LE PONT DE PIERRES ET LA PEAU D`IMAGES

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LE PONT DE PIERRES ET LA PEAU D`IMAGES
PH O T O :A N D R É M U L L E R
TH É Â T R E / M U SI Q U E
LE PO N T
DE PIERR E S ET
LA PE A U D’IMA G E S
DANIEL DANIS
GUY- PIERRE COULE A U
D U 26 A U 30 N O V E M B R E 2012
À P A R TI R DE 8 A N S
1H
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THÉ Â T R E DE LA RE N AISS A N C E - 7 RUE OR S E L - 696 0 0 O U L LINS GR A N D LY O N
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U N TE X T E À LA C R OISÉ E DE S MILLE C H E MI N S
L'histoire se passe de nos jours, au cœur des conflits de notre époque. Deux enfants, Mung et Momo
ont échappés aux guerres qui font rage dans leurs pays respectifs mais se retrouvent prisonniers
dans une usine de tapis. Leur voyage ne s'arrêtera pourtant pas là. Ensemble ils vont continuer à
explorer le monde à la recherche d’un pays sans guerres. L’auteur ne désigne aucun pays, aucune
guerre en particulier.
Pendant le voyage, Mung porte sur elle une peau de cuir tissée par sa grand-mère avec laquelle elle
peut inventer des histoires sans paroles. Momo, lui, est en quête d’un endroit idéal pour construire
un pont de pierres comme sa famille le fait depuis plusieurs générations. Mung devine les choses à
travers ses rêves et guide Momo. Ils rencontrent d'autres jeunes qui comme eux ont survécu aux
catastrophes. Tous se rassemblent, apprennent à vivre en harmonie dans ce pays qu’ils inventent au
fil du temps : un pays sans guerres comme ils en avaient rêvés.
En 1998, Daniel Danis dit : «Dans ce texte, j'ai tenté de mettre en lumière la réalité de l'exil, du travail
forcé des enfants, de la mort causée par la guerre, j'ai délibérément voulu donner la parole à des
enfants, témoins de ce genre de souffrances ; je voulais que Momo et Mung traversent un monde
cruel en gardant leur innocence et en préservant la foi dans leurs propres ressources pour réinventer
un monde de paix. »
ÉQ UIP E A R TISTIQ U E
TE X T E S
D A NIE L D A NIS
MISE EN SC È N E
G U Y- PIER R E C O U L E A U
SC É N O G R A P H I E
ERIK N U S S BIC K E R
CR É A TI O N M U SIC A L E
C H RISTINE K O T S C HI
CO N C E P TI O N DE S M A S Q U E S
K U N O SC H L E G E L MI L C H
L’ARC H E EST A G E N T T H É Â T R A L DE D A NIEL D A NIS, LE PIÈCE EST P U B LIÉE À L’ÉC O L E DE S
LOISIRS.
AVEC
C A R O LI N A PEC H E N Y, C H RISTINE K O T S C HI, P A S C A L D U R O ZI E R
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N O T E D’INTE N TIO N S
LA RE N C O N T R E A V E C LE TEX T E
J’ai lu « Le pont de pierres et la peau d’images » en 1996, lorsqu’ila été publié par
l’École des Loisirs.
Brigitte S m a dja, directrice de la collection, m e l’avait donné à lire et j’ai
im m é diate m ent été séduit par le sens, la portée de la pièce, son caractère poétique
et politique tout à la fois. Je m e suis alors de m a n dé qui était l’auteur et j’ai lu
d’autres textes de Danis, ceux qui étaient publiés en France, à l’occasion de leurs
mises en scène, co m m e « Le Chant du Dire-Dire ». Depuis cette pre mière lecture, la
pièce est restée logée dans un coin de m o n crâne, sans jamais en partir et je m e
suis dit que viendrait bien un jour où elle devrait s’en aller vivre sur une scène, non
plus en m oi m ais devant m oi.
