FrontPage de Microsoft - Flash informatique

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FrontPage de Microsoft - Flash informatique
INFORMATIQUE
SOMMAIRE
FrontPage de Microsoft
par Christian Zufferey, SIC
L’année passée on disait: il n’y a pas de semaine où on
ne parle pas d’Internet dans les
médias... à la mi-96, force est de
constater qu’on en parle quasiment tous les jours... Internet est
donc à la mode... mais de constater aussi que pas mal de personnes savent utiliser Internet pour
récupérer de l’information, mais
très peu savent (ou peuvent) en
diffuser. Jusqu’à récemment la
diffusion d’information était une
affaire de spécialistes et aussi de
gros sous. Aujourd’hui nous
voyons l’arrivée d’outils de WAO
(Web AO, comme la PAO) de
3ème génération, le Webtop
Publishing... (comme le Desktop
Publishing).
1
FrontPage de
Microsoft
2
Extension du
système robotique
3
Netscape 2
pour les nuls
6
Netscape 2 pour
les branchés
7
Les cours de
formation
12 Le Coin des Curieux
POUR LA PETITE HISTOIRE
Pour diffuser de l’information
sur le WEB, il faut composer des
pages en langage HTML. Les
outils de première génération
étaient simplement des éditeurs
de texte où l’on alignait à la main
les commandes HTML qui composaient le document. C’est encore la manière la plus utilisée,
surtout par le monde UNIX, car
elle nous donne la maîtrise totale
des commandes HTML; mais elle
exige aussi la connaissance du
langage. Elle est, donc, réservée
exclusivement aux spécialistes et
aux touilleurs...
Suite en page 4
14 L’art de programmer
17
CAPA
18 Du PC au copieur
Docutech
20 calendrier des
manifestations
20 Réception du SIC
PROCHAINES PARUTIONS
été
7
8
9
10
parution FI
délai FI
03.09
24.09
22.10
19.11
17.12
27.06
05.09
03.10
31.10
28.11
FI 6 — 2 JUILLET 1996
P/A SERVICE INFORMATIQUE CENTRAL, CP 121, CH - 1015 LAUSANNE, ✆ 021/693 2211, TÉLÉFAX 021/693 2220
FLASH
ÉCOLE POLYTECHNIQUE
FÉDÉRALE DE LAUSANNE
Extension du système
robotique
par Michel Jaunin, SIC
Si la planification telle que définie actuellement se déroule comme prévu, le SIC installera vers
la mi-août deux unités à cartouches supplémentaires
de StorageTek (modèle SD-3, aussi appelées
Redwood) sur l’un des robots STK existants. Elles
complèteront les unités déjà présentes, utilisant des
cartouches type 3480.
Ces unités utilisent une nouvelle technologie d’enregistrement, provenant du monde de la vidéo,
adaptée aux contraintes de l’informatique. L’enregistrement est réalisé par une tête tournante, désaxée par
rapport à l’avance de la bande magnétique, ce qui
permet un enregistrement hélicoïdal de l’information
sur la cartouche. Pour permettre un positionement à
haute vitesse sur la bonne zone d’information de ces
cartouches de très grande capacité, des pistes longitudinales sont utilisées pour l’adressage.
Les avantages marquants par rapport à la technologie actuelle, basée sur une écriture longitudinale sur
18 pistes, sont :
▲ une augmentation du taux de transfert pour des
fichiers de grande dimension (10 à 15 MB/sec
pour des blocs de grande taille);
▲ une augmentation de la capacité des cartouches
de 2 ordres de grandeur.
Ces nouvelles cartouches SD-3 existent aujourd’hui
en 3 modèles de capacité différente : 10 GB, 25 GB
et 50 GB (sans compression), alors que les cartouches 3480 offrent 200 MB ou 250 MB selon le
modèle.
Les nouvelles cartouches ont les mêmes dimensions physiques que les cartouches actuelles, ce qui
permet de les traiter sans autre dans le système
robotique ; il y a donc cœxistance des deux types de
cartouches, bien qu’elles soient incompatibles et ne
puissent être traitées que par les unités de lecture/
écriture correspondantes. Ces deux types vont fonctionner en parallèle pendant longtemps, leurs caractéristiques étant en partie complémentaires. En particulier, les cartouches de type 3480 sont standardisées et sont utilisées sur de nombreux systèmes, ce qui
permet un échange d’informations et elles restent bien
adaptées pour l’écriture de fichiers relativements
petits ou moyens. Des projets de standardisation par
ANSI et ISO de ces cartouches SD-3 sont en cours.
Ces unités seront connectées au serveur de calcul
Pascal (Cray Y-MP M94) uniquement, alors que les
unités actuelles sont connectées à Pascal pour une
partie et à Nestor pour une autre. Après mise en
service, tests et vérifications de fonctionnement et de
performances, elles seront utilisées principalement
pour le stockage de très gros fichiers (plusieurs
dizaines ou centaines de MB) provenant de certaines
applications réalisées sur Pascal ou sur le T3D, soit
par le système de migration de fichiers (DMF), soit
sous le contrôle direct des utilisateurs concernés.
Selon les expériences, elles pourraient aussi être
utilisées pour le back-up de file systems.
Comme déjà indiqué, ces unités sont peu efficaces pour de petits ou moyens fichiers, qui continueront
donc à être traités sur les unités 3480.
Des informations précises sur les conditions et
modes d’utilisation des cartouches SD-3 seront données dès leur mise en production.■
Flash informatique
Les articles de ce journal ne reflètent que l’opinion
de leurs auteurs. Toute reproduction, même partielle, n’est autorisée qu’avec l’accord de la rédaction et des auteurs.
Rédacteur en chef:
J. Dousson ,
[email protected]
Comité de rédaction: J.-D. Bonjour, J.-M. Chenais,
M. Crvcanin, L. Desimone,
J.-J. Dumont, P.-A. Haldy,
P. Lachaize, H. Le Pezennec,
F. Roulet, Ch. Simm & J.
Virchaux
Composition:
A. Raposo de Barbosa
Impression:
REPRO
Tirage:
4000 exemplaires
:
http://sawww.epfl.ch/SIC/SA/
publications
Adresse:
SIC-SA EPFL 1015 – Lausanne
✆ 021/693 22 46 & 22 47
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EXTENSION
DU SYSTÈME ROBOTIQUE
Netscape 2
pour les nuls
par Jacqueline Dousson, SIC
L’OUTIL DE MESSAGERIE
Dans le Flash Informatique 4/96, sous la rubrique
Netscape 2 pour les nuls, nous vous avions parlé du
navigateur et du lecteur de news. Ici nous allons
aborder le troisième volet offert aujourd’hui par
Netscape 2, l’outil de messagerie. Cela ne signifie
pas qu’il vous faut abandonner votre outil préféré de
messagerie, qu’il s’agisse d’Eudora, AppleMail, exmh
ou autre zmail, mais vous ne pouvez pas ignorer cette
possibilité. Vous avez sans doute utilisé sans le savoir
cet outil en envoyant un courrier électronique à partir
d’une page Web; en effet cliquer sur un lien hypertexte
qui pointe vers «mailto:[email protected]», vous ouvre
une fenêtre de composition de message qui est celle
de l’outil de messagerie de Netscape, avec le champ
du destinataire déjà rempli. Rien de plus simple...
donc pour envoyer des messages (il faut juste avoir
entré votre adresse e-mail dans Options/Mail and
News Preferences/Identity); les recevoir suppose un
peu plus de préparation, c’est ce que l’on va développer ici. Attention, les classeurs de messages ne sont
pas compatibles entre les outils de messagerie,
changer d’outil signifie donc l’impossibilité de lire les
messages précédents classés en dossiers. Ceux-ci
restent accessibles par l’ancien outil.
enverrez. Vous pouvez aussi cocher l’option
Automatically quote original message when
replying, qui, vous l’aurez deviné, vous met le
message original dans le corps des réponses que
vous ferez.
Servers: ici 2 cas se présentent à l’EPFL:
▲ vous travaillez avec un serveur POP MAIL.
C’est le cas par exemple si vous utilisez EUDORA.
Pour le mail sortant (outgoing mail) indiquer le
nom du serveur SMTP (c’est le champ serveur
SMTP d’Eudora). Pour les messages entrant
(incoming mail = relève de la boîte) il vous suffit
alors de cocher l’option POP3, et d’entrer dans le
champ libre le nom du serveur POP où vous êtes
enregistré. C’est une solution bien pratique si
vous devez travailler depuis plusieurs machines
différentes, par exemple en déplacement, puisque c’est le serveur POP qui reçoit vos messages
et par l’outil de messagerie, vous allez relever
cette boîte aux lettres. Il vous faut aussi entrer votre
username correspodant au serveur POP; l’option
After Delivery /Remove from Server est utile car
elle évite d’encombrer les disques du serveur POP
des messages que vous avez déjà lus.
CE QU’IL VOUS FAUT CONFIGURER
Dans le menu Options/Mail and News
Preferences/ apparaissent 5 sous-menus:
Compose: l’option MIME ou Allow 8-bit vous permettent d’envoyer des messages accentués. L’option MIME vous permet en plus d’envoyer des
documents de formats beaucoup plus variés (images, sons); pour plus d’informations sur le format
MIME, voir plus loin sous la rubrique Netscape
pour le branchés. Vous pouvez cocher l’option
Self pour By default, email a copy of outgoing
messages to en face de Mail Messages, cela
aura pour effet de vous envoyer systématiquement une copie de tous les messages que vous
▲ vous travaillez sur une machine unix et vous ne
voulez pas passer par un serveur POP, alors vous
pouvez directement indiquer à Netscape d’aller
chercher vos messages, là où ils arrivent naturellement par la messagerie intégrée au système.
