avant les rencontres ufologiques européennes le point

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avant les rencontres ufologiques européennes le point
AVANT LES RENCONTRES UFOLOGIQUES EUROPÉENNES
LE POINT SUR LE DOSSIER OVNI
Une importante manifestation européenne ayant pour thème les « OVNI » aura lieu à CHALONS EN
CHAMPAGNE les 14, 15 et 16 octobre prochain. Des dizaines de stands d'information, trois salles de
conférence simultanées, plus de 100 spécialistes du phénomène ovni, un colloque européen de haut
niveau réunissant des scientifiques et chercheurs étudiant ce phénomène, une grande exposition :
tout cela en fait une première mondiale ! Le phénomène ovni sera donc à l'ordre du jour en France à
cette occasion. C'est le moment de faire le point sur ce volumineux dossier.
DÉJÀ DANS LES TEMPS ANCIENS
Alexandre le Grand et ses troupes, en 322 avant J.C., lors du siège de Tyr en Phénicie, sont survolés
par une formation triangulaire composée d'un grand bouclier volant et de quatre plus petits. Les
objets, également observés par les troupes ennemies, décrivent des cercles autour de la cité. Le plus
grand lancera même un fort rayon lumineux contre la cité, provoquant un trou dans la muraille. Cette
porte, bénie des dieux, aidera les troupes d'Alexandre à pénétrer dans la cité de Tyr. Les objets sont
repartis après la victoire.
A Reims, en 927, des témoins décrivent de nombreux objets qui apparaissent dans le ciel de la ville.
On interprète cela comme un signe de l'apocalypse.
Dans « Historia Anglorum », en 1254, Mathieu de Paris rapporte que dans la nuit du 1er janvier, les
moines de Saint Albans, en Angleterre, virent un grand vaisseau de forme élégante dans le ciel. Il est
décrit comme bien équipé et ayant de merveilleuses couleurs.
Dans « L'Astronomie » il est rapporté qu'en novembre 1885, des objets bizarres de forme allongée et
très lumineux, évoluant à très basse altitude, ont été observés en Turquie.
De telles descriptions ne sont pas rares dans les textes anciens. On en compte plusieurs centaines.
Dans la revue de la Société astronomique de France, nous en relevons également un très grand
nombre dès avant 1900. La Bible évoque elle aussi des scènes ressemblant à des apparitions d'ovni
(flammes jaillissant d'un buisson ardent - Exode III-2 - entre autres). Tous ces indices nous permettent
de penser que depuis les temps les plus reculés, les ovnis visitaient déjà notre planète. Leurs
apparitions ne seraient donc pas seulement contemporaines comme on est souvent amené à le
penser. Les scientifiques, eux, prennent tous ces témoignages anciens avec réserve. Il est évident
qu'on ne plus enquêter dessus à notre époque. Ils existent toutefois et nous devons en tenir compte
dans une étude générale du phénomène.
Durant les années 1900-1947, le nombre d'observations d'ovni ne cesse d'augmenter. Mais ce sera le
24 juin 1947, après l'observation de Kenneth Arnold, qu'on se rendra vraiment compte que le
phénomène ovni est bien présent.
