippodrome de Pél l'occasion du Cinquantenaire des
ans ruraux sur le gros intérêt qu'ils
Les séances •de Haguénès «ont sup- sujet.
au garage Peugeot, rue AnatoleLe Préfet enregistre les listes et in- nalan en font, d e l'avis même des en- Etablissements
trouvent dans les assurances agriprimées.
CLAVERIE,
'rance, il Lambézeilec. Il était monté
CONSULTATION DE NOURRIS- olcs. Il se tient à leur disposition sur le toit, avec le concierge Honoré forme chaque candidat -de l'enregis- f aîneiirs et des jockeys, l'un des plus
jolis
et
des
plus
réguliers
d
e
l'Ouest.
NIZON
de
% sur le prix
pour
leur
donner
tous
'les
renseigneement
d
e
la
'liste
sur
laquelle
il
fiSONS. — La consultation mensuelle
" c Pen, 34 ans.
La piste, pour laquelle on a dépensé
ure. L'enregistrement est refusé.
ments désirables à ce sujet.
des
nourrissons
aura
lieu
ii
la
niai
de
tous
les
CARNET DE MARIAGE. — Le
Soudain une des plaques d e flbro
plus de 50.000 fr., est aujourd'hui en
1° A toute can'didatlire i s o l é e ;
mercredi 18 Janvier 1033, à 10 h. 30. rie le mercredi 11 Janvier, à 10 h.
UN CLIENT PEU COMMODE. — iment céda sous le poids d e s deux
2° A toute liste portant plus de excellent état et ne nécessitera à l'a
en l'église, paroissiale de Nizon, sera
AVIS DU PERCEPTEUR. — La Jeudi soir, François Solliec, journa ronuncs qui furent précipités dans quatre noms, 'pour les candidats élus venir que des travaux d'entretien
l)éni le mariage <ie Mlle Françoise tournée 'mensuelle du percepteur er, entrait au débit Chartes Berviile d'une hauteur de sept à huit m scrutin d e liste par arrondisse c;e belles tribunes en ciment armé ont
Guillamlct, du bourg, avec M. René dans la ccinniunc aura lieu le jeudi Ihetlot à Moustren, en Scaër, et de- mètres.
La date des examens
emplacé les vieilles tribunes en bois
lent;
Barré.
pour les bourses nationales
Pen tomba sur la pipote d'une voi12 Janvier 1933 (matinée seulement) manda une consommation. Mais vu
3° A toute liste portant plus d e qui tombaient en ruines ; des o b s
Les repas de noces seront servis le
d'enseignement secondaire.
son état d'ébriété, le patron refusa ture et s'en tira ave£ d e nombreuses inq noms, p o u r les candidats élus tacles nouveaux ont été créés. « Sucmôme jour chez M. Nicolas Portai,
DEMOGRAPHIE. — Pendant l'an le le servir. Solliec ne l'entendit p'as contusions; Beilec alla s'écraser sur u scrutin 'de liste départemental par cès oblige, dit-il, nous sommes pris
Les dates d ouverture des sessions
née 1932, il a été enregistré dans la linsi et joua des pieds et des poings.
au bourg.
ciment. Il mourut des suites d'une
notre propre piège et nous nous
s associations et syndicats agricommune de Saint-Thurien, 34 nais- " répondra d e son geste un peu trop fracture d u crâne peu de temps ci les.
Nos meilleurs voeux de bonheur.
(levons d'apporter à notre hippo ue l'examen d'aptitude aux bourses
atioiiales
d'enseignement
secon sances, 18 mariages et 20 décès (dont if devant le Tribunal correction- près son admission à l'hospice c i drome d'autres améliorations. »
(iaire ont été fixées comme suit pour
2 transcriptions).
vil d e Brest.
nel.
PONT-AVEN
LES CROIX DE DOIS. — Les Car- Cette année, il est dans l'intention l'année 1933.
haisiens ont la satisfaction de pou- du comité de créer un nouveau parc
ETAT CIVIL. — Xaissances: MaLES PIERRES DU BOURG-NEUF,
Candidats el candidates des 3', 4",
CYCLISTES EN DEFAUT. — Les
QUIMPER
voir applaudir cette semaine, le
autos en face de l'entrée d u champ
et de 6' séries, le jeudi 27 Avril.
PRÈS PONT-AVEN. — M. Le Guen- léfant Jean, bourg ; Le Roy Marcel, gendarmes en tournée aux environs
film
national
Les
Croix
de
Bois,
qui
de
courses.
Trois
entrées
et
quatre
nec, présente des dessins qu'une bourg ; Pérou Henri, bourg ; Ilervet de Pont-Lédan, ont dressé procèsCandidats et candidates des 1 " et
ACCIDENT MORTEL. — Jeudi
été
consacré
par
l'unanimité
de
la
et
permettront
sorties
sont
prévues
séries, concours commun aux enpersonne, originaire de Ponî-Aven, Albertine, Quilos ; Guillou Hubert, verbal à Jean B... et à Jean G... pour matin, route de Rosporden, en face critique comme la plus haute et la aux épreuves d e se dérouler régulièa exécutés de diverses grandes pier- bourg ; Berthelot J ean, bourg ; Petit- éfaut de lumière à leurs bicyclettes. de la scierie de MM. Le Bcrre, M plus profonde réalisation du Cinéma rement; les poteaux de bois seront seignements
secondaire,
primaire
Jean
Lucienne,
bourg
;
Tanguy
Franres qui se trouvent à 2 kilomètres de
Léon Le Gall, boucher, rue Astor, français.
remplacé« par des poteaux en ciment, supérieur et technique, le jeudi 11
cette ville, dans la lande du Bourg- çois, Crec'h-Mine ; I.e May Guy,
Mai.
COMMENCEMENT
D'INCENDIE. rentrait à Quimper en automobile,
Présenté à Genève devant la So une tribune de juge à l'arrivée sera
Dimanche «air >!e feu s'est déclaré quand il heurta un piéton qu'il
Neuf, sur la rive gauche de l'Aven. Triol ; Berthelot Louis, bourg.
Le ministère de l'Education natioédifié: la route menant à l'hipnociété
des
Nations,
à
Paris
devant
le
Ce sont d'énormes blocs dont la par- Mariages : Péron Christophe, du chez les époux Guégan, débitants à 'avait pas aperçu dans l'obscurité, Président de la République, à Bru- (irome sera entièrement refaite et nale rappelle aux familles que les
tie supérieure, émergeant du milieu Trévoux et Théou Louise, de la Car- Raden-Club, en Scaër.
René Hélias, 60 ans, manœuvre, xelles devant le Roi des Belges, cette goudronnée par le service des Ponts- nscriptions pour l'un et l'autre de
L'alarme fut rapidement
donnée domicilié rue Pen-ar-Stang.
des broussailles, a été comme nive- •ière ; Diamant Yvon, de Kerdiaa u v r e extrêmement émouvante vient ct-Chausséos. Quant à la deuxième ces examens sont reçues jusqu'au
promptement
lée par l'action des éléments. Ces niant et Flégeo Marie-Louise, de et grilce aux secours
La victime de cet accident fut de se dérouler dans toutes les gran- journée de courses, le comité n'ou- 14 Mars, dernier délai, pour Paris et
espèces de vastes tables de granit Stang-Neuzec, Le Flao Louis, du organisés, on put nmiitriser le sinis- admise d'urgence à l'hôpital, où MM. des villes d'Europe devant dos salles blie pas sa promesse: cette année, il le département de la Seine au siège
tre.
offrent des cavités ou des saillies bourg et Marion Marie, de Quilos
les docteurs Le Clech et Pilvcn ju- combles et enthousiastes. De l'avis ne lui est pas possible d e la créer, des examens de la Direction de l'EnLes dégâts, assez importants, con- gèrent son .état désespéré.
d'une forme singulière, qui ressem- Ségain René, de Stang-Léo et Querunanime,
jamais
lilm
ne p r o c u r n mais il se promet bien <le l'organi- seignement primaire, 3 bis, rue Rablent à des bassins avec orifice Iou Isabelle, de Cout-CIéo ; H ¡ou sistent en arti ries d'épicerie et (le
ser dans un avenir prochain.
billon, à Paris ; pour les autres déEn effet, le malheureux succom- ne telle émotion collective.
d'écoulement, ou à des couchettes Pierre, de Bannalec, et Théou Louise, mercerie.
bait peu de temps après son arrivée
On arrête la date du 18 Juin pour partements, au Secrétariat de la PréIl
n'y
a
aucune
comparaison
u
On ignore les causes de l'incendie. dans l'établissement.
géantçs munies de coussins. Mais, de Kerganet; Le Gall René et Mifecture de la résidence des candifaire, noiis dit Marcel Prévost, de la journée d e s courses d e 1933; à la
bien qu'on puisse les croire taillées llion Isabelle, du bourg ; Robin Jean,
demande d e M. Goyat, l'assemblée dats ou de la résidence de leur
l'Académie
française,
entre
ce
film
GOURNERIEN-SKAER
(1) BAT
de main d'homme, il n'y a sans de Quilos, et Guillamcl Adrienne, de
UN MANŒUVRE SE NOIE DANS et les précédents films dits « de ote des félicitations au bureau en- famille.
T. A. DE CARHAIX (2) PAR 7 BUTS
doute lieu de voir dans ces particu- Stang-Neuzec.
ODET. — Lundi, vers 16 h. 45, guerre » . Les Croix de Dois, pour tier «t la séance est levée.
Décès: Doeuff Denise, 3 ans, bourg; a 2. — Nous avons assisté à la plus Noël Petton, 57 .ans, allant se laver
larités bizarres que le résultat de
Pérou Henri, 1 jours, bourg ; Le intéressante partie d e la saison, niet- les mains à la Gule-Neuve, près d e qui a vu la guerre, sont la guerre
phénomènes d'érosion.
ALRÉENNE (1) BAT DERNIÈRES
même. Ce film est un chef-d'œuvre.
ant aux prises deux équipes de for
CARTOUCHES (1) PAR 5 A 3.
(Société
Archéologique
du Bozec Joseph, 12 ans, Kergoulaouen; ces sensiblement égales et toutes l'usine Le Hénaff, glissa soudain
Les
Croix
de
Dois,
qui
n'ont
enPérennou
(anonyme),
Croshuel
dans l'Ode t.
Finistère).
Trois
core été applaudies dans le départe D'entrée les visiteurs partent à toute
Kloc'h Marie-Françoise, 79 ans, de deux désireuses d e vaincre.
Aux cris des té,moins, MM. I-c ment qu'à Brest et Quimper, seront allure et se montrent incontestablebuts
d'écart
auraient
mieux
repré'
HENNEBOXT. — Sarrasin, 76 h 80, le
CARNET DE MARIAGE. — Le Kerganet ; Pensec Louis, 54 ans sente la physionomie de la partie. Hénaff père et fils accoururent avec présentées tous les jours en soirée ment les .meilleurs. Très rapides, tout
au quintal. — Beurre, a u détail,
les
ouvriers
leurs
avants
viendront
constamment
et
l'on
put
retirer
le
mercredi 18 Janvier 1933, à 11 heu-bourg ; Carduner Louis, 5 mois,
En première mi-temips surtout, on
20 à 22 le kilo ; œufs, les treize, 7 à
du jeudi 12 et le dimanche 15 et en
inquiéter 4e camp carhaisien où la
re«, en l'église paroissiale de Pont- Roué ; Gallo Louise, 82 ans, bourg it les sympathiques Carhaisiens manoeuvre d e la rivière.
T > 0 ; poules, la couple, 30 à 40 : p o u matinée le jeudi
et le dimanche
défense est d u reste dans un niau lets, ta couple, 20 à :i0 ; canards, la
M. le docteur Giffo, appelé, tenta
Aven, sera béni le mariage de Mlle (transcription) ; Le Roy Marcel,
faire jeu égal avec leurs adversaires
5. Prix ordinaire des places.
vais
jour.
C'est
pourtant
les
locaux
les
tractions
rythmées,
c
a
r
Petton
Germaine Penven, de Pont-Aven, mois, bourg.
pièce, 10 à 22 ; lapins, la pièce, 10 à 3 0 .
inquiéter sérieusement Nicol; au
qui ont l'honneur d e la marque, R.
Pommes de terre, 40 à 45 le quintal.
avec M. Yves Bourhis, maître meca
repos, le score était de 3 buts à 2 respirait encore, mais ce fut en
UN AUTOMOBILISTE QUI REN-Morvan plaçant son bolide à la suite
ROSPORDEN, 7 Janvier. — Beurre
SCAER
vain.
Le
malheureux
avait
d
û
Ctre
nicien, de Kermao, en Trégunc.
n faveur des Gourmerieirs.
pris de congestion et expira peu VERSA UN CYCLISTE EST CON-d un corner. Carhaix marquera en- non salé, 6 fr. 'la livre, haïsse ; œufs,
Les repas •de noces seront servis
La seconde mi-temps fu!., comme iprès.
DAMNE. — I.e 2 Novembre dernier core sur cafouWl'age et. malgré leur
fr. la douzaine, baisse ; bœufs, 1.50
AU CONSEIL MUNICIPAL. — Le
le même jour chez M. et Mme Corel
toujours, celle des Gournerien, qui
M. Petton était marié et père df un cycliste, M. Jaffré, roulait stric- nette supériorité les Alréens n'at la livre ; porcelets, légère baisse ;
leaù, hôtel de la Poste, à Pont-Aven. Conseil municipal de Scaër s'est réu- portèrent la marque à 7. tandis que
tement à droite sur la route de Ca- teindront le repos qu'avec un point uches, légère baisse ; poulains, première
ni sous 'la présidence d e M. Henri
luatre enfants.
Nos meilleurs v<rux de bonheur.
qualité, 850 à 900 francs.
rhaix à Poullaouen. Un camion sui- d écart en leur faveur, 3 à 2.
Croissant, conseiller général, maire. la T. A. laissant échapper quelques
belles occasions de marquer, ne put
ait. Au moment du dépassement, le
QUIMPER, 7 Janvier. — Beurre de
UN QUIMPEROIS EST TUE
Les visiteurs, partis trop vite au
Autorisation de ramasser du bols tromper la défense locale très en
NANTES PAR UNE LOCOMOTIVE lourd véhicule renversa le cycliste début, étaient épuisés et à part deux table, 9,75 à 10,20 la livre ; beurre do
mort dans la foret de Coatloc'h. — forme.
cuisine,
8,50 ; œufs, 7 fr. la douzaine ;
qui
aussitôt
fut
relevé
par
1
1
1
1
témoin
'•."ous apprenons que dans la nuit du
ou trois descentes, ils ne firent plus
Imprimerie LE GALL Frères M. le Maire fait part au Conseil des
Remarqués à la T. A.: le goal, l'ar vendredi 30 ail samedi 31 Décembre de l'accident, sans blessures graves. grand chose, laissant le champ libre choux, 0,30 à 1 fr. la tête ; choux-fleurs,
nombreuses doléances qu'il a reçues
à 2,50 : salade, 0,40 la tête ; carottes,
¡ère 'droit, le 'demi-centre, l'avant vers 1 h. 30 du matin, M. Alain Le Cependant le camion poursuivait sa aux locaux qui attaquèrent à ouPlace Hervo, QU1MPERLÉ
ces temps derniers, des habitants d e centre et l'ailier gauche.
1 à 1.25 la livre : navets. 0,25 lo paquet ;
oute,
mais
le
conducteur
fut
vite
Bcrre,
53
ans,
surveillant
général
de
trance,
jusqu'à
la
fin,
m|ais
11e
surent
houx-navet,
0,25 à 0.33 la pièce ; poiTravail soigné — Livraison rapide mourant à proximité de la forêt de
(¡liez les Gournerien, 1'. Le Fiocli
Coatloc'h, en Scaër. Les intéressés et Soaïk furent 'les meilleurs d'un a voie d u P. O.. demeurant à Nantes identifié. Il s'agissait de M. Henri pas traduire leur avantage territo- reaux, 0,25 à 0,35 ; ait., 2,50 la livre ;
échalotes, 1,50 la ilivre ; haricots d e m i :i été happé, alors qu'il se trouvait Tanguy, chauffeur chez M. Martin rial.
se plaignent que, depuis l'arrivée du
2 f r . la livre ; poulets jeunes, 28
COURS DE PERFECTIONNEMENT nouveau Garde des Eaux et Forêts, onze qui joua beaucoup mieux en n. gare d'Oudon, par une locomo Dantec, à Landivisiau.
Finalement la partie se terminait secs,
seconde
mi-temps
qu'en
première.
34 fr. la couple ; vieux, 34 à 40 au
tive haut-le-picd. "
DES SOUS-OFFICIERS. — Dimanche 1 leur est interdit de ramasser des
Le délit de fuite n'est pas retenu sur le score de 5 buts à 3.
couplé
; lapins, 17 à 25 ; blé noir, 4 0
A noter la belle performance de
Ia; iiiialheureux fut tué sur le coup
22 Janvier, «à 10 heures, à la gen- feuilles, des fougères et du bois mort
50 francs d'amende et 5 francs de
acs, 42 à 45 fr. les 50 kilos ; avoine,
la
seconde
équipe
locale,
<pii
bien
Sa
famti'lk'
habite
Quimper
et
Pen
darmerie: combat offensif du groupe
contravention. M. Dantec est déchiré
L.e Conseil, après délibération, de que privée de bons éléments, réus
DU MOIS DE DÉ- 10 sacs, 40 à 42 ; seigle, 20 sues, 33 À
crÉJAT-CIVIL
hf.rs.
civilement responsable.
n «•
~ Naissances : Jules Le 40 ; pommes de terre, 8 sacs ; j a u n e s ,
LA FOIRE. — La première foire mande instammWMit et à l'unanimité sit à battre, par 2 buts à 1, l'équipe
que l'autorisation solicitée soit ac correspondante d e la T. A.
tioff rut' Cazuguel ; Aline-Suzanne- 13 à 14 les 50 kilos ; saucisses, 18 À
tic l'année aura 'lieu le troisième
COURONNEMENT DE LA RO Mane Boulch, rue Jean-Jaurès
CINEMA
DE I,.A PHALANGE
0 francs.
cordée comme précédemment et prie
Remarqués
à
Scaër,
F.
Le
Dez
mardi de Janvier, c'est-à-dire le 1/ M. le Préfet d'intervenir, à cet effet
D'ARVOR. — l.e programme de cette SIERE. — Mlle Henriette Marc, élue Marie Le Moal, rue Renan ; MarieCOXCARXEAU
(marché du 9 ) . —
Christien
et
Morvan
qui
furent
les
Janvier.
semaine au cinéma parlant de la •osière pour 1933, a été couronnée Catherine Herviou, rue de Bazeil- Céréales. — On cote aux 100 kilos :
luprès (le l'Administration des Eaux neilleurs sur le terrain.
Phalange d'Arvor se compose prin< mardi par M. Bescond, adjoint au les ; Ginette-Marie-Louise Guillerm
Cette foire qui est une des plus et Forêts.
r
urine, l * qualité, 155 à llil) f r . ; 2" quaLes arbitrages d e F. Larvor, pour cipalement de deux grands films
importantes est très suivie,
11a ire.
avenue de la Gare ; René Salaun lité, 162 à 165 fr. ; froment, 105 à 107
Installation d'une cabine
télépho les secondes équipes et de ,1. Guer La Folie des Hommes- avec Georges
fr.
; avoine, 80 à 84 fr. ; blé noir, 84
Cet'e cérémonie avait été remise rue de l'Eglise ; Marcel-Marie Rous
nique à Kergaouen et Minetréouzal. nie, pour les preinières, furent très Bancroft, et • Lu -,(\mnde
QUERRIEN
90 fr. ; orge, 63 h 65 fr. ; son, 61
Caravane en raison de la coïncidence du ma- val, route de Callac ; Lucette-Chris
— Le "Conseil demande très instant appréciés.
68 f r . ; seigle, 70 à 80 fr.
avec Garrv Cooper. En complément, riage de la nouvelle rosière avec M. t'ane Chevance, Tour-du-Château
Fourrages (aux 500 kilos). —- Foin,
DANS LE CLERGÉ. — Nous ap- ment il l'Administration d e s Postes
les Actualités et un dessin animé
Guillaume Floc'hlay, d e Château- Thomas Tallec, au Petit-Carhaix
ETAT-CIVIL.
—
Naissances
:
Gi
217 à 222 fr. ; oaillc, 115 à 140 f r .
prenons que M. l'abbé Pérès, vicair. de vouloir bien examiner avec la plus
Séances v c - d r e d i , samedi et di neuf-du-Faou.
Annick Le Coz, place du Chanip-de
Volailles. — Poulets .jeunes, la couple,
bienveillance 'l'installation sèle Bourhis, Kernierrien ; Yves Gui
à Querrien, vient d'être nommé rec- grande
Cetteremise
de
date
nécessita
une
manche,
à
20
h.
30
et
dimanche
Foire ; Guy Treussard, rue de 30 à 35 fr. ; vieux, 35 à 40 fr. ; lapins
teur d u Trévoux, en remplacement dont il s'agit. A cet effet, prend l'en Chaoua, de Coadigou ; Francis Ton 15 h. 30.
délibération
spéciale
du
jury
de
fa18 à 25 fr. ; lapins d e
domestiques,
l'Aqueduc romain ; Henri Piriou
d e M. Tromeur, dont nous avons re- gageinent : 1° De mettre gratuite )in, du bourg ; Yves •Keraudren, de
garenne, 10 à 12 fr. ; canards, l'unité,
Prix des places : 8, 5 et 3 francs mille qui accorda l'autorisation.
îaint-Guénoié
;
Yves
Navellou,
de
rue
Henriet.
ment
à
la
disposition
d
e
l'Adrninis
laté la mort tragique.
18 à 24 fr.
Nous adressons à M. et Mme
La soirée du vendredi 13 Janvier
Mariages : Raymond Morvan, étu
M. l'abbé Pérès, originaire d Er- tration des Postes un local pour l'ins Burduel ; Aimée Jouas, du bourg
Denrées. — Beurre de table, Ja livre,
sera donnée au profit du timbre Floc'hlay nos sincères félicitations.
Yves
Le
Bourhis,
de
Stanc
;
Fran
lallation
du
téléphone;
2"
D'assumer
diant à Carhaix, et Marthe-Yvonne 10.50 à 11 f r . ; beurre de cuisine, D.50
gué-Armel, a été ordonné prêtre en
antituberculeux
:
tout
le
bénéfice
çoise
Jambon,
du
Fermou
;
Marcel
10 f r . ; œufs, la douzaine, 8.50 à
1899 et était nommié vicaire à Quer les frais d'aménagement de la cabine
L'ASSEMBLEE GENERALE DE LA Hervé, s. p., à Carhaix ; Joseph
sera versé à cette œuvre sociale par
fr. ; cidre, la barrique, ordinaire, 245
rien l'année suivainte.
Il a donc téléphonique ; 3° De supporter les Derrien, de Miné-Tréouzul ; Paillette ticulièrement digne d'intérêt.
SOCIETE DES COURSES. — L'as- Salaun, forgeron à Plouguer, et
Lanquetil,
de
Kernunec
;
Roger
Car250
fr. ; pur j u s , 275 à 280 fr., logée,
passé trente-deux ans dans notre frais d e gérance d u téléphone, ainsi
semblée générale d e l a société des Marie-Augustine Le Croizier, s. p.
droits eu sus.
Carhaix.
courses de Carhaix a eu lieu merparoisse, où il conquit rapidement que ceux d e distribution des télé not, du bourg ; Irène Le Dez, de Lo
Bestiaux. — Bœuf gras, le kilo' sur
PLOGONNEC
grammes et d e s avis d'appel télé gebrout ; Anne-Marie Ficlic, de Ty
credi, à 5 heures, à la salie de la
l'estime et la sympathie générale.
Décès
: Joseph-Louis
Chauve pied, 3.25 ; vache grasse, 2.70 à 2.80 ;
moter-Vras
;
Anne-Marie
Le
Boédec
phoniques.
Il
prie
M.
le
Préfet
d'in
Justice
d
e
Paix.
Tout en regrettant son départ
taureau, 3.30 ; génisse, 3.25 à 3.40 ;
maçon, 48 ans, route de Gourin
UN CYCLISTE EST TROUVÉ
nous adressons à M. l'abbé Pérès nos tervonir pour que ces deux créations Keredc ; Eliane Le Bris, de Saint INANIMÉ SUR LA ROUTE. — Son
M. de Léséleuc, vice-président, pré- Jeanne-Louise Goarvot, 42 ans, rue veau, 5.50 à 6 fr. : mouton, 5.25 à
Jean
;
Marie
Guillol.
(lu
bourg
soient
faites
dans
le
plus
bref
dé
5.50 ; agneau, 7.25 ; porc, 6 à 6.50.
sincères félicitations et nos meilFrançoise Pichon, du bourg ; Jean état est très grave. — Dans 'la soirée sente les excuses de M. d e Kerga- Croas-Lohou ; Paul Dauvert, 77 ans
Légume«. — Choux, la pièce, 0.50 à
leurs vœux d e long et fécond aposlo lai possible.
de lundi, des automobilistes ont riou, président, qui n'a pu assister journalier, hôpital ; Yvette Croizier 1 fr. ; choux-fleurs, 1 à 1.75 ; salade,
Le
Goc,
de
Tygloanec
;
Jean
Guégan
lat dans sa nouvelle paroisse.
Révision de la liste
électorale.
à
la
réunion,
et
prend
la
parole
en
('.('•couvert 1111 homme baignant dans
3 ans, route de Go'irin ; Marie 0.25 il 0.40 ; poireaux, le paquet, 0.40
Sont désignés: 1° Pour les opération de Raden ; Isabelle Enizan, de l'on une marc d e sang, sur 'la route, au ces termes :
Françoise Ricrel, 85 ans, hôpital.
0.50 ; navets, la botte, 0.30 à 0.50 ;
ou ; André Guillou, de Logegaor
REDENE
préliminaires : M. Péron Louis, eon 1
«
Depuis
notre
dernière
assemHeu dit Toul-Trcngue, commune d e
échalotes, la Kvre, 1.25 : haricots demisellier municipal
2° Pour les récla Louis Solliec, de Voden ; Charles Plogonnec. Une bicyclette se trou blée générale, la société d e s courses
DÉMOGRAPHIE. — Il a été enre srcs. 2 fr. ; pommes de terre jaunes, les
CARNET DE MARIAGE. — Le mations : MM. Toupin Jean et Olli Lessard, de Kergoz ; Fernand Lan vait non loin de lui.
perdu 1111 de ses- membres les plus gistré à l'état-civil, pendant l'aimé 50 kilos, 13 à 15 fr. : saucisses, 18 à
de Tymoter-Vian ; Yvette Maguer
mardi 21 Janvier 1933, à 11 heures vicr Alain, adjoints.
fr.
M. le docteur Ma'lloizel, mandé actifs et les plus compétents, je veux 1932 : naissances, 98 ; mariages 2a Coquillages.
de Kervars ; Louis Kervéant, de
— Palourdes, grosses, la
en l'église paroisisale de Rédenc
Commissaires répartiteurs. — Ré Cleinnerrien ; Raymond Berthelot, de aussitôt, lui a prodigué ses soins parler du docteur Marchais, le doyen 35 ; décès, 89.
douzaine, 2 fr. ; bigorneaux, la bolée,
sera béni le mariage de Mile Hélène partiteurs titulaires : MM. Cosque
de nos commissaires et en même
mais
il
11e
peut
encore
se
'prononcer
Pendant l'année 1931, il avait été 1 fr. ; berniclcs, 1 fr. : coquilles SaintLe Berre, de Kcrotirrien, avec M Grégoire, d e Grénorien; Traoue Coatcourant ; Irène Landurien, de
sur l'état de la victime, qui a une temps l'un des plus anciens membres enregistré : 92 naissances, 20 ma Jacques, la pièce, 0.50 à 0.70.
Stangoden.
Vincent Le Corre, d e KerguelTre.
de
la
société
d
e
s
courses,
dont
il
faiPierre, de Rosantreul; Jégou Coren
olaie temporale et une autre ecchy
ri âges, 104 décès.
Les repas de noces seront servis tin, de Kergaouen; l.e Bilian Jean
Mariages : François Héliuse et Ma inose à 'l'œil gauche. Le bras gauche sait partie depuis 1893.
tlllllllilllllllllllllllllllllItlIlIllliiiiiHUHiHl
•mo jour chez M. Daniel, débi
«
Chaque
année,
à
pareille
époque,
ie-Anné
Huiban,
du
bourg
;
Louis
u bourg; Rodallec Louis, de Saint
est aussi très atteint.
tant au bourg.
HUELGOAT
nous avions le plaisir d'entendre le
Jean.
Monsonnec et Marie-Louise Chris
La victime, sans connaissance
Nos meileurs vieux de bonheur.
ÉTAT-CIVIL DU MOIS I>E DÉRépartiteurs suppléants: M. Bour lien, de Rosnmbic ; Paul Le Galles été transportée dans un débit voisin rapport si coimipilet et si documenté
CALENDRIER DES FOIRES POUR CEMBRE. — Naissances : Yvonne
Sur la plaque de la bicyclette figure qu'il nous faisait d e notre réunion
lils Gabriel, d e Mesnoter : Boylis et Jeanne Evennou, du bourg.
RIEO-8UR-BELON
1933.'
—
Deux
foires
bi-mensuelle
annuelle
;
il
savait
nous
en
faire
la
Nédélec, à Kervoal ; René-Camille
François, de Kergoaler ; Vigouroux
Dérès. — Michel Jégou, 7 mois <1 le nom île Le Lav, Penhnrs.
Une enquête est ouverte par la critique, niais toujours avec tact et les premier et troisième jeudis <k> Ollivier, à la Villette ; Claude BoisACCIDENT DE LA ROUTE. — A Eugène, du bourg; Guillot Jean, du Moulin d u Pont; Marie-Jeanne Dénié
chaque
mois;
en
plus,
il
existe
de
bonhomie;
il
nous
indiquait
les
amésonnot, rue des Carrières ; Noëlbourg; JatTré Félix, du bourg.
/.et, 40 ans, -veuve Jaouen, de Miné gendarmerie, afin de déterminer les liorations à apporter, tant dans vieilles foires, dont deux, celles de
Kerhoën, sur la route qui conduit de
Laurent-Francis Bothorel, rue des
Suppression du contrôle
d'allaité Kerllec'h ; Thomas Pensec, 63 ans causes d e cet accident.
Hiec-sur-Bélon h Pont-Aven, l'autoSaint-Marc
et
de
Saint-Simon,
se
Cieux ; Jean-Yves Nicolas, à KerM. le docteur Malloizel a proscrit l'agencement du service que dans
« poux Le Meur, de Coatcourant; Clu
Ti'obile de M. Costiou, d e Névez, par ment. — Le Maire expose ensuite
font
à
leurs
jours
respectifs,
soit
l'aménagement du terrain, et l'année
saoulcc.
suite de dérapage a accroché la voi- Conseil qu'il a été saisi de , nom l'a-Arthémise Dormay, veuve Brégy i- transport d'urgence du blessé
pour
cette
année,
la
première,
H
e
suivante nous nous efforcions de
Publications de mariage : Pierreture de M. le docteur Le Stunff, île brcuscs doléances de mères de fa de Cascadec, 77 ans; Louis Piriou 'hôpital.
faire mieux, et si aujourd'hui nous mardi 20 Mars, la seconde le samedi Marie Rousvoal, facteur intérimaire
Ouiinperlé, et a pu éviter d e très; mille concernant le contrôle trimes 68 ans, époux Conan, du Rouisommes arrivés aux résultats dont 28 Octobre.
à Huelgoat, et Marie Laurent, s. p.,
|.eu, une motocyclette de la brigade triel d'allaitement. Par ce contrôle Marie Le Floc'h, 64 ans, épouse Pé
nous sommes tous fiers, le docteur
Les autres vieilles foires sont, par à Portsantrez, en Saint-Martin-desqui
est
assuré
par
l'infirmière
visi
d e gendarmerie d e Pont-Aven. Par
rez, 'de GoarcmibncHa; Yvette Curer
Marchais
y
a
contribué
pour
une
(iécision
du
Conseil
municipal,
por
QUISORIFF
un hasard extraordinaire, on n'a pas tcuise du Dispensaire, les mères d e 10 jours, du MciiHn-Kéry: Guillaume
large part. C'est pourquoi je suis tées aux jeudis suivants, savoir: celle Champs.
Mariages : Néant.
•i déplorer d'accident d e personne. famille, bénéficiaires d e l'indemnité rioe'h, 61 ans, époux Gourlay, de
certain d'être l'interprète 'de tous les du premier jeudi du Carême coïncide
ÉTAT-CIVIL.
—
Naissances
Décès : Laurent Joachin, 35 ans,
mensuelle d'alllaitement, doivent obi Pontigou; Bertrand Truouen, 76 ans Je aniline Huiban, à Croix-Churé
membres d e la société des courses avec la foire du premier jeudi <1
rue de Brest, réformé de guerre ;
CHEZ LES PÉCHEURS. — Les gatoirement se présenter à la Mairie époux Jégou, d e Kernéant; Suzanne Joseph Tallec, rue de la Gare
sans exception, en adressant à sa mois d e Mars; celle du 19 Mai s'an
membres de la société « La Fine tous les trimestres, à une date qu' Calvarv, 80 ans, veuve Hurscouet, de Hélène Landrein, rue de Quimpcrlé, mémoire 1111 suprême hommage de liniera avec celle d e l à veille, 18, troi Jean Le Cam, 76 ans, s. p., rue des
Gaule » , de Riec-sur-Bélon et des leur est indiquée, sous peine d'être Pont-Mcur; Marie-Josèphe Le Bilian
siènie jeudi du mois, du fait que le Ci eux ; Lisette Le Binjamîn, 21
Mariage : Yves Gaillard, cultivii loconnaissance el en suspendant
environs sont priés de se réunir le rayées de la liste nies bénéficiaires 71 ans, veuve Le Bilian Henri, de
séance
pendant
quelques
instants
en
jeudi suivant est l'Ascension ; celle mois, à la Croix-Neuve ; Françoisleur el Marie-Louise J.c Borni n, cul
dimanche 15 Janvier au restaurant
signe
de
deuil.
»
•('
u 25 Juin est reportée au jeudi 29 Marie-Guillou, 35 ans, garçon de
Les intéressés prient M. le Mair Kerguer; Marie Thépuut, 69 on
tivalrice.
ferme à Kervoal.
« Ty-Rhu » , bourg de Riec-sur-Bé- et le Conseil municipal d'inferven
veuve Cozic, du Bourg; Marie-Frnn
M. F. Bosson, trésorier, donne en celle du 10 Août, au jeudi 17, c e qui
Décès
:
Anonyme
Le
Mestre,
lon," à 14 heures.
auprès d e M. le Préfet peur aboi
ço'ise Hervé, 63 ans, veuve Toupi Kerguen-Moucl.
suite connaissance des recettes et des la fait coïncider avec la foire du
DÉMOGRAPHIE. — Durant l'ancet le nouvelle institution qui leur François, du Bourg; Catherine Lan
dépenses des deux dernières années ti-oisièmie jeudi d'Août; celle du.1 S née 1932, il n été enregistré, à la
ETAT CIVIL. — Sait.iance.i
; C.iizon MaDÉMOGRAPHIE. — Naissances et établit une comparaison entre les Septemibre est reportée au jeudi 14 Mairie : 40 naissances, dont 4 reconnurien, veuve Hélézen, 88 ans,
rie, mi bourg ; Le l-'oll Marie, ti CimMllii/. ; est très préjudiciable ainsi qu'A leur
Bourg; Marie-Anne Le Gall, 58 ans 134 ; décès, 77 ; 5 morts-nés
<iiiéguen Marie, il KcVobt'zun ; I.e Grand enfants.
deux budgets. Celui d e 1931 se tra- et enfin celle du 21 Novembre, au naissances ; 19 mariages et 1 d i v o r •yvon, ft Gonreni-Kergourlay ; (iiiviider AllLe Conseil déplnrc que le contrôle • euve Stéphan, d u Bourg; Louis Sol transcriptions ; mariages, 40.
duit par un déficit de 14.000 fr., 1 « jeudi 23.
ce ; 47 décès.
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Quimperlé, rue Savary, n" 20, de
M" FOURNIS, avoué, à Quimperlé,
quai Brizeux, n° 6 et de M" ROUSLa baisse de la viande.
SEL, notaire ù Quimperlé, quai
Brizeux, il" 12.
M. Rognon, boucher à Grenelle,
déclaré ce matin à sa clientèle
il allait baisser le prix de la
viande. Et, joignant le geste à la
En l'étude et par le ministère
parole, il a, d'une main habile,
décroché son tarif pour le raccro- de M" ROUSSEL, notoire à Quimperlé
cher dix centimètres plus bas.
LE MERCREDI 25 JANVIER 1933,
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du vendredi 13 Janvier 1933.
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il en venait, U en venait toujours.
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de voyageurs et trains de marchandises amenaient, sans répit, les foule® de pèlerins, avides dVssister à
cette apothéose unique dans les
annales de l'Histoire.
La veille d u grand jour, fendant
les nuées légères, dans l'air frais du
par
matin, ont vit apparaître une escadrille d'avions. A leur poupe, flotRené C A R D A U A G U E T
tant au gré d e 'leur course rapide, ils
arboraient le drapeau pontifical.
XXVI
Réfugié, - pendant la tourmente,
dans les forêts profondes du Congo,
LA FÊTE DE LA VICTOIRE
où il n'avait échappé aux bourreaux
Alain de Léon était mort. Marie que grâce au 'dévouement de® chréentrait an c o i m ' n t . Des rugissements tiens d e Sainte - Anne - des - Eshiras,
de joie, sortis des bas-fqn<ls .où se fidèles jusqu'au martyre, le pape
terraient Ici» dçrniers. bolçlH-Vistes, arrivait'. Il venait, accompagné de
explosèrent en un Irafeique' ecnieert toute sa cour, affirmer la force nou(l'iilléflresse. Alt ! ressaisir'le pouvoir, velle de la Chrétienté !
Il venait, et voici qu'à peine
faire revivre les ortfU's et le pillage,
reconvnienccr les tueries et ¡les tor- signalé, il vit, s'étençant d e tous
tures. Quel rêve ! Le génial inven- les points de l'horizon, des multituteur n'était plus, on. allait se venger ! des de navires aériens, en essaims
Des insurrections éclatèrent. Mais, ¡oyeux, se joindre au cortège triomtoujours alerté à temps, Hervé broya phai. Des landes de Grandchamp et
les révoltes. Le bolchevisnie ne fut de Lanvaux, des camps de Meucon
bientôt qu'un souvenir. On pouvait et (le Goëtquidan, des grèves de
désormais songer à fêter la victoire. Carnac et d'Erdeven, ils accouraient,
Or, pour convier les nations à une ailes rapides, tottant de vitesse avec
fête mondiale, la Bretagne ipouvait- les hydravions que Brest, Lorient et
eHe choisir mieux <jue Sainte-Anne- Quiberon abritaient dans leurs ports
(l'Aurny ? Moyses lui-même,
aux reconstruits.
jours de sa puissance, n'avait pas
Les foules acclamaient au passage
osé détruire la basilique.
le Sauvera la Pontife, dont le premier
Huit jours'avant la. date fixée, des geste, en atterrissant, fut d e remetfoules innombrables débarquaient <le tre à Pévêque de Quimper et de Léon
toutes parts. De Vannes à Lorient, <Ie les insignes du cardinalat.
