Un long-métrage pour immortaliser une série

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Un long-métrage pour immortaliser une série
Hawaï Police d’État, série TV policière culte tournée de 1968 jusqu’en 1980,
est la plus longue de l’histoire de la télé américaine. Accompagné de sa fine
équipe, le séduisant McGarrett traque implacablement le crime sur l’archipel
de Hawaï. Régulièrement diffusée en France, notamment sur TF1, Hawaï Police
d’État séduit inconditionnels, nostalgiques et néophytes. Basée sur l’excellence
et l’exotisme, la série, qui compte 12 saisons pour 284 épisodes, occupe une place
tout à fait à part dans l’histoire des productions pour le petit écran. Après la
sortie de la première saison au mois d’août, Paramount Home Entertainment
continue de nous emmener à la découverte de ce monument de la culture
Un long-métrage pour immortaliser une série transgénérationnelle :
Une série avec une telle aura qu’elle va certainement rentrée dans le panthéon des séries télévisées
adaptées au cinéma : En effet, alors que Hawaï Police d’État saison 2 sort en DVD, la série fait actuellement l’objet d’une adaptation pour le grand écran. Réalisé par un grand monsieur du cinéma, George
Nolfi (Ocean Twelve, The Sentinel), le film devrait voir Ben Affleck tenir le rôle de McGarrett. Ainsi,
entre l’annonce de la sortie du film et l’arrivée des coffrets DVD édités par Paramount Home EnterThe West
tainment, Hawaï Police d’État opère un vrai retour en forceInto
!
• Disponibilité : 18 octobre 2007
• Coffret DVD : 4 DVD, 540 min env
• Prix conseillé : 39,99 €
Langues VO ST
Nombreux sont ceux qui prédisent régulièrement que le western est mort mais
c’est sans compter avec le génie créatif d’auteurs de talent. Après Deadwood, et son
regard sans concession sur les fondements de la création des États-Unis, Paramount
Home Entertainment édite le 18 octobre Into the West, une minisérie produite par
Steven Spielberg et acclamée par la critique et le public lors de sa diffusion !
Une qualité exceptionnelle
Lorsque Steven Spielberg (Munich, La Guerre des mondes, Attrape-moi si tu peux, E.T., Intelligence
Artificielle…) se lance dans la production audiovisuelle, on peut s’attendre au summum de la qualité,
quels que soient les sujets traités, chacune de ses miniséries ayant effectivement reçu une pluie de prix
à travers le monde. Après Band of Brothers, magnifique et tragique fresque relatant les faits d’armes
d’une unité militaire durant la Seconde Guerre mondiale, multiprimée aux Emmy Awards et aux Golden
Globes, ou Disparition, nouveau mode narratif pour dépeindre une possible invasion extra-terrestre sur
plusieurs décennies et qui remporta aussi un Emmy de la meilleure série dramatique, il s’attaque désormais
au western. Avec la même maestria, Steven Spielberg produit avec Into the West une minisérie qui ne déroge
pas à la règle puisqu’elle obtint le chiffre record de 16 nominations aux Emmy Awards 2006. Lors de sa première
diffusion aux USA, sur la chaîne câblée TNT, Into the West s’offrit même le luxe de décrocher la plus grosse
audience jamais eue par une chaîne du câble, devançant les grandes chaînes hertziennes américaines.
Histoire et épopée
Into the West participe à cette nouvelle manière d’aborder le Far West, dans la lignée de grands films tels que
Danse avec les loups (Kevin Costner), Impitoyable (Clint Eastwood) ou une des séries historiques majeures
de ces dernières années, Deadwood. Alors que cette dernière s’attachait plus particulièrement à la construction
de la société américaine, aux fondements d’une nouvelle civilisation dans ce qu’elle a aussi de plus sombre, Into
the West ausculte cette même conquête de l’Ouest américain durant une soixantaine d’années. Elle suit le destin
de deux familles, l’une blanche, les Wheeler, et l’autre indienne, de la tribu des Lakota, dans leurs quêtes d’une vie
meilleure durant cette période charnière de l’histoire des États-Unis. Un budget digne des grandes productions à
100 millions de dollars a permis une reproduction des plus fidèles de cette période riche et complexe.
Deux familles au destin unique
Les Wheeler : Matthew Settle, qui jouait déjà pour Steven Spielberg le Capitaine Ronald Speirs dans Band of
Brothers, incarne Jacob Wheeler, un jeune homme à l’avenir programmé dans l’entreprise familiale mais qui,
assoiffé d’aventure, n’hésite pas à suivre tous ces pionniers qui feront de l’Amérique la nation qu’elle est aujourd’hui.
Dans son désir de nouveaux espaces, il est accompagné successivement par plusieurs membres de sa famille, dont
Jethro Wheeler, son jeune frère qui rêve de trouver de l’or et faire fortune, joué par Skeet Ulrich, figure prometteuse
que l’on a découvert dans Scream (de Wes Craven), Albino Alligator (de Kevin Spacey) et qu’on retrouvera bientôt dans
la nouvelle série de CBS, Jericho. Les autres membres de la famille Wheeler à partir vers l’inconnu et la grande aventure
sont les cousines de Jacob, Rachel, Leah et Naomie Wheeler. Naomie est interprétée par Keri Russell, actrice que l’on a
vu naître à l’écran dans Chérie, j’ai agrandi le bébé, puis post-adolescente dans Felicity, pour enfin la retrouver en jeune
femme, espionne de charme auprès de Tom Cruise dans M :i :III de J.J. Abrams.
Des thèmes universels et intemporels
Si Into the West se penche sur l’histoire américaine, c’est aussi pour mettre en perspective des thèmes encore actuels et voir poindre
les origines de notre société telle qu’elle est maintenant, bien au-delà des frontières du Nouveau Monde. Du racisme à l’amour en
passant par le statut de la femme, chaque personnage se retrouve confronté aux travers et aux qualités de l’homme, à ce qui fait sa
force, sa croyance dans l’autre. Tout comme la religion, quel que soit le côté duquel on se place, celui des Blancs ou celui des Indiens, sans
jugement et avec une justesse scénaristique toute particulière et respectueuse pour dépeindre la foi de chacun, la condition humaine
prend une ampleur dans laquelle tous les spectateurs trouveront un écho à leur histoire personnelle.
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Les Lakota : Premier grand rôle pour Tonantzin Carmelo qui interprète Femme Cœur de Tonnerre, dont Jacob Wheeler
fera son épouse après l’avoir libérée d’une vie d’esclavage, permettant ainsi d’unir leurs deux familles, voire le destin de deux
peuples. La jeune femme a plusieurs frères, chacun avec des points de vue différents, mais la même volonté d’assurer la
survie et le bien-être de leur peuple. Le plus jeune est Aimé des Bisons, interprété par Simon R. Baker qu’on a pu voir dans I,
Robot aux côtés de Will Smith ou Shangaï Kid avec Jackie Chan. Porteur des traditions des Lakota, il incarne aussi l’esprit
de sagesse, tout comme Jacob représente celui des pionniers. L’aîné, Dog Star, (Michael Spears dont le premier rôle était dans
Danse avec les loups) et Running Fox (Zahn McClarnon habitué des plateaux télé : Walker Texas Rangers, NYPD blue,
The Shield, etc.) auront du mal à se comprendre, le premier voulant à tout prix garder son peuple loin du monde moderne des
Blancs et surtout des dangers qu’il apporte (alcool et armes à feu) alors que le second est attiré par le pouvoir qu’il peut donner.