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LA PROBLEMATIQUE DE GESTION DES
AIRES PROTEGEES EN AFRIQUE
CENTRALE: LE CAS DU PARC NATIONAL
DE LA LOPE AU GABON
Par
Richard NDEMANOU
Expert Environnementaliste
BP 7439 Yaoundé - Cameroun
Tél. (237) 99 98 46 51
E-mail: [email protected]
Identifiant UNYK: 223 LCE
DEFINITION D’UNE AIRE PROTEGEE
Zone géographiquement délimitée et gérée en
vue d’atteindre des objectifs spécifiques de
conservation et de développement durable
d’une ou de plusieurs ressources données.
Tout projet notamment routier, industriel, minier,
agricole, forestier, pastoral, etc… susceptible
d’affecter l’objectif de conservation d’une aire
protégée doit au préalable faire l’objet d’une
étude d’impact sur l’environnement.
PLAN DE L’EXPOSE
1. CONTEXTE DE LA CONSERVATION EN AFRIQUE
CENTRALE
2. LES PARCS NATIONAUX DU GABON
3. CARACTERISTIQUES DU PARC NATIONAL DE LA
LOPE (PNL)
4. PRINCIPALES PROBLEMATIQUES DU PNL
5. RECOMMANDATIONS
1. CONTEXTE DE LA CONSERVATION EN AFRIQUE
CENTRALE
Pays
Nombre
d’aires
protégées
Superficie
(ha)
Proportion
du territoire
national (%)
Cameroun
174
10 437 336
22
Congo
14
3 513 438
10
Gabon
17
2 431 367
9
Guinée
Equatoriale
13
590 955
21
RCA
73
17 330 015
28
RDC
50
26 314 330
11
TOTAL
341
57 104 003
14
LE RESEAU ECOFAC
2. LES PARCS NATIONAUX DU GABON
Parc national
Superficie
(en km²)
Spécificité
Akanda
540
Plus grandes concentrations d’oiseaux migrateurs au Gabon
Birougou
690
Paysages de montagne, refuge forestier d’une grande richesse biologique
Ivindo
3000
D’impressionnantes colonies d’éléphants et de gorilles
Loango
1550
Des éléphants sur la plage, des hyppopotames en mer
Lopé
4970
Fortes concentrations de mandrills
Mayumba
960
2ème site mondial en terme de tortues marines
Minkébé
7560
Dômes rocheux surplombant la forêt
Monts de cristal
1200
Forêt la plus riche en espèces de flore en Afrique
Moukalaba Doudou
4500
Importantes populations de faune sauvage
Mwagna
1160
Plus grande clairière du Gabon où abondent gorilles et éléphants
Plateaux Batéké
2050
Avifaune exceptionnelle
Pongara
870
Belles plages et mangroves
Waka
1070
Présence d’une faille profonde de 100 km en forêt
BREVE PRESENTATION DU CAMEROUN
• Situation géographique: Afrique centrale
• Superficie: 475 000 km²
• Pays limitrophes: Nigéria, Tchad, Congo, RCA, Gabon et Guinée
Equatoriale
• 4 grandes régions écologiques: forêt dense humide, zone côtière
littorale, hauts plateaux de l’ouest, zone soudano-sahélienne
• 2 langues officielles: Français et Anglais
• PIB / habitant: 900 $ US
• Economie basée sur l’agriculture, les forêts et le pétrole
• Population: 17 millions d’habitants
• Façade maritime d’environ 350 km
• Organisation administrative: 10 provinces, 58 départements, 385
arrondissements
2. LE CONTEXTE
Offre actuelle d’électricité au Cameroun: 938 MW
- Demande: près de 1400 MW en 2008
- Augmentation de la demande : 5 % par an
AES Sonel, société concessionnaire d’électricité au Cameroun,
développe actuellement le Projet Centrale Thermique à gaz de Kribi. Ce
projet est conçu pour satisfaire la demande croissante en électricité et
rentre dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie
gouvernementale de développement de l’offre en énergie électrique à
moyen terme au Cameroun.
