La Nouvelle Jérusalem (Apoc 21.9-22)
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La Nouvelle Jérusalem (Apoc 21.9-22)
La Nouvelle Jérusalem (Apoc 21.9-22) Introduction La pensée de l'éternité C.S. Lewis, un philosophe chrétien, a déclaré en substance que : « Si vous lisez l'histoire, vous trouverez que les chrétiens qui ont fait le plus pour le monde présent sont ceux qui avaient le plus la tête dans le monde à venir. Les apôtres eux-mêmes, qui ont changé l'Empire romain par la conversion au christianisme, les grands hommes qui ont bâti le Moyen-Âge, les évangéliques britanniques qui ont aboli la vente d'esclaves, ont laissé sur Terre leur marque particulièrement parce que leur pensée était occupée par le ciel. Et c'est depuis que les chrétiens ont cessé de se préoccuper du monde à venir qu'ils sont devenus si inefficaces dans leur présence sur Terre. » La pensée de l'éternité doit normalement nous préoccuper un peu... et doit en tout cas modifier favorablement notre comportement présent sur la Terre. Lecture « 9 Puis un des sept anges qui tenaient les sept coupes remplies des sept dernières plaies vint et me parla, en disant : Viens, je te montrerai l’épouse, la femme de l’Agneau. 10 Il me transporta en esprit sur une grande et haute montagne. Et il me montra la ville sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel, d’auprès de Dieu. 11 Elle avait la gloire de Dieu ; son éclat était semblable à celui d’une pierre très précieuse, d’une pierre de jaspe transparente comme du cristal. 12 Elle avait une grande et haute muraille. Elle avait douze portes, et sur les portes douze anges. Des noms y étaient inscrits, ceux des douze tribus des fils d’Israël : 13 à l’orient trois portes, au nord trois portes, au midi trois portes et à l’occident trois portes. 14 La muraille de la ville avait douze fondements, et sur eux les douze noms des douze apôtres de l’Agneau. 15 Celui qui me parlait avait pour mesure un roseau d’or, afin de mesurer la ville, ses portes et sa muraille. 16 La ville avait la forme d’un carré, sa longueur était égale à sa largeur. Il mesura la ville avec le roseau : 12 000 stades ; la longueur, la largeur et la hauteur en étaient égales. 17 Il mesura la muraille : 144 coudées, mesure d’homme qui était celle de l’ange. 18 La muraille était construite en jaspe, et la ville était d’or pur, semblable à du verre pur. 19 Les fondements de la muraille de la ville étaient ornés de pierres précieuses de toute espèce : le premier fondement était de jaspe, le deuxième de saphir, le troisième de chalcédoine, le quatrième d’émeraude, 20 le cinquième de sardonyx, le sixième de sardoine, le septième de chrysolithe, le huitième de béryl, le neuvième de topaze, le dixième de chrysoprase, le onzième d’hyacinthe, le douzième d’améthyste. 21 Les douze portes étaient douze perles ; chacune des portes était d’une seule perle. La place de la ville était d’or pur, comme du verre transparent. 22 Je n’y vis pas de temple, car le Seigneur Dieu Tout– Puissant est son temple, ainsi que l’Agneau. » L’environnement (21.9-10) « 9 Puis un des sept anges qui tenaient les sept coupes remplies des sept dernières plaies vint et me parla, en disant : Viens, je te montrerai l’épouse, la femme de l’Agneau. 10 Il me transporta en esprit sur une grande et haute montagne. Et il me montra la ville sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel, d’auprès de Dieu. » L’essentiel des jugements de l’Apocalypse ont été réalisés par des anges. Une pluie de jugements s’abattra sur la terre : d’abord six sceaux, puis le 7e qui correspond aux trompettes. Il y a 6 trompettes ; puis une 7e qui correspond aux coupes. Il y a 7 coupes qui sont les jugements les plus terribles (cf. Apoc. 16) et qui se terminent par le rassemblement des troupes mondiales pour Armageddon. L’un de ces anges prend l’apôtre Jean pour qu’il voit « l’épouse, la femme de l’Agneau… la ville sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel d’auprès de Dieu. » La Nouvelle Jérusalem – Partie 1 Apocalypse 21.9-22 Page 2 La ville est à la fois la capitale du monde nouveau, mais aussi l’expression même des rachetés. Elle en prend le caractère, et rassemble les sauvés de tous les temps, depuis Abel jusqu’au dernier enfant sauvé du Millénium. Que la Nouvelle Jérusalem soit présentée comme l’épouse de l’Agneau en dit long sur la qualité relationnelle que nous aurons avec le Seigneur et sur la beauté de l’édifice. De longs versets