Mais, attention, ce passage de votre ancien outil
de messagerie à Netscape doit se faire calme-
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Appearance: sans grande importance, ne joue que
sur le look de vos messages
ment sans chercher à modifier quoi que ce soit
aux fichiers mail existants (/var/mail/$USER ou
/usr/spool/mail/$USER). Cocher l’option Built
in Movemail suffira à indiquer à Netscape d’aller
systématiquement chercher vos nouveaux messages. Si vous avez des centaines de messages non
classés, cela peut prendre un certain temps, car
Netscape doit en faire une copie dans un sousdirectoire $HOME/nsmail qu’il va créer automatiquement. Pour les mails sortant, indiquer simplement localhost, qui est en général l’option par
défaut.
Organization: vous permet d’imposer un système de
classement de vos messages. Choisir l’option
Thread permet de grouper les messages ayant les
mêmes sujets (suite de réponses à un même
message), pour la messagerie ou pour les news.
Vous pouvez aussi imposer une méthode de tri par
date, auteur, etc. Très utile si vous passez par un
serveur POP: cocher l’option Remember Mail
Password pour éviter d’avoir à chaque Get Mail
à réentrer votre mot de passe!
LA FENÊTRE DE MESSAGERIE
Nous ne l’avons pas encore précisé mais biensûr,
pour avoir une fenêtre messagerie sous Netscape,
choisissez dans le menu Window l’option Netscape
Mail. Vous vous retrouvez avec une fenêtre très
proche de celle du lecteur de news, avec dans la
section gauche la liste des folders-classeurs, dans la
section droite, l’en-tête des messages correspondants
au folder sélectionné, et en bas le corps du message
sélectionné.
FOLDERS
Au départ, vous ne disposez que de 2 folders:
Inbox et Trash. Dans Inbox vous trouverez tous vos
messages non classés, et les nouveaux messages non
lus. Dans Trash se retrouvent tous les messages que
vous avez détruits (les sélectionner dans la fenêtre de
droite et choisir Delete Message dans le menu Edit).
Vous aurez très rapidement besoin de créer des
folders personnels pour classer votre courrier. Pour
cela, choisissez New Folder sous File, donnez-lui un
nom et son icône ira automatiquement se positionner
dans la fenêtre de gauche, comme un dossier. Vous
remarquerez que ces dossiers sont classés par ordre
alphabétique. Ensuite pour mettre un message dans
le folder désiré, avec la souris vous faites glisser
l’icône du message dans l’icône du folder. Un truc
utile: pour classer tous les messages du même auteur,
choisir Sort Mail by Sender (voir plus haut
Organization), puis en maintenant la touche Maj
enfoncée, sélectionner le premier et le dernier message de cet auteur et glisser le tout dans le folder
voulu. Le folder Trash ne se vide jamais automatiquement, vous pouvez récupérer ce que vous avez jeté à
la poubelle. Un Empty Trash (sous File) s’impose
donc de temps en temps.
UN NOUVEAU MESSAGE ARRIVE
Comment êtes-vous prévenu? Si votre fenêtre
Netscape Mail a été iconisée, l’icône s’agrémente
d›un soleil jaune. Si une autre fenêtre Netscape
(navigateur ou lecteur de news) est ouverte, l’arrivée
d’un nouveau message est signalée par un point
d’exclamation en bas à droite de la fenêtre, cliquer
sur ce ! vous ouvre automatiquement la fenêtre de
messagerie. Vous pouvez aussi dans cette fenêtre
agir directement avec le bouton Get Mail de la barre
d’outils qui va tester alors l’existence de nouveaux
messages.
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Identity: Le champ Email address est obligatoire.
Vous ne pouvez donc pas envoyer de message
par Netscape si vous n’avez pas vous-même une
adresse e-mail, ici vous entrez votre adresse
logique, par exemple: Jacques.Dupont@lami.
di.epfl.ch, c’est l’adresse qui figure dans l’annuaire CSO (http://www.epfl.ch/cgi-bin/
queryperson) - lire aussi le guide du courrier
électronique: http://slwww.epfl.ch/SIC/SL/
messageries/GUIDE/guide-email.html. Les
champs Your Name et Your Organization sont
évidents, ils représentent votre personne physique. Le champ Signature File vous permet de
donner le nom du fichier qui sera systématiquement apposé en bas de chacun de vos messages
(y compris dans les messages que vous postez
dans les newsgroups): votre signature. Sur Mac
vous devez en plus cliquer sur le bouton File pour
forcer l’utilisation de ce fichier.
S
EL
Un message non lu apparaît dans le folder Inbox
et l’en-tête du message (en gras) est agrémentée du
symbole non lu. Comme avec les news vous pouvez
marquer d’un drapeau les messages qui vous semblent importants afin d’y revenir plus tard.
Un plus quand on lit un message qui contient des
URL, elles sont cliquables, et vous basculent alors
directement dans la fenêtre navigateur (on retouve la
même facilité avec les news lus avec le lecteur de
news de Netscape).
Votre carnet d’adresses pour la messagerie
apparaît avec l’option Address Book sous
Window ou le bouton Address quand vous êtes
dans la fenêtre Composition de message.
COMPOSITION D’UN NOUVEAU
MESSAGE
Add User (sous Item): les champs importants sont
Name, c’est ce nom qui apparaît dans le carnet,
et Email Address: là vous entrez l’adresse électronique logique de la personne. Un champ commentaire est aussi possible. Les différents noms
sont classés par ordre alphabétique et sont accompagnés d’une petite icône que vous déplacez dans le champ Mail To de la fenêtre de
composition.
Il vous suffit de cliquer sur le bouton To:Mail de la
boîte à outils. La fenêtre de composition apparaît.
Pour les adresses des destinataires (Mail To:), vous
pouvez les entrer au clavier ou plus pratique, les faire
glisser depuis votre carnet d’adresses (voir plus loin
Address Book) que vous pouvez faire apparaître avec
le bouton Address. Si vous devez envoyer à plusieurs
personnes, séparez les adresses par une virgule «,».
Add List (sous Item): vous permet de regrouper les
personnes déjà entrées comme User en listes.
Vous donnez un nom à la liste et vous faites glisser
les petites icônes de personnes désirées dans
l’icône dossier correspondant à la liste. Glisser
l’icône d’une liste dans le champ Mail To de la
fenêtre Composition envoie automatiquemet le
message à tous les correspondants de la liste.
QUELQUES OPTIONS OU BOUTONS PAS
ENCORE EXPLIQUÉS
ADDRESS BOOK
LA BARRE D’OUTILS
Get Mail, va charger les éventuels nouveaux messages.
Delete, détruit le message courant.
To: Mail, appelle la fenêtre de composition.
Re: Mail, répond à l’auteur du message courant.
Re: All, répond à l’auteur du message courant et à
tous les destinataires de ce message.
Forward: fait suivre le message courant à une autre
adresse; le bouton Quote permet alors de placer
le message initial dans la réponse (cette option
Qote est d’ailleurs toujours disponible dans la
fenêtre de composition, elle se réfère au message
courant).
Print: imprime le message courant.
PAGE 5
Le bouton Attach permet de joindre un fichier à votre
message (attach File) ou une URL. En effet un fichier
au format HTML sera mis en forme à travers l’outil de
messagerie comme à travers un navigateur. Mais
attention, cela n’a de sens que si votre destinataire
utilise le même outil, sinon il ne verra qu’une triste
succession de <H1><UL>... C’est bien sûr le même
problème que quand vous envoyez un fichier Word
à quelqu’un qui n’a pas pas Word sur son poste de
travail.
Sous Edit, Find et Find again permettent de rechercher des messages dans le folder courant.
Sous View, Add to Address Book ajoute le nom de
l’auteur du message courant dans votre carnet
d’adresses.
Options, Show only unread messages ou Show all
messages vous permet de n’afficher que les
messages non lus ou au contraire tous les messages.
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Netscape 2 pour les branchés
Vous pouvez aussi nous en envoyer !
MIME (MULTIPURPOSE INTERNET MAIL EXTENSIONS)
C’est un protocole qui permet d’échanger sur
Internet des documents de différents formats. Le format
du document peut être fourni par le serveur, sinon le
client comme Netscape le devine d’après l’extension
du fichier. Pour les extensions non standards (.html,
.gif, .jpg etc...) le logiciel navigateur va examiner ce
qui a été prévu comme application correspondante.
C’est ce que l’on appelle les helper applications.
Sur Macintosh, vous pouvez éditer le fichier
correspondant à travers l’option General/Helpers.
Sous Unix, c’est le fichier $HOME/.mailcap que vous
pouvez éditer pour rajouter par exemple:
application/pdf; /usr/adobe/bin/acroread %s
Cette ligne indiquera au navigateur d’aller chercher l’application acroread chaque fois qu’il recevra
un fichier d’extension pdf.
Parmi les types de fichiers que vous risquez de
rencontrer, on trouve:
▲ des fichiers son (format .au, .aiff et .wav)
▲ des fichiers compressés (.zip etc...)
▲ des videos (.mpeg)
Si vous ne connaissez pas l’application capable
de les traiter, il vous faut chercher du côté des lignes
de machines, car celle-ci dépend souvent de la plateforme. Une liste complète des types MIME reconnus
par netscape est accessible dans le fichier Global
Type Files (dont le nom est précisé dans le menu
Options/General Preferences/Helpers).