-
Le projet sera localisé dans la partie sud du Cameroun. Il comprendra:
La construction d’une centrale thermique à gaz de 150 MW (à environ 9 km au NordOuest de la ville de Kribi)
et d’une ligne de transport d’énergie haute tension de 225 kV entre la centrale et le
poste 225/90 kV de Magombé à Edéa.
La centrale sera alimentée avec du gaz naturel extrait du champ gazier
de Sanaga-sud, à environ 14 km au Nord-Est de la ville de Kribi. Une EIE
séparée a été réalisée pour le projet gazier, y compris le pipeline
jusqu’au site.
3. CARACTERISTIQUES DU PARC NATIONAL DE LA LOPE
- Localisation : Centre-Est du Gabon, provinces de l’Ogooué Ivindo
(département de la Lopé), Ogooué Lolo (département de l’Offoué
Onoye), Moyen Ogooué (département de l’Abanga-Bigné) et
Ngounié (départements de Tsamba Magotsi et de l’Ogoulou)
• Latitude : 0°00’N et 01°20’S
• Longitude : 11°05’E et 11°55’E
- Classement en Parc National : Décret N°
000607/2002/PR/MEFEPCEPN signé par le Président de la
République Gabonaise le 30 Août 2002
- Erection en Site du Patrimoine Mondial naturel et culturel :
Décision 31 COM 8B.54 de Juin 2007
- Catégorie UICN : Catégorie II
- Superficie du Parc National : 484 894 ha
- Superficie de la zone tampon : 150 000 ha
- Superficie des zones aménagées villageoises : 2688 ha
- Superficie des ensembles historiques : 20700 ha
- Caractéristiques géophysiques majeures : Socle archéen à 350 m
d’altitude des collines convexes de la cordillère de l’Okanda
orientées selon un axe Nord-Sud
CARACTERISTIQUES DU PNL (SUITE)
- Principaux groupes ethniques : Okandé, Simba, Saké, Babongo
- Principaux cours d’eau : Ogooué, Offoué, Mingoué, Lélédi et Lopé
- Pluviométrie moyenne annuelle : 1502 mm
- Température moyenne : 26°C
- Altitude : 350-960 m
- Espèces de faune : éléphant, buffle, gorille, potamochère, chevrotain
aquatique, mandrill, chimpanzé, pangolin géant, chat doré. Parmi
ces espèces, le Gorille et le Chimpanzé sont menacés d’extinction.
- Principaux types de végétation :
• Formations de savane
• Galeries et bosquets
• Forêts à Marantacées
• Forêts matures
• Jeunes forêts.
- Richesse culturelle : ateliers lithiques, gravures rupestres, sites de
l’âge du fer, rites initiatiques traditionnels ayant survécu à l’influence
du christianisme
- Moyenne annuelle des visiteurs : 800
4. PRINCIPALES PROBLEMATIQUES DU PNL
4.1. Gestion inadéquate du parc
• inadéquation entre les infrastructures
touristiques et le potentiel de visite du parc
• mauvaise gestion des recettes touristiques
• formation insuffisante du personnel du parc
• ratio Ecogarde/superficie du parc trop faible
4.2. Braconnage commercial
Plusieurs facteurs aggravent le braconnage dans le
PNL :
• existence d’anciennes pistes forestières qui
facilitent l’accès des braconniers à l’intérieur du
parc
• facilités d’évacuation du gibier vers les marchés à
travers le train et la route
• ancienneté de la filière qui a su au fil du temps
développer des mécanismes de camouflage et de
résistance
• frustration des populations locales (à l’intérieur du
parc comme en périphérie) qui disent ne pas
bénéficier de l’attention et de l’appui nécessaire
pouvant leur permettre d’améliorer leurs conditions
de vie, de la part des gestionnaires du parc.
3.
DISPOSITIONS LEGALES ET REGLEMENTAIRES
L ’EIES a identifié les différents instruments législatifs et réglementaires nécessaires
pour la mise en œuvre du projet.