sont employés à la décrire et c’est donc à lire et étudier avec plaisir ! On regarde dans un instant. Comme il a été souligné auparavant, il y a « une grande et haute montagne ». Ce qui laisse entendre qu’il y en a d’autres ! Un monde qui correspond en partie au premier monde, celui de Gen 1 & 2, qui correspond donc en partie au nôtre, le péché en moins. Un monde qui se rapproche donc du Millénium. Dans un sens, notre terre est le lieu-test de l’humanité. Créée innocente, cette humanité a démontré son absence de vertu. La terre a été soumise à la vanité (Rom 8.20) par le péché d’Adam, et elle est le lieu d’intervention du salut du Seigneur. Mais elle demeurera comme un modèle de quelque chose de plus grandiose, aujourd’hui peu accessible à notre compréhension. 1. Quelle sera la nature du temps (chronologique) ? Apocalypse 22:2 « Au milieu de la place de la ville et sur les deux bords du fleuve, se trouve l’arbre de vie, qui produit douze récoltes et donne son fruit chaque mois. Les feuilles de l’arbre servent à la guérison des nations. » Succession d’événements : il y a un temps de récolte. Chaque mois est relatif à une notion connue de nous : le temps se concevra aussi en terme de cycle, de saisons. le temps est dynamique, non statique. 2. Y aura-t-il des animaux ? Le principe de continuité que l’on observe dans l'Écriture – Le Millénium est un monde très proche du nôtre. Le nouvel univers est un monde rappelant certains aspectsdu Millénium – milite en faveur de la présence d’une grande diversité dans la création de Dieu (cf. Esaïe 11.6-9). A ceci j’ajouterai quelques remarques : La gloire de Dieu se manifeste par la création, et notamment par le monde animal tel que nous le voyons en Gen 1 & 2. Et surtout, ce monde vient à l’existence le même jour que l’homme, comme pour souligner une destinée parallèle somme toute assez proche. Les images du paradis (Ezéch 1 entre autres) contiennent des descriptions d’animaux. Le ciel retiendrait-il une image qui cessera d’être ? Il y a même un verset étrange en Eccl. 3.21 : « Qui sait si le souffle des humains s’élève vers les hauteurs, et si le souffle des bêtes descend vers le bas, vers la terre ? » Dieu veut-il nous laisser le mystère d’une création renouvelée, y compris avec certaines des bêtes qui ont partagé nos vies ? En tout état de cause, le Seigneur affirme « Je connais tous les oiseaux des montagnes, et tout ce qui se meut dans les champs m’appartient. » (Ps 50:11). La création des animaux n’était pas accidentelle ni utilitaire. Elle était le fruit de sa bonne volonté pour entourer l’homme d’un univers beau et plaisant dont les échos se retrouveront toute l’éternité durant. Regardons maintenant plus précisément l’architecture de cette ville qui descend du ciel. © Un poisson dans le net/Florent Varak http://www.unpoissondansle.net La Nouvelle Jérusalem – Partie 1 Apocalypse 21.9-22 Page 3 L’urbanisme (21.11-22) « 11 Elle avait la gloire de Dieu ; son éclat était semblable à celui d’une pierre très précieuse, d’une pierre de jaspe transparente comme du cristal. 12 Elle avait une grande et haute muraille. Elle avait douze portes, et sur les portes douze anges. Des noms y étaient inscrits, ceux des douze tribus des fils d’Israël : 13 à l’orient trois portes, au nord trois portes, au midi trois portes et à l’occident trois portes. 14 La muraille de la ville avait douze fondements, et sur eux les douze noms des douze apôtres de l’Agneau. 15 Celui qui me parlait avait pour mesure un roseau d’or, afin de mesurer la ville, ses portes et sa muraille. 16 La ville avait la forme d’un carré, sa longueur était égale à sa largeur. Il mesura la ville avec le roseau : 12 000 stades ; la longueur, la largeur et la hauteur en étaient égales. 17 Il mesura la muraille : 144 coudées, mesure d’homme qui était celle de l’ange. 18 La muraille était construite en jaspe, et la ville était d’or pur, semblable à du verre pur. 19 Les fondements de la muraille de la ville étaient ornés de pierres précieuses de toute espèce : le premier fondement était de jaspe, le deuxième de saphir, le troisième de chalcédoine, le quatrième d’émeraude, 20 le cinquième de sardonyx, le sixième de sardoine, le septième de chrysolithe, le huitième de béryl, le neuvième de topaze, le dixième de chrysoprase, le onzième d’hyacinthe, le douzième d’améthyste. 21 Les douze portes étaient douze perles ; chacune des portes était d’une seule perle. La place de la ville était d’or pur, comme du verre transparent. 