PLUGS IN
Netscape Communications a choisi d’offrir à ses
utilisateurs l’intégration de développements extérieurs
et donc d’augmenter le nombre de types de fichier
reconnus. Une fois installé, le plug-in que vous désirez, fourni par une société externe à Netscape, il suffit
de modifier le fichier helper applications comme
précédemment pour que tout soit parfaitement intégré
dans la même fenêtre, à la différence des helpers
applications qui en général s’exécutent dans une
autre fenêtre. Aujourd’hui plus de 50 plug-in sont déjà
disponibles, notamment dans les formats video, audio
et 3D, mais tous ne sont pas disponibles sur toutes les
plates-formes. L’ouverture permise par ces plug-in est
très grande, mais bien sûr, à l’utilisateur de faire son
choix sans tomber dans le gadget.
JAVA ET SÉCURITÉ
Pour ceux qui doutent de la provenance des
applets, il y a une option dans le navigateur, Options/Security Preferences/Disable Java ou Disable
Javascript qui peut les rassurer. Attention aussi aux
applets qui continuent à s’exécuter même quand la
fenêtre est icônisée, cela peut amener un trafic réseau
parasite non négligeable.
ABOUT
Ce n’est pas très connu mais dans le navigateur,
vous pouvez ouvrir, comme une URL ( File/Open
Location), un fichier du type «about:», parmi les
possibilités vous avez:
about:cache, donne la liste des URL dans le cache de
votre disque local (ne pas confondre avec le
proxy/cache que le SIC expérimente, qui se
trouve sur une autre machine et que dont vous
décidez l’utilisation par Options/Network
Preferences/Proxies, en cochant Automatic
Proxy Configuration et en entrant http://harvest/
netscape.proxy dans le champ texte).
about:document, donne les mêmes informations
que View/Document info, c’est-à-dire la liste des
fichiers appelés par la page Web courante, sa
date de modification, etc.
about: global_history, vous donne les URL appelées
pendant les sessions précédentes, c’est parfois le
seul moyen de retrouver l’URL qu’il vous faut
absolument et que vous avez oublié de stocker
dans vos bookmarks.
about:authors, plus anecdotique, vous donne une
liste des personnes qui travaillent chez Netscape,
avec en prime, une citation de J.P. Sartre!
Comment sauver une image située dans une page
Web? La plupart du temps, il vous suffit de faire
apparaître un sous-menu, en cliquant sur l’image avec
la touche de droite (si votre souris n’a qu’une touche,
en gardant le doigt sur la touche); dans ce menu,
l’option Save this image as, vous permet de copier
localement le fichier image dans son format d’origine.
Attention à la réutilisation de l’image dans vos propres
pages Web, vérifiez qu’il n’y a pas de Copyright. Si
la page web possède des frames, possibilités offertes
par Netscape de couper la page en plusieurs souspages, vous pouvez avoir des difficultés à sauver
l’image, de même que pour voir le source associé.
Passez alors par View/Document info, qui vous
donne les différentes URL associées aux frames et aux
images, Open Location de ces URL vous les affiche de
façon isolée et vous permet alors de les traiter comme
une page Web classique.■
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QUELQUES TRUCS GLANÉS DE-CI DE-LÀ
Les cours de formation
Les cours ci-dessous sont ouverts à tous, membres ou non
de l’EPFL. Pour le personnel de l’EPFL, le SIC se charge des
frais de cours.
Inscriptions et renseignements (matin uniquement):
Josiane Scalfo, SIC-EPFL, CP 121, 1015 Lausanne
( 693.2244 – Fax: 021 693 2220
✉ [email protected]
Pour tout changement, consultez aussi les News ou le serveur
: http://sawww.epfl.ch/SIC/SA/cours/cours.html
COURS SUR MACINTOSH
Cycle de base complet A + B
(12 demi-jours)
N° 1737 A 15.07.96
08h15 - 17h00
& 16, 17, 18 & 19.07.96
08h15 - 12h00
Introduction au Macintosh, à ClarisDraw 1.0, Word 6.0, Excel
5.0, FileMaker Pro 3.0.
N° 1737 B 22.07.96
08h15 - 17h00
& 23, 24, 25 & 26.07.96
08h15 - 12h00
Introduction à l’utilisation des réseaux, Internet, Messagerie &
Astuces pratiques du système.
N° 1739 A 05.08.96
08h15 - 17h00
& 06, 07, 08 & 09.08.96
08h15 - 12h00
Introduction au Macintosh, à ClarisDraw 1.0, Word 6.0, Excel
5.0, FileMaker Pro 3.0.
N° 1739 B 12.08.96
08h15 - 17h00
& 13, 14, 15 & 16.08.96
08h15 - 12h00
Introduction à l’utilisation des réseaux, Internet, Messagerie &
Astuces pratiques du système.
N° 1741 A 28, 30.08, 04, 06, 11 &
13.09.96
08h15 - 12h00
Introduction au Macintosh, à ClarisDraw 1.0, Word 6.0, Excel
5.0, FileMaker Pro 3.0.
N° 1741 B 18, 20, 25, 27.09, 02 &
04.10.96
08h15 - 12h00
Introduction à l’utilisation des réseaux, Internet, Messagerie &
Astuces pratiques du système.
AU
VE
U
NO Introduction à ClarisWorks 4.0
(4 demi-jours)
N° 1742
08, 09, 10 & 11.07.96
13h30 - 17h15
N° 1750
02, 04, 09 & 11.09.96
13h30 - 17h15
Introduction au Macintosh et à ClarisWorks 4.0.
N
V
OU
EA
U
ClarisImpact 2.0
(3 demi-jours)
N° 1764
23, 24 & 25.07.96
13h30 - 17h15
N° 1758
24, 26.09 & 01.10.96
13h30 - 17h15
La nouvelle version de ClarisImpact permet à tout utilisateur la
conception de documents professionnels, sans avoir à maîtriser
toute une panoplie de logiciels de dessin, de traitement de texte
ou de mise en page. ClarisImpact est un «intégré» disposant de
4 modules propres à l’obtention de résultats impressionnants
quant à l’élaboration de documents :
¥ Dessin (brochure et illustrations)
¥ Rapport (traitement de texte, création de lettres)
¥ Plan (table des matières électronique)
¥ Présentation (préparation de transparents pour conférence)
Chacun de ces documents peut être agrémenté par des illustrations,
des dessins, du texte, des séquences animées et des schémas :
organigrammes, ordinogrammes, tableaux, graphiques,
plannings, plans et calendriers.
¥ Importation / Conversion de données provenant d’autres
documents et d’autres applications
¥ Exportation d’un document créé avec ClarisImpact dans le
format de fichier d’une autre application
¥ Séquence QuickTime : Attention, cela nécessite une extension
système qui permet de lire des séquences vidéo.
Excel 5.0
N° 1752
intensif, niv. 1 et 2 (4 demi-jours)
19, 20, 21 & 22.08.96
Excel 5.0
N° 1754
avancé, niv. 1
24, 26.09 & 01.10.96
Excel 5.0
N° 1753
macros
19.09.96
FileMaker Pro
N° 1745
N° 1748
N° 1738
N° 1749
N° 1751
intensif
avancé
23, 25, 30.09, 02 &
07.10.96
FrameMaker
(2 demi-jours)
transition 2.1 à 3.0 (2 demi-jours)
19, 20, 21 & 22.08.96
FileMaker Pro 3.0
(3 demi-jours)
08h15 - 12h00
08h15 - 17h15
08 & 09.07.96
27 & 29.08.96
FileMaker Pro 3.0
08h15 - 12h00
introduction
02, 05 & 09.09.96
Mailing (Word - FileMaker)
08h15 - 12h00
08h15 - 12h00
(4 demi-jours)
13h30 - 17h15
(5 demi-jours)
13h30 - 17h15
(3 demi-jours)
08h15 - 12h00
(1 demi-jour)
N° 1759
17.07.96
13h30 - 17h15
N° 1760
23.08.96
08h15 - 12h00
N° 1761
23.09.96
08h15 - 12h00
Prérequis: connaissances de base de Word et FileMaker Pro!
FI 6 — 2 JUILLET 1996
PAGE 7
LA PAGE
DES COURS DE FORMATION
LA PAGE
DES COURS DE FORMATION
PageMaker 6.0
modèle ¥ L’utilisation des formulaires ¥ L’enregistrement des
données variables en vue d’un traitement
Prérequis: notions de base et la gestion des tableaux de Word
6.0
(3 demi-jours)
N° 1762
06, 07 & 08.08.96
13h30 - 17h15
N° 1763
05, 07 & 12.11.96
13h30 - 17h15
Prérequis: connaissances approfondies de Word!
HTML
avancé, niv. 1
(2 demi-jours)
N° 1755
16 & 18.07.96
13h30 - 17h15
N° 1756
10 & 12.09.96
08h15 - 12h00
Prérequis: connaissances de base d’un logiciel de dessin et d’un
traitement de texte !
PowerPoint
avancé, niv. 2
(2 demi-jours)
N° 1757
30.09 & 03.10.96
Prérequis: connaissances de PowerPoint !
08h15 - 12h00
Word 6.0
(5 demi-jours)
N° 1743
N° 1747
avancé
29 & 30.07.96
& 31.07.96
03, 05, 10, 12 & 17.09.96
COURS SUR PC
08h15 - 17h00
08h15 - 12h00
13h30 - 17h15
Cycle de base A logiciels standards
U
A
VE
U
NO Word 6.0 gestion de longs documents (2 demi-jours)
N° 1740
13 & 14.08.96
13h30 - 17h15
Les longs documents, tels que thèses, rapports, livres, ... demandent
une certaine rigueur tant dans la conception du document que dans
sa mise en page. Cette rigueur permet de rendre le document
homogène et offre des fonctions automatiques par exemple pour
les tables des matières et index,…
Ce cours de deux demi-journées est destiné à toute personne qui
doit, est en train ou mieux encore planifie de réaliser d’importants
documents avec Word 6.0.