Au centre du texte, ily a pour m oi un intérêt particulier et précis dans une question
rare ment traitée sur nos scènes : la question de l’enfance m alheureuse, l’enfance
battue et l’exploitation des enfants par les adultes.
C’est toute la question de l’esclavage des temps m o d ernes qui est posée par Daniel
Danis et je n’ai pas eu souvent l’occasion de trouver une pièce de théâtre qui ose
aborder ces problèmes de face.
Danis affronte plusieurs thè m es d’importance pour différents âges de la personne
hu m aine, en m ettant en présence des grands-parents et des parents qui choisissent
de se séparer de leurs enfants pour les protéger de la guerre qui fait rage dans leur
pays. Mais au lieu de la paix pro mise, c’est un autre enfer qui attend les intéressés
et cet enfer est celui de l’esclavage, de la violence, des trafiquants et du m e nsonge.
Nous so m m e s
informés quotidienne m e nt de l’existence d’autres histoires
analogues à celle de la pièce et c’est ce qui m e fait dire que le texte de Danis est
d’une réelle nécessité pour m aintenant.
Ils’agit aussi de la transmission, de la m é m oire dans la pièce : à la pleine lune, des
êtres hu m ains se réunissent et se souviennent de ce qui leur est arrivé autrefois.
C’est ce processus de la remé m oration de soi qui m’a beaucoup intéressé. «
Co m m e nt ai-je traversé le temps et les épreuves de la vie ? » se m ble se dire Daniel
Danis à travers M u ng et M o m o. Quelles traces de ces passages, de ces épreuves
restent visibles pour les autres co m m e pour m oi-m ê m e, témoignages de ce qui
advient et de ce qui est possible ?
La « peau d’images » ne serait-elle pas cette cartographie des cicatrices de la vie
que nous portons tous sur nous, dans notre chair et sur notre épiderme, souvenirs
de ce par quoi nous so m m e s passés pour en arriver là ?
Et ce « pont de pierres » resse m ble peut-être aux invisibles passerelles que chacun
doit construire jour après jour pour approcher l’autre ou pour découvrir celui qui
so m m eille en nous ?
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TR AITE M E N T SCÉ N O G R A P H I Q U E ET P O É TIQ U E
DE LA MISE E N SCÈ N E
Lorsque nous avons co m m e n cé à travailler sur le texte avec les acteurs, nous avons
été frappés par la dimension du conte, de la parole et de l’imaginaire contenus dans la
pièce. Les m ultiples lieux traversés par les deux enfants au cours de leur périple, les
allégories de toutes sortes, le bestiaire fantastique évoqué à la fin de l’histoire, tout
ceci m’a conduit à imaginer une figure circulaire de cette écriture et c’est en en parlant
avec Erik Nussbicker, scénographe de notre aventure, que nous est venue l’idée de la
tente, du voyage, du no m a dis m e. Dès lors, c’est l’espace de la représentation qui
devenait l’objet de la scénographie et nous avons choisi de raconter toute cette
histoire sous une tente inspirée des tentes m o n g oles traditionnelles, les yourtes. M ais
dans cet espace où acteurs et public sont ense m ble, en cercle, loin d’une frontalité
classique du théâtre occidental, les spectateurs deviennent aussi les personnages du
récit. Les acteurs, quant à eux, ne sont pas seulement les enfants écrits par Daniel
Danis, ilsen incarnent les esprits.