— Mon fils, lui dit-il, au nom de
Haud à Ixicmiué, à Quiberon, villes
et bonr^iwles étaient prises d'assaut. l'Eglise, laissez-tmoi ainsi remercier
Dans les fermes et 'les granges, la celui dont les exemples et les exhorpaille, épandue en Ilots épais, rece- tations ont suscité des dévouements
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'l'Histoire. Et,nous le voulons, Monsieur le Cardinai-Evêque (le Quimper,
bénissez le mariage d'Hervé et
d'Anne de Léon'.' Cette joie vous est
due.
Au pied de l'autel de Sainte-Anne,
sous l'égide du pape, Anne d e Léon
et Hervé Pennarun échangèrent leurs
promesses et s'inclinèrent sous la
bénédiction de -celui qui avait béni
les 'derniers moments 'de leur père.
Seuls, les anciens, du Guiligui, compagnons des premiers jours, avaient
été admis à celle cérémonie familiale.
Veiis la basilique, 'le. lendemain, les
délégations de tous les pays du
monde s'empressaient. Toutes les
paroisses consacrées à Sainte-Anne
avaient tenu à envoyer des représentants à cette létp.
' Ilk éfaiefit 'là, 'àn tête, Irts1, robhstes
Bretons de Sainte-Anne-La-Palue et
(ie Sainte-Anne du P o r z i c ; ceux de
Sainte-Anne-die-Knicsirant et ceux de
Sainte-Annc-du-Guilvir.ec, vêtus des
vieux costumes aux broderies éclatantes, illuminant le miroitement des
velotirs sombres. Us étaient là, les
fidèles de Sainte-Anne-d'Apt, d'où le
culte (le la bonne Mère avait rayonné
sur toute la Gaule. Et, bravant les
fatigues et les dangers, ceux de
Sainte-Anne-du-Canada et de SainteAnnc-des-Eshiras étaient accourus
des pays lointains.
Les présidents des républiques,
les régents de«' royaumes libérés, les
rajahs de l'Inde, les vice-rois d'Asie,
entouraient Anne et Hervé, précédant
eux-mêmes la cour pontiflcallc, resplendissante sous les ors des dalmatiques, des chape» et des mitres.
Seuil, suivi d u cortège d'honneur
formé par les cinq cents du Guiligui,
Puis ce fut le rendez-vous autour
le pape passait lentement, précédé
à quelque pas par le cardinal-évèque du monument aux morts pour la
de Quimper et le cardinal-évèque de Patrie : souvenir des deux cent cinquante mille Bretons dont les poiSainte-Anne-dcs-Eshiras.
Lentement, le cortège pénétrait trines avaient, en 1914, présenté aux
dans le sanctuaire. Invisibilisés, les envahisseurs un lempart infranchisa n uns n'offraient plus aucun obstacle sable.
Le pontife suprême se recueillit un
à la vue ; et (les eidophones, des
haut - parleurs, des télécinéphones instant devant le mémorial élevé à
rendaient les cérémonies toutes pro- la gloire des héros ; et, gravissant
ches, même aux pays les plus loin- les marches d e 'la Scala Sancta
usées par la piété bretonne, il s'écria:
tains.
— Plutôt la mort que la souillure,
A l'arrivée du pape, les orgues
Bretons !
clamèrent la victoire de l'Eglise re®- disaient vos pères, ô
suscitée ; 'les trompettes d'or et d'ar Vous, les fils des Morvan, des I.ezgent lancèrent les fanfares triom- Breiz, d e s Noménoé, des Bichemont,
phales et des chœurs puissants firent des Guesclin, vous avez repris la
monter, vers l'immensité des cieux, vieille devise. Unis dans votre foi,
les cris de joie de l'humanité recon- vous avez libéré le monde, avec la
protection de sainte Anne, votre antinaissante.
Les voûtes, tout entières tapissées que patronne. Aussi est-il doux à
d'étendards et d'orillammes, frémis- Celui qui- est le père commun des
saient en ondes bruissantes ; lots peuple« de récompenser, au nom de
autels flamboyaient dans le brasil- la 'terre entière, les artisans de la
lement des cierges et l'antique statue victoire.
» Pape, nous voulons que cei!>ui
de sainte Anne, illuminée d e mille
feux, ruisselait de pierreries, envo- qui rénova, en ce lieu béni, le culte
yées par toutes les mines de dia- (le sainte Anne, soit honoré par tous
les catholiques. Nicolazic sera promianls du monde.
Tout garni de tentures blanches, clamé bienheureux. Nous le ferons,
le trône d u pontife à la triple cou- connue saint Yves, patron secondaire
ronne dcniwnait l'assistance, du côté de la Bretagne.
» Boi et représentant d u Conseil
d e l'Evangile, cependant qu'en face,
sous un dais de brocart lamé d'or dos Nations, nous exhortons les peu•et semé d e croix pourpres garnies ples à prêter serment de fidélité et
des
d'hermine, un, double fauteuil atten- d'assistance à Hervé, protecteur
Etats confédérés
du Vieux
Monde.
dait Anne et Hervé.
» Pol Salou, son vaillant second,
La cérémonie se dérotïla, impressionnante et 'grandiose, accompagnée sera désormais président de l'Action
par le chant des chœurs innombra- catholique universelle, secondé dans
bles massés dans ce coin béni où sa tâche par ceux qu'Alain d e Léon
jadis sainte Anne avait déchiré à .!. voulu récompenser lui-même avant
Nicolazic : « Ayez confiance I Vous de mourir...
verrez des signes en abondance, et
» Mes enfants, apprenez à vos fils
Paffluence de monde qui viendra en à bénir la mémoire d'Alain de Léon,
ces lieux m'honorer sera 'le plus dont la science et la foi vous ont
grand de tous. »
sauvés. Conservez le souvenir de
Marie, qui là-bas, près de SainteAnne-de-Jérusalem, continue à vous,
aider de ses prières. Bestez t o u j o u r s
fidèles à sainte Anne et à la Patrie.,
Aimez le Christ !• Soyez fidèles t .»
Par vagues formidables, la foule
acclamait, et quand se tut le successeur de Pierre, d e partout, irrésis>
tible, éclata un Credo enthousiaste,'
clamé par tant de coeuns passionnés.
Là-haut, dans 'le firmament éblouissant, les aviops sillonnaient la nuei
hirondelles de feu, annonciatrices
des temps heureux.
I>e monde, sans appréhension désormais, sentait son âme apaisée, son
cœur fortifié,. Partout, les brises du*
soir apportaient encore, aux pèlerins
attardés, des échos du Sao Rr,eiz-lzel,
du Bro Goz Vit Zadou (1), ou du
Credo
triomphal:
Bretagne avait ' vaincu l'Ënfér !
Bretagne vive à jaihais !
f ,
i(1). Lève-toi, Basse Brctngiiej Vieux pays
de n u s pires (Chants populaires bj-ctons).
FIN
1
.Sî
Le gérant : D. PLOUZENNEC.
Quimper, Imprimerie Cornouaillaiie.
Vendredi 20 Janvier 1933.
.li.
V
Paraissai t
leVENDRI DI
L e Numéi o :
L'Union
Centimi s
E T
L'ambition
a des yeux d'airain
que jamais
le sentiment
n'a rendus humides.
M A R I T I M E
Corentin Schiller.
Organe Républicain Démocratique et Régionaliste de l'Ouesl
•
ANNONCES ET RÉCLAMES
Réclames (4» page), la ligne. 1 fr.
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(3» page),
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LA
oim
SEMAINE
FÊTES
DE LA SKMAINK
« 22 S. V i n c e n t .
1 2 3 S. H n v m o n d .
•a 24 S . B n b y l n s .
25 S. Paul.
J' 2 6 S . P o l y c a r p c .
» 27 S. J u l i e n .
• 28 S . C h a r l e m a g n e .
SoLKlL
Pl. mer F'-touli
Ltïtf
Cotcb. Mat. S o i r
736
7 35
734
7 33
7 32
7 30
7 29
1G
16
16
16
16
16
16
30 » »> 1 2 1 »
31 0 5 5 13 30
3 3 2 02 14 31
34 2 58 15 2»
36 3 48 1 6 1 0
37 4 31 16 52
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COMPTE COURANT
Le Cabinet Boncour
et le plan financier
Au m o m e n t de f o r m e r son Cabinet, M. P a u l - B o n c o u r fit appel,
pour gérer les F i n a n c e s de la
France, à M. H e n r y Chéron, sénateur du Calvados."
Ce m a d r é N o r m a n d , disait-on,
a plus d ' u n t o u r d a n s son sac, et
il r é u s s i r a d ' u n e façon ou d ' u n e
a u t r e à m e t t r e de l'ordre d a n s la
maison.
L'élection
législative M. Chéron consulta tout d ' a b o r d
un comité d'experts
financiers,
oe
Seuils.
(fui, après toute une série de calVoici les résultats de l'élection
législative qui a eu ¡lieu, dimanche culs précis, v i n r e n t lui exposer
dun$ la 2* circonscription de Senlis le bilan : bilan peu brillant à la
In-serits, 15.484 ; votants, 12.678 vérité puisqu'il accuse un déficit
de dix milliards et demi.
suffrages exprimas, 12.543.
Ont obtenu : M. Uhry (soc. S. F. 1
P o u r rétablir la situation, les
O.), 5.038 voix ; Chauvel (ind. de r.) experts p r o p o s è r e n t un plan fi5.02J ; Vaillant-Couturier (conun.) nancier qui, c o u p a n t ¡a poire en
2.403 ; Gourmand (rép. ind.), 7».
deux, prévoyait plus de cinq milIl y a ballottage.
Il s'agissait de remplacer M. liards d'économies et à peu près
fiscaux,
Chauvel, républicain-socialiste indé u i t a n t d ' a m é n a g e m e n t s
bel e u p h é m i s m e qui ne t r o m p e
pendant, invalidé par >Ia Chambre.
On sait que les radicaux du Finis- plus p e r s o n n e et qui cache des
tère avaient voté comme un seu! i m p ô t s nouveaux, directs ou indihomme pour l'invalidation <le leui rects.
concitoyen.
Les économies à réaliser comGrève à
Dunkerque... p o r t a i e n t e n t r e a u t r e s une certaine r é d u c t i o n du t r a i t e m e n t des
Les dockers de Dunkerque se sonl fonctionnaires.
mis en grève pour une question de
Mais sa déclaration ministés ila ires.
Les maires des communes de rielle, M. P a u l - B o n c o u r avait netl'agglomération ayant proposé, par tement spécifié qu'il voulait acun arrêté, un salaire journalier dr croître l ' a u t o r i t é de l'Etat en fai39 francs, les dockers ont accepti sant appel à !a collaboration effecat le travail a repris.
tive des services publics, des pro...et lock-out au
Havre. d u c t e u r s et des usagers ; aussi les
s y n d i c a t s de f o n c t i o n n a i r e s n ' o n t
Après une grève do trois semaines, pas hésité un seul i n s t a n t p o u r
les ouvriers du port d u Havre
avaient repris le travail, il y a un faire e n t e n d r e l e u r s p r o t e s t a t i o n s
mois environ, sans avoir obtenu et leurs menaces.
•satisfaction.
Ils ont envoyé u n e délégation à
Mais ils montrèrent une mauvaise la présidence du Conseil, p o u r dévolonté évidente, et l'Union des Km- clarer qu'ils n ' a c c e p t e r a i e n t a u ip'oyeurs de main-d'œuvre a décidé cune r é d u c t i o n de t r a i t e m e n t , a u <ie licencier les dockers pour trois
jours, du vendredi 13 au mardi 17 cune d i m i n u t i o n de leurs m o y e n s
d'existence.
J-invier.
E t M. H e n r y Chéron, qui, en
2.000 ouvriers journaliers ont été
s o u m e t t a n t à ses collègues d u Catouchés.
La question de la semaine binet le plan des experts, avait
déclaré c a t é g o r i q u e m e n t qu'il le
de quarante
heures
faisait sien, et qu'il n ' a d m e t t r a i t
à Genève
pas q u ' o n y t o u c h â t , s'est emA Genève ont commencé les tra- pressé de renier sa parole.
vaux de la Conférence dite des quaLe p r e m i e r plan a été tellement
rante heures. On sait que le Bureau
international du travail propose la r e m a n i é q u e les experts a u r a i e n t
semaine de quarante heures, au lieu s a n s d o u t e mille peines à reconde quarante-huit, afin de donner de n a î t r e leur e n f a n t . Un effort conl'occupation à un grand nombre de sidérable a été accompli pour renchômeurs. I>es opinions sont très dre m o i n s sensible a u x fonctiondivisées à cet égard, tant dans les
milieux gouvernementaux et patro- naires le sacrifice qui leur était
naux que dans les milieux ouvriers. d e m a n d é .
Ce n-'était pas s u f f i s a n t cepen" L'Arc-en-Ciel
"
d a n t , et les f o n c t i o n n a i r e s ont déa traversé
l'Atlantique claré tout net q u ' i l s n'accepteL'avion trimoteur Arc - en - Ciel, raient a b s o l u m e n t a u c u n e réducparti d'Istres, est arrivé à Natal tion à leurs t r a i t e m e n t s , i n d e m n i (Brésil), après avoir fait escale il tés ou r e t r a i t e s .
Saint-Louis du SénégaJ.
Et c o m m e M. P a u l - B o n c o u r fai11 a pris son vol à Saint-Louis
lundi 16 Janvier, à 5 h. 48, et atterri sait mine de passer o u t r e à l e u r s
à Natal, à 19 h. 18. Il a tlonc accom- exigences, les délégués des foncpli le trajet d e 3.200 kilomètres en tionnaires ont r o m p u les p o u r p a r 13 h. 30, soit à une vitesse <ie 237 lers, en f a i s a n t e n t e n d r e les plus
kilomètres à l'heure, ce qui consti- graves menaces.
tue un record, les moyennes réalisées
Le p r é s i d e n t du Conseil, qui,
précédemment étant nettement infé- dès le p r e m i e r jour de son minisrieures à 200 kilomètres.
tère, avait tenu à p r o c l a m e r sa foi
L'équipage était composé du pilote syndicaliste, hésita et p r o c l a m a
Jean Mermoz, du capitaine navigateur MaïMoux, de M. Cou/.inet, cons- qu'il d é f e n d r a i t les i n t é r ê t s du
tructeur de l'appareil, du capitaine p a y s a v a n t les i n t é r ê t s p a r t i c u Chrretior, second pilote, du mécani- liers, m a i s que c e p e n d a n t il conticien Jousse et du radiotélégraphiste n u e r a i t à négocier avec les déléManuel.
. ..
gués des services publics. ComAu pays de lor... p r e n n e qui p o u r r a !
et des
faillites
Il a eu soin d ' a j o u t e r , il est
Le nombre des faillites aux Etats- vrai, que les textes qui seront
Unis en 1932 a été supérieur à celui s o u m i s a u P a r l e m e n t s e r o n t à
de 1931. On note cependant une dessein assez vagues et assez géamélioration sensible pour les six n é r a u x pour ([ne celui-ci puisse
derniers mois de l'année.
d o n n e r satisfaction a u x intéressés.
Le total des faillites pour 1932 se
D'où nous p o u v o n s conclure
micnte à 31.950 contre 28.285 en 1931. que le g o u v e r n e m e n t défend en
principe les i n t é r ê t s du pays, m a i s
Tokio
se méfie de Moscou q u ' e n réalité il ne s'oppose pas à
ce q u ' u n e catégorie de citoyens
I>e Japon ne négociera pas un é c h a p p e à ia g r a n d e pénitence
pacte de non-agression avec la Russie, parce que tout démontre que, com m une.
M. P a u l - B o n c o u r espère pouvoir
sous des assurances de paix, les
Soviets préparent la guerre, a dit un ainsi prolonger la vie de son Caporte - parole du gouvernement de binet. Au lieu de songer à la
Tokio.
F r a n c e , il songe à son ministère.
Un village
révolté
Il est un fait certain, en e f f e t ,
pris d'assaut, en
Espagne. que s'il ne d o n n e pas satisfaction
Le mouvement extrémiste continue a u x f o n c t i o n n a i r e s , il ne devra
en Espagne, en particulier dans la pas c o m p t e r s u r les voix socialistes ; or il sait, par l'expérience
région de Cadix.
Dans le village d e Casas Viejas, les que vient d'en faire M. Herriot, ce
révoltée qui s'étaient emparés du qu'il en coûte de s'attirer l'hostivillage, se sont réfugiés dans une lité des socialistes : ce serait la
maison pour résister à la force pu- c h u t e fatale, l a m e n t a b l e .
blique qui voulait rétablir l'ordre.
Il f e r a donc ce qu'il p o u r r a , ce
Un garde civil, blessé par les manifestants, est tombé entre les mains qu'il f a u d r a pour d o n n e r satisfacde ces d e r n iers et a été menacé d e tion aux syndicalistes et pour que
jnort. t e garde ayant conservé «ion les socialistes p u i s s e n t voter p o u r
revolver, a pu se défendre jusqu'à la lui.
.erniètè m/inute. Les gardes d'assaut
La c a p i t u l a t i o n ministérielle ne
et les iflrdes civils ont été obligés de
détruit* lu m a i s o n à c o u p s do «re- fera q u ' e n c o u r a g e r la résistance
nades jour se rendre maîtres de la des agents de 1 E t a t . L e u r c h a n situât¡«1. Dix-neuf révoltés ont été tage a y a n t réussi, ils s e r o n t tout
tués, cinq gardiw d e police ont été disposes il c o n t i n u e r ; et puis
blessés çt un tué. 11 y aurait 25 bles- q u ' o n les laisse faire, ils a u r a i e n t
6és du >tôté des révoltés.
tort de se gêner.
CE OUI SE PASSE
à
COMMUNICATIONS ET ANNONCES
i.
'
Q U I M P E R L E , 1 8 , qnai B r i z e n x — T é l . 1 - 4 9
Dans sa déclaration ministérielle, M. P a u l - B o n c o u r disait que
le p r e m i e r point, le point principal de son p r o g r a m m e consisterait à accroître 1 a u t o r i t é de l'Etat.
Avouons que c o m m e , réalisation,
c'est p a r f a i t ! !
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Finistère, Côtes-du-Nord, Morb. 1 2 f r .
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leurs discours et dans leurs écrits,
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pour la maison « France ». Il semble
en effet absolument
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aujourd'hui de totfter, sur tous let
terrains, contre 19~concurr,ence que
nous font partout le* autres nations
et encore plus, indispensable
d'anni
hiler.la propagande à rebours, le dénigrement, dont nous sommes l'objet et ta victime dans certains pays
Or, est-il meilleure
propagande
que celle qui est faite à l'école, que
celle qui consisté à inculquer aux
enfants, en même temps que les lettres et les sciences, l'amour du beau
pays de France ?
Cette propagande, des hommes et
des femmes, désintéressés,
l'accomplissent humblement,
modestement
haque jour : ce sont nos religieux
et religieuses.
Pour toute récompense, nos gouvernements'
daignent
parfois
les
admirer, les décorer ; quant à les
vider ? Il n'en est pas question : ce
serait un crime de lèse-laïcité.
Iii.cn au contraire, on tarit volontairement la source de tant de services, de tant de bienfaits, en interdisant aux ordres religieux de s>
;rcruter chez nouq. D'autres pays ci
orofitent, mais tant pis ! Vive tou
¡ours la République laïque !
Notre confrère Jeun-Elysée
Servi
gne montre comment
on démolit
sottement
la propagande
française
de nos religieux.^x^
^
v. ;
A
Mais si les f o n c t i o n n a i r e s obtiennent satisfaction et réussissent
ii éviter les sacrifices q u ' o n leur
d e m a n d e , il r e s t e r a p l u s d ' u n milliard à chercher ailleurs. Il f a u d r a
que d ' a u t r e s se sacrifient à leur
place.
Les c o n t r i b u a b l e s ont été inscrits d'office p o u r cinq m i l l i a r d s
et demi. On ne leur a pas d e m a n d é
leur avis, à eux. On a c o n s u l t é les
payés, m a i s p a s les p a y a n t s !
Gageons q u ' o n t r o u v e r a encore
le moyen d'inventer des « a m é n a g e m e n t s fiscaux » s u p p l é m e n t a i res q u ' o n j e t t e r a encore s u r les
épaules des contribuables.
Beste à savoir si les c o n t r i b u a bles se laisseront t o n d r e encore
de plus près. La toison est d é j à
c o m p l è t e m e n t enlevée, le j o u r où
l'on touchera à la p e a u , ils pourraient se m e t t r e à crier et peutêtre m ê m e à m o r d r e .
Déjà, ils laissent e n t e n d r e q u ' i l s
n ' a c c e p t e r o n t pas de payer un sou
de p l u s d ' i m p ô t s .
Une grève des services publics
serait grave, la grève de l'impôt
serait bien plus grave encore.
Le Cabinet P a u l - B o n c o u r est
pris e n t r e l ' e n c l u m e et le m a r teau ; n o u s ne voyons p a s comm e n t il p o u r r a s'en sortir.
A son retour de mission en AméJ . G.
rique latine, Raoul Fo'Mereau tentait
l'an dernier, d'alerter le Gouvernement français en lui montrant quel
M. Chéron a déposé, mardi, ses nombre imposant de propagandisprojets sur le bureau de la Chambre. tes désintéressés il sacrifie de façon
L'exposé des projets financiers est irrémédiable à une loi stupide et
précédé par un résumé du rapport oérimée, qui s'avère de plus en plus
des experts qui donne notamment une loi de trahison. Il lançait ce cri
¡es prévisions suivantes pour 1933 : d'alarme : « Ignorés, oubliés, sans
Recettes
41.497 millions secours que des subventions rares e1
Dépenses
52.038
—
dérisoires, condamnés à s'éteindre,
Déficit
10.541
—
de misérables lois politiques ayan!
En face de ce déficit, le Gouverne- assassiné leurs nids, les collèges des
religieux français en Amérique périment propose :
Economie,s
5.326 millions clitent et meurent... »
Or, là-bas, la France c'est eux, ce
Aménagements . . . .
5.453
—•
n'est qu'eux, sauf la merveilleuse
exception qu'est « l'Alliance FranTotal
:
10.779
—
çaise de Ruenos-Ayres, le Lycée
Excédent sur délie.
238
—
français de Montevideo et quelques
Les principales mesures envisa- autres ».
gées sont :
ECONOMIES
Sur les territoires d e la lointaine
— Suppression de la pension aux France, comme à l'étranger, ils bénéveuves de guerre remariées.
ficient, de la part de notre Gouver— Recul à 55 et 60 ans d e l'âge nement, de même injurieuse et cride la Retraite du Combattant.
minelle indifférence. Le dernier
— Prélèvement, en 1933, de 2 à Bulletin
des Ecoles
Chrétiennes
10 % sur les traitements des fonc- publie un historique fort instructif
tionnaires, avec dégrèvements jus- de l'oeuvre accompli«" en1 Tunisie
qu'à 12.000 francs.
par les disciples de saint Jean-Baptiste de la Salle, véritable fondateur
AMÉNAGEMENTS
de l'école prinvaire au dix-septième
— 5 Vc d e majoration sur tous les siècle et des systèmes pédagogiques
impôts directs.
utilisés depuis par nos Gouverne— Taxe sur les licences d'imtpor- ments.
tation.
Depuis 1855, c'est-à-dire plus de
— Contribution sur les gros trai- vingt-cinq ans avant l'établissement
tements privés.
de notre protectorat sur la Tunisie,
— Relèvement de 0 fr. 14 de la ces maîtres admirables travaillaient
taxe sur le litre d'essence.
là-bas à inculquer les principes, les
sentiments français à des enfants de
A
tout âge, de toute race, de toute reli— Loterie nationale au profit des gion. Sait-on bien cela en France ?
A. C.
Et le Bulletin déclare :
— Suppression d'emplois et réorganisation administrative.
« Depuis que 'les Frères exerçaient
— Lutte contre la vie chère
dans la régence de Tunis, ils
— Protection de l'épargne.
n'avaient cessé d'être protégés pâl—• Lutte contre les fraudeurs et ies autorités 'locales et universelleleurs complices.
•nient respectés d'une population
très diverse mais unanime à reconimimiiiiiiiiiiiiiiiiiimiMimimmiiiiiiiiiii naître'leurs lions offices ».
Quand la France s'installa en
Tunisie, les Frères enseignaient à
quatre cent cinquante-six élèves.
Aujourd'hui, c'est-à-dire 50 ans
après, ils en ont cinq cents seulement, mais l'on sait que, disposant
Au collège. Ce locaux plus vastes et d'un personLa mère. — Comment, tu es rentré nel plus nombreux (ils ne sont que
au 'collège il y a à peine huit jours douze), Ms pourraient .tripler du jour
et déjà tu te dis malade... Voyons, au lendemain lqur/upopulation scolaire; tant est' gitwnte l'estime dont
dis-mois ce que tu éprouves ?
jouissent dans tous les milieux
Lui. — Le médecin a dit que ils
tunisiens. Pourquoi ne peuvent-ils
c'était des douleurs d'interne !...
le faire? Parce qu'il existe chez
une loi anti-française, qu'auAu garage nous
cun Gouvernement, même se réclaLe motocycliste. — Quand je vous mant le plus ostensiblement d e l'idée
ai acheté cet engin, vous vous êtes nationale, n'a jamais osé effacer du
engagé à remplacer tout ce qui tableau de notre histoire une loi qui.
s'abîmerait au cours des six premier; il v a bientôt trente ans, chassa les
Frères de l'école qui leur avait été.
•mois '?
donnée par un musulman qui admiLe garagiste. — Parfaitement.
rait leur dévouement.
S'ils sont
Le motocycliste. — Eli bien ! il encore en Tunisie, c'est par la force
nie faut trois nouvelles côtes et sept de leur foi, et s'ils continuent à nous
nouvelles dents !
servir, c'est grâce à leur énergique
et étonnante volonté de rester FranDécoupé dans un journal. çais malgré 1n France.
Crime mystérieux. — Dans le parc
JEAN-ELYSÉK S E R V I G N E .
du Château d'Azay, on a trouvé un
cadavre de sexe Indéterminé, don!
les bras étaient muets d'horreur. La
Lire, en quatrième
page,
mort, provoquée par trois coups de
couteau tirés à bout portant, avait notre
nouveau
feuilleton
:
lt crime pour mobile. On a retrouvéla clé de la grille ; on cherche celle
Le Dernier des Flibustiers
de 'l'énigme.
Le Mot pour Rire
Les abonnements se paient d'avance et
partent du 1" de chaque mois.
1 4 fr.
Un rocher se détache
d'un coteau.
Trois maisons écrasées.
Trois morts et cinq blessés.
A Rochecorbon, près de Tcurs, une
cota-strophe vient d e se produire.
Vers 11 h. 30, lundi, un énorme
rocher du coteau -s'est détaché soudainement, écrasant trois maisons.
Les secours s'organisèrent aussitôt
avec la collaboration des voisins, et
celle des pompiers de Tours et des
communes proches. On ne put empêcher l'une des maisons, qui avait
pris feu, d'être complètement détruite.
On dégagea, après de très laborieux efforts, les victime». Il y avait
trois imwrts et cinq blessés.
Un ingénieur des mines avait
signale le danger d'im ébouïement,"
il y a quelques jours, et conseillé
d'évacuer les demeures.
Un autre pan du coteau rocheux
menace de s'écrouler d'un moment
à l'autre. Des mesures sont prises
Le Racing-Club de Paris bat l'Olympique de Marseille par 3 buis à 1. pour éviter cette fois qu'il y ait des
Diagne, gardien du Racing, en danger par Boijer, avant-centre de Marseille. victimes.
Le froid et la neige.
CLICBÎ « CKLLOIT » PARIS
Succédant au temps doux, ' une
vaque de froid s'est abattue sur la
France, -l'Allemagne, l'Espagne et la
LA
POLITIQUE A
DU
BON
Roumanie.
Deux hommies sont morts de congestion à Montluçon et à Moulins.
On a enregistré —8° à Aix-cn-Provence. —9° dans la Meuse, où le canal de la Marne au Rhin est gelé,
—12° dans la région de Reims,
—15° à Vitrv-le-François.
En Allemagne, la température a variée entre 12 et 18 degrés au-deseous
de zéro ; en Espagne, on a enregistré
iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin
-11*.
HIER, COCHER DE FIACRE
AUJOURD'HUI. MULTIMILLIONNAIRE
Qui d o n c disait, un j o u r , q u e « j'ai r e c o n n u u n h o m m e en qui
le « métier » de d é p u t é n'était « j'ai eu confiance, p o u r qui j'ai
guère enviable et qu'il ne p a y a i t « voté bien souvent, qui, il y a
pas son h o m m e ?
« q u e l q u e vingt ans, était aussi
Nul n'ignore é v i d e m m e n t que « p u r é e q u e vous et moi, le ciles p a r l e m e n t a i r e s sont a s t r e i n t s « toyen Fiancelte, d é p u t é du 10"
à- u n travail h a r a s s a n t ! qu'ils « a r r o n d i s s e m e n t .
s o n t l i t t é r a l e m e n t s u r m e n é s . Ifs
« C o m m e n t cet ancien cocher de
reçoivent c h a q u e j o u r des m o n t a - « fiacre a-t-il pu « gagner » les
gnes de c o r r e s p o n d a n c e s , consis- « millions avec lesquels il a acheté
tent, en g r a n d e m a j o r i t é , en de 4 le C h a m p du Guet, c'est là u n
p r e s s a n t e s sollicitations de leurs « des m y s t è r e s de la politique
électeurs, d e m a n d e s de subven- « S. F . I. O. ».
tions, de dégrèvements, de buLe c a m a r a d e F i a n c e t t e n'est
reaux de tabacs, etc., etc...
pas une exception ; il est bien
Ils sont en o u t r e t e n u s — oh ! d ' a u t r e s « d a m n é s de la terre »,
une obligation morale s e u l e m e n t ! d ' a u t r e s « f o r ç a t s de la f a i m »,
d'assister aux séances de la dont la politique a f a i t des bourC h a m b r e et d u Sénat.
geois bien rentés. Nous citions
P o u r ce travail (l'Hercule, ils l ' a u t r e j o u r le cas d u citoyen
recevaient a u t r e f o i s le m o d e s t e Compère-Morel, p r o p r i é t a i r e d ' u n
t r a i t e m e n t de 45.000 f r a n c s , som- d o m a i n e r u r a l , à Remoulins, sur
me m a n i f e s t e m e n t i n s u f f i s a n t e ' le Gardon, d ' u n hôtel à P a r i s , r u e
P o u r pouvoir d e m e u r e r h o n n ê t e s du B a n q u i e r , d ' u n e a u t o m o b i l e de
et i n c o r r u p t i b l e s , n o u s disait-on, luxe et de g r a n d s r e s t a u r a n t s .
les p a r l e m e n t a i r e s d e v r a i e n t touP l u s p r è s de nous, le citoyen
cher au m o i n s des é m o l u m e n t s de Emile Coude, d é p u t é de Brest,
00.000 f r a n c s .
passe u n e partie de ses vacances
Et ils se las sont octroyés d ' u n à tailler ses rosiers, d a n s une jolie
accord p r e s q u e u n a n i m e , avec p r o p r i é t é d'HIe-et-Vilaine. E t nul
tous les a v a n t a g e s i n h é r e n t s à la n'ignore que pas mal d ' o u v r i e r s
fonction de d é p u t é ou de séna- brestois et m ê m e de « m a u d i t s
teur : buvette g r a t u i t e , t i m b r e s bourgeois » p a y e n t c h a q u e a n n é e
non m o i n s g r a t u i t s , voyages à leur loyer a u c a m a r a d e Goude,
l'oeil, etc...
devenu gros proprio.
D ' a u t r e p a r t , q u a n d l'ingratiP e r s o n n e mieux q u e ces collect u d e ou l ' i m p e r t i n e n c e des élec- tivistes ne s'entend à s ' a p p r o p r i e r
teurs les descend du Capitole et un capital i n t é r e s s a n t et à en
les précipite du h a u t de la roche jouir, n a t u r e l l e m e n t s a n s le partarpéienne, .;es messieurs n ' o n t tager avec la collectivité.
pas à c r a i n l r e la misère : une
Cela ne les e m p ê c h e r a pas de
bonne r e t r a i t e est prévue et par- dénoncer
« ce ' c h a n c r e social
fois il vient s'y a d j o i n d r e q u e l q u e qu'est la bourgeoisie d ' a f f a i r e s »
agréable sinécure, que p l u s i e u r s et de t o n n e r c o n t r e tous « ces rep o u r r a i e n t envier p a r ces t e m p s quins, qui sont la h o n t e d ' u n réde c h ô m a g e :
gime d é m o c r a t i q u e ».
M. Bouilloux-Lafont, à qui les
Sinistre comédie !
électeurs q u i m p é r o i s ont p r é f é r é
JEAN L E G A L L .
M. P o u c h u s , est n o m m é m i n i s t r e
immimiiiiiiiimiimiiiiiiiiiiiiiimiiiiiimi
d ' E t a t à Monaco ;
M. P i q u e m a l , d é p u t é c o m m u niste blackboulé, est n o m m é percepteur h o r s classe ;
M. Antone'li, d é p u t é S. F. I. O.
blackboulé, est
pourvu
d'une
Un avion tombe
chaire, créée pour lui, a u x Arts et
de
9.000 mètres.
Métiers ;
Au cours d'un essai, l'aviateur
M. Georges ( R i c h a r d ) , d é p u t é
S. F . I. O. blackboulé, est n o m m é Morin a réussi à atteindre une hautrésorier-payeur de la Côte f r a n - ti ur de 9.000 mètres, en 10 minutes,
mais soudain l'avion est venu s'éçaise des Somalis, etc...
craser au sol, près de La Baule.
D'ailleurs, p e n d a n t la d u r é e de
Le pilote avait été frappé 'de con
leur m a n d a t , d é p u t é s et s é n a t e u r s gestion p a r suite de la température
doivent s a n s d o u t e bénéficier — rigoureuse régnant à cette altitude
en dehors dt-s a v a n t a g e s énoncés (—43").
Il a été tué sur le coup.
plus h a u t — de multiples « àcôtés » f o r t i n t é r e s s a n t s , m a i s
Un voyage aérien
ignorés du g r a n d public ; car on
de 50.000 kilomètres.
ne s'expliquerait pas a u t r e m e n t
L'aviateur Moeneh qui réalisa les
les f o r t u n e s r a p i d e s réalisées p a r
raids Paris-Tpkio-Paris et Paris-Mac e r t a i n s élus
dagascàr-Parîs, va tenter le mois
Notre c o n f r è r e , le
Travailleur prochain un nouveau voyage aérien
communiste,
n o u s cite un cas qui de grande envergure : 50.000 kilomérite d'être c o n n u ; il s'agit d ' u n mètres environ.
d é p u t é de P a r i s qui a acquis, l'an
Partant du liourget, il compte pasdernier, le C h a m p du Guet, d a n s ser par Dakar, puis faire le tour de
l'Yonne. Le C h a m p d u Guet est l'Amérique du Sud, d e l'Amérique
une p r o p r i é t é m a g n i f i q u e de 200 Centrale et de l'Amérique du Nor
hectares, avec c h â t e a u , p a r c et et enfin regagner Paris par Yokolu
s t a t u e s de g r a n d prix, à trois ki- ma et Tokio.
Il cr.nipte traverser
l'Atlantique
lomètres de Villeneuve-sur-Yonne,
et
le
Pacifique
en
bateau.
« v a l a n t peut-être 2 millions, si
ce n'est plus ». E t le n a r r a t e u r
Sans nouvelles
commente :
do Berth Hinkler
« Quel est donc le Crésus qui,
L'aviateur australien Bert Hinklei
« par ces t e m p s de crise, peut s'était e n v o l é , le 7 J a n v i e r , d e l'ac
« s'offrir un tel luxe ? — L'été redrome de Fiilham pour tenter le
« dernier, j'ai eu l'occasion de raid Angleterre-Australie. On n'en a
aucune nouvelle depuis son dé
« me t r o u v e r nez à nez avec ce eu
part, et l'on suppose qu'il a dû toni
« Seigneur. Et moi. vieil h a b i t u é ber dans les Alpes. Le capitaine Hope
« des meetings socirlistes d u 19", est parti à sa recherche.
u m
m m m
En Roumanie, le Danube charrie
des glaçons. Dans aine forêt, près d e
Bamnic-Sarat,
quatorze
paysans,
surpris p a r la neige, au retour des
Kecticns départementales, ont été
irouvés morts;
Un village attaqué
_ par des fourmis blanches.
Les maisons du village de la Mottede-Mont, près de Coutras, sont attaquées p a r une espèce de termites ap'.elés conwiiunément fourmis, blanches. Ces -habitations ofttj tellement
souffert dans leur oeuvres vives que
les poutres maîtresses, les soliyes et
les planchers ne rsont plus qu'iin labyrinthe de galeries innombrables,
creusées par ces insectes qu'il a été
impossible de combattre efficacement.
Les habitants en sont réduits à envisager l'évacuation de leurs demeures sous peine d'être, un jour
nrochain, peut-être victimes d'un effondrement.
iiMiiiiiuiimiiiiiiiiiiimiiiimiiiiiiimiiiiit
APRÈS L'INCENDIE
de " L'ATLANTIQUE "
Uu pasteur de Duisbourg
fait une troublante
déclaration
L'enquête judiciaire ouverte sur
les circonstances du sinistre qui
ravagea « l'Atlantique » n'a point
tn-core donné ses résultats positifs.
Pendant que policiers et experts se
penchent attentivement sur la carcasse noircie des cabines où le feu
prit naissance, la première fois à
4 heures moins 5 du matin, puis à
(> heures moins 20, les commentaires
vont leur train tant en France qu'à
l'étranger.
C'est ainsi qu'un officier a fait aux
enquêteurs une troublante déclaration.
Une tierce personne lui aurait
répété le récit fait à Duisbourg, en
Allemagne, par un pasteur protestant.
Ce pasteur se trouvait dans une
luelle de la ville se promenant,
musardant, lorsqu'il rencontra deux
hommes qui s'exprimaient en français. L'un d'eux disait à l'autre :
« Le paquebot brûle. Ils ne le sauveront pas. Passé la frontière, aucun
danger d'être arrêté. » L'homme qui
venait de prononcer ces mystérieuses paroles aurait alors remis à l'autre, une liasse d e billets de banque,
puis s'étant aperçu que leur conversation avait été entendue par le pasteur qui semblait même y prêter
beaucoup d'attention, les deux individus se mirent à s'exprimer en
langue slave. A la suite de cette déposition et en attendant que le récit
du pasteur soit confirmé, la Sûreté
générale a été avisée.
Une lettre anonyme de menaces
serait parvenue è Bordeaux
D'autre part, l'enquête centralisée
à Bordeaux sur la destruction de
F « Atlantique » semble réserver
des surprises. Des faits particulièrement troublants sont parvenus à la
connaissance des enquêteurs. Le
lundi précédant le départ de l'Atlantique 'de Pauillac, un chauffeur de
laxi aurait conduit de Bordeaux à
Pauillac un individu qui, porteur
d'un paquet, serait monté à bord et
redescendu vingt minutes après les
mains vides. Cette histoire n'aurait
rien d'extraordinaire en eile-mêm-e
si l'on ne savait aujourd'hui que M.
tle Bouraync, administrateur en chef
de la Marine a reçu le lendemain
une lettre anonyme dans laquelle on
annonçait que 1' «Atlantique » allait
brûler au cours de son voyage vers
Le Havre.