Contenu du cours:
¥ Les marges (paires et impaires) ¥ Les en-tête et pied de page
(pairs, impairs, première page, ...) ¥ Les numérotation des pages
¥ Les notes de bas de page ¥ Les signets et renvois ¥ Les sections
¥ Les légendes ¥ Les styles et N° des titres ¥ Le mode plan ¥
Les documents maîtres (liaisons de plusieurs documents Word) ¥
L’index ¥ Les tables d’illustrations, matières, ...
Prérequis: connaissances de base de Word 6.0.
AU
VE
U
NO
Word 6.0
formulaires
(1 demi-jour)
N° 1744
15.08.96
13h30 - 17h15
Word permet de réaliser des formulaires - modèle tels que lettres
types, en-tête de fax, ... - avec saisie à l’écran des informations
variables. Cela vous évite de devoir sans arrêt placer votre
curseur d’insertion au bon niveau, rechercher la zone de l’adresse
ou du début de la lettre avant la frappe.
Cette fonction vous permet également de réaliser facilement et
rapidement des questionnaires avec cases à cocher - de type
bulletin d’inscription, questionnaires,... dans le but d’obtenir un
résultat papier. Il ne vous offre cependant pas la possibilité de
traiter les données variables d’un questionnaire afin d’en tirer des
statistiques directement dans Word, mais offre un «export» en vue
d’un traitement dans FileMaker Pro par exemple.
Contenu du cours:
¥ la création de champs de type: texte, nombre, date et heure
¥ La création de champs avec cases à cocher et liste de valeur
¥ Le réglage des options de champs ¥ La création de texte
d’Aide ¥ L’insertion de caractères spéciaux (ciseaux, téléphone,...)
¥ La protection des sections ¥ L’enregistrement sous forme de
(6 demi-jours)
N° 2535 A 15.07.96
08h15 - 17h00
& 16, 17, 18 & 19.07.96
08h15 - 12h00
Introduction à Windows 95, PowerPoint 7.0, Word 7.0, Excel
7.0, FileMaker Pro 3.0.
Cycle de base complet A + B
N
(12 demi-jours)
N° 2537 A 12.08.96
08h15 - 17h00
& 13, 14, 15 & 16.08.96
08h15 - 12h00
Introduction à Windows 95, PowerPoint 7.0, Word 7.0, Excel
7.0, FileMaker Pro 3.0.
N° 2537 B 19.08.96
08h15 - 17h00
20, 21, 22 & 23.08.96
08h15 - 12h00
AU
Introduction
à l’utilisation des réseaux, Internet, Messagerie &
VE
U
O Astuces pratiques de Windows 95
N° 2539 A 03, 05, 10, 12, 17 &
19.09.96
08h15 - 12h00
Introduction à Windows 95, PowerPoint 7.0, Word 7.0, Excel
7.0, FileMaker Pro 3.0.
N° 2539 B 24, 26.09, 01, 03, 08 &
10.10.96
08h15 - 12h00
Introduction à l’utilisation des réseaux, Internet, Messagerie &
Astuces pratiques de Windows 95
Access 7.0
N° 2550
introduction
06 & 13.09.96
Access 7.0
N° 2543
avancé
29 & 30.07.96
(2 demi-jours)
08h15 - 12h00
(4 demi-jours)
08h15 - 17h00
Designer 6.0
(2 demi-jours)
N° 2541
08h15 - 12h00
Excel 7.0
08 & 09.07.96
intensif, niv. 1 et 2
(4 demi-jours)
N° 2544
05 & 06.08.96
08h15 - 17h00
Excel 7.0
avancé, niv. 1
(3 demi-jours)
N° 2549
02, 04 & 11.09.96
13h30 - 17h15
FI 6 — 2 JUILLET 1996
PAGE 8
PowerPoint
(2 demi-jours)
Ce cours est destiné aux secrétaires qui devront mettre de l’information
sur les serveurs
de l’Ecole.
¥ les principes de base de
(modèle client-serveur, Internet,
hypertexte, URL) ¥ les commandes HTML les plus importantes ¥
les différentes méthodes pour créer/récupérer des textes pour un
serveur
N° 1713
03 & 05.07.96
08h15 - 12h00
N° 1746
27 & 29.08.96
13h30 - 17h15
Prérequis: avoir déjà utilisé un logiciel
(Mosaic ou Netscape)
Excel 7.0
macros
(2 demi-jours)
N° 2545
08.08.96
08h15 - 17h00
PowerPoint 7.0
avancé, niv.1
(2 demi-jours)
N° 2546
07.08.96
08h15 - 17h00
N° 2551
12 & 17.09.96
13h30 - 17h15
Prérequis: connaissances de base d’un logiciel de dessin et d’un
traitement de texte !
VisualBasic 4.0
N° 2547
N° 2548
introduction
13 & 14.08.96
09 & 10.09.96
(2 demi-jours)
13h30 - 17h15
13h30 - 17h15
Unix
N° 3124
introduction
05.09.96
(1 demi-jour)
13h30 - 17h30
Unix et les 1ers éléments d’administration
N° 3128
28.10 au 01.11.96
(5 jours)
09h00 - 17h30
Word 7.0 gestion de longs documents (2 demi-jours)
A l’issue de ce cours, l'auditeur pourra maîtriser le système UNIX
(SunOs 4.x, Solaris 2.x, ...) pour une utilisation avancée.
Ce cours est destiné aux développeurs et administrateurs. Une
bonne connaissance d’un système d’exploitation ainsi qu’une
habitude des éditeurs sont indispensables. La connaissance de
quelques commandes UNIX serait un plus. Les sujets suivants seront
développés:
¥ Les principales caractéristiques UNIX (utilisateur, tâche, fichier). ¥ Etude rapide des commandes de base. ¥ L’arborescence UNIX (organisation, protections). ¥ Etude de vi. ¥ Les
expressions régulières et les commandes concernées. ¥ Les
outils sed et awk. ¥ Gestion mémoire (swapping, pagination).
Les processus UNIX. ¥ Administration premier niveau. Le réseau
local. ¥ Modèle client serveur. ¥ Terminologies et concepts
NFS. ¥ Connexion et soumission de commandes à distance.
¥ Les outils de développement de programmes. ¥ Gestions des
compilations et des sources: make et sccs. ¥ Aspects interactifs
du C-shell. Etude avancée du C-shell.
idem que le cours Word 6.0 gestion de longs documents sur
Macintosh.
N° 2538
20 & 21.08.96
13h30 - 17h15
N° 2554
23 & 25.09.96
08h15 - 12h00
Configuration réseau des machines Unix
VisualBasic 4.0
N° 2556
Word 7.0
avancé
24, 26.09, 01 & 03.10.96
(4 demi-jours)
13h30 - 17h15
avancé
(5 demi-jours)
N° 2536
22.07.96
& 23, 24 & 25.07.96
08h15 - 17h00
08h15 - 12h00
N° 2540
28.08, 02, 04, 09 &
11.09.96
08h15 - 12h00
U
A
VE
U
NO
COURS SUR STATIONS DE TRAVAIL
Word 7.0
mailing
(1 demi-jour)
N° 2553
26.07.96
Prérequis: connaissances de base de Word.
08h15 - 12h00
HTML
(2 demi-jours)
idem que le cours HTML sur Macintosh
N° 2552
16 & 17.07.96
N° 2555
23 & 25.09.96
13h30 - 17h30
13h30 - 17h30
(1 jour)
N° 3129
19.11.96
09h00 - 17h30
Ce cours d’une journée est destiné aux «managers» de stations de
travail sur le site.
Les caractéristiques principales du réseau sont passées en revue.
Les principes de TCP/IP sont abordés afin d’expliquer comment
nous configurons les machines sur le site. Les protocoles les plus
utilisés sur IP sont brièvement étudiés.
Nous parlons un peu du passé (Ethernet avant le recablâge).
Beaucoup du présent (Ethernet et FDDI aujourd’hui). Et aussi un peu
de l’avenir (Fast-Ethernet, FDDI, ATM).
Les outils disponibles sur le site pour :
• configurer une machine, • diagnostiquer un problème,
• dialoguer avec la section téléinformatique, sont mis en
application.
Installation & Administration sous Solaris 2.x (5 jours)
N° 3131
02 au 06.12.96
09h00 - 17h30
A l’issue de ce cours, les ingénieurs système seront capables
d’installer, d’exploiter et de maintenir un réseau local constitué de
stations de travail Sun sous Solaris 2.X.
L’ensemble des services réseau Sun (NFS/NIS +) est traité, de
même que l’ajout de périphériques tels que terminal ou imprimante.
Ce cours est destiné aux futurs administrateurs de systèmes UNIX
sous Solaris 2.X.
La pratique des commandes de base d’UNIX est indispensable. Les
sujets suivants seront développés:
¥ SunOS 5.x (Solaris 2.x) et les standards (UNIX SVR4, POSIX,
XPG et SVID). ¥ Structure des disques. Partionnement et préparation des disques. ¥ Création et maintenance des systèmes de
fichier UNIX (UFS). ¥ Arborescence SunOS 5.x. ¥ Installation
de système. ¥ Les niveaux de démarrage. ¥ La configuration
FI 6 — 2 JUILLET 1996
PAGE 9
LA PAGE
DES COURS DE FORMATION
dynamique du noyau. ¥ Les paramètres système. ¥ Sécurité.
¥ Gestion des utilisateurs et des groupes. ¥ Le service d’Accès
SAF et la gestion des terminaux. ¥ Gestion des imprimantes.
¥ L’installation et l’administration des logiciels (packaging).
¥ Réseau ethernet, TCP/IP. ¥ Service réseau: NFS. ¥ Les
services de Nom et l’administration NIS+. ¥ L’administration
distribuée DAF et ses utilitaires. ¥ Admintool. ¥ Ajout de clients
sans disque. ¥ Sauvegarde et restauration des systèmes de
fichiers.
