« Mur des cons » : le Syndicat de la Magistrature devra (enfin et
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« Mur des cons » : le Syndicat de la Magistrature devra (enfin et
Paris, le 28 septembre 2015 « Mur des cons » : le Syndicat de la Magistrature devra (enfin et heureusement) rendre des comptes L’Institut pour la Justice, think tank citoyen œuvrant pour une justice plus protectrice des citoyens et plus équitable à l’égard des victimes, prend acte avec soulagement de la décision de la Cour d’appel de Paris de confirmer le renvoi de la présidente du Syndicat de la Magistrature devant un tribunal correctionnel pour « injure publique ». Alors que l’opinion publique est assez largement inquiète et critique à l’égard du fonctionnement de la justice, la décision du parquet de requérir un non-lieu dans l’affaire du « Mur des cons » avait renforcé les soupçons de corporatisme et d’inégalité des citoyens devant la justice. Le renvoi de la présidente du Syndicat de la Magistrature devant un tribunal correctionnel pour « injure publique » atteste de l’indépendance de certains magistrats, indépendance politique mais aussi syndicale et professionnelle. Cela montre aussi que les plaignants, dont l’Institut pour la Justice ou ses représentants ne font pas partie, avaient raison de porter plainte contre ce qui n’est en rien une « blague potache ». Le futur procès devra permettre de s’interroger sur l’outrance de certains propos et comportements de ce syndicat, leur violation du devoir d’impartialité et l’écœurement ressenti face à l’indécence morale que représentait la présence, sur ce « Mur des cons », de pères de victimes. L’Institut pour la Justice souhaite que le futur procès permette d’aborder toutes ces questions en mesurant une nouvelle fois combien la défiance des Français à l’égard de la justice est forte. Contact presse : Arnaud Beck, 06 98 76 58 58 L’Institut pour la Justice est une association loi 1901 qui fédère des centaines de milliers de citoyens ; c’est aussi un think tank qui regroupe des juristes, des praticiens du droit et des criminologues. Son objectif est de promouvoir une justice plus protectrice pour les citoyens et plus équitable vis-à-vis des victimes. Son indépendance est garantie par son refus de toute subvention publique ou privée, ses actions étant financées par ses 50 000 membres donateurs. Créé en 2007, l’Institut pour la Justice s’est fait connaître du grand public par son Pacte 2012, signé par plus de 1 700 000 internautes.