à
Q U I M P —E R L ÉT ' S
NOS I M P O R T A T I O N S DE B L É S É T R A N G E R S
> journal d e Mme I-Ian-au, qui ont
Caisse nationale
mcé contre moi cette calomnie.
des r e t r a i t e s p o u r la vieillesse.
Mon nom n'a pas été prononcé ù
Il est accordé, au titre de l'année
la Chambre par l'interpellateur, M.
Certaines statistiques publiées réorai-re, représentent en moyenne budgétaire 1932, à certaines catégoAlbertin, et pour cause : il savait à
cemment sur les importations de non pas 20 millions de
uuintaux. ries de petits pensionnés de la
quoi s'en tenir.
8.897.000 quin- Caisse Nationale des Retraites pour
Je jie ligure ni ne puis figurer dans biés ont donné lieu ù des Interpréta- mais effectivement
la Vieillesse, d e Sociétés d e Secours
inexactes. Les eominientaires taux par an.
cette liste. Je ne connaissais pus tions
CERCLE
U N P O M P I E R BLESSÉ A U COURS
Mutuels et d'autres Sociétés d e
tendent
ù
prouver
que
nos
importamême de nom lu Banque commer2° En ce qui concerne les impor- secours et de prévoyance, des majo- D ' E T U D E S
I N T E R P A R O I S S I A L D ' U N I N C E N D I E . — Vers 16 h. 30,
tions
de
blés
étrangers
ont
été,
au
ciale d e Bille, ni ne savais qu'elle
tations de 1932, il est nécessaire nie rations et bonifications spéciales, eh
dimanche, la population
quimperProtestation
On nous communique
:
eût une succursale ù Paris. Mon -cours de ces dernières années, d e appeler qu'en "vertu du décret du
loisc fut soudain alertée par le, claiapplication des lois des 31 Décembre
D
e
p
u
i
s
plusieurs
années,
l
'
U
'ordre
de
20
millions
d
e
quintaux
de Son Exc. Mgr Baudrillart
ince avoir personnel el celui de
0 Novembre 1931, les entrées de .1895, 30 Décembre 1928 et 31 Mars
nion c a t h o l i q u e est o r g a n i s é e à ron et le tambour. Le bruit courait
'Institut Catholique sont dans îles par an en moyenne, qu'en 1932, no- blés étrangers pour la consommaqu'un important incendie venait de
1932.
tamment,
jusqu'au
1"
Août,
ces
imQ u i m p e r l é . T o u s en o n t c o m p r i s
établissements île crédit français el
lion ne peuvent avoir lieu sans per-déclarer dans la f e r m e exploitée
Les
deniiandcs
devront
être
pro
portations
ont
été
très
considérables
Nous sommes heureux de repro- la-risiens.
,
mis d'importation délivrés par le du ¡tes à la mairie d e la résidence ' i nécessité, p a r c e q u ' i l s savent par les époux Flairés, située à Kcel
supérieures
aux
besoins,
enfin
que
duire la vigoureuse protestation que
J'ai poussé jusqu'au scrupule la
q u e l ' u n i o n est ie g r a n d m o y e n
Ministre d e l'Agriculture. Ces permis le 20 Mars 1933, au plus tard.
nsquer, à proximité de la route
mouvement des entrées d<> bléis d'importation
Mur Baudrillart a fuit paraître dans déclaration de mes revenus.
ne sont
-attribués
n" 165, -conduisant de
de d é f e n d r e et de p r o m o u v o i r n o s nationale
Les
formules
de
demandas
mises
le Figaro
du
Septembre, à l'ocQuant à votre seconde accusation, exoti-nues se poursuit encore actuel- qu'aiix meuniers et négociants souQuimperlé à Lorient.
i
n
t
é
r
ê
t
s
les
plus
chers.
à
la
disposition
des
postulants
conment à une cadence très nmide.
casion d'un judicieux article de M. i elle de m'être réjoui de la guerre
m i « au contrôle des fonctionnaires
Les p o m p i e r s se dirigèrent imméLes chiffres nubliés ne reflètent du Ministère d e l'Agriculture. L'orga- tiennent l'Indication des conditions
Jacques Ditte, publié le 26 dans ce l'y ai déjà répondu un grand nombre
M a i s plusieurs r e g r e t t e n t q u e diatement sur .les lieux -du sinistre.
journal. Elle réduit à néant lu ca- de fois. La lettre que les journaux pas exactement les importations de nisation du comité des permis d ' i m - requises pour avoir droit à une l ' o c c a s i o n ne leur soit plus o f f e r t e
Il ne s'agissait heureusement que
et calculée » de votre parti publient périodique blés étrangers du fait que des con- portation permet de suivre, avec la majoration ainsi que nomenclature
lomnie « volontaire
de se r e n c o n t r e r plus s o u v e n t , 'un simple feu d-e cheminée qui fut
•dent Mgr Baudrillart avait été l'objet. ment el qui est datée du 14 Août fusions se sont produites entre des collaboration de l'Administration des des pièces qui doivent accompagner
afin de s ' e n t r e t e n i r sur les q u e s - rapidement maîtrisé. Les dégâts males -demandes.
1911 fait partie d'une série publiée importations de blés de nature et Douanes, au jour le jour, le 'mouvetériels sont insignifiants.
tions essentielles q u i sont à la
Paris, 26 Décembre 1932.
de
provenance
différentes.
alors par le Petit Parisien et exprime
ment de ces entrées.
Malheureusement,
un accident
base
de
l
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C'est
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importe,
en
effet,
d
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distinguer
Monsieur,
ma satisfaction de l'entrée d e nos
ÎSSCZ grave se produisit, dont fut
O
s
relevés
journaliers
indiquent,
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à
ce
désir
q
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les
les
importations
d
e
blés
tendres
et
J'ai lu avec intérêt l'article si troupes en Alsace et de la déclaration
victime M. Yves Limantour, sergent
le tableau
C o m i t é s des U n i o n s p a r o i s s i a l e s pompier.
juste que vous avez publié dans Fi- oar le tsar ile l'autonomie de la les importations de blés durs desti ainsi qu'il apparaît dans
r Janvier au 1
ci-dessous,
que
d-u
l"
r.ês
à
la
fabrication
d
e
s
semoules
et
garo 'de ce matin 26 Décembre, sous Pologne.
o n t d é c i d é c!c créer à Q u i m p e r l é
M. Limantour et un autre pompiep
Pour
les uns Août 1932, le® entrées d e blés étrance titre: « L'affaire
des frtauies fisQuant à être resté au coin de mon pâtes alimentaires.
un g r o u p e q u i existe d e p u i s l o n g - montaient sur le toit pour arrose^la
gers
ont
atteint
10.380.307
quintaux
comme
pour
les
autres,
il
faut
faire
M. Paui-Boncour est un homme à
cales et ses méfaits ».
feu pendant la guerre, chacun peut
cheminée quand soudain l'échelle -se
nr rapport à une consommation prétentions et son Ministère est pa- t e m p s dans p l u s i e u r s autres v i l Vous 'le demandez avec raison
savoir que je n'ai pas cessé ou de. la -discrimination, entre les blés imles : un Cercle d'études
d'hommes brisa en deux. M. Limantour fat préévaluée approximativement à 6 milportés
pour
la
consommation
directe
reillement prétentieux. L e Président
quelle réparation vu leur être accor soigner nos blessés vu d e parcourir
cipité dans 'le vide d'une hauteur
lions et demi de quintaux par mois,
interparoissial.
du Conseil nous a promis un prodéc, à ceux dont les noms respec- le
au besoin et les blés entrés au titre de l'admisj
monde, traversant
de 8 mètres environ.
ces entrées représentent 23 % des
sion
temporaire
qui,
on
le
suit,
sont
Ce
n
o
u
v
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a
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g
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aura
une
gramme « neuf » , promesse audatables ont été l'objet d'une publicité l'Océan, en dépit des sous-marins
Son compagnon essaya de le retebesoins de la consommation. Pendant
compensés
par
réexportation
obligaillégale et infirmante?
pour défendre auprès des neutres la
cieuse et que ne peut guère justifier f o i s par m o i s ses r é u n i o n s qui se- nir, lirais en vain, et le malheureux
cette même période, le pourcentage
toire et totale.
son auteur, à moins qu'il ne désigne r o n t d o n n é e s a l t e r n a l i v e m e n t dans sergent vint tomber sur un jeune
Permettez-moi d'ajouter: et ù ceux cause de la France.
d'emploi
de
blés
étrangers
légfl'leEnfin, les blés importés nour la
homme, M. Le Fur, qui prêtait son
qui, de plus, ont été victimes d'une
Je m'adresse, Monsieur, à votre
ment autorisé a été, en moyenne, de par là l'aspect provoquant, résultant les de.ux salles S a i n t - C o l o m b a n et
concours peur combattre le sinistre.
calomnie volontaire et calculée, alors esprit de justice et, au besoin, je vous (•insommation peuvent eux-mêmes 30 % , en raison du déficit prononcé de l'accès au Pouvoir de quelques S a i n t - M i c h e l .
M. Le Fur fut" légèrement
blessé,
qu'on
savait, ou que l'on pouvait requiers, au nom d e la loi, d e publier i.rovenir soit de l'étranger, soit de de la récolte 1930.
jeunes arrivistes inquiétants, tels
L
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lieu
très aisément savoir, que leur nom cette lettre en première page dans l'Afrique du N o r d ; les blés origique M. Pierre Cot et Eugène Frot. le m e r c r e d i 25 J a n v i e r , ù 20 h. 15, mais la chute de M. Limantour fut
3° Dit 1 " Août au 28 Novembre
heureusement amortie d e ce fait.
ne figurait pas sur les listes en ques l'un de vos plus prochains numéros ni ires et en provenance-d'Algérie, de
Ce qui n'est pas en tout cas une
Saint-Colomban,
avec
tion'? C'est mon cas.
Je veus prie de m'envoyer le nu- Tunisie ou du Maroc, dans la limite 1932, les importations! d e blés ten- nouveauté, c'est la tyrannie du so- salle
M. Louis Cornou, électricien, rue
du -contingent réglementaire, étant dres étrangers pour la consomma- cialisme, déjà trop visible sous lec o n c o u r s de M . le c h a n o i n e L e Savary, le prit dans sa voiture et ie
Interrogé par quelques députés méro justificatif.
o
mptés
dans
certaines
"statistiques
tion ont atteint 638.651 quintaux ; précédent ministère et qui est de- Goasguen, d i r e c t e u r des Œ u v r e s transporta à l'hôpital, où le docteur
Croyez, Monsieur, à mes senti
rinterpetlttteur du 10 Novembre. M
comme blés étrangers alors qu'ils elles représentent 2,4 % d'une conpéu
Albertîn, avait répondu: « Le nom ments distingués.
venue tout à fait inexorable sous le diocésaines, qui f e r a une causerie Le Stunff constata une plaie
doivent
être
considérés
comlme
blés
sommation d e 26 millions d e quin- présent cabinet, car si M. Boncour sur : la nécessité
•de Mgr Baudrillart n'y est pas » ;
du Cercle
d'élu grave de la tête et une fracture d u
Alfred BAUOMIXAHT,
indigènes.
taux, soit une proportion inférieure paraît régner, c'est M. Blum qui des comme
et d e fait, i l ne m'a pas désigné,
moyen
d'union
el poignet.
de l'Académie
Française,
1° De 1926 à 1931 inclus, les im- au pourcentage moyen -légalement gouverne désormais.
même par voie d'allusion.
Nous
adressons à M. Limantour
d'action.
Archevêque
de
Mélitine portations de blé .tendre
étranger autorisé jusqu'au 2 Décembre et qui
nos vœux 'de prompt rétablissement.
Cela n'a pus empêché le Populaire
Sous des dehors souvent brillants
N
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Recteur.
pour la consommation,
abstraction ressort pour ces quatre mois à une d'orateur et d'acteur. M. Boncour
sous la signature de M. Pierre Laine
drez bien f a i r e tout v o t r e possible
faite des entrée.» ou admission tem moyenne d e 3,9 % .
de me dénoncer, dès le lendemain
est le type des aveugles qui se font
p o u r ê t r e présent à cette r é u n i o n
de la séance du 10 Novembre, comme
chefs et des meneurs menés. Cet
v figurant avec un autre évèque aussi
Importations de blés tendres étrangers destinés à la consommation homme est un suiveur et, ce qui est et p o u r y a m e n e r v o s p a r e n t s et
innocent que moi, ainsi que M. Al
grave, c'est que ce sont toujours les a m i s . T o u s les jeunes gens y sont
•bertin l'a reconnu depuis. L'inten
pires qu'il suit. Sans clairvoyance a d m i s , dès l ' â g e de 15 ans.
Chirurgien-Dentiste
tion politique que vous avez à bon
PBDRQBtTÂQE
H . PIVERT,
politique avec cela, car il s'est cons¡EP3BTATI0H
—
D. F. M. P. —
P0DHCEHTÂ6E
d r o i t signalée se manifestait évidente
par rapport
de l'Union
de
Sle-Croix,
tamment trompé sur les plus grands président
! isez plutôt la prose d e M. I.ainé
48 Mis
ì Die consommation
lljal
mouvements sociaux et politiques de
J. PEYRON,
« On se fût étonné que parmi ce
meososlla
mojen mensuel
notre tcm'ps. Il n'a rien compris au prés, de l'Union
étrangers
de
Xotre-Dame
déserteurs de l'argent et ces frauîle 6 500.000 qi.
fascisme et il s'est oublié jusqu'à
deurs d e l'impôt ne figurent pas
U n e place s'étant t r o u v é e v a
: la salle sera
Avis aux... frileux
injurier bassement Mussolini, le traicomme dans tous les scandales fi cante d a n s le Conseil d ' a d m i n i s
3, Place Hervo, 3
tant du haut de la tribune de « César c h a u f f é e .
2.6 o/„
169.551 qx.
3. »/o
nanciers de l'époque, des représen t r a t i o n de l ' E c o l e N o r m a l e Supé
! Février
de
carnaval
»
.
Il
n'a
pas
mieux
jugé
741.174
11.4
ui. 1.90
QUIMPERLÉ
15.2
tflnts d e ces deux formes du patrio
rieure, M g r B a u d r i l l a r t , r e c t e u r 1 Mars
le bolchevisme, estime par lui sans
U N QUIMPERLOIS P E R I I T DANS
1.520.134
24.9
29.
tisme qui s'appellent l'armée et le
! Avril
avenir autant que sans danger. Quant UN A C C I D E N T D ' A V I A T I O N A BI2.464.432
44.3
37.9
cléricalisme.
Leur liste est longue de l ' U n i v e r s i t é C a t h o l i q u e de P a
Mni
à sa vision du nationalisme alle- Z E R T E . — Un terrible accident
2.104.548
12.4
33.7
P a r m i les représentants de l'armée ris, et ancien élève de N o r m a l e
Juin
2.221.759
mand, elle a été, s'il se peut, plus d'aviation s'est produit le 11 Janvier
47.5
34.1
C A R N E T DE M A R I A G E . — Lundi
un général, le général X... Parmi les S u p é r i e u r e , -i été p r o p o s é pour ce
Juillet
1.068.709
courte encore29.35
sur le lac de Ferryville, près de Bi prochain 23 Janvier, à 11 heures,
16.4
poste et élu p a r 404 s u f f r a g e s .
représentants du clergé, un évèque
M. Boncour a fermé volontaire- zerte.
sera béni, en l'église paroissiale d e
et un prélat bien connu, membre de
T o t d au 1 " Août
Q u a n d on sait q u e N o r m a l e Su
10.380.307 qx.
30.11 »/o
22.8 »/o
Un hydravion de la marine reve- Notre-Dame
ment les yeux sur ¡ explosion du
de l'Assomption, l e
l'Académie Française, Mgr Baudril p é r i e u r e est, a v e c P o l y t e c h n i q u e
pangermanisme. I l s'est entêté à nait à sa base de Karouba, après mariage de Mlle Suzette Meunier,
lart. »
l'école la p l u s c o n s i d é r é e d e F r a n
croire à l'absurde fiction des deux avoir exécuté des exercices de bom- avec M. Guy Guillou.
Août
443.459 qx
6.8 "/„
6.61 »/o
Evidemment, il fallait «les gens ce, ce c h o i x est s i g n i f i c a t i f .
Allemagne. Il a tablé sur l'avenir des bardement. Fortement secoué par de
50.017
0.7
3.
Septembre
« .bien connus » .
C A R N E T DE M A R I A G E . — MerC'est une m a î t r e s s e gifTle à ccr
idées démocratiques dans le Reich, violentes rafales, il fut brusquement
0.9
3.
Octobre
63.385
Le journal de Mme H an au
avait tains bons a p ô t r e s de n o s écoles
credi prochain 25 Janvier sera célésacrifiant à cette chimère notre sé- déporté de sa ligne et projeté bru81.790
1.2
3.
Novembre
emboîté le pas. Paris-Midi
du 11 No
( L o i r e - Infé talement contre la falaise surplom- bré, à Pontchâtcau
curité et nos armements.
veinbre, empruntant ce passage de n o r m a l e s p r i m a i r e s , q u i se sont
rieure), le mariage de Mlle Ricordel,
Total du 1 " Août au 28 Nov.
638.651 qx.
3.92 "U
2.4 «lo
bant le lac. Sur les sept occupants
Au
point
de
vue
social,
le
nouveau
si
m
a
l
a
d
r
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i
t
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m
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n
t
évertués,
ces
l'article
d e M. Laîné,
et sans
de Pontchâteau, avec M. Mauî 'ce L e
chef du gouvernement n'offre pas de l'appareil quatre furent tués : le Quéré, huissier-audencier, à Quimm'ûvoir posé la moindre question t e m p s d e r n i e r s , à c a l o m n i e r M g r
lieutenant
de
vaisseau
Dupuv,
l'ende
meilleures
garanties.
bien qu'il connaisse le chemin de B a u d r i l l a r t .
perlé.
L'abaissement à 1 % du pourcenDès l'origine de sa carrière, cher- seigne de vaisseau Pichcry. le deuxièEnfin, en ce qui concerne les blés
ma maison, répandit la nouvelle.
A u t r e détail à s i g n a l e r : l'an
En cette heureuse circonstance,
me-maître
radiotélégraphiste
Jean
tage
d'emploi
autorisé
va
réduire
importés
en
admission
temporaire
il
chant
à
quel
parti
s'agréger
(car
Sur de moi, comptant qu'un jour d e r n i e r , les anciens é l è v e s de NotAuffray, et le quartier-maître méca- l ' U n i o n Af/ricole adresse aux futurs
ou l'autre la liste des coupables, à inole S u p é r i e u r e a v a i e n t élu M encore, à des quantités pratiquement à la délivrance de permis d'impor- n'avait pas d'idées préconçues 1)
c-poux ses imeileurs vœux de boninsignifiantes, les entrées de blés tation, est appliquée de façon rigou- pour accéder plus vite au Pouvoir, nicien volant Jean Douérin.
supposer qu'il y en eût, serait au- H e r r i o t .
heur.
étrangers.
Deux des victimes sont du Finisreuse. Les permis délivrés depuis le il a joué le mauvais cheval et s'est
thuitiquement connue, je laissai pas
N o s petits p é d a g o g u e s a n t i c l é
Par ailleurs, 1-e Ministère de l'Agri- 14 jusqu'au 30 Novembre, se sont précipité follement dans les bras du tère : le quartier-maître Jean Douéser, en haussant les épaules.
r
i
c
aux
c o m p r e n d r o n t - ils,
cette culture continue à exercer les mesu- élevés à 104 pour une quantité de collectivisme. Sans-doute i l a paru rin est de Kerlaz, et l'enseigne de
L'expérience m'a appris que le
Le R H U M C H A R L E S T O N est la
n'est res de contrôle chez tous l e s utili- 283.262 quintaux. Les importations sur le très tard, renier ses anciens vaisseau Gilbert P i c h e r y de Quiin- providence de la Maîtresse de Maidénégations ne produisent pas grand f o i s , q u e leur s e c t a r i s m e
temporaires sont effectivement el dieux, en renonçant à persister dans perlé.
sateurs
d
e
blés
étrangers
pour
s'asplus
d
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m
i
s
e
et
les
r
e
n
d
r
i
d
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c
u
l
e
s
effet. Lorsqu'ils ne peuvent pas faire
son ; il est aussi apprécié dans la
surer que ceux-ci emploient effec- en totalité compensées par l'expor- une voie pour lui sans issue. Mais il
M. P i c h e r y , originaire de Quimautrement, les journaux à qui on les
tation d e farines dont les types ont garde toujours de- son erreur initiale perlé, où ses parents demeurent, rue cuisine que sur la table. Ayez toutivement
9
9
%
de.blés
indigènes
au
impose les publient avec des com
jours chez vous le R H U M CHARminimum, conformément aux pres- été établis d e manière que les pro- le penchant et le pli. C'est ainsi, du Couédic, était âgé de 25 ans ; il
mentaires ou tout au moins un titre
duits paniflablos. soient réexportés qu'il fut, il y a plus de trente ans, était marié, il y a 18 mois, à Bizerte, L E S T O N , vendu à 45 degrés en boucriptions
du
décret
du
2
Décembre
désobligeant. A la première occasion,
teilles non paillées.
intégralement.
1932.
le théoricien du syndicalisme des où il résidait.
eux-mêmes et la presse de leur parti
En
cette
douloureuse
circonstance,
fonctionnaires, et sa conduite atteste
reproduisent l'accusation. Voici, par
qu'il en demeure toujours le prison- nous adresson.. à sa famille nos conexemple, deux ans et demi qu'en déSUR L A P L A C E DU MARCHÉ. —
doléances émues.
pit d e multiples rectifications, la
nier.
Des vols ont été commis v e n d r e d i
oromières formalités électorales: sont
presse socialiste, les affiches électoCependant, le Socialisme, l'expédéposées dans toutes les mairies où rience universelle le démontre, c'est
rales, les orateurs de réunions puA M P U T É S DE L A GUERRE. — La sur la place du marché, aux préjules intéressés pourront les consulter le gaspillage, le désordre, la ruine réunion annuelle des Amputés de dices d'une marchande de poulets
bliques m'incriminent
périodiqueet d'un marchand de plants de pomsur place.
Dans le rapport de M. Lamoureux
ment au sujet d'une lettre de moi dades monnaies et la perte des Etats. guerre de la Section aura lieu à
concernant les
dépenses
Pour la suite des opérations élec- Mais pour M. Paui-Boncour, c'est Quimperlé, dans une salle de la Mai- miers.
tée du M Août 1914, publiée dans le député,
Malgré toutes les recherches de la
Nominations dans dans le clergé. torales, -leis présidents de groupe- tout de même l'idéal et l'avenir !
Petit Parisien
du 16, et à laquelle, d'outillage national, on peut lire ces
rie, le dimanche 22 • Janvier, à
police, poulets et pommiers volés
d'établissements
après quinze uns, on a éprouvé le be- lignes :
Ainsi, son programme « neuf » , 13 heures 30.
Par -décision de Son Excellence ments, directeurs
soin de donner une interprétation
Ordre du jour : Compte rendu, sojit restés introuvables. Les recher« Ancien monastère de lu Grande Monseigneur l'Evèque, ont été nom- et électeurs désignés -devront se con c'est le programme socialiste, réalisé
ches continuent.
former aux prescriptions :
aussi fausse que malveillante, dans Chartreuse.
en douceur, avec de grandes protes- Paiement des cotisations, Nouvelles
més :
1° Des arrêtés préfectoraux qui tations de gestes et de voix. Cet adhésions, Renouvellement du Bul'espoir de persuader au peuple que
llecteur
du
Trévoux,
M.
Pérès,
vi« L'état des maçonneries et d e
AU
SYNDICAT
DES
CONTRIseront notifiés aux mairies ;
l'Eglise a voulu la guerre.
aveugle volontaire emploiera donc reau, Questions diverses, Ouverture
•i couvertures du célèbre couvent est caire à Querrien;
BUABLES. — Lors de son assemblée
2° Des articles 65 à 108 ter du son talent, son éloquence et son à toutes propositions.
Econome
de
l'Institution
NotrePendant plusieurs an
Quant au public, à côté des ad- i déplorable.
générale, tenue salle Sosthène David,
décret du 15 Novembre 1917 (modiTous les camarades, adhérents ou
versaires, les « bons amis » , avec « nées, aucun travail n'y -a été effee Dame du Créisker, à Saint-Pol-de- fiés par les décrets des 22 Août 1920 astuce, à nous rendre aveugles comboulevard de la Gare, le syndicat
non,
sont
invités
à
cette
réunion.
me
lui.
Voilà
ce
qui
nous
attend.
7) lu s de naïveté peut-être mais avec « tué du fait des circonstances. Il Léon, M. Paul Corre, professeur à 'la 20 Janvier 1923 et 8 Août 1923)
des contribuables de Quimperlé avait
un égal empressement, se mêlent au .< faudrait près de d i x millions pour même Institution.
décidé île faire -de la propagande
qu'ils pourront consulter sur place
concert. Uis gens entendus répètent: •v une remise en état complète. I
et de créer des sections dans les
!• la préfecture, dans les sous-préfecEmprunt
« Il n'y a pas d e fumée sans feu. » « crédit demandé permettra de pourlccalités voisines.
pour le nouveau Séminaire. tures ou à l'Office départemental des
Evidemment. Le feu a été allumé * suivre les travaux commencés e
K
Pupilles de la Nation.
L e 'bureau s'est aussitôt mis au
par l'adversaire ; il continue de fu- < 1930, lors d e la résiliation du bail
Obligations amorties
travail.
« d e location au département de
mer. C'est tout ce qu'on voulait.
L e président, accompagné d ' u n
Assurances sociales.
Le 4 Janvier, à 15 heures, a eu lieu,
Une autre expérience m'a prouvé « l ' I s è r e . Ci : Un million. »
certain
nombre de membres 'du
i'Evêché, en présence de la ChamContribution
patronale,
que l'organisation judiciaire de notre
bureau, s'est rendu à Arzano.
Dans la République
de l'Isère et bre syndicale et de deux représenpour
les
salariés
qaqnant
de
15.000
pays (je ménage les personnes), qui du Sud-Est, M. Léon Poncet souligne
-- L U S T R E R I E - Dans une conférence très docutants des obligataires, le tirage au
« 25.00f) francs.
a tant de movens d e porter atteinte qu'il a été encaissé ù la porte du
mentée, il a montré la gravité d e la
sort des obligations à amortir cette
-- A P P A R E I L S - a l'honneur des citoyens français, monastère connue droit -d'entrée
situation
financière
du pays „• l e
La contribution! patronale annuelle
année.
«'en reconnaît fort
peu
quand il pendant Ja -gestion -du Conseil gêné
déficit budgétaire augmentant d e
Série A : 37, 38, 95 133, 153, 172, pour l'emploi d e salariés, assurés ou
D
E
C
H
A
U
F
F
A
G
E
s'agit de les aider ù se d é f e n d r e ral d e l'Isère, une somme d e deux
jour en jour, imtaJgré l'accroissement
219, 223, 267, 275, 290, 410, 425, 472. non, gagnant de 15.000 à 25.000 fr
(Oirtre ICK imputations calomnieuses. millions. Or, malgré les questions
continu des impôts.
vient d'être fixée par décret du 9
2 7 - - R u e S a v a i - y -- 2 7
MOTEURS,
etc...
494,
510,
558,
609,
610,
675.
Un
procès
coûteux à très longue posées notamment par un membre de
Janvier 1933 (J. O. du 12 Janvier).
Il a insisté sur la' nécessité d e
•
échéance, où le jugement seru porté ¡'assemblée départementale, il n° Série B : 836, 947, 1.020. 1.113.
La contribution pnyroble en Janvier
l'union des payants pour réissstcr à
1.117,
1.184,
1.291,
1.310,
1.352,
1.374.
Títópb. 94 Q U I M P E R L É
m m
quand
l ' a f f a i r e sera depuis long- pas été possible d e connaître l'e-m
la gabegie organisée par l e parle1.415, 1.426, 1.525, 1.528, 1.546, 1.567, 1933 pour l'année 1932 est égale à la
teinp souLliée, c'est ce qu'elle nous |,Jlor de cette somme.
P H O N O S
ment et le gouvernement.
1.611, 1.624, 1.627, 1.652, 1.752, 1.786, moitié de la cotisation de 5" -catégoo f f r e de mieux.
L'assistance l'a longuement applauLes
sectaires
anticléricaux de 1.798, 1.801, 1.807, 1.882, 1.888, 1.918 rie, soit 240 francs pour l'année ou
Réparations en tous Geures
DISQUES
l o r s q u ' o n est parvenu à mon âge l'Isère laissaient sciemment le cou20 francs par mois.
di ; et d e nombreuses personnes ont
1.936, 1.953.
on prend philosophiquement
son vent se délabrer. La partie qii'on
Il est rappelé que -cette contribuimmédiatement donné leur adhésion:
Le capital -de ces obligations sera
parti d e supporter bien des chose» laisse voir aux visiteurs fait illusion
tion se verse au moyen d e bordela section des contribuables d'Arzano
et ; chrétiennement, on en pardonne le reste s'en va, l'œuvre d e vanda- remboursé, sur présentation du titre reaux modèle 7 ou 7 bis {couleur
e st créée.
muni de ses coupons, au siège sociai
encore davantage. On éprouve même lisme s'achève.
Un-e autre réunion -a eu. lieu avec
(lu Syndicat, à Quimper, Evèché, ru< rose), par apposition de timbres A.
CONSTRUCTION
DE
GROUPES
une certaine joie à constater qu'on
Une Date à retenir
autant de succès à Pont-Aven, où une
Lorsque l'Etat eut dénoncé le bail de Rosmadec, à partir du 20 Janvier S. -non juniielés (ancien modèle) ou
SCOLAIRES.
—
Samedi
14
Janvier
n'a jamais accueilli facilement une qui avait imprudemment confié 1
par paiement en espèces ou chèque
autre section a été crééet
avait lieu, à la mairie de Quimperlé,
accusation portée contre un adver- Crande-Chnrtreu.se au département
N'oubliez pas que -le 3 Février aura
Nous croyon.si savoir que d'autres
Une manifestation agricole. barré à la cal-sise d'un comptable du
l'adjudication,
en
plusieurs
lots,
des
saire et qu'on ne s'en est jamais de l'Isère -et repris les bâtiments,
Trésor (percepteur, receveur des lieu, dans le Salon Doré de la Banréunions seront organisées incessant
travaux
d
e
-construction
d'une
école
Une manifestation
paysanne se finances, trésorier - payeur - général). que de France, le tirage desi quatre
servi.
ment -dans d'autres centres.
la date du 1er Mars 1930, il fallut en
Aujourd'hui, dans Paris, une affi- toute liàte engager 200.000 francs de- tiendra à Quimper le dimanche 2!) Le service départemental ne peut dernières séries d e « La Dette » , H. communale de filles, et de Ja réfection
d
e
l'école
p
r
i
m
a
i
r
e
supérieure
che communiste croit devoir livrer dépenses pour effectuer les répara- Junvier 1933.
accepter ni espèces, ni chèques, ni J. K. M., il sera attribué :
des filles.
Elle est motivée par la crise pro- mandats.
mon nom ù la vindicte publique.
tions les plus urgentes. Certaine
4 lots de.
100.000 fr.
Ont été déclarés adjudicataires :
Alexandre C U Z I A T
Certains journaux d e province ont parties du couvent risquaient de fonde qui traverse l'agriculture et
—
50.000 fr.
4
Ecole élémentaire
(communale).
par la volonté des cultivateurs de
jugé h propos d e nie prendre person- s'écrouler d'une seule pièce.
CHIRURGIEN-DENTISTE
16
—
20.000
fr.
— Premier -lot (gros oeuvre) : M. Cau
Chef-Comptablo,
Comptable,
saisir l'opinion de leur détresse.
nellement à partie. Voici la réponse
de la l'acuite do Médecine de Paris
C'est ainsi que, p o u r éviter une
Le marasme de l'agriculture inté- Aide-Comptable, Seorétalre, Sté- sans compter les centaines d e lots canas, 'de La Baule, avec 1111 rabais
que j'ai adressée à l'un d'eûx, dans catastrophe qui 'menaçait les visi
9, Rue Lebas, - Q U I M P E R L É
i:n département où je compte beau- leurs les jours d e grande aftluencc resse les citoyens de toute profes- no-Dactylographe, Caissière, eto., allant d e 1.000 à 5.000 francs, les tic 22 % (18 soumissionnaires).
autos par centaines, etc...
Deuxième lot (couverture) : M.
coup d'amis qui s'affligeaient de me il a fallu de toute urgence étayer sion.
sont des S I T U A T I O N S
rémunéraConsultations tous les Jours A Quhrperlé
Ceux qui veulent participer à ce Mor-eau, de Quimperlé, avec un
La diminution du pouvoir d'achat trices que vous pouvez obtenir r a v o i r ainsi traité. Si Figaro veut bien avec d'énormes poutres le plafond
tirage doivent se hâter. Nous ne rabais de 31 % (dix soumissionnaisiuf le mercredi i Bttanalec \
de la culture atteint profondément
la reproduire, comme l'ont fait les de l'ancien appartement du H.
en effet l'industrie, le commerce, les pidement, grâce aux L E Ç O N S P R A - pourrons plus d'ici quelques jours res).
Débats, je lui en garderai quelque général.
T I Q U E S de l'EOOLE PIGIER, g , assurer de pouvoir fournir -des bilTroisième l o t
(plomberie
sani
gratitude, ainsi. Monsieur, que de
Aujourd'hui on demande eneor ouvriers : lu prospérité de la prolets de toutes les; séries. Les séries taire) : Société sanitaire dinardaise,
votre bel- article du 26 Décembre aux contribuables de verser un mil fession agricole est la condition de r u e d e s Fontaines, L O R I E N T .
A U T R I B U N A L . — Nous appreil et J sont pour ainsi d i r e épuisées. avec un rabais de 20 % (quatre soula prospérité nationale, aussi la madont cette réponse et la présente let- lion.
nons avec plaisir la nomination de
En
envoyant
5
francs
à
«
L
r
missionnaires).
de Quimper
tre confirment la thèse.
M" Koun, précèddmiment avocat près
F.t ce million dépensé, il faudrait nifestation paysanne
Au Conseil national
Dette » , avec une enveloppe portant
Quatrième lot (peinture et vitre- le Tribunal de Cambrai, comme
Veuillez agréer, Monsieur, l'assu- encore en -dépenser une
dizaine sera-t-clle accueillie par tous avec
de
la
Fédération
française
votre
adresse,
vous
-recevrez
par
rie)' : U.S.D. de Duclair (Seine-Infé- avoué près le Tribunal de 1 " insrance de mes sentiments de haute d'autres pour une « remise en état sympathie.
courrier 1111 billet d'une de ces séries rieure), avec un rabais de 39 % tance de Quimperlé, en remplacede football
considération.
Les élus du département y seront
complète » , affirme M. Lamoureux
vous
permettant
de
participer
à
ce
( c ni q soum ission na i res ).
ment de M" Henri L e Poupon, déAu cours de rassemblée qui réuCela, en pleine -crise
financière convoqués : nous ne doutons pas
tirage.
Alfred BAUDHIU-AIIT.
Réfection de l'école primaire supé- missionnaire pour caysc de santé.
nissait, samedi après-midi, à Paris,
Au moment où l'Etat racle les fonds qu'ils ne se rendent à cet appel.
Tous les dépositaires de carnets rieure de jeunes filles. — Premier
de l'Académie
Française,
les délégués de toutes les Ligues
de tiroir pour payer ses fonctionnaiOffice Départemental
régionales de foot-balJ constituées ne doivent pas oublier d e nous lot (couverture) : M. Mc-reau. d e
Archevêque
de Mélitènc. res. Cela ù l'heure où l'on va rendr
CINÉMA P A R L A N T HONORÉ. —
des Pupilles de la Nation i n Conseil national, quelques déci- retourner les billets invendus et les Quimperlé, avec un rabais de 22 %
plus lourds les impôts qui accablent
Jeudi 19, vendredi 20. samedi 21 Janfonds
recueillis.
(neuf
soumissionnaires).
du
Finistère.
Voici la lettre que Mgr Baudrillart le contribuable français.
sions onl été prises, dont la plus
\ HT, soirée à 8 h. 30, -dimanche 22,
On peut 'dès maintenant retenir la
Deuxième -lot (couverture) : M.
avait adressé au journal Le Cosnois,
Un arrêté préfectoral, fixant au importante concerne la qualification
matinée à 2 h. 30, soirée à «S h. 30.
Quand les Chartreux étaient chez
liste
de
tirage
en
envoyant
1
franc
Morcau, de Quimperlé, avec 23 %
et à laquelle il est fait allusion ci- eux, ils s'occupaient seuls d e l'entre- 11 Juin 1933 la date des élections des joueurs d e foot-ball.
Programme : Les actualités- Pathéde
timbres
à
«
La
Dette
»
,
146,
avede rabais (neuf soumissionnaires).
Il a été décidé que la licence B
dessus :
Nalan. sonore et parlant,; Le Mi/stère
tien de leur monastère, et ils ver c- convoquant les collèges électoraux,
nue
des
Champs-Elysées,
Paris,
elle
Troisième lot (gros œuvre) : M. du Château d'If, documentai« 1 coms'lient à l'Etat -des impôts considé- est affiché le 15 Janvier 1933, aux pour les joueurs amateurs, c'est-à- .¡.'l'a envoyé dès parution.
Paris, le 6 Décembre 1932.
Prosper Richct. de Saint-Brieue, avec menté.
portes de la Préfecture, d e s Sous- d i r e le stage d'un an en équipe
rables.
Administrateur-gérant du
Cosnoii,
'>.1 % de rabais (dix soumissionnaiLES CROIX I)E ROIS,
Depuis qu'on les en a chassés, les Préfectures, des mairies des chefs- inférieure pour les joueurs chan18, rue Pasteur, Cosne ( N i è v r e ) .
res).
geant de club, serait maintenue.
impôts ne rentrent plus, les bâti lieux de cantons.
l'un
des
plus -beaux films l-ançais,
Ce maintien de la licence B
MONSIEUR L'ADMINISTHATKUI»,
En conséquence, les présidents ou
ments tombent en ruines, et c'est aux
A r a o ï i r
c o n j u g a l
LA F O I R E - E X P O S I T I O N . — La d'après -le roman de Rolanc Dorgcmême été étendu aux équipes profesdirecteurs
de
groupements,
ou
d'étacontribuables
qu'an
vient
demande
On me communique un numéro du
Une fcnjmp qui aime son mari 11c le laisse Foire-Exposition, dont nous avons 16s, interprété par des artistes d e
sionnelles.
Cosnois du 3 Décembre 1932 où vous •¡'argent nécessaire pour les répara blissements qualifiés pour prendre
En ce qui concerne la Coupe de pas Houll'rlr de cors aux pieds. Gentiment, déjà entretenu nos lecteurs, durera haute valeur, G. Gabrio, Cl; Vanel,
part à ces élections devront, avant
tion
s.
elle l'envol* au « Diable ». • l.e Dlabla >
publiez, en première page, une préP. Bkmchar.
le 5 Février 1933, sous petne de for- France, il a été décidé, d'autre part, enlève les eors en six Jours, pour toujours. du dimanche 2 au dimanche 9 Avril
C'est un défi !
tendue liste de fraudeurs
fiscaux,
Les Croix de Rois -dépaisamt tout
et
se
clôturera
par
un
grand
conque
le
traitement
complet,
paiement
clusion,
adresser
à
leurs
mairies
resMais
attention
Exigez
«
I.e
Diable
»
,
Il est -temps que ce scandale cesse
où vous avez soin d e mettre en tète
ce que l e cinéma a jusqu'alors édité.
cours
de
costumes
bretons.
et
p
r
i
m
e
s
des
joueurs
de
foot-balJ
pectives
-leurs
déclarations
et
leurs
¡1
fr.