Avec le texte de Danis que disent Carolina Pecheny et Pascal Durozier,ily a les m ots et
les notes de m usique de Christine. C’est la seconde fois que je travaille avec Christine
Kotschi et, depuis
« L’épreuve » de M arivaux en 200 6 que nous avions joué dans les villages des HautesAlpes avec la scène nationale de Gap, je m e suis toujours pro mis de la retrouver, elle et
son univers m usical exceptionnel. Christine a le don de nous e m p orter avec elle dans
un im m e nse voyage imaginaire. Il suffit qu’elle joue de l’un de ses instruments venus
d’ailleurs et glanés par elle au cours de ses voyages, pour que je m e trouve enrichi,
m o difié, e m m e n é en quelque sorte, à l’autre bout de la terre, dans un pays que je ne
connais pas et dont je ne sais rien. Un pays qui n’existe donc que dans m o n imaginaire,
dans m es rêves enfouis. C’est cette capacité de révélation de « l’enfoui » qui m e
bouleverse à chaque fois que j’écoute Christine. Ily a là tout le processus de la pièce
elle-m ê m e, dans ce resurgissement d’une expérience personnelle enfouie, occultée et
surtout ignorée par les autres : la révélation, la mise au grand jour d’une violence subie
en secret tout d’abord, puis d’une im m e nse richesse individuelle partagée ensuite. Les
enfants de la fin de la pièce, qui ont tous connu la m ê m e expérience tragique que celle
vécue et racontée par M u n g et M o m o, se retrouvent et inventent une langue
universelle, sorte d’espéranto, afin de ne plus jamais connaître la guerre. La m usique
est une possible langue universelle. Je ne sais pas si elle a le pouvoir d’abolir les
guerres m ais elle réunit beaucoup d’entre nous, par-delà bien des frontières.
Nous vivons une aventure assez exceptionnelle avec Carolina et Pascal depuis
plusieurs années. Je les ai rencontrés l’un après l’autre, il y a douze ans et nous ne
nous so m m e s jamais quittés depuis. Ilssont à m es yeux porteurs d’une grande tradition
théâtrale, par leurs origines ou grâce à leurs parcours respectifs dans ce m étier : tous
deux ont acco m p a g nés Ariane M n o uchkine au Théâtre du
Soleil sur plusieurs spectacles, par exe m ple. Tous deux pratiquent le jeu théâtral
m asqué, nourris d’influences italiennes, balinaises. Ils sont tous deux détenteurs d’un
savoir théâtral qui vient d’ailleurs et sur ce projet du « Pont de pierres… » nous nous
laissons e m p orter ense m ble vers d’autres terrains de jeu, étranges et étrangers. C’est
pour m oi une grande collaboration que je concrétise avec eux deux, dans l’échange et
l’enrichissement réciproques.
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LE TR A V AIL DE PL A T E A U
J’avais mis en scène ily a dix ans « Pantin Pantine », opéra pour et avec des enfants de
Ro m ain Didier et Allain Leprest. J’avais beaucoup aimé travailler sur cette œ u vre et
aborder une thé matique enfantine. M ais avec la pièce de Danis, c’est vraiment la
pre mière fois que je travaille un texte théâtral jeune public et ça ne change pas
vraiment m a façon de faire.Je dirais m ê m e que ce travailest très exigeant pour m oi et
les enjeux du texte sont à définir avec beaucoup de précisions, autant que pour un
spectacle tout public. Chaque texte de théâtre doit trouver son propre espace de jeu,
sa scénographie particulière, de toute façon. Dans plusieurs de m es spectacles,
l’enfance est un m otif qui revient.
Je suis père de deux enfants, je suis né dans une famille de cinq enfants. Je crois que le
terme de fratrie signifie quelque chose pour m oi. C’est ce que m es parents m’ont
enseigné. Ce qui m e plaît dans cette aventure du « Pont de pierres … », c’est aussi
l’exploration de m a propre enfance, enfouie, oubliée, négligée au quotidien par les
nécessités de la vie, du travailet de nos vies m o d ernes, qui est sans doute un point de
rencontre entre les différents travaux que je réalise et qui ont pour point co m m u n
l’enfance et ses vicissitudes.
