TEST HALF LIFE 2
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TEST HALF LIFE 2
HALF LIFE 2 Plateforme : Genre : Développeur : Site officiel : Editeur : Version : Date de sortie : Config minimum : Config conseillée : Multijoueur : » » TEST PC FPS Valve http://www.half-life2.com/ Vivendi Universal Games Française 16 novembre 2004 Windows 98/2000/Me/XP Pentium 1.2 GHZ - 256 MO - Espace disque 4.5 GO Lecteur DVDRom Carte graphique 3D compatible Direct X7 Connexion Internet Pentium 2.4 GHZ - 1Go - Espace disque 4.5 GO Lecteur DVDRom Carte graphique 3D compatible Direct X9 Connexion Internet Counter Strike Source, Half Life 2 Deathmatch Depuis le temps qu’on en attendait la sortie, je n’y croyais même plus lorsque le long téléchargement fini via Steam je me lançais, le sourire béant, dans cette aventure prometteuse. Le procès impliquant développeur et éditeur d’Half Life 2 (verdict en mars 2005) n’aura pour l’instant réussi qu’à retarder l’arrivée du jeu. Mais qu’importe, Half Life deuxième épisode est enfin arrivé ! Le docteur Freeman était prêt à reprendre du service. Alors, simple suite ou nouvelle révolution du FPS ? » Le scénario Après une allocution du G-man nous replongeant immédiatement dans nos multiples souvenirs du premier opus, Gordon Freeman reprend l’aventure à nouveau dans un train. Celui-ci vous emmène à la gare de City 17, une ville où les habitants sont sous le contrôle d’une milice locale (genre Gestapo moderne). Rapidement, on s’aperçoit que l’on n’est pas le bienvenu. Au lieu de faire le touriste et de visiter tranquillement l’architecture urbaine, on est très vite obligé de fuir le centre ville aidé par une poignée de résistants, non sans se prendre de douloureux coups de matraques sur la tête et maltraité, un peu comme dans le film « La Planète des Singes » ... » Le déroulement des missions Sans trop le détailler pour vous en réserver la surprise, ce sont en tout 15 chapitres que devra parcourir notre personnage. Les chapitres se suivent et ne se ressemblent pas. On traversera donc les canaux de City 17, un village lugubre infesté de zombies rappelant un peu Racoon City, des chemins côtiers, des plages surveillées par des bunkers façon Call of Duty où règnent des créatures sorties tout droit de Starship Troopers, ou encore une immense prison. Pour mener à bien ces missions, Gordon Freeman disposera de deux véhicules, une sorte d’aéroglisseur, puis il chevauchera un buggy par la suite. Bien que l’idée soit sympathique (je ne dirai pas novatrice !) et très bien réalisée, on se croirait souvent dans un film, on se lasse assez vite de ces chapitres car l’action y est très répétitive : j’avance, je suis bloqué donc je dois trouver un moyen de passer, etc ... » Le gameplay Sur ce point, on prends les mêmes et on recommence. La prise en main immédiate est conforme au premier opus. Les touches de raccourcis sont configurables et les déplacements, que ce soit avec ou sans les véhicules sont un modèle du genre. Les très nombreuses interactions avec l'environnement viennent enrichir ce gameplay, et le moteur physique Havok n'a jamais été aussi bien exploité. » Le moteur physique HAVOK n'a jamais été aussi bien exploité » On traversera un village lugubre infesté de zombies rappelant un peu RACOON CITY Il faudra par moment vous sortir de lieux en faisant justement entrer en compte les différentes lois de la physique, que ce soit pour faire contrepoids sur un tremplin pour pouvoir y accéder, construire un échafaudage avec des caisses et autres objets pour atteindre un endroit surélevé, etc ... C'est un véritable plaisir que de détruire les différents éléments du décor et de contempler les miliciens périr avec. PAGE 1 » TEST HALF LIFE 2 » Les armes La première qui nous arrive dans les mains après quelques minutes de jeu est le fameux « pied de biche » que l'on retrouve avec un certain plaisir. Par la suite, le traditionnel pistolet H&K, le même que celui de Counter Strike