95,
toutes
pharmacies,
et
h
Epernny,
mon non), avec la triste précaution nar la solution qu'imi>oscnt le bon dossiers
N.-B. — Jeudi et vondred-, demiprofessionnels, 11-e pourrait pas exé-1Pharmacie Welnmann.
Déjà d e nombreuses places sont
complets.
de vous couvrir de ce mot « on dit ». sens et la justice : La Chartreuse aux
(1er 36.000 francs par an.
| A ilipAI dans toute» les Pharmacies.
tarif pour les anciens comhittants.
retenues.
Chartreux
!
Des
notices
donnant
le
détail
des
Qn, Monsieur, c'est le Populaire
et
des fraudes fiscales
La course au Socialisme
NT J. GUIBQURG
L ' E c o l e Normale Supérieure
rend hommage
à Mgr Baudrillart
Quand les Moines s'en vont,
ce sont les Contribuables
qui paient
CABINET DENTAIRE
Informations
1
B
Ti
i
Ti
II
Électricité Générale B
S
L. CORNOU I
a
i
CARHAIX
Soyez p r é v o y a n t s
UNE QUIMPERLOISE AUX ASSIMOELAK-SUR-mER
I CARNET DE MARIAGES. — Le I
S E S D E LA SEINE. — Le jury parian vier, de
à 10Pont-Aven,
;h 30 en
sien a jugé lundi une jeune idonvesti-1
. . .
| DANS LA ¡ LÉGION
' T Y - n iD'HONNEUR
r ' ' m ^ k ' I é g l i s e paroissiale
que, Jeanne-Yvonne Jégou, née le 20
Ayez toujours sous la main dans - M- Lo s Le <.,off, m a l j e Ue Moeb-ni ,
i n n r i : l g c dt. MHc, P h i ] o .
I Avril 11)11 à Qui.nperté, a c c u s é e votre garage un bulon de 20 .très
-»-s{-Me ,
mène Garrec, de Pont-Aven, avec
d'infanticide.
un tonnelet de 50 1.1res d h u i l e
Çr de la Lu« on .d hgnnfrUT, au titie M N i c o l a s p < ;
()e
Ponl.Aven.
Placée rue du Capitaine-Ferber. D. . F . «le» tlnbl.ssemcn s DhSMA- «'« Ministère de d Intérieur.
MORT S U B I T E D E M. L E REC- il heurta et blessa M. André, charreL c s r e p a s d e n o c e s s e r o „ t servis!
|e e mit au monde, dans la nuit du «Al!S t-HLljLb, M , m e des MathuFRANCS le même jour chez M. Le Naour, T E U R D E POULLAOUEN. — M. tier à Carhaix.
1-fl00
UN
m L L E X
D E
10 au 11 Août d e r n i e r un gruçon n n s . FAU S l M
DISPARAIT. — M. Jean Favennec Hôtel des Ajoncs d'Or, à Pont-Aven, h a b b é Yves Kérébel, recteu.r de PoulSPEZET
V o ts é v i t e « « ainsi tous 1
«
K. L . u , r m e urzach, est un brave
— Le samedi 28 Janvier, à 11 heu- laouen, Agé d e 55 ans, s'était rendu,
bien constitué, qu cl Y etrangu» un
f|e
uuart . heure après. Elle avuit .lit a ^ s l s souvent j ^ u -un g . uss e i n i a r i n . p 6 c h e u r e n r c t r a i t e , mais il res, sera béni le mariage de Mlle jeudi, à Carhaix, pour assister à la
MORT D E M. COM, R E C T E U R D E
Ises patrons quelle avait fait une|insu»ibant, loisque vous manquez l u i a l T i v u p a r f 0 i s > surtout lorsqu'il Renée Cariou, de Pont-Aven, avec représentation au cinéma La Tour L F W O X . —- Mardi dernier, a eu lieu
I chute et qu'elle devait demeurer au d'huile au moment de partir.
louche sa pension de demi-soklier. |M. Albert Monfort, de Concarneau. I d'Auvergne du fi!ni « Les Croix de
Snézet, l'inh-niation de M. l'abbé
Iii. Mais lorsque ¡le médecin, se p r é - l
de fêter quelque peu la 'dive bou-l
Les repas de noces seront s e r v i s I B o i s ». F r a p p é d'embolie, à la sortie J i sep h Coin, rccteur de Lennon, déSa bella« volatilo» ('engraliMat
trito, dont la ehair portiooliiroaMiu
Isenta, appelé par les maître«, l a i
teille. C'est c e qui-lui arriva dans lesile même jour chez M. Corelleau, I du spectacle, il .mourut subitement cédé à l'âge de 70 ans.
toadro el blaooha for« primo «or
domestique refusa de le laisser!
premiers jours du mois, après avoiriHôtel de la Poste, à Pont-Aven.
Les obsèques de M. ï'abbé Kérébel
loo marché«, »'obtiennent a n a I»
M. l'abbé Com, né en 1863 à Spéentrer. Ce. fut le commissaire dea I n r vMARINS
:
PÉCHEURS
1
M
P
R
U
,uw
i e 'l'ooo*
et
n
burmvi
¡;¡J<íl
rc
f
» 1
i l L n c a ¡ ¿ ¿ uun
x.mmm
vi un
un • Nos meilleurs vœux de bonheur. |ont été 'Célébrées lundi matin, à 10 zet, avait été ordonné prêtre en 1887.
police qui ouvrit la porte et qui DEN 1S. — Les nianns-pecheirrs Le | ) t „ o t d c 5 0 f|.n,nCiS, , U I X 1 ) u r e a u x , l l e
heures, à Poullaouen, «t l'après-midi 11 était recteur de Lennon depuis
I Recouvrit le petit cadnvrc cache dans| i ; " . . , a ' s . t p l l . \ . . L ; : : J ° s - c .l i _V n
- 1 H la marine à Doëlan.
\Pour VOS Lettres
de Marlage\du
même jour, à 15 heures, à Plouar1916.
Joseph,
tous
trois
de
Kersicol,
et
T...I
un carton.
D a u n te IUa «a Caria* am •
Le billot de mille fut ramassé dans|
,
Izel, sa paroisse natale
Iraiai (mita.
adressez-vous
Jeanne Jégou est condamnée à 2. Joseph, de Merrien, çnt été surpris
i uorlèfeuilio. au fond d'une poche.|
ABUS D E CONFIANCE. —
M.
M. l'abbé Kérébel, né en 1877,
ans de prison avec sursis.
par les gendarmes, a 8 h. 30, au tandis
Êairm à ro/fico dm Ria.
.son avec sursis.
b o u r ^ d e C l X ^Q.rno^^ circùlan
« i » ' < Ic 50 francs était i m p r i m e r i e L E G A L L F r è r e s avait été ordonné prêtre en 1902, il F r a n ç o i s Enet, 24 ans, ouvrier agriU. tm<h RUhtU.n, Pari• (T>
looiHg ue uionars-uai noci, circuiam ,, 0 s u l [ e s a c n f l e , Le p i d i e i i i r s a r r e t a
.
éta t recteur de Poullaouen depuis cole, avait emprunté un vélo à une
ACCIDENI
marchande de cycles d e Spézet. Ne
ÎNTS DU TRAVAIL, — uveç, des bicyclettes dépourvues <le ( l . a b o r d à DolHampuis à KcrumpelPlace H e r v o , QUIMPERLÉ
1028
^
lui ayant p a s restitué sa machine,
Saint-Than.ee, à Kcrgostiou
KORRIGANS VANNETAIS (1) bat I Richard .1 ean. charron, rue Jacques- lumière. Pour ce motif, .1 leur fut ^
à
¡la Retraite. I dressé procès-verbal.
et finalement au Croizicu, 011 il but
MÉDAILLE MILITAIRE. — Nous
A LA J U S T I C E D E PAIX. — P a r H a été poursuivi pour abus de conU. S. Q. (1), par 3 à 3. — Rencon- Cartier, travaillant
„ p ° u r 'a jneme raison, le nom d e | e n c o ' ; l l ) p n f t n i e d'Alexandre P... L à . I a p p r e n o n s avec plaisir que la m é - l d é c r e t ministériel en date du 31 fiance. Quoique ayant été régulièretre sensationnelle, l'U. S. Q. étant en s'est fait une piqûre dc pointe à J a | C...
e n v e r s a ' 'la
e tIdaille
i u a m e militaire vient d'être décernée | Décembre 1932, M. J.-M. Bescond, ment convoqué, il ne se présenta
,)osei)h fut couché à côté des l ) r t '" IFavennec " rrenversa
la lampe
lampe 'et
tête du classement pour le cham- inain gauche. 12 jours de repos.
François
Dufour,
électricfen
au
Ijpiers.
A 19
heures, j e s
erre. Après
être sorti «de l a i 4 M. Louis Lonicnech, industriel à pdjoint au maire, a été nommé juge pas devant le Tribunal à Chàteaulin.
.
Itomba
à
terre.
Afprès
pionnat et les Korrigans la suivant
l o n t rencontre, a kergueguen, circu
iuppléanf, en remplacement de M il est condamné à 1 mois; d e prison
de nouveau.
nouveau. Peu I Pont-Aven.
,
„ , a reçu
. ..111. éclat métallique
\
i> un point. Le temps est exécrable; • Coinbout.
i on. rencontre, u ™ r 8 u u B u e i . , c.rcu-| i n | | 1
¡,1 ttomba
o m b ; l 1(ie
iicliou, décédé.
par défaut.
. .
...
. ,
.
1
co n vonstata que son portefeuille, | Nos vi'ves félicitations,
il pleut1 pendant toute la partie, e t | ( l l , n s 1 œ l 1 011 burinant une pièce
l a i U SU1 '
"
'
'
AV
^J
i
.1''
I
après
il
constata
que
son
portefeuille,
avec sa bicyclette, également dé- c o n t e n a n t le beau billet bleu, avait
le terrain est devenu un véritable
D
E
R
N
I
È
R
E
S
CARTOUCHES
E
T
UN J E U N E HOMME P E U GALANT.
I disparu.
ETAT-CIVIL. — Naissances
: Jeam- pourvue de lumière.
QUERRIEN
marécage. Ce n'est plus de l'associaJ E U N E S D E SAINT-MARC, 1 A 1.
— C'est Léon Pierre, né à Spézet
1
.ouis
Morlec,
ruelle
Saint-Colomban;
tion, c'est du w a l t e r - p o l o , dira
DÉMOGRAPHIE 1932. — Baptê- , Complaisant P.. se procura une
F O I R E . — La grande foire de I
match qui devait décider de la (Finistère), le 26 Juillet'1901, domes— Marie-Pierre ('ordonner, 36, place m , l u e . • .d.«.a« 7'i • mnrlnffo« s4 rlanternc tempete et tous deux partiquelqu'un.
nus, 1 0 0 , '(ltccs, l o
ma.iages, ¿ i .
^ r w h e r c h c ) m , , i s c ( î f u t c n Que-rrien aura lieu le 20
J a" n v i e r 1933
tique de ferme au village de Poul~~
' ï r,n i. è r e, place
A aura
Saint-Michel.
lient
C
l
.
>
1
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1CV11U1
^IIV,
111(11»
lui
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.......
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V
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—..
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, du groupe
.
J
Les locaux ont le choix du terzerf, .dans la même commune. On lui
DÉMOG
"
u
e
Publication de mariane: Louis-j
1 RAPIDE JANVIER 1933. - vain, aussi d è s le lendemain Faven- pour les bêtes à cornes, chevaux et îe , l °
pour rien, puisque lies deux reproche d'avoir fait tomber de sa
rain, mais ne savent pas en proll
Naissances : Agnès-Clémence-Lôon-|nec alla conter sa mésaventure à la | poulains.
ter. Ils joueront la p f e m î è r c " n i i - 1 Joseph-Marlc Gourlaouen, à Kervi-|Naissances
| ^ m p e s ont <tu s en retourner <los a bicyclette Mlle Duigou Louise, 18
Pierre-Jean
I
gendarmerie,
qui
a
ouvert
une
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»
i »
r 1 > V E T
temps, handicapés par le vent et la lîannou, et Victoire-Julienne-Aline line Delliou, Ivergastel inninc-Berna-|
; Pi
ans, demeurant chez ses parents,
quête
I CARNET DE MAWAGbS. — Le I La lutte fut cependant ardente.
H
o
u
x
.
qui
pluie.
Grosse erreur, dit-on, et qui
- à Menec-Hucl, à Bannalec. I Dregoire,
Kergant ;I an'
Jeannii
dette Guvomar
l'.zie
Paulmardi 24 Janvier, à 11 heures, en
Après un début de partie qui voit cultivateurs à Guelvit, en Gourin.
influera beaucoup sur le résultat. I Mariane : Adrien - Pierre - Joseph
C'était le dimanche 4 Décembre,
l.avmiond Dellioii UcrJirùière- MarieAl: P R O F I T D E L ' E C O L E L I B R E Il'église paroissiale de Querrien, sera Carhaix menacer sérieusement la
y'
'
' "
" " "
— A l'occasion d u l b é n i le double mariage de M. Jean Idéfense brestoise, tout le reste d e ' l a vers 16 heures. Accompagnée de son
de Mlle Pennec, de|Le Tennier, de Kerestou, avec MlleI-ni-temps fut h l'avantage des Gars beau-frère, Mlle Duigou revenait de
Mlle et M. Le Bris, du iMarie-Anne DifTon, et de Mlle José-1 ;!e Saint-Maire. Ceis derniers obtinrent Spézet à bicyclette. Elle descendait
urs du repas servi chez Iphine Tennier, avec M. Jean Ca-1 leur but sur corner. Carhaix réussit la pente de Co3t-Quilverne, en Rouau bourg de Moë-lthrine, de Querrien.
un point avant le repos, mais il fut douallec, lorsqu'elle aperçut devant
elle un groupe de t r o i s personnes,
été faite au p r o f i t ! Les repas de noces seront servis I refusé pour hor,s jeu
des filles. Cette quête le même jour chez M. Le Naour,
A la reprise, les Brestois prirent (ieux hommes et une femme, qui
camarades du centre, qui reprend de Andrée Laneézeux, 3 mois, au Petit
QUILLIQOMARCH
|a rapporté 08 fr. 70.
boucher à Querrien.
un très net avantage s u r ' l e s Carhai- montaient la côte à pied en tenant
la tète et pousse la balle dans les I Lézardeau.
Nos plus sincères remerciements I Ce mariage unit trois excellentes I siens. Ce furent cependant ces der- ieur gauche. Voyant que c e s personfilets.
EN FLAGRANT D É L I T D E VOL et nos meilleurs vœux dc bonheur [familles de Querrien, sympathique-Iniers qui marquèrent, sur coup franc, nes ne se rangeaient pas, i a jeune
fïlle appuya elle aussi sur sa gauche.
La gemlarinerio d'Araano a mis,|aux jeunes époux.
|ment connues dans toute la région.|le but qui les mettait à égalité.
Peu après, un deuxième but est I M e r c u r i a l e d e » M a r c h é s
Comme elle allait c r o i s e r 'les piétons,
Bon arbitrage de M. Bescond.
mercredi, en état d'arrestation les
Nous adressons aux futurs époux
un des deux hommes, P i e r r e Léon,
demoiselles Le F c l l i c , 24 ans, de
[nos meilleurs voeux de bonheur, et
,a Le q s U looaux *
d" 13 J"'wier 1933
"toute
ressaisissent
et,
après
|
,
s
« n e s ^ r i e d e p a s s e s c o u r t e s e t Vncbes laitliws
Hiîiî
Kernaren, e t Padellec Jeanne, 20
s'élança vers elle, saiisit le guidon de
CHATEAUNEUF-DU-FAOU
là leurs familles nos vives félicita-1
sa bicyclette, mit un pied devant ia
précises, Morvézen réussit il marquer
et vaches pleines
1.4»».» l a n , S i ( [ e Guisquer, en Guilligomarc'h,
Itions.
CONSEIL MUNICIPAL. — Le Con- roue avant et renversa la cycliste,
point.
•
Veaux, b lillo . . . . . . .
^
surprises en train de voler d a n s une
qui a v e z du teitftlp k d é f r i c h e r
eil
:
TOURNÉE
DU
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municipal,
de
;
Châteauneuf-duoui s'évanouit quelques instants. Elle
Les Korrigans partent de nouveau p,. (mM ,' nt
i^v^
105. » I petite voiture de 'livraison de Mme
i ; . „ I F a o u s est réuni le 8 Janvier, en sesadressez-vous
à
à j'attaque et pressent la défense Seigle ....'.'.'.'.'!.'.'
.'
La tournee du pOTcepteur aura lieu j s .
^ p r é s i . fut transportée dans une f e r m e voiextrao,rdinaire(
SOUâ
l ó . » Guéguen, représentante de la Maison
sine, où on lui donna des soins. Elle
1 •
M. COHEN R o b e r t
le jour de la foire, le jeudi ¿0 Jan, ¿
,
d
M
p
quiinpei'iyisc ; ils ajoutent deux buts lOrge
70. » Debray. Elles ont été dirigées sur
vier prochain. Le paiement des pen- ' " - " ^ ^ . " V . 1 " oernaru, maire. put ensuite regagner à pied le domià la m a r q u e , " tandis qu'après une Sarrasin
75. » I Çuimper pour être mises à la dispo
1
1
r o u t e de la g a r e , MOËLAN
:
,
,,,„„. ,„ ' ,,„,„. c o f '
i„
Réalisation d un emprunt pour les cile de ses parents. Sa robe fut
75.» Isition du Parquet.
échhappée et sur passe de Fraval, l^voines
—
s oHn
^ Î t r «J Q W M
I W è s l r a v » u x d'agrandissement da
cime- déchirée et la pédale gauche et le
entrepreneur de défrichage de terres
30. »
Morvézen réussit à tromper une se-1Ho;«iii«s <le terre, les 10« kilos.
ma tin, ai partir de 0 heuros . L a P r è H , i è r ç c o m m n u n a l . Montant de l'em- frein arrière de sa machine furent
Trattcnr et charrue moderne
220. »
VOL D E VIANDE. — Le 14 J a n conde fois la vigilance du portier
fe.ts^n
kit " !
p 0 U r l e p f l I < m l C n t | p r u n t : 29.000 francs. Adopté.
cassés. Le docteur Bahier, d e Gourin,
120. » t v i e r courant, M. Mocllo, nouvelle
Ules assistances.
vannerais.
Son. les l»» kilos, Kros . .
Pour l'entretien des chemins d e la lui ordonna un repos d e sept jours.
p - * 1 n.cnt installé boucher au bourg de
La nn-temps survient sur ce score Son, les 100 kilos, détail
CONSULTATION D E S NOURRIS- commune, il y aurait intérêt à faire
j g j " M GuiHigomiardi, était
avisé
qu'uni y-y m o f t AXAIS SF DISTINGUE
Pierre Léon est condamné à 8
de 4 à 2 en faveur des visiteurs.
Farine du pays
9.501morceau de viande, suspendu d a n s | n A ^ s UN CROSS-COUNTRY DANSISONS. _ La consultation des enfant,
acqu^.tion
^
A la reprise, les Quinipcrlois jouent Ueurre salé, ia livre
jours de prison et 25 francs d'amende
:<
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SOMMEf — 'Les
âge aura lieu
d . ,. la cave, avait
disparu. II
Il voulut s'en IJl A.a SOMME.
(I.
- sportifs
* ' moëla- du
" premier
'
" le jour, de seur. La commune .de Kionevez-au, par le Tribunal correctionnel de
à d i x , ' B e r t h i e r . malade, ayant dù J i c " " c doux, la livre
0,501rendre coin
abandonner le terrain. Gros avantage I < l , , u z ' » " ' 1 "
Pontivy.
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e t t e S vicinal est
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:io. » tout un <juart.v.
pour Vannes, qui marque bientôt son I î.°"! c f s - . vlc " ux - '? col,|>! V
' " " i n nooxt rr ee compatriote
conipatrioie P.
i'. Lo Bloa,
oraa, aappar-i
— - heures.
«rtier de veau qui s" ^était
p p a r vler, a- partir de
Service vicinal est cchargé
h a r c é de
î>roP o u l e t s j e u n e s , la c o u p l e
35. »
DIVAGATION D E S CHIENS. —
tenant à l'U. S. A. P., vient de trioni«cneiuir
céder à l'étude nécessaire afin au'un
cinquième but.
Cidre .pur j u s
270. » envole.
Ne sa oh an t sur qui porter ses ,,hnr dnn<s un
cross-countrv
à
REDENE
a i ciuuc i i t L e s w i r e aun q u u u Pour prévenir l a destruction des
Là réplique ne se fait guère attcn-|cidre ordinaire
220. »
&
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D E LA ROUTE. En
^
^ ^ ^ oiseaux et favoriser leur repeuple| = n s , il a porté plainte contre X f e n ^ ^ C J ^ f f Ï È D
P0LICE
dre et les locaux trouvent pour la
ment, il est expressément défendu
COnnuARZANO
troisième fois le chemin des filets |
champion d e F r a n c e de 1 U. F . O. L. ( o u r n < . i e s p è c i i l , l e > à Hédéné, le 10 JanLe Conseil décide l'installation aux propriétaires -des chiens d e
adverses. La pluie continue de plus
DÉMOG RAPII I E . — U a été enre¡-l11,
I vier courant, la gendarmerie a v e r - l d ' u n e borne-fo,ntaine, à Poul-an- chasse, de bergers ou autres', de laisNEVEZ
belle, le terrain est i n t e n a b l e ; les
A C T E D E P R O B I T É . — Un jeune gistré
balise contre Le B... Jean qui. à l A d o ï c .
il Guilligomarch,
pendant I
ser divaguer ces animaux dans les
joueurs glissent, tombent, se relè-U'arçon de S) ans il trouvé un billet 'année 1932 :
L e | ) 8 heures, passait sur la route natio-1 M. le Maire donne lecture d'une terres non closes, cultivées ou en
AU CONSEIL MUNICIPAL.
vent pour retomber de nouveau, de cinq francs qu'il s'est empressé
35 baptêmes, 10 mariages, 12 enter- Conseil^ municipal d e Névez s'est naie n° 165, conduisant une voiture Ipétition des habitants du quartier friohes, ainsi que dans les bois, penPlusieurs joueurs locaux, indisposés <ie remettre au secrétaire de rnnirio | ,-enieuts
réuni dimanche dernier, sous l a pré- attelée, dont la lumière brillait par de la place aux bêtes et Pontadic. dant tcutc la période de la clôture
par le froid quittent le terrain, Fra-|d'Arzano. Sincères félicitations,
sktence du maire, M. Tréguier.
son absence.
.
I sollicitant i aménagement du lavoir dc la chasse.
LOCUNOLE
val, Leroux, Guibourg. Quimperlé n'a
Etaient
p- r é s e n t.s. :. MM.. « Afflchard
I • Le VB...r Joseph,
ajusteur
mecani- dit desT1 Portes,
sur la route
de nPonL e s contrevenants; aux dispositions
_
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•. I
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\ . . ,-r, , , . 1 / v I f n /I ! n
f/iif n n n n n î l p n
rtiiW
rtrt4
flP A f
plus que sept joueurs, ce qui ne
qui précèdent sont passibles d e pourl'empêche pas de dominer pendant
suites correctionnelles en vertu, des
le dernier quart-d'heure, sans rien
articles 9 et 11 de la loi du 3 Mai
réaliser d'ailleurs.
"844.
La lin est sifflée sur le score : Tj'J
Korrigans, 5 ; l ' . S. Q., 3.
11{n
ETAT-CIVIL. — Naissances : Marre méritée des Vannetais,
'
'
jet
Victoire
Vannetais, ( n a t c h ( | e ' c i l i u n p i o n n a t i l a première avoir volé d e l'argent au préjudice nimité.
jet d'un
d'un procès
procès i pour infraction a p i de 300 francs. Adopté
guerite-Marie Failler, de Coat-Fraval;
L e Conseil, en raison des difftcul- Marie-Thérèse Guellec, de TrévHy ;
qui firent
ît preuve de beaucoup cie ¿ q u i p e d e p A S - Rospordinoise.
I'? " » soldat de son regiment, le 11
La surveillance des travaux de code d e la route,
courage et d ardeur. .
.
La partie
déroula iisous
sous u
n e p
l u i e
Novembre 1932.
I construction des
cheminis ruraux
ruraux d
de
p a r u e ssee uerouia
une
pluieINovemure
l'Jaz.
Iconstruction
des chemins'
el
l t é s . d'inetallation du b e c électrique Marie-Anne Diraison, d e Croix-Rèscontinuelle, ce qui rendit le ieu beau¡a soupe du soir, vers Kerlaouët est confiée à M. Sinquin,
RIEC-SUR-BELON
mu devait etre place au lieu dit des tangoff ; Guillaume-Marie Léap, de
coup moins intéressant.
1« h. 15, le soldat Moëllo, de retour ingénieur du service vicinal à Ponta u t o m o R I I ISTF A r n ^ C I I E
' , deC '
S " e i C C , >CC C - h " Kerbinen ; Laurence-Henriette BalA défaut d'arbitre officiel - tou- dans sa chambre, constatait qu'un A ven.
Il \ ^ W S O T
I ^ t r e i m rai ?!m1 sera place à Pouladoic.; décidé laren, du bourg ; Andrée-Marie Goacolou, d e Kerescam ; François-Louisjours regretlable pour un. match de n ? u . avait, en son^ absence,
tat
Une «ubvention d e 800 f r . est votée
Marie Duigou, d e Castel ; Aimé-Marie
Pour T R I C O T E U S E S
Le Moal, de Kerellan.
Décès : Marie-Catherine Corbé, 70
ans, de Kerellan ; Thérèse Lucas, 63
Rue Cornlc-Ouchène
ans, dc Cudel ; Suzanne-Marie CasQ U I M P E R L É - Tél.48
tel, 5 mois, du Stang.
¡limites avant le repos, un penalty .<
' ' " • I V>|U.V; '
, V-T
ereun suppieinenuin e w
.
, ¡ .
„,INT UCDH,M
r
rté T)]a;nte f
:st accordé aux visiteur«, mais n'est tivenient Une fouille fut immédiate- francs, pour le chauffage, é e l a i r a g e
.^n cs. U dCM n i u a p . c
)U
SAINT-HERN1N
DÉMOGRAPHIE. — Au c o u r s d e
)as transformé.
nient ordonnée. On retrouva le p o r - L t balayage des classes, est vote a " ^ o . i í n n i t 6 s
E P I L O G U E D'UN ACCIDENT l'année 1932, il a été enregistré :
T R O U V A I L L E . — 11 a été oublié)
La mi-temps survient sur un score tefeuille d a n s le ht de D..., mais il l'unanimité.
.. eiaiwir il.s rcspunsaounes.
I D'AUTO. — M. Yves Guinon, 27 ans, .107 naissances, 52 mariages, 49 déau guichet de l a poste, ii Quimperlé, vierge.
Le 1 boulanger à Sarnt-Hernin a été con- cès.
iv manquait 50 francs. Il avoua alors
CARNET D E MARIAGE.
un paquet destiné aux grands magaLa seconde mi-temps est légère-1
larcin, après bien des .réticences:
En 1931, il avait été enregistré :
1
sins de la Samaritaine, à Paris^
ment à l'avantage de Bannalec qui "' " "*
'
' ' '
;116 naissances, 22 mariages, 72 déP r i è r e d e l'y réclamer.
cès.
obtient son preinier but environ un
quart d'heure avant la lin.
TR
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POLICE.
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. . i >
I v.iuu
iiiinuii .-, it
tin iivJiiviruui
—
Cinq minutes
après, un
nouveau
„
Niynn
•
— Prouver memenl rendu a Qutm- |)u[ c s t l n a r q u ù p u r , a pleur de Genêt, valses noies, se von ociro.yer une i - o w., i n w m . i uu j . t u u n «v»»»...., •
CHOZON
perlé en înalù
pour hors
hors jeu
Ieu I peine
peine de quatre mois d'emprisonné- ou il avait été occupé toute la jour- s a V " f r , r n . f j X „ „ „ ' s ( , m n | servis S ( > c U o n : n < ? e ' k v b a s s i l J et le b r a s droit
iltere d Assurances
I Celui-ci est con testé pour
les. - f - . L e Tribunal, présidé p a r M. | Par l'A. S , R., qui « c ^ t L d u £
ment.
b rée^ à Tcouper
L t ide. la lande, lorsque. ' ^ . ^ . • ' c h ë z ^
S
S
f
e
^
^
UN
POMPIER
TOMBE D'UN T O I T
•soudain, au pont de Kerninen, le e même mur
.
M. 1-e Meur laisse une veuve et 5
Lampérière juge de paix, assisté de rain. Les joueurs d e Bannalec res-1
MELQVEN
E T S E T U E . — Lundi, le feu se
enfants.
imilheureux s'affala sur la route langer au bourg de Riec.
M. Meli, greffier, et de M. Ravazé,
•. ^
c e[
Ucndcnt
fln
anrès avoir heurté un gros caillou, j Nos meilleurs vœux de bonheui.
Ce pénible accident a causé une déclarait dans la cheminée d e M. Le
commissaire de police, m i n i s t è r e 1 de la partie.
I UNE BANDE DE VOLEURS, QUI après
|
grande
émotion daavs La commune de Dris, charbonnier à Crozon, et menapublic, vient de statuer sur des pourFélicitons sans réserve tous les OPÉRA A MELGVEN, VA Ê T R E La tête porta sur Je sol. Quoique
Scaër,
où
SL L e Meur était- bien çait de s'étendre à la vieille maison.
suites engagées à la requête du joueurs pour leur courage.
J U G É E A PARIS. — Lundi prochain grièvement blesse, Laurent Canevet.
Alertés, des voisins accoururent,
connu et ou il avait de la famille.
Ministère du Travail sur 1e rapport
comparaîtra d e v a n t ' l e jury "parisien I perdant son sang en abondance,
L a gemtanncrie de S c a ë r enquête. et aussi un pompier, M. Henri Norbourg, où I m p r i m e r i e L E G A L L F r è r e s
et procès-verbal d e M. l'Inspecteur I
une bande de 24 cambrioleurs, la réussit à venir jusqu'au
jus
mand, qui grimpa sur le toit et
des Assurances Sociales à Quimpcr,
P l a c e Hervo, QUIMPERLÉ
Bande ù Tondu », du nom authen-|M. 'l'abbé Kériel, vicaire de la
Le s'accrocha à la cheminée. Mais cellecontre un entrepreneur de QuimItique de son chef, Jules Tondu, ori- paroisse,
Iginaire de l'Aisne. Cet individu
sOigué - L i v r a i s o n ^ A ^ T j ^ p f î t ^
% ci, en très mauvais état, céda et se
perlé, prévenu d'infraction aux disdémolit en partie, entraînant l'inforpositions de l'article 64 de la loi d u
déjà été condamné par la Cour vie du docteur Afflchard, qui lui lit I MÉDAILLE MILITAIRE. — Nousjbéni le mariage
parwssxale
de
Scaer,
sera
BCiaH.IH!.PARGlXJH:XHIR.IB3
de Mlle Marie Bour- tuné M. Normand, qui roula le long
30 Avril 1930, pour avoir négligé de
d'Assises du Finistère à cinq années de nombreuses sutures,
nos apprenons avec plaisir que M. Ker-|hj S ( de Kerbrezélec, avec M. Alexan- du toit et tomba sur la rue, se briB A N N A L E C — Tél. 18
déclarer ses cinq salariés en vue dc
de réclusion. D'autres tribunaux I Nous adressons à M. Canévet
' hervé, cultivateur à Hiec-sirr-Bi-lpit.jdre [tivicr, de Lcignou.
sant la colonne vertébrale.
leur immatriculation aux Assurances
I _ '
1a
nfl niilno I
%•
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1 _
'
T
J ~
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achète en permanence toutes quantités de l'ont frappé à douze reprises, d e l vœux de prompt rétablissement
I vient• de se voir d.1 é/ c. «e. trun» e/,t«r la
médailleI
Les repas
de
noces seront
servis
Transporté chez lui, dans le coma,
sociales, et ce, depuis 1c 1"' Juillet
I peines diverses.
I
| militaire.
Ile même jour chez M. Yves Le Goc, il mourut une heure après, victime
1930. Cet entrepreneur ayant régulaParmi les complices, figurent deux I
NIZON
Nos félicita! ions.
| a u bourg de S c a ë r .
de son devoir.
risé avant le jugement, les carnets de
Bretons, rccéleurs, laissés en liberté] MEDAILLE MILITAIRE. — Nous
A TRÈS BONS PRIX
ses cinq salariés jusqu'à concurrence]
I Nos meilleurs vœux de bonheur,
provisoire,
Yvos-Loi'entin
»ertneiom,
plaisir
que
la
méapprenolls
avcc
provisoire, Yvos-Corentin Berthelom,
ROSPORDEN
I
de 1.95li francs, une p a r t i e des tim<le
de Rosporden, et Julien Penven, de ( l a ' 1 I c m i i i t a i r e vient d'être décernée,
L E S
bres représentant le montant des préTTN- M t v r r n v i i i '
PAR
GOURNERIEN
BATTENT
PONT-8CORFF
Trégunc.
Leurs
rôles
respectifs
resL
m.
Noblet,
cul)our fails de gllcrrei
comptes ouvriers et des contribuUN MANŒUVRE ÉCRASÉ PAR L E S COQUELICOTS D E CHATEAUtent
assez
effacés.
.
livateur,
à
Kergoz,
en
Nizon,
et
à
M.
CARNET
D E MARIAGE. — L e
UN CAMION Jeudi, a 17 h. 30, U N p A R
_ La prcmièrc
tions patronales, le Tribunal faisant
A
3
a ir'r „ r w , , , , ^ » , .
n
La bande compte à son actif so.i- Y v c s Flécher, journalier à Nizon.
face au débit Vorch, a Pont-biais, | é • p e ( i e s o 0 u r n e r i e n s'était rendue lundi 23 J a n v i e r , à 10 heures, en
application de l'article 471 et 15 du
Yves Cochenncc, manœuvre, employé d ^ m a i i c h e h G h û k , , M l I i n p o l I r v r c n . l'église paroissiale de Pont-Scorff,
DEFAUT D E L U M I E R E . — P... xante-cinq cambriolages, dont'le preNos félicitations.
Code pénal, l'a condammé à 5 amenau transbordement u la gare, et habi- c o n t r c , r l'équipe correspondante des sera béni lé mariage de Mlle J e a n n e Jean-Marie, charretier à Bannalec, rnier remonte au mois de Juin 1923
tant Pont-Verserez, en Rosporden, | ( ^ ( [ u c i i c o l s '
Louise Le Lan, de Kerbouhic, en
complè- Pont-Scorff, avec M. J e a n Pavic, de
inon- Coat-Guilerm, en Cléguer.
Les repas de noces seront servis
.
—,
.
. .. . , u l l „ v „
marque revient le même jour chez Mme Le Goff,
son absence. Pour ce el-Loire), le 20 Octobre,
,
Yves Pulocli, de Coatbourg.
droite avant lui i>assa sur le corps a u x i o w l u X ; maÏLsi bientôt les Scaë- restaurant, à Pont-Scorff.
í e s corídamnátions suivantes :
motif, il lui fut dressé procès-verbal.
En 1929, revenus d a n s
I-inis-l Les repas de noces seront^servis |et lui brisa les jambes.
_ v rois égalisent, puis prennent un
Nos meilleurs vœux de bonheur.
Défaut de 'lumière«, 4 à 5 fr. ;
1ère, ces malfaiteurs, au cours d'une h e m ê m e jour chez M. Jean Danielj.a lourde voilure, appartenant i i a v a n t a « e très net
défaut de jWnque d'Identité ii bicyImênie nuit, conwnettaicjil iroiis^ i l ™;|lou,• débitant
ù
KerigazueL
_
|M.
Le
Gall,
entrepreneur
à^Rospor-j
p,
"ouverture,
l'équipe
seconde
n
CLOHARS-CARNOET
- - _
1 •. —
—
j
f ,
X T *
I
A ^i |
KJ 11 , V. 1 , 1 1 1 V f
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vVI«
v
clette, 1 à 5 francs ; défaut d'appa-|
1 riolages, chez les époux Rrèan et
Nos meilleurs vœux de bonheur. | ( ( c n > s e dirigeait sur Saint-Yvi, con-1 f i „ s o 0 I 1 ( r n 0 r i e n avait dû s'incliner
CARNET DE MARIAGES.
0 1 P.vpi'n, près d e Fouesnant, chez M
reil rétroviseur ¡) camion, 1 à un fr
REMERCIEMENTS
duite par M. Glémarec Louis.
(levant la deuxième des Coquelicots
mardi 24 Janvier, à 11) heures, en I Bnrillec, à Kerilin-Vihan, puis chez
PONT-AVEN
| Le docteur Dagorn, de Rosporden p a j r 4 b i r t s
q
l'église paroissiale dc Clohars-Car- l t , s ,;, I)OUX f, c (•.,„,_ ^ Kersaby-BIhan
se trouvant à ce moment sur les
QUIMPERLÉ. — Lcs familles Melo,
GEORGES L E G U E T
allie il-1
L E TREVOUX
l'ustoeh, Morren, I^e GaJ'l, Goalen et
ClHät'IiGIEN-DENTISTE
''(jjx"
CARNET D E MARIAGE. — Le toute la famille remercient sincère- <lq In Fucullù <1« Puri» mardi 24 Janvier, à 10 heures 30, en ment l e s personnes qui ont assisté
,'.nrniu l'église paroissiale du Trévoux, sera aux obsèques de
1 8 , R u e 8 o v a r y (Maison Kivnlin)
I". "
k i . i
i
,i„
M i l »
T.-„
eres béni le mariage de Mlle 'Marie FaM. Jean-Louis
MELO
QUIMPERLÉ
kannevein'
I ieur randonnée en'*Brrta«nëi'ën "(¿¿-1 iênips' •d6ploi-«l»l«, l'on vit q u e l q u e s I c a v " i ' u " ! >
"ua "
Myenncc, de Kerhonit, avec M. Fran
de
Cinq-Croix,
en
Quimperlé,
Jçois Gilles, de Kerhonit.
Conitillalions lo im leí jours, sauf le tundí — Le même jour, n la même valisant les époux Carduner, à Ros-Ibelles phase« de jeu de part et d'audécédé d a n s sa 82' année, muni des
Iheure, sera béni le mariage de Mlle I |30ctou, près de Melgven.
tre.
DÉCORATIONS. — Nous appre-l Les repas de noces seront servis
sacrements de l'Eglise, ainsi que
|Madeleine Guellec. de Kernabec, en| Les autres tentatives et méfaits de
Pendant les premières minntea de n o n s que nos compatriotes, MM. le même, jour chez M. Jean Bourhis
toutes cellos qui leur ont- témoigné
de la sympathie en cette 'douloureuse
circonstance.
z
I
CULTIVATEURS
LAINES
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B0I3 SUR PIEDS ET ABATTU
Foarnltores pour Entrepreneurs et Ebénistes
t
1
2275
De Profimdis.
REMERCIEMENTS
QUIMPERLÉ. — M. et Mine J a c o b
et leurs enfants remercient bien sincèrement les personnes qui onf
assisté aux obsèques d e leur tmère
et grand'mère.
amis d a n s 'ta région, ne soupe
personne de ce méfait.
La gendarmerie enquête.
VOL1 D E
BOIS.