L'AFFAIRE KENNETH ARNOLD : LE DÉBUT DE L'HISTOIRE DE L'UFOLOGIE
Le 24 juin 1947, Kenneth Arnold, riche industriel, fait un vol au-dessus des Monts Cascade dans l'Etat
de Washington (USA) lorsqu'il aperçoit 9 objets d'apparence discoïdale à l'avant et triangulaire à
l'arrière. Ces objets volent en formation à très grande vitesse, 1300 miles/heure, vitesse non encore
égalée à cette époque par un appareil terrestre. Kenneth Arnold se trouve à environ 40 km de ce
phénomène, qui ne dure que quelques secondes et parcourt plus de 8 km. Il estime la grandeur des
objets à environ deux tiers d'un DC-4 et leur altitude à 4000 mètres. Dès son retour, l'information est
communiquée à la presse et rapidement elle fait le tour du monde à la une des grands journaux. Ces
neuf disques volants, semblant ricocher comme une soucoupe lancée sur l'eau, furent appelés
« Soucoupes Volantes », terme qui sera dorénavant employé par la presse, puis le grand public, dans
le monde entier, pour décrire ces mystérieux engins qui violent l'espace terrestre. Le sociologue
français Pierre Lagrange fait en 1989 une étude précise de cette observation, se rendant sur place
aux Etats-Unis, et il la replace dans le contexte de l'époque, éliminant toutefois la théorie qui voudrait
que ce cas soit issu du climat de guerre froide qui régnait à la fin des années 40. Il rassemble tous les
éléments de ce dossier et à aucun moment cette affaire n'a pu être considérée comme un canular.
Nous situons l'histoire moderne des soucoupes volantes comme partant de cette observation. Aux
Etats Unis, et ce jusqu'en 1969, le problème des ovnis a été pris au sérieux par les services officiels,
voyant dans ces apparitions des engins qui violaient leur territoire sans pouvoir être contrôlés, ce qui
était inadmissible. Plusieurs commissions successives ont dès lors été créées afin de tenter de
prouver que ces engins d'origine inconnue n'existaient pas. Des pressions ont été exercées sur les
témoins afin de les faire revenir sur leurs déclarations ou de leur interdire de parler. Les services
officiels ont été bâillonnés par des lois et des réglementations afin qu'aucune description d'ovni n'en
sorte. La politique de l'armée, de la CIA et du FBI était de nier l'existence des observations d'ovni.
Malgré tout cet arsenal politico-juridique, les observations d'ovni ne cessèrent pas durant ces
décennies. La dernière commission officielle américaine mise en place publie en 1969 le rapport
Condon qui conclut : les ovnis n'existent pas ! Fortement critiqué, ce rapport a été très rapidement mis
de côté. Il ne parvenait pas à expliquer un fort pourcentage des observations qu'il avait analysées et
de ce fait il ne pouvait en aucun cas conclure que les ovnis n'existaient pas.
ET EN FRANCE ?
En France, on enregistre également de nombreuses observations à la fin des années 40. En 1954,
notre pays aura même droit à une vague spectaculaire avec parfois plus de 100 observations en une
seule journée ! Aucune région, aucun département ne sera épargné, la vague est gigantesque et
souvent les observations dignes d'intérêt. On découvre alors l'ampleur du phénomène et on
commence à s'y intéresser officiellement. Un bureau au sein de l'armée de l'air est créé dans le but de
collationner toutes ces apparitions. On ne peut toutefois pas donner d'explication et on ne procède
encore à aucune analyse précise. Le phénomène demeure mal connu. On commence seulement à
constater, grâce à l'effort d'associations privées telles qu'OURANOS ou le GEPA, qu'il est bien réel et
qu'il cause des effets secondaires : pannes électriques, arrêts de moteurs de voiture, traces au sol,
traînées dans le ciel, détection sur les radars, substances s'échappant des objets, etc... Les témoins
déclarent leurs observations à la Gendarmerie Nationale et des milliers de dépositions sont
enregistrées. Depuis cette grande vague, la Gendarmerie sera le relais entre les témoins et
l'administration de notre pays, qui durant des années ne prendra aucune initiative. Elle travaille
consciencieusement, enregistre les témoignages et procède fréquemment à des enquêtes
méticuleuses, qui vont devenir une mine de renseignements pour la recherche officielle dans les
années futures. La Gendarmerie s'illustre particulièrement dans le cas de Valensole, qui devient l'une
des observations les plus solides.
Les gendarmes apprennent par M. Moisson, patron du Café des Sports à Valensole (Alpes de Haute
Provence), qu'un témoin, M. Maurice Masse, a fait une rencontre avec une « soucoupe volante ».