et qui nous aidera à vaincre les ennemis qui se font de plus en plus nombreux. Au bout d'un moment, ils finissent par lâcher une mitraillette qui nous sera fort utile pour en venir à bout. Viendront ensuite les traditionnelles grenades, shotgun, le fameux Desert Eagle redouté car il tue en un coup et un lanceroquette. » La première arme qui nous arrive dans les mains après quelques minutes de jeu est le fameux « pied de biche »... Mais ce n'est pas tout puisque notre cher Freeman va également pouvoir renouveler sa collection, deux nouvelles armes sont au programme : le Grenade Launcher/Laser Rifle: c'est une sorte de fusil plasma ou les munitions s'épuisent très vite ... la milice en posséde. Et enfin, mon arme préférée, le Gravity Gun, arme révolutionnaire puisqu'elle permet de tenir des objets en lévitation, puis de les lancer ce qui permet une multitude de possibilités pour se sortir des situations dans lesquelles notre cher Freeman a le chic de se retrouver ! » L'intelligence artificielle Le comportement des ennemis est extrêmement décevant. Je m'attendais à les voir se cacher ne seraitce qu'un peu lorsqu'on leur tire dessus, il n'en est rien ou presque, ils restent bêtement sans bouger attendant la balle qui leur sera fatale. Que ce soit en mode facile ou en mode Hard, pas de changements notables. Un gros point noir au jeu selon moi car même les bots de Counter Strike se débrouillent mieux. Une vidéo a été faite sur le site NoFrag.com à ce sujet. Une petite nouveauté cependant avec des espèces de caméras volantes équipées de scies rotatives et qui sont attirées par ce cher Gordon comme si elles avaient échouées pendant une dizaine d'années seules sur une île désertes. Je dois dire que ces petites bestioles sont, elles, dotées d'une I.A bien plus travaillée, ainsi que pour les différents hélicoptères qui vous poursuivent sans cesse. » Graphismes : 18/20 Sans parler d'une révolution, le moteur graphique, baptisé « Source », tient toutes ses promesses. Une modélisation quasi parfaite des visages et de leurs expressions, des villes superbes, des armes très bien réalisées. Le jeu est magnifique en tous points. Enfin un FPS à la hauteur des prodiges visuels introduits par Far Cry. » Jouabilité : 19/20 Comme toujours, le savoir faire de Valve en la matière est énorme et mérite le respect tant on est à l'aise dans ses mouvements. A bord de l'overcraft ou dans le buggy, les scènes d'actions s'enchaînent à merveille, et aucune difficulté à s'adapter au passage vers ces véhicules. » Durée de vie : 17/20 Les missions sont riches et variées, mais comptez au total une quinzaine d’heures pour venir à bout du soft. L'option multijoueurs vous permettra de passer des mois et des mois dessus tant elle est réussie, que ce soit pour Counter Strike Source ou pour le mode Deathmatch. » Bande son : 18/20 Les changements de musiques s'opèrent de façon très réussie aux moments ou l'action se fait dense, je trouve leur choix et leur réalisation vraiment très efficace et prenant. Les dialogues sont nombreux et sans limites, je me suis ainsi surpris à discuter avec un alien qui venait gentiment de m'installer une arme gratuitement sur mon overcraft pendant plusieurs minutes et jamais deux fois la même phrase, impressionnant. » Scénario : 18/20 L'évolution de Gordon dans ce périple me laisse sans voix, on passe dans tellement d'endroits différents et les missions sont tellement variées, j'ai surtout apprécié ses débuts et la mission à la Racoon City, une ambiance de folie, du jamais vu. CONCLUSION : 18/20 » L'attente n'aura pas été veine et on s'en rend compte dès les premiers moments du jeu tant la force avec laquelle on est transporté dans cet univers est violente. Seulement maintenant, il ne faut pas nous faire attendre 7 ans pour sortir le 3ème opus de la série chers messieurs de valve, à bon entendeur salut ! » Baptisé « SOURCE », le moteur graphique de HALF LIFE 2 tient toutes ses promesses... PAGE 2