—
M.
Auguste,
.. .
...
„ —
Programme:
- d e l'assistiance aux vieillandisi de Mlle temps après, l a fln est sifflée sur le
Quimperlé, s'est aperçu qu'on luil La Croix du Sud. grand 111m fran-1 MloJri, à Kerscouarnec ; avis du score de Fleur d'Ajonc, 2 ; Footballavait subtilisé dans son <diantier I ç a i s enlièfenient parlant,
Conseil sur la création de douzeIClub, 0.
situé à Kéransker, plusieurs plateaux
Je t'adore, mais pourquoi, conté- foires annuelles à Elliant ; désignaRemarqués
au
Football-Club,
d e bois. Ne sachant sur qui porter die.
tion de deux conseillers pour l'ad-n'avant-centre, l'ailler gauche et l'inses soupçons, il est allé raconter s a l
liarbcnziufiuc
el
l'homme
de Ijudication du 10 Février 1933, rela- l i e r droit.
mésaveinture à la gendarmerie qui va li>ro//:c, dessins animés.
tive aux travaux de construction du
A la Fleur d'Ajonc, toute l'équipe
procéder à une enquête.
I Rien que du parlant.
I chemin rural n " 8, il Kcrligonr,
Iest A féliciter.
.
x. La victime, M. Le M<t l'élection de 10 conseillers munici
Madame V™ MOALIGOTJ,
Louis, âgé de 30 ans, demeurant à l p a u x en remplacement des démisnée Marguerite COADOU,
Pont-l'Abbé, ayant voulu descendreIsionnaires.
ainsi
que toutes celles qui leur ont
du train en sens opposé à la mai'L'élection n'a pu avoir lieu... faute
(lie et après le signai du départ, de candidats. Le bureau n'a pas été témoigné de la sympathie en cette
do ifîc u r euse ci r c on sta nce.
tomba malencontreusement sur le I formé.
De Profundis.
quai et fut happé p a r le convoi. Le
Les élections municipales sont
' malheureux, qui eut 'la jambe droite Idonc remises à dimanche prochain.
I
Foires et marchés de la région
QUIMPER (marché d u 14). — B e u r r e
d e table, 10 ii 10.50 ln l i v r e ; b e u r r e d e
cuisine, 8 ù 8.50 la l i v r e ; œ u f s , 6.50 la
douzaine.
Blé n o i r , 41 li 42 f r . les 50 kilos ;
seigle, 38 à 40 f r . les 50 k i l o s ; avoine,
38 & 40 f r . les 50 kilos.
P o m m e s d e t e r r e : l e s j a u n e s , 14 h
15 f r . les 50 k i l o s ; l e s saucisses, 18 il
20 f r .
Veau, 4.751c k i l o ; m o u t o n , 4.75 ¡i a.«0.
CAHHAIX, 14 J a n v i e r . — On cotc
aux 100 k i l o s : f a r i n e , 150 h 160 ; blé,
85 ù 100; s a r r a s i n , 70 h 75; avoine.
70; son, 55; baisse s u r l e s c o u r s précédents p o u r le b l é ; orge, 70; paille, 120
h 130.
Foin, 220 h 230.
Marché suivi p a r u n n o m b r e i m p o r t a n t d'acheteurs étrangers.
B e s t i a u x en assez petit n o m b r e , d ' o ù
h a u s s e s u r l ' e n s e m b l e d e s b a - u f s et taur e a u x , a l l a n t j u s q u ' à 0.20 p a r livre.
Boeufs g r a s : v e n d u s d e 1.40 ¡i 1.75 ln
l i v r e ; u n t n u r e n u d e 450 kilos vendu
l.FOO, soit p l u s d e 1.65 l a l i v r e ; vaches,
de 800 & 1.600; v e a u x , 2.50 à 3 f r . ln
l i v r e ; porcs g r n s : 3.50 en m o y e n n e :
norcelets d e 5 h 10 s e m a i n e s : 180 ii 200
ln p i è c e ; v e n t e p l u s c n l m c s u r les p o r cclctSi
B e u r r e s en gros, 12 f r . le k i l o ; 14 f r .
l e salé, nu d é t a i l ; oeufs, 6.50 ln d o u zaine.
P o u l e t s , 3.50 l a livre.
C i d r e : 300 f r . l a b a r r i q u e , p l u s les
droits.
HENNEBONT, 13 .Innvicr. — Seigle.
70 ii 72 f r . l e s 100 k i l o s ; avoine, 78
à 80 les 100 k i l o s ; blé n o i r . 76 il 80
les 100 k i l o s : p o m m e s d e terre, 40 il
45 les 100 kilos.
B e u r r e , 10 h 11 f r . ln l i v r e : oeufs, 6.50
h 7.50 l e s 13; poulets, 20 i\ 40 f r . ln
c o u p l e ; cannrds, 10 il 12 f r . ln pièce :
pigeon, 5 h 6 f r . ln pièce; l a p i n , 10
h 30 f r . ln pièce; bœuf (chez l e détaill a n t ) , 7 à 18 f r . ; m o u t o n (chez le dét n . l i a n t ) , 14 il 20; porcs (chez le d é t a i l l a n t ) , 12 à 14; veau (chez le d é t a i l l a n t )
10 i>12 f r .
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et ingénieux. Ln ' série d ' e x e m p l e s act u e l l e m e n t en cours d e p u b l i c a t i o n est
consacrée nux a m é n a g e m e n t s réalisés
p a r 3 d o c t e u r s , en Ardcnncs, en C h a m p a g n e et ii P a r i s .
Ingénieusement et avec goût
l'ne salle à manqer d'esprit
Picard.
C o m m e n t les m e u b l e s r u s t i q u e s , en cer i s i e r , n a ï v e m e n t p a r é s d ' u n e décoration
végétale, sont m i s en v a l e u r d a n s un
cadre c l a i r et t r a d i t i o n n e l , c o m p o s a n t
u n e r a v i s s a n t e salle il m a n g e r (4 phot o g r a p h i e s ) au d o c t e u r G o u r n n y , ii Pnr i s (n» 353).
« La Culbute », nux b â t i m e n t vétustés,
l é p r e u x et d é l a b r é s , e n t i è r e m e n t t r a n s f o r m é e en u n e c h a r m a n t e d e m e u r e dt
campagne, permanente,
nux
façades
fleuries, a d m i r a b l e m e n t décorée et meublée d a n s le goût régional (16 photog r a p h i e s et plans)
a u docteur Emile
B n u d o u i n , à Charlcvillc O r 354).
i ' n couloir t r a n s f o r m é i n g é n i e u s e m e n t
et c o m m o d é m e n t , d ' a p r è s le dispositif liiiéairc, en une c u i s i n e e t en un olficc
(4 p h o t o g r a p h i e s et olnns) au docteur
Lcvy, ii R e i m s (n° 354).
Vne salle de bains c o m p l è t e , r a t i o n n e l l e m e n t i n s t a l l é e sur un petit espace
uvee
la
meilleure
a p p r o p r i a t i o n de
c h a q u e p a r t i e d ' u n e m a i s o n p o u r facil i t e r le t r a v a i l (n° 355, 1 " J a n v i e r 1933)
C h n q u c n u m é r o f r n n c o 5 f r . 50, porté
it 6 f r . 60 t r o i s m o i s a p r è s m i s e en
,vente.
M. Albert M a u m c n é . 79, b o u l e v a r d
S n i n t - G c r m n i n , P n r i s 6".
Le gérant : D. PLOUZENNEC.
Quimper, Imprimerie Cornouaillaisc.
FEUILLETON DE L' « UNION AGRICOLE »
du vendredi 20 Janvier 1933.
[1]
LE DERNIER
DES FLIBUSTIERS
par
G. de LA LANDELLE
I
HAÏR, C'EST SOUFFRIR
Sur l'une des routes accidentées
*<iui conduisent d'Autriche en Pologne, une berline escortée par quelques serviteurs à cheval s'avançait
aussi rapidement nue le permettait
île mauvais état du chemin.
Elle était occupée p a r deux jeunes
et vaillants amis, l'un hongrois de
naissance et polonais d'origine, Mat\rice-Aujfuste de Béniowski (1), {lit
Samuelovitch, qui, à peine Agit- de
vingt-sept ans, avait déjà couru nomb r e de grandes aventures, — l'autre
Français autant qu'on peut l'être,
Richard, vicomte cle Chauimont Mci'ilant, mauvaise tête, grand cœur, ivarfait gentilhomme et très convenablement romanesque.
Béniowski était exaspéré. D'après
les conseils de son brave compagnon, qui ne manquait pas d e crédit
à la cour de Vienne, H s'y était rendu
(I). On lit ailleurs Riniowiky ou
Bényowtky.
pnr un ou deu* y, mais au cours d u présent
ouvrage l'orlhographu la plus siir,p| 0 . ou nu
moins la plus Irançuisc, sera constamment
préférée autant faire se pourra.
Aux d e r n i è r e s vacances.
Un peintre d« grand talent est
occupé à prendre un superbe paysage.
Une bonne villageoise qui le
regarde travailler lui dit :
— Eh bien, mon bon M'sieu, ça
va la peinture ?
— Dame, les commandes ne pieuvent pas...
— Eh bien ! combien que vous
nu* prendriez pour repeindre ma
charrette?
A malin, malin et demi.
Un brave campagnard, aux prises
avec son âne, ne peut Je faire partir.
Un jeune loustic, croyant faire le
malin, s'adresse au campagnard :
— Eh ! l'homme ! Combien veuxtu me vendre ton âne ?
L'autre, toisant un instant l'impertinent blanc-bcc, réplique aussitôt :
— Avant de penser à acheter mon
âne, faudrait demander à tes parents s'ils ont les moyens d'en nourrir deux !
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L. LE NAOUR, Pharmacien de l' classe
de la Faculté de Paris
Ancien Chef de Laboratoire
Ancien Interne des hôpitaux de Paris
Docteur de l'Université
MALADIES DELÀ FEMME
J
LA MÉTRITE
Tout« femme doni le* rtgle» sont Irégulière* et douloureuse*,
accompagnées de Colique*, Maux de reins, Douleurs dans le basventre ; celle qui est sujette aux Perte* blanche*, aux Hémorragie»,
aux Maux d'estomac, Vomissement*, Renvois, Aigreur*, Manque
d'appétit, aux Idées noires, doit craindre la Métrite.
Pour guérir la Métrite et les maladies qui l'accompagnent, la
F*mme fera usage de la JOUVENCE DE L'ABBE SOURY.
Le remède est Infaillible à condition d'être employé tout le temps
nécessaire.
La JOUVENCE ilE L'ABBÉ SOURY guérit la Métrite, parce qu'elle est composée
de plante* ipéclale* ayant la propriété de faire circuler le sang, de décongestionner les
organes maladea en même temps qu'elle le* cicatrise. La
pour faire valoir ses droits à la propriété des domaines de son père, le
comteSamuel de Béniowski ; toute
justice lui ayant été refusée, i'1
retournait en Pologne, où se préparaient d e grands événements. Durant
le trajet, il avait longé les terres dont
il aurait d û être le seigneur et maître. Sa déception se convertit en
fureur. A l'aspect îles tourelles du
château où il était né, il proféra dès
malédictions, et ne tarda ipoint à
être atteint d'un vicient accès de
lièvre. Puis, loin de se ea'Vmer, le mal
empira. En traversant 'le comté de
Zrps k il délirait, ne parlant que de
sacc.ager, d e massaicrcr, de pourfenses beaux-frères et jusqu'à ses
Idre.p r o p r e s sœurs. Puis, il restait anéanti, glacé, mourant. Le mouvement
<Ve 'la voilure devenait insupportable.
Une pluie torrentielle refroidissait
la température. Les petites rivières
se gonllniont, 'les torrents coniniençaient ¡'; déborder, et la nuit était
proche.
L'un des serviteurs à cheval.
Vasî'Ji» frère de lail de Samuelowitch,
s'alarmait et demandait qu'on arrêtât.
— Sans contredit ! Il n'y a plus
'.tutre chose à faire ! s'écria 'k
vicomte français.
Mais Béniowski voulait auparavant
sortir des possessions autrichiennes.
Ziips, qui est situé dans le cercle
en-deçà d e la Theiss, n'est pas' fort
loin de la frontière : quelques heures encore, l'on eût été en Pologne.
— Cor-bleu ! reprit le pétulant
Itiohard, serions-nous chez les Iroquois ou chez les Kalinouks, ¡'irais
demander l'hospitalité dans la première hutte ventre. Or ça, postillon,
v a-t-il par ici une auberge, un village, un château ?...
—• Il y a, Monsieur, un château,
dix villages, une ville et deis auberges
à choisir.
— Je choisis le château.
— Y songez-vous '? dit Béniowski.
mieux vaut la plus détestable des
hôtelleries.
— Pardon ! je n'aime pas les hôtelleries médiocres, laissez-mois prendre mes renseignements, et ensuite
à la guerre comme à la guerre.
D'après le postillon, le château
appartenait à un icpulent magnat
magyar, l'un 'des plus estimables
genitlshomm'cs 'de la Haute-Hongrie,
père de trois filles charmantes, possesseur d'immenses propriétés dans
les diverses parties du royaume...
—
Camarade,
interrompit
'le
vicomte, auruit-il des vignobles dans
le voisinage d e Tokay V
— S'il en a I... Les meilleurs.
— Droit au château d u 'magyar,
morbleu !... Je réponds de la guérison de notre cher comte. IA Tokay
est un nectar, notre futur hôte est
un gentilhomme... Et nous allons
nous faire noyer, si nous passons
une heure de plus dans ces maudits
lits de torrents... Allons ! entre l'eau
froide et le vin réchauffant, entre la
maladie et 'la santé, nous n'iiésitonis
plus, j'espère...
Béniowski, abattu par la souffrance, n'avait plus la force de répondre.
Vasi'li, qui galopait à côté de la
berline, prit les devants ; et quand
les voyageurs s'arrêtèrent enfin dans
la ootir d'honneur du 'château des
Opales, le noble Casimir Hcnsky, 'sa
femme, son gendre et ses filles, dont
la dernière n'avait pas encore douze
ans, vinrent au-devant île leurs
futurs hôtes.
Casimir Hcnskv se félicita de les
recevoir dans sa modeste résidence,
— Modeste I... interrompit le
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vicomte, je vois avec bonheur que
les Français ne sont point les seuls
qui exagèrent. Vous habitez un castel-admirable, Mi'lc magnat, tourelles, créneaux, mâchecoulis, fessés
pont-leviis, cour d'honneur ! c'est
superbe dans le paysage...
— L'architecture est lourde... « et
le sti/lc en est vieux ! » répondit le
seigneur hongrois en fort bon français.
— Uno allusion au Misanthrope !...
s'écria Hichard. v;
— J'ai Molière/dans ma bibliothèque.
— Tokay dans votre cave ! Les
Muses, les grâces et la gaîté habitent
los OpalesSoutenu par Vasi'li, Béniowski.
que les châtelaines, ente,tiraient, gravissait 'déjà les marches du perron
féodal. Et si le vicomte, pétillant
d'entrain, charmaii'ïes cavaliers par
ses propos, Béniowski attirait sur
lui ¿'intérêt des jeunes- femmes. Le«
traits d'esprit du genlihonvme français furent faits 'en pure perte.
Le fils du général Samuel de
Béniowski et de, Rose, baronne dv,
Heviiy, comtesse héréditaire de Thuroez, Maurice était bien connu dans
la contrée depuis son premier coup
de tête.
Il avait fait ses éludes à Vienne
avec les fils- des plus illustres familles de l'empire ; — son intelligence
it ses forces physiques se développèrent rapidement ; il se montrait
aussi adroit aux exercices du corpsqu'ha'bi'le aux travaux d e l'esprit. Dès
l'âge de quatorze ans, il entra dans
la carrière militaire, en qualité de
lieutenant au régiment de Siebenschien, qui faisait alors partie de
l'armée belligérante contre la Prusse.
Le 8 Octobre 1756, il vit Je feu
pour la première fois à la bataille de
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S'adresser à Mme veuve Favennec
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•des époux Bellaisch, commerçants à n
Pont-Aven, aura lieu au Tribunal de
Quimperlé, le samedi 11 Février
1933, à onze heures.
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Etude ds M" LE MESTRIC,
Greffier de Paix à Pont-Aven.
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LE DIMANCHE 2!) JANVIER 1933
à 13 heures et demie et jours suivants
s'il y a 'lieu, il sera procédé par le
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de paix à Pont-Aven, commis à cet
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I.obositz, livrée jjar le général
Ce double droit pourtant ne parut
Lïrown. — L'année suivante, sous les pas suffisant à la cour de Vienne, où
ordres du prince Charles de Lor- ses deux beaux-frères s'étaient emraine, il combattait, Je 16 Mai, à Pra- pressés de le dénoncer comme pergue ; le 12 Novembre,
devant turbateur du repos public. Il est cerSchweidnitz. — La quatrième ba- tain que les procédés expéditifs du
I a Mie à laquelle il se trouva fut -celle comte Maurice pouvaient aisément
de Domstadt, en 1758, sous Je com- être interprétés en mauvaise part. On
mandement du général Laudon.
les représenta comme une révolte ;
Peu après, il quitta le service pour on dépeignit comme très dangereux
aller recueillir en Lithuanie la suc- un jeune et riche seigneur capable
cession du staroste de Béniowski, de soulever d'un met toute une popuson oncle ; — il entra paisiblement lation. A ces imputations s'ajouen possession d e la starostie et des taient, sans (lou-te, des griefs plus
biens qui en dépendaient. — Cepen- sérieux : Béniowski, polonais d'oridant, son père mourut, ses beaux- Rine, et redevenu staroste lithuanien
frères, profitant de son absence, par l'héritage de son oncle, avait
s'emparèrent de l'héritage, sious pré- hérité des rancunes du roi Stanislas
texte qu'en acceptant le legs de la Leczinsky contre la Russie ; le cas
.starostie, Maurice avait perdu ses échéant 'd'une levée de boucliers, il
droits à la seigneurie de Vprbowa était homme à entraîner ses vassaux
liongrois, sujets de l'empire, dans la
Bien de moins fondé ; Maurice se cause polonaise.
rend en Hongrie ; à son arrivée on
Béniowski fut -condamné sansiui refuse durement la porte -du château où il est né. L'offense était avoir été entendu. Une sentence de
cruelle ; il jure d e se venger, et au l'impéràtrice-reine le dépouillait de
lieu de s'adresser aux lois, n'hésite tous -ses biens ; sa liberté même fui
menacée ; il dut -s'enfuir précipitampoint à se faire justice lui-même.
A l'armée, Béniowski avait montré ment en Pologne. De là, il eut beau
du courage et une remarquable anti adresser des mémoires à -la cour
tude au métier d e la guerre, mais d'Autriche, ce fut en vain; ses enici éclate son caractère entrepre- nemis étaient puissants ; ils internant, 'dont l'expérience n'a par ceptèrent sa correspondance et s'afencore tempéré la fougue. Il court à fermirent d a n s leur usurpation.
Krusrova, dépendance seigneuriale
Les biens immenses que le jeune
de son domaine, s'y fait reconnaître staroste possédait en Lithuanie lui
par les vassaux comme fils et légi- permirent cependant de se livrer à
time héritier du comte Samuel ; il sus goûts pour les voyages et la males harangue, les émeut, s'assure de rine. Il se rendit à Dantzick, où il
leur fidélité, les soulève et les arme s'ocupa fort assiduemont d'acquérir
en sa faveur. En plein dix-huitième des connaissances spéciales en navisiècle, il dirige une véritable expé- gation. M se proposait, dès lors, de
dition des temps féodaux, met Je parcourir les mers, d'y faire des désiège devant le château de Verbowa, couvertes. de devenir un aventurier
le reprend, en chasse les usupateurs ( élèbre.
et y rentre enfin — et par droit de
Les événements parurent bientôt
conquête et par droit de naissance. le conduire dans une direction diffé-
î e n t : la guerre et la politique allaient
donner un autre aliment' à sa prodU
gietise activité ; mais ,sa destinéebizarre devait, un j o u r / l ' e n t r a î n e r
à réaliser les projets de sa jeunesse.
Peur compléter ses études maritimes, il se rendit successivement à
Hambourg, Amsterdam et Plymouth^
il visita une grande partie de l'Europe, enfin, il allait partir pour les
Indes. lorsque les intérêts d'up ordre
supérieur le rappelèrent en Pologne.;
Antérieurement, toutefois, jl avait
songé un instant à passer en Suède,
et il n'aurait pas hésité si elli? avait
eu pour souverain un speond Charleis XII; la France Jiii 'parut préférable. La noble et vénérable fille
du roi Stanislas, Marie Leczimska,>sa
parente assez rapprochée, était sur
le trône; il fit un voyage à Versailles
d allait obtenir un régiment de cavalerie, quand un maudit duel 'le mit
en 'disgrâce.
,
— Quel duel? demanda SalciAce,
la seconde fille du Magyar Casdihir
Hensky devant qui le vicomte de
Chaumont-Meillant relatait la partie
encore inconnue de la'biographie dé
son ami.
— Une sotte querelle sans motif,s,
sérieux, avec votre très humble set-'
v/teur, Mademoiselle. Je fus blessé
assez grièvement et passai- six grands
mois à la Bastille, où il m'^wajit t/. '
coup sûr tenu compagnie sans
l'adresse de son frère de lait: Vasili,
qui s'était déjà précaution né d'une
chaise de poste. Nous n-oufe séparâmes après mille protestations d ' e ^
time et d'amitié. Nous devioji.viious
retrouver dans la mer du-Nord. ' ?
- Oh!... Ah!... — Ces{ prodigieux!... — Incrovable!
• . ,v
» i
(A sfiiive).
50e Année. — N° 4.
Vendredi 27 Janvier 1933.
Paraissai l
leVENDRl
•
•
Nous ne voulons
DI
pas que le regard
d'autrui puisse, dans
Le Numéi o :
i
certains cas de notre
vie, être pour nous
Centimis
une humiliation.
Démocratique et Régionaliste de l'Ouest
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2310 M. Caillaux avait prévu et prédit
l'ère d e la g r a n d e pénitence. La
démagogie de nos élus la r e n d a i t
inévitable, et la crise é c o n o m i q u e
m o n d i a l e en a précipité l'avènement.
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adressant un mandat-chèque au C/C 14.139,
Rennes.
Dimanche Prochain
à Quimper
Les Syndicats de Contribuables
protestent contre les menaces
de N. Chéron à leur égard
Les associations et syndicats
de
envisagées par M. Chéron. Elle
contribuables auxquels le Gouverner e j e t é e n particulier le projet
ment est hostile, alors qu'il tient un
si grand compte de l'avis des groug o u v e r n e m e n t a l c o n c e r n a n t la ré
pements de fonctionnaires,
protestent
vision des pensions
militaires
vivement contre un article des prod'invalidité, la s u p p r e s s i o n de 1
têts Chéron qui vise tout particulièpension a u x veuves de g u e r r e re
rement leur action, puisqu'il
prévoit
mariées, la modification de la loi
ine grave répression coritre ceux qui
a c c o r d a n t des pensions teinpora
s'opposent à l'impôt.
LA GRANDE P É N I T E N C E
res a u x victimes de la g u e r r e d o n t
Le Syndicat des Contribuables de
; ., Organisée par l'Union des Syndicats Agricoles et le Comité de
à la
Boulogne-Billancourt,
affilié
Depuis la fin de la guerre, no- les infirmité« ne sont pas recon
L'élection
législative tre b u d g e t n ' a cessé de croître n u e s i n c u r a b l e s e t le recul d i
Fédération de la région
Parisienne,
Défense
Paysanne,
sous
la
présidence
de
M.
H.
de
GUÉBRIANT
de l'Oise.
adresse à ce sujet ù M. Chéron la
d a n s des p r o p o r t i o n s considéra- l'âge de la r e t r a i t e du C o m b a t t a n t .
lettre suivante :
Dimanche n eu lieu le deuxième bles. Députés et s é n a t e u r s pousElle a . a d m i s , p a r contre, l e
tour de scrutin de l'élection d'un saient à l'envi a u x dépenses, Un principe de la révision des pen
Boulogne, le 18 Janvier 1033.
député dans <la 2" circonscription -de g r o u p e propcsait-il u n crédit de
Monsieur le Ministre,
Senlis, afin de remplacer M. Chauvel 50.000 f r a n c s pour tel poste d u sions.
E n ce qui concerne les fonction
Au moment où vous recevrez ces
indépendant de gauche, invalidé pai
budget ou telle catégorie de ci- naires, la Commission a r e j e t é en
quelques lignes, vous ne serez peutla Chambre.
P r o g ra m me
être plus ministre, mais si vous l'êtes
M. Uhrv, ancien député S. F. I. O toyens, il se trouvait aussitôt u n bloc t o u t e s les dispositions d u
encore, je vous prierai très humblea été élu uar 5.997 voix, contre 5.62 a u t r e g r o u p e p o u r s u r e n c h é r i r et p r o j e t g o u v e r n e m e n t a l .
ment, M. le Ministre, de bien vouloir
à \1. Chauvel, indépendant de ¡MU d e m a n d e r 100.000 ; et le gouverElle leur a s u b s t i t u é l'article
Les doléances des Cultivateurs, par M. P. BELBEOC'H, Agriculteur à Douarnenez, Admi- tei, il* compte des protestations que
c.hc, et 1.324 à M. Vaillant-Couturier n e m e n t p r e s q u e t o u j o u r s devait 1" du c o n t r e - p r o j e t socialiste, qui
je vous adresse et qui sont le résulconmunistc.
s'incliner s o u s peine d ' ê t r e r e n - Stipule que, d a n s c h a q u e d é p a r t e
nistrateur de l'Union des Syndicats agricoles, Secrétaire de la Chambre d'Agriculture, tat de la lecture de vos projets flr-anversé.
m e n t ministériel, il sera procédé
ciers.
Membre de l'Office départemental agricole.
„ T ;
Dimanche dernier, les voix s e
Mais pour p e r m e t t r e ces dépen- à u n e r e f o n t e de l'organisation
Je ne commenterai qu'un seul artiiaient ainsi réparties :
ses, il fallait t r o u v e r les r e s s o u r - a d m i n i s t r a t i v e et à une r é f o r m e
cle, celui qui porte le numéro 06.
MM. Jules Uhrv, 5.038 voix ; Chau ces c o r r e s p o n d a n t e s , et les i m p ô t s des m é t h o d e s de travail.
II.. Les vraies causes de la crise, les remèdes urgents, par M. LEROY-LÂDURIE, Agriculteur, Ainsi donc, nous autres payants,
vol. 5.023 ; Vaillant-Couturier, 2.403 o n t a u g m e n t é d a n s des p r o p ô r nous n'aurons pas le droit de réclaM. Xavier Vallat avait déposé
Goirmand, républicain indépendant
Secrétaire-Général de l'Union des Syndicats agricoles ku Calvados.
mer, ni de nous organiser en vue de
tions telles que le c o n t r i b u a b l e une proposition d e m a n d a n t une
79.
a défense de nos intérêts — toute
Rappelons qu'en Mai 1932, M f r a n ç a i s se t r o u v e être a u j o u r - r é d u c t i o n de 10 % de l ' i n d e m n i t é
- RÉSOLUTIONS.
!
manœuvre de propagande tendant à
Chaitvel avait été élu au second tour d ' h u i le plus grevé d u m o n d e en- p a r l e m e n t a i r e . Mais l a Commis
entraver l'application des lois de
k 28 voix de majorité (6.228 contre tier. E t la crise est v e n u e : agri- sion a d o n n é sa p r é f é r e n c e à la
l'impôt — d'après vous, sera punie
6.200).
c u l t u r e , i n d u s t r i e e t c o m m e r c e m o t i o n E m i l e Borel, f r a p p a n t
de prison et dèchçance de nos droits
Les
contribuables
travaillent a u ralenti ; l ' i m p ô t n e d ' u n i m p ô t de 2 %, la f r a c t i o n de
politiques.
et la
majoration
r e n t r e plus.
Bref, la liberté si chère aux jOrgacette
indemnité
supérieure
> Le tenipsrfes vaines protestations est passé. Puisqu'on ne nous écoute pas, puisque nisations syndicales illégales qui se. !
sur les impôts
arriérés
N o u s en s o m m e s ainsi arrivés 50.000 f r a n c s . Députés e t séna
de 1932.
de l'autre côté de la barrià u n déficit b u d g é t a i r e q u e les t e u r s verseraient ainsi 200 f r a n c s les interventions
de nos Associations restent trop souvent lettre morte, nous ferons comme trouvent
cade sera respectée,- adulée, consulI.a Fédération nationale des con e x p e r t s ont évalué à 10 m i l l i a r d s c h a c u n e{ p a r a n . C'est u n e bien
même au besoin, et noms autres,
tribuables a adressé à M. Chéron et demi.
moiris puissantes que les nôtres, s'agitent, *e Jmt tée
petite p a r t q u ' i l s p r e n d r a i e n t à la les autres. ^i^^orga^ations,
contribuables, nous devrons courber
une lettre pour lui demander de rap
• > " • : . ,!:% ..; .v p é n i t e n c e générale..
•craindre et $e j/tôit écouter. Comme elles, nous irons- vrier notre détresse et exposer nos l'échiné sous le poids d u fardeau
poTfef son décret prévoyant une L E P R O J E T D E M.' CHÉRON
Quatit &Ux c o n t r i b u a b l e s , i l i
-sans cesse é-crasimt'tju'tine succession
aggravation des charges s'élevant à
devant l'opinion publique, devant nos élus, devant le représentant
du le ministres de votre qualité nous a
10 % d u montant des impôts non
P o u r combler ce déficit, M. Ché- n ' o n t guère trouvé de d é f e n s e u r s revendications
accablé.
payés àfinFévrier prochain. Les ron, m i n i s t r e des F i n a n c e s se p r o - à la C o m m i s s i o n Celle-ci adopte Gouvernement.
Eh bien, non, ce sont des menaces
mesures prises par le ministre, esti posait de d e m a n d e r la moitié a u x en gros le p r o j e t de M. Chéron, et
que les contribuables français n'acme la Fédération, ne pouvant qu'ag économies et l ' a u t r e moitié à des en aggrave encore les dispositions
cepteront pas, devons-nous, les uns
graver la situation actuelle des con
en d e m a n d a n t q u e soit r e n d u oblifiscaux.
après les autres être conduits à Vintribuables et précipiter la crise dont a m é n a g e m e n t s
rennes ; si le bon sens et l'équité ne.
Notre g r a n d a r g e n t i e r croyait gatoire l'affichage, d a n s toutes les
la solution ne peut être trouvée que
"ous font pas changer cet article 60,
dans un allégement des charges.
ainsi m e t t r e t o u t le m o n d e d'ac- c o m m u n e s de F r a n c e , de la liste
des
h
a
b
i
t
a
n
t
s
a
s
s
u
j
e
t
t
i
s
à
l'impôt
nous passerons outre et la uropacord, et tout le m o n d e en effet se
gande que jusqu'à présent nous avons
La vague de froid trouva d'accord, m a i s d ' a c c o r d général s u r le revenu.
iienée avec la plus grande dignité
La Commission accepte d o n c
Une vague de froid s'est étendue c o n t r e lui. Ce f u t , p a r t o u t le pays,
deviendra, du fait de vos menaces,
l'aggravation des i m p ô t s directs
'i l'ensemble du pays. On a enregistré un toile général.
un instrument dangereux pour vous
— 12° ù Bar-ie-Duc et à Belfort
Les c o n t r i b u a b l e s p r o t e s t è r e n t , et aussi l ' a u g m e n t a t i o n des imet vos successeurs.
pôts
indirects,
m
e
s
u
r
e
qui,
tout
— 15° à Metz et à Vesoul ; — 21°
d é c l a r a n t qu'ils étaient d é j à t r o p
Tous les fonctionnaires des pouOyonnax (Ain) ; —^ 5° à Nîmes
en
é
t
a
n
t
m
o
i
n
s
sensible,
est
p
l
u
s
grevés, qu'ils ne p o u r r a i e n t s u p
voirs
publics ont pris le droit de se
— 1° à Bordeaux ; — 18° dans le porter, q u ' i l s ne s u p p o r t e r a i e n t grave, puisqu'elle a t t e i n d r a s u r mettre en grève, les écoles peuvent
Bourbonnais.
tout
les
familles
n
o
m
b
r
e
u
s
e
s
,
les
être fermées, les services postaux,
A Versailles, les bassins du Parc a u c u n e nouvelle charge.
les chemins de fer arrêtés, et nous
Les a n c i e n s c o m b a t t a n t s pro- o u v r i e r s et m ê m e les c h ô m e u r s . de, Nogaro et Chevrier. D a n s le
sont gelés ; l'Allier et le canal du
Six m o r t s d a n s u n incendie autres contribuables nous n'aurions
Centre sont gelés. Il a neigé û Aix et lestèrent, d é c l a r a n t que la r e t r a i t e
g r o u p e p a r l e m e n t a i r e radical-sor a s ie droit d'élever même ia voix.
L'UNION F A I T LA F O R C E
à Grenade.
à Marseille.
,
qu'ils avaient fini p a r obtenir, ils
cialiste aussi, c e r t a i n s chefs, M
U no signifient ceis- rigueurs devant
V
l'avaient
bien
méritée
p
a
r
les
soufe
n
particulier,
veulent
Herriot
Un incendie d'une rare violence a tous les ménagements pour les synUn nouveau buste
officiel f r a n c e s qu'ils ont e n d u r é e s pen- Le p r o j e t du g o u v e r n e m e n t se
détruit un magasin de droguerie à dicats illégaux ? Et est-ce là la coltrouve ainsi c o m p l è t e m e n t dislo résister à l'offensive socialiste. E t
de la
République.
Découverte
d a n t les a n n é e s terribles de 1914 qué, e t seuls les c o n t r i b u a b l e s l'on p e u t se d e m a n d e r , avec M.
Grenade (Espagne). Le droguiste sor- laboration confiante demandee par
M. Mistler, sous-secrétaire d'Eta
1918. Cette r e t r a i t e , procla- n ' o b t i e n n e n t a u c u n a d o u c i s s e m e n t J e a n Piot, d a n s L'Œuvre,
si l'on
d'une nouvelle lampe tit pour donner l'alarme, niais l'in- vous, M. le Ministre ?
aux Beaux-Arts, vient de choisir un maient-ils, doit être intangible.
cendie a pris très rapidement des
Votre article 66, je vous le répète,
ne
va
pas
vers
u
n
e
scission
d
a
n
s
électrique.
au
sort
qui
leur
est
réservé.
nouveau modèle de buste de la Répu
proportions cortsidérables. La fem- est gros de conséquence et ne seraitce
p
a
r
t
i
,
u
n
e
p
a
r
t
i
e
r
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s
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a
n
t
fidèle
Les
i
n
s
t
i
t
u
t
e
u
r
s
,
q
u
i
avaient
Un jeune savant britannique a me, íes quatre enfants et la nièce e que pour maintenir l'ordre dans
blique, destiné à remplacer dans les
Ce qui prouve, une fois de plus,
la vieille doctrine radicale, et construit une lampe électrique d'un du
édifices publics le modèle dont la d é j à protesté, au n o m des e n f a n t s , la nécessité de l'union, de l'orgadroguiste, n'ayant pas pu échap- le pas, vous avez le devoir de ne
une
a
u
t
r
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f
r
a
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t
i
o
n
se
t
o
u
r
n
a
n
t
d
u
modèle nouveau. Celte lampe ne per à temips, sont morts asphyxiés. us le laisser incorporer dans vos
valeur artistique a été maintes fois contre les p r o j e t s de Monzie, et nisation.
comporte pas de filament, niais foncdiscutée.
qui, bien plus, avaient d e m a n d é
projets.
Les a n c i e n s c o m b a t t a n t s sont côté de la S. F. L ' O . , pour ne p a s
Il a choisi' l'œuvre du sculpteur de nouvelles c r é a t i o n s de classes u n e force d a n s le pays. L e u r de- « se laisser .baltFeysuj!,.le t e r r a i n tionne par l'illumination d'un sa«
Un navire norvégien Veuillez croire, M. le Ministre, à
d'une matière analogue-ù celui du
Pierre Poisson, une République à et d'écoles, p r o t e s t è r e n t cette fois,
de
la
démagogie
»V.
assurance de nia considération disnéon, mais tandis que les tubes au
détruit par le feu. tinguée.
l'aspect de paysanne jeune et robuste et bien p l u s é n e r g i q u e m e n t , en vise : « T o u j o u r s u n i s c o m m e au
néon ne s'il'luminent que sous une
Par ce temps de crise, iil y avait là leur n o m personnel. Ils organisè- f r o n t » f a i t t r e m b l e r les politi
Un navire norvégien, le Taronga.
tension minima d e 2000 volts, la
une économie toute trouvée et qui rent d a n s le p a y s u n e « j o u r n é e ciens, qui savent qu'ils p o u r r a i e n t V E R S UNE CRISE '
a pris feu et a coulé avec sen charleur en cuire de s ' a t t i r e r l'hostis'imposait.
M I N I S T É R I E L L E nouvelle ilampe utilise le courant du gement au large de Perim, à côté de
secteur et sa consommation n'est
LE COMMERCE EXTÉRIEUR
A moins que M. Mistler ait voulu de r e t r a i t e s ». Q u e l q u e s - u n s , se lité des poilus. E t la Commission
Au Conseil des m i n i s t r e s t e n u que de 4/10 de celle des lampes à Djibouti.
donner une leçon à nos dirigeants t r o m p a n t s u r les mots, avaient des F i n a n c e s n ' a pas osé p a r t a g e r
Le
chargement
se
composait'
de
DE LA FRANCE, EN 1932
11 change le buste de la République cru, d a n s leur c a n d e u r naïve, q u e avec M. Chéron la responsabilité lundi m a t i n , M. H e n r y C h é r o n a filament de tungstène.
12.000 balles de ilaine d'Australie et
en attendant que l'on aille beaucoup nos b o n s pédagogues r e n o n ç a i e n t d ' u n e m e s u r e i m p o p u l a i r e e n t r e reçu m a n d a t de c o n t i n u e r à suiLa lumière obtenue est très blan- de Courali, à destination de Tourvre les t r a v a u x de la Commission che et identique à celle du jour. !
plus loin et que l'on change la Cons- définitivement à leur anticlérica- toutes.
coing et de Roubaix.
Importations : 29.825 millions.
des F i n a n c e s et de d é f e n d r e detitution elle-même, et cette fois des lisme et q u ' i l s se convertissaient.
Le Taronqa, vapeur de 15.300 tonExportations : 19.693 millions.
Les f o n c t i o n n a i r e s s y n d i q u é s vant les deux Assemblées le propie>d$ à ''a tête.
380 soldats chinois nes, lancé en 1927 et appartenant à
Il n'en était rien ; la « j o u r n é e de
L'Administration
des Douanes
sont
une
a
u
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force,
u
n
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force
"et
d'équilibre
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et
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'
a
s
était organisée p o u r
m e u r e n t de'froid une Compagnie de navigation d'Os- communique le tableau
La question des dettes rper tortaeist teesr »contre
comparatif
électorale qu'il v a u t m i e u x avoir s a i n i s s e m e n t financier d u .gouverlo, était parti le 7 Décembre der- en valeur et én tonnage de
le
recul
de
l'âge
»
en
Mandchourie.