Langage C
N° 3125
Aucune en particulier, mais une connaissance de Unix, d’un
langage de scripts comme sh, csh... et une vision globale de
XWindows seront des atouts précieux.
Objectifs et contenu:
A l’issue du cours, les participants seront capables d’écrire la
plupart des applications en Tcl/Tk sans se référer trop souvent à la
documentation et de construire des interfaces graphiques agréables à utiliser.
Pour plus de renseignements, voir le serveur http://slwww.epfl.ch/
SIC/SL/logiciels/TclTk/TclTk_announce.html
(5 jours)
30.09 au 04.10.96
09h00 - 17h30
Le langage C est un langage de programmation à usage général,
de la famille des langages algorithmiques impératifs. Il a été créé
en 1970 par Denis Ritchie des Bell laboratories dans le but
d’utiliser ce langage pour réécrire UNIX. Dès son origine le
langage C est intimement lié à UNIX et le succès de ce système
d’exploitation a fortement contribué à la popularité de ce langage.
Prérequis:
Expérience de la programmation. Des connaissances de l’environnement Unix seraient un plus.
Objectifs et contenu
¥ Historique et présentation ¥ Évaluation ¥ Aspect général
d’un programme ¥ Les délimiteurs ¥ Les identificateurs ¥ Les
constantes ¥ Les variables ¥ Déclaration des variables ¥ Liste
de variables ¥ Les variables constantes ¥ Les variables
volatiles ¥ Les types de base ¥ La fonction PRINTF ¥ Les
instructions ¥ Les instructions conditionnelles ¥ Instructions
d’aiguillage ¥ Instructions répétitives ¥ Instructions associées
aux boucles ¥ Les fonctions ¥ Les classes d’allocation des objets
¥ Initialisation des variables ¥ Les tableaux ¥ Les pointeurs
¥ Les structures ¥ Champs de bits
¥ Les unions
¥ Les
énumérations ¥ Taille des types et variables ¥ Les opérateurs
¥ Arguments d’un programme C ¥ Combinaison de types
¥ Définition de type ¥ Conversion de type ¥ Directives de
compilation ¥ L’environnement de programmation C ¥ La
librairie standard LIBC ¥ Les entrées/sorties ¥ Manipulation
de chaîne ¥ Allocation mémoire ¥ Librairie mathématique.
Programmation C++
(5 jours)
N° 3126
14 au 18.10.96
09h00 - 17h30
Ce cours est complet. Vous pouvez vous inscrire auprès de Josiane
Scalfo afin d’être en liste d’attente pour ce cours et/ou avoir priorité
sur le prochain.
Le langage JAVA
(3 jours)
N° 3122
02 au 04.09.96
09h00-17h30
N° 3123
18 au 20.09.96
09h00-17h30
Ces cours sont complets. Vous pouvez vous inscrire auprès de
Josiane Scalfo afin d’être en liste d’attente et/ou avoir priorité sur
le prochain.
T3DAPPL: programmation sur Cray T3D
(3 jours)
N° 3132
28 au 30.08.96
09h00 - 17h30
Objectifs et contenu :
Ce cours est destiné aux développeurs d’applications devant
comprendre les concepts de la programmation parallèle et qui
auront à développer des codes sur le T3D. Il permet d’acquérir une
expérience pratique de développement, de debugging et d’analyse
de performances en utilisant les paradigmes et les outils de
programmation parallèle de Cray Research. Si ce cours est donné
dans une perspective FORTRAN, il reste que la majorité des sujets
touchés intéressent également les programmeurs en C.
la connaissance préalable à la programmation parallèle n’est
pas requise.
Ce cours (à défaut une formation jugée équivalente: renseignements
auprès du [email protected]) est un préalable à l’obtention d’un
compte sur T3D.
Chapitres couverts:
¥ architecture du T3D ¥ modèle de programmation de Cray ¥
paradigmes de programmation parallèle (parallélisme des
données, partagé des tâches, échange de messages, routines
mémoire distribuée) ¥ différences entre mémoire partagée et
distribuée ¥ outils d’analyse et de debugging ¥ routines des
librairies scientifiques Cray T3D ¥ optimisation sur un seul
processeur ¥ exercices
Prérequis:connaissance du Fortran et connaissance d’UNIX ou
UNICOS
Pour toute information concernant les cours Unix:
Franck Perrot, (✆ 693.2255, ✉ [email protected])
TCL / TK
N° 3127
(4 demi-jours + 1 jour)
04 au 07.11.96
& 08.11.96
13h30 - 17h30
09h00 - 17h30
Description
Tcl/Tk (développé par J. Ousterhout) permet d’écrire rapidement
des applications avec interface graphique (GUI) pour l’environnement XWindows.
Tcl est un langage de script, interprété. Tk est la boîte à outils pour
la partie graphique X. Les applications écrites en Tcl/Tk ont
l’aspect Motif tout en étant créées très rapidement grâce à
l’interface de haut niveau et à la nature interprétée du langage.
Prérequis:
PAGE 10
LA PAGE
DES COURS DE FORMATION
FI 6 — 2 JUILLET 1996
CONDITIONS D’INSCRIPTION
En cas d’empêchement à suivre le(s) cours, l‘élève avertira le Service informatique central au minimum une
semaine à l’avance (sauf cas exceptionnel), faute de quoi le SIC se réserve le droit de facturer à son unité les frais
occasionnés pour le cours.
Une confirmation parviendra à l‘élève environ deux semaines avant le cours. S’il est déjà complet, l‘élève sera
informé de suite et son nom placé en liste d’attente. Dès qu’un cours identique sera fixé, il recevra un nouveau
formulaire d’inscription.
Le SIC se réserve le droit d’annuler un cours si le nombre minimum de 4 participants n’est pas atteint ou pour
des raisons indépendantes de sa volonté. Aucune compensation ne sera due par le SIC.
INSCRIPTION POUR LES COURS ORGANISÉS PAR LE SIC
Remplir une inscription par type de cours (Mac, PC, Unix, …) et retourner à Josiane Scalfo, SIC-EPFL, 1015 Lausanne
Je, soussigné(e) Nom: ...................................................
Prénom: .............................................................
(: ....................................... E-Mail: ................................... Fonction: ......................................................
Institut: .................................. Dépt: ...................................... Adresse: .......................................................
m’engage à suivre le(s) cours dans son (leur) intégralité et à respecter l’horaire selon les conditions d’inscription:
N° du cours
Nom du cours
N° cours de remplacement
Date du cours
.................................................................................................................................................................
Date: ...........................................................................
Signature: ..........................................................
Autorisation du chef hiérarchique (nom lisible et signature):
........................................................................
INTÉRÊT ET SOUHAIT POUR D’AUTRES COURS
Description ou titre des cours que je souhaite voir organisés par le SIC:
.................................................................................................................................................................
.................................................................................................................................................................
Le 2 août 1996, le serveur de news et le serveur
migreront vers une nouvelle machine Sun Ultra 1.
A partir de cette date, nous utiliserons Dnews (Dynamic
sucking feed) comme nouveau serveur de news afin de
réduire le trafic réseau.
Plus d’informations paraîtront en temps voulu dans les
news.
Frank Perrot, SIC, [email protected]
FI 6 — 2 JUILLET 1996
PAGE 11
CHANGEMENT DE SERVEUR AU SIC
Le Coin des Curieux
par Hicham Dennaoui – Arob@sque
INTRODUCTION
❏ TITRE
Bienvenue sur le premier ou, disons l’un des tous
premiers textes configurables du XXIème siècle et
suivants. Ce texte est écrit en PolyTexte™, encore une
technologie d’avant garde développée à l’EPFL.
Cette technologie est basée sur l’hypercontexte, mélangeant allègrement la programmation désorientée
objet, le monomédia ainsi que du Javanais™.
❍
❍
❍
❍
❍
❍
CARACTÉRISTIQUE
❏ RÉSUMÉ
Texte entièrement configurable selon le principe
Mark and Read, vous lisez ce que bon vous semble
dans une liberté absolue et donc sans la moindre
obligation que ce soit.
❏ Résumé de l’épisode précédant l’épisode précédent: tous les chemins mènent aux ROMs.
❏ Résumé de l’épisode précédent: tous les chemins
mènent au menu Pomme ( )
❏ Résumé de l’épisode suivant les épisodes précédents: perspectives sur le rôle primordial et l’utilisation type des extensions (ex-INITs) et des éléments des Tableaux de bord (ex-CDEVs) lors du
démarrage d’un micro-ordinateur de marque Apple
Macintosh, leur répercussion et les dysfonctionnements que peuvent provoquer leur présence/
absence dans le Dossier Système du point de vue
strict de l’utilisateur alpha moyen.
❏ Titre du prochain épisode: tous les chemins
mènent au Rhum.
❏ Autre: (remplir)
.............................................................
CONFIGURATION REQUISE
Patience, sens de l’humour, crayon gris et lunettes
à soleil.
MODE D’EMPLOI
Le PolyTexte™ est également basé sur une technologie issue du MacOS™ dont il retient une partie de
l’interface.
A savoir:
Les boutons radio (❍) ... vous permettent un choix
unique par exemple A OU B alors que…
Les cases à cocher (❏)… vous donnent libre
choix. Exemple A OU B ou A ET B ou rien…
EXEMPLE PRATIQUE: LA SECTION TITRE CI-APRÈS
Le sous-titre Titre est précédé d’une case à cocher
(❏), cela signifie que vous pouvez choisir de donner
un titre à cet article en mettant une marque dans la
case correspondante. Attention: ce n’est pas une
obligation, si vous ne voulez pas de titre, passez
directement à la section suivante. Par contre, si vous
avez jugé utile d’attribuer un titre à cet article, utilisez
ensuite un des boutons radio (❍) pour choisir lequel.