L'affaire est prise au sérieux, la brigade enquête, aidée par les brigades voisines et par le haut
commandement, fort intéressé par ce dossier insolite. Le rapport est particulièrement détaillé et
l'enquête est menée de main de maître. On apprend ainsi que Maurice Masse, cultivateur de 41 ans,
marié, deux enfants, dont la moralité et le sérieux sont à toute épreuve, après s'être aperçu durant
plusieurs jours consécutifs que des plants de lavandin disparaissaient de ses plantations, a décidé de
se rendre dans son champ le matin du 1er juillet 1965 à la première heure, et s'est retrouvé nez à nez
avec une soucoupe volante. Il est 5 h 30 environ lorsqu'il quitte son domicile et se rend près d'un
clapier (un petit tas de pierrailles de 2 m de haut environ) pour prendre son tracteur. Au volant de son
engin, il commence par allumer une cigarette puis va démarrer quand il entend un sifflement dont il ne
localise pas tout de suite l'origine. Il descend du tracteur et contourne le clapier qui le dissimulait, en
prenant la précaution de ne pas faire de bruit. Il pense ainsi prendre ses voleurs de lavandin la main
dans le sac. C'est alors qu'il voit un engin bizarre et inconnu, à 90 m de lui, posé dans son champ, au
milieu de la lavande. Il songe tout d'abord à un hélicoptère, mais c'est impossible, il les connaît bien et
a l'habitude de voir ceux de la base militaire voisine se poser dans ses champs. L'engin, gros comme
une Renault Dauphine, a la forme d'un ballon de rugby, est surmonté d'une coupole et repose sur 6
béquilles et un tube central. M. Masse s'avance tranquillement, avec assurance, à travers les jeunes
pieds de lavande et arrive ainsi à 5 ou 6 m de cet étrange engin.
C'est alors qu'il aperçoit tout près de l'objet deux petits êtres d'apparence humaine, penchés sur un
pied de lavandin. Il s'apprête à poursuivre son approche lorsque les deux humanoïdes remarquent sa
présence. Ils se redressent, l'un d'eux braque en sa direction une sorte de « tube » qu'il prend dans un
étui situé sur sa ceinture et Maurice Masse se retrouve immédiatement figé sur place, comme
paralysé, sans pouvoir faire un seul mouvement. Le témoin ne sent rien, il n'est pas engourdi, ni
contracté et ne perd pas conscience. Il peut voir la scène, entendre et distingue très bien le petit être
qui remet le « tube » dans un étui situé sur son côté gauche à l'aide de sa main droite. Les êtres
discutent alors durant quelques minutes, il entend une sorte de gargouillement provenant de leur
gorge, les yeux bougent, le cou est très court, leurs regards n'étaient pas méchants. Après 4 ou 5
minutes, ils remontent dans leur appareil, avec une agilité surprenante, en s'aidant tout d'abord de la
main droite, puis de la main gauche. Une porte à glissière ferme l'appareil après une manoeuvre de
bas en haut. Le témoin voit ensuite ces êtres dans le dôme transparent de l'engin puis il entend un
bruit sourd durant 2 à 3 secondes, alors que l'appareil s'élève de 10 cm à 1 m. Le tube central sort de
terre, les 6 pieds commencent à tourner dans le sens des aiguilles d'une montre et l'appareil part en
arrière en s'élevant en oblique pour s'envoler vers l'ouest à une vitesse fulgurante. Maurice Masse suit
l'appareil durant 15 à 30 m avant qu'il disparaisse comme un éclair. La « paralysie » a duré encore 15
minutes avant que le témoin puisse remuer ses mains, puis tout son corps. Il va alors voir à
l'emplacement de l'engin et remarque diverses marques au sol, dont un trou d'environ 30 cm de
profondeur à l'endroit ou reposait le tube central et constate que la terre est détrempée (plus tard dans
la journée, il remarquera qu'elle s'est durcie jusqu'à avoir la consistance du ciment). M. Masse
remonte alors sur son tracteur et, sans s'affoler, va travailler sa vigne voisine. Il rentre chez lui vers 9
h 00. Il décrit les êtres comme suit aux gendarmes : apparence proche de la nôtre mais avec une tête
anormalement grosse (trois fois celle d'un humain), 1 m de haut, chauves, peau blanche, longues
oreilles, pommettes saillantes et charnues, petite bouche circulaire. Ils portent des costumes gris vert
d'une seule pièce.