22 Je n’y vis pas de temple, car le Seigneur Dieu Tout–Puissant est son temple, ainsi que l’Agneau. » Comment la ville est-elle décrite ? Sa première caractéristique correspond à la gloire de Dieu. La gloire du Seigneur s’y manifestera là plus que n’importe où ailleurs. La gloire de Dieu, c’est en quelque sorte l’essence même de sa personne. C’est cette gloire qui est inaccessible à l’homme pécheur. Même quand Moïse a demandé à voir la gloire de Dieu, le Seigneur lui a répondu en limitant l’aperçu qu’il aurait de sa personne : “ 18 Moïse dit : Fais–moi voir ta gloire ! 19 (L’Éternel) répondit : Je ferai passer devant ta face toute ma bonté et je proclamerai devant toi le nom de l’Éternel ; je fais grâce à qui je fais grâce, et j’ai compassion de qui j’ai compassion.” (Exode 33:18-19) C’est de cette gloire que le Christ s’est défait quand il est devenu homme. Et c’est cette gloire qu’il a manifestée lors de la transfiguration (Matt 17.1ss). C’est cette gloire qu’il savait réintégrer à son ascension, et selon son vœu, nous la contemplerons : « Père, je veux que là où je suis, ceux que tu m’as donnés soient aussi avec moi, afin qu’ils contemplent ma gloire » Jean 17.24. C’est gloire est lumineuse. Le terme « éclat » évoque une lumière intrinsèque. Cette ville brille d’elle-même au point qu’il n’y aura pas besoin d’éclairage public ni d’éclairage du soleil (21.23). Jean voit une ville qui éclaire comme une lampe halogène, sans l’éblouir pour autant, puisqu’il en décrit l’image. D’ailleurs cette lumière lui rappelle le jaspe, donc un aspect plus tamisé… Mais ce jaspe est translucide… donc ça ressemblerait plus à du diamant. Un diamant un peu ambré ?! Les artistes qui la dessinent ont de la peine à se l’imaginer. Une matière semblable à du diamant translucide, reflétant la gloire du Christ. La ville est entourée d’une grande et haute muraille. C’est un lieu délimité, un espace dans lequel on entre, et duquel on sort. Ce n’est pas une idée ni un concept. Elle a une limite géographique. Cette muraille fait 144 coudées de hauteur (122, observez la beauté de la logique avec les 12 portes et les 12 fondements !), soit un peu plus de 70 mètres de hauteur ! Mais elle rappelle l’œuvre de Dieu au travers la famille d’Abraham : d’un côté la famille charnelle d’Abraham, les 12 tribus d’Israël dont le rôle est immortalisé par les 12 portes gravées de leur nom. Ce n’est pas sans rappeler la disposition des 12 tribus autour du tabernacle (Nomb 2) et autour du temple du Millénium (Ezéch 48). Chaque porte est accompagnée d’un ange qui stationne au-dessus d’elle. Un ange qui fait la taille de la porte, nous dit 21.17. Que fera l’ange à cette porte ? Sera-t-il au service de ceux et de celles © Un poisson dans le net/Florent Varak http://www.unpoissondansle.net La Nouvelle Jérusalem – Partie 1 Apocalypse 21.9-22 Page 4 qui entrent et sortent de la ville ? Aura-t-il un rôle d’accueil, et de bénédiction ? Orientera-t-il les hommes vers la gloire de Dieu ? Et puis il y a 12 fondements, avec le nom des 12 apôtres. C’est probablement Paul le 12e – et non celui que Pierre a fait nommer dans la précipitation, avant que vienne l’Esprit de Dieu en Actes 2. En tout cas, méfiez-vous de ceux qui se disent apôtres : Dieu n’en reconnaît que 12 ! Jean nous donne alors une indication de sa taille : c’est un cube de 12000 stades, soit un peu plus de 2000 km de côté, avec cette muraille de 70 m de hauteur. Le cube rappelle le lieu très saint du temple de Salomon. De telles dimensions sont difficiles à imaginer. Surtout qu’on a peu d’informations sur l’agencement de cette ville. Si on prend la ville de Lyon en référence, la densité de la population est de 9300 hab/km². Une telle densité reportée à la Nouvelle Jérusalem permettrait l’accueil de 53 mille milliards d’individus ! Et cela ne prend en compte que la surface au sol de cette Nouvelle Jérusalem. Il faudrait encore ajouter des niveaux pour pouvoir se représenter l’espace et l’habitation de cette ville. Je ne me livre pas ici à un calcul spéculatif de la population du ciel ! Je veux seulement remarquer combien les propos du Christ : « il y a beaucoup de demeures dans la maison de mon Père » sont justes. On comprend mieux le sens de d’Apocalypse 7:9 « Après cela je regardai, et voici une grande foule que nul ne pouvait compter, de toute nations, de toutes tribus, de tous peuples et de toutes langues. Ils se tenaient devant le trône et devant