Sur le plan national, les principaux textes légaux et réglementaires en matière d’EIE
sont La Loi n° 96/12 du 5 Août 1996 portant Loi-cadre relative à la gestion de
l’environnement, le Décret N° 2005/0577 du 23 Février 2005 fixant les modalités
de réalisation des études d’impact et l’Arrêté N° 0070/MINEP du 22 Avril 2005
définissant les différentes catégories d’opérations dont la réalisation est soumise
à une étude d’impact environnemental.
Au plan international, le rapport a été préparé au regard des principes de la SFI et de
la Banque Mondiale. En cas de nécessité, il a été également fait référence aux
normes internationales afin d’établir une base référentielle du projet qui soit
conforme aux exigences nationales et internationales. Il convient de signaler que
pour la mise en œuvre du projet, AES Sonel envisage un apport financier de la
Banque Mondiale. Par conséquent, le rapport a été également préparé
conformément aux exigences de la SFI et de la Banque Mondiale.
Dans la mesure où il n’existe pas encore de normes sur le bruit ainsi que sur la
qualité de l’eau et de l’air au Cameroun, les normes internationales ont été adoptées
dans la présente étude.
4.
JUSTIFICATION ET LOCALISATION DU PROJET
L’infrastructure en matière d’électricité au Cameroun est principalement constituée
du Réseau Interconnecté Sud (RIS). Il existe également un Réseau Interconnecté
Nord et un nombre significatif de centrales thermiques isolées qui fournissent de
l’électricité aux principaux centres urbains.
A l’intérieur du RIS, l’énergie est principalement produite par des centrales
hydroélectriques qui satisfont environ 90% de la demande (barrages d’Edéa et de
Songloulou). Le RIS dispose également de six centrales thermiques qui fournissent
de l’énergie additionnelle nécessaire pour combler le déficit en période de pointe.
Plusieurs options pour satisfaire la demande en énergie à long terme sont en étude
au niveau du Gouvernement. Toutefois, la demande en énergie augmentant à un
rythme de 5% environ par an, la centrale de Kribi est destinée à combler le déficit à
court terme.
Le projet dans son intégralité sera localisé dans la zone côtière équatoriale du
Cameroun. La température moyenne dans cette zone est de 28°C, l’humidité relative
varie entre 60 et 100% et la pluviométrie moyenne annuelle est de 3000 mm.
4.3. Relations conflictuelles entre l’administration du parc cet
ses partenaires
• absence de communication avec le Conservateur en raison de
son absence quasi-régulière de la Lopé
• le manque de suivi des problèmes survenus dans le parc comme
les cas de braconnage qui ont maintes fois été reportés au
Conservateur sans suite
• manque de statut de ZSL au Gabon dont la conséquence est la
taxation de tout le matériel importé à des fins professionnelles
• absence de protocole d’entente entre le Parc National de la Lopé
et le Centre de Conservation de Mikongo
• programmes du Centre de Mikongo ne correspondant pas
toujours à ceux des Tours opérateurs, ce qui entraîne d’énormes
problèmes organisationnels
• insuffisance de véhicules pour les déplacements des équipes sur
le terrain.
4.4. Conflits Homme-Faune
- Environ 600 personnes vivent à l’intérieur du parc national de
la Lopé
- cette cohabitation est à l’origine de conflits fréquents entre les
hommes et les animaux et on assiste parfois à des
accrochages physiques conduisant parfois à des décès de
personnes : environ 2 décès par an
- les parcelles agricoles sont régulièrement détruites par la
faune sauvage, et en particulier les éléphants
- collisions entre le train et les animaux sur la voie ferrée
Libreville-Lopé-Franceville engendrant parfois la mort des
animaux
- dispositions juridiques inexistantes concernant la prise en
charge des victimes d’accrochages Homme-faune ou de
destruction des cultures par les animaux.