Cette observation est l'une des plus solides et des plus intéressantes du dossier ovni. Elle est
corroborée par un cas similaire qui s'est déroulé au Nouveau-Mexique (USA), où l'objet observé était
pratiquement identique à celui vu par Maurice Masse à Valensole. De nombreux enquêteurs ont
travaillé sur ce cas, confirmant son authenticité.
Dans les années qui vont suivre, le phénomène ovni devient de plus en plus présent. On commence à
mieux le connaître. Les médias et le grand public s'y intéressent et en 1974, Jean-Claude Bourret fait
une série d'émissions sur les ondes radio, puis publie plusieurs ouvrages, ce qui va ébranler les
pouvoirs publics. Le Ministre de la défense Robert Galley, lors d'une interview, admet l'intérêt
scientifique du problème. La recherche officielle se met en marche et un début de coopération
s'instaure entre le Ministre de l'industrie et de la recherche, les militaires et la Gendarmerie Nationale,
avec pour objectif de regrouper sur Claude Poher, chercheur au CNES, tous les rapports
d'observation.
LA CRÉATION D'UN ORGANISME OFFICIEL CHARGÉ DE LA RECHERCHE SUR LES OVNI EN
FRANCE
Claude Poher s'intéresse au phénomène depuis 1970. Il réalise une première étude statistique
concernant les observations d'ovni et recueille ainsi des soutiens dans le milieu scientifique. Il réussit
à mettre en place un groupe ayant pour objectif l'étude des ovnis, et c'est le 1er mai 1977 que le
CNES annonce officiellement la création du GEPAN (Groupe d'études des phénomènes aérospatiaux
non identifiés). C'est une première mondiale et un tel organisme n'existe qu'en France. Les
associations s'intéressant au phénomène ovni sont satisfaites et certaines vont même jusqu'à cesser
leurs activités. Le GEPAN souffre rapidement du manque de crédits (300.000 F de l'époque par an, ce
qui suffit seulement à rémunérer Claude Poher et sa secrétaire). Il doit faire appel à l'aide bénévole de
nombreux scientifiques du CNES, car le nombre d'enquêtes à faire sur le terrain devient de plus en
plus élevé. Le manque de ressources devient problématique. Claude Poher se fâche et obtient alors la
collaboration à temps partiel d'une équipe complémentaire d'ingénieurs du CNES. L'activité du
GEPAN sera supervisée par un conseil de 7 scientifiques de haut niveau, qui se réuniront chaque
année pour évaluer le travail effectué et prodiguer conseils et recommandations. De 1974 à 1979, le
GEPAN poursuit ses travaux, procède à des enquêtes minutieuses, rencontre les groupes privés qui
s'intéressent au problème ovni et met en place des procédures d'enquête et de recherche pour divers
programmes. En 1978, après que le GEPAN a conclu que les ovnis observés dans de nombreux cas
étaient des machines volantes d'origine inconnue, le Conseil exprime sa satisfaction quant au travail
effectué et lui permet de poursuivre ses activités.