Souvenez-vous toutefois que vous ne pouvez donner
qu’un seul titre à la fois. Procédez de la sorte jusqu’à
la fin de l’article. Ensuite, il ne vous reste plus qu’à lire
votre article configuré en fonction de ce que vous
avez choisi… Petit truc, utilisez de préférence un
crayon gris, de manière à pouvoir aisément modifier
la configuration de votre article.
Dossier Système: Le grand frisson (Suite II).
Dossier Système: Le grand frisson (Suite II) et fin.
Dossier Système: Le retour.
The Return Of The Son Of The Dossier Système.
The Dossier Système Trilogy, Part IV.
Autre:(remplir)
.............................................................
❏ REPÈRES
❍ Vous n’avez rien compris, votre mémoire se
trouble, recommencez depuis le début.
❍ Le PolyTexte™ c’est beaucoup trop compliqué,
vous décidez de passer à l’article suivant ... s’il
y en a un…!?
❍ Si par contre votre mémoire est restée vive, vous
vous souvenez peut-être de l’insoutenable suspense, de la pression qui peu à peu s’est faite
sentir au fur à mesure de notre progression au sein
même du Dossier Système ... Cette quête du
Graal, cette recherche de l’absolu va enfin trouver son épilogue dans les lignes qui suivent… à
moins bien sûr que vous en ayez déjà décidé
autrement ...
Il nous reste donc à voir ensemble…
FI 6 — 2 JUILLET 1996
PAGE 12
LE COIN
DES CURIEUX
❏ EXTENSIONS
❏ PRUDENCE
Le dossier Extensions contient principalement des
extensions… Les extensions sont des fichiers qui
permettent de rajouter des fonctionnalités au Système.
Par exemple l’extension QuickTime permet de gérer
les fonctions multimédia, Accès CD audio permet au
Macintosh de lire des CD audio (c’est-à-dire qu’il en
reconnaîtra le format) ou encore Apple Guide qui
gère l’aide interactive disponible dans le menu d’aide.
Attention, le contenu du dossier Extensions peut
varier d’une machine à l’autre. En effet, certaines
extensions servent à corriger des problèmes spécifiques à certains modèles de Macintosh. De plus, il
existe plusieurs type d’extensions: Il y a tout d’abord
les extensions système qui rajoutent des fonctionnalités pouvant être utilisées par n’importe quelle applications qui les supportent (c’est le cas de QuickTime). Il
y a aussi des extensions ordinaires qui ne sont utilisées
que par certains programmes (exemple QuickMail) et
finalement il y a les extensions du Sélecteur que l’on
retrouve naturellement dans la fenêtre du Sélecteur,
comme AppleShare et les différents pilotes d’impression…
Les Tableaux de bord et les Extensions sont en
quelque sorte des modules externes du Système. Leur
présence n’est pas nécessairement obligatoire, mais
lorsqu’ils sont installés, ils influent directement votre
Système. Il est prudent de suivre certaines règles afin
d’éviter des mauvaises surprises. Sachez donc que:
Ces éléments sont chargés par le Système au
démarrage de votre machine. Plus vous en installez,
plus votre Système prendra de la place en mémoire
vive. En outre le démarrage de votre Macintosh s’en
retrouve considérablement ralenti.
Il y a parfois des conflits entre ces éléments qui
peuvent résulter en une série de bombes inexplicables. C’est d’ailleurs l’une des causes premières de
dysfonctionnement. Encore une fois n’installez que ce
qui vous est vraiment utile.
Vous pouvez désactiver les extensions au démarrage même de votre machine en pressant sur la touche
Majuscule jusqu’à ce qu’à ce qu’apparaisse Extensions désactivées dans la fenêtre de bienvenue. C’est
très utile quand on veut démarrer son Macintosh en
vitesse ou lorsque l’on a peu de mémoire vive
disponible. Lors de bombes répétées, désactiver les
extensions permet rapidement de déterminer si le
problème est lié à un conflit d’extensions ou non.
N’oubliez pas cependant que désactiver les extensions diminue les fonctionnalités de votre Macintosh.
Désactiver les extensions pour imprimer rapidement
un document que l’on a oublié avant de partir est donc
un mauvais calcul…
Enfin les personnes ayant le Système 7.5.x peuvent également utiliser le Gestionnaire d’extensions
pour désactiver de manière sélective Extensions et
Tableaux de bord inutiles. Soit au démarrage en
pressant sut la barre d’espace jusqu’à l’apparition de
la fenêtre du Gestionnaire d’extensions, soit depuis le
Tableaux de bord du même nom. Attention, dans ce
dernier cas, il faudra redémarrer la machine pour que
le Système tiennent compte de vos modifications
Dernier détail : on trouve un intrus dans le dossier
Extensions, il s’agit de PrintMonitor, en l’occurrence
non pas une extension mais un petit programme qui
gère l’impression en tâche de fond.
❏ TABLEAUX DE BORD
Les Tableaux de bord jouent le même rôle que les
extensions à savoir augmenter les fonctionnalités du
Système ... La différence principale entre ces deux
types de fichiers réside dans le fait que l’on peut
configurer les éléments des Tableaux de bord, donc
modifier, ajuster certains paramètres, ce qui n’est pas
le cas pour les extensions.
Ainsi, vous pouvez utiliser Moniteurs pour régler
les couleurs ou les niveaux de gris sur votre écran,
Date et heure pour ajuster la date, l’heure ainsi que
leur format d’affichage ou encore Mémoire pour
contrôler certains réglages de la mémoire vive. Citons
encore Capture qui permet de copier tout ou partie
d’un écran (screenshot).
Comme pour les extensions, le contenu du dossier
Tableaux de bord peut varier considérablement d’une
machine à une autre. Là aussi, on trouve des Tableaux
de bord qui ne fonctionnent que sur certains Macintosh.
Autre ressemblance, il existe aussi des Tableaux de
bord développés par des sociétés commerciales et
qui sont donc utilisés par des applications spécifiques
comme Retrospect pour la sauvegarde centralisée.
❏ CONCLUSION
Ouf, enfin fini...
A quand Windows 95 pour Macintosh ?
A quand MacOS pour IBM PC et compatibles ?
This is the end… beautiful friend…
Pour bidouiller dans le Système, il faut tout d’abord
un savant dosage de curiosité et de prudence,
prenez encore un zeste d’intrépidité et de courage ... et vous pourrez constater qu’une fois de
plus se vérifie l’adage populaire selon lequel Tous
les chemins mènent au fun.
❍ Autre: (remplir)
.............................................................
■
❍
❍
❍
❍
❍
FI 6 — 2 JUILLET 1996
PAGE 13
LE COIN
DES CURIEUX
L’ART DE
PROGRAMMER
L’art de programmer
AU PROGRAMME QU’IL A ÉCRIT
!
Dans quelle catégorie vous situez-vous ?
Quel programme auriez-vous écrit ?
Quelques personnes, de celui qui fréquente encore
l’école primaire à celui qui est déjà au sommet de la
pyramide, se sont prêtées à ce jeu.
Et voilà ci-après le résultat de leurs élucubrations
ECOLE PRIMAIRE
10 PRINT «HELLO WORLD»
20 END
DERNIÈRE ANNÉE DU LYCÉE
(defun hello
(print
(cons ‘Hello (list ‘World))))
NOUVEAU PROGRAMMEUR
#include <stdio.h>
void main(void)
{
char *message[ = {«Hello «, «World»};
int i;
}
for(i = 0; i < 2; ++i)
printf(«%s», message[);
printf(«\n»);
PROGRAMMEUR OCCASIONNEL
#include <iostream.h>
#include <string.h>
class string
{
private:
int size;
char *ptr;
public:
string() : size(0), ptr(new char(‘\0’)) {}
string(const string &s) : size(s.size)
{
ptr = new char[size + 1];
strcpy(ptr, s.ptr);
}
~string()
{
delete [] ptr;
}
friend ostream &operator <<(ostream &,
const string &);
string &operator=(const char *);
};
ostream &operator<<(ostream &stream, const
string &s)
{
return(stream << s.ptr);
}
string &string::operator=(const char *chrs)
{
if (this != &chrs)
{
delete [] ptr;
size = strlen(chrs);
ptr = new char[size + 1];
strcpy(ptr, chrs);
}
return(*this);
}
int main()
{
string str;
str = «Hello World»;
cout << str << endl;
}
return(0);
PROGRAMMEUR CHEVRONNÉ
[
uuid(2573F8F4-CFEE-101A-9A9F00AA00342820)
]
library LHello
{
// bring in the master library
importlib(«actimp.tlb»);
importlib(«actexp.tlb»);
// bring in my interfaces
#include «pshlo.idl»
[
uuid(2573F8F5-CFEE-101A-9A9F00AA00342820)
]
cotype THello
{
interface IHello;
interface IPersistFile;
};
};
[
exe,
uuid(2573F890-CFEE-101A-9A9F00AA00342820)
]
module CHelloLib
{
// some code related header files
importheader(<windows.h>);
importheader(<ole2.h>);
importheader(<except.hxx>);
importheader(«pshlo.h»);
importheader(«shlo.hxx»);
importheader(«mycls.hxx»);
// needed typelibs
importlib(«actimp.tlb»);
importlib(«actexp.tlb»);
importlib(«thlo.tlb»);
[
uuid(2573F891-CFEE-101A-9A9F00AA00342820),
aggregatable
]
coclass CHello
{
cotype THello;
};
};
#include «ipfix.hxx»
extern HANDLE hEvent;
class CHello : public CHelloBase
{
public:
IPFIX(CLSID_CHello);
CHello(IUnknown *pUnk);
~CHello();
HRESULT __stdcall PrintSz(LPWSTR
pwszString);
private:
static int cObjRef;
};
#include <windows.h>
#include <ole2.h>
#include <stdio.h>
#include <stdlib.h>
#include «thlo.h»
#include «pshlo.h»
#include «shlo.hxx»
#include «mycls.hxx»
int CHello::cObjRef = 0;
CHello::CHello(IUnknown *pUnk) :
CHelloBase(pUnk)
{
cObjRef++;
return;
}
HRESULT __stdcall CHello::PrintSz(LPWSTR
pwszString)
FI 6 — 2 JUILLET 1996
PAGE 14
JUGEONS L’ÊTRE
{
printf(«%ws\n», pwszString);
return(ResultFromScode(S_OK));
}
CHello::~CHello(void)
{
// when the object count goes to zero, stop
the server
cObjRef—;
if( cObjRef == 0 )
PulseEvent(hEvent);
return;
}
#include <windows.h>
#include <ole2.h>
#include «pshlo.h»
#include «shlo.hxx»
#include «mycls.hxx»
HANDLE hEvent;
int _cdecl main(
int argc,
char * argv[]
) {
ULONG ulRef;
DWORD dwRegistration;
CHelloCF *pCF = new CHelloCF();
hEvent = CreateEvent(NULL, FALSE, FALSE,
NULL);
// Initialize the OLE libraries
CoInitializeEx(NULL, COINIT_MULTITHREADED);
CoRegisterClassObject(CLSID_CHello, pCF,
CLSCTX_LOCAL_SERVER,
REGCLS_MULTIPLEUSE, &dwRegistration);
// wait on an event to stop
WaitForSingleObject(hEvent, INFINITE);
// revoke and release the class object
CoRevokeClassObject(dwRegistration);
ulRef = pCF->Release();
// Tell OLE we are going away.