4.5. Délimitation approximative des terroirs villageois
• non conformité des dispositions réglementaires par rapport
aux résultats de l’étude socio-économique relative à
l’identification des zones d’utilisation villageoises réalisée en
l’an 2000 dans le cadre de l’élaboration du plan
d’aménagement de la Réserve. Plusieurs plaintes ont
d’ailleurs été formulées et déposées dans les services du
Sous-Préfet par les populations de ces villages par la suite
• droits d’usage coutumiers dans les terroirs villageois non
définis : types d’activités qui pourront y être menées (chasse,
collecte du bois à des fins commerciales, pêche, accès aux
forêts sacrées)
• Inexistence des mesures prévues pour le dédommagement
des personnes victimes de destructions de cultures par la
faune sauvage.
4.6. Faible adhésion des populations due à l’absence de
gestion participative
Les populations riveraines du parc souhaitent que soient
clarifiés :
• le rôle des communautés villageoises dans la gestion du
PNL
• l’actualisation de la toponymie hydrographique
• la gestion des recettes issues du tourisme
• la création d’emplois au bénéfice des populations locales
• le financement de leurs micro-projets communautaires.
4.7. Impact écologique des activités économiques
• activités économiques interdites dans la zone tampon
• prélèvement des ressources naturelles limité aux populations
riveraines pour leurs besoins de survie
• Menace sur la biodiversité suite aux activités de coupe illégale
de bois se déroulant à Misseguelane (enclave pygmée).
4.8. Fonctionnement inapproprié de l’ANPN
• Un cadre institutionnel inadéquat,
• Un organigramme inopérant à l’ANPN et inexistant dans
les parcs nationaux,
• Une absence de profil de carrière,
• Un système juridique pas suffisamment opérationnel,
• Des textes présentant parfois des incohérences et
rendant leur applicabilité difficile, voire impossible,
• Une insuffisance qualitative et quantitative du personnel,
• Une absence d’esprit d’entreprise,
• Une insuffisance des moyens de travail.
4.9.Gestion inadéquate du réseau des parcs
nationaux du Gabon
– inefficacité du système de gestion en régie
indirecte,
– difficulté de l’ANPN à gérer de manière
optimale l’ensemble du réseau des parcs
nationaux du Gabon.
5. RECOMMANDATIONS
Tourisme
• diversifier l’offre des services touristiques,
• mettre en place des infrastructures sanitaires, de
transport et d’hébergement fiables et concurrentiels,
• sensibiliser les autorités gabonaises tant à
l’étranger (ambassades et consulats pour
l’obtention des visas) que sur place (élimination des
tracasseries administratives aux entrées et séjours
dans le pays),
• mettre en cohérence la politique gouvernementale
en matière de développement du tourisme.
Formation
• Recruter les nouveaux Ecogardes au sein du corps des
Forestiers,
• Contractualiser avec l’ENEF de Cap Esterias pour la
formation des Ecogardes déjà en poste et présentant le
diplôme de base requis.
Recettes du parc
• prendre un texte précisant d’une part la nature des recettes
attendues du PNL, et d’autre part la destination finale de ces
fonds,
• la gestion des recettes collectées devrait être plus
transparente au travers des registres et autres carnets de
reçus.
Conflits Hommes-animaux
• délimiter la zone aménagée urbaine de Lopé et des
zones aménagées villageoises tel que prévu par le
décret portant création des parcs nationaux, en
concertation avec les populations,
• définir les droits d’usage des ressources naturelles
par les populations à l’intérieur de ces zones,
• prendre un texte définissant les modalités de prise
en charge des personnes victimes d’une agression
par la faune, ainsi que d’indemnisation des
propriétaires des parcelles agricoles détruites par
les animaux.