¡roanglaises à
l'Amérique. de la r e t r a i t e et c o n t r e la r é d u c - p o u r soi q u e contre soi, et la Com- n e m e n t . Mission difficile, qui
nier d'Australie avec son très impor- tations et exportations pour nos
l'année
Des patrouilles japonaises, envo- tant chargement.
mission, obéissant a u x sugges- n o u s semble a u - d e s s u s des forces
M. Roosevelt a invité l'Angleterre tion des t r a i t e m e n t s .
1932, par rapport à l'année 1931 et à
yées en reconnaissance sur 'le mont
à envoyer une délégation d'experts
tions des socialistes, s'est e m p r e s - du s é n a t e u r d u Calvados.
Il se trouvait dimanche soir à l'en- l'année 1913, celle-ci étant considéTa Kou Ichn, non loin de la frontière trée
T o u s les f o n c t i o n n a i r e s en gé- sée de leur d o n n e r satisfaction.
britanniques au début du mois de
de
la
Mer
Houge.
Il
avait
franE n effet, si l e g o u v e r n e m e n t coréenne, ont trouvé dans la montarée comme la dernière année norMans, afin de discuter la question néral p r o t e s t è r e n t c o n t r e la réLes c o n t r i b u a b l e s sont à coup repousse les modifications a p p o r - gne les corps de 380 volontaires chi- chi" le détroit de Bab-el-Mandeb et male d'avant-guerre.
des Dettes de la Grande-Bretagne à duction de ' e u r s m o y e n s d'exis
arrivait
au
large
de
Périm,
lorsque
le
l'Amérique. M. Roosevelt tient à faire tence, et, p a r l ' i n t e r m é d i a i r e de s û r les plus n o m b r e u x , car tous tées à son p r o j e t p a r la Commis- nois gelés sur place p a r le froid ter- feu prit soudainement dans la cale
Importations.
ressortir que ces discussions doivent leurs syndicats, s o u t e n u s p a r les les F r a n ç a i s p a i e n t l'impôt, d u sion, il a u r a contre' lui les socia- rible qui sévit en ce moment en r.° 5.
La valeur de nos importations a
Mandchourie.
m o i n s l ' i m p ô t indirect, qui, ne
être parallèles et subordonnées à des socialistes,
C'est donc sensiblement dans la ré- atteint la somme de 29 milliards 285
firent
e n t e n d r e les l'oublions pas, est le plus f o r t . listes et u n e p a r t i e des r a d i c a u x ,
Les Chinois, retranchés sur une ex- gion où brûla le
discussions sur le« problèmes eeono
et
il
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b
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a
à
la
C
h
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r
e
.
Georqes-Philipiai millions 844.000 francs, pour 47 milp l u s graves menaces.
cellente position naturelle, avaient
miques 'mondiaux.
Ils c o m m e n c e n t à se g r o u p e r
S'il les accepte, au c o n t r a i r e , il repoussé, jusqu'à présent, les as- que le nouveau sinistre s'est pro- lions 545.619 tonnes, présentant ainsi
Les
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s
,
à
leur
t
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,
s'ades diminutions de 12 milliards 379
duit. Londres n'a encore pris atteune
se s y n d i q u e r . Le jour où ils se
gitèrent et p r o t e s t è r e n t c o n t r e le s e r o n t organisés, a u c u n , a u t r e sera r e n v e r s é par le Sénat, q u i n ' a sauts japonais à plusieurs reprises.
millions 986.000 fr. et de 10 millions
décision.
pas
ménagé,
l
'
a
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j
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,
ses
apSubitement,
de
secteur
chinois
deLe gouvernement italien vient de p r o j e t de M. Chéron, qui p r é t e n - g r o u p e m e n t ne sera aussi f o r t ;
551.440 tonnes par rapport à l'anp
l
a
u
d
i
s
s
e
m
e
n
t
s
à
son
président,
vint
ealnie
et
le
commandant
japorecevoir également une communica- dait s u s p e n d r e p e n d a n t u n an le ce j o u r - l à on les écoutera.
née 1931, et des augmentations de 21
nais
décida
d'envoyer
un
détacheM.
J
e
a
n
n
e
n
e
y
,
lorsqu'il
déclarait
tion de son ambassadeur à Was r e c r u t e m e n t des f o n c t i o n n a i r e s .
milliards 404 millions 512.000 fr. et
ment
d'écilaireurs
en
reconnaissance,
que la confiance ne se d e m a n d e
liington qui lui transmet le désir Au m o m e n t où, leurs études terde 3 millions 325.233 tonnes par rapdans les positions chinoises. Les
pas, m a i s qu'elle se m é r i t e .
exprimé par M. Stimson de voir une minées, ils allaient f r a n c h i r l a L E S SOCIALISTES
port à l'année 1913.
eclaireurs
ne
trouvèrent
que
des
caavocat
des
profiteurs
de
guerre
«'élégation italienne se rendre aux porte des s i t u a t i o n s recherchées,
MÈNENT LE JEU
Une crise ministérielle n o u s davres, les mains encore' crispées
fctats-Unis au mois de Mars prochain
Exportations.
et des marchands de canons
ette
porte
se
f
e
r
m
a
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t
d
e
v
a
n
t
eux
Une réflexion qui s'impose, c'est semble d o n c inévitable, crise,,qui sur les armes,
nfln d'y discuter la question des
La valeur de nos exportations a
p
o
u
r
r
a
i
t
bièn
êtresuivie
de
bien
P a r t o u t ce f u t le m é c o n t e n t e - q u e d é s o r m a i s d a n s le cartel radidettes de guerre.
Trois e n f a n t s
atteint la somme de 19 milliards 693
m e n t général, l'accord p a r f a i t calo-socialiste, les rôles sont inter- ' a u t r e s crises encore.
LëOll Blum, chef du Parti socia- millions 236,000 fr. pour 23 millions
m
o r t s de froid liste,
Allons
n
o
u
s
vers
une
expéAu Paradis
Rouge. c o n t r e M. Chéron.
a
reconnu
avoir
plaidé
pour
vertis. J u s q u ' i c i les r a d i c a u x dod a n s la neige. une affaire de bénéfices de qnerre. 499.494 tonnes, présentant ainsi des
m i n a i e n t r e l a t i v e m e n t le Cartel, rience socialiste ? Un m i n i s t e r e
diminutions de 10 milliards 742 milLa population entière des trois vilUn
cultivateur
nommé Natonio
Blum
ne
p
o
u
r
r
a
i
t
s
a
n
s
d
o
u
t
e
p
a
s
Son client, M. Ycre, taxé pour lions 558.000 fr. et de 6 millions
lages cosaques de Polstowskala, de .A COMMISSION DES FINANCES dirigeaient plus ou m o i n s le m o u Brunetti,
après
trois
jours
de
lutte
,3.700.000
francs
de
bénéfices
de
Medvyedevsky et d'Orupskaia, popuv e m e n t , et, a u total, g o u v e r n a i e n t . d u r e r l o n g t e m p s ; il p o u r r a i t d u - contre une tourmente de neige, est //lierre, et déjà dégrevé pour un mil- 836.090 tonnes par rapport à l'année
lation qui, au recensement de 1919.
Aussi la Commission des F i n a n - Les socialistes m a r c h a i e n t à larer assez p o u r faire b e a u c o u p de arrivé exténué au village de Pratici. lion et dejiii, était, parait-il, victime 1931, et des augmentations de 12 mils'élevait à 45.000 Ames, a été dépor- ces, p o u r ne pas e n c o u r i r cette r e m o r q u e , avec leur « p r é j u g é mal à la F r a n c e .
liards 813 millions 19.000 fr. et d'un
Il 'a raconté qu'il s'était pendu d a n s
une... injustice !
tée récemment vers l'extrême Nord r é p r o b a t i o n universelle, tint à f a v o r a b l e », a c c o r d a n t leur soumillion 424.981 tonnes par rapport
JEAN L E G A L L .
la montagne avec ses deux fils GioComment un défenseur attitré des à l'année 1913
de la Russie.
faire un certain n o m b r e de retou- tien, exerçant h a b i l e m e n t leur
vanni et Giuseppe et sa fille Maria- prolétaires
peut-il
s'intéresser
au
Les terres, les habitations, tout ce
imiiiiiiiimimiiiiiiimiiimiimiiiimiiitiiL Rosa. Des équipes d e secours, après
sort d'un aussi qrvs capitaliste ?
que les exilés ont laissé derrière eux, ches a u p r o j e t d u g o u v e r n e m e n t . pression. Depuis la c h u t e de M.
(l'actives recherches, ont retrouvé Comment peul-il prendre la défense
Herriot
et
l
'
a
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n
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m
e
n
t
de
M.
P
a
u
l
Les
cartellistes,
qui
sont
la
m
a
a été attribué à des soldats de l'arLe
principe
de
la
semaine
les trois enfants morts de froid.
d'un « profiteur de guerre » ?
Commission, Boncour, les positions sont renmée rouge, à d'anciens combattants orité d a n s cette
La population japonaise
de 4 0 lieures est adopté
Le même Léon Blum a également
et à des partisans du régime des c o m m e d a n s toutes les a u t r e s , dé- versées, ce sont visiblement les
60
caisses
de
d
y
n
a
m
i
t
e
dépassse
6 4 millions d'habitants
reconnu avoir plaidé pour il. Fertiq,
Soviets. '
cidèrent d ' a b o r d , p a r 24 voix con- socialistes q u i m è n e n t le j e u , ce
Lu Conférence des quarante heures
explosent au Mexique. <le l'Hispano-Suiza.
— En 1932, plus de 200 matelots tre 11, de p r e n d r e en considéra- sont les socialistes qui i m p o s e n t
D'après le recensejnent de la popu•adopté ù la nmjorité - le principe
débarqués en territoire étranger ont tion le c o n t r e - p r o j e t
socialiste, leuVs vues, et les radicaux obéis- de cette réformie, dont l'application
33 morts.
] •Or, Hispano-Suiza est un « mar- lation qui a été effectué en 1930, la
î énoncé à revenir d a n s leur pays p r é p a r é p a r M. Vincent Auriol, et sent.
chnftd
de
canons
»
/
opulation totale du Japon, colonies
est rcconinue utile, mais doit être
Un stock -de 00 caisses de dynaLa semaine dernière encore, trois de s'en servir p o u r modifier le
Peu nous importe que te procès
I! est vrai, que d a n s la Commis- soumise ù une étude approfondie. mite a fait explosion dans une pou-' dans lequel a plaidé Léon Blum n'ait comprises, était à ce moment de
matelots d'un vapeur soviétique, des- p r o j e t Chéron.
,10.396.043 âmes, dont 64.450.005 pour
sion des F i n a n c e s , il s'est trouvé Mais on prévoit que quelques-uns des drière ii Mordla, 33 personnes ont pas été un procès pour
cendus à terre à Stettin (Allemagne)
fournitures
Japon proprement dit.
Et d a n s la journée de l u n d i , la q u a t r e r a d i c a u x p o u r c o m b a t t r e principaux Etats, industriels ne s'y été tuées.
ne se sont pas réembarqués.
de qnerre. Les honoraires qu'il a
1
Tokio compte 5.408.000 habitants.
rallieront pas, ce qui rendrait in>
On
ignore
les
causes
de
'celle
caCommission
a
r
e
p
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s
é
une
p
a
r
La vie n'est pas... rose au Paradis
c e r t a i n s points d u p r o g r a m m e soLa densité d e la population du
'la conclusion d'une.'conven- tastrophe qui, outre les 33 morts, a touchés lui ont bel et bien été payés
lie très i m p o r t a n t e des économies cialiste : MM. L a m o u r e u x , P a l m a - possible
Rouge.
1 avec de. l'argent gagné par un « mar- Japon
proprement dit est de 169
tion internationale.
fait de nombreux blessés.
chand de canons » .'
habitants par kilomètre carré.
PAYSANNE
CE OUI SE PASSE
Cultivateurs,
Si l e s P a y s a n s b o u g e n t
Le Gouvernement bougera
TOUS A QUIMPER. DIMANCHE !
VA1V8 DINII
LÉON BLUH
LA
DETIMANTIN"
A PROPOS PNEJMENAIRE
-s
Informations
LE LARGEMENT DU « PRÉSIDENT- PAUL- DOURER
Au temps où les navires à voiles
mettaient 120 jours
poijr vanir de Maurice
LE FROID OCCASIONNE PLUSIEURS ACCIDENTS. — La vague
de froid qui depuis plusieurs jours
sévit sur notre région a occasionne
à Qpiinperlé et dans les environs de
nombreux accidents d'automobiles
par'suite des routes rendues glissantes par le gel.
Fort heureusement aucun de ces
açcidpnts n'a eu de suites graves, le^
dommages se bornant à des dégâtf
matériels.
Mercredi matin, quartier de BelAir, un màrchind forain, qui se rendrait au marché de Rosporden, ayant
donné un coup de frein tpop brusque, son auto dérapa et vint tomber
dans un ravin, en face l'usine de
conserves de Guerlesquin. Les occupants, le conducteur, deux femmes
el un enfant s'en tirèrent indemnes.Les dégâts matériels' s'ont ' insignifiants. On eut bien du mal à retirer
l'auto de sa dangereuse position.
Au Bourgneuf, l'auto d'un marchand de vaisselle de Lorient est
venu se jeter sur un arbre. Résultat:
deux assiettes cassées.
A Saint-James et dans divers autres endroits des accidents analogues
se sont produits.
Un p w r « l évêqus breton i
é c l a r i o n s relatives
Mgr Gourtay. évêqùe de Cayenne. àl'impAtDsur
le« traitements, salaires
On annonce de la Çjté du Vatican
panplQRf et fentes viagères.
qi}6 Je IL P. Gourtuy, de la CpngréIl est rappelé aux commerçante in
HftHfi" .iiPS JPi-res du ¡^¡nt-Esprit, est dustriels,
agriculteurs et à toi» em
...Oh I n'exile/. personne I Oh ! l'exil
riflimné
yjçfjire
^
s
^
i
q
u
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de
eil impie...
(V. Ht'oo.)
Lp 3 nécepijjic dernier, une fête Guyane française.
m m
ml
. v » « ^
Né à Chàteaulin en 1874, dtype fa- ayant des domestiques a leur service
Nom ffHQfli reittff dafts un de nos de famille, particulièrement touchante,
avait
lieu
à
Sèvres
(Seine-etmille modeste, aurais chrétienne, l'en- qu'ils doivent adresser au Contrô
derniers numéros, la sensationnelle
découverte du frère Ciro. Nos lec- Oise). On célébrait le centenaire de fant reçut des leçons «le Iaqpue ia- jeur des Contributions directes
teurs liront abec plaisir l'article que Mme Ch. Coquereau, née Clémentine line de M. Jézégou, vicaire de ïn pa- avant le 31 Janvier prochain, la déconsacre au frère Ciro notre vaillant Dayot. Cette femme au grand coeur roisse, et alla faire ses'étu.des à l'ecole claration des salaires qu'ils ont payés
était entourée de sa fille, religieuse apastalùme de Bcauvais. Il passa en- en 1932 à leurs employés, ouvriers ou
confrère Urbain Miily:
en province, de ses trois fils, dont suit« qi) lïqyjciat des Pères {lu §aifj{- doir)ëst)qu<<s. ' : ' " r ,
' "
Son histoire?... Eh bien, elle lui l'un est médecin à Chàtillon-soùs- Esprit et fut pfomu au sacerdoce en
était restée sur le coeur... Ça ne pou- Bagneux, de ses trois belles-filles, de 1900, à l'âge de 36 aas.
fefïfiffilcrvait pas se passer comme ça!... Vrai- ses neuf petits-enfants, de ses vingtsonnes occupées aul;cours de Tannée
Sa
première
obédiqjiçe
fut
lç
Ga.ment on avait dépasse la mesure... six arrièrepetits-enfants et çle son
{9^2 et «Iont le salair«, caículé pour
bon. EcrqsÉ par J'gr^iflt ¡çoieil {le |jne
toute imesure... et 'depuis de longues arrière-petit-Ills.
année entière, ¡ijjéfliá6»^0.l)p0 fr.
l'Afrique
occidentale,
H
se
vit'bienannées, le petit frère Ciro méditait
2" Le montant 'de* sommes pàyées
tôt
contraint,
à
son
grand
regret,"
ae
Fille
de
Joseph
Dayot,
architecte
sa vengeance!... Une « noire » venà chacune de ces personnes pendant
geance, je vous assure... Et mainte- de talent, et de Lucie Pitot, Mauri- réintégrer le pays natal.
l'année écoulée. Les sommes à déLe
P.
Courtay
exepça
alors
les
cienne,
elle
naquit
à
Nantes,
le
3
Dénant... il la tient!...
clarer sont-.les rétributions nettes.
fonctions
de
professeur
dans
des
étacembre 1832.
Il n'y a pas lieu d'y comprendre le
A
Elle épousa, en 1854, M. Ch. Co- blissements «le la Congrégation, par- montant des retenues et versements
ticulièrement
à
Cellule,
en
Auvergne.
effectués en exécution de la Loi, sui
...11 était le dernier frère des quereau, négociant, frère de Mgr CoHanté cependant par le souvenir les Assurances sociales.
Ecoles Chrétiennes d'une quelconque quereau.
Le « Président
Paul-Doumer
», le nouveau paquebot
des Messageries
MariApparentée aux familles de Cler- des missions lointaines, il demanda
3" La période à laquelle s'ap
petite ville.provinciale... Après avoir
à
y
être
encore
admis,
et
on
le
vit
times qui assurera
le service Marseille-Extrême-Orient,
a été lancé à La
mont-Tonnerre,
Delisse,
Lamennais
pliquent
ces
paiements,
si
elle
est
in
terminé ses solides études et donné
s'embarquer pour l'Ile de la férieure à une année.
Ciotat, en présence de plusieurs
membres
de la famille
de l'ancien
Président.
toute sa mesure dans Jes sciences et et Surcouf, nièce de grands naviga- bientôt
Les commerçants, industriels et
les « math »... il instruisait gratui- teurs : Jean-Marie et Félix Dayot, Réunion.
C
L
I
C
K
É
€
C
H
X
O
H > PARIS. N'attendez pas d'être malade pour
de la cathédrale, il déploya tous chefs d'entreprise ne sont p a j
tement et avec un certain succès les dont le double portrait llgurait en surCuré
vous soigner; si vou.s craignez un
ce
nouveau
théâtre
d'upostolqt
place d'honneur au Palais d'Angkor
tenus seulement de déclarer les sa
enfants du peuple...
refroidissement, prenez une boisson
d'éminentes
qualités
qui
lui
attirèchaude à laoue-lle vous ajouterez du
Il faisait très bien, le petit frère, à l'Exposition Coloniale, Mme Co- rent l'estime universelle et le signa- laires de lur personnel permanent
Rhum CHAULESTON, et'vous n'inavec son impressionnant rabat blanc quereau lit elle-même de fort longs lèrent à l'attention de ses chefs hié- Ils ont aussi l'obligation de faire
connaître les rétributions «les per
terromprez pas vos occupations,
et ses imposantes 'lunettes... Mais ses voyages en navire à voiles. En 192!i, rarchiques.
sonnes qui remplissent chez eux des
Avez à votre portée Je Iihum CHARyeux étaient si bons, et si douce son elle fut décorée par l'empereur d'An:
Et
tous
se
sont
réjouis,
spécialefonctions susceptibles d'être exer1ESTON vendu à 45 degrés, en bouautorité, que ses gosses l'aimaient... nam.
au diocèse de Quinn|)er, de voir cées sinvultanément dans plusieurs
La vénérée centenaire, qui a reçu ment
teille; -non paillées.
le chérissaient, le petit frère...
l'humble missionnaire monter au entreprises. Rentrent dans cette capour
elle
et
sa
famille
la
bénédiction
H leur rendait cela à sa manière,
rang
des
Princes
de
l'Eglise.
NÉCROLOGIE.
M.
PIERRE
DE
LA
tégorie,
pour
ce
qui
concerne
les
'soLE
CORPS
DU
PILOTE
PICHERY
en formant (les cœurs aux vertus vi- particulière de Sa Sainteté Pie XI,
La joie est en«îore plus vive au ciétés, les fonctions d'administrateur VILLEMARQUÉ. — M. le vicomte EST ARRIVÉ A TOULON. — Le
riles, et en meublant consciencieu- jouit de toute son intelligence et de cœur
LES MÉFAITS DU VERGLAS. —
ses bons amis, notamment commissaire aux comptes, etc...
Pierre Hersart de la Villemarqué est transport de l'Etat, Forfait, arrivé
sement et méthodiquement des cer toutes ses facultés, beau couronne- de M. de
Jeudi -miatin, plusieurs automobiles
le
chanoine
Le
Boy,
du
chamort
le
18
Janvier
1933,
chez
sa
fille
Je Bizerte à Toulon, avait à son bord ont dérapé à l'entrée de Quimperlé,
Ils doivent également déclarer les
veaux... polir la grande lutte de la ment d'une longue vie semée d'épreu- pitre cathédral «le Quimper, et de M.
ves, où les plus hautes qualités mo- l'abbé Jézégou, recteur de Plobanna- commissions et courtages payés à à Nantes, où il s'était retiré depuis les cercueils du lieutenant de vais- route de Lorient, les unes allant dans
\ie!.,
quelques
uniois.
Il
était
âgé
de
79
ans
seau Georges du Puy, dont la familit le fossé, d'autres s'anrêta-nt contre les
Et Dieu sait si le petit frère y réus- rales de grande chrétienne, d'épou- lec, chez qui 1e Père Courtay, au des commissionnaires, courtiers el
C'est une bien belle figure quimper. habite Allés ; de l'enseigne de vais- arbres
se et de mère ne se sont jamais dé cours de ses congés, se plaisait à intermédiaires de cominèrce, ainsi
de l'allée «lu Bourgneuf. Près
sissait!...
loise
qui
disparaît.
Il
était
le
fils
de
seau «le réserve Gilbert Pichery, de de l'église Sainte-Croix, une autre a
que les honoraires, alloués à «Ies per
Mais hélas... le diable... et ia Loge menties.
faire de longs séjours.
Théodore
Hersart
de
la
Villemarqué,
Quimperlé ; du second-maître radio fait tête à queue. On ne signale
sonnes dont ils ont utilisé le con
Mme Ch. Coquereau est arrivée
aussi... savaient!...
Au nouvel évêque breton, nous cours professionnel-et à qui ils ont l'inoubliable auteur du liarzaz Breiz Jean Auffray, d'Erquy (Côtes-du- cependant
aucun accident grave.
ce grand âge par une vie extrême adressons,
avec nos vœux de plein
au'moiiifljl-.WJD fr. pendant l'an qui lui légua son humilité toute chré Nord), et celui du quartier-maître
ment réglée. Elle a conserve une succès, nos très respectueuses félici- \er»é
Sur la route de Baye à Moelan,
-tienne et son esprit de foi et de cha mécanicien Jean Douerin; de Kernée.
;„
.-!•?•
Bazen-Ven, le cheval de M.
Les « plus de trente ans » se sou- inaltérable gaieté. Ces dernières se tations.
hz, victimes d'un accident d'hvdra- près
Enfin, les personnes et Sociétés qui rité.
Brod, de Coat-Savé, en Moëlan, qui
viennent de la guerre de sape et de maines encore, elle chantait les
\ion
survenu
le
11
de
ce
mois,
à
Tant
que
ses
forces
le
lui
ont
perpaient
des
pensions
ou
rentes
viaNominations ecclésiastiques*
transportait un chargement de blé,
mine entreprise par la redoutable chants qu'elle avait appris dans son
supérieures à 1.250 francs par mis, M. Pierre «le la Villemarqué as- proximité de Bizerte et de Ferrvvilile s'est abattu et a été blessé à la tête.
« Veuve » contre la Liberté d'Ensei enfance à l'île Maurice.
Par décision de Mgr Duparc, évê gères
Les
cercueils
ont
été
débarqués
sistait
à
la
première
messe
tous
les
an doivent en faire la déclaration
Le conducteur n'a eu aucun mal.
gnement en général, et contre l'Ins
Elle a beaucoup voyagé et a con (¡lie de Oiiimper, ont été nommés
dans les mêmes conditions que celles jours à l'église Sainte-Croix et v com- mardi matin dans l'arsenal et dépotitut des Frères en particulier. La serve des souvenirs très frais et très
Recteur de Plogoff, M. Nicolas qui
sés
dans
un
paviJlon
transformé
en
muniait.
sont prévues pour les salaires.
fenmoture de toutes les écoles popu- vivants de ces périples sur des ba Mével, recteur de Landévennec, en
UNE CHUTE MALENCONTREUSE.
11 était président de la conférence chapelle ardente. Les corps seront
laires, où les ouvriers envoyaient si teaux à voiles. Pour venir de l'île remplacement de M. Mathieu Le Gall Les prochaines foires de la région de Sainl-Vincent de Paul, qui fui acheminés vers la résidence des — La jeune Marie Le Bourhis, 13 ans,
volontiers leurs enfants, en fut l'épi Maurice, où elle est restée de 7
démissionnaire pour raison de santé
.'e la rue Brémond-d'Ars. jouait dans
fondée le 3 Mai 1854, par son père parents.
Samedi 28 Janvier, Carhaix.
sodé aussi décisif... que peu glorieux 14 ans, il fallait alors de 90 jours
Recteur de Landévennec, M. Jo
la cours de l'école de Kerbertran«l.
et Ozanam en personne. Discrète
Mercredi
1"
Février,
Bannalec,
pour notre -pays. L'intérêt de lit 120 jours, selon l'état de la mer. Et seph Kcrvran, vicaire à Briec.
En voulant monter sur un escabeau,
ment, il faisait de larges aumônes
Vendredi 3 Féyripr, Coray.
France et même son renom... belles bien souvent, le voilier étant retardé
tMe perdit l'équilibre et tomba. Dans
Vicaire à Loctudy, M. Yves Le
aux
pauvres
qu'il
visitait,
et
en
même
Samdei 11 Février, Carhaix.
« foutaises » pour les Loges!...
par des tempêtes, l'on manquait de FJoch, jeune prêtre «le Saint-Vougay
temps leur adressait des paroles de
GEORGES L E G U E T sa chute, elle s'est cassé le bras.
Lumlj 13 Février, Gourin.
vivres.
La pauvre enfant était déjà infirme
consolation
et
de
réconfort.
CHIRURGIEN-DENTISTE
Mardi 14 Février, Pont-ScorfT.
de l'autre bras. Nous lui adressons
Jusqu'à l'âge de 96 ans, Mme Co La première fraction de la classe 81
Pendant
35
ans,
il
a
été
conseiller
Mercredi 15 février, Le Faouët
- de la Faculté de Paris sera Hbériée le 81 Mars.
POS meilleurs vœux de prompt rétaMais populo qui connaît tout de quereau a exigé qu'on lui laissât faire
paroissial de Sainte-Croix, et à ce
Jeudi 16 Février, Bos|k>rden.
blissement.
1 8 , R u e S a v a r y (Maison Rivalin)
Le ministre de la Guerre fait cqnmême ses vrais amis, et qui sait au sa lingerie toute seule. Ayant les yeux
titre,
il
s'occupa
très
activement
de
Lundi
20
Février,
Châieauneuf-du
précier les services désintéressés., un peu fatigués, elle a dù renoncer naître que lés opérations do libéra- Fa ou.
tout ce qui i>ouvail remlre plus beaux
QUIMPERLÉ
UN CULTIVATEUR TOMBE ET
tion des militaires de la première
comme une rareté, menaçait de ne maintenant à ce plaisir.
les exercices' du culte.
Mercredi
22
Fpvrier,
Gourin
el
Consultations
tous les jours, sauf le lundi
SE BRISE LA JAMBE. — M. FranElle se repose à Sèvres, chez ses fraction du contingent 1931, ainsi La'ndévànt.
pas se laisse^ facilement faire...
Après le culte, l'école est le preçois Coadou, 64 ans, cultivateur à
Alors, on « entreprit » populo par petits enfants, M. et M. Ch. Dayot que des militaires qui ont satisfait à
mier besoin des paroisses. M. de la
Samkxli 25 Février, Coray.
Ty-Houarn, en Quimperlé, rentrait
son côté faible... Une bonne campa entourée de l'affection des siens leurs obligations d'activité à la même
Villemarqué le comprenait, et c'e«t
gne de presse où tous les journaux toujours vaillante et donnant l'exem date, auront lieu par anticipation le
Les prochaines Assises. à sa générosité qu'est due l'école
LA I V FOIRE-EXPOSITION — La chez lui lundi soir, lorsque, dans un
qu'il lit lui serviraient, quotidienne pie des plus belles vertus familiales 31 Mars 1933.
chrétienne des garçons, aujourd'hui IV° Foire-Exposition de Quimperlé chemin rabot-iux, il tomba si malLa
deuxième
session
«les
Assise:
ment, ce couplet :
Toutefois, ceu\ des militaires du
semble, malgré la crise des affaires, encontreusement qu'il se brisa le féFinistère pour l'année 1933 s'ou «i Hérissante.
service auxiliaire qui doivent accom- du
« Les Frères, malgré leurs succès
Au mois de Mars 1923, sur la de- devoir remporter le même succès mur.
vrira
à
Quimi>er,
fe'
lundi
3
Avril
r
plir une période de disponibilité sui- ¡^ 13 heures, îjous 3çt présidence dt mande de Mgr Duparc, évèque de que les précédentes.
scolaires et la formation de multi
A ses appels, des voisins l'ont revant immédiatement 'leur libération M. Kerambhin, conseiller à ¡la Coui Quimper, Notre Saint Père le Pape Elle se tiendra sous les halles Saint- levé et aidé à le transporter à son
pies générations... sont des « igno
du servipe actif ne feront pas ren d'Appel de Rennes, assisté de MM Pie XI daigna lui conférer la croix Michel et sur 'a place du même nom, domicile.
rantins »... avalez ça !...
voyés dans leurs foyers le 31 Mars \ e BoHrdéîlès et Ix; Zant, juges au de chevalier de Saint Grégoire le du dimanche 2 Avril au dimanche
« Les Frères... sont les ennemis
• 933 et commenceront pette période
Grand; et Mgr Duparc tint à venir 9 Avril inclus, et coïncidera avec la
du Progrès... de >1« Science... «le la
AUX AMATEURS DE PING-PONG.
.
•
à la date du 19 Avril.'
en personne lui remettre les insignes Foire des Vieilles qui, chaque année, — Les amateurs de Ping-Pong sont
Lumière... toutes lçs sacro-saintes
de cette 'distinction.
Les dispositions qui précèdent
blagues...
.'. •• ..,
attire en notre ville une nombreuse priés de se rendre mercredi pros'appliquent aux militaires libérables
t Ils sont, malgré les apparences
M. de la: Villenwipqué fut très -sen- aftluence.
chain, à 20 heures, chez Mme Chauppartenant aux formations de l'Aédes bourreaux d'enfants, et consersible à cet honneur que, dans son
Un grand concours de costumes vel, Restaurant Moderne, place Stronautique.
Le
20
Octobre
1929,
le
Comité
févent des méthodes d'éducation aussi
humilité; il ne croyait pas avoir mé- bretons modernes clôturera cette Michel, en vue «le la for-hiation d'un
surannées que barbares !... brr... Et déral du parti socialiste S.F.I.O. vo
rité.
L'heure d'été.
importantes manifestation, dont on club de ping-pong.
tait à l'unanimité la décision sui
Vilez-v donc !...
La foule considérable qui assistait parle déjà beaucoup dans les milieux
M. Georges ponnçt, Ministre de:
Nous extrayons du rapport pré- à sa décoration prouvait bien que industriels, commerçants et agricoEt le refrain était : laïcité... laï- vante
Travaux Publics, a fait signer par le
cité chérie !...
Le Comité fédéral réuni à Quimper, Président de la République un dé- senté par M- le sénateur Philip, lors f chevalier sans peur et sans repro- les.
Le neuple 'lisait... lisait...
à 14 h. 30, le dimanche 20 Octobre cret aux termes duquel l'heure légale de la discussion {ht budget de l'Ins- che j>, iil avait conquis l'estime généPour tous renseignements concerAh ! La Presse !
1929
sera avancée d'une heure dans la nuit truction publique de 1930, les chif rale de ses compatriotes.
nant la Foire-Exposition, s'adresser
l'res
suivants
:
Aussi samedi «lernier 21 Janvier à la Mairie de Quimperlé.
Considérant que le cjfoyen Emile du 25 au 2fi Mars, et l'heure normale sera étaWjp dans la nuit «lii 7 La participation dçs familles aux lors «le ses obsèques, la chapelle de
Goudc
Chirurgien-Dentiste
frais
d'études
dçfjs
le
secondaire
Saint-David se trouva-t-elle trop exi•J
. f »
Le Nord... et Nord-Est étaient, de
« 1" Par le* attaques et calomnies au 8 Octobrç.
UNE JEUNE ÉCOLIÈRE HEUR—
D. F. M. P.
—
représente
43
millions.
L'Etat
guë pour contenir la foule de ceux TÉE PAR UNE AUTOMOBILE. —
nar les immenses services rendus parues dans son journal le Cri du
aux ouvriers par l'Institut', position Peuple (numéro du 19 Octobre, en- Date des sessions du baccalauréat dépensé, au cours'du même exercice qiii tinrent à lui rendre les derniers Mercredi 18 Janvier, vers; 12 h. 45.
en 1 9 8 8 .
437 millions pour 158.000 élèves devoirs.
inexpugnableù'i accident s'est prodjit sur la place
voyé à tous les délégués sénatoriaux
la gratuité totale aura été
Son corps repose maintenant au- île Bel-Air, au moment où les petites
La t Veuve » imagina et créa de républicains) cherche à jeter le disLes sessions d'exa/nens du Bacca Lorsque
toutes pièces le •diabolique et rcten crédit sur les élus de la Fédération lauréat de l'Enseignement secondaire réalisée et en admettant que ni les près de son père, dans le cimetière écolières se rendaient, en classe.
3, Place Hervo, 3
Iraitemfnts des professeurs, ni les où il a si souvent prié.
lissant scandale Flamidien. Ce fût et sur ses militants
(régime du décret du 7 Août 1927 et frais
Mme veuve Guillou, née Marcelle
généraux
ne
soient
augmentés,
Dès
qu'il
apprit
le
décès
de
M
Q
U
I M P E R L É th.IM
la grande préparation «l'artillerie
3 2" Qu'il a, en violation des en- des décrets rectificatifs et régime l'Etat consacrera donc 480 millions de (a Vi-iktivarqué, Mgr Duparc a im- Le Saëc, se rendait à Quimperlé en
suivie de l'ultime et vigoureuse atta- gagements
précédent) s'ouvriront, en 1933, aux à l'instruction de 158.Q00 enfants,
automobile, lorsque soudain, après
pris,
publié
un
compte
médiatement écrit "à la famille pour
que !... Elle nous laissa désemparés. rendu (en partie mensonger d'ail- jours et heures que fixeront les
un peu plus de 3.000 francs par lui exprimer ses sincères condo- avoir déorit un cercle autour de la
Quand on comprit, le mal était leurs) des décisions du Congrès de doyens «les facultés des Sciences et soit
place, elle se trouva en présence
tête.
AUTO CONTRE CHARRETTE. —
léances et son regret de ne pouvoir d'une petite fille, âgée de 13 ans,
fait. La presse, qui avait tellement Chàteaulin, en vue de nuire aux can- des Lettres.
pas
assister
aux
obsèques.
La nation paie donc près de 500
« donné », resta muette pour la didats socialistes aux élections séna
s'amusant en compagnie de quelques Lundi soir, vers 16 heures, au haut
La première session à partir de
millions par an en faveur de 150.000
Nous nous permettons «le joindre petites amies qui se rendaient comme de la cote du Lézardeau, M. Holléloyale rétraction. Le mauvre frère tonales
la date, ci-après:
<MU Louis, cultivateur à Kerviguenélèves des collèges et lycées,
nos -condoléances à celles de Son Ex. elle à l'école.
Flamidien, tro-i tard innocenté.,
Académie
de
Rennes
:
lundi
19
» 3° Qu'il a combattu dans le même Juin 1933.
en Mellac, avait attaché son cheAux 150.000 élèves des établisse- cel-lence.
était mort de douleur... Les « ^'u
Eliane Ridoux, dont les parents nou,
val attelé à un tombereau, au mur
journal les candidats socialistes en
ments secondaires libres, elle n'acde trente ans » se soirviennent !...
La
deuxième
session
au
plus
tard
habitent
la
rue
Olohars,
fut
violemcorde aucun appui.
OBSÈQUES. — Mardi dernier, à ment heurtée par la voiture automo- de la maison Carduner.
...Alors, ce fut la « dernière invitant ses amis à ne pas suivre les
la d n t e c i - o p r è s :
Une auto venant de la direction
C'est ce que , les partisans de iO heures, ont eu ilieu, en l'église bile.
classe »... mais cette fois les Alle- « indications des mauvais bergers »
Académie
de
Rennes:
lundi
2
Oc<.e Quimperlé vers Bannalec, conl'Ecole unique appellent : l'égalité parpissiale de Sainte-Croix, Jes
mands n'y étaient - o u r rien... Les et en déclarant que dès le premier tobre 1933.
Relevée
aussitôt
par
les
témoins
et
devant,l'instruction,
obsèques de Mme veuve Louis- les auteur^ de l'accident, la petite duite par M. Le Corre, mareyeur au
Français chassaient de bons Fran- tour « ils réagiront contre les déciLes régistres d'inscription en vue des enfants
'i
Pierre Rivière, née Valérie Jarry, fille a été transportée chez elle, où Foteau-Vert, en Melgven, vint tam<;ais, sous 'les regards étonnés d'une soins que l'on veut leur imposer » des examens seront ouverts en 1933:
» 4" Qu'il a entrepris la création
décèdéc en son domicile, 39, rue de le docteur Miroux, mandé «l'urgence ponner l'arrière de la charrette.
foule trompée et hésitante, qui réa
fl'MUm ,T>1 M'l,l -V
Académie de Rennes: du mardi 4
d'une Fédération dissidente en invi- Avril au samedi 15 Avril inclus, -nur
Prèmond-d'Ars, à l'âge de 87 ans.
gissait mollement.
par .Mme Guilloù, constata des con- Dans, le choc, les deux brancards
Mme veuve Rivière était la mère tusions à la jambe, à la tète et au furent cassés et le véhicule subit des
Le petit frère Ciro, de la peine à tant ses amis personnels à noyauter la première session et du lundi 4
dégâts matériels importants.
de feu M. Rivière, ancien; 'directeur côté gauche, mais sans gravité.
plein cœur, et des larmes dans les tes sections pour combattre la Fédé- .'eptembre au vendredi 15 Septembre
M. Le Corre prétend que c'est en
des Etablissements Savary et Rivière,
yeux, embrassait un à un ses chers ration du Finistère et créer une inclus pour la deuxième session
Nous adressons à la petite Eliane voulant
éviter un cycliste qu'il alla
de Mme Sablé et «le M. Georges Ri- Ridoux nos vœux de prompt rétablisgosses qui sanglotaient eux-mêmes. scission dans le parti
se jeter sur la charrette.
Office agricole du Finistère.
yière.
Il partait tristement vers l'cxH I.
» 5r'° Que ces actes sont le résultat
sement.