CoUninitialize();
return(0); }
extern CLSID CLSID_CHello;
extern UUID LIBID_CHelloLib;
CLSID CLSID_CHello = { /* 2573F891-CFEE101A-9A9F-00AA00342820 */
0x2573F891,
0xCFEE,
0x101A,
{ 0x9A, 0x9F, 0x00, 0xAA, 0x00, 0x34, 0x28,
0x20 }
};
UUID LIBID_CHelloLib = { /* 2573F890-CFEE101A-9A9F-00AA00342820 */
0x2573F890,
0xCFEE,
0x101A,
{ 0x9A, 0x9F, 0x00, 0xAA, 0x00, 0x34, 0x28,
0x20 }
};
#include <windows.h>
#include <ole2.h>
#include <stdlib.h>
#include <string.h>
#include <stdio.h>
#include «pshlo.h»
#include «shlo.hxx»
#include «clsid.h»
int _cdecl main(
int argc,
char * argv[]
) {
HRESULT hRslt;
IHello
*pHello;
ULONG ulCnt;
IMoniker * pmk;
WCHAR wcsT[_MAX_PATH];
WCHAR wcsPath[2 * _MAX_PATH];
// get object path
wcsPath[0] = ‘\0’;
wcsT[0] = ‘\0’;
if( argc > 1) {
mbstowcs(wcsPath, argv[1],
strlen(argv[1]) + 1);
wcsupr(wcsPath);
}
else {
fprintf(stderr, «Object path must be
specified\n»);
return(1);
}
// get print string
if(argc > 2)
mbstowcs(wcsT, argv[2], strlen(argv[2]) +
1);
else
wcscpy(wcsT, L»Hello World»);
printf(«Linking to object %ws\n», wcsPath);
printf(«Text String %ws\n», wcsT);
// Initialize the OLE libraries
hRslt = CoInitializeEx(NULL,
COINIT_MULTITHREADED);
if(SUCCEEDED(hRslt)) {
hRslt = CreateFileMoniker(wcsPath, &pmk);
if(SUCCEEDED(hRslt))
hRslt = BindMoniker(pmk, 0, IID_IHello, (void
**)&pHello);
if(SUCCEEDED(hRslt)) {
// print a string out
pHello->PrintSz(wcsT);
Sleep(2000);
ulCnt = pHello->Release();
}
else
printf(«Failure to connect, status: %lx»,
hRslt);
// Tell OLE we are going away.
CoUninitialize();
}
return(0);
}
APPRENTI PIRATE
#!/usr/local/bin/perl
$msg=»Hello, world.\n»;
if ($#ARGV >= 0) {
while(defined($arg=shift(@ARGV))) {
$outfilename = $arg;
open(FILE, «>» . $outfilename) || die
«Can’t write $arg: $!\n»;
print (FILE $msg);
close(FILE) || die «Can’t close $arg: $!\n»;
}
} else {
print ($msg);
}
1;
PIRATE CHEVRONNÉ
#include <stdio.h>
#define S «Hello, World\n»
main(){exit(printf(S) == strlen(S) ? 0 : 1);}
LE ROI DES PIRATES
% cat
Hello, world.
^D
NOUVEAU CHEF DE SERVICE
10 PRINT «HELLO WORLD»
20 END
CHEF DE SERVICE STANDARD
mail -s «Hello, world.» bob@b12
Bob, could you please write me a program
that prints «Hello,
world.»?
I need it by tomorrow.
^D
DIRECTEUR
% zmail jim
I need a «Hello, world.» program by this
afternoon.
PRÉSIDENT DIRECTEUR GÉNÉRAL
% letter
letter: Command not found.
% mail
To: ^X ^F ^C
% help mail
help: Command not found.
% damn!
!: Event unrecognized
% logout ■
FI 6 — 2 JUILLET 1996
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L’ART DE
PROGRAMMER
SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE
Le WEB se démocratisant de plus en
plus, affluèrent dans le monde des microordinateurs, de moins en moins de spécialistes et de plus en plus d’utilisateurs, exigeants... C’est l’heure de la deuxième
générations de WAO, avec la mise sur le
marché d’éditeurs plus ou moins
WYSIWYG du style Webedit,
HTMLassistant, HTMLedit, ou encore, à un
échelon supérieur, le Netscape Navigator
Gold.
Mais avec ces outils de 2ème génération, on ne faisait qu’éditer, de manière
conviviale soit, des pages plus ou moins
seules. Il fallait toujours gérer ces fameux forms ou
scripts qui permettent cet aspect d’interaction entre
l’utilisateur et le WEB. En plus, on s’aperçoit que son
WEB vieillit et qu’il devient de plus en plus difficile de
le maintenir à jour (url perdues, changement de look,
information devenant obsolète, éparpillement des
documents sur le serveur), bref on a l’édition, il
manque maintenant la gestion de documents.
Internet est devenu à la mode, mais il y a aussi
l’Intranet qui pointe (diffusion d’information à l’intérieur de l’entreprise) et là, les outils de la 3 ème
générations arrivent...
Ces outils bien entendu effectuent le même travail
que les outils des générations précédentes mais en
plus ils aident à la gestion des documents sur le
serveur. Par exemple, quand un document est déplacé, renommé ou effacé, les liens des pages qui
pointaient dessus sont automatiquement mis à jour,
chose impensable avant.
Autre exemple, l’outil connaît et traite les documents comme des objets, ces objets ont des styles, des
en-têtes, etc. Quand on change les attributs (en-tête,
pied-de-page, fond,...) de ces objets (pages) alors,
toutes les pages sont mises à jour de manière automatique, absolument impensable avant.
Début 95, Microsoft pensait que l’on pouvait faire
plier Internet et forcer les utilisateurs à utiliser son
réseau propriétaire MSN. Fin 95, Microsoft a compris la puissance d’Internet et abandonna son réseau
MSN. Elle décida alors, d’investir un milliard (mille
millions) de dollars pour des solutions Internet. On
commence à voir le résultat de ce formidable investissement avec le produit de Webtop Publishing:
FrontPage de Microsoft.
Frontpage est constitué de 3 parties, les extensions du serveur WEB, l’explorateur et l’éditeur.
LES EXTENSIONS DU SERVEUR WEB
Les extensions du serveur sont à installer sur la
, elles permettent un dialogue
machine serveur
bidirectionnel avec FrontPage. Ainsi on peut éditer ou
gérer ses documents
à distance via l’explorateur
FrontPage sans avoir à passer par FTP ou NFS. Ces
extensions existent pour la plupart des serveurs
et
plates-formes du marché. Les extensions s’occupent
aussi de la gestion et du suivi des documents , cela
permet d’avoir plusieurs personnes qui s’occupent de
la mise à disposition (mise à jour) de l’information
(journal des modifications).
L’EXPLORATEUR DE FRONTPAGE
L’explorateur de FrontPage n’est pas un browser
conventionnel
, mais est plutôt à comparer avec
l’explorateur de Windows 95, qui permet d’afficher
et de gérer la structure des pages
du serveur.
Depuis l’explorateur on voit du premier coup d’œil
(graphiquement) quels sont les liens (url) que la page
utilise et aussi (important) quelles pages du serveur
pointent sur cette page. L’explorateur s’occupe aussi
de gérer le déplacement, changement de nom ou
effacement d’url avec mise à jour automatique des
liens dans toutes les pages du serveur. C’est aussi lui
qui fait l’indexation automatique des pages pour la
recherche de texte (full text search, WAIS index).
L’explorateur tient à jour la liste des modifications et
gère les droits d’autorisation des personnes (multi-user
remote authoring).
En fait c’est l’explorateur qui s’occupe de la
gestion proprement dite des pages du serveur.