DE S TR A DITIO N S TH É Â T R A L E S A N CIE N N E S M É L A N G É E S A U X ÉC RIT U R E S
M O D E R N E S O U CO N T E M P O R A I N E S PO U R U N TH É Â T R E D U TE M P S PR É S E N T
Créer la rencontre entre tradition et m o d ernité est un gage de progrès. C’est ce que je
crois. Il nous faut aussi sans arrêt tenter de sortir des sentiers battus du théâtre,
spectacle après spectacle. J’aime aussi découvrir d’autres voies, d’autres che mins pour
raconter des histoires. M oi qui suis nourri d’un enseigne m e nt théâtral classique et
littéraire,je suis particulièrement intéressé et attiré par ce qui existe autre ment que ce
que je connais. Depuis m es débuts de m etteur en scène, j’aiété attiré par des formes
d’expression différentes :le Nô japonais pour m o n pre mier spectacle « Le Fusilde
Chasse » de Yasushi Inoué, ou encore l’âme celtique dès « Le baladin du M o n de
Occidental » de John
Synge. Pour apprendre.
Je crois plus large ment qu’il est nécessaire et passionnant de m élanger, de faire se
rencontrer les traditions les unes avec les autres, de produire une m a nière
conte m p oraine du récit et de tenter des voyages, des franchissements de frontières, de
langues, de réalités. Une chose m e frappe chaque jour : que sais-je de celui qui vit la
souffrance ou l’injustice,dans sa chair et dans son être, au m o m e nt où je réponds à un
interview, ou bien lorsque je répète avec les acteurs ? Cette question de la réalité de la
vie, conjointement m êlée à celle de m o n quotidien occidental, m a cécité relative,
confortable et exceptionnelle devant ce qui est le réel de milliards d’autres que m oi
dans le m o n de, et qui n’ont pas nos conditions de vie, m e se m ble peut-être la seule
question qu’il convient de se poser en per ma nence. Quelle chance est la mienne de
pouvoir réaliser et vivre m o n rêve de théâtre si, dans le m ê m e temps, je ne le
concrétise pas en prenant la parole au no m de ceux qui ne l’ont pas ? C’est le minimu m
de la conscience que nous devons avoir, nous autres artistes, devant la m arche du
m o n de.
G U Y PIERRE C O U L E A U
FÉV RIER 2011
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BIO G R A P HI E S
D A NIE L D A NIS A U T E U R
Saguenéen d’adoption, Daniel Danis est l’auteur d’une dizaine de pièces de théâtre.
En 1993, sa pre mière œ u vre, Celle-là, re mporte le Prix de la critique en création de
texte et le prix du Gouverneur général du Canada. Sa deuxième pièce, Cendres de
cailloux, est réco m p ensée par le M asque du m eilleur texte original et le prix Radio
France Internationale. Le Langue-à-Langue des chiens de roche lui vaut une
deuxième fois le prix du Gouverneur général du Canada en 2002. En 2007, avec Le
Chant du Dire-Dire (créée à l’Espace Go au printemps 1998 et au Théâtre de la
Colline à Paris en septe m bre 1999), ilre mporte le prix du Gouverneur général pour
une troisième fois. En 200 6, le Grand Prix de littérature dra matique 200 6 est
décerné à E, ro ma n-dit dans la catégorie œ u vre francophone. En 2010 pour Terre
océane , Daniel Danis est no m m é
aux M olières dans la catégorie Auteur
Francophone Vivant.
Daniel Danis a écrit pour le jeune public Le Pont de pierres et la Peau d’images ,
Kiwi, Sous un ciel de cha m aille et Bled. En 200 8, Kiwi est réco m p ensé par trois
prix : le prix Louise-LaHaye, re mis par CE A D
Diffusion, le Deutscher
Jugendtheaterpreis et le Prix littéraire AbitibiBowater Théâtre (Salon du Livre du
Saguenay-Lac-Saint-Jean).
Daniel Danis vit à Québec où sa co m pa gnie est en résidence à la Caserne Dalhousie.
Il travaille en ce m o m e nt sur l’écriture et la mise en scène de son nouveau
spectacle Yukie, un théâtre-film qui a été présenté au festival Carrefour
international de Théâtre (Québec) en juin 2010.