l’Agneau, vêtus de robes blanches, et des palmes à la main. » Dans cette ville se trouveront tous les rachetés, célèbres et obscurs, de tous les temps. Tous les hommes et toutes les femmes que la Bible mentionne comme faisant partie des élus. Tous les bien-aimés qui sont morts en Christ. Tous les enfants morts nés. La description continue : La muraille est de jaspe, le même matériau translucide évoqué plus haut. L’aspect de la ville est de l’or translucide. Les fondements mentionnent des pierres précieuses : Jaspe, Saphir, Chalcédoine, Emeraude, Sardonyx, Sardoine, Chrysolithe, Beryl, Topaze, Chrysoprase, Hyactinthe, Améthyste. Le spectacle est manifestement destiné à éveiller la beauté, la lumière, la variété des couleurs. L’émerveillement ! Cette splendeur est même davantage relevée par la présence de portes chacune formée d'une perle. Comment représenter des portes en perle sur une muraille de 70 m ?! Ou bien faut-il les imaginer en lien avec la hauteur de 2000 km ?! Que les portes soient de perle est intéressant par leur origine. « Les perles sont de petites billes blanches créées par certains mollusques, principalement les huîtres. Quand un objet irritant passe à l'intérieur de la coquille, l'animal réagit en entourant l'objet d'une couche de carbonate de calcium sous la forme d'aragonite ou de calcite. Ce mélange est appelé nacre » (Wikipedia) La perle est une défense et une réponse à une attaque sur l’organisme du mollusque. Un commentateur (John Philipps, Exploring Revelation, Moody, in MacArthur Revelation, vol 2, p. 283) remarque qu’il y peut-être là une parabole pour nous. La gloire de Dieu a été attaquée par le péché et la violence des hommes. Mais Dieu a répondu à cette agression par Golgotha. Par la mort en sacrifice de culpabilité de son Messie. Chaque fois qu’on passera par la porte de la Nouvelle Jérusalem, nous nous souviendrons que la blessure du péché a été couverte, et même le péché et sa culpabilité ont été avalés par la réponse du Seigneur. « 22 Je n’y vis pas de temple, car le Seigneur Dieu Tout–Puissant est son temple, ainsi que l’Agneau. » © Un poisson dans le net/Florent Varak http://www.unpoissondansle.net La Nouvelle Jérusalem – Partie 1 Apocalypse 21.9-22 Page 5 Dernier détail, la ville n’est pas structurée comme tous les villages avec l’église au centre ! Il n’y a pas de temple. Pourquoi ? parce que vivre sera adorer, et adorer sera vivre ! Parce que Dieu lui-même habite son peuple, et il n’y aura donc pas de lieu pour lui. Toute sa création sera son habitation. Conclusion Ce qu’il faut retenir, c’est que le meilleur est à venir. Je ne fais pas partie des optimistes quant à l’avenir du monde. Il me semble que nous nous dirigeons vers un monde chaotique et violent, où l’amour du plus grand nombre se refroidira, comme l’annonce Jésus. Un monde aux qualificatifs peu flatteurs comme l’écrit Paul : 1 Sache que, dans les derniers jours, surgiront des temps difficiles. 2 Car les hommes seront égoïstes, amis de l’argent, fanfarons, orgueilleux, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, sacrilèges, 3 insensibles, implacables, calomniateurs, sans frein, cruels, ennemis des gens de bien, 4 traîtres, impulsifs, enflés d’orgueil, aimant leur plaisir plus que Dieu ; 5 ils garderont la forme extérieure de la piété, mais ils en renieront la puissance. Éloigne–toi de ces hommes–là. (2 Tim 3.1-5) Les événements de la fin ressemblent à un arc que l’on tend pour lancer la flèche. Il faut du temps pour le tendre, pour viser, mais lorsque l’archer lâche la flèche, tout va très, très vite. L’apôtre Jean écrit : 2 Bien–aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n’a pas encore été manifesté ; mais nous savons que lorsqu’il sera manifesté, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu’il est. 3 Quiconque a cette espérance en lui se purifie, comme lui (le Seigneur) est pur. (1 Jean 3:2-3) Que Dieu renouvelle notre espérance ! Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons (http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.0/fr/). Vous êtes libres de reproduire, distribuer et communiquer cette création au public, de modifier cette création. Selon les conditions suivantes : - Paternité. Vous devez citer le nom de l’auteur original. Pas d’Utilisation Commerciale. Vous n’avez pas le droit d’utiliser cette création à des fins commerciales. - Partage des Conditions Initiales à l’Identique. 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