Un constat a été fait par M* Tamic,
En cette douloureuse circonstance
Et c'était sur le pont du bateau qui d'une décision réfléchie,
puisqu'il Extension du contrôle laitier à l'itable
huissier à Quimperlé.
nous adressons à la famille nos sinmaintenant l'emportait... tandis qu'au écrit lui-même dans son journal y
L'intérêt suscité chez nos élecères condoléances.
loin s'estompaient les côtes de être décidé depuis le 22 Avril 1928 ;
CINEMA PARLANT HONORE. —
France, qu'il méditait sa vengeance qu'il a donc choisi pour dévoiler ses veurs par l'organisation du contrôle
laitier
à
l'étabie
et
les
résultats
qu'on
Jeudi 26, vendredi 27, samedi 28
en demandant à Dieu de vivre assez desseins et les réaliser le moment où
NÉCROLOGIE. — Nous avons apPour TRICOTEUSES
en droit d'attendre de son foncJanvier, soirée à 8 h. 30, dimanche
longtemps pour la voir aboutir...
pris avec regret la mort de M. Joseph
il pouvait nuire le plus à la Fédéra- est
tionnement, ont déterminé l'Office
29, matinée à 2 h. 30, soirée à 8 h. 30.
Magré, employé au Crédit Nantais,
tion du Finistère
c
h
e
z
C
h
.
D
É
S
A
R
D
agricole à en faire bénéficier un plus
Programme : Les Actualités Pathèdécédé après une longue et doulou« Pour ces raisons, jugeant que le grand nombre d'exploitations. Les
B u e Cortile - D u c h ö n a
Natan, sonore et parlant ; — Il n'y
reuse maladie, à l'Age de 32 ans.
...Depuis de longues années... il est citoyen Emile Coude a « manqué crédits nécessaires ont été inscrits
QUIMPERLÉ -Tél.49
en a pas deux comme Angélique,
Ses obsèques ont eu lieu mardi
professeur au Chili. H a retrouvé gravement aux principes et au règlebudget de 1933 et un second congrand comique entièrement parlant.
dernier, à 14 .heures, en l'église pades gosses... qu'il aime et qui l'ai ment du Parti », a « violé les enga au
trôleur doit être prochainement enAPRÈS LA TOURMENTE, grand
roissiale Notre-Dame de l'Assomption.
ment... Et, quelquefois, au cours gements contractés», a «commis fiafié.
En cette douloureuse circonstance
d'une leçon, sa voix chevrotte et des actes et a eu une conduite de
SOCIÉTÉ DE PÊCHE. — Les mem- drame passionnel, inspiré par des
Chaque contrôleur pouvant visiter
nous adressons à la famille éplorée bres de la société de pêche: « La sentiments d'amour et de fraternité ;
devient grave et son teint blême... nature A porter gravement préjudice
nos sincères condoléances.
quand, en français, il parle à ses au Parti », le comité fédéral dans chaque mois de 25 à 30 étables, il
Gaule Quimperiloise » sont informés avec André Nox, Betty Compson et
Chiliens qui l'écoutent « au garde son unanimité a prononcé l'exclu reste, une fois satisfaites les demanque la réunion annuelle aura lieu le une magnifique plaidoirie de l'illusDocteur en Pharmacie
à vous » jles grandeurs de la s ion du citoyen Emile Goude de la des déjà présentées, un certain nomAU TRIBUNAI
Ainsi que nous dimanche 29 courant, à 10 heures à tre avocat Henry Torrès.
3.PÎaceCarno(.3
France !...
l'avons annoncé dans notre «lernier la Mairie de Quitmperlé.
Fédération socialiste du Finistère, bre de places disponibles. Elles seront réservées à ceux qui les prenuméro, M. Pau'I-Léon Koun, ancien
...Mais il y a autre chose... Il tra- en application de l'article 54 du rè- miers
Q
U
I
O
l
P
E
R
L
É
auront
sollicité
leur
inscripPARENTS, qui oherohez una
avocat au barreau -de Camibrni, a été
vaille secrètement depuis toujours, à glement du parti.
A LA RECETTE BURALISTE. —
tion.
nommé, par décret de M. Ile Président Par arrêté du Ministre des Finances, SITUATION pour votre Ills ou
une certaine... machine... avec la
» Le secrétaire fédéral,
de la République, en date du 10 Jan- en date du 31 Décembre dernier, M. votre Jeune fille, adressez-vous k
Adresser les demandes à
complicité mystérieuse de son Supévier 1933, avoué près le Tribunal de Movsan, receveur buraliste à Lanes- •'ECOLE PIQIER, 9,[rue des Fontaines,
rieur.
M. Perrault directeur des Services
» G u y LF. N O R M A N D . »
Première Instance «le Quimperlé, en ter, a été nommé receveur buraliste
Nous y voilà. C'est cette machineagricoles, 18, rue Juïcs-Noël,
C
I
T
R
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N
P
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S
S
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Depuis, M. Coudé, qui n'avait pas Quimper (Finistère).
remplacement de M" Le Poupon, dé- 1" classe, 4" catégorie à Quimperlé. à LORIENT. On y apprend Complà qu'il préparait depuis plusieurs
missionnaire en sa faveur.
Nous lui adressons nos meilleurs tabilité, Sténo-Dactylo, Langues,
années, qu'il yient d'adresser à l'Aca- réussi à créer une Fédération dissiLes propriétaires d'établcs conetc.., et le placement des élèves est
La scène se passé à la fête de
démie des Sciences... du Chili ? Non... dente, demanda en vain sa réinté- trôlées doivent s'engager :
En cette qualité, M" Koun a prêté vœux de bienvenue.
gration
assuré.
Montrndrlre. Daml une barraque, un serment devant le Tribunal Civil à
de Paris !...
1" A verser une cotisation annuelle colosse tiùx ''rrfUVëtcs' formidables l'audience ' d e ^ tfarriedi dernier 21
Une nouvelle tentative n'a pas été
TRIBUNAL DE SIMPLE POLICE.
plus heureuse. Dimanche, un Cou de 15 francs par vache contrôlée ; presse dans sa poigne redoutable un Janvier.
Dans son audience «lu 21 Janvier
Il s'agil... « d'un accumulateur grès fédéral, réuni à Chàteaulin, a
2" A nourrir et à loger le contrô- citron, jusqu'à ce que la dernière
Nous lui adressons nos sincères 1933, le Tribunal «le simple police M e r c u r i a l e des Marchés
<• électrique, à base d'iode, dont les maintenu l'exclusion de M. Goude, leur pendant son séjour à la ferme goutte de jus soit exprimée. Puis il félicitations.
de Quimperlé, présidé par M. Lanv
du 20 Janvier 1933.
« propriétés dépassent tout ce qui a par 123 voix contre 97
(24 heures par mois).
fait au public un boniment de ciri érierc, juge de paix, assisté de M.
« pu être réalisé jusqu'à présent...
constance
:
Ravazé, commissaire de police,
3° A faire contrôler au moins 4
« Présenté par M. Ch. Lalle m and
. 1.300 »
— Mesdames, Messieurs, j'offre une
ministère public, et M. Mell: Vaches l a i t i è r e s
vaches.
A l e x a n d r e C U Z I A T comme
* à l'Académie des Sciences, il
. 1.400 »
greffier, a prononcé les condamna- G i n i s s c s et v a c h e s pleines
II est rappelé, en outre, que seuls prime de cent francs à l'amateur qui
7.10
< apporte tout simplement la solu- «ment trouvés sur notre terri- peuvent être soumis nu contrôle les réussira maintenant à faire sortir
l'orcs, le kilo
tions suivantes :
CHIRURGIEN-DENTISTE
4.50
le kilo
« lion vainement cherchée par les « toire... »
une seule,goutte de ce citron I
de la Faculté de Médecine de Pari»
Défaut de lumière à auto, 1 à 5 fr.; FVeaux,
animaux
appartenant
aux
races
ar. 105.»
roment
« savants oour la réalisation pratiOui... tout simplement !...
Personne ne bouge.
défaut
de
lumière
à
bicyclette,
(i
à
moricaines,
Durham
et
Pie-Noire,
75. »
8, Rue Lebas, - QUIMPERLÉ
Seigle
.'
« que de l'accumulateur électrique.
¡1 réitère son offre. Alors un petit
5 francs ; défnu-t «le ramonage à che- Orge
nscrits au livre d'origine.
70.»
« Il est dès à présent certain que
¡¡onune
malingre,
souffreteux,
grimminée,
1
à
5
fr.
;
fermeture
tardive
7
5.»
"rrasin
Ces formalités sont peu de chose
Comultalloni tous les Jours â Quiinptrli
cette invention va bouleverser les
...Et puisque toute la presse fran- en face des avantages que confère pe timidement siir l'estrade, ajuste
75. »
lie débit, 1 à 5 fr. ; ivresse publique. Avoines
stuf le mercredi à Bannalec
« vastes domaines de la T. S. F., de çaise, même... l'autre, revendique le contrôle laitier et des résultats ses lorgnon« et prend !(• fruit. Le pu30.»
I ' o m m e s de terre, les 100 k i l o s . .
1 à 5 francs.
0 la traction électrique, et même de ette invention « bien française »i qu'il
'->20. »
l ' o i n , les 500 kilos
blic se lord. Des exclamations ironipermet
d'obtenir.
120. »
<r l'aviation. On envisagerait, grâce mise au point par un « authentique
Paille, les 500 kilos
sommes-nous persuadé que ques fusent de partout... mais elles
50. »
Son, les 100 kilos, firos
« à elle, la construction d'automobi- Français », « professeur au Chili »...i lesAussi
se changent bientôt en stupeur...
DANS LA POLICE. — Au tableau
demandes
de
contrôle
parvien65. »
Son, les 100 kilos, d é t a i l
< les électriques, souples, rapides dites-moi si le petit frère Ciro... dront nombreuses, permettant l'ex- cina gouttes viennent de tomber I
d'avancement des fonctionnaires des .qui a'baladent, ot qui nrrilcnt Ifs dou- I-'arinc d u pays
165.
»
«qui ne consommeraient p&v un ignorantin, membre du célèbre tension dans le département de cette
L athlète n'en croit pas ses yeux. services actifs de la Sûreté générale, leurs de leur» cors au* pieds en les trai- B e u r r e sale, la l i v r e
9.»
« gramime d'essence !...
Institut de Saint-Jean-Baptiste de la
— Mais enfin, Monsieur, qui êtes- nous relevons le nom de M. Collas, tant avec « Le Diable ». « Le niable > B e u r r e d o u x , la l i v r e
6. »
merveilleuse de perfectionles cors et» six jours, pour toujours. (Kufs, In d o u z a i n e
« ...Propriété remarquable de Salle... l'exilé de la F..-.-M.-. ne fient méthode
5.50
vous ?
de Lorient, ancien commissaire à enlève
nement
dii
bétail.
Mais
attention
I...
Exigez
«
Le
Diable
»,
« l'accumulateur lodac.. les produits pas magnifiquement sa magnifique
25. »
— Je suis percepteur des Contri- Quimperlé, présenté pour la hors- 3 f r . 05, toutes pharmacies, et & Epernny, Poulets vieux, la couple . . .
c .{ui entrent dans sa composition : engeance ?...
Le président de l'Office :
30. »
P o u l e t s j e u n e s , la couple
butions ; alors, avec, les contribua- classe, 2° échelon.
Pharmacie Wetnmann.
270. »
Cidre p u r j u s
1 iode, zinc, charbon, sont faciicUrbain MILLY.
Y. CAILL.
bles, j'ai l'habitude !
Nos félicitations.
A dipflt dans toute» les Phtrmaclei.
220.
*
Cidre ordinaire
QUIMPERLE
M. U S E BESTE EXCLU
DD PARTI SOCIALISTE
(
Le coût d'un élève du Secondaire
M"' J. GUIBOURG
CABINET DENTAIRE
bandages
ceintures
bdsávarices
LAINES
PHARMACIE I E NAOIIR
Les agents sont de braves gens
Soyez prévoyants
Ayez toujours sous la muin, dans
votre garage, un bidon de 21) litres
ou un tonnelot de 50 litres d'huile
D. F. des Etablissements DESMARAIS FRÈRES, 42, rue (les Matliurins, PARIS (8").
Voi',s éviterez ainsi tous les ennuis
causes souvent par un graissage
insuffisant, lorsque vous manquez
d'huile au moment de partir.
VOL DE LINGE. — Mme Guillou.
du village de Kerhor, avait laissé,
comme font beaucoui) de ménagères
de notre contrée, son 'linge lessivé
au bord de son lavoir. Or, dans la
nuit de i w d i à mercredi, ce linpe
avait disparu.
Sur 4a plainte de Mme Guillou,
une empiète est ouverte.
ETAT-CIVIL. — Naissances: PaulVarie Lamarre, 8, rue Leuriou; GHl>ert-Corentin Quintrec, 37, rue du
Couodic;
Fra-ncis-Louis-Yvon
Février, 7. rue Lebas; Jean-Claude Ronrvefoi, 6, rue Isole; Louise-Pierrette
Laurent, Poulligoudu.
Publications de mariage. — Pjerrç.-François Guyader, menuisier ai) Petit-I.ézardeau et Marie-Antoinette Tamlc, s. p., 5, rue Cornic-JJuèh'Gnê ' ;
Lout^GuiUauiuc Conan, menuisier
15, rue Victor-Massé, à Lorlent, ef
Marie-JHf xandrine Péron. couturière^
15, rue Bréniond-d'Ars ; René-Yves
Qcnan, menuisier au bourg d e Gohars-Carnoët. et Yvonne-Renée-Marie
Anne Poupon, couturière, à KerBvelvn, Quimperlé.
Mariage. — Guillaume-Yves-Noël
Guillou, horloger, 9 ter, rue Leuriou.
et Suzette-Louise Meunier, s. p., à
Kergostiou.
Décès. — Valérie Jarry, veuve Rivière, 86 ans, 3'.), rue Hrémond-d'Ars;
Joseph Magré, 31 ans, employé de
banque. 43, place Saint-Michel; Marie Guvader, veuve Le Cam, 75 ans
couturière. 42, rue du Couédie; Matiiurin-Beniamiin
Bonnefol,' 55 ans
serrurier, 22, rue du Bourgneuf.
BAYE
NEVEZ
# \ XV / —
L a pondeuse* doivent consommer, outre
un pea de verdure, de* mélange» do
(relue, et de» pâtée». Den» ee» mélangée
do gnlu et ec» pâtée» introduite» p*«r
moitié environ de
(Saltón
I z
2 on briimntJ
tertre m t'OWce dm Rit,
82. rae dm Richmlimm, Pmrit
(F)
OO RAY
LA FOIRE. — La prochaine foire
de Corav aura lieu vendredi prochain 3 Février.
LANRIEC
UN C U L T I V A T E U R EST
TUÉ
EN
A B A T T A N T ' DES
ARBRES.
— Au -cours d'un travail 'd'abattage
(l'acbïcs. l'ouvrit;!' agricole Théophile
i.ijour, 57 ans. employé au service de
M. François Clément, de la ferme de
Kersaloihon, en Lanriec, a été. pris
sous la churge de lourds branchages
qu'il venait d'anattre et a eu la poitrine défoncée. Malgré tous les soin!
(lui lui ont été donnés par un docteur
de Concarneau, mandé aussitôt, le
malheureux Lijour ne tardait' pas à
succomber.
Théophile Lijour, ancien combattant, était sympathiquement connu, et
très bien considéré de tous ses concitoyens.
LOCUNOLE
ACCIDENT D'AUTO. — Mlle Rannou, employée des P. T. T.
Locunolé, pilotait sa voiture automobile
sur la route qui conduit de Quimperlé à Qucrrien, lorsque à la hauteur du lieu dit Pouidu. situé dans
a commune de Locunolé, elle s'avisa en vue de s'exercer aux marches
arrières, à faire demi-tour. Juste en
ce moment survenait de la direction
de Querrien l'automobile de M. Le
Bec, boucher à Lanvénégen. Malgré
tout le sang-froid du conducteur et
tous ses efforts pour éviter l'accrochage avec la voiture de Mlle Rannou stationnée sur le milieu de la
route, l'automobile de M. Le Bec alla
heurter violemment le talus. Il n'y a
heureusement à déplorer aucun accident de personnes, mais la voiture
il été assez fortement endoctîniVngée.
PAYEZ ET VOUS SEREZ CONSIDÉRÉ! — Jules Billion. 27 ans, domestique de ferme à Kerestou, en
Raye, avait été condamné par le Tribunal correctionnel de Quimix-rlé, A
une amende de 2!)8 fr. 80 ou ù un
jour d'emprisonnement.
Comme il n'a pas payé sa dette
envers l'Etat, les gendarmes de Quittnperlé munis d'une contrainte par
corps se mirent à sa recherche, et
le trouvèrent à Kerestou.
Avant déclaré qu'il ne pouvait pas
payer la somme due, ni verser d'aMIELGVEN
compte, il a été mis en état d'arrestation et transféré à Quimper pour
MEDAILLE DU T R A V A I L . — M
purger sa peine.
Christophe Guernalec, ouvrier dans
la maison Cassegrain, à Melgven
vient de se voir décerner une méBANNALEO
daille d'honneur du travail en argent!
A L'ETOILE JEANNE-D'ARC. — Nos félicitations.
Dimanche 29 Janvier, à 15 heures et
UN RESQUILLEUR. — Pour avoir
à 20 heures, grande séance théâtrale.
voyagé sans billet de Ouiiupef à
Programme. — 1° partie : Napo- Saint-Ivy, M. Pierre C..., de Melgven.
léon fait du Ciné, R. de Soutter, co- a été condamné à 10 francs d'amende
médie en un acte.
avec sursis.
2* partie : L'Oncle
du Canada,
MELLAO
Auschitiky, comédie en trois actes.
3* partie : Le Héserviste'aux
cinq
DEUX AUTOS SE TAMPONNENT
enfants, A. Croizière, comédie en un — Lundi matin, vers 10 h. 30, sur la
acte.
oute de Mellac au Trévoux, à 5,00
Monologues, chansons.
mètres environ du passage à niveau
du Buzut, l'auto de M. Ix? Narvor
Louis, voyageur- de commerce, 12,
^r8
me IHipleix, à Lorient, qui venait
vers la direction de Mellac, est entrée en collision, dans un virage avec
i'auto de M. Regnard Raymond, emBOlaRIB-PARQUKTHIRIB:
ployé Chez M. Périgault, à Ixiricnt
qui venait en isens inversé.
B A N N A L E C - Tél. 18
Le choc fut violent et c'est par un
¿(MU en permanence toutes quantité) di
Leureux hasard qu'il n'y eut pa:
d'accident -de ixersonnes à déplorer.
Ivcs dégâts matériels sont importants
A TRÈS BONS PRIX
Un ccmslat a été fait par M. Tamic,
huissier à Quimperlé.
iSFFBET-BODALLEB
BOIS SUR F1E0S ET ABATTU
Fnmtiru nir Eitriirnnrs i! EMslstu
LA FOIRE. — La foire de Bannalec aura lieu mercredi prochain 1"
Février.
MEDAILLE MILITAIRE. — Nous
avons appris avec plaisir que M. Joseph Dagorn, cultivateur à Kermarzin, en bannalec. s'est vu 'dé-corner
la .médaille militaire pour faits de
guerres. Nos félicitations.
COURS I)E PERFECTIONNEMENT.
— Le prochain cours de perfectionnement des sous-officiers et caporaux
cie réserve aura lieu demain samedi
38 Janvier, de 20 ix 22 heures, à la
gendarmerie de Bannalec.
OONOARNEAU
EN P L E I N E NUIT, UN JEUNE
HOMME SAUVE DEUX PERSONNES
EN DANGER DE SE NOYER. —
Jeudi, ver» 23 h. 30, Mme veuve
Gaounach, commerçante, placc La
Tour-d'Auvergne, à Concarneuu, sa
nièce, employée* ù son service, et son
reveu, Louis Enu, 27 ans, mécanicien aux établissements J.-J. Carnaud, accompagnaient ù son bord
dans l'arrière port, un navigateur
qui venait d'effectuer des, provisions.
Par suite d'une fâcheuse circonstance, M:ii<e Gaounach heurta une
dalle située au bord du quai et tomba
à la mer. Son neveu, ne prenant
même pas la peine d'oter son pardessus, s'empressa de se jeter h l'eau
pour liii porter secours. La nuit était
excessivement noire et accompagnée
d'une pluie de glace. Malgré tous ses
efforts, 3e jeune mécanicien ne put
réussir à ramener sa tante sur la cale
distance d e six mètres environ.
Affolée, la nièce de Mme Gaounach
'appela au secours. Fort heureusement, ses cris furent entendus par
plusieurs personnes qui revenaient
du cinéma.
Un de nos compatriotes-, François
Piriou, 29 ans, antiquaire à la VilleClose, à Concarneau, n'hésita pas ii
se jeter à la mer tout habillé pour
•porter secours aux naufragés. Excel
lent nageur, François Piriou réussit
I'UX prix de difficultés énormes, ft
ramener sains et saufs, sur la cale,
.Ylnie Gaounach et son neveu, qui
allaient infailliblement disparaître
sans son intervention, Le jeunn mécanicien était complètement sub
mergé et la commerçante n'avait plus
que sa coiffe hors de J'eau.
Nous ne saurions trop féliciter
notre sympathique concitoyen pour
ce bel acte de courage. H n'en est
pas, d'aiîleurs, à son' premier sauvetage. car tout récemment encore, il
sauvait un enfant en danger de se
noyer.
GRAVEMENT BLESSÉE DANS UN
ACCIDENT D'AUTO. — Vendredi,
vers 12 heures, une automobile,
appartenant à M. Kerilan Yves, de
Névez, se dirigeait vers Quimpenlé,
ayant à bord Mmie> Kerlan et M-.
Mathurin Salaiin, de Port-Maneoh.
Soudain, à 20 mètres environ de la
ferme de Pontcol, la voiture, par
suite du terrain glissant, (h une
elnbardee et fut précipitée sur le
faltis bôndant la rotite.
M. Kerlan et M. Mathurin Salaiin
j'en tirèrent indemnes. Quant à Mme
Kerlan elle fut assez sérieusement
lilesu-c.
'
"
L e docteur Morvezen, de PontAven, àpelé sur les lieux, lui a prodigué les premiers soins.
L a ' yolture a subi des dommages
très importants. ' • ' . '
SEANCES RECREATIVES. — Les
jeunes filles du patronage donneront
une séance récréative;, au bourg,
sal'o Gac, dimanche prochain, 29
Janvier, à 15 heures en matinée et
ft 2(j h. en soirép.
Au programme : La chaumière bretonne, drame en 3 actes.
Le mariage démocratique,
chant
Née sous une mauvaise éioile, -monologue.
La ronde des Jupons, chant mimé.
Le vrai s'eut est aimable, monologue.
L'Hôtellerie du Lapin sauté, comédie en 3 actes.
Miracles d'amour, chœur final.
Apothéose.
ROYF-AVEN
CONGESTION PAR LE FROID. —
Depuis quelques jours, le froid sévit
sur notre cité. Samedi, M. Larsonneur, manœuvre, travaillant sur les
canalisations d'eau de Pont-Aven, a
été trouvé inanimé sur ces travaux.
Lo médecin a diagnostiqué une congestion.
M. Larsonneur a été transporté à
son domicile à Pont-C'hoat, en Néye*.
. ,
L'IMPRIMERIE DE L'ABBAYE
Place Harvo, QUIMPERLÉ
qui avez du terrain à défricher
adressez-vous
à
M. COHEN Robert
route de la gare, MOËLAN
entrepreneur
Tracteur
de dtfrichaye de terres
et cliarrue moderne
UNE DESCENTE DE JUSTICE. —
Le Parquet de Quimper s'est rendu,
ces jours derniers, à Mo<ilan-sur-Mor,
pour se livrer à une enquête, au lieu
dit « Le Guily » . Etaient présents :
MM. Le Bourdellès, juge d'instruction ; Dramard, substitut ; Canévet,
greffier ; Goulaouic, interprète.
En présence du gendarme enquêteur et de tour les témoins, il a été
procédé ii une reconstitution de l'accident, ainsi qu'à un relevé très précis des lieux.
On se souvient des circonstances
de la collision dont il s'agit. M. Joseph Guillou, 21 ans, quartier-maître
électricien d'aéronautique à Brest,
conduisait une motocyclette, ayant
près de lui son camarade Thomas
Scaviner, quand, dans un virage, la
machine alla heurter l'auto de M.
Philippe, carrier ii Pont-Aven, Dans
le choc, Guillou reçut des blessures
telles qu'il ne tarda pus à expirer.
INFRACTION AU CODE DE LA
ROUTE. — Le 19 Janvier courant,
les gendarmes, en tournée à Moélansur-Mer, ont rencontré, à 18 heures,
Emile L..., de Moélan, conduisant,
sur le chemin de G. C. n4 24, une
voiture attelée d'un cheval, laquelle
voiture était dépourvue de lumière,
U lui fut dresse proc.ès-verbal pour
infraction au code de la route.
Dans le Département
DES VICTIMES DU FROID
A Plouignem. — V e n d r a i matin,
Mme veuve Baudou, 50 ans, dé Kestigou, en Plpuigneau, a été trouvée
morte, près de chez elle, d'une congestion occasionnée par le froid.
A Plougonven. — Samedi, M. Guillaume Jacob, 60 ans, de la PetiteForêt, en Plougonven, rentrait chez
lui à bicyclette du marché de Morlaix, quand tout-à-coup, sur la route
de Callac, il lâcha le guidon et tomba
fsur la chaussée ; lorsqu'on le releva,
il était mort. Le docteur Le Jane conclut à une mort par congestion.
.4 Guilvinec. — Jëudi, Mme Cariou,
de Guilvinec, revenait de Saint-Nazaire, avec son mari, marin-pêcheur.
Elle débarquait à la gare de l'ontl'Abbé, à 13 heures, quant, tout-àccup, elle s'a fiais a, frappée de congestion.
Malgré tous les soins qui lui furent
prodigués, elle ne put être rappelée
a la vie. M. le docteur Souben, appelé
d'urgence, ne put que constater le
décès.
livre les lettres de mariage
2 heures après la commande
TRAVAIL SOIGNÉ
8'Y A D R E S S E R
REUNION DES PECHEURS. —
Samedi soir, à 8 h. 30, a eu lieu, salle
fie la Mairie, à Pont-Aven, une réunion des sociétaires de pèche de
J'Aven.
La salle était comble. En l'absence
du président, le vice-président, M.
Jean Carer, forma le bureau. M. Sinquin, secrétaire, donna lecture du
rapport, et annonça la nomination
|d'un garde-pêche.
Dès lors, la séance fut très mouvementée et ce n'est qu'avec beaucoup de mal que le vice-président
réussit à ramener le silence. Le secrétaire continua sa lecture.
M. Niger Louis, maçon, domicilié
à Pont-Aven, fut nommé garde-pêche. Sa nomination a été accue Illi
avec plaisir par la plupart des sociétaires. Ensuite, il a été décidé que
la pêche sur l'Aven serait interdite
pendant la saison des foins sur toutes
les prairies.
SERVICE D'EAU POTABLE. —
Les propriétaires qui désirent faire
installer un branchement sur la canalisation du service d'eau sont priés
de vouloir bien se faire inscrire à la
mairie.
FERMETURE TARDIVE. — Mme
Ravallec, tenancière d'un débit, placc
aux Porcs, à Pont-Aven, a été surprise alors qu'elle servait ù boire à
MOELAN-SUR-MER
cinq consommateurs après l'heure
SUITE MORTELLE D'UN LÉGER de fermeture. Un procès-verbal lui
ACCIDENT. — Jeudi 19 Janvier, M. a été dressé.
Pierre
Allain, jeune
cultivateur,
habitant la ferme de Kervignac, a COURS DE PERFECTIONNEMENT
été victime d'un malheureux acci- — Nous rappelons -que le prochain
dent qui lui a coûté la vie ; il s'est cours de perfectionnement des souspiqué le doigt en broyant de l'ajonc. officiers et caporaux de réserve aura
On lui
prodigua
immédiatement lieu demain samedi 28 Janvier, de
quelques soins, mais hélas ! ne pen- 20 à 22 heures, à la gendarmerie de
sant pas aux suites, On négligea Pont-Aven.
d'appeler le docteur et le tétanos ne
tarda pas à faire son apparition.
RIEO-8UR-VELON
M. Pierre Allain, malgré toutes les
VENTE
DU TIMBRE ANTITUBERinterventions, a succombé
après
CULEUX. — Ix> produit de la vente
d'horribles souffrances.
Il était marié depuis un an à peine du timbre du 1" Décembre 1932 au
5 Janvier 1933, s'est élevé à la somme
et père d'un tout jeune bébé.
En cette douloureuse circonstance, de 968 fr. 90, se décomposant comme
cous prions sa jeune veuve éplorée, suit : écoles publiques du bourg,
ainsi que toute sa famille, d'agréer 285 fr. 90 ; écoles privées du bourg,
l'expression de nos plus sincères 530 fr. ; école de Loyan, 50 fr. ; école
de Loshan, 18 fr. ; timbres voitures
condoléances.
cl autos, 75 fr. ; mairie, 10 fr.
CULTIVATEURS
ccyoir et leur promit de travailler
de tout son cœur au bien de leurs
ame's.
Puis il monta à l'autel assisté de
M. l'abbé Hillipp, enfant chi Trfvoux.
supérieur dii Séminaire universitaire
d'Angers, ^ W i " l ' à b b ? Î > i c a r t , f i caire à C ! f A a A - 4 . F n #
Une noiiiDrefix clergé prit place au
chœur : M. le chanoine Tanguy, recteur de Notre-Dame de l'Assomption,
de Quimperlé, MM. les curés (1e Riec
et 'de Scaër, M. le recteur de Querrien et des recteurs et vicaires- des
paroisses environnantes.
A KéVangillc, M. le curé de Bannalec Mionta- en chaire, fit -l'éloge funèbre de M, Tromeu-r, l'ancien recteur, et présenta aux paroissiens du
Trévoux leur noiiveau pasteur.
Puis la grand'mesae se déroula, au
co'.ifii'i.'- f!èi laquelle, IflL.musinue; de
Qtiepieh fit entendre de- juîis moi'eaux de circonstance.
A lîissue de la messe, le clergé et
la foi|Ie se rendirent devant le monument *?ÏIX morts, où, après le chant
du Liftera, la musique de Qucirien
e x<;cul a la Marseillaise.
Ne us renouvelons à M. l'abbé Pér
rès nos félicitations et nous lui
adressons nos meilleurs voeux .le fécond ministère dans sa nouvelle paroisse du Trévoux.
80AER
DE LA LUMIERE S. V. P. — 11
était environ 1 h. 40 du matin, très
lard par conséquent, ou très tôt.
quand Mille Marie passait à bicyclette sur le chemin (1e G. C. n" C.
Elle avait oublié de se munir de sa
lanterne, et .malheureusement elle
rencontra les gendarmes, qui lui intimèrent l'ordre de mettre pied ù
terre et lui dressèrent procès-verbal.
VOL DE LAPINS. — Le 21 Jan\ier courant, M. Louis Quéré, cultivateur à Saint-Adrien, en allant soigner ses lapins, fut désagréablement
surpris de constater que trois de
ceux-ci avaient disparu. Ne sachant
sur <jui i)orter ses soupçons, M. Quéré est allé à la gendarmerie porter
plainte contre inconnu.
L E TREVOUX
L ' I N S T A L L A T I O N DU NOUVEAU
RECTEUR. — Comme nous l'avons
déjà annoncé, M. l'abbé Pérès, vicaire
u Querrien, vient d'être nommé rec
tcur de la paroisse du Trévoux.
Lors de sa première visite officielle, le mercredi 18 Janvier, les
habitants du Trévoux lui firent un.e
magnifique réception, et malgré le
temps défavorable, on ne «comptait
pas nnoins de 25 voitures dans le
cortège qui se rendit à sa rencontre.
Dimanche dernier eut lieu la cérémonie de l'installation. Une. foule
considérable d'hommeisi et de fem
mes se pressaient, à cette occasion,
dans lu nef de l'église paroissiale, l^u
cérémonie était présidée par M
l'abbé Guirriec, curé-doyen de Bannalec.
M. Pérès prononça une brève alllo
cution, remercia
ses paroissiens
d'être venus si nombreux pour le re
A Audierne. — Mme veuve Gouzien, habitant près du môle, en Audierne, a été frappée de congestion
alors que, sortant de chez elle, elle
se trouvait dans son poulailler. Elle
est décédée dans la nuit de samedi à
dimanche.
i
C
A
R
B
NOTRE CINÉ PARLANT. — Cette
semaine. Notre Giné Parlant présente (l'un des plus brillants succès
du cinéma' parlant : Le Chemin du
Paradis, la pars célèbre des opérettes
fi.'mlées.
Ix- film de « Avoir un bon
Copain » et de « Tout est permis
riuand on rêve » a connu et coni;alt toujours sur lés écrans de l'Europe entière un véritable triomphe
« C'est, dit Paris-Midi, une opérette réalisée avec infiniment de
goût, jouée à la perfection et accompagnée d'une partition plus qu'agréable. »
En raison de l'affluence prévue
pour ce fHnj si populaire et univertiennent vàjité, une première présentation «era faite le vendredi 27,
fn soirée.
DOUARNENEZ
UN HOMME
MORTELLEMENT
BLESSE PAR UNE CAMIONNETTE.
M. Paul, propriétaire à Kérap"en Pjoaré, }>avardaty à 200
conduite par Louis Verge/ âgé de
22 ans, employé chez son père, boulanger, place des Halles à Douarnenez.
M. Paul fut très grièvement bless£ :
fracture des jambes et coupures très
profondes ù la tête et au visage,
aussi quelques heures après cet accident il rendit le dernier soupir.
KERFEUNTEUN
Démonstrations deVannette
La Maison G R A L L F r è r f s
informe la clientèle qu'elle procédera, pendant toute la journée de
Dimanche 239 courant, dans
ses chantiers, à des démonstrations
avec sa n o u v e l l e M a c h i n e
brevetée.'
LANDELEAU
NOUVEL ADJOINT-MAIRE. — Les
conseillers municipaux de Landeleau, réunis au lieu habituel de leurs
séanpjes, ont procédé à l'i&leçtion du
nouvel 'adjoini-maire, en remplacement de M. Guillou, démissionnaire
pour cause de santé.
M» J.-L. Menthéour, cultivateur à
Rubaye, a été le nouvel élu.
QUIMPER
CINÉMA P A R L A N T DE LA PHALANGE D'ARVOR. — Cette" Sènlaine
deux grands films passeront sur
l'écran parlant de la Phalange d'Arvor : Edelweiss, une comédie dramatique dont ¡l'action toute d'émo
tion contenue se déroule dans la
montagne, et La marche à la gloire,
film sonore et chantant, dans lequel
'.e ténor Richard Tauber use avec
"rand art d'une voix riefte et saisis1
tante. "' '
',', V
Séances,- veiKÎradi et samedi, à
20' 11. 30, dimancljc',' à 15 h. 30 et à
LORI EUT
CARNET RÓSE. — Mme tyaurice
Con nasi, ' femme de M:' Con n'a n,
le
gcijdrp de notre ami
M. Salmori,' directeur de la Compa(jpiç >y.onns, à Lorjeijf, a' mis, heui'ouseiiic-w, "au monile un superbe
calrçon qui a reçu les prénoms
yAIain-Eraile-Loiiis-Rofjert. M. Maurice Còri nói) est le fils de M. Connan.
ancien officier des Equipages de la
tte.
Cette naissance . j ï n c i d e avec _ le
prbcliajp ' c.ént'enairc" de l'arrière
{!ra^'d*nière. '(lé 'M. Connan, qui habite Sairit-Brieuc et aura ses cent ans
ij'Ia flij ;du mois.
A
I
X
A P X MUTILES DU TRAVAIL. —
Lés mutilés du travail du canton de
CàrHa'ix sont convoqués a line réunion qui aura lieu le dimanche 29
Janvier, à 10 h. 30, salle de la Justice
de paix. Tous les mutilés du travail
y sont cordialement invités.
CHATEAUNEUF-DU-FAOU
UN MARCHAND FORAIN FAIT
UNE CHUTE ET SE FRACTURE LE
CRANE. — M. Ely Vabret, 36 ans
marchand forain, fort estimé à Quimper cù il se livre à la fourniture de
chaussons et de chaussures de feutre
rangeait vendredi, vers G heures
ses marchandises au marché de Châ.
teauiieuf-du-Faou. En arrimant ses
piquets «de tente sur son auto, M. Vabret se prit les pieds dans les cordes
et tomba sur la tête.
Relevé sans connaissance, il fu'
transporté chez lui après des soins
empressés du docteur de la localité
Le docteur Quemôré, appelé à son arrivée à Quimper, constata une fracture du crâne et prescrivit son envoi
immédiat à -l'hôpital. M. Vabret est
père -de deux enfants en bas âge.
e
s
S
CLUR SPORTIF ROSTRENOIS (1)
BAT UNION SPORTIVE QUIMPERLOISE, par 4 buts à 1. —- L'équipe
1 b de l'U. S. Quimperloise recevait,
dimanche, à Kerisole, en match ami"
la première équipe du Club Spor_ Rostrenois. Les Quimperlois présentaient une équipe mixte, comprenant de nombreux juniors qui avaient
iéjà joué une autre partie en ouverlire.
Dès le début, les visiteurs dominent
nettement et se cantonnent dans le
camp des locaux. Ils ne tardèrent pas
' marquer un premier but. '
Puis Quimperlé prend l'offensive
vient, à différentes reprises, meacer les bois rostrenois. Bientôt,
Mi roux réussit à égaliser.
La réplique ne se fait pas attendre, et Rostrenen marque son deuxièpie but par une balle imparable, tirée
au ras de la barre.
La mi-teinps survient sur ce score
de deux à un en faveur des visiteurs.
A la reprise, les locaux donnent
(les signes de lassitude, et doivent
-'ipçjiner deux fois encore.
La fin est sifflée. Le Club Sportif
iestrenois l'emporte par quatre à un.
Les visiteurs étaient plus rapides
t plus puissants, et c'est ce qui leur
valu la victoire.
En ouverture, un match de championnat mettait aux prises les juniors
de l'U. S. Q. et les juniors de LorientSports. L'U. S. Q. l.'emporta par six
à zéro ; elle arrive actuellement à
égalité avec les juniors du FootballClub Lorientais.
La finale sera jouée dimanche prochain, au stade de Kérisole, à Quimperlé.
— Dimanche aussi, à Kérisole,
sera mis en compétition le challenge de l'Isole (don de M. Blondeau),
qui avait été gagné l'an dernier par
''Hermine Concarnoise.
Le premier match mettra aux prises l'U. S. Q. (1) et le Football-Club
Lorientais (1 b).
p
o
r
i
s
•
après une semonce en règle dp leurs
dirigeants, prenaient nettemént l à
direction
des
opérations
et
ïe
payaient le luxe d'inscrirë 7 buts à
la marque, sans permettre ' à îeùç-'s
adversaires de sauver l'honneur, malgré l'obtention d'un penalty,' tiré sur
la b a r r e .
LE NÏVOT (1) BAT CHATEAULIN
(1) PAR 2 A 1. — Le NiVOt recevait
sur son terrain, en mat-ch revanche,
ta Première des Coquelicots.
L'école d'agriculture jouait d ' a p r è s
la formation suivante :
Goal : Hernot (Plouédern) ; arrières: Bourdonnec (Plouaret), Kersulec (Scaér); demis: Kecrien ( t a n d i visiau), Kergourîay (EMiant) ; ' capitaine: Abjean (Houxfttfèsttf). 1, •
Avants: Bloaet (Plomodiern); Noury (Plomodiç'rh), Thpmir'tSt-;J\^co);
Kénvel^PouHâii), COz tPloilgasripu).
La partie a été1 « m d e m c d t fiênée
par l'état du terrain lnégal _èt «cléChâteaulin attaque par Affret ç^
Scaon, et après une rapide descente
marque par l'inter-gaucbe Roger Bodétlan.