Ses pièces sont publiées chez L’Arche Éditeur (Le Chant du Dire-Dire, Le Langue-àLangue des chiens de roche, E, Bled, Kiwi, Sous un ciel de cha m aille,Terre océane ),
Actes Sud-Papiers/Le m éac (Celle-là et Cendres de cailloux) et L’École des Loisirs
(Le Pont de pierres et la peau d’images ). Elles sont traduites et jouées dans le
m o n de entier.Vient de paraître à l’Arche La Trilogie des flous (2010).
G U Y- PIER R E C O U L E A U M E T T E U R EN SCÈ N E
Metteur en scène, ilest no m m é en juillet200 8 à la direction de la Co m é die De l’Est,
Centre Dra m atique Régional d’Alsace, à Colmar. Ildébute au théâtre co m m e acteur
en 1986, dans des mises en scène de Stéphanie Loïk, Agathe Alexis ou Daniel
Mesguich.
Il réalise sa pre mière mise en scène à L’Atalante en 1994 (Le Fusil de Chasse de
Y.Inoué), puis continue de jouer et de m ettre en scène alternativement jusqu’en
1998, date à laquelle ildécide de se consacrer unique m e nt à la mise en scène : Vers
les Cieux de Horvath, 1995 – Netty d’après Anna Seghers, 1998 – Déjeuner chez
Wittgenstein de Tho m as Bernhard, 1998.
En 1999, ilm et en scène Le Baladin du M o n d e Occidental de John M. Synge, puis
fonde, en 200 0, sa co m pa gnie « Des Lu mières et Des O m bres », qui devient
associée au M o ulin du Roc, Scène Nationale de Niort puis aux scènes nationales de
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Gap et d’Angoulê me. En 2001, Le Sel de La Terre, dyptique de Sue Glover et Frank
Mc G uinness, est progra m m é au « festivalIN » d’Avignon.
Ses plus récents travaux sont La Forêt d’Ostrovsky, (Antony, 2002) ; Résister
(Suresnes, 2001, reprise au Théâtre Paris-Villette en 2003) ; La Chaise de Paille de
Sue Glover (Rochefort, 2003, reprise à Paris en 200 4) ; George Dandin de M olière
(Angers, 2003) ; Son poteau , pièce du répertoire du Grand-Guignol (créé dans le
cadre des 29è m es Rencontres d’Hérisson : Les Effroyables, juillet200 4) ; Rêve s de
W. M o ua w a d (Niort puis Antony, 200 5) ; L’Épreuve de Marivaux (Gap, 200 5),
M arilyn en chantée de Sue Glover (Angoulê me, 200 8), Les Justes d’Albert Ca m us
(Gap et Athénée Théâtre Louis Jouvet en 2007), Les M ains sales de Jean-Paul
Sartre (Gap et Athénée Théâtre Louis Jouvet en 200 9), La Fontaine aux saints et
Les Noces du Réta m e ur de J.M. Synge (créé au CD R d’Alsace à Colmar en janvier
2010), Hiver de Zinnie Harris (créé en nove m bre 2010 au CD R d’Alsace puis à la
Te m p ête à Paris en janvier et février 2011).
C A R O LI N A PEC H E N Y M U N G
For m ée au Conservatoire National d’Art Dra m atique à Buenos Aires et à l’Ecole
Argentine du Mi m e, elle a intégré la troupe du Théâtre du Soleil après son arrivée
en France. En tant que co m é dienne Carolina Pecheny a travaillé sous la sous la
direction d’Ariane M n o uchkine (La ville parjure, Et soudain des nuits d’éveil), Guy
Pierre Couleau (L’Épreuve de Marivaux, Vespetta e Pimpinone opéra d’Albinoni, La
Fontaine aux saints et Les Noces du Réta m e ur de J.M. Synge ),Guy Freixe (Danser
à Lughnasa de Brian Friel) Serge Lipszyc (M acbeth , Ivanov , Henry VI), Paul Golub
(La puce à l’oreille, Nuits à Bagdad de M o ha m m e d Kacimi)… En parallèle, en tant
que m etteur en scène, elle a m o nté : Le M é d ecin m algré lui de M olière joué en
Argentine et en Allemagne ; M o nsieur M ockinpott de Peter W eiss en Allemagne,
Raconte-m oi inspiré de « Être sans destin » d’Imre Kertész au Théâtre du Soleil,
Une laborieuse entreprise d’A. Levin (créé en m ai 2010 à la Co m é die De l’Est).