Exploitation illicite des ressources
naturelles
• développement d’une stratégie de contrôle et de
surveillance du parc en tenant compte de tous
les aspects de la filière (principaux foyers de
braconnage, voies d’accès et d’évacuation du
gibier, acteurs impliqués dans le braconnage),
• renforcement du partenariat avec les différentes
parties impliquées dans la gestion des
ressources naturelles (populations, autorités
administratives et traditionnelles, Société
d’exploitation du transgabonais (SETRAG),
ONG oeuvrant dans la conservation, Brigade de
faune, …),
• appui aux communautés locales pour le
développement des activités alternatives au
braconnage et au commerce du gibier,
• établissement d’un protocole d’entente entre les
populations et les gestionnaires du parc pour
leur implication dans la gestion du parc,
• établissement d’un contrat de gestion de terroir
avec les communautés afin de déterminer et de
suivre l’exercice du droit d’usage coutumier
(chasse, pêche, cueillette, agriculture) en
rapport avec la gestion des ressources
naturelles du parc,
• interdire l’exploitation forestière et toute autre
activité lucrative dans la zone tampon.
Gestion participative
• prendre un texte pour l’application de la disposition
réglementaire prévoyant la mise en place des comités
consultatifs de gestion locale (CCGL),
• suivre le traitement des dossiers de reconnaissance officielle
des associations créées par les populations locales au
niveau du Ministère de l’intérieur,
• signer des contrats de gestion entre les responsables du
parc et ces associations pour la surveillance et l’animation
culturelle et touristique du parc et de sa zone périphérique,
• susciter l’élaboration des micro-projets d’accompagnement
au bénéfice des populations et rechercher les bailleurs de
fonds intéressés par leur financement,
• désigner de manière formelle l’un des écogardes pour servir
de courroie de transmission entre les communautés locales
et les gestionnaires du parc, en attendant
l’opérationnalisation de l’organigramme du parc.
Relation avec les partenaires
• formaliser le partenariat entre le PNL et le CCM,
• examiner la possibilité de conférer un statut officiel
au ZSL au Gabon,
• revisiter le statut et la nature du partenariat entre le
PNL et la SEGC,
• solliciter du Gouvernement la représentation de
l’ANPN et du CIRMF au conseil scientifique de
l’ONAREST.
Gestion du parc
• scinder la gestion du parc en 2 écosystèmes : un
écosystème forêt et un écosystème savane, ayant
chacun à sa tête un Conservateur,
• porter le nombre total d’écogardes à 40 au moins
afin de respecter les normes de l’UICN,
• limiter le déploiement des femmes écogardes aux
tâches administratives,
• approuver et rendre opérationnel l’organigramme du
parc,
• faire respecter les bonnes pratiques
environnementales par les entreprises en charge
des travaux dans le parc.
Fonctionnement général de l’ANPN
• refondre la structure organisationnelle par :
– la mise en place d’un organigramme adapté aux
besoins et défis à relever,
– la flexibilité et la délégation de pouvoirs,
– une responsabilisation de l’encadrement à tous
les niveaux (Empowerment),
– une communication ascendante et descendante
(Top-Down et Bottom-Up).
Instaurer de méthodes fiables de travail par :
• l’élaboration d’un manuel de procédures non
susceptible de prêter le flanc aux éventuelles
interprétations et équivoques, et veiller à son
respect scrupuleux,
• l’adoption d’un système d’évaluation des ressources
humaines,
• la mise en place de structures de contrôle interne
(audit et contrôle de gestion) et densification de leur
rôle,
• Procéder à l’adoption des textes déjà préparés,
élaborer les textes d’application manquants et
revisiter ceux qui connaissent des difficultés
d’application ou qui présentent des incohérences.
Opérer un choix pertinent de l’encadrement par :
– Le recrutement après sélection issue d’un appel à
candidatures tel que prévu par les textes,
– L’activation de l’ascenseur social sur la base du mérite et
de la compétence unanimement reconnus dans la gestion
et le management de l’Agence,
– La promotion du talent et des pré-requis indispensables à
l’atteinte des objectifs fixés.
Gestion du réseau d’aires protégées du Gabon
* Confier la gestion des parcs nationaux au
RAPAC selon une Convention à élaborer et à
soumettre à l’approbation des différents acteurs
de la gestion des ressources naturelles au
Gabon
* Limiter le rôle de l’ANPN dans ce schéma aux
tâches de supervision et de contrôle.
MERCI POUR VOTRE ATTENTION