L’ÉDITEUR DE FRONTPAGE
L’éditeur de FrontPage, comme son nom l’indique
permet l’édition de pages du serveur
. Il utilise le
même look que Microsoft Office; quand on sait utiliser
MS-Word on sait écrire des pages HTML, très puissant grâce à ses assistants. Par exemple pour créer un
serveur pour une PME, il y a un assistant qui va vous
FI 6 — 2 JUILLET 1996
PAGE 16
FRONTPAGE
DE MICROSOFT
créer toute une suite de pages HTML où il n’y aura plus
qu’à mettre vos noms et adresses et bien entendu les
choses à présenter...
Là où, cela commence à devenir très fort, c’est
qu’il y a des WebBots, sorte de RoBots, qui vous
permettent d’avoir des plus que seuls les grands
peuvent avoir...
▲ Outils de recherches full text avec mise à jour
automatique de l’index lors de modification d’une
page.
▲ Table des matières automatique de toutes les
pages.
▲ Formulaires d’interrogation éditables en temps
réel sans écriture de script (CGI-BIN).
▲ Les WebBot’s permettent aussi la gestion des
includes, bouts de pages HTML communes, entêtes et pieds-de-pages, date de modification. Lors
de la modification d’un include , automatiquement
toutes les pages qui l’utilisent sont mises à jour,
indispensable pour la maintenance de l’aspect
d’un serveur (look).
Et tout ceci, sans que la personne, qui édite la
page, s’en rende pratiquement compte.
Les propriétés de la page (couleur du fond,
couleur des liens,…) peuvent être référencées à une
page, là aussi, mise à jour automatique des pages
lors de la modification de la référence.
La création et l’édition de tableaux, ou de frames,
sont un jeu d’enfant et sont totalement transparentes à
l’utilisateur.
INSTALLER FRONTPAGE
On peut trouver FrontPage sur le serveur Olympe
sous:
\\OLYMPE\olympe\App_W95\
english\Telcom\www\FPage
Pour plus d'information:
http://www.microsoft.com/msoffice/frontpage/
EN CONCLUSION
Netscape Gold de Netscape Corps et Pagemil
d’Aldus avaient déjà pas mal débroussaillé le terrain,
mais maintenant, grâce à FrontPage de Microsoft, il
est aussi simple de faire du Webtop Publishing que du
Desktop Publishing.
La création ET la maintenance d’un serveur
est
possible à tous, surtout à des personnes qui produisent de l’information (secrétaires, chercheurs, professeurs) et qui n’ont ni le temps ni les compétences pour
touiller de l’informatique. ■
CAPA
LES DERNIÈRES NOUVELLES
La dynamique enclenchée par CAPA s'accélère.
En effet, depuis l'assemblée constituante du 9 mai
dernier, deux nouveaux laboratoires se sont joints au
groupe de membres fondateurs de CAPA. Il s'agit des
Laboratoires de Conception assistée par ordinateur
(Prof. P. Xirouchakis) et d'Electromagnétisme et acoustique (Prof. J. Mosig).
Le bureau de CAPA compte un nouveau membre
en la personne de Pierre Kuonen, du Laboratoire
d'informatique théorique. La Home Page de CAPA est
désormais accessible depuis l'URL suivant:
http://capawww.epfl.ch/
Marie-Christine Sawley, SIC
COURS POSTGRADE
EN INFORMATIQUE NUMÉRIQUE
MÉTHODES ET APPLICATIONS
SUR ORDINATEURS PARALLÈLES
COMITÉ D’ORGANISATION CAPA POUR COURS
POSTGRADE
Prof. M. Deville, directeur du cours (EPFL/IMHEF),
Prof. G. Coray (EPFL/LITH),
Prof. J. Rappaz (EPFL/DMA),
Dr. R. Gruber (EPFL/SIC)
DATE
24 octobre 1996 - fin juin 1997 (chaque jeudi)
DURÉE
220 heures de cours et travaux pratiques, cent
heures de projet
Attestation de réussite
R ENSEIGNEMENTS
Service Informatique Central, Mme Ursule Mayor
Tel.: 021 693 2208, Fax.: 021 693 5500
E-mail: [email protected]
FI 6 — 2 JUILLET 1996
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FRONTPAGE
DE MICROSOFT
Du PC au copieur
Docutech
par Marc Deront, ✉ [email protected]
INSTALLATION DU DRIVER DE LA XEROX
POUR WINDOWS 95
Sous Windows 95, l’installation de fait part en
lançant la fenêtre ci-dessous depuis la barre des
tâches: Start/Settings/Printers.
1.
1. Lancer l’icône Add_Printer
2. Choisir «Have Disk…» pour aller cherche les
spécifications de l’imprimante sur le serveur
Olympe à l’adresse:
\\OLYMPE\olympe\sys_w95\
english\Drivers2\Printers\Xerox
3. Dans ce directoire se trouve la description de
l’imprimante Xerox Docutech 135 de l’Atelier de
Reprographie.
2.
4. Afin de préparer un fichier Postscript à l’attention
de la Repro, il faut rediriger l’impression sur un
fichier en choisissant le port FILE.
5. Dans la liste des printers installés sur l’ordinateur
la nouvelle ressource d’impression est alors disponible.
6. Les paramètres par défaut de l’installation permettent normalement de produire un fichier PostScript
compatible avec l’imprimante de la Repro.
2.
7. Pour imprimer depuis Microsoft Word 7.0, il
suffira de choisir l’imprimante Xerox pour produire un fichier PostScript.
Une fois le fichier produit, si sa taille dépasse la
taille d’un disquette 3.5”, il sera nécessaire de le
transférer sur un SyQuest au format Macintosh. Il faut
pour cela accéder à la partition de tout serveur NT.
Le serveur Olympe n’offre pas cette ressource (sauf
erreur). Il est possible d’utiliser la partition
\\sicpc1\mac du SIC.
3.
PAGE 18
DU PC AU
COPIEUR DOCUTECH
Ensuite depuis un Macintosh, formater un SyQuest
5.25”, se connecter au serveur NT, transférer le
fichier sur le serveur.■
FI 6 — 2 JUILLET 1996
DU PC AU
COPIEUR DOCUTECH
7.
4.
4.
DU PC AU COPIEUR
XEROX DOCUTECH 135 DE LA REPRO
Utilisateurs PC, le pilote de l'imprimante Xerox
Docutech 135 se trouve sur votre serveur favori:
POUR WINDOWS 95
5.
\\OLYMPE\olympe\sys_w95\
english\Drivers2\Printers\Xerox
POUR WINDOWS 3.1
\\OLYMPE\olympe\sys_win\
english\Drivers2\Printers\Xerox
La marche à suivre pour créer vos fichiers
PostScript est décrite dans l'article Du nouveau à la
Repro… Du fichier informatique au photocopieur
paru dans le FI 3/96 pages 8-9, accessible sous
à l'adresse:
http://sawww.epfl.ch/SIC/SA/publications/
FI96/fi-3-96/3-96-page8.html
Pour accueillir vos fichiers informatiques de toutes les plates-formes, la Repro a fait une demande de
raccordement au réseau. Elle espère ainsi mieux
répondre à vos attentes dans un proche avenir.
En cas de problème, vous pouvez toujours prendre contact avec:
▲ Roland Chaboz, Repro, ✆ 625 74 72
▲ Appoline Raposo de Barbosa, SIC, ✆ 693 2247,
- [email protected] ■
Roland Chabloz, Repro
FI 6 — 2 JUILLET 1996
PAGE 19
6.
La Repro n'étant pas encore atteignable par
réseau, le fichier PostScript doit être transféré sur une
disquette ou sur un SyQuest 5"1/4, formaté
Macintosh de 44, 88 ou 200 Mb.
calendrier des manifestations
JUILLET 1996
Mercredi 10 10h00
Salle Conférences SIC
HPLine — Groupe des utilisateurs de stations HewlettPackard
Ion Cionca, ( 693.4586, - [email protected]
Info sur
: http://hpwww.epfl.ch/SIC/hpline.html
Jeudi 18
Salle Conférences SIC
PolyPC — Groupe des utilisateurs d’IBM PC et compatibles
Ch. Zufferey, ( 693.4598, - [email protected]
Info sur
: http://pcline.epfl.ch/pc/grp/home.htm
14h15
SEPTEMBRE 1996
Mardi 3
14h15
Salle Conférences SIC
CTI — Commission Technique Informatique
M. Reymond, ( 693.2210, - [email protected]
Mardi 10
14h30
Salle Conférences SIC
MacLine— Groupe des utilisateurs Mactintosh
François Roulet, ( 693.4590, - [email protected]
Mardi 17
08h30
Salle polyvalente du SIC
Comité de rédaction du FI
Jeudi 19
14h15
Salle Conférences SIC
PolyPC — Groupe des utilisateurs d’IBM PC et compatibles
Ch. Zufferey, ( 693.4598, - [email protected]
: http://pcline.epfl.ch/pc/grp/home.htm
Info sur
OCTOBRE 1996
Mardi 1er
14h15
Salle Conférences SIC
CTI — Commission Technique Informatique
M. Reymond, ( 693.2210, - [email protected]
Mardi 15
08h30
Salle polyvalente du SIC
Comité de rédaction du FI
Jeudi 17
14h15
Salle Conférences SIC
PolyPC — Groupe des utilisateurs d’IBM PC et compatibles
Ch. Zufferey, ( 693.4598, - [email protected]
Info sur
: http://pcline.epfl.ch/pc/grp/home.htm
Horaire d’été
Réception du SIC
Nous avisons nos utilisateurs que pour la période
du 15 juillet au 16 août 1996 (y.c.),
l’horaire de la réception du SIC sera modifié comme suit:
du lundi au vendredi
de 8h30 à 12h00 et de 14h00 à 16h30
Merci de votre compréhension
Christiane Dubrit, SIC
FI 6 — 2 JUILLET 1996
PAGE 20
LE CALENDRIER
DES MANIFESTATIONS