En 1979, Claude Poher décide de quitter le GEPAN. Il sera remplacé par Alain Esterle, ingénieur
mathématicien qui, de 1979 à 1983, donnera au GEPAN des moyens importants utilisés dans divers
travaux de recherche. Le GEPAN publie à l'intention du public 18 notes techniques sur ses travaux et
prend alors une envergure inespérée, jusqu'à ce que des problèmes internes au CNES viennent en
1983 mettre un frein à son expansion. Le conseil scientifique ne se réunit plus. Le CNES décide de le
mettre en sommeil, nomme en 1983 un nouveau directeur, Jean-Jacques Velasco, et réduit
considérablement le budget en 1984. La recherche devient quasiment nulle et le public n'est plus
informé. En 1988, une revue remet en question l'existence même du GEPAN, compte tenu du peu de
résultats. Le CNES annoncera cette année-là la cessation des activités du GEPAN qui sera remplacé
par le SEPRA, chargé uniquement de recueillir des informations sur les rentrées de satellites et sur les
phénomènes aérospatiaux non identifiés. De 1988 à 2005, ce nouvel organisme travaillera dans
l'ombre, sans gros budget et ne fera pas avancer l'étude du phénomène ovni. En juin 2004, son
directeur, Jean-Jacques Velasco, sort un ouvrage "OVNIs l'Evidence", dans lequel il exprime un avis
sur le problème ovni, sur l'existence réelle et matérielle de ces objets et sur leur provenance
extraterrestre, ce qui va déclencher une nouvelle mise en sommeil de ce service du CNES. Dissous
sans l'être, ses activités vont être encore restreintes et le public ne sera toujours pas informé de ce qui
s'y passe officiellement.
Le phénomène ovni est un dossier passionnant, sensible, brûlant même. Il fait couler beaucoup
d'encre, déchaîne les passions et pour les services officiels, il devient un sujet à ne pas « toucher ».
C'est donc dans ce contexte que le problème des soucoupes volantes se situe aujourd'hui. La
recherche officielle sur le sujet est nulle et ce sont uniquement des groupements privés et des
chercheurs individuels qui actuellement, et dans une désorganisation totale, font avancer la
connaissance de ce phénomène. Les Premières Rencontres Ufologiques Européenne de Châlons-enChampagne, les 14, 15 et 16 octobre 2005, sont l'occasion pour de nombreux chercheurs de venir
confronter leurs travaux et pour le public de faire un point précis en rencontrant la majorité des acteurs
européens de ce dossier.
Marc Leblanc
LES PREMIÈRES RENCONTRES UFOLOGIQUES EUROPÉENNES DE
CHÂLONS-EN-CHAMPAGNE LES 14 - 15 ET 16 OCTOBRE 2005
Ce seront :
Plus de 100 spécialistes venus du monde entier, qui nous parleront du phénomène ovni lors d'une
trentaine de conférences et d'innombrables forums-débats.
Trois salles de conférences et débats.
Un colloque européen de haut niveau réunissant des scientifiques et chercheurs qui étudient le
phénomène.
Un salon qui rassemblera une centaine de stands d'information.
Une méga-exposition de plusieurs centaines de panneaux, maquettes et objets relatifs aux ovnis.
Etc...
DATE : 14-15-16 octobre 2005.
ADRESSE : Parc des expositions de CHÂLONS-EN-CHAMPAGNE (MARNE).
HORAIRES : du vendredi à 14 h 00 au dimanche à 18 h 00.
ENTRÉES : les entrées sont libres et gratuites.
RENSEIGNEMENTS ET PROGRAMME DETAILLE : sur le site suivant :
http://www.les-repas-ufologiques et au 06 74 86 15 46.
RESTAURATION : Un restaurant sera installé sur le site même.
ACCÈS : Trains à partir de Paris-Gare de l'Est - Autoroute : A4 - Aéroport : Roissy-Charles de Gaulle
Documents photos. Photos avec reproduction autorisée, libres de droits.
Photo 1 : Le magazine Fate, en 1948, consacre sa couverture à Kenneth Arnold.
Photo 2 : Reconstitution de l'observation de Valensole. Photo GEOS France.
Photo 3 : Claude Poher, le créateur du GEPAN. Photo Gérard Lebat.
Photo 4 : Les traces du lieu d'atterrissage de l'ovni à Valensole, photo prise en 1967 par une équipe
du GEOS France.