P A S C A L E D U R O ZIE R M O M O
Issu d’une famille de théâtre a m b ulant, ils’est formé en travaillant dans différentes
troupes du sud de la France. A Paris, il rencontre M o nica Pagneux et Jacques
Lecoq. En 1987, ilest engagé par Ariane M n o uchkine au Théâtre du Soleilpour Les
Atrides et L’Indiade d’Hélène Cixous. Il travaille également avec Ma urice Durozier
pour Brûleurs de Planches, Christophe Rauck (La Nuit des Rois de Shakespeare),
Serge Lipszyc (Ivanov de Tchékhov), Guy Pierre Couleau (Le baladin du M o n d e
Occidental de J.M. Synge, Regarde les Fils de l’Ulster m archant vers la So m m e de
Frank M ac Guinness, et La Forêt d’Ostrovski, George Dandin de M olière ou
L’Épreuve de M arivaux, Sortie de piste d’après Anton Tchekhov, La Fontaine aux
saints et Les Noces du Réta m e ur de J.M. Synge, Hiver de Zinnie Harris), Sotigui
Kouyaté (Œ dipe de Sophocle), Philippe Carbonneaux (M a M aison de Pierre Yves
Chapalain) ou Achille Tonic (Les Ca m éléons d’Achille ou au ciné m a , Cabaret
Paradis).
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C H RISTINE K O T S C HI LES TEN A N T S
M usicienne, poly-instrumentiste, allemande, vit à Paris. Suite à sa formation
m usicale et théâtrale en Allemagne, elle s’installe en France et poursuit sa
formation avec Jacques Lecoq, M o nika Pagneux, Ph. Gaulier, Ariane M n o uchkine,
Jean Jacques Le m être, Lud wig Flaszen, M as Soegeng, …
Ses recherches l’amènent plusieurs fois en Turquie et au conservatoire de m usique
d’Istanbul pour travailler avec l’orchestre de m usique de tradition populaire sous la
direction d’Adnan Ata m a n.
Depuis, Christine Kotschi consacre l’essentielde son travailà la m usique vivante et,
très sensible aux écritures, aux relations que sons et m élodies entretiennent avec
texte et jeu. Elle interprète ses propres co m p ositions avec un large éventail
d’instruments d’origines diverses et signe des m usiques originales pour le théâtre
conte m p orain.
Au théâtre, elle co m p ose pour : Benno Besson (Œ dipe Tyran ), Gabriel Garran (Les
enfants des héros, L’ho m m e poubelle), Hassane Kouyaté, Lisa W ur m s er (La
M o u ette), William Mesguich (La
légende
d’Antigone ), Ma h m o u d
ShahalI
(Supplé m e nt au voyage de Cook, Othello, L’exception et la règle, Le m aître du jeu,
Shahna m e h ), Carolina Pecheny-Durozier (Raconte-m oi ),Monique Blin, Michel de
Ma ulne (Aurélia), Farid Paya (Andro m a q u e, Phèdre ), Antonio Diaz-Florian (Le
m archand de Venise, La vie est un songe, L’abuseur de Séville,Tamerlan) et Guy
Pierre Couleau (L’Épreuve de Marivaux).
Elle se produit aussi en solo au Festival International des Francophonies en
Limousin, au Tar m ac de la Villette,à la Cité de la M usique …
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