A la remise en jeu, l'aile droite du
Nivot attaque et, maflgré la résistance
des Coquelicots, Coz marque un premier but.
Châteaulin réagit; la défense du Nivot veil'le. Et peu après Kérivefl
trompe le goal de Châteaulin pt
marque.
v Nivot 2. Châteaulin 1.
Les Coquelicots redeviennent rt£p-açants; à un moment donné, àpîes
cafouillage la balle allait
passer
quand Kergourlay surgit et dégage
çon camp.
•..-..
A la seconde ima-temps, Châteauiin
domine mais ne réussit pas à réaliser. Un pénaltv bien botté est" magnifiquement bloqué par J e petit
goal du Nivot. La fin est sifflée consacrant la victoire de? fcocaU?.'
Le Nivot 2. Châteaulin 1.
Les Coquelicots auraient pu mieux
faire mais 'certainement toute"la CQÛrageuse équipe du Nivot' est à i l .
• J
'
U. S. QUIMPERLOISE (1) BAT )iciter.~
FLEUR DE GENÊT (1), par 3 buts
L E NIVOT II ET C H A T E A U L I N
à 2. — Le terrain des sports de Ban- II FONT MATCH NUL. —
Avant
nalec a connu, dimanche, une leurs aînés les petits s'étaient renaffluence extraordinaire. Rarement contrés. La deuxième du Nivot et la
les touches du Stade Jean-Bourhis tait un certain nombre d e sympafurent si copieusement garnies par deuxième des Coquelicots qui comples nombreux sportifs accourus de l i q u e s vétérans de marqué ont fait
toute la région avoisinante. D'ail- match nul: 0 à 0.
leurs, ce match capital mettant en
BRETAGNE
NORD - BRETAGNE
présence deux équipes de force à peu
près égale, et de son issue dépendant SUD. — Dimanche prochain aùca
lieu au Nivot un matcb amiral* qui
Je championnat.
Au coup de sifflet de M. Kerréant, promet d'être intéressant, t l jt'agit tic
entre les tmiedlleurç
Bannalec descend en trombe vers les a rencontre
buts quimperlois, que le petit goal oueurs du Nivot appartenant â la
Bretagne Nord et les joueurs succNoën, remplaçant Jean Guillou, proion nés de la Bretagne Sud. "Voici là
tège juste à temps. Après quelques !Composition des équipes :
'
offensives dé part et (l'autre, QuimBretagne
Nord : goal; Herp<rt
perlé ouvre le score sur un shoot
imparable de l'avant-centre Morvé- (Plouédern) ; arrières ; Bourdonnec
zen. La réplique ne se fait pas atten- (Plouaret), OMivier (Clédcr); d e » U ;
dre et Le Goc égalise pour la Fleur Kerrlen (Landiyisiau), Abjeap' ïPToude Genêt. Le jeu se stabilise durant guerneau), Godebert (Ploùrin; ayanis
quelques minutes, et sur une nouvelle Goarin (Pludual), Hernot (Plouédern)
descente des poulains de Quéré, la Coz (Plougasnou), Guével CPlougo»Fleur dç Genet porte sa marque à }'in), Thoinin (St-Méen).
Bretagne Sud : goal : Ghapatain
deux. Les Quimperlois se ressaisissent et égalisent avant la mi-temps, (Collorec) ; arriéres; Kersulfjt iScacr)
qui est sifflée sur le score de 2 buts Tanguy (Loqueffret); demis: Rannou
(Elliant), Kergourlay (EUianjt), Lçroy
à 2,
A la. reprise, les lapins bannalec- (ETliant); avants: Labous (Braspansj,
(Landudaj),
K^pve}
çois dominent, et pendant 25 minu- Kerbourc'h
tes bombardent les bois du petit (Poullaouen), Noury (Plomodiern),
ïs'oën, qui se montre goal de classe, piouet (Plomodiern).
Gardons-nous de tout pronostic.
réussissant à arrêter magistralement
deux penaltys. Un peu avant la fin,
fur une belle descente, Quimperlé
marque le but vainqueur. La fin est
¡sifflée sur : U. S. Q., 3 ; Fleur de
penêt, 2.
Grâce à cette victoire et à la déPONT-AVEN. — Œufs, l a d o ^ a j n f ,
faite des Korrigans vannetais par â fr.; beurre doux, la -livre, 6 fr.; beurre
'Alréenne, l'U. S. Quimperloise ga- »alé, 8 fr.; poulets jeunes, la 'f/yre,
gne le championnat du district. Trois "•.¿0 à 4 fr.; poulets vieux, 3 fr.; 'jacÉquipes viennent à égalité, à un point asses, la pièce, 10 fr.; parc, .la livre,
derrière elle : La Fleur de Genet, de .40; veau. 2.75; cidre, 240 à 26i| & , ;
"
Bannalec ; les Korrigans, de Van- porcelets, l a couple, 500 k 560 fr.
nes, et l'Alréenné. d'Aurty.
HENNEBONT. — Marché du 19 Jan-
ETOILE SPORTIVE MOELAN AI SE
ET
LOCUNOLÉ- SPORTS
FONT
Au Tribunal Correctionnel
MATCH NUL, 1 A 1. Ce m<at©h,
de Ch&teaulln.
¿isputé entre deux équipes d e force
MOTREFF. — Une auto écrase une
sensiblement égale, fut contrarié
fillette de trois ans. — Le samedi
par suite du terrain, durement gelé.
17 Décembre) le marché terminé, M.
Une bonne galerie garnissait les
Joseph Guillerm, 34 ans, boulanger
touches et se montra impartiale et
à Créc'h-en-Polic, en Motreff, quisportive.
tait Carhaix dans sa conduite inté" Les deux but furent marqués en
rieure, accompagné de trois personMOTREFF
première mi-temps.
nes. Au lieu dit Pont-Maloten, un
Lés 22 joueurs sont à féliciter, de
MEDAILLES DU T R A V A I L .
— même que -l'arbitre.
autocar, appartenant à M. Le Cam,
de Saint-Hernin, stationnait devant Des médailles d'honneur en argent
CONVOCATIONS. — Les joueurs
l'auberge C.ro»zier, masquaat-;¿in peu ont été accordées aux emnlovés et
de l'Etoile Sportive Moëlanaise son1
la droite de la chassée, si bfen que ouvriers, dont les 'noms suivent :
MM. Pierre Bourhis et Joseph Le convoqués pour se rendre dimanche
Guillerm n'apejiÇùt: pas line fillette
qui déboucha soùaaln de devant Je Guélaff, -contremaîtres dans la mai- à Concarneau, où ils rencontreront
car. Le garde-boutf droit de l'auto la son P. Henry, fils et gendre à Mo- la seconde équipe de l'Hermine Con.•arnoise.
renversa et la traîna sur quelques treff. Nos; félicitations.
Le dimlanche 12 Février, à Moëlan,
mètres:'La mort de la petite Yvette
8PEZET
JiEtoile recevra les Juniors B du
Croizier, âgée de trois ans, fut insUN CHAUFFEUR TUÉ SUR SA Football-Club Lorientais. C'est un
tantanée.
'
M" Launay, pouf îa partie civile, LOCOMOTIVE. — Le mécanicien Le- beau match en perspective. Avis aux
réclame 28.000 francs de dommages veillard et son chauffeur, M. Cadou- amateurs !
et intérêts et plaide longuement sur né à Spézet, le .17 Mars 1898, demeuJEANNE-D'ARC
DE
QUIMPER
les responsabilités de Guillerm, qui rant tous deux ù Argenteuil, condui- (1) BAT FLEUR D'AJONC DE PONTn'aurait pas signalé son approche. saient sur la ligne Paris-Mantes, une AVEN (1) PAR 10 BUTS A 5. —
Le ministère public ne s'oppose pas locomotive haut le pied. Après avoir J. A. (2) et F. A. (2) font match nul
à une clémence niésurée du tribunal, dépassé le passage à niveau de la par 1 but ( i l . — Les gâs de Saintdevant l'imprudence commise par les gare de Colombes, M. Levé il laid vou- Mathieu, quoique privés des services
parents de la petite victime, dont la lut parler a son. chauffeur et, comme de Robert Barré, ont brillamment
présence à 17 heures sur une route celui-ci jpe lui répondait pas, i.l se pris leur revanche et -l'ont ampletrès fréquentée était un danger. letourna et vit M. Cadou étendu .sur ment méritée car cette partie fut netle tender et paraissant grièvement
M* Delàporte assume la défense.
tement à leur avantage.
blessé.
Le Tribunal met l'affaire en déliDèi1 le début, la F. A. descend
Descendu à la gare de Colombes
béré.
'infortuné ' succombait peu après mais les arrières locaux interceptent
H u Ei. c,o AT, — Un soir de réveillon. sans avoir repris connaissance, et la bulle.
J. A. domine et conduit
— Le scène se passe chez M. Guénah, son corps fut transporté à l'institut de belles descentes et sur d'une d'elles
rentre le premier but de 20 mètres.
à l'hôtel du Lac, à Huelgoat.
médico-légal, aux fins d'autopsie.
Au mur est accroché un gardeDe l'enquête immédiatement ou Les Quimpérois rentrent un second
manger, dont on devine le contenu, verte, il semble résulter que M. Ca- but par MaiHoux et un troisième est
car c'est un soir de réveillon. Le dou, pris d'une défaillance probable- acquis par une tête de J. Pennanech
jr-une Le Foll Yves rôde, avise le ment occasionnée par le froid, a sur centre de son frère. Pont-Aven
meuble et succombe à fa tentation. heurté de la tête la partie saillante se reprend et par son inter-gauche
D'une main discrète, il explore la d'un ouvrage. Le fait que sa casquette sauve l'honneur sur mauvais blocage
a été retrouvée Je long de la voie du goal local. La Feur d'Ajonc augcage. Hélas ! le cuisinier veillait.
mente sa marque sur mésentente des
Le Tribunal .retient la w tentative ferrée semble confirmer cette hy)>oarrières qui-ni'|>érois. La réplique ne
de vol. Huit jours, de prison avec thèse, qui demeure vraisemblable, se fait pas attendre et la J. A. rentre
tant que l'enquête n'aura pas été désursis.
deux buts coup sur coup par Jean
POUM-AOUEN. — : Auto contre atte- firiitivenlent conclue.
Penn-anech et Mailloux et le repos
La-victime
d
e
ee
navrant
accident
lage. — M. Le Guern, cultivateur à
est atteint sur le score de 5 à 2 en
était
mariée
et
laisse
quatre
enfants
Poullaouen, conduisait un attelage
respectivement de 12, 10, 8 et faveur des Quimpérois.
à deux chevaux, le 28 Novembre âgés
l ans.
pendant la deuxième mi-temps, la
(
dernier, à proximité d'un virage.
« Jea-pnc d'Arc » mène continuellePour entrer dans ,<m ferme, par un
ment 'le jeu et la F. A. ne procède
chemin étroit, il dut exécuter une
que par échappées sans grand résulmanœuvre telle que la grande route
REMERCIEMENTS
tat. La J. A. rentrera cinq nouveaux
fut encombrée. Surgit une auto, apbuts, tandis que Pont-Aven en comppartenant à M. Manach. En présence
QUIMPERLÉ. — La famille Her- tera trois, dont deux sur pénaltis.
de l'obstacle, ce véhicule, par une sart de la Villemarqué remercie tou- La fin est sifflée sur la victoire bien
série de manœuvres inexplicables, tes -les personnes qui ont assisté aux méritée (les Quimpérois.
faucha un poteau indicateur et un obsèques duEn lever de rideau, la J. A. (2)
poteau électrique avant de se jeter
jouant à 9 joueurs, réussit le match
sur la charrette, qui fut également
M B Pfyrrs M
de la Tilliminni
jiùl par 1 à 1 contre 3a F. A. (2).
renversée. Il résulta quelques blesqui ont eu tlieu le 21 Janvier, à
sures sans gravité.
l'église Saint-David, à Quimperdé,
PHALANGE D'ARVOR BAT A. S.
L'affaire est mise en délibéré.
Ainsi que toutes colles qui leur onl ROSPORDINOISE. par 7 buts à 0.
témoigné leur sympathie on cette — La première mi-temps se termina
LA FOIRE. — Nous rappelons uue douloureuse circonstance.
par un score nul : zéro à zéro.
De Profundis.
c'est 'demain, samedi, que se tiendra 2283
En seconde mi-temps, les Phalanla foire de Carhaix.
gistes, probablement bien gonfiép
Foires et marchés de la régira
vier. — Blé noir, 76 à 80 lés lWr"Kilos. — Vieux poulets gros, 30" i " itQ t f In couple; canards, 10 à 22 pièce; lapins,
,0 à 20. — Beurre ordinaire, au détail,
t ù 24 fr. le kilo; œufs, 6.50 à'7 fr. lfr
ouzaine.
Quimper, 21 Janvier. —
Beurre
table, 8.75 à 9 fr. la livre; beurre dé
cuisine, 8 à 8.50; oeufs, 5 k 5.25 la <i<à»iaine; choux-fleurs, 0^0 à 1.75 1» tètç;
lapins, 15 à 25; poulets, 30 jt 35 1A couple; blé noir, 40 à 42 les 50 k.; seigle,
38 à 40; avoine, 38 à 40.
Pommes de terre 100 sacs: j « » " * » 12
à 13 fr. les 50 k.; saucisses, 17 à M .
Veaux, 4.50 à 5 le k.; porc, 7.
Î
CHATEAUXEUF-DU-FAOU.
21
En-
vier. — Froment de densité 75, 9o fif.
les 100 kilos; densité 74, 94 fr.; ayoines
Crises et noires, 70 i 72; blé nofe," 70;
orge. 70 (mouture et brasserie) ; farine,
première qualité, rendue au çeujl des
boulangeries, 155 à 158 la culasse; sotvs,
60 h 65; farine des grands moulins, t^p
1 165. Baisse sur le blé ainsi que syr
le sarrasin.
Foin, 150 à 160; paille de Îromept,
107.50.
Cidre nouveau, première qualité, 8tO
à 300. Pommes à cidre, 500 à 600 fr.
les t.000 kilos.
Bœuf« «ras, le kilo frur piod; 3-20 à
3.50 (les extras), vaches grasses, le kilo
.sur pied, 2.25 et 2.50; vaches laitières,
l'unité 1.300 il 1.51)0; taureaux le kilo
sur pied, 2.75 à 3; v?»H*, le^kflo «ur
pied, 5; veaux ^'¿leVagc'Ù kilo aJr pied.
0; génisses prête's, l'unité 1.000 à 1.100;
moutons et agneaux sur pied te kilo-,
r.^ft 5.25; v i e i U e i A i j h c s ^étcs^SOjj là
Porcs de lait, l'unité, 250 fr. à huit
¡semaines environ; ports salaison, le kilo
« u r pied, 7; potes « r » s W r .PH9, le
iiilo, 9, viande nette; porcelets de trois
mois, l'unité, 400 à 450 (suivant taille
,ot espèces) ; plusieurs bœufs de premier
choix, hausse <fc 0.25 h 0.85 p » Hvre
¡sur les cours de la deuxième ' f o l W ^
.vente facile pour la viande de boucherie'.
Hausse sur les porc» p&rticulièrenjçnt 4l>
sevrage. Ventre très calme pour laitières
et vaches prêtes. Mafché bien garni.
Vieilles poules, lii couplé, 15 'à 20 ;
poulets de gnujl, la cottjrle, 15 à I * ;
¡Vieux poulets: gros, la couple 20 & 82;
moj-ens, la eoirple, 18 il 20; oies,'!?
¡pièce, 40 à 50; -lopins, lo pièce, 12 li
¿5; lapereaux pour l'élevage, la pièce,
4 à 5.
Beurre ordinaire, en gros, le kilo,
(•oui, 12 fr.; en détail,1, 12.50; beurre de
J
¡table, salé, extra fin, eh gros,
le k l » .
.14; au détait, lç kilo, 14Ü0; œuf^, U
• n Itl/l .4. X K fa
'
Pommes de terne: Institut Reauvais à
32 fr. les 100 kilos; HoMitnde, 30 tr. ;
fourragères, 20 à 22 fr.
CheiHmx. — Marché bien garni, omis
cours -toujours assez bas. Poulains de
l'année, 400 i 500 fr. Bon cheval extra,
3 ans, vendu 3.300 (cours'lé plii's élevé) ;
.youMçhes, 1.500 à 1.700; di>^ç, ?pp' &
HOSPOBDEN, 19 Janvier. — Beurre
non salé. 7 fr. la livre. Légère
<buf», 4 fr. -la douzaine. Cours inçh.-incé.
Veaux, environ 2.50 la livre; Cftiirs
inchangé. Bœufs, l a ' l i v r é , 1.50 JT 1.75.
Transactions assez nombreuses. Poriielets, petit apport, 450 .1 600 T* Mtjplë.
Cievaux. niolgrc apport, baisse, Tràniactio;is presque niùies;
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pour assister et autoriser son épouse
demeurant ensemble, 7, rue du Chemin d e Fe.r, à Saint-Denis-sur-Seine
(Seine),
Ayant M* FOURNIS pour avoué,
avec élection d e d o m i c i l e e n son
étude, sise à Quimperlé, quai Brizeux
n° 6 ;
ET :
Mme Marguerite-Angèle-Lucinc L e
H oc h,
veuve de M. Joseph-Marie
Coadou, demeurant à Pont-Aven
tutrice naturelle et légale de sa fille
mineure Monique-Joséphine-Margue
rite Coadou,
Ayant M* BOT p o u r avoué, a v e c
élection d e d o m i c i l e en son étude
sise à Quimperlé, 20, rue Savary.
Oulre les clauses et c o n d i t i o n s
insérées au cahier d e s charges pour
parvenir à la vente et d é p o s é en
l'étude de M° Péan d e PonflMy
notaire à Pcnt-Aven, o ù toute per.
s o n n e peut en p r e n d r e c o m m u n i c a
tion, la p r o p r i é t é ci-dessus désignée
sera vendue en un seul lot, aux plus
offrants et derniers enchérisseurs
en l'étude d e M* Péan d e Ponfillv
notaire à Pont-Aven, le mardi 21
Février
1933, à onze
heures.
Cette vente se fera e n présence d e
M. Guillaume L e Duigou, m a ç o n ,
demeurant" à Porit-Aven, agissant en
sa qualité de subrogé-tuteur d p la
mineure Monique-Marguerite C o a d o u
issue du mariage d e Mme Marguerite
Le Flioch et d e M. Joseph C o a d o u
_ Pour p l u s amples renseignements
s'adresser aux avoués ou au notaire
L'Avoué
poursuivant
>
Y.-M. FOURNIS.
2281
après, nous étions
en Angleterre.
— Ive C h y p r e a son mérite p o u r - pelle Elisabeth, dit-il, et si m a l a p - heureuse c o m b i n a i s o n , v o u s
avez
p r i s q u e j e sois, j e n'ignore p a s trouvé l e moyen- d e ne p o i n t faire
[2] Nous v î m e s vingt p o r t s ; i l avait c a s - tant, dit le seigneur h o n g r o i s .
sé aux gages san c a p i t a i n e de route,
—• Le T o k a y vieux et dépouillé qu'une reine d e H o n g r i e est son au- de jalouses parmi les saintes q u i p r o dont il r e m p l i s s a i t d é f i n i t i v e m e n t Jes n'était p a s c o n n u en Jérusalem ; guste p a t r o n n e ; mais sainte Rixa, j e tègent votre famille.
f o n c t i o n s . Bref, d e p u i s lors, j e ne m e quant au C h y p r e d u r o i S a l o m o n , l'avoue humblement, est p o u r m o i un
De sainte Salomiée à Salomée
suis plus séparé d e lui.
fort
vénérable,
sans Hensky, la transition était f a c i l e ; un
je l e déclare piquette d e Su rosne en personnage
Le v i c o m t e passait s o u s
silence c o m p a r a i s o n d e votre vin c r u ! H i p - doute...
c o n c e r t d e l o u a n g e s se fit entendre
tout c e qui s e rattachait à l a c o n f é - p o c r a t e
n'eût p a s o r d o n n é 'd'autre
— Mais non m o i n s i n c o n n u ! ache- aussitôt. Caractère aimable, c œ u r endération p o l o n a i s e .
tisane au roi Artaxerxès-Longueinain. va m a d a m e Hensky. Je suis P o l o - thousiaste, d o u c e u r , tendresse atten« Les absents n'ont p a s t o u j o u r e
finesse,
enjouement,
chacun
— Si j'en e n v o y a i s à votre ami r.'ise, Monsieur ; m o n aînée a éti tive,
tort »'. A l ' o f f i c e , Vasili eut tout le Maurice!
par
sous
l'invocation
d ' u n e doua d e quelque qualité la gracieuse
interrompit
l e magnat baptisée
temps d e faire l'éloge de s o n maître magyar.
reine de H o n g r i e ; j'ai v o u l u q u e sa jeune fi'île.
G. de LA L A N D E L L E
;<vec un enthousiasme o b m m u n i c a — A p p r o u v é ! . . . à la c o n d i t i o n , s'il dernière sœur eût p o u r p a t r o n n e une
Le v i c o m t e avait eu tout le loisir
tif. — Dans la salle à m a n g e r , Bé- est guéri d è s demain, c o m m e j e l'es- reine d e P o l o g n e .
de juger d e ses charmes. On lui parn i o w k i était posé en h é r o s d e ma- père, d e ne pas faire mentir la s e - — A merveille! d i t le v i c o m t e ;
lait d e s e s n o m b r e u x talents: elle
— C o m m e tout c e qui est vrai ! nière :i i m p r e s s i o n n e r S;u!oinée, dont
sainte Rixa fut sans d o u t e un mlo- était excellente musicienne, fort insc o n d e moitié d e votre toast.
P o u r c o m p l a i r e à ma tante Ursule, ia grAce, les g r a n d s y e u x n o i r s pleins
— V i c o m t e , vous êtes charmant ! tlèle d e piété, d e charité, d e vertus truite, habile à tous les ouvrages qui
q u i m e n a c e <16 m e déshériter quand de d o u c e u r , et l e s traits d ' u n e e x conviennent aux femmes.
Salomée, voulez-vous aller p r o p o s e r chrétiennes...
elle m e voit souvent et qui niic chérit quise pureté n'avaient IKIS laissé que
—
D o u c e m e n t ! interrompit le
à M. l e v i c o m t e d e s e soumettre à
— A j o u t o n s à cela une fortune
l o r s q u e j e suis loin d ' e l l e , j e m'étais de
provoquer
l'admirfition d u v i l ' o r d o n n a n c e 'de son j o y e u x c o m p a - baron d ' O z o r . Si la p é n i t e n c e d e p r i n c i è r e , pensait R i c h a r d , je ne v o i s
e m b a r q u é avec quelques aimables comte, qui ajouta :
sainte Rixa o u Richenza est é d iguère
gnon d e v o y a g e .
c e qui peut manquer à nia belle
c o m p a g n o n s . Maurice, d e son côté,
— Tant q u e Maurir-e v o u d r a d e
— Volontiers, m'en p è r e , dit lafiante, son long règne ne l'est guère. Hongroise.
achevait son apprentissage de m a r i n , ma c o m p a g n i e , j'ai j u v é de l e suivre,
—• N'etfHfiénjz point, je vous; en :»<:JIn eut soin d e s e faire renseigner
jeune fille.
il sortait d ' A m s t e r d a m p a r une ter- fut-ce au Jupon o u - d a n s la l u n e !
Puis, suivie d ' u n serviteur qui por- prie) s'empressa d ' a j o u t e r la maî- sur la généalogie et les alliances d e
r i b l e b r i s e d e Sud-Ouest, q u a n d Va- _ — C r a i g n e z - v o u s que son i n d i s p o siti, déjà très1 pnssablç matelot, des- sition soit g r a v e ? d e m a n d a la jeune tait une bouteille de T o k a y , elle sor- tresse d e la m a i s o n . Mainte Rixa fut la famille H e n s k y : sa noblesse égatit d e l a vaste salle à manger. R i - sévère: et cr.tains é c r i v a i n s l ' a c c u - lait l'antiquité d e son château-fort.
c e n d d'un mût e n lui signalant un fille.
sent d e cruauté ; mais j ' a i m e mieux
— Parfait ! murmura 'le v i c o m t e ,
navire en détresse. C'était l e nôtre.
— Je n e c r a i n s q u e son t r o p c h a r d , qui n'avait guère cessé de "la
c r o i r e l e s l é g e n d e s pieuses qui nous qui ne m a n q u a point d e parler d e
Sans lui, nous étions p e r d u s . Son ca- C r o m p t
rétablissement.
M a d e m o i - c o n t e m p l e r , fut uin peu c o n t r a r i é d e
comme
u n e f e m m e sa naissance, d e sa fortune et d e ses
pitaine de route qui lui devait obéis- selle; car u n e f o i s guéri, la P o l o g n e la voir sortir la p r e m i è r e , c e qui ne représentent,
représentées
s a n c e , c a r l e bfttiment lui apparte- le r é c l a m « , et l e c h û t e a u d e s Opales l ' e m p ê c h a pas de c o n t i n u e r à être 'le d'un beau caractère, 'la m è r e du espérances d e fortune
par les imposants revenus d e sa
nait, refusait absolument d e se p o r - a p o u r m o i d e s attraits q u i me f e - plus aimable d e s cavaliers. La châ- grand Casimir I " .
-— Je suppose, Madame, q u e 'sainte vieille tante. Il alignait ainsi ses jater à notre secours. Maurice le m e - ront regretter d o ne pou.volr abuser telaine d ' a b o r d , la b a r o n n e d'Ozor,
n a c e de lui brûler la cervelle. Quel- nn peu des a c c è s d e fièvre d e mon sa fille aînée, et imiôme :1a petite llixa, Sîiiliiiiéo doit être aussi quelque illus- lons. — Maintenant, poursuivit-il en
ques mutins soutenaient le p o l t r o n . ami.
mutine e n f a n t qui riait aux éclats tre reine de P o l o g n e ou d e Hongrie, aparté, ' d é p l o y o n s notre esprit, MauHeureusement Vaisill et une d o u z a i n e
•dit le v i c o m t e , qui n e perdait pas rice fera valoir le reste e n c a s d e
— V o t r e désir est b i e n b a r b a r e ! des m o i n d r e s saillies d u v i c o m t e ,
d e H o l l a n d a i s e n r ô l é s d e la veille
eurent c h a c u n e leur part de ises hom- de vue l e but de sa d i g r e s s i o n à tra- b e s o i n ; car, d e deux choses l'une :
¡répliqua Salo'mée en s o u r i a n t .
ou j e me guéris, radicalement avant
interviennent d a n s la querelle. Nous
vers le m a r t y r o l o g e .
Le magnat h o n g r o i s p o r t a un toast: mages.
f û m e s recueillis, non sans peines ;.
— Eh'quoi!
vous, l'ami
intime mon niable ¡tmii, o u je t o m b e gravePar un vrai b o n h e u r ,
toute le
— Je b o i r a i au p r o m p t rétablissemotre méchant navire coula 'dix 'miPolonais, vous ne c o n n a i s s e z ment malade p o u r être obligé, m o i
ment d u c o m t e d e Béni'owiski, ne m o n d e parlait français, Mme Casimir d ' u n
aussi, d e séjourner au château d e s
r u t e s après. — « Rétabli et e n l i vous en d é p l a i s e , M. 'le v i c o m t e ; Hensky ayant été é l e v é e en France, pas m ê m e -»le nom d e l'illustre p a - Opales.
b e r t é ! disait Maurice en me serrant
mais aussi à son l o n g .séjour p a r m i et son m a r i , l e nvagnat, y ayant fait tronne d e l à P o l o g n e ! Sainte Salomée
d a n s les b r a s . Où voulez-vous a l l e r i »
— Vos Karpathes sont d e superétait la fille d u r o i Leszeh-le-Bîanc
plusieurs voyages.
nous.
— < N o u s en c a u s e r o n s à table! » lui
Le n o m d e Rixa motiva une d i - et la sœur d e Boleslas-le-Chaste ; bes montagnes! disait-il en m ê m e
— S a l o m o n en p e r s o n n e , répartit
r é p o n d i s - j e . Sa g a r d e - r o b e fut mise
q u e l'ingénieux v i c o m t e elle épousa l e r o i A n d r é II, d e P o - temps.
¿ u pillage, et malgré la tempête, Va- R i c h a r d , n'eût p a s >si Tiien c o n c i l i é gression
L ' o n en était ù la s i m p l e causeavait
a
m
e
n
é e p o u r raisons à lui bien logne.
nos
v
œ
u
x
,
et
s
u
r
t
o
u
t
,
M.
l
e
magnat,
sili trouva m o y e n d e nous faire ser— Admirablement!
Madame, s'é- rie. L e v i c o m t e faisait du p a y s a g e
connues.
il
nV-ût
p
u
le
faire
a
v
e
c
un
vin
plus
v i r un excellent dîner. Huit jours
généreux que le v ô t r e .
— Madame la b a r o n n e d'Ozor s'ap- cria le v i c o m t e ; j e vois que, p a r une hongrois, sautait à p i e d s joints d a n s
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TOUS 8DD0BGG UDB BAISSE 1P0BTIITE
Comprenant : 1° Maison
d'habita
tion construite en pierres et c o u v e r t e
en ardoises, élevée sur terre-plein
d ' u n rez-de-chaussée et d'un grenier.
2° Une Crèche au bout Midi de la
maison et sous la mlème toiture.
3° Et une parcelle de terre
labourable au Midi des d e u x articles ci-des;us.
Cette p r o p r i é t é d'un seul tenant,
figure au plan cadastral 'de la c o m
mune de Nizon, sous l e n ° 945 P d e
'la section B, p o u r une c o n t e n a n c e
d ' e n v i r o n d o u z e ares trente centiares,
et d o n n e de l'Est sur v o i e charretière, 'de 'l'Ouest sur terre à Glémarec, du Nord sur S ici a y et d u Midi
sur terre à Glèmiarec et B r u n o u .
MISE A P R I X baissée à 10.000 f r
Cette vente est p o u r s u i v i e en e x é cution d'Un p r e m i e r - j u g e m e n t rendu
sur requête p a r l e Tribunal de p r e
mière instance (le Quimperlé, le 18
Juin 1932, enregistré, et d'un deuxième jugement d u même Tribunal
en date d u 17 D é c e m b r e 1932, enregistré, ¡ordonnant la vente sur baisse
de mise à prix,
A LA REQUÊTE DE :
— Rue
Tél-128
d'une PETITE PROPRIÉTÉ
Demander
LA ¿IÒTICE B
LE C7
Basse-Ville
25
PROPRIÉTÉ
Désignation
des biens à vendre :
Département d u Finistère. — A r r o n dissement d e Quimper. — Com.
mime de NIZON,
T.5.E
DREUMONT
Armurier professionnel
sise aux
dépendances
de KÊRIGAZUL,
en NIZON.
MISE A PRIX baissée à 1 0 . 0 0 0 fr,
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heures,
sur baisse de mise à prix,
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jusqu'à 2 2 t o n n e s
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M' Péan d e PonfiMy,
notaire à Pont-Aven,
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des CHARGEURS RÉUNIS et SUD ATLANTIQUE
Etudes d e M" FOURNIS,
AvouéL i c e n c i é , G, quai Brizeux ; M'
BOT, Avoué à Quimperlé, 20, rue
Savary ; M" PÉAN D E PONFILLY,
Notaire à Pont-Aven.
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2282
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de première instance de Quimperle,
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Vous d é p l o r e z les dégâts que c o m mettent d a n s v o s c h a m p s , dans v o s
céréales notamment, îles sauves, les
ravenelles, les renoncules, les c o q u e licots, 'les bleuets.
Que faites-vous p o u r les détruire 1
Vous e m p l o y e z l ' a c i d e sulfurique.
C'est un e x c e l l e n t r e m è d e , m a i s il
a des inconvénients. Il est coûteux,
dangereux et a h i m e souvent la culture à protéger.
Or tout c e c i peut être évité aujourLes C h e m i n s de fer de l'Etat sont d'hui.
heureux d ' i n f o r m e r leur clientèle que
Nouveau
procédé
de
destruction
d e s a m é l i o r a t i o n s a p p r é c i a b l e s o n t des mauvaises
herbes.
été a p p o r t é e s â leur s e r v i c e d e locaCe. p r o c é d é consiste dans l ' e m p l o i
t i o n des o r e i l l e r s et c o u v e r t u r e s .
d'un e n t r a i s contenant :
Depuis 'le 1 " Janvier c o u r a n t , ces
A z o t e , chaux et potasse.
objets, indispensables p o u r v o y a g e r
C'es't-iwlire par l ' e m p l o i d ' u n m é c o n f o r t a b l e m e n t , sont présentés aux
lange.
v o y a g e u r s , sans augmentation d e
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S y l v i n i t e r i c h e , finement
moulue,
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dosant : 4,50 % d ' a z o t e a m m o n i a c a l
ticket d e c o n t r ô l e .
et 13,50 % de Potasse.
Les oreillers et c o u v e r t u r e s sont
Ce méilange est â la fois :
m i s ainsi à l'abri d e toutes souilluUn puissant h e r b i c i d e ;
re« dès leur s o r t i e «le â'étuve.
Un engrais d e couverture parfait.
D'autre part, le v o y a g e u r peut utiIl détruit les plantes parasites et,
liser la pochette, après; en avoir l o i n d'affaiblir les céréales, il leur
retiré l'oreiller o u la c o u v e r t u r e , d o n n e un « c o u p d e fouet » immép o u r protéger ses vêtemients et cha- diat.
p e a u pendant le v o y a g e .
Mode d'emploi :
C o n c u r r e m m e n t avec les oreillers
mélange
cianainidc-sylvinitc
o r d i n a i r e s en plumes, loués 4 franc?., _ Le
le Réseau de l'Etat met en l o c a t i o n , r i c h e , 4,5 — 13,5, s ' e m p l o i e lorsque
au prix d e 6 f r a n c s , des oreillers les mauvaises herbes sont jeunes et
« métalliques » d o n t le c o n f o r t s u p é - « [ o n t e n c o r e que q u e l q u e s feuilles
rieur n e manquera pas d'être très bien t e n d r e s étalées sur l e sol.
a p p r é c i é d e s voyageurs.
11 doit être r é p a n d u de bon matin,
lorsque des feuilles sont e n c o r e c o u
vertes d e rosée o u d e gelée b l a n c h e
et qu'une belle journée s ' a n n o n c e .
Il est ronseillé d e herser quelques
jours après le traitement afin d'arracher les plantes flétries, d e r e c o u Afin d e faciliter le t r a n s p o r t d e s vrir l'engrais et île faciliter le tallage.
v i a n d e s f r a î c h e s et abats, le-À Réseaux
Quantité il e m p l o y e r . — 500 à 600
d e l'Etat et d'Orléans o n t a c c o r d é kilogrammes ¡1 l'hectare.
r é c e m m e n t aux c o n v o i s p a r w a g o n
(Ar Vro
Go:.)
c h a r g é de 3.500 kilos ou p a y a n t pour
c e p o i d s , à d e s t i n a t i o n ¿le ParisBatignolles, Paris-Vaugirard et ParisAusterlitz, l e b é n é f i c e d'un nouveau
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D é s o r m a i s , toute distinction dans
la c a t é g o r i e des abats sera supprim é e et \es transports seront unifiés
sur la 'oase la plus réduite.
L e s expéditeurs e t destinataires
i n t é r e s s é s n e m a n q u e r o n t pas d ' a p - dépendant
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d e F r a n c e , -puis d e c e l l e d e f o r m u l e d e politesse, elle fut faite d e
Vienne, s e lançait d a n s l'éloge d e lamanière à r e d o u b l e r le trouble d e
reine Maria Leczinska, débitait des la jeune châtelaine, qui, n'étant pas
anecdotes, et surexcitait son éblouis- seule dans la c h a m b r e d u m a l a d e ,
sant entrain par de n o m b r e u x petits ne craignit p o i n t d e p r o l o n g e r sa v i coups d e Tokay.
site.
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B é n i o w s k i , c o m m e o n le sait, deLa pétillante Rixa s'amusait à ravir.
Casimir
Hensky et de b a r o n vait son mal à une irritation périic
•l'Ozor, son g e n d r e , étaient égayés ; blement r é o r i m é e . Son inutile tenla châtelaine et la b a r o n n e sa fille tative à la c o u r de Vienne, l e s injusi>;née agréablement distraites par les tices d o n t il avait à se p l a i n d r e , la
p r o p o s , souvent d é c o u s u s , nïais tou- c o n d u i t e de plus en. plus o d i c u s ? d ?
ses beaux-frères te d e ses p r o p r e s
jours aimables du j e u n e v o y a g e u r .
Cependant, Salomée venait d e pé- sœurs, avaient allumé d a n s ses yeines
nétrer d a n s la cha'mbre du c o m t e d e le f e u d'une violente c o l è r e . A la
BénioAvski, à qui la vieille intendante vue .(le la jeune Salomiée qui levait
du château p r o d i g u a i t ses soins. Va- sur l u i ses grands y e u x noirs, e m ,
sili était aussi p r è s d e lui. La fièvre olis d'une p i e u s e b i e n v e i l l a n c e :
redoublait; une maladie plus sérieuse
— Haïr, c'est s o u f f r i r ! murniuràétait à c r a i n d r e .
t-i'l; oublier, p a r d o n n e r , aimer, c'est
— Monsieur le comte, dit Salomée guérir, c'est être sauvé!... Notis avons
en entrant, j e v i e n s r e m p l i r auprès en Lithuanie, un beau c h a n t p o p u de vous un fort étrange message ; laire, j e d i r a i s p r e s q u e un cantique^
mais, sur la p r o p o s i t i o n de M. lequi e x p r i m e ces idées avec la Jsimvicomte d e Chaumont, votre a m i , j e i>licité pénétrante de la poésie vraie,
suis chargé, par mon père, d e vous de la p o é s i e du c œ u r .
— Je crains, m o n s i e u r de c o m t e ;
o f f r i r , c o m m e un c o r d i a l salutaire, c e
dit l a jeune fille e n s e (levant, què
flacon de T o k a y .
— Queille f o l l e ! s'écria l'intendante vous ne vous fatiguiez.
— O h ! ne vous éloignez pas, Made- .
qui voulut r e n v o y e r le 'domestique.
— P a r d o n , d i t Vasili, M. le c o m t e pioiselle, reprit vivement B é n i o w s k i ;
laissez-moi
vous
dire
quelques
est un p e u m é d e c i n .
— Qu'en pensez-vous, Monsieur 1 t r o p h e s de c e chant que v o t r e p r é sence me rappelle. Je nie s e n s m i e u x ;
demandait Salomée en souriant.
— Offert par vous^ Mademoiselle, ma fièvre s e c a l m e ; nnon s a n g est
dit B é n i o w s k i , c e vin d o i t être p o u r rafraîchi p a r les touchants souvenirs q u e votre 'présence éveille e n
m o i 8'élixir souverain.
i<)
— Je le verserai d o n c à votre san- moi.
— Je vous écoute, m o n s i e u r le
té, dit l a jeune fille.
— Et mici, j e l e b o i r a i
à v o t r e comte, murmura Salomée en rougissant.
bonheur!
(A suivre).
Il en est d e s inflexions d e v o i x , d e s
gestes et d e s regards
comme des
lettres d e l'alphabet, d o n t l'assemLe gérant :• D . PLOUZBNNEC.
blage peut p r o d u i r e un n o m b r e infini de pensées différentes. La r é p o n s e Quimper, Imprimerie Cornonaillaiie.